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L’immense souffrance…. de Max Barret

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Une immense souffrance….

 

Dans la suite logique du dernier article du CatholicaPedia Blog « Les rebelles se rebiffent » on prendra connaissance avec une profonde tristesse et « souffrance » du dernier numéro de Tychique, intitulé fort à propos « une immense souffrance ».

Dans un renversement sophistique hallucinant, Tychique nous présente ce qui est précisément comme humainement possible, une « réalisation » qui semblait impossible à tout tradi bien né il y a encore quelques années ! Aurait-il oublié qu’il n’y a de solide et de pérenne qu’en Dieu et dans Sa parole et que tout ce qui est humain s’évapore comme la rosée du matin au contact des rayons corrupteurs du péché originel actualisés par des millions et des millions de péchés personnels et /ou collectifs ?

Seule l’Église a reçu les promesses de Notre-Seigneur que les portes de l’Enfer ne prévaudront pas, et non pas la Fraternité….St Pierre ou St Pie X !!!

Ce numéro de Tychique est pathétique et doit créer au plus profond de notre âme une souffrance spirituelle réelle et nous inciter à prier pour ces catholiques égarés et à la vue très basse…

Pierre Legrand.

 

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Abbé Ricossa : Marche arrière toute !

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Avant le conclave 2013, V 2.6, M. l’Abbé Ricossa a donné une interview sur les sites italiens Wakeupnews et Il secolo d’Italia.

Elle a été publiée par Clément LECUYER, sur Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE !

Lundi 11 mars 2013
Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes. Interview de Mr l’abbé Ricossa

Nous publions ci-dessous une interview de Mr l’abbé Ricossa parue sur des blogs italiens d’informations. Elle a été réalisée par le site wakeupnews et une partie par le site Il secolo d’Italia.

Nous remercions ici notre traducteur !

Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes

* * *

Marche arrière toute !

ou les « entrailles » de l’Église, vues par M. l’Abbé Ricossa (Institut italien Mater Boni Consilii)

 

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Dans son dernier entretien avec “Wakeupnews”, Monsieur l’Abbé Ricossa, chef de file des néo-guérardien, adeptes de la fameuse « thèse du pape materialiter »et directeur de la revue théologique Sodalitium, nous parle du prochain conclave et ce qu’il conviendrait d’en attendre.

 

L’Abbé commence par nous dire que les modernistes veulent détruire l’Église de l’intérieur.

Assurément, c’est en effet leur intention démoniaque. Mais nous nous savons que c’est impossible car l’Église a les promesses de la vie éternelle. On eût aimé que l’Abbé le rappelât très brièvement, car c’est un dogme de foi.

Ensuite l’Abbé nous parle des « obstacles » du prochain conclave des cardinaux. Il y voit principalement les erreurs contre la foi et la morale catholique, mais fait totalement l’impasse sur la qualité même de ces prétendus cardinaux dont la plupart tiennent leur ordination de rites parfaitement invalides car non catholiques. Verrua et ses partisans ne parlent jamais de ce problème qui est le véritable marqueur de cette fausse « église » de Vatican II !

En outre M. l’Abbé ne voit aucun programme qui puisse être capable d’extirper ces erreurs qui ont cours depuis près de 50 ans ! Nous lui ferons respectueusement remarquer qu’il serait vain et étrange pour le moins de vouloir chercher et trouver le remède au sein même de la secte apostate !!! Ou alors ce serait reconnaître implicitement qu’il « subsiste » dans cette hiérarchie apostate des germes véritables de restauration de l’Église. Ce qui est aberrant et de plus impossible en raison de la nature même du péché commis par tous ces clercs et leurs aînés depuis un demi-siècle. M. l’Abbé ne semble pas en être parfaitement convaincu… et nous allons voir un peu plus loin pourquoi.

« La faillite de Vatican II, de ce point de vue, est visible aux yeux de tous : il faut avoir le courage de l’admettre. Si on s’engage dans une voie sans issue, il ne reste plus qu’à faire marche arrière» nous déclare l’Abbé sans rire !

Fort d’enfoncer pour commencer une grande porte ouverte avec la visibilité de la faillite de Vatican II – à moins qu’il ne s’adresse principalement à « ceux d’en face » et « à ceux d’à côté » – l’Abbé nous dit qu’il faut faire marche arrière !!! Mais de qui et de quoi nous parle-t-il ? À en croire le début de sa phrase, il ne s’agit rien moins que de ceux d’en face… c’est-à-dire les conciliaires toutes tendances et sensibilités confondues. « Il ne reste plus » a toute l’apparence soit d’une formule magique soit d’une expression convenue et de pure convenance… Tout cela n’est pas sérieux de la part d’un prêtre se disant sédévacantiste (mitigé il est vrai…) et qui nous dit plus haut qu’il ne voit aucun programme susceptible de remédier à tous ces maux…

D’aucuns verront dans la suite une infirmation de mon analyse et ne manqueront pas de juger mes propos scandaleusement outranciers, irrespectueux et calomniateurs des intentions véritables de ce prêtre. J’ai l’habitude…

Mais poursuivons notre lecture sans lunettes roses, bleues ou violettes !

« Humainement parlant, je ne vois personne ! Mais ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. (…) » poursuit l’Abbé sans se rendre compte qu’il se contredit – apparemment – avec sa « marche arrière » citée plus haut. En fait l’Abbé ne voit plus qu’une seule solution : c’est à Dieu en Personne de faire marche arrière car humainement il n’y a plus personne !!! Voilà qui est admirable ! Et jusqu’où ne va pas le volontarisme clérical lorsqu’il est en partie déconnecté de la réalité des choses !… La solution ? Mais c’est Dieu ! Oui, mais attention, nous les Abbés, nous dicterons à Dieu notre solution qu’il ne peut que trouver bonne puisque nous sommes des hommes de foi et de morale !!! Et voici les trois divines personnes embringuées, si j’ose dire, dans une aventure qu’elles ne contrôleront pas elles-mêmes puisque Verrua a déjà toute la solution ! Et St Paul est la caution évangélique de cette intervention de Dieu.

Mais tout fidèle tant soi peu sensé doit se poser la question : la solution de Dieu pour Son Église peut-elle être un seul instant équiparée à celle des hommes, mêmes les plus saints, les plus savants ou les plus pieux ?

Alors certains me diront qu’ils ne voient aucune contradiction entre une marche arrière et une solution proposée par Dieu. Oui, sauf que la solution, même si nous en avons – hélas – une assez claire idée de par les prophéties privées ou apparitions mariales, nous n’avons aucune certitude, pour ne pas dire aucune connaissance de la solution que FINALEMENT Dieu choisira pour restaurer Son Église.

Plus loin l’Abbé emporté dans son élan a quelques expressions malheureuses que nous lui pardonnerons bien volontiers dans le contexte d’un entretien oral : « portant l’Église à la ruine » … « un vrai pape »… « ait le courage de revenir à la tradition »… « un tel pontife… serait un miracle de Dieu »… « événement salvateur »….

Le langage humain a ceci de particulier qu’il traduit plus ou moins admirablement des concepts qui ne sont concevables que dans un cerveau humain, mais qu’il reflète aussi le climat psycho-affectif qui baigne habituellement les schémas de pensée d’un individu.

Véritable « détecteur de mensonge » lexical, le langage nous trahit tous plus ou moins dans nos aspirations les plus profondes, les plus cachées et nos affects les plus avouables et/ou inavouables Depuis Babel, nos mots sont les reflets obligés de notre chute ! À une époque où le verbe s’exprime sans complexe, sans vertu et sans pudeur, à une époque où les médias ont investi ce vecteur de la pensée idéologique, il convient de prendre garde à ce que nous disons et écrivons, sachant néanmoins que tout être pensant est faillible en ce domaine comme en d’autres.

L’Abbé a tout de même un éclair de lucidité lorsqu’il nous dit qu’il craint que nous ne « touchions le fond » AVANT ce fameux évènement salvateur évoqué plus haut.

Mais on sent bien que dans sa pensée ce fond doit être le déclencheur et le géniteur obligé de cet « évènement salvateur ». Encore une fois, Dieu est mis à contribution : on veut bien quelques châtiments éventuels mais ensuite on appliquera « notre » solution ! Nous sommes décidément, depuis le péché originel, assez incorrigibles ! Nous retombons sans cesse dans les mêmes illusions ! Vous noterez en outre que l’Abbé « craint » mais n’est pas sûr à cent pour cent de la réalité des châtiments qui vont s’abattre sur le monde ! Il y a comme une timide réticence ou restriction de pensée que l’on comprend mieux quand on sait quels sont les aspirations secrètes de ce clerc.

À la fin l’Abbé nous montre vraiment le bout de son nez pour qui a appris à lire autrement que sur la page sms d’un portable dernière génération !

Après un excellent rappel, qu’on aurait aimé voir un peu plus haut et surtout au bon endroit, l’Abbé nous affirme que les modernistes sont dans les « entrailles de l’Église » et se permet, un peu imprudemment, de paraphraser St Pie X qui en effet déclara :

« Ennemis de l’Église, certes les modernistes le sont, et à dire qu’elle n’en a pas de pires on ne s’écarte pas du vrai. Ce n’est pas du dehors, en effet, on l’a déjà noté, c’est du dedans qu’ils trament sa ruine ; le danger est aujourd’hui presque aux entrailles mêmes et aux veines de l’Église ; leurs coups sont d’autant plus sûrs qu’ils savent mieux où la frapper. » (Pascendi-1907)

Certains « mots-clés » vont nous dévoiler la véritable pensée – quasi subliminale – de l’Abbé.

Après avoir rappelé que l’Église NE PEUT PAS être divisée, notre clerc nous dit que les modernistes sont « dans les entrailles de l’Église » ! C’est subtil mais parlant ! L’Abbé Ricossa croit que les modernistes sont dans les entailles de l’Église alors que St Pie X nous dit clairement que c’est du dedans que les modernistes trament la ruine de l’Église, ce qui n’est pas la même chose ! Lorsqu’on lit sérieusement le Pape, on ne peut qu’en déduire que les modernistes, « ennemis de l’Église », donc IPSO FACTO EN DEHORS de ladite Église, constituent un danger pour l’Église et que ce danger est PRESQUE arrivé AUX ENTRAILLES de l’Église et aussi aux veines…

En nous disant  que les modernistes SONT DANS LES ENTRAILLES DE L’ÉGLISE, l’Abbé commet un abus de langage et s’écarte dangereusement de ce que St Pie X a voulu nous faire comprendre. Sa syntaxe imprudente est révélatrice du fond réel de sa pensée. L’Abbé ne croit pas vraiment que les modernistes sont en dehors de l’Église mais qu’ils sont comme une espèce de « tumeur » qui a envahi jusqu’aux entrailles et veines de l’Église ! C’est pourquoi l’Abbé croit en un événement salvateur qui consisterait SOIT à chasser ces modernistes qui occupent les entrailles de l’Église SOIT à les convertir afin qu’ils restent dans cette Église qu’auparavant ils persécutaient !!! C’est subtil, mais je pense que vous aurez saisi que les intentions induites par sa thèse obligent notre clerc à raisonner de cette façon. Ce qui est réjouissant c’est que cet esprit brillant et cultivé est capable lui aussi de se dévoiler sans le vouloir vraiment ! Nous ne sommes pas dupes de « leur » solution et sachons ce qu’elle vaut vraiment.

On comprend mieux maintenant pourquoi la caution paulinienne est indispensable à l’Abbé Ricossa !!!

St Pie X, divinement inspiré, sait de foi certaine que les modernistes ne peuvent être en aucune manière au sein de l’Église, puisque par définition ils sont en dehors, mais que c’est le DANGER qu’ils représentent qui est arrivé jusqu’aux entrailles mêmes de l’Église. Or que sont les entrailles de l’Église ? C’est tout le « système digestif », celui qui nourrit et apporte les nutriments essentiels de la foi et évacue les scories qui viendraient corrompre son système. En un mot, c’est le Magistère de l’Église et à sa tête le Pape !

Ainsi voyons-nous que le mot choisi par St Pie X est admirable de justesse car il permet de raisonner en termes quasiment physiologiques, à l’instar d’une Église incarnée.

Si vous avalez une boulette de poison qui met votre vie en péril, direz-vous ou votre médecin dira-t-il que cette boulette fait partie prenante de votre corps même si elle en est « l’ennemi terrible » ? Assurément non ! Il vous prescrira un remède capable d’expulser à vie ce corps étranger et non pas « tumeur » comme nous le dit l’Abbé, « éminence circonscrite » nous dit le Littré…

Il est donc pour le moins téméraire, voire imprudent, pour ne pas dire prétentieux, de vouloir PARAPHRASER un saint dans l’expression divinement inspirée de sa pensée !

Nous attendons de l’Abbé Ricossa qu’il nous dise clairement si, selon son entendement, les modernistes, font ou non partie de l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique… et, s’ils en font tout de même partie, bien que non catholiques, leur appartenance à la Sainte Église n’est que matérialiter !!!!!!!!…

L’Abbé conviendra au moins avec moi que dire que la « tumeur se cache » ne correspond nullement à la réalité de la vie ecclésiale telle qu’elle est perçue par les catholiques qui ont conservé le sensus fidei minimum.

Pour la suite… « Grand arbre » ou « Petit troupeau » ? Nous laissons le soin à M. l’Abbé Ricossa de dicter sa solution à Dieu le Père qui ne manquera pas de l’écouter avec une sollicitude toute formaliter !!!

 

P.Legrand

 * * * * *

 

Publié par Clément LECUYER, sur Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE !


Lundi 11 mars 2013

Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes. Interview de Mr l’abbé Ricossa

Nous publions ci-dessous une interview de Mr l’abbé Ricossa parue sur des blogs italiens d’informations. Elle a été réalisée par le site wakeupnews et une partie par le site Il secolo d’Italia.

Nous remercions ici notre traducteur !

Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes

File photo of an aerial view of St. Peter's square in Rome

– Les jours du conclave 2013 approchent ; jeudi soir (28/02) le siège sera vacant et les préparatifs s’accéléreront alors. Ce ne sont pas seulement les cardinaux qui s’activent ces jours-ci, mais c’est bien l’ensemble de la chrétienté qui participe à un instant particulier durant lequel chacun est amené à analyser l’actuelle situation [de l’Église] et à en faire une projection dans l’avenir.

Un de ces milieux ecclésiastiques est l’Institut Mater Boni Consilii, principal représentant du sédévacantisme italien. Les sédévacantistes – comme ils l’expliquent sur leur site, décelant des erreurs incontestables [dans les définitions de leur doctrine] aussi bien dans les propositions que dans les réalisations des documents du Concile Vatican II – soutiennent que Paul VI et tous les papes qui lui succédèrent ne possèd(ai)ent pas la véritable autorité pontificale. Ils considèrent donc comme étant vacant le siège apostolique et attendent que cessent d’être enseignées des erreurs et des hérésies, par une rétractation de celles-ci et par un retour aux précédents enseignements du catholicisme. Pour eux, le conclave 2013 est une bonne opportunité de faire entendre leur voix concernant l’avenir de l’Église.

Wakeup News a interviewé Don Francesco Ricossa, supérieur de “Mater Boni Consilii” et directeur de Sodalitium, revue théologique de cet institut.

> Sur votre site est rapportée une position très dure envers la renonciation de Benoît XVI, dans la continuité de votre position de critique des pontificats et de l’Église post-Concile [Vatican II]. Pourquoi croyez-vous inopportun cette approche des systèmes séculaires ?

Je dois dire avant tout que nous ne critiquons pas l’Église Catholique, mais les modernistes qui veulent La détruire de l’intérieur. Ceci étant dit, une des clés de lecture de Vatican II est justement cette ouverture au monde et cette attaque de la primauté du Pape (avec la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale) promue par les évêques et théologiens du Nord de l’Europe. Le théologien Ratzinger, partisan convaincu de la collégialité, se considère comme un évêque qui, tout comme les autres évêques d’après le Concile, doit démissionner. Déjà, beaucoup de cardinaux ont souhaité que ses successeurs l’imitent et que ce choix personnel devienne une nouvelle procédure moralement obligatoire, en vue d’un ultérieur “revirement” de la Papauté.

L’occasion du Conclave 2013 peut être un moment pour repenser aux motifs qui vous ont poussé à faire votre choix et, si possible, de dévier les obstacles. Quels sont ces obstacles et, d’une autre part, les signes positifs du Collège des cardinaux ?

Les obstacles, ce sont les erreurs contre la Foi et la morale catholique enseignées abondamment, impunément et à tous les niveaux, depuis 50 ans. Je ne vois aucun programme qui aurait pour but d’extirper les erreurs, bien au contraire : beaucoup voudraient en ajouter de nouvelles…

> Pour le nouveau pape nombreux sont les défis qui l’attendent ; quels sont les priorités que vous identifiez pour l’Église du proche futur et comment les affronteriez-vous ?

Un vrai et authentique successeur de Pierre et Vicaire du Christ a le devoir de conserver intact le dépôt de la vérité divinement révélée, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes : « Allez, enseignez, baptisez […] celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné ». La faillite de Vatican II, de ce point de vue, est visible aux yeux de tous : il faut avoir le courage de l’admettre. Si on s’engage dans une voie sans issue, il ne reste plus qu’à faire marche arrière.

> Entre les cardinaux de l’Église catholique, voyez-vous à ce moment une quelconque figure ouverte au dialogue et qui, si elle était élue au pontificat, pourrait conduire correctement l’Église et vous donner un moyen de reconnaître pleinement l’autorité ?

Humainement parlant, je ne vois personne ! Mais ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. La grâce de Jésus-Christ a transformé en un instant le pharisien Saul, persécuteur des chrétiens, au grand Saint Paul, apôtre des Gentils. Il ne reste qu’à prier et à faire pénitence.

> Ratzinger, souvent considéré comme « orthodoxe » par rapport au mondialiste Wojtyla, était-il, au contraire, un fervent partisan du Concile Vatican II, qui est encore une autre “démocratisation” de l’Église ?

Tous les successeurs de Paul VI ont conçu leur mission dans un seul but : appliquer les innovations du Concile Vatican II. Et ils l’ont fait d’une manière évidente, portant l’Église à la ruine. Benoît XVI, en particulier, était très sensible à la question de la “collégialité épiscopale” : l’Église ne doit pas être une monarchie (avec la primauté du pape), comme l’a voulu Jésus-Christ, mais un organe collégial permanent. Lors du Concile, le jeune théologien Ratzinger s’opposa même à la “nota praevia”, qui modérait la collégialité enseignée par Lumen gentium et que Paul VI avait voulu pour obtenir les votes même des Pères conciliaires, lesquels, fidèles à la Tradition et à la Papauté, s’opposaient à la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale

> Quel genre de pape serait en mesure d’enrayer le grave déclin ecclésiastique dans l’Église ?

Un vrai Pape, digne vicaire du Christ et digne successeur de Saint Pierre. Et par conséquent un pontife qui, se rendant compte que la voie ouverte par Vatican II mène à la ruine, ait le courage de revenir à la tradition. Un tel un Pontife serait un miracle de Dieu et trouverait devant lui un ennemi terrible. Je crains que, avant cet évènement salvateur, nous ne touchions le fond.

> Le schisme dans l’Église entre catholiques traditionalistes et modernistes, est profond et semble irrémédiable. “Toute maison divisée contre elle-même périra” ?

L’Église n’est pas divisée, Elle est une et Elle ne peut périr parce que “les portes de l’enfer ne prévaudront pas.” Les modernistes ne sont pas catholiques. Ils sont “dans les entrailles de l’Église”, en paraphrasant le Pape saint Pie X, comme une tumeur qui se cache dans le corps malade. Le modernisme n’édifie pas, il démolit et s’autodétruit. L’Église va survivre, mais il nous faut éradiquer le modernisme agnostique. Ensuite l’Église réapparaîtra comme un grand arbre ou au contraire, comme un petit troupeau: mais cela n’a pas d’importance, car Elle sera en tous cas le troupeau du Christ.

Source : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-vers-le-conclave-2013-la-voix-des-sedevacantistes-interview-de-mr-l-abbe-ricossa-116094297.html

Les portes de l’enfer et Austremoine

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Notre confrère Clément LECUYERSédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE – publie un article intéressant sur le Triste Sire Austremoine intitulé « Les portes de l’enfer et Austremoine » :

Vendredi 21 décembre 2012

Les portes de l’enfer et Austremoine

Le sédévacantisme veut dire que le siège est vacant, qu’il n’y a pas de pape, que Benoit XVI n’est pas pape. Une telle position revient à considérer que les portes de l’enfer ont prévalu contre l’Église, ce qui est le refus d’un dogme de Foi.

Austremoine, forum FECIT

 

L’internaute « Austremoine » nous ressort donc ici ce vieil argument périmé de longue date car réfuté depuis longtemps. Rappelons encore une fois que la position sédévacantiste n’aboutit pas à considérer que l’Église n’existe plus ! Ceci est complètement faux ; mais Austremoine n’est pas à sa première contre-vérité, loin de là.

Jésus-Christ donne au Pape l’immortalité. Le Pape meurt … mais, remarquez-le bien, sa primauté n’est pas un privilège personnel. Elle survit à l’homme qui disparaît […] Le Pape est mort. Vive le pape !

Mgr Gibier,  l’Église et son œuvre, tome 4, 1905.

 

L’absence de pape ne signifie pas que l’Église cesse d’exister donc que les portes de l’enfer ont prévalu contre elle  ; le Siège Apostolique est une institution immortelle de nature perpétuelle.  Ceci n’est pas une opinion, c’est la doctrine catholique et le bon sens.

En effet, si l’Église venait à cesser d’exister lors d’une vacance du Siège Apostolique, cela signifierait logiquement qu’elle aurait disparu et ressuscité plus de 250 fois depuis sa fondation (puisqu’il y a eu la vacance du Siège apostolique a eu lieu plus de 250 fois dans l’histoire de l’Église à la mort des Souverains pontifes) ! Qui voudrait soutenir pareille absurdité ? Le Siège pontifical et l’Église catholique peuvent subsister temporairement sans Pape, et ce, peu importe la durée de vacance. Église visible est tantôt dotée, tantôt privée d’un Pape. Cela n’est nullement en contradiction avec la doctrine catholique.

C’est ce qu’affirme le Code de Droit Canonique de 1917, promulgué par le pape Benoît XV :

L’Église catholique et le Siège apostolique sont des personnes morales » (canon 100).

Une personne morale de droit ecclésiastique est de nature perpétuelle » (canon 102).

 

Donc étant de nature perpétuelle, l’Église catholique ne peut pas disparaître, fût-elle privée temporairement de Pape.

Dom Guéranger

… Qu’un Décius produise par ses violences une vacance de quatre ans sur le siège de Rome, qu’il s’élève des anti-papes soutenus les uns par la faveur populaire, les autres par la politique des princes, qu’un long schisme rende douteuse la légitimité de plusieurs Pontifes, l’Esprit-Saint laissera s’écouler l’épreuve, il fortifiera, pendant qu’elle dure, la foi de ses fidèles ; enfin, au moment marqué, il produira son élu, et toute l’Église le recevra avec acclamation. (Année liturgique, éd. 1867, mercredi de la Pentecôte) 

Cardinal Billot :

Dieu peut permettre que le Siège  apostolique demeure vacant assez longtemps. (De Ecclesio)

 

Et le Pape Paul IV précise que cette vacance peut durer fort longtemps. Si un usurpateur était élu illégitimement, le Siège serait vacant,  « et ce quelle que soit la durée de cette situation » (Cum ex apostolatus, § 6).

 

 

 

De plus, la vacance actuelle a été prédite et annoncée par Notre Seigneur lui-même, par plusieurs Souverains Pontifes tels que Léon XIII,  ainsi que par d’imminents prélats comme le cardinal Pie et Mgr de Ségur.

Le Pape Léon XIII :

L’Église, épouse de l’Agneau Immaculé, la voici saturée d’amertume et abreuvée de poison, par des ennemis très rusés ; ils ont porté leurs mains impies sur tout ce qu’elle désire de plus sacré. Là où fut institué le siège du bienheureux Pierre, et la chaire de la Vérité, là ils ont posé le trône de leur abomination dans l’impiété ; en sorte que le pasteur étant frappé, le troupeau puisse être dispersé. (Exorcisme de Léon XIII contre Satan et les anges apostats, 1884)

 

« D’après l’enseignement des apôtres, dit la voix des siècles, un jour viendra où Satan, plein de rage contre Jésus-Christ et les chrétiens, regagnera le terrain qu’il a perdu, affermira son règne et l’étendra au loin. Alors il se jettera sur Rome, parce qu’elle est sa rivale et le séjour des Pontifes. Il s’en rendra maître, chassera le Vicaire de Jésus-Christ, persécutera les vrais fidèles et égorgera les religieux et les prêtres ». Cornelius a Lapide, Suarez, saint Robert Bellarmin. Cité par Mgr Gaume, La Situation, p. 28, 1860.

 

 « Le Christ a permis ceci : que l’Antéchrist, tête de tous les schismatiques, siègerait dans le temple de Dieu, que les siens (les vrais chrétiens) seraient exilés, et que ceux qui ne sont pas les siens occuperaient un jour le siège de Pierre. » (Pierre le vénérable, De miraculis libri duo, livre II, ch.16; Bol. T.14, page 473).

 

Austremoine devrait savoir que prévaloir signifie remporter la victoire finale. Jésus-Christ n’a jamais dit que l’enfer ne gagnerait pas de victoire sinon Il aurait proclamé que « les portes de l’Enfer ne vaudront pas sur l’Église ». Bien au contraire n’a-t-Il pas déclaré ceci : « Lorsque le Fils de l’Homme viendra sur terre, trouvera-t-Il encore la foi » (Luc XVIII, 8) ?

Qu’Austremoine arrête donc de réitérer ses erreurs mensongères. Non seulement il propage l’erreur en affirmant que la position Sede Vacante considère que les portes de l’enfer ont prévalu contre l’Église, mais il devrait admettre plutôt que les faux « traditionalistes », dont il fait partie, soutiennent, eux, que les portes de l’enfer ont prévalu contre l’Église. En effet, n’affirment-ils pas que l’Église catholique propage l’erreur depuis Vatican II ? Citons Léon XIII« Et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre elle ».   Voici la portée de cette divine parole : l’Église, appuyée sur Pierre, quelle que soit la violence, quelle,que soit l’habileté que déploient ses ennemis visibles et invisibles, ne pourra jamais succomber ni défaillir en quoi que  ce soit. » (Encyclique Satis Cognitus)

Par ses propos, Austremoine symbolise bel et bien cette dérive de cette fausse « Tradition » méprisant la doctrine traditionnelle de l’Église.

* * * * *

Ndlr du CatholicaPedia Blog : Nous l’avons déjà dit « Austremoine est un âne… »

Et nous le mettons au défi de commenter (intelligemment s’il le peut !) le dernier texte de Mgr Marcel Lefebvre, écrit, 21 JOURS AVANT SA MORT, le 04 mars 1991 ! que nous avons publié le 15 décembre 2012…

Il ne s’agit pas là de n’importe quoi ! mais d’un document capital… manuscrit même de Monseigneur !

Lettre manuscrite de Mgr Lefebvre pour la Présentation du premier numéro de la

Documentation sur la Révolution dans l’Église

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LE DERNIER TEXTE DE MONSEIGNEUR LEFEBVRE

 

Présentation du premier numéro de la

Documentation sur la Révolution dans l’Église

 

Monsieur l’Abbé Giulio Tam, membre de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, d’origine italienne, recevant quotidiennement l’Osservatore Romano, journal officiel de la Curie Romaine, a cru bon, pour l’information de ses confrères, de collectionner les passages les plus significatifs des discours du Pape et des autorités romaines sur les sujets les plus actuels.

Ce regroupement jette une lumière tellement fulgurante sur la Révolution doctrinale inaugurée officiellement dans l’Église par le Concile et continuée jusqu’à nos jours, qu’on ne peut s’empêcher de penser au Siège d’iniquité prédit par Léon XIII, ou à la perte de la foi de Rome prédite par Notre Dame à la Salette.

La diffusion et l’adhésion des autorités romaines aux erreurs maçonniques condamnées maintes fois par leurs prédécesseurs est un grand mystère d’iniquité qui ruine dans ses fondements la foi catholique.

Cette dure et pénible réalité nous oblige en conscience à organiser par nous-mêmes la défense et la protection de notre foi catholique. Le fait d’être assis sur les sièges de l’autorité n’est plus, hélas ! une garantie de l’orthodoxie de la foi de ceux qui les occupent. Le Pape lui-même diffuse désormais sans discontinuer les principes d’une fausse religion, qui a pour résultat une apostasie générale.

Nous donnons donc ci-joint les textes, sans commentaires. Les lecteurs pourront juger par eux-mêmes, et par les textes des papes d’avant le Concile.

Cette lecture justifie amplement notre conduite pour l’entretien et la restauration du Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ et de Sa Sainte Mère sur la terre comme au Ciel.

Le restaurateur de la chrétienté c’est le prêtre par l’offrande du vrai sacrifice, par la collation des vrais sacrements, par l’enseignement du vrai catéchisme, par son rôle de pasteur vigilant pour le salut des âmes.

C’est auprès de ces vrais prêtres fidèles que les chrétiens doivent se regrouper et organiser toute la vie chrétienne. Tout esprit de méfiance envers les prêtres qui méritent la confiance, diminue la solidité et la fermeté de la résistance contre les destructeurs de la foi.

Saint Jean termine son Apocalypse par cet appel “Veni Domine Jesu”, Venez Seigneur Jésus, apparaissez enfin sur les nuées du Ciel, manifestez votre toute Puissance, que votre Règne soit universel et éternel.

Écône, le 4 Mars 1991, Marcel Lefebvre

 

Courrier des Lecteurs : 50 ANS DE MISÉRICORDE

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Suite à notre article d’hier sur les cinquante ans de Vatican d’Eux, nous avons reçu ces trois citations de Jean 23 lors du Discours d’ouverture de ce Conciliabule :

50 Ans de Miséricorde pour l’erreur et pour les fausses doctrines ou l’abandon du combat doctrinal, de l’ascèse de l’intelligence pour la ruine et « l’autodémolition » de la Sainte Église.

« L’Église n’a jamais cessé de s’opposer à ces erreurs. Elle les a même souvent condamnées, et très sévèrement. Mais aujourd’hui l’Épouse du Christ préfère recourir au remède de la miséricorde plutôt que de brandir les armes de la sévérité. Elle estime que, plutôt que de condamner, elle répond mieux aux besoins de notre époque en mettant davantage en valeur les richesses de sa doctrine. » 12 octobre 1962 Jean XXIII Discours d’ouverture du Concile

 

Le patrimoine commun des hommes ou l’utopie qui tue

« Le XXIe concile œcuménique – qui bénéficiera de l’aide efficace et très appréciable d’experts en matière de science sacrée, de pastorale et de questions administratives – veut transmettre dans son intégrité, sans l’affaiblir ni l’altérer, la doctrine catholique qui, malgré les difficultés et les oppositions, est devenue comme le patrimoine commun des hommes. Certes, ce patrimoine ne plaît pas à tous, mais il est offert à tous les hommes de bonne volonté comme un riche trésor qui est à leur disposition. Cependant, ce précieux trésor nous ne devons pas seulement le garder comme si nous n’étions préoccupés que du passé, mais nous devons nous mettre joyeusement, sans crainte, au travail qu’exige notre époque, en poursuivant la route sur laquelle l’Église marche depuis près de vingt siècles. Nous n’avons pas non plus comme premier but de discuter de certains chapitres fondamentaux de la doctrine de l’Église, et donc de répéter plus abondamment ce que les Pères et les théologiens anciens et modernes ont déjà dit. Cette doctrine, Nous le pensons, vous ne l’ignorez pas et elle est gravée dans vos esprits. (…) Ce qui est nécessaire aujourd’hui, c’est l’adhésion de tous, dans un amour renouvelé, dans la paix et la sérénité, à toute la doctrine chrétienne dans sa plénitude, transmise avec cette précision de termes et de concepts qui a fait la gloire particulièrement du concile de Trente et du Ier concile du Vatican. (…) Il faut que cette doctrine certaine et immuable, qui doit être respectée fidèlement, soit approfondie et présentée de la façon qui répond aux exigences de notre époque. En effet, autre est le dépôt lui-même de la foi, c’est-à-dire les vérités contenues dans notre vénérable doctrine, et autre est la forme sous laquelle ces vérités sont énoncées, en leur conservant toutefois le même sens et la même portée. » Jean XXIII Gaudet Mater Ecclesia, 11 octobre 1962

 

Le Nouvel Ordre Mondial des prophètes de bonheur

« Dans l’exercice quotidien de notre ministère pastoral il nous faut souvent entendre, à notre grande tristesse, ceux qui bien qu’enflammés de zèle n’ont pas beaucoup de jugement ou de sens de l’équilibre. Pour eux le monde moderne n’est que trahison et ruines. Ils prétendent que cette époque est bien pire que les précédentes – et l’histoire est pourtant la grande maîtresse de cette vie. Ils se conduisent comme si l’ère des précédents conciles œcuméniques avait vu le triomphe parfait de l’idée et de la cause chrétienne et comme si la liberté religieuse n’avait jamais été comprise dans le passé. Nous nous sentons obligé de dire notre désaccord avec ces prophètes de malheur qui ne font qu’annoncer des catastrophes – comme si la fin du monde était imminente. Et pourtant aujourd’hui la Providence nous guide vers un nouvel ordre des relations humaines qui, grâce à l’effort humain dont il dépasse toutefois largement les espérances, nous vaudra la réalisation d’espérances encore plus grandes et dont nous n’osons même pas rêver ; de cette façon, les oppositions humaines elles-mêmes peuvent conduire au bien même de l’église » Jean XXIII : Allocution Gaudet Mater Ecclesia 11 octobre 1962

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Nous vous rappelons qu’ Angelo Giuseppe Roncalli, alias Jean XXIII, était Franc-Maçon…

Un franc-maçon est excommunié et est hérétique.

Léon XIII : le Christianisme et la Franc-Maçonnerie sont essentiellement inconciliables, si bien que, s’agréger à l’une, c’est divorcer de l’autre… Aucun catholique, s’il veut rester digne de ce nom et avoir de son salut le souci qu’il mérite, ne peut, sous aucun prétexte, s’affilier à la secte des francs-maçons

Pie XI  : Toute collaboration avec des non Catholiques est interdite

Paul III : Personne ne peut changer les rituels approuvés par l’Église
Clément V :  Les religieux ne doivent pas porter l’habit du monde
Léon le Grand : Les Religieux devraient être différenciés des laïcs

Pie IX : L’État doit interdire les religions non Catholiques
Grégoire XVI : Les méchants pensent que “ la Foi quelle qu’elle soit ” conduit au ciel
Clément V :  Les fausses religions sont sacrilèges et implantées par le diable
Léon XIII : Tous les hérétiques sont hors de la Communion Catholique et hostiles à l’Église
Léon X : Il n’y a absolument aucun Salut en dehors de l’Église
Grégoire XVI : La liberté religieuse traite la révélation avec mépris
Clément V : La vraie liberté ne peur être trouvée que dans l’Église Catholique
Pie IX : Le droit à la liberté religieuse pour tous est une hérésie

Pie VI  : Hérésie : La langue vernaculaire devrait être utilisée dans la liturgie
Pie VI : Introduire à la Messe le langage populaire est démoniaque
Paul III : Personne ne peut changer les rituels approuvés par l’Église
St. Pie V :  Nous interdisons à perpétuité tout nouveau rituel à la Messe
St. Pie V : Quiconque change la Messe encourt la colère Divine
St. Pie X : L’Église ne peut toucher à la substance des sacrements
Pie VI : Le rituel de la Messe devrait être simplifié : c’est une hérésie !
Paul IIIQuiconque change le Sacrement de Confirmation, qu’il soit anathème
Paul III : Quiconque change le Sacrement de Baptême, qu’il soit anathème
Paul III  : Quiconque change le sacrement de Mariage, qu’il soit anathème
Grégoire XVI : Il est absurde et outrageant de dire que l’Église a besoin de renouveau
St. Pie X : L’Évolution des Dogmes est une erreur des Modernistes

St. Pie X : Les Modernistes soutiennent que tout en religion évolue
St. Pie X : L’Évolution est la doctrine des Modernistes

Pie XI : L’œcuménisme abandonne la religion divinement révélée
Pie XI :  Encourager l’œcuménisme, c’est rejeter la vraie religion
Pie XI : L’œcuménisme ne peut en aucune façon être approuvé par les Catholiques
Pie XI : L’œcuménisme déforme la véritable idée de la religion et de ce fait la rejette

Pie XI : Les modernistes disent : L’Église s’est trompée
Clément V : C’est une grave offense de ne pas exterminer l’hérésie

Pour en savoir plus… lire les très bons articles de notre confrère Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE ! : www.catholique-sedevacantiste.com

et Infiltrations Maçonniques dans l’Église du site www.barruel.com

La Tradition Doit-elle Finir Ainsi ?

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Un vieux dessin d’actualité !

La Tradition doit-elle finir ainsi ? Dans un temple maçonnique élevé sur les ruines de l’Église Catholique…

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Written by Cave Ne Cadas

mai 20th, 2012 at 12:02 am