Archive for the ‘Mgr Fellay’ tag
Réponse au Tertiaire franciscain de la Sainte-Croix, suite aux réponses sédéplénistes de La Question…
Nos ennemis les plus féroces, ne désarment toujours pas !
Après Calixte, le Grand Prêtre et Grand Gourou du blogue “La Question”, « Le disciple pénitent » a maintenant maille à (dé)partir avec un Tertiaire franciscain des plus virulent.
relance du fil de discussion sur “La Question”
Mgr Lefebvre : un adversaire résolu du sédévacantisme ! | La Question : Actualité Religieuse
Réponses sur un blogue…
Les mille et une erreurs traditionalistes
Le “Tertiaire franciscain de la Sainte-Croix” ayant de relancer le fil de la discussion sur le sédévacantisme dans le blogue La Question…
Tertiaire franciscain de la Sainte-Croix permalien
13 mars 2014 23:01
* * *
Voici ma réponse au Tertiaire franciscain qui me reprochait de ne pas obéir aux lois de l’Église et de quitter l’Église… Ou la dissertation sur « constat objectif/déduction objective » ; démarche pour trouver le Vrai…
Résumé : constat objectif : le ciel est bleu ► déduction objective : il fait beau ; constat objectif : François participe à des cultes non-catholiques et approuve JP II par sa canonisation
► déduction objective il est hérétique formel et n’est pas Pape.
Ceux qui ne voient pas cela sont comme ceux qui disent le ciel est bleu, il fait donc mauvais temps. Ou bien le ciel est bleu, mais je ne peux pas affirmer qu’il fait beau temps car certains (la majorité) disent qu’il fait mauvais temps. De là, le conformisme aliénant et mensonger ; l’esprit démocratique contraire à l’esprit de vérité…
Le lecteur pourra se reporter au PDF pour les échanges que nous avons eus auparavant :
Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte …suite
Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte
(suite de http://wordpress.catholicapedia.net/?p=13019)
Mises au Point de Louis-Hubert Remy,
7 mars 2014, en la fête de saint Thomas d’Aquin
Quand comprendra-t-on que celui qui engendre la zizanie ou la division
n’est pas celui qui dénonce l’erreur,
mais celui qui enseigne l’erreur ou ne la combat pas ?
Ayant été surpris par certains commentaires de ce fil, et n’ayant pas pu intervenir pendant ces jours de débat, je me permets de le reprendre car il me semble que l’on est passé à côté de l’essentiel. Je ne règle pas mes comptes, comme vont dire les sots, je défends la vérité. Soyez exigeants avec vos prêtres, nous disait l’abbé Vérité.
Dom Guéranger, au 9 avril de L’année Liturgique, cite quelques phrases de saint Cyrille dans son combat contre Nestorius qui devrait être apprise par cœur par tous les catholiques militants :
« Quand le pasteur se change en loup, c’est au troupeau de se défendre tout d’abord. Régulièrement sans doute la doctrine descend des évêques au peuple fidèle, et les sujets, dans l’ordre de la foi, n’ont point à juger leurs chefs. Mais il est dans le trésor de la révélation des points essentiels, dont tout chrétien, par le fait même de son titre de chrétien, a la connaissance nécessaire et la garde obligée. Le principe ne change pas, qu’il s’agisse de croyance ou de conduite, de morale ou de dogme. Les trahisons pareilles à celle de Nestorius sont rares dans l’Église ; mais il peut arriver que des pasteurs restent silencieux, pour une cause ou pour l’autre, en certaines circonstances où la religion même serait engagée. Les vrais fidèles sont les hommes qui puisent dans leur seul baptême, en de telles conjectures, l’inspiration d’une ligne de conduite ; non les pusillanimes qui, sous le prétexte spécieux de la soumission aux pouvoirs établis, attendent pour courir à l’ennemi, ou s’opposer à ses entreprises, un programme qui n’est pas nécessaire et qu’on ne doit point leur donner. »
(…) Cyrille tenta de ramener Nestorius. Mais le sectaire s’opiniâtrait ; à défaut d’arguments, il se plaignait de l’ingérence du patriarche. Comme toujours en pareille circonstance, il se trouva des hommes d’apaisement qui, sans partager son erreur, estimaient que le mieux eût été en effet de ne pas lui répondre, par crainte de l’aigrir, d’augmenter le scandale, de blesser en un mot la charité. À ces hommes, dont la vertu singulière avait la propriété de s’effrayer moins des audaces de l’hérésie que de l’affirmation de la foi chrétienne, à ces partisans de la paix quand même, Cyrille répondait :
(…) « Que ne puis-je, répondait Cyrille, satisfaire l’évêque de Constantinople, apaiser l’amertume de mon frère ! Mais c’est de la foi qu’il s’agit ; le scandale est dans toutes les Églises ; chacun s’informe au sujet de la doctrine nouvelle. Si nous, qui avons reçu de Dieu la mission d’enseigner, ne portons pas de remède à de si grands maux, au jour du jugement y aura-t-il pour nous assez de flammes ? Déjà la calomnie, l’injure, ne m’ont pas manqué ; oubli sur tout cela : que seulement la foi reste sauve, et je ne concéderai à personne d’aimer plus ardemment que moi Nestorius. Mais si, du fait de quelques-uns, la foi vient à souffrir, qu’on n’en doute point : nous ne perdrons pas nos âmes, la mort même fût-elle sur notre tête. Si la crainte de quelque ennui l’emporte en nous sur le zèle de la gloire de Dieu et nous fait taire la vérité, de quel front pourrons-nous célébrer en présence du peuple chrétien les saints martyrs, lorsque ce qui fait leur éloge est uniquement l’accomplissement de cette parole : Pour la Vérité, Combats Jusqu’à la Mort ! (Eccli. IV, 33) »
(…) « Quant à ce qui est de moi, écrit-il à ses clercs résidant pour lui dans la ville impériale, peine, vivre et mourir pour la foi de Jésus-Christ est mon plus grand désir. Comme il est écrit, je ne donnerai point de sommeil à mes yeux, je ne clorai point mes paupières, je n’accorderai point de repos à ma tête (Psalm CXXXI, 4 – 5), que je n’ai livré le combat nécessaire au salut de tous. C’est pourquoi, bien pénétrés de notre pensée, agissez virilement ; surveillez l’ennemi, informez-vous de ses moindres mouvements. Au premier jour je vous enverrai, choisis entre tous, des hommes pieux et prudents, évêques et moines ; dès maintenant je prépare les lettres, telles qu’il les faut et pour qui il convient. J’ai résolu pour la foi du Christ de travailler sans trêve, et de supporter tous les tourments, même réputés les plus terribles, jusqu’à ce qu’enfin m’arrive de subir la mort qui sera douce pour une telle cause. »
Et dom Guéranger finit par cette consigne :
(…) Ô vous qui portâtes à l’erreur des coups si terribles, montrez aux docteurs de nos temps la manière de vaincre : qu’ils sachent comme vous s’appuyer sur Pierre ; qu’ils ne se désintéressent de rien de ce qui touche à l’Église ; qu’ils regardent toujours comme leurs propres ennemis, et leurs seuls ennemis, ceux du règne de Dieu. Dans vos sublimes écrits, les pasteurs apprendront la vraie science, celles des saintes Lettres, sans laquelle leur zèle serait impuissant. Les Chrétiens comprendront à votre école qu’ils ne peuvent espérer croître dans la vertu, sans grandir dans la foi tout d’abord, sans développer en eux la connaissance du mystère de l’Homme-Dieu. En un temps où le vague des notions suffit à tant d’âmes, répétez à tous que « c’est l’amour du vrai qui conduit à la vie ». (Cyr. Al. Homil. div I).
La secte des barbus a encore frappé !
L’Abbé Chazal réclame sa part du gâteau !
La secte des barbus a encore frappé !
L’Abbé Chazal réclame sa part du gâteau !
(Article facétieux de Pierre Legrand)
Que mes lecteurs me pardonnent mais je ne suis rédacteur en chef ni de Closer ni de Détective Magazine !… Mon but n’est pas de trop adoucir votre Carême, mais de vous faire partager un petit moment de détente chrétienne…
Dans un passé récent, j’ai dû affronter quelques “blocages neurologiques” avec ce prêtre poilu à la prose si atypique et « border line »…
Je ne pense pas être tout à fait guéri mais je veux vous faire partager ce matin ma bonne humeur en lisant le dernier « post » de cet abbé, dont le titre surréaliste est à lui tout seul un petit programme ! « Accuser les excuses » est en effet une formule inédite, sauf erreur de ma part ! On a beau être habitué aux tradi-loufoqueries et aux contorsions traditionalistes, on reste coi lorsque le talent clérical vous sort de telles trouvailles !
Dans ce petit éditorial, l’Abbé, qui cache son humour dans une barbe épaisse et fleurie (?), nous explique sans fard que Mgr Fellay doit rendre leur part du gâteau aux résistants de la FSSPX qui, après tout l’ont amplement méritée !
L’Abbé commence par une flatterie …mitigée puisqu’il compare Mgr Fellay à Saül ! Rien que ça ! Mais un Saül dont les actions ne connaissent pas d’infléchissement réel… Aïe ! Mgr serait-il accusé par l’Abbé de gamberger uniquement dans la cinquième dimension ? C’est à craindre…
Ensuite notre cher Abbé Bouchacourt est élevé au rang de libéral par la secte pilaire. C’est lui faire beaucoup d’honneur, alors que le brave homme n’est que le symbole du prêtre pieux et cohérent, respectueux de sa hiérarchie et qui entend lui obéir… (il fut un temps mon confesseur et je peux vous assurer qu’il n’avait rien de libéral !)…
Après une rapide revue des « crimes » de Mgr, l’Abbé en vient à parler du Père Jean (autre résistant !) puis à nous entretenir, en termes barbares, d’une certaine DQA (déclaration du 15 avril…ça ne s’invente pas !) pour ensuite nous envoyer à la figure un OVNI lexical en la personne (?) de …accrochez-vous !… « la théorie de réingurgitation sélective du concile ». Quesaco ???! Quand je vous dis que les entités supérieures extraterrestres ont infiltré la tradition, je ne me trompe guère…. Cette réingurgitation ne serait-elle pas l’apanage de clercs reptiliens ? Pardon, chers lecteurs, si vous me lisez à l’heure du repas !!!
Ensuite l’Abbé pose ses conditions pour le partage du gâteau et la réinsertion des clercs résistants dans le laboratoire – c’est ainsi que l’on nomme le lieu où s’élaborent les pâtisseries en tous genres – de la Tradition et où les hommes de l’art s’évertuent, par des dosages secrets et minutieux, de rendre le gâteau appétissant et bien dosé en sucre….sans oublier le glaçage final, pour le coup d’œil !
Rappeler la « vieille garde » semble être le leit motiv principal de l’Abbé car une vieille garde est obligatoirement composée des éléments les plus « sûrs aux postes importants ». Affirmation téméraire ? Que nenni ! Énoncé de ce qu’on appelle une obligation de résultat, tout simplement ! Et pour qu’il y ait résultat, l’Abbé nous rappelle les 3 points incontournables :
1/ condamnation des erreurs passées (1 Mgr averti en vaut 2 !)
2/ casse des mesures prises et rappel de la fameuse vieille garde (of course!)
3/ retour aux lois (?) antérieures et affirmation du dogme du « Nulla Pars » !
Je passe sur la formule magique incantatoire, destinée à mieux faire passer le message… Il ne faut rien négliger : “docere-regere-lex ferre” (inutile d’attendre la pleine lune dois-je préciser…)
Quel beau programme n’est-ce pas ! Sauf que le Mgr en question n’a pas envie de voir ses troupes fondre de moitié ! On le comprend. Et assez perfidement l’Abbé ajoute que l’esprit libéral de Mgr ne va pas jusque-là ! Que voulez-vous, une grosse machinerie comme la F$$PX doit maintenir ses comptes en équilibre !!!…
Mais il y a pire pour notre Abbé : si Mgr n’obtempère pas aux fringales sucrées (le gâteau !) de notre Abbé, ce dernier va jusqu’à le menacer – indirectement – de perdre toute crédibilité auprès de…je vous le donne en mille…. ROME !!! Ah ! cher Abbé ! Il a tout compris !
Seulement l’Abbé qui n’est pas complètement à l’ouest sait pertinemment que les (ses) menaces ne marchent pas toujours…la preuve c’est que l’Abbé de Cacqueray a eu un traitement de faveur (noblesse oblige !!!) : l’anesthésiant a été administré à petites doses de manière à ce que notre clerc au sang bleu ne s’aperçoive de rien… Que voilà de la « belle ouvrage » comme on dit en patois normand !!! Bravo Mgr…le Cacqueray est dans l’filet !
La tentation est forte pour notre Abbé – il le reconnait à moitié – de comparer Mgr au Malin. Fort heureusement Saül vient lui sauver la mise, si j’ose dire ! Gageons que notre Saül, moderne roi d’Israël, aura pris soin de consulter la sorcière d’Endor ce qui lui vaudra le qualificatif peu flatteur de machiavélique par notre Abbé pileux !
Bref ! Avec l’Abbé Chazal on passe toujours un bon moment…lorsqu’on n’est pas, comme moi, allergique aux poils !
Je vous remercie de votre attention.
Faut-il accuser les excuses de Mgr Fellay à Flavigny ?
par l’abbé Chazal
PAPA SUPERSTAR
Nos confrères de Radio Cristiandad (La Voz de la Tradición Católica) ont publié le 30 janvier dernier, un article d’Osko, (l’auteur de l’article) intitulé « Un « Papa » SuperStar » suite à la « Une » de la revue rock emblématique Rolling Stone sur Bergo(go)glio 1er.
Cet article nous a apparu assez intéressant et amusant pour vous en proposer la traduction en français…
Sortie prochaine d’un opéra-rock :
Papa SuperStar
Le « Pape » SuperStar
Et pourquoi pas ? Puisqu’on a déjà connu un « opéra » irrespectueux et à coup sûr blasphématoire consacré au personnage de Jésus-Christ (ou ce que les jobards entendent par Jésus-Christ), pourquoi ne pas mettre en scène un opéra-rock dont les superstars seraient les pseudo-papes conciliaires ?
UN CLERC ENFIN CLAIR
ENFIN UN CLERC ENFIN CLAIR
L’abbé Abrahamowicz fait le point
D’aucuns le traiteront de “simpliste” : on connait !
Il est tout simplement : simple, car la Foi catholique est simple. Seule l’erreur est compliquée.
Face aux angoisses antisedevacantistes de Mgr Williamson (voir plus bas), l’abbé expose les absurdités de Mgr Willianson et celles de ses confrères “résistants” opposés aux aventures de Mgr Fellay. Mais il y a des dizaines d’années que ces absurdités ont été reprochées à Mgr Willianson et qu’il s’en moque complètement. Il sait que ses positions sont absurdes, il ne changera pas. Il n’est pas du camp de la vérité et cela depuis le début !
Il ne suffit pas d’être contre Mgr Fellay pour être dans la vérité.
Profitons-en pour faire remarquer que les projets des anti-Fellay, Avrillé compris, sont sans avenir. Mgr Williamson parle de sacrer. Qui ? Pourquoi ? quelques évêques de plus pour confirmer et faire quoi ? un séminaire ? avec qui ? ouvrir de nouvelles chapelles ? avec quelles troupes ?
Il est trop tard ! tout cela est mort-né ! Plus personne ne se convertit !
Dans les chapelles non-una-cum on en sait quelque chose : aucune vocation, aucun prêtre converti au « non una cum ». Mgr Guérard en avait converti une centaine (?) dans le monde entier.
Depuis 35 ans, où sont les vocations, où sont les conversions de prêtres non-una-cum, où sont les conversions de fidèles, que ce soit de Verrua, des abbés Guépin, Belmont, Seuillot, du P. Raffalli ? Rien, rien. Œuvres sans fruit ! Chapelles sans fidèles ou presque.
Alors qu’attendre des ʺ40ʺ ? Ils n’ont pratiquement pas de fidèles. Qui les suivra ? Le travail des Adrien Loubier de Bonnet de Viller, Max Barré, Paul Chaussé, etc. arrive trop tard et n’était pas assez rigoureux. Leurs lecteurs ne sont pas assez formés et ne sont que des lecteurs, pas des combattants de la foi.
L’abbé Abrahamowicz est clair mais son message arrive trop tard lui aussi. Depuis vingt ans et plus nous répétons le même message. Nous n’en avons reçu que des quolibets, des moqueries, des injures, y compris de ces nouveaux adeptes soi-disant plus fermes. Ils vont découvrir combien rejeter tout Vatican d’Eux est peu partagé. Ils vont découvrir que Dieu vomit les tièdes et qu’à la fin du 5è âge il y a si peu de croyants qu’ils se connaissent par leur nom (Holzhauser).
Écoutez le sermon du dimanche de la Chandeleur
de l’abbé Florian Abrahamowicz :
[audio:http://catholicapedia.net/audio/Abbe-Abrahamowicz_Mgr-Williamson-et-le-sedevacantisme.mp3|titles=Sermon de la Chandeleur|artists=Abbé Abrahamowicz]
Un morceau d’anthologie !!!
Un morceau d’anthologie !!!
De couche en couche, nos bons tradis – majoritairement lefebvristes comme toujours – en remettent encore et encore….décrivant avec cynisme l’atmosphère irrespirable d’un traditionalisme mortifère, hérétique et contradictoire. Nous avons mis en gras et en couleur tous les passages susceptibles de faire surchauffer – voire imploser ! – les neurones de nos amis catholiques semper idem, catholiques qui ne manqueront pas d’implorer la miséricorde du Ciel sur le malheur des temps, miséricorde qui ne sera guère accordée avant que nous ne buvions le calice jusqu’à la lie et que nous ne supportions en esprit de réparation ces châtiments qui frappent, en guise d’apéritif, nos âmes et nos cœurs d’une nausée irrépressible… Il y a, dans ce texte, tant d’aveux naïfs ou calculés, que nous laisserons au lecteur attentif le soin de les recenser avec saine délectation ! Plus que jamais le constat, à vue humaine, est accablant et désespérant et il apparaitra aux âmes qui ont vraiment raison gardé que le traditionalisme en 2014 est décidément une Voie Sans Issue !
Pierre Legrand.