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Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte …suite
Questions Objectives à Monsieur l’Abbé Jean-Luc Lafitte
(suite de http://wordpress.catholicapedia.net/?p=13019)
Mises au Point de Louis-Hubert Remy,
7 mars 2014, en la fête de saint Thomas d’Aquin
Quand comprendra-t-on que celui qui engendre la zizanie ou la division
n’est pas celui qui dénonce l’erreur,
mais celui qui enseigne l’erreur ou ne la combat pas ?
Ayant été surpris par certains commentaires de ce fil, et n’ayant pas pu intervenir pendant ces jours de débat, je me permets de le reprendre car il me semble que l’on est passé à côté de l’essentiel. Je ne règle pas mes comptes, comme vont dire les sots, je défends la vérité. Soyez exigeants avec vos prêtres, nous disait l’abbé Vérité.
Dom Guéranger, au 9 avril de L’année Liturgique, cite quelques phrases de saint Cyrille dans son combat contre Nestorius qui devrait être apprise par cœur par tous les catholiques militants :
« Quand le pasteur se change en loup, c’est au troupeau de se défendre tout d’abord. Régulièrement sans doute la doctrine descend des évêques au peuple fidèle, et les sujets, dans l’ordre de la foi, n’ont point à juger leurs chefs. Mais il est dans le trésor de la révélation des points essentiels, dont tout chrétien, par le fait même de son titre de chrétien, a la connaissance nécessaire et la garde obligée. Le principe ne change pas, qu’il s’agisse de croyance ou de conduite, de morale ou de dogme. Les trahisons pareilles à celle de Nestorius sont rares dans l’Église ; mais il peut arriver que des pasteurs restent silencieux, pour une cause ou pour l’autre, en certaines circonstances où la religion même serait engagée. Les vrais fidèles sont les hommes qui puisent dans leur seul baptême, en de telles conjectures, l’inspiration d’une ligne de conduite ; non les pusillanimes qui, sous le prétexte spécieux de la soumission aux pouvoirs établis, attendent pour courir à l’ennemi, ou s’opposer à ses entreprises, un programme qui n’est pas nécessaire et qu’on ne doit point leur donner. »
(…) Cyrille tenta de ramener Nestorius. Mais le sectaire s’opiniâtrait ; à défaut d’arguments, il se plaignait de l’ingérence du patriarche. Comme toujours en pareille circonstance, il se trouva des hommes d’apaisement qui, sans partager son erreur, estimaient que le mieux eût été en effet de ne pas lui répondre, par crainte de l’aigrir, d’augmenter le scandale, de blesser en un mot la charité. À ces hommes, dont la vertu singulière avait la propriété de s’effrayer moins des audaces de l’hérésie que de l’affirmation de la foi chrétienne, à ces partisans de la paix quand même, Cyrille répondait :
(…) « Que ne puis-je, répondait Cyrille, satisfaire l’évêque de Constantinople, apaiser l’amertume de mon frère ! Mais c’est de la foi qu’il s’agit ; le scandale est dans toutes les Églises ; chacun s’informe au sujet de la doctrine nouvelle. Si nous, qui avons reçu de Dieu la mission d’enseigner, ne portons pas de remède à de si grands maux, au jour du jugement y aura-t-il pour nous assez de flammes ? Déjà la calomnie, l’injure, ne m’ont pas manqué ; oubli sur tout cela : que seulement la foi reste sauve, et je ne concéderai à personne d’aimer plus ardemment que moi Nestorius. Mais si, du fait de quelques-uns, la foi vient à souffrir, qu’on n’en doute point : nous ne perdrons pas nos âmes, la mort même fût-elle sur notre tête. Si la crainte de quelque ennui l’emporte en nous sur le zèle de la gloire de Dieu et nous fait taire la vérité, de quel front pourrons-nous célébrer en présence du peuple chrétien les saints martyrs, lorsque ce qui fait leur éloge est uniquement l’accomplissement de cette parole : Pour la Vérité, Combats Jusqu’à la Mort ! (Eccli. IV, 33) »
(…) « Quant à ce qui est de moi, écrit-il à ses clercs résidant pour lui dans la ville impériale, peine, vivre et mourir pour la foi de Jésus-Christ est mon plus grand désir. Comme il est écrit, je ne donnerai point de sommeil à mes yeux, je ne clorai point mes paupières, je n’accorderai point de repos à ma tête (Psalm CXXXI, 4 – 5), que je n’ai livré le combat nécessaire au salut de tous. C’est pourquoi, bien pénétrés de notre pensée, agissez virilement ; surveillez l’ennemi, informez-vous de ses moindres mouvements. Au premier jour je vous enverrai, choisis entre tous, des hommes pieux et prudents, évêques et moines ; dès maintenant je prépare les lettres, telles qu’il les faut et pour qui il convient. J’ai résolu pour la foi du Christ de travailler sans trêve, et de supporter tous les tourments, même réputés les plus terribles, jusqu’à ce qu’enfin m’arrive de subir la mort qui sera douce pour une telle cause. »
Et dom Guéranger finit par cette consigne :
(…) Ô vous qui portâtes à l’erreur des coups si terribles, montrez aux docteurs de nos temps la manière de vaincre : qu’ils sachent comme vous s’appuyer sur Pierre ; qu’ils ne se désintéressent de rien de ce qui touche à l’Église ; qu’ils regardent toujours comme leurs propres ennemis, et leurs seuls ennemis, ceux du règne de Dieu. Dans vos sublimes écrits, les pasteurs apprendront la vraie science, celles des saintes Lettres, sans laquelle leur zèle serait impuissant. Les Chrétiens comprendront à votre école qu’ils ne peuvent espérer croître dans la vertu, sans grandir dans la foi tout d’abord, sans développer en eux la connaissance du mystère de l’Homme-Dieu. En un temps où le vague des notions suffit à tant d’âmes, répétez à tous que « c’est l’amour du vrai qui conduit à la vie ». (Cyr. Al. Homil. div I).
Ludovicus notula : INSUBMERSIBILITÉ
Depuis quelques décennies certains “théologiens” ont ajouté une note implicite en ce qui concerne le Souverain Pontificat, celle de l’insubmersibilité. Un Souverain Pontife peut être alors, démolisseur de l’Église, collaborateur actif de la Franc-Maçonnerie juive internationale et du socialisme mondial, condamné par ses prédécesseurs, moderniste, libéral, évolutionniste ; il peut s’entendre avec les pires ennemis de l’Église, prier dans les synagogues, les mosquées, les temples luthériens, les bois sacrés du vaudou, dans le temple de la compréhension de l’O.N.U… ; il peut aussi enseigner des erreurs en matière de foi et de morale, écrire des encycliques contenant nombre de positions hétérodoxes, et tout cela, en restant pape malgré tout, Vicaire de Notre Seigneur Jésus-Christ, la Vérité incarnée. Il peut même promouvoir une nouvelle religion tout en restant le pape de la sainte Église catholique apostolique et romaine…
À n’en pas douter tout catholique doit conserver la piété et le respect envers la hiérarchie, mais cette charité et cette piété elles-mêmes, n’exigent-elles pas que l’on dénonce, sans relâche et sans complaisance, ces erreurs mortelles pour tous ?
Circus Jorge F1 : Jorge aime le tango
Condamné par le pape saint Pie X,
approuvé par Bergoglio …
Il aime le Tango
“Pape” François aime la danse Immorale
Plus vous creusez dans le passé de Jorge Mario Bergoglio – l’homme que le monde appelle maintenant “le pape François” – plus vous trouvez des choses les plus incroyables, des choses qui font qu’il est très évident que l’homme n’est pas un bon catholique et n’a en rien le sens catholique.
« J’aime beaucoup le tango. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi. » C’est ce que le Cardinal Jorge Mario Bergoglio a déclaré en 2010 dans une longue interview publiée dans le livre “Le Jésuite” par Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti. Bergoglio se révéla être un expert dans l’histoire du tango. Il est un fan du tango des grands chanteurs Carlos Gardel et Julio Sosa, ainsi que du compositeur contemporain Astor Piazzolla.
Bergoglio est un libéral du genre “hippie des années 60” (1960). En 2010, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti ont publié un livre intitulé El Jesuita (espagnol pour “Le Jésuite”), qui est une biographie autorisée de l’époque du “Cardinal” Jorge Mario Bergo(go)glio. Dans ce livre, les auteurs citent Jorge Bergoglio sur l’une des danses les plus immorales dans le monde, le tango, comme suit : « J’aime beaucoup le tango. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi. ». L’amour de Bergoglio pour le tango n’est pas inconnu. Après son élection à la tête de la secte Vatican II (d’Eux), le maire de Rome a invité les gens à une soirée spéciale de tango « en l’honneur de papa Francesco ».
Compte tenu de cet engouement, pour commémorer l’anniversaire de la fondation de Rome, le maire de la ville et l’ambassade d’Argentine en Italie ont pris l’initiative de promouvoir une soirée de tango le 20 Avril 2013 en hommage à Papa Francesco. En effet, la publicité de l’affiche du festival, reproduite ci-dessous, est ainsi libellée :
Capitale de Rome
Dans le rythme du tango
En l’honneur du pape François
Festival Italo-Argentin
Piazza del Popolo (la place du Peuple)
Samedi, 20 Avril 2013, Heure : 20h00
Pour plus d’informations, vous pouvez lire un rapport en italien (traduction auto Google) ici .
Malgré les préférences de papeF1-Bergoglio, le tango a été considéré comme opposé à la Doctrine catholique car c’est une danse très immorale et sensuelle, comme indiqué dans les première et deuxième citations ci-dessous.
Au nom du pape saint Pie X, le vicaire général de Rome, le Cardinal Basilio Pompiles a publié une Lettre pastorale en 1914 dénonçant le tango comme « très dommageable pour l’âme ». Le cardinal a déclaré :
« Le tango, qui a déjà été condamné par d’illustres Évêques et est interdit, même dans les pays Protestants, doit être absolument interdit au Siège Apostolique, le centre de la religion Catholique. » Il a exhorté les membres du clergé à élever courageusement la voix « pour défendre le caractère sacré des coutumes Chrétiennes contre le danger menaçant et l’écrasante immoralité du nouveau paganisme ». Il a également averti les parents que s’ils ne protègent pas leurs enfants de cette corruption, ils seront coupables devant Dieu de manquer à leurs devoirs les plus sacrés. (The New York Times, le 16 Janvier, 1914)
Le Cardinal Aristide Cavallari, patriarche de Venise, a également fermement condamné le tango, le qualifiant de « turpitude morale », ajoutant :
« C’est le pire qu’on puisse imaginer. C’est révoltant et dégoûtant. Seules les personnes qui ont perdu tout sens moral peuvent supporter ça. C’est la honte de nos jours. Celui qui persiste commet un péché. » Le Cardinal a ordonné à tous les ecclésiastiques de refuser l’absolution à ceux qui dansent le tango et ne promettent pas de mettre fin à cette pratique. (The New York Times 22 Janvier 1914)
Cent ans après ces sages condamnations, le même tango est promu publiquement à Rome par un Pape [que le monde prend pour “pape”] s’il vous plaît ! …qui l’a dansé et qui aime ça…
Quelques photos de tango, qui rendent parfaitement clair comment le tango est une danse sexuellement provocante ; et comment le tango est vraiment une faute immorale.
En fait, un examen rapide de l’histoire du tango révèle qu’il a commencé d’abord dans des maisons closes, et, encore plus dignement dans notre cas ici, en particulier dans les bordels de Buenos Aires. « À l’origine, la danse était une “mise en scène” de la relation entre la prostituée et son proxénète », nous dit-on dans un article fourni par BBC News, intitulé « Histoire du Tango : Du bordel à Broadway ». Et dans le cas où des personnes ne le comprendraient toujours pas à ce point, l’article explique en outre : « Sensuelles et sexuellement suggestives, ces chansons de tango et danses [de tango] étaient généralement considérées comme obscènes. »
Ouais, alors là vous l’savez ! Et cette danse obscène, originaire des bordels de Buenos Aires, étant aussi sexuellement suggestive qu’elle pourrait l’être, est «aimée» par «Pape» François et c’est quelque chose qui « vient de l’intérieur » de lui… (1) Il dit même qu’il la dansait lui-même : « J’ai dansé étant jeune homme, mais je préférai la Milonga » (2) ( « Le pape Francis aime le tango » , GMA News).
Est-ce que cette information sur François vous choque, ou vous surprend ? Si c’est le cas, vous avez été à l’écoute de mauvais commentateurs, ou lisez les mauvais blogs, ou vu des mauvaises choses… Ou vous êtes aveuglés… Aveuglement “cause du péché”… (De la danse du Tango peut-être ?)
Mais ne devons-nous pas vous dire toute la vérité sur François ? Pensez à cela.
Cet article a été élaboré avec la contribution de Novus Ordo Watch et Tradition in Action
He Likes to Tango – « Pope » Francis Loves Immoral Dance
http://.org/wire/francis-likes-to-tango.htm
Church Revolution in Pictures: Tango for Pope Bergoglio
http://traditioninaction.org/RevolutionPhotos/A518-Tango.htm
pape François aime le tango
BUENOS AIRES — Le pape François, le premier Argentin à monter sur le trône de saint Pierre, aime danser le tango et dansait passionnément sur la musique sud-américaine dans sa jeunesse.
« Je l’aime beaucoup. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi », a déclaré Jorge Mario Bergoglio dans une longue interview publiée en 2010 dans le livre “Le Jésuite”, de Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.
Dans l’interview, le cardinal Bergoglio se révéla ensuite être un peu connaisseur de l’histoire du tango, la musique qui a émergé des quartiers pauvres de Buenos Aires et de Montevideo.
Il a dit qu’il était un fan des grands chanteurs de tango Carlos Gardel et Julio Sosa et au début du 20e siècle de l’orchestre de Juan D’Arienzo.
Comme un bon pasteur, il rapportait le monde du tango à celui de la religion dans l’interview, et a exprimé son admiration pour Ada Falcon, une célèbre danseuse de tango qui a tout laissé derrière elle pour devenir nonne.
Il a également dit qu’il avait de bons souvenirs de la chanteuse et auteur-compositeur Azucena Maizani.
« J’ai donné l’extrême-onction à Azucena (en 1970). Je la connaissais parce que nous étions voisins », a-t-il dit.
Sur la scène du tango plus contemporain, Bergoglio a dit qu’il admirait Astor Piazzolla, compositeur argentin et maître du bandonéon qui est considéré comme l’un des plus grands du tango du 20ème siècle.
« Savez-vous comment danser le tango ? » Ont-ils demandé Bergoglio.
« Oui, je le dansais étant jeune homme, mais je préférais la “Milonga” », a-t-il dit, se référant à la musique populaire de rythme plus rapide qui était l’une des premières racines du tango.
Le futur pape a dit qu’il avait une petite amie alors, et ils allaient danser ensemble avec un groupe d’amis, mais la romance s’est terminée « quand j’ai découvert ma vocation religieuse. », Agence France-Presse
(AFP)
[1] Vade retro, Satana! (Retire-toi, Satan !)
[2] Milonga pampeana ou Milonga est une musique et une danse (d’Argentine, qui est un rythme populaire de l’Argentine, l’Uruguay et le Rio Grande do Sul (Brésil).
Monseigneur Fellay contre l’œuvre de Monseigneur Lefebvre
De nombreux sites (ou blog) « d’opposition » à la politique de ralliement de la F$$PX ce sont créés depuis un an dans le « Tradiland »… néanmoins ceux-ci restent toujours dans la ligne incohérente de la Fraternité. Un nouveau venue est apparu au mois d’avril 2013 : « Le Doctrinaire ».
« Le Doctrinaire » est un nouveau blogue du Canada français qui se veut une résistance à la néo-Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X de Mgr Fellay. Nous voulons préserver l’œuvre de Mgr Marcel Lefebvre.
Celui-ci se fourvoie également en ayant pour mentors Max Barret et Mgr Williamson !!! toujours les mêmes incohérences de la F$$PX… Ils découvrent ce que nous dénoncions depuis des années avec Virgo-Maria.org ou Résistance-Catholique.org…
Monseigneur Fellay contre l’œuvre de Monseigneur Lefebvre
Nous savons tous que chaque membre d’un ordre religieux a un grand respect à son fondateur. Nous n’apprenons rien à personne, rien de nouveau. Les bénédictins, les jésuites, les dominicains, FSSPX, s’ils venaient à rejeter Saint Benoît, Saint Ignace de Loyola, Saint Dominique ou Monseigneur Lefebvre ils devraient changer de nom.
Monseigneur Lefebvre a établi des règles qui doit être suivies à la lettre par tout membre, il a fait des sermons, des écrits et des livres qui devrait être normal de voir dans toutes les librairies liés à la FSSPX et dans les procures ou tout simplement affichés dans les chapelles.
Nous nous posons des questions à voir que la Fraternité fondée par Mgr Lefebvre fait disparaître plusieurs sermons et livres écrit par le fondateur, sinon modifie des passages. C’est à ce demandé s’il n’y a pas infiltration dans cette Fraternité pour voir des choses aussi épouvantables, qui crèvent même les yeux.
Quels genres d’infiltrations ? Franc-maçon ?
D’après le Courrier de Tychique de Max Barret, il existerait effectivement une infiltration de franc-maçon. Nous n’avons pas encore de vraies preuves mais toute chose cachée fini par faire surface un jour ou l’autre.
Moderniste et libéral ?
Ah ! Là aucun besoin de plus de preuve, il y en a suffisamment. Pour le dimanche, beaucoup de fidèles reçoivent leur dose au sermon et au catéchisme.
Avec cette publication nous voulons vous parler d’un phénomène qui nous impressionne…en même temps non. Probablement que l’habitude nous fait seulement hausser les épaules mais qui le problème reste tout de même grave.
L’abbé François Pivert a fait un livre, que vous pouvez trouver sur Chiré : http://www.chire.fr/A-182450-nos-rapports-avec-rome-combat-de-la-foi-catholique-numero-special-n-167.aspx , qui pour la résistance est à ce procurer immédiatement quand il sera disponible.
Mais ce livre vient à l’encontre de la Néo-FSSPX de Mgr Fellay. Bon… pour nous c’est probablement dans ces cas-là que ce genre de livre devient intéressant. Monseigneur Fellay est bon vendeur sans le vouloir !
Après avoir interdit la publication des sermons de Monseigneur Lefebvre que les Éditions Saint-Remi offrait pour la mémoire du véritable Monseigneur Lefebvre et non celui que Menzingen essai de propager, voici maintenant de nouveau une demande de retrait de livre. Monseigneur Fellay a demandé à l’abbé de Cacqueray de retirer TOUS les livres en vente de l’abbé Pivert Le Combat de la Foi, Mgr Lefebvre et nos rapports avec Rome et de plus, il a demandé de sanctionner l’auteur. Ce que l’abbé de Cacqueray a refusé de faire.
Maintenant, que va-t-il arriver à l’abbé de Cacqueray ? Va-t-il rejoindre la résistance ? Les prochains jours nous le dira…
L’abbé François Pivert a écrit un livre intitulé Des sacres par Mgr Lefebvre… un schisme ? que Monseigneur Lefebvre a approuvé avec une lettre datant du 4 janvier 1988. Un petit livre de 66 pages fort intéressant. Bien entendu, vous ne retrouverez pas ce livre sur les Éditions Clovis quoique ce livre ait été fait par les Éditions Fideliter (Clovis aujourd’hui). À la page 11 vous voyez une photo montrant Mgr Lefebvre et Mgr de Castro Mayer avec une petite question au bas : « Les deux seuls évêques qui aient efficacement maintenu la Tradition… mais après eux ? » Aujourd’hui si nous nous répondons à cette question, un seul nom nous vient en tête : Monseigneur Richard Williamson. Pour les trois autres prions pour eux.
Pour conclure, nous vous invitons à lire la dernière œuvre de l’abbé Pivert qui est un vent d’air frais en ces temps troublés. Nous souhaitons de tout cœur que les Éditions de Chiré puissent distribués à volonté le livre en question.
Source : http://ledoctrinaire.blogspot.fr/2013/05/monseigneur-fellay-contre-loeuvre-de.html
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (IV)
Les premiers shows de papeFrançois
Est-ce que papeFrançois est un bon modèle pour la tolérance zéro ?
Dans l’activité d’embrassement intense de papeFrançois dans son pontificat de “moins d’un mois”, une tendance semble se dégager : il a une préférence pour embrasser les personnes handicapés. Bien que nous soyons tous bien disposés envers leur douleur et voudrions leur donner du soulagement, la manière appropriée de le faire n’est pas nécessairement un baiser pontifical sur le visage. Une prière dite pour eux ou une bénédiction donnée sur le front semble être beaucoup plus dans l’exemple de Notre Seigneur Jésus Christ.
“Pape” François n’a pas suivi l’exemple divin et a montré, comme les photos de cette page le révèlent, une manière très discutable d’offrir la consolation. En fait, il a embrassé des enfants – handicapés ou non – sur leurs visages et leurs bouches avec un tel étalage si expansif de tendresse que celui qui voit les vidéos de ses visites populistes par la place de St Pierre peut tout bonnement se demander s’il n’exhibe pas une tendance de pédophile.
Même si ce n’est pas le cas, comme nous le souhaitons sincèrement, quel exemple donne-t-il ? Est-ce qu’il n’est pas conscient qu’aujourd’hui l’église conciliaire — qui éclipse l’Église catholique et que le monde prend pour elle — subit les conséquences ravageuses du scandale de “prêtres”, d’ “évêques” et de “cardinaux” pédophiles ?
Ce facteur a été ignoré dans l’empressement de “pape” Bergo(go)glio de sembler populaire et humble… Pour nous, Catholiques, il est chanceux que quelqu’un ait vu le dommage de ces scènes de baiser et le lui dise pour les contrecarrer. Ainsi, vendredi 5 avril 2013 (1), il a appelé le chef de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et lui a ordonné de renforcer la politique de l’église (Conciliaire) contre la pédophilie.
C’était positivement une bonne chose de faire ce contrôle des dommages. Mais si papeFrançois n’arrête pas son activité de baisers démagogiques et si les vidéos comme celle-ci continuent de se propager à travers le monde, le message qu’il envoie est, à tout le moins, qu’il n’est pas un bon exemple pour renforcer les normes de tolérance zéro de l’église Conciliaire sur les prêtres pédophiles.
Regardez cette courte vidéo :
Mc 9,41. « Mais si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît autour du cou une de ces meules que les ânes tournent, et qu’on le jeta dans la mer. »
Source Tradition in Action : http://traditioninaction.org/RevolutionPhotos/A516-PedoPope.htm
[1] vendredi 5 avril 2013
Agir Avec Détermination Contre Les Abus Sexuels
Cité du Vatican, 5 avril 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audience Mgr. Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi. Selon un communiqué de ce dicastère, le Pape a demandé à la Congrégation d’agir avec détermination sur les cas d’abus sexuels, dans la continuité de la ligne voulue par Benoît XVI, encourageant surtout les mesures de protection des mineurs, l’aide à ceux qui par le passé ont subi de telles violences, les procédures à l’encontre des coupables, et l’engagement des Conférences épiscopales dans la formulation et la mise à jour des directives nécessaires dans ce domaine si important pour le témoignage de l’Eglise et sa crédibilité. Le Saint-Père a assuré que dans son attention et sa prière pour les personnes qui souffrent, les victimes d’abus sont présentes d’une façon particulière.
Publié VIS Archive 01 – 5.4.13
http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/04/agir-avec-determination-contre-les-abus.html
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)
Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement…
Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !
Pourquoi le pape François ne donne pas la communion ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.
par Sandro Magister
ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.
Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.
Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.
Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.
Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.
Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.
Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :
« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »
Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».
En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.
On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».
Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».
Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.
Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.
En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.
La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».
Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.
En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».
Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.
Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.
Sandro Magister, « L’espresso »
* * *
Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !… Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!
Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…
La Vie, relate d’ailleurs événement :
Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…