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Annonce : Nouveau titre aux ESR :
ILS ONT TOUT DÉTRUIT, LE SÉDÉVACANTISME, LE PROBLÈME DE L’UNA CUM, PROBLÈME DE L’HEURE PRÉSENTE
Réunis en un même ouvrage de 185 pages, trois textes importants de Louis-Hubert REMY :
Ils ont tout Détruit,
Le Sédévacantisme,
Le Problème de L’Una Cum, Problème de l’Heure Présente
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M. Louis-Hubert REMY
Volume : 1
Nombre de pages : 185
Format : 14,5×20,5
Qualité : 3
Langue : Français
ESR : Édition Saint Remi : http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=1497&PSRC=%2Findex.php
L’Arche de Noé et le Déluge : Preuves Historiques et Scientifiques
L’Arche de Noé et le Déluge : Preuves Historiques et Scientifiques
Voici un très intéressant documentaire sur la réalité de la découverte de l’arche de Noê.
J’ai bien connu Navarra qui m’a donné un tout petit morceau de l’arche de Noê que je garde précieusement.
Il habitait Bordeaux et j’ai assisté au film qu’il avait fait sur l’arche.
Où en est-on aujourd’hui 55 ans après la quasi certitude de la découverte de l’arche par Fernand Navarra ?
Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte …suite
Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte
(suite de http://wordpress.catholicapedia.net/?p=13019)
Mises au Point de Louis-Hubert Remy,
7 mars 2014, en la fête de saint Thomas d’Aquin
Quand comprendra-t-on que celui qui engendre la zizanie ou la division
n’est pas celui qui dénonce l’erreur,
mais celui qui enseigne l’erreur ou ne la combat pas ?
Ayant été surpris par certains commentaires de ce fil, et n’ayant pas pu intervenir pendant ces jours de débat, je me permets de le reprendre car il me semble que l’on est passé à côté de l’essentiel. Je ne règle pas mes comptes, comme vont dire les sots, je défends la vérité. Soyez exigeants avec vos prêtres, nous disait l’abbé Vérité.
Dom Guéranger, au 9 avril de L’année Liturgique, cite quelques phrases de saint Cyrille dans son combat contre Nestorius qui devrait être apprise par cœur par tous les catholiques militants :
« Quand le pasteur se change en loup, c’est au troupeau de se défendre tout d’abord. Régulièrement sans doute la doctrine descend des évêques au peuple fidèle, et les sujets, dans l’ordre de la foi, n’ont point à juger leurs chefs. Mais il est dans le trésor de la révélation des points essentiels, dont tout chrétien, par le fait même de son titre de chrétien, a la connaissance nécessaire et la garde obligée. Le principe ne change pas, qu’il s’agisse de croyance ou de conduite, de morale ou de dogme. Les trahisons pareilles à celle de Nestorius sont rares dans l’Église ; mais il peut arriver que des pasteurs restent silencieux, pour une cause ou pour l’autre, en certaines circonstances où la religion même serait engagée. Les vrais fidèles sont les hommes qui puisent dans leur seul baptême, en de telles conjectures, l’inspiration d’une ligne de conduite ; non les pusillanimes qui, sous le prétexte spécieux de la soumission aux pouvoirs établis, attendent pour courir à l’ennemi, ou s’opposer à ses entreprises, un programme qui n’est pas nécessaire et qu’on ne doit point leur donner. »
(…) Cyrille tenta de ramener Nestorius. Mais le sectaire s’opiniâtrait ; à défaut d’arguments, il se plaignait de l’ingérence du patriarche. Comme toujours en pareille circonstance, il se trouva des hommes d’apaisement qui, sans partager son erreur, estimaient que le mieux eût été en effet de ne pas lui répondre, par crainte de l’aigrir, d’augmenter le scandale, de blesser en un mot la charité. À ces hommes, dont la vertu singulière avait la propriété de s’effrayer moins des audaces de l’hérésie que de l’affirmation de la foi chrétienne, à ces partisans de la paix quand même, Cyrille répondait :
(…) « Que ne puis-je, répondait Cyrille, satisfaire l’évêque de Constantinople, apaiser l’amertume de mon frère ! Mais c’est de la foi qu’il s’agit ; le scandale est dans toutes les Églises ; chacun s’informe au sujet de la doctrine nouvelle. Si nous, qui avons reçu de Dieu la mission d’enseigner, ne portons pas de remède à de si grands maux, au jour du jugement y aura-t-il pour nous assez de flammes ? Déjà la calomnie, l’injure, ne m’ont pas manqué ; oubli sur tout cela : que seulement la foi reste sauve, et je ne concéderai à personne d’aimer plus ardemment que moi Nestorius. Mais si, du fait de quelques-uns, la foi vient à souffrir, qu’on n’en doute point : nous ne perdrons pas nos âmes, la mort même fût-elle sur notre tête. Si la crainte de quelque ennui l’emporte en nous sur le zèle de la gloire de Dieu et nous fait taire la vérité, de quel front pourrons-nous célébrer en présence du peuple chrétien les saints martyrs, lorsque ce qui fait leur éloge est uniquement l’accomplissement de cette parole : Pour la Vérité, Combats Jusqu’à la Mort ! (Eccli. IV, 33) »
(…) « Quant à ce qui est de moi, écrit-il à ses clercs résidant pour lui dans la ville impériale, peine, vivre et mourir pour la foi de Jésus-Christ est mon plus grand désir. Comme il est écrit, je ne donnerai point de sommeil à mes yeux, je ne clorai point mes paupières, je n’accorderai point de repos à ma tête (Psalm CXXXI, 4 – 5), que je n’ai livré le combat nécessaire au salut de tous. C’est pourquoi, bien pénétrés de notre pensée, agissez virilement ; surveillez l’ennemi, informez-vous de ses moindres mouvements. Au premier jour je vous enverrai, choisis entre tous, des hommes pieux et prudents, évêques et moines ; dès maintenant je prépare les lettres, telles qu’il les faut et pour qui il convient. J’ai résolu pour la foi du Christ de travailler sans trêve, et de supporter tous les tourments, même réputés les plus terribles, jusqu’à ce qu’enfin m’arrive de subir la mort qui sera douce pour une telle cause. »
Et dom Guéranger finit par cette consigne :
(…) Ô vous qui portâtes à l’erreur des coups si terribles, montrez aux docteurs de nos temps la manière de vaincre : qu’ils sachent comme vous s’appuyer sur Pierre ; qu’ils ne se désintéressent de rien de ce qui touche à l’Église ; qu’ils regardent toujours comme leurs propres ennemis, et leurs seuls ennemis, ceux du règne de Dieu. Dans vos sublimes écrits, les pasteurs apprendront la vraie science, celles des saintes Lettres, sans laquelle leur zèle serait impuissant. Les Chrétiens comprendront à votre école qu’ils ne peuvent espérer croître dans la vertu, sans grandir dans la foi tout d’abord, sans développer en eux la connaissance du mystère de l’Homme-Dieu. En un temps où le vague des notions suffit à tant d’âmes, répétez à tous que « c’est l’amour du vrai qui conduit à la vie ». (Cyr. Al. Homil. div I).
Annonce : L’ENSEIGNEMENT D’ÉLIE BENAMOZEGH – LA RELIGION NOACHIDE
Nos amis des Éditions Saint Remi publient un livre dont nous vous avons déjà plusieurs fois parlé :
La Religion Noachide
L’Enseignement d’Élie Benamozegh
Le Sanctuaire Inconnu
Ma Conversion au Judaïsme
par Aimé Pallière
1926
Préface et notes critiques au fil des pages par Louis-Hubert REMY
– 2014 –
F$$PX : Les rebelles de la néo-fraternité se rebiffent
Les sites « La Sapinière – LaSapiniere.info » & « Avec l’Immaculée » (fâché avec La Mathématique !!!) de “nos” chers abbés « anti-ralliéristes »…publient aujourd’hui une “Adresse aux Fidèles” signée par 45 prêtres de la « Tradition »… C’est d’ailleurs là que « Avec l’Immaculée » est vraiment fâché avec La Mathématique de C.P. !!! (Pour « Avec l’Immaculée » comme il y a 10 Bonhommes d’Avrillé qui ont signés avec le Père Pierre-Marie… ils font : 45+10=55 ; alors que « La Sapinière » passe dans la numérotation de sa liste de “8” à “19”…ce qui est logique pour aboutir à 45 !!! (« Avec l’Immaculée » à mis 4h30 pour rectifier…)
La révolte des rebelles est bien sûr « une voie sans issue » comme nous l’avons maintes fois évoqué ici. Et comme dans l’œuvre de Michel Audiard « Le cave se rebiffe », dont la trame de cette histoire de faux-monnayeurs est de monter une affaire de « fausse mornifle »… nous avons affaire à des abbés « anti-ralliéristes »…mauvais maîtres, de “gauche” comme de “droite”, qui continueront toujours d’enseigner que confondre l’Église Catholique avec la secte qui occupe les institutions visibles de l’Église n’est ni un blasphème ni un péché mais l’expression d’un catholicisme fidèle à la Tradition et au respect de “l’autorité” !…
Dans cette liste de bons “abbés résistants” deux incongrus “non una cum” se sont glissés, à savoir : Le Père Raffalli (qui clame depuis de nombreuses années être non una cum l’apostat de Rome) et le Père Avril (qui assure lui aussi, depuis quelques mois, être non una cum)… Mais alors, mais ?…
Dans quel camps étaient-ils ces deux Maurice jusque là ???
* * *
Annonce
Note Informative de Pierre Legrand
Un petit déplacement à l’étranger me fait réagir avec un peu de retard aux commentaires laissés par mes lecteurs après la parution le 18 décembre de mon dernier article sur l’opinionisme par Mgr Sanborn.
Mais auparavant il me faut rappeler qui est exactement Mgr Donald Sanborn :
Mgr Donald J. Sanborn a été l’un des premiers séminaristes de la Fraternité Saint-Pie X à Écône, où il est entré en 1971. Il a été ordonné le 29 juin 1975 par Mgr Lefebvre. Après plusieurs années d’apostolat aux États-Unis, durant lesquelles il a notamment été recteur de St. Joseph’s House of Studies à Armada (Michigan), premier séminaire américain de la Fraternité, il a quitté, en avril 1983, avec huit autres prêtres, la Fraternité Saint-Pie X, dont il rejetait la position théologique concernant la situation actuelle de l’autorité dans l’Église. Il a publié de nombreuses études analysant les erreurs de Vatican II et de Jean-Paul II, ainsi qu’un ouvrage intitulé De Papatu materiali (La Papauté matérielle) dans lequel il expose et illustre la thèse de la vacance formelle du Siège Apostolique, élaborée en son temps par Mgr Guérard des Lauriers O.P. (connue sous le nom de « thèse de Cassiciacum »). En 1995, il a fondé le Most Holy Trinity Seminary (Séminaire de la Très Sainte Trinité) dont il est toujours le Recteur.
Il a été consacré évêque en juin 2002 par Mgr Robert F. McKenna, O.P
Après avoir lu le petit essai de Mgr sur l’opinionisme, j’ai trouvé l’argumentaire intéressant et la logique interne cohérente avec l’expression d’un sédévacantisme “non contradictoire” (“dogmatique” comme disent ceux de la chapelle d’à côté !!!).
J’ai alors transmis à notre bien-aimé Cave Ne Cadas ce texte, précisant bien qu’il n’était pas destiné à la publication sur le CatholicaPedia. À la suite de cet envoi, notre webmestre m’a répondu qu’il souhaitait néanmoins le publier et m’a demandé de faire une courte introduction personnelle. Je me suis exécuté de bonne grâce.
Mon tort fut peut-être , faute de temps, de ne pas m’ouvrir sur les petites insuffisances que je subodorais dans ce bel exercice intellectuel, notamment de faire la part un peu trop belle au “Pape” et par conséquent au problème de l’autorité en général .D’autant que dans le même temps je m’interrogeais de savoir ce qu’en penserait notre “maître” à tous (ça ne va pas lui plaire !!!), je veux nommer bien sûr notre cher Louis-Hubert Remy… (et que chacun se rassure, je ne suis pas Versaillais !!!)
Je ne retranche rien de ma modeste introduction au texte de Mgr Sanborn, mais comme je dois à mes lecteurs une transparence absolue – dans la limite de mes compétences – il me faut leur dire ici que je souscris, et ce n’est pas contradictoire, à la fois aux observations très pertinentes que fit Cave Ne Cadas, notamment en réponse à Mata, légitimant le caractère démonstratif et expectatif de l’exercice de Mgr et, en même temps aux remarques absolument nécessaires et primordiales de LHR, si malicieusement qualifié de « veilleur dans la nuit ». Qui n’a jamais éprouvé la tentation de “dormir” dans cette crise affreuse qui dure, qui dure…? Qui n’a jamais ressenti cet attrait pour “après moi le déluge” ou le “je laisse tomber, ça me dépasse…” ?
Dans des temps où le bon sens le plus élémentaire s’étiole gravement, dans des temps où l’esprit même des traditionalistes est corrompu par l’incohérence interne de leur pensée, il est enthousiasmant de lire des choses qui remettent, au moins en ce domaine, les pendules à l’heure. Mais l’on doit alors se poser la question de savoir : est-ce suffisant ? Rien n’est jamais suffisant, dans la mesure où chacun d’entre nous reste suffisamment vigilant pour chercher sans se lasser l’erreur et les ruses du démon pour la (l’erreur !) cacher, et est prêt à accepter, non seulement par humilité, mais par une charité de la vérité bien comprise et ordonnée comme une vertu surnaturelle, fruit de la grâce sanctifiante, les remontrances et avis de fidèles aguerris et dont toute la vie de foi démontre qu’ils sont dans le bon combat.
Aussi me dois-je de déclarer ici à mes lecteurs que je souscris entièrement aux critiques de LHR sur ce texte même de Mgr.
Ainsi apportons-nous, ce petit plus, ce « supplément d’âme » en quelque sorte qui empêche de tomber dans des dérives si petites soit-elles (le fameux “iota”) ou dans les fantaisies blasphématoires de thèses controversées et/ou dépassées
Ainsi Mgr pourra-t-il parfaire sa démonstration en insistant davantage sur le caractère éminent de la contrefaçon d’Église qui annihile tout concept d’autorité au sein même de la secte. Ce que refuse une très grande majorité de traditionalistes pour des raisons essentiellement psycho-affectives…
Je remercie donc ici notre webmestre dont la décision souveraine a permis de faire connaître ce texte au plus grand nombre et aussi de transmettre les observations incontestables de LHR. Qu’ils soient donc tous deux remerciés pour leur contribution à la recherche de la vérité.
P. Legrand, ce 23 décembre 2013.