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La F$$PX infidèle à la Foi Catholique
D’où Vient la Quasi Stagnation Sinon Même la Régression de la Fraternité Saint Pie X ?
Réponse : De Ses Hérésies !
La FSSPX se proclame fidèle à la Tradition. Elle est hélas infidèle à la Foi Catholique.
Elle l’est en enseignant que les papes ne sont infaillibles que très rarement, seulement lorsqu’ils proclament solennellement un dogme …de manière rarissime, et qu’ils peuvent parfois enseigner l’hérésie, même à toute l’Église …puisque c’est ce que firent Roncalli puis Montini et successeurs que la FSSPX tient pour vrais papes. La FSSPX récuse ainsi le Magistère infaillible défini par le Concile Vatican (I) et cru depuis toujours. Elle l’est en enseignant que des papes comme Honorius et Libère ont enseigné l’erreur, ce qui a été démenti par le Concile de Vatican (I) et ce que dément chaque année la fête de Saint Damase longtemps l’adjoint du pieux pape Libère.
Elle l’est lorsqu’elle enseigne que Montini (moderniste, œcuméniste et laïciste hissé sur le siège de Pierre par la complicité du frère maçon Roncalli et de ses nominations d’hérétiques modernistes comme “Cardinaux”), lui qui parapha de son autorité les décrets hérétiques de “Vatican II” (d’Eux) et détruisit la Messe et le sacrement de l’Ordre… était vrai pape légitime ; que le sont de même ses successeurs élus par ses faux cardinaux nommés par ce Montini invalide et par son prédécesseur franc-maçon et leurs successeurs, qui maintiennent ces hérésies pour doctrine officielle (hérésies condamnées solennellement par le Pape Pie X, dont la FSSPX se réclame pourtant, et avant lui par tous ses prédécesseurs Paul IV, Innocent III, saint Pie V, Clément XII, Pie VI, Grégoire XVI, Pie IX, Léon XIII). Elle cautionne comme papes revêtus de l’onction du Saint Esprit ces pontifes judéo-maçons usurpateurs qui enseignent le Clergé et les structures de l’Église dans des hérésies et les sacrilèges, proclament de fausses béatifications, et font le jeu du Judaïsme antichrist, donc radicalement opposés aux devoirs et enseignements du Magistère.
Elle l’est lorsque elle tient Roncalli pour pape légitime, lui franc-maçon et Rose-Croix qui opéra le renversement hérétique de la papauté et changea ses pratiques, rites et dogmes pour ceux de la Maçonnerie ; ce maçon∴, excommunié par le Magistère depuis Clément XII, un Pape dont la FSSPX piétine donc allègrement l’édit et ceux de ses successeurs, en ayant reconnu le maçon∴ Roncalli pour pape prétendu validement élu, bien qu’il n’ait jamais renié ses attaches maçonniques qui le mettaient hors de l’Église selon le Droit Divin, et en ayant adopté ses réformes liturgiques ! La FSSPX tient donc pour sans valeur pérenne les anathèmes et l’excommunication latæ sentenciæ portés par le Magistère contre les francs-maçons et assimilés, qui par leur adhésion à la secte renient l’appartenance au Corps du Christ.
Elle l’est lorsqu’elle prétend rappeler la Bulle Quo Primum du Pape saint Pie V sur la messe tridentine, mais tient pour sans valeur les anathèmes de cette bulle contre qui porterait atteinte à cette Messe, ce que fit Montini en l’interdisant ; la FSSPX qui pose en traditionaliste méprise donc la validité et la pérennité des condamnations solennelles du Magistère.
Elle l’est lorsqu’elle dédaigne les condamnations de la Bulle Cum ex apostolatus de Paul IV affirmant nulle et sans valeur toute élection, même obtenue à l’unanimité du Conclave et reconnue de toute l’Église, d’un “pape” qui prétendrait s’écarter du Magistère, ce que firent les Roncalli, Montini et successeurs, Ratzinger et celui d’aujourd’hui, bulle qui déclare et affirme nulles les décisions de tels usurpateurs illicites, que la FSSPX affirme néanmoins à ses prêtres et ses fidèles être Papes de l’Église, et dont elle reconnaît la hiérarchie !
De ces affirmations non-catholiques de la FSSPX s’ensuivent d’autres conséquences : sa doctrine sur la cène de Paul VI dite “nouvelle messe”, œuvre de protestants, que la FSSPX tient pour « peut-être bien valide lorsque bien dite ! » (doctrine enseignée à Écône et sur un document de Mgr Lefebvre distribué au Pointet au début des années 1990) cela, en dépit du document officiel d’institution de cette néo-cène qui en a évacué tout sens sacrificiel, a supprimé l’Offertoire et une partie des paroles de la Consécration du vin… et en contradiction avec l’enseignement de Léon XIII que les prières annexes donnant son sens au sacrement (ici l’Offertoire catholique Tridentin et celui des autres rites catholiques) sont absolument nécessaires à la réalisation valide du sacrement.
Ne voulant pas reconnaître ses erreurs concernant les prétendus papes de “Vatican II” (d’Eux), la FSSPX tient pour valide le changement radical du Pontifical opéré en 1968 par le juif Montini, instituant un rite sans valeur de sacrement et qui donc mit fin au sacerdoce institué par Notre Seigneur Jésus-Christ !
La FSSPX enseigne donc que la hiérarchie de l’église de Vatican II est bien celle de l’Église catholique (!) alors que ces “évêques” et “cardinaux” sont des modernistes et des maçons∴, nommés par un pouvoir invalide et nul (Bulle de Paul IV), et ont reçu (Ratzinger et son successeur inclus) un pseudo rite de sacre sans valeur sacramentelle, comme ce fut attesté et démontré par le délégué apostolique de l’église Syro-Chaldéenne Catholique auprès du Vatican en 2005 à Mr Bourcier de Carbon. (Cf. VM N°247 et CIRS 31/03/07)
Comment affirmer à la fois : « Montini détruisit l’Église plus vite et plus complètement que Luther » comme déclara Mgr Lefebvre, et en même temps affirmer qu’il est pape de l’Église ; à la fois que la néo-messe est « valide, mais mauvaise« et que tout en étant celle du pape qu’ils reconnaissent, il ne faut pas y aller ! : incohérence, absurde et scandaleuse, et vrai blasphème contre le Saint-Esprit.
Les enseignements de la FSSPX, clairs comme un jour d’épais brouillard, ses mensonges politiques et ses grossières erreurs libérales frappant d’incohérence et de contradictions tout son enseignement ont entraîné le retour à l’église moderniste judaïsante de Vatican II de centaines de ses prêtres.et de dizaines de milliers de fidèles catholiques via les scissions de la Fraternité Saint-Pierre et les abandons individuel ; elles continueront leur œuvre de sape de la Foi aussi longtemps que la FSSPX les maintiendra. Elles ont complètement brouillé le sens catholique de ses prêtres et fidèles, qui ne savent plus et ne se soucient même plus de savoir si un Pape est faillible ou infaillible dans son enseignement solennel à toute l’Église (bulles, rescrits sur la Foi, les rites, la morale, les béatifications, etc.). Comme des modernistes et des maçons∴, la FSSPX est allée jusqu’à tronquer le livre du Père de Clorivière qu’elle réédita pour en supprimer l’affirmation de l’infaillibilité du pape, exposée par le docte jésuite comme une évidence catholique soixante-dix ans avant la proclamation du dogme.
Qui nie une vérité catholique perd toute la FOI. La FSSPX n’est donc pas catholique. Nulle surprise que son apostolat soit stérile, qu’elle ait enregistré un nombre très élevé de défaillances et défections des prêtres qu’elle a ordonnés, soit par défroquage, soit par passage à la secte moderniste que la FSSPX confond avec l’Église. Le tissu d’incohérences et d’erreurs de la société lefébriste explique au moins en partie ces défaillances. La FSSPX par son hérésie mène inéluctablement les fidèles au ralliement avec les modernistes.
Que ses prêtres étudient la doctrine et le Magistère, et ils rejetteront les erreurs et hérésies enseignées à Écône et obstinément maintenues par leur néfaste direction.
Que ceux qui veulent être ordonnés prêtres catholiques cherchent ce sacrement auprès d’évêques strictement orthodoxes dans la Foi comme il s’en trouve aux USA ou ailleurs.
Il est gravissime d’envoyer étudier au Séminaire d’Écône des jeunes désirant se destiner à la cléricature où il leur sera inculqué des notions non catholiques qui les marqueront à vie.
Nous signalons enfin que tous les évêques lefébristes, Mgr Williamson inclus plus encore, professent la même non-foi concernant l’infaillibilité pontificale, et que s’adresser à eux revient à s’adresser à des protestants !
Qui n’a pas la foi même sur un seul point du dogme n’est pas catholique (Léon XIII, Satis cognitum) : il est donc vain de multiplier les actes de piété, prières et pèlerinages avec la FSSPX, puisqu’elle s’obstine à nier le dogme de l’infaillibilité pontificale. Qu’elle se mette donc d’abord en règle avec la FOI et qu’elle évince ceux qui l’ont dévoyée, notamment sa direction actuelle et ceux des responsables de district soutiens de la même fausse doctrine. Tant que ses prêtres n’auront pas compris ces vérités premières, il est inconvenant de leur confier des messes à célébrer et d’aider financièrement cette société (F$$PX), ce qui reviendrait à aider l’hérésie moderniste d’Écône à se perpétuer et se diffuser.
La FSSPX dénonce de manière tonitruante les effets – les hérésies du conciliabule Vatican II (d’Eux) – pour en cacher les vraies causes, les vrais responsables : la montée sur le trône de Pierre d’apostats vendus à l’adversaire pour trahir et transformer l’Église, Roncalli et Montini fondateurs d’une église Maçonnique qui désormais s’auto perpétue – et avant eux les vrais géniteurs de “Vatican II” (d’Eux) que furent les trois papes complices de l’hérésie moderniste successeurs de Pie X.
Le Bon Dieu est très patient mais ne permet pas que l’on se moque de Lui.
Que les prieurs y réfléchissent.
Réponse à « L’opinionisme » de Mgr Donald Sanborn
Un lecteur nous pris d’accepter de voir insérer sur CatholicaPedia à la suite de l’article de Mgr Sanborn intitulé « L’opinionisme », la réponse ci-dessous. Nous accédons à sa requête et vous la soumettons telle quelle avant d’y revenir plus en détail pour une nouvelle « Disputatio » dont son auteur, M. Philippe Tailhades, acceptera certainement d’y débattre ici.
— Philippe Tailhades —
« L’opinionisme » de Mgr Donald Sanborn
Une réponse ?
Un terrible châtiment !!!!
(document à lire avec attention )
pour information……
Un terrible châtiment, celui de l’aveuglement spirituel, touche les prêtres traditionalistes de plein fouet ! Lisez plutôt et notamment tout le délirant chapître mis en encadré rouge par mes soins ! (Y aller directement)
Source : “Avec l’Immaculée” (les anti-ralliéristes de la F$$PX)
Jean-Paul II était-il franc-maçon ?
Il semble bien que tous les papes depuis Vatican II soient francs-maçons (ici, “Avec l’Immaculée” découvre l’Eau-Chaude !!!), sauf Jean-Paul Ier (c’est d’ailleurs pour cela qu’il a été assassiné, le soir du jour où il avait signifié leur renvoi à deux francs-maçons, Marcinkus et Villot). Les preuves selon lesquelles Jean XXIII et Paul VI étaient francs-maçons abondent. (cf. ici, ici, ici). Après Jean XXIII et Paul VI, étudions Jean-Paul II. Jean Paul II est arrivé après l’assassinat de Jean-Paul Ier, ce qui n’est déjà pas bon signe. C’est lui qui a lancé les cérémonies sacrilèges d’Assise, en 1986. On sait que le but de la franc-maçonnerie est de fondre toutes les religions en une seule religion mondiale et c’est le but poursuivi par les réunions d’Assise. C’est Jean-Paul II qui a instauré le nouveau code de droit canon (1983). Mgr Lefebvre (qui fut lui-même ordonné et consacré Évêque par un F∴M∴ notoire !!!) disait que ce nouveau code de droit canon, (appliqué dorénavant par Mgr Fellay pour le renvoi des prêtres de la Fraternité), était pire que Vatican II.
C’est aussi sous le pontificat de Jean-Paul II qu’a été changé le serment demandé aux prêtres avant leur ordination. Mgr Lefebvre a dit lors de son jubilé au Bourget : « La nouvelle profession de foi qui a été rédigée par le cardinal Ratzinger contient explicitement l’acceptation du Concile et de ses conséquences. (…) Comment pouvons-nous l’accepter ! » (Le Bourget, 19 nov. 1989)
« C’est un fait très grave. Car il demande à tous ceux qui se sont ralliés, ou qui pourraient le faire, de faire une profession de foi dans les documents du Concile et dans les réformes post-conciliaires. Pour nous, c’est impossible ». (Fideliter, janv. 1991, n°79 p. 4)
« Telle qu’elle est, cette formule [de la profession de foi] est dangereuse. Cela démontre bien l’esprit de ces gens avec lesquels il est impossible de s’entendre ». (Fideliter n°70 p. 16, juillet 1989 ; n°73 p. 12 et n°76 p. 11)
Mgr Lefebvre, à la fin de sa vie, a parlé de l’esprit du concile Vatican II en l’associant à l’esprit de Jean-Paul II. C’est à propos du concile et de Jean-Paul II qu’il a parlé d’une perversion totale de l’esprit : Voici un passage de la conférence du 6 septembre 1990 à Écône :
« Ce combat entre l’Église et les libéraux modernistes, c’est celui du concile Vatican Il. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. Et cela va très loin. Plus on analyse les documents de Vatican II et l’interprétation qu’en ont données les autorités de l’Église, plus on s’aperçoit qu’il s’agit non seulement de quelques erreurs, l’œcuménisme, la liberté religieuse, la collégialité, un certain libéralisme, mais encore d’une perversion de l’esprit. C’est toute une nouvelle philosophie, basée sur la philosophie moderne du subjectivisme. Le livre que vient de faire paraître un théologien allemand, et qui, j’espère sera traduit en français afin que vous puissiez l’avoir en mains, est très instructif de ce point de vue. Il commente la pensée du Pape, spécialement une retraite que, simple évêque, il prêcha au Vatican. Il montre bien que tout est subjectif chez le Pape. Quand on relit ensuite ses discours, on s’aperçoit bien que telle est sa pensée. Malgré les apparences, ce n’est pas catholique. La pensée que le Pape a de Dieu, de Notre Seigneur, vient du tréfonds de sa conscience et non pas d’une Révélation objective à laquelle il adhère par son intelligence. Il construit l’idée de Dieu. Il a dit dernièrement, dans un document invraisemblable, que l’idée de la Trinité n’a pu venir que très tard, parce qu’il fallait que la psychologie de l’homme intérieur puisse être capable d’arriver à la Trinité Sainte. C’est donc que l’idée de la Trinité n’est pas venue d’une révélation, mais du tréfonds de la conscience. C’est toute une autre conception de la Révélation, de la foi et de la philosophie, c’est une perversion totale. »
N’oublions pas non plus les cérémonies sacrilèges de bénédiction du pape par des sorciers Indiens d’Amérique. En voici une :
(source : site sédévacantiste Most Holy Family monastery.)
N’oublions pas le signe de Shiva qu’il s’est fait imposer sur le front, la cérémonie secrète avec les sorciers dans le bois de Lomé, le baiser qu’il a donné au Coran, la phrase sacrilège : « Que saint Jean-Baptiste protège l’Islam » etc.
Jean-Paul II avait donc une pensée maçonnique, mais mise à part son arrivée sur le siège de Pierre après l’assassinat de Jean-Paul Ier par des francs-maçons, avons-nous d’autres indices qu’il était franc-maçon ? Oui, nous en avons :
Ce document intéressant mentionne que Jean-Paul II a reçu trois fois les B’nai B’rith au Vatican : la première fois, c’était le 22 mars 1984. Le pape a, paraît-il, commencé son discours de façon originale, en nommant trois fois de suite les B’nai B’rith « Mes chers amis, mes chers amis, mes chers amis ». Le script du Vatican ne mentionne pas que le pape ait fait cette triple appellation. Mais quand on voit comment la Fraternité Saint-Pie X en prend à son aise avec les scripts, par exemple celui de la conférence de Mgr de Galarreta à Villepreux le 13 octobre 2012, on peut se dire que le Vatican est bien capable d’en faire autant avec les discours du pape. On ne voit pas pourquoi les sédévacantistes auraient inventé cette triple appellation. D’ailleurs, on voit que le Vatican s’est trompé dans la date du discours qui était le 22 mars et non le 2 mars, comme il est noté ici. Ce discours du pape du 22 mars 1984 insiste lourdement à plusieurs reprises sur les liens de fraternité et le lien spirituel (« spiritual link ») que le pape a avec ces B’nai B’rith et avec tous les Juifs en général. Vous pouvez le lire en anglais sur le lien ci-dessus. Il vaut son pesant.
Jean-Paul II faisait partie du Rotary club : Armando Corona, grand maître de la maçonnerie italienne en 1986 a dit, dans la revue officielle du Rotary italien du 9 septembre 1986, après avoir exalté « les valeurs spirituelles communes à la maçonnerie et aux Rotary Clubs », que l’excommunication à l’égard de la maçonnerie a disparu et en même temps les interdits canoniques à l’égard des Rotary clubs. Il affirme ensuite que « le pape Jean-Paul II lui-même est un Paul Harris fellow » (c’est-à-dire un rotarien). Cela n’a pas été démenti (à la connaissance du juge Agnoli, édité au Courrier de Rome). Le pape Jean-Paul II a reçu à plusieurs reprises les rotariens au Vatican et il a loué les principes de leur association. Pourtant le Père Pirri, jésuite, a dit : « le Rotary ne diffère absolument pas de la Franc-maçonnerie. » (source)
Jean-Paul II a élevé au rang de cardinal deux personnages officiellement francs-maçons, d’après la liste Pecorelli : Fiorenzo Angelini et Virgilio Noé. (source)
Non seulement on constate des indices de franc-maçonnerie chez Jean-Paul II mais aussi des indices de satanisme. Jean-Paul II a fait ce signe, soi-disant pour plaisanter, mais en fait, ce geste est très connoté :
On peut voir que ce signe est prisé par Lady Gaga :
Ici Lady Gaga le fait en dehors de l’œil.
Serge Lama qui avait fait pourtant dans sa jeunesse une chanson à la sainte Vierge
et sur la crise de l’Église le fait aussi. Son discours a changé à présent. Il est devenu mauvais.
Prions pour lui.
Jean-Paul II utilisait aussi, à la suite de Paul VI, la croix tordue, emblème de sorcellerie :
Pour en savoir plus sur cet art expressionniste religieux qui a été condamné en son temps par Benoît XV, lire cet article bien documenté avec Google traduction (nombreuses photos) : http://www.traditioninaction.org/HotTopics/c031_Cross.htm
Photo provenant de PAUL VI… bienheureux ? par Don Luigi Villa
La Croix tordue ?
Pour répondre à cette question, nous revenons à un auteur catholique, Piers Compton, et ce qu’il écrit dans son livre “The Broken Cross: Hidden Hand in the Vatican”, Channel Islands, Neville Spearman, 1981.
Ce crucifix tordu est un symbole sinistre, utilisée par les satanistes, au sixième siècle, qui a été repris au moment de Vatican II. Ce fut une croix tordue ou cassée, sur laquelle figurait un personnage répugnant et déformé du Christ. Les sorciers noirs et les sorcières du Moyen Âge en avaient fait usage pour représenter la “Marque de la Bête”.
Source : http://www.paperblog.fr/5432285/l-etoile-a-cinq-branches-la-croix-tordue-paul-vi-et-la-franc-maconnerie/#Otw3HAFA1kQCYDWl.99
Jean-Paul II a même siégé sur un trône avec une croix inversée (signe sataniste) dessinée dans le dossier. Il a porté aussi des ornements avec une croix inversée.
Source des images ci-dessous (Most holy Family Monastery) :
« The instruction of the popes
Various popes have also told us that popes can err from the Faith and should then be resisted.
Pope Innocent III († 1216) stated that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith.
“The pope should not flatter himself about his power, nor should he rashly glory in his honour and high estate, because the less he is judged by man, the more he is judged by God. Still the less can the Roman Pontiff glory, because he can be judged by men, or rather, can be shown to be already judged, if for example he should wither away into heresy, because “he who does not believe is already judged.” (St. John 3:18) In such a case it should be said of him: ‘If salt should lose its savour, it is good for nothing but to be cast out and trampled under foot by men.’” (Sermo 4)
Pope Adrian VI († 1523) stated that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees. He also stated “many Roman Pontiffs were heretics”.
“If by the Roman Church you mean its head or pontiff, it is beyond question that he can err even in matters touching the faith. He does this when he teaches heresy by his own judgement or decretal. In truth, many Roman pontiffs were heretics. The last of them was Pope John XXII († 1334).” (Quaest. in IV Sent.; quoted in Viollet, Papal Infallibility and the Syllabus, 1908).*
(* According to the 1907 Catholic Encyclopedia, this work was published in 1512 from the notes of his student and without his supervision, but as it saw “many editions” it would appear that the pope did not repudiate the passage as not his own, in a work attributed to him.)
Venerable Pope Pius IX († 1878) recognised the danger that a future pope would be a heretic and “teach contrary to the Catholic Faith”, and he instructed, “do not follow him.”
“If a future pope teaches anything contrary to the Catholic Faith, do not follow him.” (Letter to Bishop Brizen)
Pope Adrian II († 872) admitted that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.”
“We read that the Roman Pontiff has always possessed authority to pass judgment on the heads of all the Churches (i.e., the patriarchs and bishops), but nowhere do we read that he has been the subject of judgment by others. It is true that Honorius was posthumously anathematised by the Eastern churches, but it must be borne in mind that he had been accused of heresy, the only offence which renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings”.
However, I must disagree with Pope Adrian when he said that heresy was the only offence that justified resistance: the Saints and Doctors have informed us otherwise, as we shall see.
Further, Pope Honorius I († 638) was not merely “accused of heresy” or “anathematised by the Eastern Churches”: he was anathematised as a heretic by the ecumenical Council of III Constantinople, whose Acts were confirmed by Pope Leo II († 683).
“We foresaw that, together with them, also Honorius, before Pope of Old Rome, is cast out of the Holy Catholic Church of God and anathematized, for we have found by his writings sent to [the heretic] Sergius, that he followed the thinking of the latter in everything, and continued his impious principles. […] To Sergius, the heretic, anathema! To Cyrus, the heretic, anathema! To Honorius, the heretic, anathema!”
So we see that popes have told us that a pope can “wither away into heresy” and “not believe” the Faith; that “it is beyond question” that a pope can “err in matters touching the Faith”, he can “teach heresy” in decrees; that “many Roman Pontiffs were heretics”; that a pope may be a heretic and “teach […] contrary to the Catholic Faith”, in which case we are to follow the instruction “do not follow him”; and that papal heresy “renders lawful the resistance of subordinates to their superiors, and their rejection of the latter’s pernicious teachings.” »
* * *
Traduction (nos notes en vert) :
1ère déformation du texte !
« Le Pontife pourrait être jugé par les hommes ou plutôt être montré comme jugé,
s’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie, car « celui qui ne croit pas est déjà jugé » (Jn.3,18). »
(Innocent III, sermon 4 pour l’anniv. de sa consecr. pontif.)
Il faut donc une condition. La voici :
S’il arrivait qu’il s’évanouisse dans l’hérésie
Innocent III – Sermon 4 – L’hérésie subjective ou formelle qui se présente dans le cas d’un refus obstiné ou d’un doute concernant ce que l’on sait être d’enseignement officiel du Magistère, est indispensable pour que l’on soit considéré comme hérétique formel. Si c’était le cas d’un pape, il cesserait d’être pape. “Si jamais un pape, en tant que personne privée, tombait dans l’hérésie, il serait tout de suite déchu du pontificat.” – St. Alphonse de Liguori, Œuvres Complètes. 9:232.
“Un pape manifestement hérétique cesse automatiquement d’être Pape et tête de l’Église tout comme il cesse automatiquement d’être chrétien et membre de l’Église, il peut donc subir jugement et peine de la part de l’Église. Tel est l’enseignement de tous les anciens Pères de l’Église qui enseignent que les hérétiques manifestes perdent immédiatement toute juridiction”. St Robert Bellarmin, De Romano Pontifice, II.30.
Ce texte, même s’il est signalé au titre des « œuvres » du pontife, après examen très attentif, ne se trouve pas en effet cité dans le Magnum Bullarium Romanum de Cherubini.
D’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église.
(voir la note “Rappel” ci-dessous !)
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques…
(idem…voir la note “Rappel” ci-dessous !)
Ainsi qu’on le voit…l’auteur anglo-saxon de ces lignes est un faussaire !
Rappel :
Face aux hérésies et au modernisme des prétendus « papes » qui se succèdent sur la chaire de Pierre depuis Vatican II (Paul VI, J-P II et Benoît XVI), certains prétendent qu’il est possible que le Vicaire du Christ puisse tomber dans l’hérésie. Ainsi, pour tâcher de prouver ses dires, l’abbé Boulet (F$$PX) dans une de ses études en 2004 se base essentiellement sur des propos qu’aurait tenus le Pape Adrien VI († 1523). Le site LaQuestion vient récemment d’y faire référence afin de réfuter la position « sédévacantiste ». Voici cette fameuse citation :
« Si dans l’Église Romaine, on considère la tête ou le pontife, il est hors de question qu’un Pape peut errer dans les domaines touchant à la foi. Il le fait quand il enseigne une hérésie par son jugement propre ou par ses décrets. En vérité, beaucoup de Pontifes Romains ont été hérétiques. Le dernier en date était le Pape Jean XXII (†1334). »
Nous pouvons constater que l’abbé Boulet – tout comme le site LaQuestion – n’indique aucune source. Faut-il s’en étonner ? Non, car d’après les recherches de l’abbé Zins, cette citation provient d’un ouvrage mis l’index par l’Église. La source exacte de cette citation du pape Adrien VI est celle-ci : Quaest. in IV Sent. ; cité in Viollet, L’infaillibilité pontificale et le Syllabus :
Par ailleurs, l’abbé Belmont réagit à l’époque en écrivant un article dans son bulletin Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219) :
« En vérité, c’est chez les ennemis de l’Église qu’on trouve citée cette (prétendue) déclaration d’Adrien VI. Ainsi dans la justification des évêques schismatiques d’Utrecht :
« Déclaration des évêques de Hollande adressée à toute l’Église catholique et acte d’appel des bulles d’excommunication lancées contre eux par Léon XII les 25 août 1825 et 13 janvier 1826 ». En vérité, ces révoltés ne mettent pas dans la bouche d’Adrien VI le nom de Jean XXII, que l’auteur canadien place [sans vergogne] à l’intérieur de ses guillemets.
On trouve encore le texte latin de cette « citation » dans une histoire protestante des dogmes chrétiens (celle d’Eugène Haag) et ce texte latin porte : plures enim fuerunt pontifices romani hæritici, ce qui en vérité veut dire plusieurs, et non pas beaucoup.
En vérité, on retrouve cette citation chez les gallicans de tout poil, trop contents de l’aubaine.
En vérité, aucun de ceux qui citent ce texte ne fait référence à un acte pontifical. Il semble plutôt qu’ils l’attribuent à un livre publié par Adrien VI (Adriaan Florensz) De ministro Confirmationis (sent. iv, art. 3) que d’ailleurs ils citent de seconde main (au mieux) à travers l’historien Jean de Launoi, qui fut le maître ès gallicanismes de Bossuet au collège de Navarre, et un précurseur des encyclopédistes.
Pour ma part, je n’ai rien trouvé de semblable ni d’approchant dans mon Grand Bullaire Romain. »
Mais ce n’est pas tout. L’abbé Boulet et le site LaQuestion tentent de nous faire croire que « le Bienheureux (sic!) Pape Pie IX (†1878) a reconnu le danger qu’un pape soit hérétique et « enseigne (…) contrairement à la foi Catholique », et il a ordonné: « ne le suivez pas ». Il dit encore : « si, dans le futur, un pape enseigne quoi que ce soit contre la foi Catholique, ne le suivez pas. » (Lettre à Mgr. Brizen). »
Étonnante déclaration du Pape qui a promulgué le dogme de l’infaillibilité pontificale ! Il s’agirait d’une lettre que le pape Pie IX aurait adressée à un certain Mgr Brizen. Là encore, aucune référence donnée. Rien d’étonnant puisque, après de longues recherches, nous ne trouvons aucune trace d’un Mgr Brizen au XIX° siècle ! En revanche, sous le pontificat de Pie IX, un diocèse portait comme nom « Brixen », diocèse ayant eu deux évêques : Mgr Bernhard Galura (év. de 1829 à 1856) et Mgr Vinzenz Gasser (év. de 1856 à 1879).
M. l’abbé Belmont :
« En vérité, le Canadien, qui prend ce texte à son compte, ne cite pas un seul fait : ce serait dangereux, ses lecteurs pourraient aller vérifier ; on est prié de le croire sur parole. Voilà quelqu’un qui insulte l’Église, et il voudrait qu’on le croie sur sa seule parole. C’est une sorte de cléricalisme à rebours.
Non seulement ce serait dangereux de citer un nom, mais il faudrait aussi en être capable. Les théories des ennemis de l’Église à propos des Papes Vigile, Honorius ou saint Libère ont été réfutées par les meilleurs historiens catholiques, en particulier par Dom Guéranger (La Monarchie pontificale ou encore Défense de la sainte Église romaine). Quant à Jean XXII (le Pape qui a canonisé saint Thomas d’Aquin), il s’agit d’un fameux sermon qui mit la chrétienté en feu, mais qu’on ne peut déclarer hérétique, sinon par anachronisme.
L’auteur canadien appartient à ces gens pour lesquels la théologie consiste à tenter de prendre leur Mère en défaut, je veux dire à chercher (et à prétendre trouver) des exemples historiques dans lesquels l’Église se serait trompée, afin d’y découvrir un prétexte à faire ce que bon leur semble – c’est-à-dire n’importe quoi. Ce n’est pas de la théologie, c’est de l’impiété.
Tout cela est malhonnête et d’une nullité affligeante.
Voici un exemple de cette nullité : le « Mgr Brizen », appelé au secours comme destinataire d’une lettre de Pie IX, n’existe pas. Il s’agit de Mgr Vincenz Gasser (1809-1856-1879) prince-évêque de Brixen ou Bressanone (Tyrol du sud, aujourd’hui en Italie). Et la lettre que Pie IX est censé lui avoir adressée est inconnue au bataillon : serait-elle, elle aussi, le fruit d’un cauchemar qui a impressionné un esprit faible ? »
Notre-Dame de la Sainte Espérance, (n° 219)
Affligeant ! Aller chercher des prétendues déclarations chez les ennemis de l’Église ou en inventer pour crédibiliser des thèses fausses, voilà où mène le combat de ceux qui rejettent coûte que coûte la position catholique dite sédévacantiste !
« Un Pape peut enseigner des hérésies » nous dit-on. Non ! Aucune déclaration sérieuse de Papes ou de docteurs de l’Église ne peut être trouvée en faveur de cette affirmation car le Pape « est toujours pur de toute erreur doctrinal […] sa foi est à jamais indéfectible » (Constitution dogmatique Pastor Aeternus – Concile Vatican [le 1 est superflu !!!]).
Documents à télécharger en pdf :
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- Télécharger l’article de « Avec l’Immaculé » : Quand »Avec-l’Immaculée » découvre l’Eau-Chaude !!!
- Télécharger le dossier de Abbé Luigi Villa : Paul VI bienheureux ?
- Télécharger le dossier de Clément Lecuyer : Karol Józef Wojtyla, un antichrist « béatifié » par les siens
- Télécharger le dossier de Clément Lecuyer : Le Pape Adrien VI et l’infaillibilité pontificale les mensonges du blog La Question
* * *
À suivre… avec un article intitulé « contre-poison » afin de pouvoir répondre aux criminelles et sacrilèges allégations des prêtres traditionalistes (et anti-ralliéristes !) de la Fraternité.
Le très progressistes « Golias » et les réseaux maçonniques
Flashback : retour en arrière suite à l’article d’hier de “Golias”…
En 2009 suite à l’ “affaire Williamson”, Le Bulletin d’André Noël titrait : « Les dessous d’un complot contre le Pape » (1) et poursuivait :
« On en sait désormais un peu plus sur les circonstances dans lesquelles l’interview de Mgr Williamson a été obtenue, au cours de laquelle il a tenu ses propos négationnistes. Au Vatican, on n’hésite plus à parler de « complot » visant à « déstabiliser le pape ».
« Cette manœuvre a pour origine le milieu anticlérical français (2) …Deux femmes ont été à son origine, Flametta Venner et Caroline Flourest. Cette dernière est une militante de Prochoix, donc en faveur de l’avortement, mais c’est également une pasionaria de la cause homosexuelle. A ce double titre, elle lutte contre « l’intégrisme », largement compris, puisqu’elle y inclut l’Opus Dei, les évêques conservateurs et le pape. Elle serait aussi proche du Grand Orient de France. Elle a développé avec beaucoup de hargne et autant d’ignorance, ses thèses dans un ouvrage « Les nouveaux soldats du pape », cosigné par sa compagne Flametta Venner. Le livre est paru dans une maison d’édition prétendument catholique, les Editions Golias, fer de lance de la lutte anti-romaine, et qui fédère les tenants de la contestation progressiste dans l’église de France. »
On peut donc inférer deux choses de ces informations :
- Les milieux progressistes dans la mouvance catholique conciliaire, en l’occurrence Golias, sont sous-tendus par des réseaux maçonniques, notamment Caroline Flourest et ses amis ; ce qui semble confirmer l’appartenance à la maçonnerie d’une certaine partie du clergé de l’église Conciliaire.
- La guerre a fait rage entre Benoît XVI, appuyé sur les milieux romains qui lui sont fidèles, et la maçonnerie. (Qui l’a obligé à démissionner ??? comme cela a été dit et écrit…)
Le Bulletin d’André Noël poursuit :
« Les réseaux d’influence de Caroline Flourest sont importants, qui lui permettent de peser sur de nombreux média : elle est journaliste à « Charlie Hebdo », chroniqueur au « Monde » et à « France culture », tout en donnant des cours à Science Po Paris… Flametta Venner sur Internet a confié à son blog, ce qui s’est passé. Elle s’est empressée de révéler aux reporters suédois que Mgr Williamson soutenait des thèses négationnistes. Les journalistes n’en savaient rien. Leur interview, à l’origine, ne devait pas porter sur ce thème mais seulement sur l’établissement de la Fraternité S. Pie X dans leur pays. Toutefois, ainsi informés, ils changent d’orientation et interrogent Mgr Williamson d’emblée sur la Shoa… Pour elle (Flametta Venner), la levée des excommunications établit, si ce n’est la complicité, du moins la connivence entre le pape et l’évêque négationniste. »
Ainsi donc toute une frange de l’église Conciliaire en France, sous influence maçonnique, a combattu ouvertement contre Benoît XVI, qui, de son côté, s’est rapproché de la Fraternité Saint Pie X, pour y puiser un appui contre les tenants de l’imagerie républicaine laquelle s’oppose à la haute maçonnerie. C’est la raison de la poursuite du dialogue avec Écône jusqu’en juin 2012. Il est donc clair que Ratzinger soutient la haute maçonnerie judaïque dans sa construction du temple de l’Humanité, c’est-à-dire du règne de l’Antéchrist. »
Il n’est donc pas inintéressant de recouper ces informations avec celles d’un dossier circulant sur Internet à propos des « femen » ; ces « putes ukrainiennes », comme les appelle le réalisateur du dossier, ont été lancées dans les pattes de Civitas, à l’occasion de la première manif contre le mariage gay. On sait que les catholiques influencés par Civitas ont été accusés d’avoir « tabassé » des femen, alors qu’ils avaient en réalité attaqués et n’avaient fait que se défendre sans brutalité.
Or, le principal témoin à charge dans ces accusations calomnieuses était…Caroline Flourest. Ceci confirme que :
- La lutte fait rage entre « l’église » de la Rome cabaliste et la maçonnerie ;
- La maçonnerie noyaute les instances dirigeantes de « l’église Conciliaire » en France ; d’où le coup de poignard dans le dos des « évêques de France » contre La Manif pour Tous ;
- La poursuite des négociations de la Rome cabaliste avec Écône n’avait pour but, dans l’esprit de Ratzinger, que de mettre les « tradis » aux côtés des « catho conciliaires » contre la maçonnerie ;
- Pour la Rome cabaliste l’heure n’est pas à l’éclatement de la FSSPX ;
- L’affrontement ne saurait en rester là.
Complot contre le pape !
par Caroline Fourest
Écoutez : [audio:http://catholicapedia.net/audio/Caroline-Fourest_Complot_contre_le_pape.mp3|titles=France Culture|artists=Caroline Fourest]
« Ni moi ni la télévision suédoise ne connaissions à l’avance l’agenda du Vatican »
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Propos recueillis par Jean-Baptiste Chastand
“Complotto contro Benedetto XVI entro 12 mesi morirà”
http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/02/10/complotto-di-morte-benedetto-xvi/190221/
Profil d’un “TRADI”
Ce n’est pas sans humour (progressiste !) qu’Yves Lancien, du très progressiste « Golias », se lance dans un exercice de style assez risqué puisqu’il prétend mettre en groupes et catégories le monde traditionaliste, rien que ça ! Malheureusement, son petit exercice d’équilibriste, outre qu’il est forcément partisan, surfe uniquement sur le sociologique, l’affectif et le culturel. Il est clair que notre Yves omet volontairement d’autres “dimensions”. (Je vous laisse deviner lesquelles, cela faisant partie de l’exercice ou du jeu, comme vous préférez). Néanmoins, son petit devoir d’humour sur table reste distrayant à lire et chacun de nous pourra sans doute y reconnaitre par ci par là quelques bribes peu glorieuses d’un passé peut-être personnel de naïveté liturgique, d’illusion cléricale ou de “bonnes intentions” de circonstances.
Afin de distraire nos lecteurs, dont il est supposé qu’ils l’ont bien mérité, nous avons volontairement occulté les qualificatifs d’Yves Lancien qui viennent émailler le substantif généraliste de “TRADI”. Même si nous nous honorons de ne plus nous reconnaître, ici au Catholica, comme de simples “tradis” dont les chapelles ternissent de leurs “différences” le paysage sans tâche de la Sainte Église, nous aurons à cœur d’exercer nos intuitions sédévacantistes sur la découverte de ces mots, qui, d’après Golias, font toute la différence ! Après quoi nous observerons qu’une lecture transversale permet de mieux comprendre pourquoi la “tradition” revêt de si nombreux visages.
Arrivons donc au fait : il s’agit de trouver dans la liste suivante le qualificatif qui décrit le mieux un tradi dans les paragraphes qui suivent en bleu un peu plus bas.
Voici les qualificatifs que vous aurez à apposer au mot “tradi” :
Bonne Chance !
— Aqua Simplex
— Pur et Dur
— Traditionnel
— Esthète
— Persécuté
— Chimérique
— Partagé
À vous de les remettre dans l’ordre ! Notez toutefois, qu’en cas de réussite totale, aucun brevet de « traditionalisme » ne vous sera délivré sur ce blog !!!
Ici nous ne délivrons que des brevets de catholicisme intégral…!
10 août 2013
[2007] [Yves Lancien – Golias] Profil d’un ’’tradi’’
SOURCE – Yves Lancien – Golias – 8 septembre 2007
Qu’est-ce qu’un « tradi » ?
Quand on en rencontre un, reconnu et se reconnaissant comme tel, il n’est pas difficile de discuter voire d’échanger : c’est simplement impossible car il vit dans l’absolu, à un étage culturel et surtout affectif de la foi et de la pensée où aucun argument théologique, rationnel ou raisonnable ne peut l’atteindre ni le toucher, sauf à venir conforter ses convictions.
La définition du « tradi » n’est pas facile car l’archétype, un tradi lambda, n’existe sans doute pas. Sur un socle commun de « conservatisme » au sens profond du terme, celui de vouloir que rien ne change en refusant toute évolution au nom de valeurs ou de décisions pontificales, récentes ou non, immuables car éternelles, on trouve des types relativement diversifiés, dont les caractéristiques peuvent se recouper sans exclusivité à des degrés d’implication divers.
L’âge, le sexe, le niveau social, culturel ou professionnel sont des critères parmi d’autres qui se recoupent sans exclusivité. (Nous l’aurons bien noté !)
[1] Ce Yves Lancien est un âne ! à vouloir faire le malin, il ne sait même pas que Ratzinger a été “ordonné” “évêque” selon le nouveau rite de Pontificalis Romani…
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (I)
Dans une interview publiée récemment, le sosie-de-Karl-Marx Leonardo Boff a souligné comment le vrai libéral radical Jorge Mario Bergoglio est vraiment – et c’est quelqu’un qui sait :
« On peut s’attendre à une vraie surprise de la part de François. »
et :
« Par exemple, il y a quelques mois, il a explicitement permis à un couple homosexuel d’adopter un enfant. Il est resté en contact avec des prêtres exclus de l’église officielle pour s’être mariés. »
À noter que :
« À propos du nouveau Pape :
le point de vue de Boff »
Source RORATE CÆLI : « For the record: Boff speaks on the new Pope » ; traduction CatholicaPedia.net
Un lecteur nous a adressé la traduction en anglais du texte intégral de l’interview accordée par Leonardo Boff, ancien prêtre et gourou de la théologie de la libération, à Erich Follath, de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.
S : Professeur Boff, avez-vous été surpris, ravi ou horrifié quand vous avez appris qui avait été élu à Rome ?
Boff : J’espérais que le nouveau Pape prendrait le nom de François, et j’avais prédit que tel serait le cas. En ce sens, j’ai réagi avec une grande satisfaction, jointe à l’espoir que quelque chose allait enfin changer dans cette église tragiquement vétuste. Car le choix de ce nom est tout un programme : François d’Assise est pour une église des pauvres et des opprimés, pour la conscience environnementale et contre l’amour démesuré de la pompe et de la solennité.
Et n’êtes-vous pas déçu que le cardinal Odilo Scherer, de Sao Paolo, n’ait pas été l’élu du conclave ?
Boff : Seigneur ! Tout vaut mieux que Ratzinger sur le trône de Pierre, c’est certain, mais Scherer est un archi-conservateur qui a fait siennes toutes les positions de la curie. Je me réjouis que le nouveau Pape soit originaire d’Amérique du Sud, de la région du monde où il y a le plus de catholiques, et non pas – comme d’habitude – d’Europe. Il y a longtemps que la Chrétienté a son centre dans le Tiers Monde, et l’élection d’un Sud-Américain en tient compte. Mais ce qui est beaucoup plus important, c’est un autre changement : le passage à la vision d’une église sans prétentions, d’une église humble. Et c’est le genre d’église dont le nouveau Pape est partisan.
Le cardinal Bergoglio a critiqué les théologiens libertaires comme vous parce qu’ils sont trop à gauche, trop marxistes.
Boff : En Argentine, les théologiens qui font montre d’esprit critique ont adopté d’autres positions que celles prises au Brésil par mes amis et moi-même. Leur église n’est pas une église de la libération, c’est une « église du peuple », même sous une dictature. Ce n’est pas pour rien, après tout, que Bergoglio s’est fait connaître comme le « cardinal des pauvres ». Il est allé dans les quartiers misérables, il y a parlé aux gens, il a dénoncé l’injustice sociale, et il a mis ses paroles en pratique. Il vivait dans un petit appartement, faisait lui-même sa cuisine, ne se servait jamais d’une voiture officielle. Il a toujours été près du peuple, je le sais de ma propre expérience.
L’avez-vous [jamais] rencontré ?
Boff : Oui, il y a quelques années, lors d’une convention organisée en Argentine, où il faisait un exposé ; nous nous sommes tout de suite compris.
Vos propos semblent étonnement euphoriques si l’on songe que le nouveau Pape est un archi-conservateur qui s’oppose à la contraception, au mariage des prêtres, à l’extension du rôle des femmes dans l’église, au mariage homosexuel…
Boff : Cela, c’est que le Vatican a décrété ; tous les hauts dignitaires ont dû aller dans le même sens, et personne n’était autorisé à le mettre en cause. Cela peut changer à présent.
Avez-vous des raisons de croire que Bergoglio est plus libéral ?
Boff : Oui. Par exemple, il y a quelques mois, il a explicitement permis à un couple homosexuel d’adopter un enfant. Il est resté en contact avec des prêtres exclus de l’église officielle pour s’être mariés. Et personne n’a pu le persuader de modifier sa position, qui consistait à dire que nous devons être du côté des pauvres, même si cela doit aller jusqu’à s’opposer aux puissants.
Mais ne l’a-t-on pas accusé de n’avoir pas assez protégé, et même d’avoir trahi deux des jésuites dont il était responsable à l’époque de la dictature militaire ?
Boff : je suis au courant de ces accusations ; en la matière, je suis du même avis qu’Adolfo Perez Esquivel, lauréat du Prix Nobel de la Paix, qui fut lui-même torturé en tant que dissident et qui connaît bien la question. Il a dit que des évêques avaient en effet soutenu la dictature, mais que Bergoglio n’en faisait pas partie.
C’est contredit par de proches parents des victimes.
Boff : Jusqu’ici, il n’y a eu aucune preuve concrète que Bergoglio ait mal agi. Au contraire, on a dit qu’il avait caché et sauvé plusieurs prêtres. J’ai moi-même rencontré Orlando Yorio, l’un des deux jésuites que Bergoglio aurait, paraît-il, trahis, et il ne m’a jamais fait part de telles accusations.
Quel conseil donneriez-vous au Pape François ? Que devrait-il commencer par faire ?
Boff : Il y a beaucoup à réparer dans l’Église catholique : elle est dans un état déplorable. Benoît XVI s’est surtout attaché à renforcer le pouvoir du Vatican ; il a gouverné avec une rigueur fondamentaliste, [ce fut] un ange de la mort au sein de l’église. Les huit années ou presque de son pontificat ont été encore pires que je ne le craignais, et mes craintes étaient pourtant assez vives. Le nouveau Pape devra dissiper les scandales, encourager une discussion ouverte et démocratique, sans le moindre tabou, sur le célibat des prêtres, la contraception, le rôle des femmes. Il devra répandre une atmosphère de renouveau. Je suis très optimiste à cet égard.
Quelles mesures devront le distinguer en tant que réformateur ?
Boff : Il doit décentraliser l’église, accorder plus de pouvoir de décision aux représentants de chaque continent et de chaque pays. Beaucoup de problèmes passent entièrement inaperçus derrière les murs du Vatican. Pourquoi ne pas organiser un synode en Asie ou en Afrique ? Pourquoi ne pas déplacer le centre des droits de l’homme dans l’église d’Amérique latine ?
Vous, plus que quiconque, connaissez les forces paralysantes du Vatican. Bergoglio n’a pas beaucoup de bons contacts au sein de la curie ; comment pourra-t-il pénétrer dans la mentalité insulaire de ses membres ?
Boff : Il est maintenant le Pape. Il peut tout faire. On peut s’attendre à une vraie surprise de la part de François. Mais cela passera par une rupture avec les traditions, par une mise à l’écart de la curie vaticane corrompue, par le passage à une église qui soit universelle, par la mise en relief de questions nouvelles et essentielles : le fossé entre riches et pauvres, l’inégalité devant la justice. Ce qui s’est produit à Rome est révolutionnaire : un religieux d’Amérique latine a été élu au siège de Pierre.
Croyez-vous que son prédécesseur va se mettre en travers de son chemin ?
Boff : Il est probable que non. Ratzinger est épuisé ; il va se retirer complètement. Il est très occupé par les préparatifs de sa grande rencontre avec le Seigneur.
Source : http://rorate-caeli.blogspot.com/2013/04/for-record-boff-speaks-on-new-pope.html
Traduction CatholicaPedia.net
Que notre traducteur soit ici encore une fois remercié.
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Cérémonie homosexuel dans une basilique de Buenos Aires
Roberto Carlos Trinidad homosexuel lui-même a subit des interventions chirurgicales pour changer de sexe et devient « Florencia » Trinidad, ci-dessus à gauche dans la robe blanche. Il / elle a vécu avec un autre homme, Pablo Goycochea, depuis plus d’une décennie. « Florencia » est une star de la télé dans plusieurs séries sur Telefe – Canal 11 à la télévision Buenos Aires. Il ya quelque temps, le couple homosexuel a adopté (acheté) deux enfants nés le même jour dans une clinique qui fait l’insémination artificielle à San Diego, en Californie.
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…