Archive for the ‘Paul VI’ tag
Regnum Galliae Regnum Mariae
Notre ami Ludovicus a un site qui mérite d’être visité.
Voici un article bien fait sur l’œcuménisme :
Bref Historique de l’Origine du Faux Œcuménisme qui Sévit dans l’Église Depuis le “Concile” Vatican ii
28 Novembre 2015 , Rédigé par Ludovicus
Citons l’importante confidence de Jean Guitton, un grand spécialiste de l’œcuménisme (l’ami de Paul VI) à sa secrétaire, notre amie, Mlle Michèle Reboul :
Jean Guitton, premier laïc à parler au “Concile”
Le philosophe Jean Guitton, connu pour sa réflexion œcuménique et pour son livre L’Église et les laïcs, est appelé à prendre sa part aux travaux du “Concile” Vatican II.
« L’amour de Jean Guitton pour l’Église a toujours été généreux et courageux », avait rappelé en 1999 l’ancien secrétaire particulier de Paul VI, Mgr Pasquale Macchi, en rendant hommage à Jean Guitton qui venait de décéder à l’âge de 97 ans. « Je me souviens avec émotion de sa participation active au “Concile” Vatican II », avait alors évoqué, de son côté, Jean-Paul II. Connu pour son activité œcuménique et pour son ouvrage L’Église et les laïcs, dans lequel il citait des pages prophétiques du cardinal Newman sur la consultation des fidèles en matière de foi, le philosophe français fut, en effet, l’un des rares laïcs invités au sein de l’aula du “Concile”.
C’était la première fois que des laïcs assistaient ainsi à un concile comme auditores. La décision ayant été prise par Jean XXIII lui-même. Et c’est la Secrétairerie d’État qui, en septembre 1962, suggéra au “Pape” les noms de 12 responsables d’organisations internationales catholiques, aptes à suivre le “Concile” et à en faire passer l’esprit à travers le monde. Ces laïcs, souvent des militants d’Action Catholique, inconnus du public et peu habitués aux débats théologiques en latin, eurent cependant de nombreuses occasions de travailler avec les Pères à la commission de l’apostolat des laïcs.
Le seul laïc catholique présent à la première session
Deux mois plus tard, leur furent adjoints trois autres laïcs, dont Jean Guitton. Il sera le seul laïc catholique présent à la première session. Vers les derniers jours de la deuxième session, l’ami personnel de Paul VI, qui venait d’être élu, prit la parole — ainsi qu’un autre laïc, italien celui-là — sur le thème de l’unité. Il en parla à nouveau le 3 décembre 1963, à l’occasion de la célébration du quatrième centenaire du Concile de Trente. C’est ainsi que Jean Guitton fut le premier laïc à parler au “Concile”.
Au terme de la troisième session, à la demande des auditeurs, il rédigea une synthèse sur le rôle des laïcs dans le monde. « Dans toutes les formes de sa vie familiale, professionnelle, civique et culturelle, le laïc s’efforce de traduire, d’adapter, d’insérer la grâce multiforme de Dieu dans des structures anciennes et nouvelles, toujours en voie de réforme et de progrès », écrivait alors le philosophe, fort de son expérience conciliaire : « Il faut que chacun de nous prenne conscience de sa vocation propre et irremplaçable, qu’il dialogue avec son voisin, qu’il aide chaque groupe humain à trouver ce Dieu vivant que tous cherchent à tâtons. »
*Après de brillantes études de philosophie, Jean Guitton se tourne vers l’enseignement, d’abord dans le secondaire, puis en université. Il est l’auteur d’une œuvre abondante, tant philosophique que spirituelle. En juin 1961, il est élu à l’Académie Française (en 1987, il le sera à l’Académie des Sciences Morales et Politiques).
(Les “guillemets” sont de nous)
Comment des aveugles essayent de voir clair
La F$$PX est en voie (accélérée) de ralliement… outre les rumeurs circulant sur l’Internet, les derniers évènements, comme : la publication du factum (en droit : Exposé écrit des faits et du raisonnement juridique présenté devant un tribunal) du R.P. Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus” que nous vous présentons aujourd’hui, et la publication d’une énième Réfutation du sédévacantisme — préfacée par son Excellence Bernie Fellay, le destructeur — par la F$$PX précisément — comme pour apporter les gages nécessaires — que nous publierons prochainement… viennent conforter que “Tout se passe selon le Plan…” et que (comme nous vous le signalions le 18 novembre) † Bernie Fellay envisage actuellement la signature finale suite à la proposition d’accord que Rome a envoyé à Menzingen récemment !
Il est minuit moins le quart Mgr Fellay…
Cave Ne Cadas
Comment des aveugles essayent de voir clair
« Laissez-les ; ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles.
Or, si un aveugle conduit un aveugle,
ils tomberont tous deux dans la fosse. » Math. 15:14
Par Pierre Legrand.
Chers amis lecteurs,
Ce document est emblématique de la tradition avec un petit “ t ” telle qu’elle se présente aux fidèles catholiques depuis plusieurs décades.
Je n’aurai pas la prétention ni le temps ni même la compétence suffisante pour en faire l’exégèse, l’analyse dans le détail comme dans l’ensemble. Aussi me contenterai-je de pointer par quelques observations en couleur ce qui me paraît être toute l’ambiguïté d’une tradition qui se définit elle-même comme telle et aussi le nœud gordien qui préside à sa véritable inefficacité de voie sans issue. On n’a pas suffisamment médité et réfléchi sur ces deux mots « sans issue », précisément parce que peu ont encore une conscience claire, même dans nos propres rangs, de ce que doit être notre attitude véritablement catholique dans les temps antéchristiques que nous vivons et qui ne vont pas aller en s’arrangeant, tant que nous n’aurons pas bu le calice jusqu’à la lie et satisfait à la Justice divine qui ne se fait tant attendre qu’autant qu’Elle sera plus implacable avec les bêtes rétives que nous sommes presque tous…
J’espère que cette méthode du commentaire « ad intra » ne sera pas trop préjudiciable à la lecture sereine et méditative de la plupart d’entre nous.
Au-delà même de ce qui fâche et blesse dans ce document, nous y puiserons toutefois des leçons pour l’avenir et des jalons de route pour notre propre salut. Nous le ferons dans un esprit juste totalement antilibéral et nous nous efforcerons de ne « manquer à la charité » que pour la seule erreur pertinace, subtile et caractérisée.
J’appelle donc les plus lucides d’entre nous, découragés ou angoissés par un tel document, de bien vouloir dépasser leur propres réactions affectivo-intellectuelles et d’admirer à travers tout cela les extraordinaires desseins de Dieu qui s’accomplissent toujours au nez et à la barbe des pauvres pécheurs que nous sommes !
Pierre Legrand.
Conférence Privée. Ne pas mettre sur Internet
(c’est fait !!! Dominos)
Préambule : que se passe-t-il dans la Tradition ?
D’emblée l’auteur (Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus”) de ce factum nous met « au parfum » en nous interpelant avec une interrogation assez saugrenue et une affirmation qui semble vouloir enfoncer des portes ouvertes avec l’adjectif « confuses »…
La situation est aujourd’hui des plus confuses dans la Tradition :
* Un évêque a été expulsé de la Fraternité Saint-Pie X en 2012 ; il y a périodiquement des prêtres qui sont renvoyés, parfois à la suite de procès étranges (1), ou qui partent d’eux-mêmes. D’autre part, dans beaucoup de chapelles, des fidèles se disent mal à l’aise : les sermons n’attaquent plus les erreurs de Vatican II, l’esprit chrétien diminue (immodestie vestimentaire ; mondanité ; manque de convictions, surtout chez la jeunesse, etc.) ; et ceci dans le monde entier.
Voilà ! On dirait que, comme en politique, le ressenti des fidèles se partage en deux camps : les pessimistes (évêque exclu, prêtres renvoyés, fidèles mal à l’aise) et les optimistes qui eux ne se sentent pas du tout mal à l’aise malgré les difficultés avancées par la dite tradition.
* Certains disent au contraire : pourquoi s’inquiéter, puisque rien n’a été signé avec Rome, et puisque Mgr Fellay a dit clairement à plusieurs reprises qu’il n’était pas question de faire un accord avec Rome dans la situation actuelle du nouveau pontificat. Par exemple, dans « Le Rocher » n° 88, bulletin du District de Suisse de la Fraternité Saint-Pie X d’avril-mai 2014, à la question d’un accord éventuel avec Rome, Mgr Fellay répondait :
« Maintenant [sous-entendu : avec le pape François], cela serait de la folie ».
Comment y voir clair ?
Interview de Malachi Martin et recensions
Nous vous avons présenté la nouvelle publication La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican aux ESR, la 19 novembre dernier.
L’éditeur et le traducteur ont préparé une « recension » pour la Revue Le Cep (Centre d’Études et de Prospective sur la science) que nous vous présentons ci-dessous :
« La Maison Battue par les Vents – le roman du Vatican »
Malachi Martin
Éditions Saint-Remi, 2015
(Titre original : Windswept House – A Vatican novel)
« L’Heure du Tentateur », description du livre par son auteur
En 1997, Malachi Martin accorda huit séances d’entretiens enregistrés au journaliste et éditeur canadien Bernard Janzen. « L’Heure du Tentateur » est la transcription de l’un de ces entretiens. En raison de la personnalité de Malachi Martin et de l’exceptionnel intérêt du sujet traité, nous croyons utile d’en proposer un résumé (la plaquette publiée fait 80 pages).
La thèse principale de « L’Heure du Tentateur » est que l’histoire de l’Église est le miroir de la vie du Christ. Aujourd’hui, la période de vie que l’Église traverse reflète Sa passion, Sa souffrance et Sa crucifixion. Au cours de Sa passion, Notre Seigneur a dit : « Mais voici votre heure et la puissance des ténèbres » (Luc 22, 53). Aujourd’hui, il apparaît de nouveau que les forces du mal triomphent : l’approbation légale de l’avortement, le culte du laid dans la culture, la pornographie généralisée, tout cela porte l’empreinte du démon. Dans l’Église, la désertion massive des anciens fidèles, l’horreur des scandales succédant aux scandales, la persécution des bons prêtres et la faiblesse avec laquelle le clergé s’oppose aux maux de notre temps sont autant de signes de la pénétration du démon.
Cependant, cette victoire apparente du mal n’est qu’éphémère, de même qu’au temps du Christ, la victoire apparente du mal fut engloutie dans la gloire de la Résurrection. Nous savons, grâce à Fatima, que l’heure de gloire de l’Église reviendra, car Notre-Dame l’a promis : « À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. » Notre devoir, en tant que chrétiens, est de hâter ce jour du triomphe du Cœur Immaculé de Marie.
La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican aux ESR
Nouvelle parution inédite aux Éditions Saint-Remi
« L’un des ouvrages les plus puissants de la décennie »
(Florida Times – Union)
La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican,
par Malachi Martin
traduit de l’anglais par François Thouvenin
Belle impression offset, papier 70 gr., 792 pages, format 16×24,
couverture pelliculée : 25 €
Lire un extrait : La Maison Battue Par Les Vents
Les éditions Saint-Remi viennent de faire paraître la version française du célèbre roman de Malachi Martin, « Windswept House, a Vatican Novel », (« La Maison Battue par les Vents, Le Roman du Vatican »), qui était paru aux USA en 1996. Ce livre a connu un grand succès dans sa version anglaise, plusieurs centaines de milliers d’exemplaires vendus.
La traduction professionnelle de grande qualité a été réalisée par François Thouvenin. Il est également le traducteur d’autres ouvrages que nous avons publiés : Brouillard Rouge sur l’Amérique de W. Carr, Du Sang Sur l’Autel, Histoire secrète de la société occulte la plus dangereuse du monde de Craig Heimbichner, Impérialisme, Judaïsme et Communisme, ces trois forces qui dominent le monde de Istvàn BAKONY.
En Interview sur Radio Courtoisie :
mercredi 18 novembre à 10h45,
François Thouvenin, le traducteur et Bruno Saglio, directeur des Éditions Saint-Remi, étaient reçus par Benoît Mancheron dans son émission Au fil des pages, sur cet ouvrage de Malachi Martin, un roman à clefs, témoignage important sur les manœuvres
de destruction de la fonction pontificale au Vatican :
« Pourtant, personne en 1962 ne pouvait prévoir avec précision dans quelle mesure Rome, ses évêques et ses Papes allaient faire ami-ami avec ce que beaucoup de gens devaient appeler plus tard des loups en habits ecclésiastiques poursuivant un but mortel pour la doctrine et la moralité catholiques romaines. » p. 217
Écoutez l’émission « Au fil des pages » du 18/11/2015 :
Ce livre nous semble toujours d’actualité, — poursuit l’éditeur —, car il met en scène des personnages sombres qui tentent une prise en main complète du Vatican au service d’un futur Gouvernement Mondial. Il était même prémonitoire, car ces agents du complot cherchent à se débarrasser du « pape slave », jugé insuffisamment docile à leur plan, et le scénario retenu est la démission forcée. Scénario qui se réalisera plus tard en réalité avec Benoît XVI. Ce fait apporte sérieux et crédibilité aux informations données par Malachi Martin, qui a vu de près ce qui ce passait au Vatican. Ce roman semble donc avoir été un prétexte pour décrire une sombre réalité, et avertir ses contemporains.
Nous avons ajouté une annexe, page 37, qui identifie chacun des noms des personnages du roman avec les personnages réels.
La Guerre froide est terminée. Avec des capacités et une audace impossibles à envisager jusqu’à présent, une improbable coalition internationale d’intérêts politiques, financiers et religieux supérieurs voit enfin dégagé devant elle l’itinéraire devant aboutir à son objectif ultime : l’établissement d’une société mondiale unique, l’Utopie.
Avec pour seuls points communs un immense pouvoir et l’ambition démesurée d’en acquérir davantage encore, avec pour slogan l’unité et la prospérité mondiales, avec la trahison, le scandale et l’assassinat comme armes toutes prêtes à servir, ces hommes ont à la fois les moyens et la volonté de s’approprier le mécanisme mondial convenant parfaitement à la réalisation de leurs plans : la plus ancienne, la plus habile et la plus stable chancellerie politique du monde, le Vatican.
Au vortex de cette lutte à mort et aux côtés d’un Pape rompu aux conflits se tiennent deux frères américains, Paul et Christian Gladstone – l’un avocat, l’autre prêtre – qui font figure de pions parfaits. Le premier succombe aux crocs acérés de la cupidité, le second deviendra l’un des très proches alliés du Pape et finira par découvrir les plus noirs secrets de la Rome pontificale.
De l’Amérique à la Russie en passant par l’Europe, parmi de vastes paysages comme dans des couloirs clandestins, une distribution riche et variée – présidents et hommes politiques, saints et pécheurs, faiseurs de papes et aspirants à la papauté – s’entrechoque sur fond d’événements dramatiques et parfois sanglants, tandis que le sort du monde est en jeu.
Étroitement associé à Jean XXIII et au Cardinal Augustin Bea, l’ancien jésuite d’origine irlandaise MALACHI MARTIN (1921-1999) est l’auteur de best-sellers nationaux tels que Les Jésuites, The Final Conclave et Hostage to the Devil.
Né dans le Comté de Kerry, en Irlande, il étudia à l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Il y reçut des doctorats en langue sémitique, en archéologie et histoire orientale. Il étudia ensuite à Oxford et à l’université hébraïque de Jérusalem.
Ordonné prêtre le 15 août 1954, il est professeur à l’institut biblique de Rome de 1958 à 1964, et accomplit certaines missions délicates pour le cardinal Augustin Bea (dont il était le secrétaire privé), et pour les antipapes Jean XXIII et Paul VI. Relevé en 1964 par Montini-Paul VI de ses vœux de pauvreté et d’obéissance à sa propre demande, il reste cependant prêtre. Déménageant à New York il devient un auteur international connu de romans. Ses essais défendent en général les théories du traditionalisme et intégrisme catholique. De tendance traditionaliste, il est déçu des orientations données à l’Église Catholique par le conciliabule Vatican II (d’Eux). Il mentionne fréquemment Monseigneur Lefebvre dont il est sympathisant, sans faire partie de son association.
Abonnement à la Revue La Voix des Francs Catholiques
Nous vous rappelons que les frais de port ont baissé. Voici le tarif identique pour tous les pays :
2.50 € pour 1 titre, puis 1 € en plus par titre, gratuit à partir de 100 € d’achat.
Croustillant !!!….
Le Blog-Note de Petrus
SOURCE – Petrus – 10 octobre 2015
Dialogue entre un “ralliériste” et un “résistant”
Le “résistant” : Ce que fait Mgr Fellay est affreux, épouvantable. Il est en train de brader l’œuvre de Mgr Lefebvre. C’est un traître. Comment peut-il agir ainsi alors que le pape François détruit la morale familiale et conjugale, se fait photographier tout sourire avec des sodomites et des transsexuels…
Le “ralliériste” : Restez calme mon ami. Vous exagérez. Vous vous échauffez. Je vous l’affirme, Mgr Fellay est le fidèle disciple de Mgr Lefebvre qui n’a jamais voulu rompre avec Rome et le Pape. N’a-t-il pas toujours déféré aux convocations des différents dicastères romains ? N’a-t-il pas toute sa vie et jusqu’à sa mort condamné le sédévacantisme et imposé dès 1983 l’una cum au canon de la messe à tous ses prêtres ? N’a-t-il pas écrit dans une lettre à Jean Paul II en 1981 qu’il avait sévi envers les prêtres et les séminaristes qui refusaient de reconnaître l’autorité et la légitimité du pape polonais ? N’a-t-il pas négocié et signé un protocole d’accord le 5 mai 1988 avec le cardinal Ratzinger ?
Le “résistant” : Oui, mais il a renié sa signature dès le lendemain après avoir passé une nuit affreuse. Depuis Assise il avait compris qu’il n’était plus possible de rechercher et de trouver un accord avec la Rome moderniste…
Le “ralliériste” : Vous vous trompez lourdement. Assise a eu lieu en octobre 1986. Mgr Lefebvre a certes condamné cette initiative regrettable du pape Jean Paul II mais cela ne l’a pas empêché d’engager quelques mois après des négociations avec le Vatican, de recevoir à Écône avec tous les honneurs dus à son rang le cardinal Gagnon qui avait le droit à un trône lors des messes et offices auxquels il assistait à Écône, de s’entretenir avec chaleur avec les cardinaux Gagnon et Ratzinger, de signer, ce n’est pas rien, le protocole d’accord du 5 mai 1988 qui reconnaît Vatican II, le Pape Jean Paul II, la validité de la nouvelle messe et des nouveaux sacrements, le nouveau code de droit canon, qui promet l’obéissance au Saint-Siège.
Le “résistant” : Vous ne comprenez pas qu’il a renié sa signature. Vous entendez, il l’a reniée. Reniée ! Reniée !
Le “ralliériste” : Restons raisonnable. Je me dois de vous contredire : Mgr Lefebvre n’a jamais renié sur le fond ce protocole. Pas plus que notre très vénérable supérieur général, Son Excellence Mgr Fellay, n’a rétracté sur le fond son préambule doctrinal du 15 avril 2012. À la vérité, des quatre évêques Mgr Fellay est probablement le plus fidèle à la pensée, à l’action et aux méthodes de notre vénéré fondateur. D’ailleurs, ne trouvez-vous pas qu’il lui ressemble : ses airs inspirés dans ses sermons ponctués de longs silences où son âme contemple les réalités célestes ? Mgr Fellay, c’est la sainteté en acte !
Le “résistant” : Ne changez pas de sujet, n’essayez pas de m’embrouiller. Mgr Lefebvre a renié sa signature quand il a compris qu’il s’était fait rouler…
Le “ralliériste” : Cessez de parler toujours de pièges. Il faut avoir confiance. Ne pensez-vous pas que le Pape puisse avoir vraiment le désir de trouver une solution satisfaisante pour tous, de clore cet épisode douloureux et d’aller de l’avant, d’avancer vers l’unité. J’aime cette expression : aller de l’avant…
Je le répète, Mgr Lefebvre n’a jamais renié sur le fond ce qu’il a signé. Croit-on que le saint évêque soit homme à se renier, soit une girouette guidée par le vent, un modèle d’inconstance ? Évidemment non. Ce serait gravement diffamer notre saint fondateur que de prétendre cela. Si l’accord ne s’est finalement pas fait en 1988, ce n’est pas à cause du contenu du protocole d’accord mais parce qu’on n’accordait pas à Mgr Lefebvre les garanties qu’il avait demandées : la majorité à la commission romaine chargée de la Tradition et une date certaine pour le sacre d’un évêque destiné à assurer sa succession. Le désaccord ne s’est donc pas fait sur des raisons doctrinales mais a pour origines des raisons purement pratico-pratiques, prudentielles, circonstancielles.
Le “résistant” : Reconnaissez au moins qu’à partir des sacres le saint Athanase du XXe siècle n’a plus fluctué, qu’il a durci le ton contre la Rome moderniste et refusé toute perspective d’accord…
Le “ralliériste” : Erreur, mon jeune ami. On voit que vous n’avez pas connu Mgr Lefebvre. Comment cet homme si doux, si humble, si pondéré, si romain aurait-il pu accepter l’idée d’une séparation profonde et durable avec Rome, avec le Saint-Père ? Oui ou non, dans son homélie le jour des sacres Mgr Lefebvre parle-t-il de « Notre Saint-Père le pape », oui ou non dit-il le lendemain de cette cérémonie qu’il a bon espoir qu’un accord avec Rome sera trouvé dans quatre ou cinq ans au maximum, on est à des années-lumière de la dureté que bien à tort vous lui prêtez.
Le “résistant” : Enfin, Mgr Lefebvre a tenu des propos très durs sur les “ralliés”, sur Dom Gérard, disant qu’il ne voulait plus les voir, qu’il fallait couper tout contact avec eux, que les fidèles sous peine de faute grave ne devaient pas aller à la messe de l’Indult. Vous ne pouvez nier qu’il a dit tout cela…
Le “ralliériste” : Mais il faut remettre tout cela dans son contexte. Mgr Lefebvre qui avait du cœur a été très douloureusement touché par le fait que certains de ses anciens compagnons qu’il avait contribué à former, à aider, que pour certains il avait ordonnés, l’abandonnassent, se séparassent de lui. D’où les propos que vous évoquez mais qu’il convient de relativiser, de contextualiser. Il ne faut pas accorder une valeur absolue à des propos tenus sous le coup de l’émotion ou de l’indignation et qui ne sauraient inspirer en tout et pour toujours une ligne de conduite.
D’ailleurs, si vous regardez toute l’histoire de la Fraternité, Mgr Lefebvre a tenu des propos au moins aussi durs sur les prêtres qui l’avaient quitté (ou qu’il a chassés) pour sédévacantisme. Demandez aux neuf prêtres sédévacantistes américains en 1983 si Mgr Lefebvre les a particulièrement ménagés. Notre saint fondateur savait être ferme et énergique quand il le fallait ! Demandez à l’abbé Zins, à l’abbé Seuillot, à l’abbé Guépin, à l’abbé Belmont si Mgr Lefebvre a fait dans la dentelle pour leur dire que dans sa sainte Fraternité il ne voulait pas de brebis galeuse sédévacantiste. Notre fondateur a conféré le diaconat à l’abbé Zins puis l’a chassé pour avoir déchiré une image de Jean Paul II de sorte que l’abbé en question ne pouvait ni devenir prêtre ni se marier et se trouvait donc dans une impasse. Voyez jusqu’où allait la fermeté sur les principes de Mgr Lefebvre. Mieux vaut condamner à la misère un de ses diacres inflexibles plutôt que de mettre en doute l’autorité du pape Jean Paul II !
Là encore Mgr Fellay est parfaitement fidèle au prélat qui l’a fait prêtre et évêque : regardez avec quel sang-froid il a chassé tous les prêtres rebelles, les abbés Pinaud, Salenave, Rioult, Méramo, Cériani et tant d’autres. Il a même été jusqu’à renvoyer son confrère dans l’épiscopat, son aîné de 18 ans, le doyen des quatre évêques : Mgr Williamson. Cela m’a fait penser à Marine Le Pen excluant son père du parti qu’il a fondé et présidé pendant quarante ans. Quelle ferme autorité de notre supérieur ! Quelle belle intransigeance ! Quelle franche détermination ! Et notez bien que Mgr Fellay, s’il sait frapper à droite sait aussi sévir à gauche : regardez le sort de l’abbé Aulagnier, renvoyé par un simple fax après 33 ans de Fraternité, parce qu’il a eu le tort d’approuver trop tôt et trop bruyamment l’accord de Campos avec Rome, l’abbé Laguérie privé de couverture sociale et à qui ont été envoyés des vigiles et des chiens au prieuré de Bruges. Mgr Fellay a préféré perdre l’église Saint-Éloi plutôt que de négocier sur les principes, quel homme ! Quel grand homme ! Plutôt perdre des biens que de céder sur l’essentiel, c’est du grand saint Pie X !
Le “résistant” : Vous me dégoûtez ! Quel cynisme ! Vous ne pouvez quand même pas nier que Mgr Lefebvre est connu dans le monde entier comme l’évêque valeureux qui a résisté à Vatican II et à la révolution conciliaire…
Le “ralliériste” : Là encore les choses sont plus complexes que ce que croit votre esprit étroit. Oui ou non Mgr Lefebvre a-t-il signé tous les textes et documents de Vatican II, y compris celui sur la liberté religieuse ? Mgr Tissier dont on ne peut nier l’amour qu’il porte au vénérable archevêque a reconnu dans sa biographie parue en 2002 que, contrairement à ce qu’il avait affirmé de son vivant, Mgr Lefebvre avait signé, approuvé tout Vatican II.
Le “résistant” : Vous insinuez que notre saint fondateur était un menteur ? C’est ça, dites-le franchement. Répétez-le pour voir !
Le “ralliériste” : Menteur, comme vous y allez ! Mgr Lefebvre était animé par l’amour de la vérité. Disons seulement que dans cette affaire il a poussé jusqu’à ses extrêmes limites le concept de restriction mentale chère à nos amis jésuites… N’oublions pas non plus que Mgr Lefebvre a refusé d’apposer sa signature au Bref examen critique sur la nouvelle messe des cardinaux Ottaviani et Bacci. Toujours cette prudence surnaturelle qui le guidera toute sa vie.
Le “résistant” : Cynisme toujours ! Vous cherchez seulement à me déstabiliser !
Le “ralliériste” : Je cherche à vous apaiser mon ami. Je suis plein d’optimisme pour l’avenir de l’Église. Cessons, comme le disait saint Jean XXIII, de se laisser influencer par les « prophètes de malheur ». Ne voyez-vous pas des signes de renouveau dans l’Église ? Certes tout n’est pas parfait ici-bas mais sachons voir et analyser les signes positifs. Ne nous laissons pas aller à l’amertume et au zèle amer. Évitons le durcissement du cœur et les infatuations de l’orgueil. Ouvrons-nous, accueillons avec joie, avec gratitude, avec émerveillement le geste paternel de Sa Sainteté le Pape François qui a jugé valides et licites les absolutions conférées par nos prêtres pendant toute l’Année de la miséricorde fêtant les 50 ans de la clôture du concile Vatican II. Rendons grâces au Seigneur pour cette merveilleuse nouvelle.
De même que Mgr Fellay avait fait chanter des Magnificat après le Motu Proprio de 2007 libérant la messe tridentine, des Te Deum en 2009 pour la levée des excommunications, chantons des Salve Regina solennels pour ce geste courageux de notre Saint-Père car d’évidence il s’agit d’un troisième miracle de Notre-Dame.
Comme l’avait déclaré notre supérieur général qui sait infailliblement reconnaître les miracles tant il est saint et inspiré, le Motu Proprio et la levée des excommunications étaient d’évidence des miracles de Notre-Dame qui a récompensé notre bien aimée Fraternité de ses croisades du Rosaire que le si zélé et si spirituel abbé Lorans avait fort justement qualifié dans Nouvelles de chrétienté de « nouvelle bataille de Lépante ». Le courageux abbé Lorans que les mauvaises langues appellent méchamment « le petit caniche à rubans de Mgr Fellay » fait toujours dans l’excellence mais ce jour-là il s’était surpassé. C’est ça : la nouvelle bataille de Lépante ! J’en ai des frissons tellement c’est beau ! Avec l’abbé Lorans nous respirons l’air des cimes !
Le “résistant” : Arrêtez, vous blasphémez ! Instrumentaliser la Mère de Dieu afin de mener à bien une opération de ralliement-apostasie à l’église Conciliaire, il n’y a rien de plus vomitif ! Vous devriez avoir honte ! Mgr Lefebvre a toujours combattu l’église Conciliaire, lui ! Et il ne s’abritait pas derrière la Sainte Vierge pour justifier ses rares pourparlers avec Rome !
Le « ralliériste » : Mgr Lefebvre avait un même amour de la Sainte Vierge que Mgr Fellay. Pensez, après les sacres, il avait changé le célèbre adage catholique « Ubi Petrus, ibi Ecclesia » en « Ubi Maria, ibi Ecclesia ». Là où est Marie, là est l’Église. Quelle merveille ! Quel grand théologien ! Le fil conducteur entre Mgr Lefebvre et Mgr Fellay, c’est ce même amour de Dieu, du Pape et de la Sainte Vierge, cette même fidélité à une ligne droite, ce refus permanent du double discours et de la manipulation des esprits.
Par ailleurs, si le saint fondateur d’Écône avait toujours combattu l’église Conciliaire comme vous le prétendez, croyez-vous qu’il se serait rendu de bonne grâce aux convocations des cardinaux Seper et Ratzinger à la Congrégation pour la doctrine de la foi, croyez-vous qu’il aurait été voir toutes affaires cessantes Paul VI en 1976 et Jean Paul II dès son élection en 1978 ? Croyez-vous qu’il aurait demandé et obtenu les autorisations nécessaires pour la fondation de la Fraternité Saint-Pie X, pour l’érection de son séminaire international en 1970 ? Mgr Lefebvre a toujours reconnu l’autorité du pape et des dicastères romains, ainsi que celle des évêques résidentiels et des curés de paroisse. Telle est la réalité.
Lorsqu’il parle d’église Conciliaire, il fait allusion à l’esprit libéral voire moderniste qui a envahi une partie plus ou moins importante, selon les moments, de la hiérarchie mais il n’a jamais nié publiquement la légitimité ni l’autorité de cette hiérarchie. À ses yeux, l’église Conciliaire n’est pas une entité autonome et distincte de l’Église catholique. Pensez autrement, c’est être sédévacantiste, ce que Mgr Lefebvre n’a jamais été.
Le “résistant” : Bien que mes amis et moi rejetions le sédévacantisme par fidélité à Mgr Lefebvre qui ne peut ni se tromper ni nous tromper, reconnaissons quand même que dans son sermon à Écône, à Pâques 1986, évoquant le futur rassemblement à Assise organisé par le pape Jean Paul II, notre fondateur dit bien que dans quelques semaines ou quelques mois il sera peut-être obligé de reconnaître publiquement que le pape n’est pas le pape car on ne peut pas à la fois être la tête de l’Église et être hérétique formel ? À un moment donné Mgr Lefebvre s’est donc bien posé sérieusement la question !
Le “ralliériste” : Mais là encore vous accordez une importance exagérée à une citation tirée de son contexte. Pour comprendre Monseigneur, il faut prendre en compte la totalité de ses écrits, de ses homélies, de ses conférences et de ses interviews, on ne peut isoler telle ou telle citation.
Si vraiment il fallait accorder une grande importance aux propos que vous évoquez, Mgr Lefebvre aurait fait des déclarations solennelles allant dans ce sens le jour d’Assise ou à sa suite. Or jusqu’à sa mort, cinq ans après, il n’a jamais redit de telles choses qui, notez-le, étaient sous une forme interrogative, explorative et nullement affirmative et sentencieuse.
Mais si vous voulez tout savoir, je vais vous dire pourquoi Mgr Lefebvre a tenu ces propos ce jour-là : quatre prêtres du district italien de la Fraternité qui dirigeaient la revue Sodalitium (créée en 1984 avec la bénédiction de Mgr Lefebvre) venaient de quitter la FSSPX, en décembre 1985, et de fonder à Turin un petit Institut qui existe toujours, l’Institut Mater Boni Consillii (IMBC). Plusieurs séminaristes d’Écône, scandalisés par Assise, étaient alors tentés de les rejoindre. En bon politique, Mgr Lefebvre a fait cette déclaration pour les rassurer, les neutraliser. L’opération a parfaitement fonctionné : ils sont tous restés au séminaire d’Écône, sauf un séminariste italien, l’abbé Giugni qui a rejoint l’IMBC en décembre 1986. Mais notre fondateur n’avait aucune intention, la suite l’a prouvé, de déclarer la vacance du Saint-Siège.
On l’oublie souvent : Mgr Lefebvre était aussi un grand politique. Il savait être diplomate, pragmatique et rusé. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, c’est bien connu.
Le “résistant” : Mais si Mgr Lefebvre était vraiment l’homme que vous décrivez, je ne sais plus quoi penser. Le sédévacantisme est une erreur et un péché nous a-t-on répété depuis 40 ans et le ralliement à l’église Conciliaire m’apparaît comme une trahison du combat de la foi. Je ne sais plus à quel saint me vouer.
Le « ralliériste » : Détendez-vous et faites confiance au successeur légal et légitime de Mgr Lefebvre. Mgr Fellay est son digne héritier. Même prudence de gouvernement, même habileté, même sens de l’équilibre, même attitude raisonnable fuyant toute extrémité, même force surnaturelle, même amour des principes mâtiné de pragmatisme, même intransigeance envers les prêtres déviants, même sainteté éclatante, même humilité, même zèle pour la gloire de Dieu et le salut des âmes, même réussite matérielle, mêmes mimiques, même élocution et mêmes chauffeurs pour les conduire… à Rome. Cette Rome d’où nous venons et où nous retournons sous l’autorité du bon pape François qui, par humilité, ne juge ni les gays ni les transsexuels.
Du haut du Ciel Mgr Lefebvre peut-être fier de Mgr Fellay et de tous ses prêtres : nous lui sommes restés fidèles. Merci, Monseigneur, d’avoir placé des saints à la tête de votre œuvre. Merci, merci, merci !
Petrus
LA RÉVOLUTION CONCILIAIRE, SES POMPES ET SES ŒUVRES…
La Révolution Conciliaire, ses Pompes et ses Œuvres….ça continue !
Exit les Curés !!!
Place aux “Prêtres Administrateurs” et aux « EAP » !!! (“équipes d’animation pastorale” !)
Difficile, chers lecteurs, de contenir une profonde tristesse mêlée de rage et de colère……
Satan-Lucifer et tous ses suppôts, les hiérarques de la secte Conciliaire, savent pertinemment que s’attaquer aux fondements de la paroisse est aussi indispensable que s’attaquer à la famille, cellule de base, dans l’ordre séculier… Ce parallèle parlera sans doute à beaucoup d’entre nous…
Ainsi, assiste-t-on à la disparition programmée (merci François Zéro Pointé !) des curés (St Jean Marie Vianney au-secours !) et à la mise en avant des équipes de laïcs via une animation obligatoire pour masquer le vide abyssal, tant surnaturel que sacramentel et liturgique, de leurs nouveaux “rites et gesticulations” entièrement nuls, vains et invalides… Les leurres, comme dirait un de nos fidèles lecteurs, fonctionnent à plein rendement !!! Et les regroupements de “paroisses” sont un alibi facile pour opérer ce « grand œuvre » qui ose à peine dire son nom !
« L’évolution de la vie paroissiale est en jeu » nous disent-ils sans rire, en ajoutant même que « l’Esprit de Dieu, souffle imprévisible de Sa Présence, 50 ans après le Concile Vatican II, change les habitudes de l’Église d’Occident. Ce vent de Pentecôte permet aux décrets conciliaires d’être mis en œuvre de plein droit pour donner des responsabilités renouvelées à des laïcs. »
Vous noterez, chers lecteurs, que c’est le “vent de Pentecôte” qui permet de mettre en œuvre les sacro-saints décrets conciliaires !!! Le démon connait ses classiques et sait pertinemment qu’aucun fidèle n’oserait s’opposer à ou remettre en question ce “VENT” là !!!!!!!!!!!!!
Vent démoniaque et véritablement pestilentiel, sorti tout droit des profondeurs abyssales du gouffre infernal où la Présence de Dieu est à jamais refusée et bannie…
Quant au bonhomme déguisé en « prêtre catholique », il (le “prêtre administrateur” = président-animateur de la synaxe de Caïn !) veille à accomplir la vie sacramentelle (!) et au respect du droit de l’« Église ».
« Le “prêtre référent” (comme le toubib !!!) ne réside plus sur la paroisse et ses fonctions et tâches pastorales sont réparties autrement, essentiellement dans l’Équipe d’Animation Pastorale : ses laïcs y sont pleinement engagés suite à leur formation (sic !) et par le travail en équipe (resic !). Ils assument ainsi leur tâche propre de baptisés-confirmés. » nous disent-ils encore… (Admirable n’est-ce pas ! mais que font alors les autres baptisés-confirmés ? ils se tournent les pouces ?!!non ! ils dansent, consomment et copulent joyeusement avec le « vent » !!!)
Quant aux fameuses “Équipes” (EAP), elles sont appelées à discerner ce qui est essentiel pour que l’Évangile soit annoncé à tous et par tous les baptisés. Pas besoin, donc, de vous faire un dessin, chers lecteurs… (Hé bien si !… ↷ )
Afin d’illustrer mes modestes propos, qui sont hélas loin d’épuiser un sujet aussi vaste, je suis allé emprunter à nos « amis résistants » de “La Sapinière” une vraie leçon de chose avec, en vedette américaine, un pauvre prêtre de 82 ans, embarqué bien malgré lui dans une sale affaire et qu’une partie des paroissiens « regroupés » (dans tous les sens du terme !) tentent de défendre du mieux qu’ils peuvent ; mais, comme de bien entendu, la partie semble bien perdue d’avance.
Le châtiment avance, avec ses troupes monstrueuses, ses équipes endiablées, ses administrateurs et référents infestés, ses fantoches mitrés invalides et son Clown Blanc précurseur de l’Antéchrist ! Plus que jamais, chers lecteurs, l’heure n’est plus à la compromission d’aucune sorte et nous devons fuir comme la peste cette secte de perdition, ses pompes, ses œuvres et ses fruits de mort. Il y aura des pleurs et des grincements de dents…
Mais je vous laisse lire l’édifiant article de “La Sapinière”, tout en regrettant que ces catholiques n’aillent toujours pas jusqu’au bout de leurs conclusions.
Pierre LEGRAND