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« Laudato si’ » Une “encyclique” sur le tri des ordures…sur la propreté des fleurs…
« Le “Pape” dans la Hulot-mobile : une chance pour la Conférence climat (1) ? »
François Bergoglio a publié la semaine dernière une “encyclique” sur l’écologie environnementale, économique et sociale… Une “encyclique” sur le tri des ordures…sur la propreté des fleurs… et tous se sont réjouis ! …de Nicolas Hulot — Envoyé spécial du Président-François de la Ripoublique-française pour la protection de la planète, qui s’est rendu au Vatican à trois reprises, qui est convaincu que cette encyclique pourra peser dans les discussions parisiennes à venir —, grand gourou de l’écologie-business qui a préfacé une édition française (2) de « Laudato Si’ – Loué sois-tu » avec le “cardinal” Barbarin… tous se sont réjouis, jusqu’à Monsieur 23 (l’autre laïc déguisé en cardinal) ; jusqu’à Messieurs Hollande (3) et Valls ! À l’étranger, le document est salué également par Barack Obama (4) et le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon… (entre autres !)
Alors que nous vivons dans une situation dramatique et tragique de l’éclipse de l’Église, que l’Europe perd la Foi en masse depuis cette éclipse de l’Église catholique par la secte Conciliaire, que sur l’autre moitié de la planète on persécute les chrétiens (certes des chrétiens conciliaires trompés par la secte…), alors qu’un vrai Pape devrait enseigner sur la nécessité de la Foi pour se sauver… François Ø, applaudi par tous, se soucie des animaux qui ne peuvent pas migrer ni se déplacer librement… « si bien que certaines espèces sont menacées d’extinction » (5) ou de la circulation dans les villes où l’on doit mettre plus de transport en commun… Dans ce texte bergolien, on n’y trouve ni trace du péché originel, ni de péché mortel, ni d’enfer et de purgatoire… La grande absente, c’est la « Loi fondamentale qui gouverne toute l’Église » (6) comme l’a dit Pie XII, c’est le Salut Éternel des âmes. C’est pourtant la seule chose qui compte ! et l’on est devant une évidence en lisant ce texte… c’est que ces sectaires ont perdu la Foi !!!
papeFrançois (Jésuite) indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie !
Un conciliaire, Mr Florent Husson, nous explique ici pourquoi papeFrançois est indifférent, voire dédaigneux envers la liturgie ! C’est, dit-il, :
« Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… »
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Mr Florent Husson : “La barrette de St Pierre des Latins” Les Jésuites et la liturgie
SOURCE – “Abbé” Florent Husson – ‘La barrette de St Pierre des Latins’ – avril 2013
Les Jésuites et la liturgie
Des auditeurs attentifs au sermon du premier dimanche de la Passion m’ont demandé d’expliciter les propos que j’avais alors tenus : « Le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans, car cela ne date en rien du concile Vatican II, leur défaut depuis leur fondation donc, c’est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, et il faudra faire avec… ». Ce jugement a semblé péremptoire à certains, mais il est fondé sur 500 ans d’histoire…
Après les premières apparitions « liturgiques » du Pape François (je dois avouer que l’absence de numérotation fait bizarre, et qu’il est difficile de dire « de François » comme nous disions « de Paul VI, de Benoît XVI »), certains journalistes catholiques ont hissé haut le pavillon de leur jubilation de voir disparaître les fastes rétablis par Benoît XVI, car pour être « un Pape des pauvres », il faut donc, selon leur esprit mal (in)formé, être un « Pape a-liturgique », voire « anti-liturgique ».
D’abord ils oublient le soin qu’apportait Saint François d’Assise à la liturgie (1), confondant selon l’idéologie des années 70 amour des pauvres et misérabilisme, ensuite ils oublient que le nouveau Pape est un jésuite.
Et c’est bien là réellement le fond du problème…
Benoît XVI, profond théologien dont la spiritualité était marquée tant par la patristique que la liturgie, avait des racines aux antipodes de la spiritualité des Jésuites.
En effet, la Compagnie de Jésus fut fondée par Saint Ignace de Loyola et reconnue par Rome en 1540 : nous sommes en plein dans le règne de la devotio moderna, cette dévotion née avec l’Imitation de Jésus-Christ (2), un chemin spirituel qui privilégie l’individualisme à la piété populaire du Moyen-Âge.
Les grands de ce monde, à la fin du Moyen-Âge, disaient encore le bréviaire liturgique, nous connaissons nombre de manuscrits comme les « Grandes Heures », et donc ils vivaient spirituellement en union avec l’Église et tous les chœurs de moines, moniales, religieux et chanoines qui chantaient l’office.
Or la devotio moderna va faire disparaître cette union, chacun aura désormais son livre de spiritualité qui lui plaît le plus, et selon les époques, qui l’Imitation, qui le Combat Spirituel de Scupoli (3), qui l’Introduction à la vie dévote de Saint François de Sales (4). C’est l’époque qui verra les fidèles à la Messe faire leurs propres dévotions privées, ne s’occupant guère du célébrant sauf à la consécration et aux élévations.
Saint Ignace est donc totalement imprégné de cet esprit qui est de fait la mentalité de l’Église au XVIème siècle, et ses Exercices Spirituels dont il commence l’écriture en 1523 l’attestent. Tous ses efforts personnels sont tendus vers les études et les exercices spirituels. Et cela transparaît en 1539 dans l’esquisse des statuts de la future Compagnie, quand, à côté de l’obéissance à un Préposé général et l’exaltation de la pauvreté, on trouve le refus du cérémonial monastique, et en particulier de la prière collective. Si on lit bien Saint Ignace, on en arrive à avoir l’impression que l’examen de conscience est plus important que l’assistance à la Messe.
Malheureusement, le Pape Paul III, en approuvant la compagnie, va entériner ce choix d’Ignace, et fera des Jésuites le premier ordre religieux dispensé de la liturgie communautaire, véritable anomalie depuis les débuts des ordres religieux dans l’Église au IVème siècle.
On lit dans les constitutions jésuites : « Parce que les occupations qu’on prend pour aider les âmes sont de grande importance, qu’elles sont propres à notre Institut et très nombreuses, et que d’autre part notre séjour en tel ou tel lieu est précaire, les Nôtres n’auront pas l’office du chœur pour les heures canoniales ni pour chanter des messes ou d’autres offices ; car pour ceux (5) que leur dévotion (6) pousserait à les entendre, il y aura abondance de lieux où ils satisfassent leur désir. Quant aux Nôtres, il convient qu’ils s’occupent de ce qui est davantage propre à notre vocation (7), pour la gloire de Dieu ».
Et en ce qui concerne l’apostolat : « Si, dans certaines maisons ou dans certains collèges, on jugeait que cela conviendrait, on pourrait, à l’heure où il doit y avoir dans l’après-midi une prédication ou un enseignement, ne dire que les vêpres pour retenir le peuple avant ces enseignements ou ces prédications. On pourrait aussi le faire habituellement les dimanches et jours de fête, sans musique d’orgue ni plain-chant, mais sur un ton qui soit religieux, agréable et simple. Et cela, parce que et pour autant que l’on jugerait que le peuple serait par-là porté à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements, et non pas pour une autre raison (8) ».
Donc il n’est pas question de former le Jésuite à l’Ars celebrandi, c’est-à-dire la capacité de célébrer dignement : le Jésuite dit son bréviaire seul et les Messes sont réduites à leurs plus simples dispositions liturgiques : « Pour les Messes plus importantes que l’on dira, quoique simplement lues, il pourra y avoir, en considération de la dévotion et de la convenance, deux servants vêtus de surplis, ou un seul, selon ce qui pourra se faire dans le Seigneur ».
Pas de Messes chantées, et encore moins de Messes solennelles.
Mais en plus, la liturgie communautaire pour les fidèles confiés à la charge des Jésuites n’a de sens que si elle amène « à fréquenter davantage les confessions, les sermons et les enseignements ».
Saint Ignace voulait des soldats pour les missions étrangères, l’éducation des jeunes, l’instruction des pauvres. Et il est manifeste que face à l’hérésie protestante, l’Église avait besoin de soldats. Mais c’est oublier que les moines « traditionnels » avaient été aussi des soldats car c’est eux qui évangélisèrent l’Europe ! Et des religieux comme les Capucins, fervents fers de lance de la lutte anti-protestante (il suffit de voir l’action de Saint Laurent de Brindes, Docteur de l’Église, ou le martyre de Saint Fidèle de Sigmaringen, massacré par des réformés) n’ont abandonné ni l’office choral, ni les solennités liturgiques (9)… et pourtant… c’étaient des franciscains (10).
De plus, comme l’indique le paragraphe des Constitutions sur la liturgie dans l’apostolat, on s’aperçoit que pour un Jésuite, la liturgie n’est qu’un moyen, un outil.
Et cela donnera lieu au XXème siècle à la grande « hérésie » liturgique qui veut faire de la Messe une simple catéchèse, et non plus, comme l’enseigne le concile Vatican II, « la source et le sommet de la vie chrétienne ». C’est ainsi qu’entre deux guerres, les nombreux Jésuites aumôniers scouts (n’oublions pas que le Père Sevin était Jésuite) posèrent les prodromes de la réforme liturgique, réforme à but uniquement pastoral et catéchétique.
On comprend donc pourquoi le défaut congénital des Jésuites depuis 500 ans est leur indifférence, voire leur dédain envers la liturgie, sauf quand ils peuvent l’utiliser dans un but de formation.
Certes, il y a eu de célèbres liturgistes Jésuites, comme le Père Jungmann. Mais quand on lit leurs ouvrages, on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas de théologie liturgique, mais qu’en bons universitaires et scientifiques, ils s’appliquent à étudier les rites et les prières comme un chirurgien étudierait le corps humain, et leurs ouvrages sont sans âme, ni spiritualité.
Alors, ne demandons pas à un Pape Jésuite, héritier d’une telle tradition, d’être un bon liturge… Il ne le sera pas, non par parti-pris, mais par formation, je dirai même par constitution.
Florent Husson.
Ndlr du CatholicaPedia :
Mr Florent Husson est un simple laïc officiant de manière “extraordinaire” dans le diocèse de Nancy et de Toul…
Ces prétendus abbés qui portent la soutane et font profession de célébrer la messe de Saint Pie V, ne sont en réalité, le sachant ou non, que de simples laïcs, entièrement démunis de tout véritable pouvoir sacramentel et sacrificiel.
Les prétendues messes qu’ils disent dans le rite de Saint Pie V sont absolument invalides et leurs fidèles n’y adorent que du pain, tout comme restent sacramentellement invalides les pseudo-absolutions qu’ils délivrent.
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Nous vous proposons maintenant de visionner une “ordination” totalement invalide d’un jésuite à Marseille par l’abbé aposta Georges Paul Pontier (voir son pedigree ici) :
Source : http://www.jesuites.com/2013/04/ordination-dun-jesuite-a-marseille/
Voir aussi :
A Marseille, les jésuites sont dans la ville (Article dans le journal La Provence)
[1] Saint François d’Assise, epistola ad cleros.
[2] Date de composition et auteur contestés, entre la fin du XIVème siècle et le début du XVème siècle.
[3] 1588
[4] 1608
[5] Les fidèles
[6] La liturgie est donc une affaire de dévotion privée, non « d’Église ».
[7] Le culte divin, premier devoir d’un prêtre, n’est donc pas la vocation d’un Jésuite…
[8] La liturgie n’a donc pas de valeur en soi.
[9] Dans les limites permises par le fait qu’un couvent ne reçoit en général pas plus de douze religieux, ce qui limite bien sûr le déploiement de la liturgie. Le Cérémonial capucin prévoit par exemple des Messes non chantées avec encensement.
[10] Les Capucins sont une branche de l’Ordre franciscain, fondée au XVIème siècle pour un retour aux origines radicales de la Règle de Saint François.
Abbé H. L. Roméro : “En tant qu’argentin, j’ai honte”…
Dans son sermon du 17 mars 2013, M. l’Abbé Héctor Lázaro Romero, à Rennes, déclare au sujet de l’élection de papeFrançois : « En tant qu’argentin, j’ai honte » !
La semaine dernière, nous avons assisté à des évènements très graves que les moyens de communication ont rapportés. Aux yeux du monde, le collège cardinalice a élu celui qui se fait appeler François. En tant qu’argentin, j’ai honte. Ce François, considéré comme un cardinal primat de l’Argentine et archevêque de Buenos Aires, était vraiment l’ami des ennemis de Notre-Seigneur. On l’a vu, lors des fêtes juives, à la synagogue de Buenos Aires, à côté du rabbin, kippa sur la tête, en train d’allumer le chandelier. Lors d’un “congrès charismatique” à Buenos Aires, en présence du prédicateur des exercices spirituels du Vatican, Bergoglio s’était mis à genoux devant des pasteurs protestants pour recevoir leur soit disant bénédiction. On l’a vu aussi, le soir de son élection, avant de donner la bénédiction à la foule, s’incliner vers elle pour qu’elle prie Dieu de le bénir lui-même ; c’est un geste inouï ! Dans ses premières paroles à la foule, il s’était présenté avec insistance comme “l’évêque de Rome” et il n’a pas prononcé, même pas une fois, le mot “Pape”, dans un autre geste inouï qui va dans le sens, toujours, de la destruction de l’autorité et de la collégialité épiscopale de Vatican II.
Il a pris le nom de François. Il y a une fable, comme les fables dites de La Fontaine, qui nous parle du roi Midas. Tout ce que touchait le roi devenait de l’or. Et bien les modernistes, tout ce qu’ils touchent, ils le salissent, ils le détruisent, et, permettez-moi l’expression, ils le pourrissent. Il a profané le nom d’un très grand saint : saint François d’Assise qui n’a rien à voir avec cette “fraternité universelle” dont il a parlé le soir de son élection, ni avec l’œcuménisme conciliaire, puisque saint François n’a pas hésité à aller dans les terres islamiques pour essayer de convertir le sultan, le roi musulman, en disant devant lui, sans peur et sans respect humain, pendant que les imams, entourant le sultan, serraient les dents de rage, que Jésus est le seul vrai Dieu et que pour sauver son âme, le sultan devait abandonner la fausse religion de l’islam.
Ni l’Église, ni saint François n’ont rien à voir non plus avec cette pauvreté qui va plus ou moins dans le sens de la Gauche. L’Église enseigne l’esprit de pauvreté et la pauvreté volontaire et condamne toute sorte de socialisme, de communisme, qui suppriment ou qui mettent en danger la propriété privée et qui montent les classes les unes contre les autres.
Pour tout cela, Jorge Bergoglio, François, n’est pas Pape, tout comme ses prédécesseurs de Vatican II, et ne peut pas être Pape, en vertu de l’assistance divine du Saint-Esprit qui est accordée à l’autorité légitime de l’Église. Et le Saint-Esprit, manifestement, n’est pas là, en ayant abandonné le Vatican, mes chers amis, depuis quelques décennies. Et on pourrait ajouter à tout cela, la question de son ordination sacerdotale avec le rit réformé qui est plus que douteux ((Nous nous disons INVALIDE !!!)). Ce n’est pas possible d’être en communion avec ces modernistes, avec François, avec la synagogue et les autres religions. Pensez à cela sérieusement. On ne peut pas être en communion avec ces gens-là, à la liturgie, à la messe, puisque la messe c’est tellement important pour nous, catholiques, puisque c’est le centre de notre vie. Du fait d’accorder de l’importance à cette question dépend la conservation de la Foi, pour nous, pour nos enfants, pour les générations futures.
Extrait du sermon de Monsieur l’Abbé Héctor Lázaro Romero, Rennes, le 17 mars 2013. Publié par notre confrère Clément LECUYER : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-sermon-de-mr-l-abbe-romero-concernant-la-nomination-de-bergoglio-en-tant-qu-argentin-j-ai-honte-116449159.html
UN GRAND SCHISME DANS L’ÉGLISE ET UNE FUTURE TRIBULATION
François 1er de Vatican d’Eux prophétisé par FRANÇOIS D’ASSISE ??? (1182-1226) – Canonisé dès 1228 par l’Église catholique romaine.
Un Grand Schisme Dans L’Église Et Une Future Tribulation
Prophétie De Saint François D’Assise
« Ayant convoqué ses frères peu de temps avant de mourir (1226) il les a avertis des tribulations futures, disant :
« Mes frères agissez avec force, ayez de la fermeté et soyez dans l’attente du Seigneur. Une grande époque de tribulations et d’affliction dans laquelle de grands périls et des embarras (1) temporels et spirituels pleuvront, la charité d’un grand nombre se refroidira et l’iniquité des méchants surabondera. Le pouvoir des démons sera plus grand que d’ordinaire, la pureté immaculée de notre congrégation religieuse et des autres sera flétrie, au point que très peu parmi les chrétiens voudront obéir au vrai Souverain Pontife (2) et à l’Église Romaine avec un cœur sincère et une charité parfaite.
Au moment décisif de cette crise, un personnage non canoniquement élu, élevé à la Papauté, s’efforcera avec adresse de communiquer à beaucoup le poison mortel de son erreur. Alors les scandales se multiplieront, notre congrégation religieuse sera divisée, plusieurs parmi les autres seront complètement détruites, parce que leurs membres ne s’opposeront pas mais consentiront à l’erreur. Il y aura tant et de telles opinions et divisions dans le peuple, et chez les religieux et chez les clercs que si ces jours mauvais n’étaient abrégés, comme l’annonce l’Évangile, même les élus tomberaient dans l’erreur (si cela se pouvait), si dans un tel ouragan ils n’étaient pas protégés par l’immense miséricorde de DIEU. Alors notre Règle et notre manière de vivre seront attaquées très violemment par certains.
D’effroyables tentations surviendront. Ceux qui auront été très éprouvés en bien recevront la couronne de vie. Malheur éternel à ceux qui s’attiédiront en mettant leur seule espérance dans leur vie de religion, qui ne résisteront pas fermement aux tentations permises pour l’épreuve des élus.
Ceux qui dans la ferveur de l’esprit s’attacheront à la piété avec charité et le zèle de la vérité, recevront des persécutions et des injures comme désobéissants et schismatiques. Car leurs persécuteurs, aiguillonnés par les esprits mauvais diront que c’est faire un grand hommage à DIEU de tuer et de faire disparaître de la terre des hommes si mauvais.
Alors le Seigneur sera le refuge des affligés et il les sauvera parce qu’ils auront espéré en lui. Et alors pour se conformer à leur Chef, ils agiront selon la Foi et ils choisiront d’obéir à DIEU plutôt qu’aux hommes, gagnant par la mort la vie éternelle. Ne voulant pas consentir à l’erreur et à la perfidie, ils ne craindront absolument pas la mort.
Alors la vérité sera tenue dans le silence par certains prédicateurs alors que d’autres la foulant aux pieds la nieront. La sainteté de vie sera tenue en dérision par ceux qui la professent extérieurement, c’est pourquoi Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST leur enverra non pas un digne pasteur, mais un exterminateur (3) ».
in INTERPRÉTATION DE L’APOCALYPSE. Par le Vénérable Barthélemi HOLZHAUSER. Extraits concernant les cinquièmes et sixièmes âges. Suivis de quelques autres prophéties concernant les temps que nous vivons. Page 32 : Cahier Saint-Charlemagne http://catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C039_LHR_Holzhauser_48p.pdf
Magnum in Ecclesia schisma et tribulationem futuram.
Paulo ante mortem convocatis fratribus, de tribulationibus futuris eos admonuit, dicens : « Viriliter agite, fratres, confortemini, et sustinete Dominum. Magna tribulationis et afflictionis adesse festinant tempora, in quibus temporaliter et spiritualiter perplexitates et discrimina inundabunt, caritas multorum refrigescet, et superabundabit malorum iniquitas. Dæmonum potestas plus solito solvetur, nostræ Religionis et aliarum puritas immaculata deformabitur, in tantum quod vero Summo Pontifici et Ecclesiæ Romanæ paucissimi ex Christianis vero corde et caritate perfecta obedient : Aliquis non cononice electus, in articulo tribulationis illius ad Papatum assumptus, multis mortem sui erroris sagacitate propinare molietur. Tunc multipli-cabuntur scandala, nostra dividetur Religio, plures ex aliis omnino frangetur, eo quod non contradicent, sed consentient errori. Erunt opiniones et schismata tot et tanta in populo, et in religiosis, et in clerico, quod nisi abbreviarentur dies illi juxta verbum Evangelicum ( si fieri posset ) in errorem inducerentur etiam electi, nisi in tanto turbine ex immensa misericordia Dei regerentur. Regula et vita nostra tunc a quibusdam acerrime impugnabitur. Supervenient tentationes immensæ. Qui tunc fuerint probati, accipient coronam vitæ. Væ autem illis, qui de sola spe religionis confisi tepescent, non resistent constanter tentationibus, ad probationem electorum permissis. Qui vero spiritu ferventes ex caritate et zelo veritatis adhæredunt pietati, tanquam inobedientes et schismatici persecutiones et injurias sustinebunt. Nam persequentes eos a malignis spiritibus agitati, magnum esse obsequium Dei dicent, tam pestilentes homines interficere et delere de terra. Erit autem tunc refugium afflictis Dominus, et salvabit eos, quia speraverunt in eo. Et ut suo capiti conformentur, fiducialiter agent, et per mortem, vitam mercantes æternam, obedire Deo magis quam hominibus eligent ; et mortem, nolentes consentire falsitati et perfidiæ, nullatenus formidabunt. Veritas tunc a quibusdam prædicatoribus operietur silentio, ab aliis conculcata negabitur. Vitæ sanctitas a suis professoribus habebitur in derisum, quare dignum non pastorem, sed exterminatorem mittet illis Dominus Jesus Christus. »
[1] Embarras : état de perplexité où l’on se trouve lorsqu’on ne sait quel parti prendre, ni par quelle voie se tirer d’une position difficile. Gêne, malaise où l’on se trouve, quand on ne sait que dire ni que faire.
[2] Donc : beaucoup parmi les chrétiens voudront obéir à un faux souverain pontife
[3] Exterminer : anéantir.