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Études Antimodernistes présente « Monseigneur Lefebvre Sédévacantiste »
Nous vous avons présenté maintes études de réfutation de la position “R&R” (Reconnaître & Résister : « Reconnaître les faux papes comme des vrais MAIS leur Résister et ne pas leur obéir ») et en particulier pour la publication de True or False Pope (Vrai ou Faux Pape), le nouveau livre contre le sédévacantisme des Laurel & Hardy de la tradition : les Siscoe & Salza de l’anti-sédévacantisme, financé et publié par la F$$PX.
Un nouveau blogue publie enfin ce que nous disons depuis 20 ans… par une vidéo de M. l’Abbé Cekada (qu’ils ont traduite en français) qui réfute également ce brulot hautement loué par Monseigneur Bernard Fellay.
Nous vous donnons ci-dessous un extrait de leur présentation ci-dessous. Ce blogue est actuellement administré par des séminaristes français du Séminaire de la Très Sainte Trinité (Floride, États-Unis) et nous propose donc la traduction française de certains travaux des américains. Comme personne n’est parfais… ils déclarent adhérer à la Thèse dite de Cassiciacum, ou thèse du Révérend Père Guérard des Lauriers avant son Épiscopat.
Monseigneur Lefebvre Sédévacantiste
Malgré l’impression contraire que beaucoup de traditionalistes peuvent avoir, Monseigneur Marcel Lefebvre a fait beaucoup de déclarations qui tendent au sédévacantisme.
M. l’Abbé Anthony Cekada, prêtre qui était séminariste à Écône dans les premiers jours de la Fraternité, et qui connaissait personnellement l’archevêque, fournit une sélection de ces déclarations dans cette vidéo, et présente une perspective historique du sédévacantisme dans la Fraternité.
Ceci constitue une part importante de l’histoire de Mgr Lefebvre, la FSSPX et le mouvement traditionnel, une part qui a été négligée, voire intentionnellement occultée, et c’est une histoire qui a besoin d’être rappelée.
M. l’Abbé Cekada discute aussi de True or False Pope (Vrai ou Faux Pape), un nouveau livre contre le sédévacantisme, financé et publié par le séminaire américain de la Fraternité, et hautement loué par Monseigneur Bernard Fellay.
Les faits présentés dans cette vidéo surprendront les prêtres, séminaristes et soutiens laïcs de la Fraternité, et seront d’un grand intérêt également pour les autres Catholiques traditionnels.
Traduction d’une Vidéo de l’abbé Cekada, par Études Antimodernistes.
DON LUIGI VILLA : combattant infatigable de la Foi Catholique est retourné à la Maison du Père
MORT DE DON LUIGI VILLA
De profùndis clamàvi ad te, Dòmine ;
Dòmine, exàudi vocem meam.
Fiant àures tuæ intendèntes
in vocem deprecatiònis meæ.
Si iniquitàtes observàveris, Dòmine,
Dòmine, quis sustinèbit ?
Quia apud te propitiàtio est
et propter legem tuam sustìnui te, Dòmine.
Sustìnuit ànima mea in verbo ejus,
speràvit ànima mea in Dòmino.
A custòdia matutìna usque ad noctem,
speret Ìsraël in Dòmino,
quia apud Dòminum misericòrdia,
et copiòsa apud eum redèmptio.
Et ipse rèdimet Ìsraël ex òmnibus iniquitàtibus ejus.
Requiem aeternam dona eis, Domine : et lux perpetua luceat eis.
Requiescant in pace. Amen.
Don Villa était un fils spirituel de Padre Pio, à partir de duquel, peu de temps avant sa mort, il a eu la tâche de lutter contre les hommes et les idées de la secte infâme (la « Inimica Vis », selon Léon XIII), qui a infiltré la hiérarchie du Vatican.
Monsieur l’abbé Luigi Villa, était docteur en théologie et Directeur de ‘’Chiesa Viva’’.
Né le 3 février 1918, ordonné prêtre en 1942.
Extrait de sa biographie :
Avant de quitter Bari (1956), l’abbé Berni voulut que l’abbé Villa l’accompagnât à San Giovanni Rotondo. Arrivés sur place, l’abbé Berni lui demanda de l’attendre, tandis qu’il allait à l’hôtel “Santa Maria” commander le déjeuner. L’abbé Villa alla alors prier dans la petite église du Couvent.
L’église était vide et il s’agenouilla dans un des bancs. Tout à coup, il perçut une présence et se retourna. À côté de lui, il y avait un jeune homme, extraordinairement beau qui lui demanda : « Voulez-vous rencontrer Padre Pio ? ». « Non ! » répondit l’abbé Villa, mais l’autre insista : « Allez, allez seulement, Padre Pio vous attend ! ». L’abbé Villa se tourna vers la personne qui venait de lui parler, mais à côté de lui, il n’y avait plus personne. La personne qui avait prononcé ces mots avait disparu !
Alors, il entra dans le couvent et monta vers l’endroit où est la cellule de Padre Pio, il sentit un parfum intense de fleurs et le communiqua à un moine qui passait et qui lui dit : « Bon signe, bon signe ! » ajoutant que Padre Pio serait vite de retour dans sa cellule.
Pendant l’attente, l’abbé Villa écrivit sur un calepin 12 questions qu’il entendait poser au moine. Peu après, il vit s’ouvrir la porte qui était au fond de l’escalier de la sacristie. À peine entré, Padre Pio le regarda (il était au fond du couloir étroit, à une vingtaine de mètres) et dit : « Que faites-vous ici, père Villa ? », puis il s’achemina jusqu’à sa petite chambre, N° 5, où il entra avec les deux médecins qui le suivaient. Mais au bout de quelques minutes, les médecins une fois sortis, Padre Pio appela l’abbé Villa et le fit entrer dans sa cellule. Et là, il répondit aux 12 questions et lui parla pendant plus d’une demi-heure, lui donnant une tâche à accomplir : dédier toute sa vie à défendre l’Église du Christ contre l’œuvre de la Franc-Maçonnerie, surtout ecclésiastique.
L’abbé Villa demeura perplexe et dit : « Mais je ne suis pas préparé pour une telle tâche ; en outre, je devrais être protégé par un évêque. » Padre Pio l’interrompit et lui dit : « Va trouver L’antique petite église de Ste Marie des Grâces du Couvent et l’évêque de Chieti, et il te dira ce qu’il faut faire ». Deux jours plus tard, l’abbé Villa partit de Bari et se rendit chez Mgr Giambattista Bosio. L’évêque lui demanda : « Pourquoi es-tu ici ? ». L’abbé Villa répondit : « Padre Pio m’a dit de venir vous trouver » et lui expliqua les motifs.
À la fin Mgr Bosio lui dit : « C’est impossible parce qu’un évêque n’a d’autorité que dans son diocèse et ton programme est bien plus ample ! De toutes manières, puisque c’est Padre Pio qui te l’a dit, lui que je n’ai jamais vu ni connu, j’irai à Rome pour un éclaircissement ».
En effet, Mgr Bosio se rendit chez le Secrétaire d’État, le cardinal Domenico Tardini pour lui parler de la mission que l’abbé Villa avait reçu de Padre Pio. Le cardinal se montra tout de suite contraire, disant qu’une telle tâche n’était réservée qu’aux hauts niveaux de l’Église et non à un simple prêtre. Toutefois, ayant entendu dire qu’un tel projet venait de Padre Pio, il dit qu’il en parlerait au Saint Père. Ce qu’il fit.
Lorsque Mgr Bosio revint chez le cardinal Tardini, ce dernier lui référa que Pie XII avait approuvé la mission confiée par le Padre Pio à l’abbé Villa, mettant cependant deux conditions : l’abbé Villa devait se licencier en théologie dogmatique et en outre il devait être confié à la direction du card. Alfredo Ottaviani, Préfet du Saint Office, du card. Pietro Parente et du card. Pietro Palazzini.
Ces Cardinaux devaient le guider et le mettre au courant de nombreux secrets de l’Église se rapportant à ce mandat papal. Mgr Bosio transmit à l’abbé Villa les “conditions” de Pie XII, mais pour sa part, il en ajouta une : « J’accepte la charge d’être ton évêque, mais je te dis : n’aie jamais rien à faire avec Montini ! ». Frappé par la dureté de ces paroles, l’abbé Villa demanda : « Mais qui est Montini ? ».
Mgr Bosio répondit : « Je te donne un exemple : je suis de ce côté de la table et toi de l’autre. De ce côté, il y a Mgr Giambattista Montini ; de l’autre, le reste de l’humanité ! ».
Notons que les familles Montini et Bosio étaient toutes les deux résidentes à Concesio (près de Brescia). Donc la famille Bosio connaissait bien Montini.
Après cela, Mgr Bosio, par un décret du 6 mai 1957, incardina secrètement l’abbé Villa dans le diocèse de Chieti.
L’abbé Villa s’inscrivit alors à l’Université de Fribourg en Suisse, où il se “licencia” en théologie en juillet 1963. Par la suite il se licencia à l’Université du Latran, à Rome le 28 avril 1971.
Pendant la seconde moitié de 1963, l’abbé Villa eut la deuxième rencontre avec Padre Pio. À peine il le vit, Padre Pio lui dit :
« Ça fait bien longtemps que je t’attendais ! » et il se plaignit de la lenteur avec laquelle l’abbé Villa procédait dans la mission qui lui avait été confiée. À la fin de la rencontre, Padre Pio embrassa l’abbé Villa et lui dit : « Courage, courage, courage ! parce que l’Église est déjà envahie par la Franc-maçonnerie », ajoutant : « La Franc-maçonnerie est déjà arrivée aux pantoufles du Pape ».
L’abbé Luigi Villa avait ses entrées au Vatican et a été reçu à de nombreuses reprises par Pie XII (puis officieusement disgracié par Paul VI). Pie XII lui fit une totale confiance pour traquer les maçons infiltrés parmi les prélats, mais dès Paul VI tout bascula et la vie de l’abbé Villa devint un parcours du combattant. Paul VI et sa garde rapprochée lui furent totalement hostiles, il dut faire face à des persécutions, calomnies, tentatives d’assassinat…
L’abbé Villa eut toute sa vie l’entier soutien du cardinal Ottaviani, du cardinal de Siri, de Mgr Sorale etc… Les Éditions Saint-Remi ont publié en France certaines ses œuvres.
Et ses livres sont consultables ici en plusieurs langues, dont le français pour certains : http://chiesaviva.com/
Aux Éditions Saint-Remi :
http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=%201355
* * *
Notre confrère Radio Cristiandad publie l’annonce de son décès par un message de Sœur María de Luján que nous vous avons traduit ci-dessous :
L’abbé Luigi Villa est décédé – Requiescat in Pace
Mes bien chers,
Ce matin à trois heures est décédé, en Italie, l’abbé Luigi Villa, vrai prêtre, défenseur inlassable de l’honneur de Notre Seigneur Jésus-Christ et de Sa véritable Église.
C’est l’ingénieur Franco Adessa qui m’a communiqué cette nouvelle, bien triste pour nous autres qui, restant ici bas, perdons un véritable Témoin du Seigneur, mais heureuse aussi, car elle signifie que s’est achevée pour l’intéressé la tâche lui ayant été assignée dans cette bataille.
Je crois ne pas me tromper en disant que c’est lui qui a eu à livrer la partie la plus rude de cette lutte, car il a été sinon le premier, du moins le plus aguerri et le plus constant dans la dénonciation sans merci des outrages perpétrés au sein de l’Église depuis Jean XXIII jusqu’à nos jours : le mensuel « Chiesa viva » (Église vivante), avec ses enquêtes et ses numéros spéciaux ; la quantité de livres destinés à dénoncer l’action destructrice de ces hérétiques qui occupent le Siège romain ; les brochures, etc.
Cela répondait à un objectif bien clair, dont il percevait la nécessité en toute clarté et urgence : inviter ceux qui détiennent toujours l’autorité dans l’Église à accomplir leur devoir devant Dieu et les âmes, de même qu’à essayer de relever les ruines auxquelles elle a été réduite. Ce sont ceux-là qui ont le devoir d’agir au niveau « quasi hiérarchique » où ils se situent : dans la mesure, du moins, où ils conservent le « pouvoir de l’ordre », ils ne peuvent se dispenser de dire la vérité au peuple des fidèles ni de tenter d’agir comme ils le doivent…
Le recours quiétiste à une intervention directe du Seigneur n’est d’aucune utilité si l’on oublie ce que l’on est soi-même tenu de faire.
Le Seigneur va intervenir, on ne saurait en douter, et il châtiera avec la dernière vigueur tous ceux qui se sont croisé les bras en se réfugiant dans des prières stériles, alors que c’étaient eux qui avaient l’obligation d’agir, du fait même de l’autorité qu’ils avaient reçue du Seigneur au sein de l’Église.
De mon côté, je rends grâce à Dieu, par l’humble déclaration publique que voici, de m’avoir donné à connaître ce prêtre de haute volée, dont les livres non seulement m’ont ouvert les yeux à la terrible réalité ecclésiale que nous vivons, mais – plus important encore – m’ont fourni des éléments d’étude et de réflexion qui m’avaient été refusés (comme à tant d’autres fidèles) par beaucoup de ceux que l’on tenait pour des « prêtres sérieux », mais qui sont d’une totale malhonnêteté intellectuelle.
Que Dieu vous bénisse.
Sœur María de Luján
L’évêque Bernard Tissier n’est pas un combattant de la Foi !
Notre article « Mgr Tissier “clarifie” sa conversation avec l’abbé François Chazal à Écône » suscite bien des réactions.
Mgr Tissier n’est pas un combattant. Il pense que ceux qui tentent quelque chose doivent rester à leur place. Mgr Tissier n’a pas la carrure d’un Williamson. Lorsque les choses se gâtent, Mgr Tissier manque de volontarisme. Il s’oppose à l’accord, mais pense encore et toujours que la F$$PX peut “convertir le pape” ! N’ayez pas la naïveté de croire qu’il quitterait la Fraternité.
Mais les lecteurs avisés de Virgo-Maria ne sont pas étonnés car VM a toujours dénoncé la mollesse et la lâcheté de Bernard Tissier transformant sa lâcheté en « sainte obéissance » !
Cela s’est particulièrement révélé dans l’échange de correspondance avec M. l’abbé Schoonbroodt (†) suite à la publication de Virgo-Maria répercutant intégralement et commentant l’étude de Mgr Tissier de Mallerais publiée dans le Sel de la terre n°67 contenant son article « Le mystère de la Rédemption selon Benoît XVI » où l’évêque français démonte et dénonce la doctrine hérétique de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI sur le Dogme catholique de la Rédemption :
Virgo-Maria N° 704, dimanche 10 mai 2009 :
Mgr Tissier de Mallerais (FSSPX) ne veut pas « déplaire »
à l’« hyper-moderniste » Ratzinger-Benoît XVI
L’action combinée du Père « Innocent »-Marie et de Mgr Tissier vise, soit à insulter et calomnier, soit à intimider M. le Curé Schoonbroodt, afin de tenter de faire disparaître au plus vite d’internet les écrits critiques de Mgr Tissier contre l’apostat Ratzinger qui pourraient gêner la politique de ralliement de la FSSPX de Mgr Fellay à la Rome moderniste apostate.
Dans une lettre rendue publique ici, M. le Curé Schoonbroodt met en demeure Mgr Tissier de Mallerais de lever les doutes sur sa « duplicité volontaire » et ceci sur la base de 4 attendus constatant la censure officielle qu’il accepte activement de ses propos publics par les médias de la FSSPX contrôlés par les infiltrés. Il lui demande de clarifier son comportement : pour ou contre le combat de Mgr Lefebvre pour la préservation du Sacerdoce sacrificiel catholique face à la Rome moderniste ?
Mgr Tissier de Mallerais (FSSPX) se plaint que Virgo-Maria lui aurait fait « un mal considérable dans certains milieux« (Conciliaires et ralliés) en faisant largement connaître ses écrits anti-modernistes et anti-conciliaires.
http://www.virgo-maria.org/articles_HTML/2009/005_2009/VM-2009-05-09/VM-2009-05-09-A-00-Avrille_insulte_abbe_Schoonbroodt.html
http://www.virgo-maria.org/articles/2009/VM-2009-05-09-A-00-Avrille_insulte_abbe_Schoonbroodt.pdf
Chronologie des échanges entre M. le Curé Schoonbroodt/VM et Avrillé/Mgr Tissier :
Voir aussi l’extrait de la lettre du 28 février 2009 de Mgr Tissier de Mallerais à M. l’abbé Schoonbroodt :
A Ecône, le 28 février 2009
Monsieur le curé,
votre lettre du 25 février m’est bien parvenue, j’en ai pris connaissance lors de mon retour des Etats-Unis. (…)
Cher Monsieur le Curé, j’admets très bien qu’un prêtre, que des fidèles, aient des doutes sur la validité d’un pape tel que Jean-paul II ou Benoît XVI ; Mgr Lefebvre n’en a-t-il pas eu parfois ? Mais pas plus que notre vénéré fondateur, je ne veux faire de ce doute légitime un cheval de bataille ou une justification de mon action. Mon action se fonde toute entière sur le devoir du combat de la foi, selon saint Paul. Quant à celui qui siège à Rome, puisqu’il y a doute, puisque la présomption est en faveur du possidens, puisque les arguments sédévacantistes ne sont pas admis par la grande majorité des catholiques de tradition, il faut appliquer le canon 209 “in dubio positivo… juridictionem supplet Ecclesia pro fors tum externo tum interno”. C’est pourquoi la FSSPX entretient des relations avec Benoît XVI, certes pas pour embrasser ses erreurs, mais pour le convertir.
Veuillez agréer, Monsieur le curé, l’assurance, malgré tout de mon religieux dévouement pou
Notre Seigneur Jésus-Christ,
* * *
ROME-ÉCÔNE : MAX BARRET espère encore…
Max Barret – combattant de la première heure et fidèle inconditionnel de Monseigneur Lefebvre – tel un soldat trahi, lance un dernier cri avec l’énergie du désespoir : Tout n’est peut-être pas encore perdu !
Alors que tout est “bouclé” depuis mars 2012, comme nous vous l’indiquions y il à 8 jours (le 7 juin) dans notre article : « Rome-Écône : Tout est consommé ! » et comme le confirme encore
Max Barret, en désespoir de cause, diffuse par eMail à tous ses correspondants – une première fois hier et une seconde fois ce matin – la copie d’écran de l’article de La Croix (!) :
Rome attend désormais la réponse de Mgr Fellay
Message :
de: MAX BARRET barret.max@free.fr
heure de l’expéditeur: Envoyé à 23:03 (GMT+02:00). Heure locale : 11:58.
à:
date: 14 juin 2012 23:03
objet: Rome Ecône
Pièce jointe.
Tout n’est peut-être pas définitivement perdu !
Diffusez !
Faites connaître !
Faites part de votre résistance !
Et surtout : Priez !
de: MAX BARRET barret.max@free.fr
heure de l’expéditeur: Envoyé à 08:56 (GMT+02:00). Heure locale : 12:04.
à:
date: 15 juin 2012 08:56
A diffuser.
Tout n’est peut-être pas encore perdu !
* * *
Pauvre Max ! il espère encore…
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
* * *