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Se recentrer sur l’essentiel
Petit commentaire : Ne serait-ce pas là en réalité le péché originel du traditionalisme, que de n’avoir pas voulu ou ne pas s’être donné les moyens de rejeter doctrinalement par la puissance de l’anathème tous ceux qui ne professaient plus la pure doctrine catholique ? En fait, par cette défection des meilleurs et de ceux qui au sein de l’Église étaient investi du sacerdoce plénier, le châtiment était déjà à l’œuvre puisque les vrais moyens de réagir se sont trouvés gravement en défaut… Lorsque les catholiques semper idem et antilibéraux rejettent absolument toute cette fausse église Conciliaire, ses “pontifes”, prélats, rites, sacrements, etc… ils rejettent par là-même toute velléité de pragmatisme et œuvrent indubitablement pour la véritable UNITÉ de l’Église en restant fermes sur les principes et résolument fermés à toutes les formes d’hérésie et d’erreur… Eux seuls semblent avoir compris la véritable signification du “nullam partem” ! En refusant de mettre cette priorité absolue au calendrier et à la source de sa réaction légitime contre la révolution en chape et en tiare, en adoptant tant dans les faits que dans les postures un pragmatisme et un attentisme dissolvants et blasphématoires, le traditionalisme, presque toutes tendances confondues, s’est volontairement (aveuglement-châtiment) privé des Moyens Surnaturels Exclusivement Catholiques de combattre réellement l’apostasie des antichrists de Rome et d’ailleurs…et, par le fait même, s’est coupé des canaux de la Grâce qui seule permet de voir clair et de marcher droit !
Sans cette intransigeance surnaturelle et de droit divin, le traditionalisme s’est retrouvé comme mort-né, sans fruits, balloté de chapelle en chapelle entre les mains du Diable, tout juste bon à faire le perroquet d’une foi mondaine et “libéralisée” et à n’être que le distributeur d’une liturgie et de sacrements, devenus au fil du temps et de l’extinction du sacerdoce valide, des leurres diaboliques…….
Un Principe divin incontournable…
ou comment ne pas mettre, comme les traditionalistes, depuis 50 ans, la charrue avant les bœufs…..et le pragmatisme à la place des principes !
Un principe divin, une règle de conduite valable pour tous en tous temps et en tous lieux.
« Le principe du pragmatisme, c’est de n’avoir pas de principes »
« Seuls les principes peuvent sauver les nations »
(Comte de Chambord)
Mgr Freppel remarquait avec raison que l’abandon des principes conduit inéluctablement aux catastrophes. On ne peut que craindre l’avertissement de saint Pie X : « Si la règle semble un obstacle à l’action, on se dit que dissimuler et transiger facilitent le succès : on oublie alors les règles sûres, on obscurcit les principes, sous prétexte d’un bien qui n’est qu’apparent. Que restera-t-il de cette construction sans fondations, bâtie sur le sable ? »
Le but de cette étude est de démontrer, que le principe sus-dit est absolument catholique, et ne peut souffrir ni abandon, ni exception, étant voulu de Dieu Lui-même.
I – La Révélation
Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, c’est la volonté très ferme et explicite de Dieu, que les hommes qu’Il daigne gratifier de Sa pure et vraie doctrine se gardent absolument de frayer avec ceux qui en professent une autre différente, au risque de rentrer en collusion avec la partie adverse et de manquer ainsi aux devoirs de sa charge. C’est ce qu’on appelle la prévarication. C’est la toute première recommandation qu’Il tient à faire à Moïse, lorsqu’Il conclut l’alliance avec lui : « Garde-toi de t’allier aux habitants des pays où tu vas, de peur qu’’ils ne soient pour toi un piège. Mais vous renverserez leurs autels et briserez leurs idoles … » (Ex. 34, 11) Notre Seigneur, à son tour, mettra souvent en garde Ses disciples contre le levain de la doctrine des Pharisiens et des Saducéens (Mt 16, 6 ; Mc 8, 15), contre les faux prophètes revêtus de peaux de brebis (Mt 7, 15) qui induiront beaucoup de gens en erreurs (Mt 24, 11) et même les élus si possible (Mt 24, 24). Les Apôtres seront si marqués par ces avertissements du divin Maître, qu’ils les transmettent avec force à leurs propres disciples : — « Je vous en prie, Frères, gardez-vous de ces scandaleux qui vont à l’encontre de la doctrine que vous avez reçue : évitez-les, car ces gens-là ne servent pas le Christ » (Rm. 16, 17). — « Je le répète : si quelqu’un vous prêche un évangile différent que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! » (Gal. 1, 9). — « Si quelqu’un vient à vous qui ait une doctrine différente, ne le recevez pas chez vous et ne le saluez même pas. Car celui qui le salue participe à ses œuvres mauvaises. » (2 Jn 10).
On pourrait ajouter d’autres passages de l’Écriture encore, ceux-là suffisent amplement, étant dictés par le Saint Esprit, pour nous convaincre que le devoir de nous garder des fauteurs d’hérésie (ou de religions fausses) est bien de droit divin.
II – La Tradition
Les premiers Pères de l’Église ne pouvaient pas oublier ces anathèmes doctrinaux, et ne purent que répéter sur tous les tons l’exhortation de saint Paul : « Fuis l’hérétique ! » (Tit. 3, 10). — « Fuyez les hérétiques, ce sont des successeurs du diable qui a réussi à séduire la première femme. » (St Ignace d’Antioche). — « Fuis tout hérétique ! » (St Irénée). — « Fuyez le venin des hérétiques ! » (St Antoine du désert). — « Ne t’assied pas avec des hérétiques ! » (St Ephrem). Et saint Vincent de Lérins tient à nous préciser : — « L’Apôtre commande cette intransigeance à toutes les générations » il faudra toujours anathématiser ceux qui ont une doctrine contraire à celle reçue ».
C’est pourquoi, au XIXe siècle, un Dom Guéranger écrira à Mgr d’Astros : « Un des moyens de conserver la foi, une des premières marques de l’unité, c’est la fuite des hérétiques. ». En effet, cette « première marque de l’unité » concerne évidemment l’unité de foi, la première note caractéristique de l’Église catholique, (une, sainte, catholique et apostolique) qui ne peut avoir « qu’un seul Seigneur et une seule foi » (Eph. 4, 5). Cette même Église, qui avertit solennellement les futurs sous-diacres ainsi : « Restez fermes dans la vraie foi catholique, car selon l’Apôtre, tout ce qui ne provient pas de la foi est péché (Ro. 14, 23), schisme, étranger à l’unité de l’Église ». Aussi pour mieux comprendre non seulement l’ancienneté, mais surtout le caractère absolu de notre principe, il nous faut garder bien gravé dans l’esprit que durant plus de mille ans de schisme entre les byzantins et Rome on n’a jamais, sans aucune exception, conclu un seul accord canonique avec des Uniates avant que ceux-ci n’aient pleinement reconnu la doctrine catholique sur les dogmes controversés (Filioque, Primat du Pape etc…).
D’après le Père Jean ; Février 2014
Les Frères Dimond VOUS trompent sur le problème de l’una cum
Beaucoup d’erreurs sont proférées constamment depuis des années à propos de ces deux petits mots lourds de sens et de conséquences : una cum.
Les bénédictins MHFM (Most Holy Family Monastery… ou “Monastère de la Très Sainte Famille”) avaient en 2009 proféré à ce sujet quelques graves erreurs qu’un drôle vient de publier en français dans une vidéo publiée le 23 avril 2014…
Jérémy, “le pape de Genève” du site « www.la-foi.fr » et son
« Faux problème sur l’Una Cum / Non Una Cum »
Dans une vidéo 45 minutes (ouf ! généralement ils vous en mettent pour 2h et plus !…) le “pape de Genève” nous livre une “démonstration” qu’il veut comme une “réfutation” du « faux-problème » de l’Una Cum / Non Una Cum.
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Pour cela, il utilise une conversation audio entre le Frère Peter Dimond du Monastère de la Très Sainte Famille (MHFM) et un auditeur de leur Radio. Les Frères Michael et Peter Dimond veulent toujours démontrer comment un catholique traditionaliste peut être justifié en recevant la communion de certains prêtres qui célèbrent la Messe traditionnelle et reconnaissent Benoît XVI comme pape… Cette discussion du Frère Peter sert encore à cela.
Les Dimonds sont obstinés dans leur position d’aborder en connaissance de cause des prêtres hérétiques ou apostats pour la messe et les sacrements, et comme ils refusent de changer de position, et parce qu’ils enseignent publiquement cette hérésie sur leur site et aux personnes qui leur demande (où aller à la messe…etc. où comme cet auditeur…), nous allons exposer publiquement leur position hérétique, pour l’aide et l’illumination de ceux qu’ils ont peut-être trompé.
Nous reviendrons par ailleurs sur quelques-unes des erreurs et hérésies de Michael et Peter Dimond du “Monastère de la très Sainte Famille” (MHFM) car leur travail sert à commencer de comprendre l’apostasie mais ensuite pour emmener dans l’impasse (encore !!!) et chez les hérétiques : donc le lecteur averti doit s’en servir pour les bases sur l’apostasie, mais sans rester dans leurs conseils car c’est une astuce pour récupérer les sédévacantistes qui ne savent pas… Et SURTOUT le lecteur ne suivra pas leur conseils concernant les sacrements, ils envoient recevoir les sacrements d’hérétiques connus (même la confession à un prêtre valide de Vatican d’Eux) !!!
Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam
Suite à notre article « Le Siège apostolique “occupé” … » j’ai reçu un message par courriel de l’abbé Éric Julien Laurent Jacqmin (fsspx), sur le « Chapitre sur les chances manquées ou de l’urgence au chaos ».
Le message de l’abbé est intéressant sur le fait qu’il réfléchit à une solution à envisager sur un problème émis de longue date auquel aucun clerc n’a jamais donné d’écho ni encore moins envisagé une solution !!!
Je rappelle au lecteur (ou signale) que l’article en question, qui a attiré l’attention de l’abbé Jacqmin n’est pas de moi…mais du Dr. Eberhard Heller – philosophe allemand.
(…) nous vous proposons aujourd’hui un article publié en 2002 (rien n’a changé depuis…) par le Dr. Eberhard Heller – philosophe et photographe allemand – qui est depuis 1975 (avec une pause), le P résident du cercle Una Voce e.V, Munich, – éditeur de la revue EINSICHT – qui a été fondé en 1966 à Munich pour la conservation de la foi catholique.
Voici le message de l’abbé Jacqmin :
De : Julien Laurent
Sujet : article du dit Cavenecadas
Corps du message :
Je suis prêtre catholique Traditionnel (FSSPX).
Je suis tout à fait d’accord avec cette conclusion d’un article (du dit Cavenecadas) sur votre site qui se termine avec le chapitre nommé :
Chapitre sur les chances manquées ou de l’urgence au chaos.
(adresse : http://wordpress.catholicapedia.net/?p=8200)
C’est la grande chose à faire, la plus urgente de tout : l’Église.
Comment procéder pratiquement :
1) Il faut unir pour commencer tous les clercs traditionnels : prêtres et surtout évêques qui ont gardé la vraie foi catholique.
Éventuellement aussi des laïcs bons théologiens.
Ceux qui se disent « papes » (conclavistes) : qu’ils dénoncent par l’amour de l’unité. Ils doivent comprendre que l’Église ne peut avoir plusieurs papes.
Ceux qui refusent de venir font un péché grave contre l’Église, son Unité.
Mais on élimine évidemment ceux qui ne sont manifestement pas sérieux.
Le critère Traditionnel qui dirige cette démarche est attribuée à Saint Augustin :
« – in fide unitas (éliminer les hérétiques, sur le dépôt de la foi il n’y a pas de discussion possible)
– in dubiis libertas (on n’érige pas sa propre opinion en dogme et anathématise pas les autres qui ont une autre opinion !)
– in omnibus caritas (on considère ceux qui ont une autre opinion comme catholique) »
En effet il y a trop de ruptures, de dissensions, de groupes aparts, FSSPX et co (accordistes, non-accordistes), sedevacantistes, sedeprivatistes, conclavistes etc, ce ne sont que des opinions : où est l’unité de la Vraie Église ? Credo in UNAM.
Tous doivent s’unir pour chercher ensemble l’unique Vérité à laquelle tous doivent se soumettre.
2) En effet il faudra faire un Synode générale avec cette « pars sana » du clergé qui travaille jusqu’à ce qu’elle résout avec la grâce de Dieu tous les problèmes.
On introduit des oraisons dans les Messes à cette intention.
Entretemps les fidèles de Tradition prient le Saint Esprit.
Jusqu’à en venir à des certitudes sur les grandes questions actuelles dans l’Église. On ne s’arrête pas avant !
On compte sur les promesses de N.S. Jésus Christ : « Je serai avec vous jusqu’à la fin », « si deux ou plus se réunissent en Mon Nom Je serai parmi eux », « Les Portes de l’enfer ne prévaudront pas », « Je vous enverrai l’Esprit Saint » etc..
3) La première question à traiter est en effet le siège Papal. Tous doivent se mettre d’accord. La solution doit être claire pour tous : « quod semper et ubique, ab omnibus creditur ».
On ne juge pas du siège suprême, mais il y a des faits à constater et des conclusions à tirer.
La Tradition est le critère tout simplement, donc la Révélation : ce que Dieu même en « pense ». La Vérité.
4) la suite dépend de la question précédente : si une thèse, une constatation s’avère clairement la seule vraie, il faut en tirer les conséquences qui s’imposent nécessairement.
Ceci est une voie de continuer l’Église la plus normale.
Sinon il faut attendre des miracles. Mais Dieu préfère toujours la voie normale aux miracles.
C’est mon opinion profond et je ne crois pas que je me trompe. Cependant ceci est une grande grâce.
Pour commencer : que tous s’unissent sera un grâce, mais on l’obtiendra car Dieu même est garant de son Église qui doit continuer selon sa décision.
Que Dieu vous bénisse
Abbé Jacqmin+
* * *
Monsieur l’abbé Jacqmin nous donne ici (voir la page « Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam ») un développement de sa réflexion. Nous proposons donc aux lecteurs d’en débattre – nous publierons tous les arguments pour une disputatio en toute courtoisie (sans anathème, calomnie, provocation ni animosité etc.) reçus en commentaire ou par eMail… – sur cette page spéciale.
Je ferrai simplement pour le moment, avant de passer sur la page spéciale « Disputatio : Credo in UNAM Ecclesiam », une première remarque d’importance à Monsieur l’abbé :
« la plus urgente de tout : faire continuer l’Église »
Cette « église » Conciliaire, qui éclipse actuellement l’Église catholique (cf. Notre Dame à La Salette) et se fait passer aux yeux du Monde pour Celle qu’elle n’est pas, n’est justement pas l’Église catholique…
C’est une autre église !!!
L’Église catholique, Elle, continue malgré tout derrière (d’une manière non visible, puisqu’éclipsée) l’église Conciliaire comme N.S. Jésus-Christ l’a dit : « Les portes de l’enfer ne prévaudront pas ».
Nouveau titre aux ESR : BERGOGLIO EST-IL NOTRE SAINT PÈRE FRANÇOIS, VICAIRE DU CHRIST ?
Les Éditions Saint-Remi ont sorti un nouvel ouvrage pendant la dernière semaine Sainte afin nous aider à comprendre comment l’Église Catholique, corps mystique du Christ, revit ce que le corps physique du Christ a vécu : La Passion, que lui fait subir l’église conciliaire.
Cette étude est destinée à l’origine aux Catholiques ne voulant pas suivre l’enseignement du Concile de Vatican II, appelés communément « Traditionalistes ». Nous espérons toutefois pouvoir instruire d’autres personnes intéressées, en particulier pour leur faire découvrir la solidité de la Foi de la Sainte Église Catholique, qui ne peut changer avec le temps, même si certaines notions pourraient leur échapper.
En nous appuyant sur la doctrine de l’Église Catholique, nous verrons si on peut reconnaître un véritable Vicaire du Christ comme pouvant enseigner l’erreur, et si un Catholique a le droit de désobéir au Souverain Pontife sans offenser la Foi. Nous nous demandons si nous avons le droit ou non, au nom de l’Église et de la Foi, de reconnaître comme Pontifes légitimes des hommes professant l’hérésie. Nous souhaitons également connaître en parallèle les limites bien définies de l’Église. Il est capital de répondre à tout cela car c’est en se détachant de la Foi, ne serait-ce que sur un point, que nous devenons hérétiques. Si le Magistère (enseignement traditionnel de l’Église) nous donne la solution de ce que nous devons faire, il faut alors prendre acte, de peur d’être retranché du sein de notre bien aimée, ou du moins, de pécher contre la Foi.
* * *
Dédicace de l’auteur au début de l’ouvrage :
27 AVRIL : CANONISATION VIRTUELLE OU NOUVEAUTÉ CONTESTABLE ?
27 Avril : Canonisation Virtuelle ou Nouveauté Contestable ?
Écône recrucifie Notre-Seigneur et se voit qualifier d’« ordure » et de « torchon » par un “prêtre” conciliaire !…
Dans un document de 40 pages, élaboré par Écône et imprimé par le District d’Asie, la FSSPX a élaboré une étude particulièrement intéressante sur les contradictions internes et absolues générées par la future et proche canonisation de Karol Wojtyla.
La Porte latine nous donne là la Conclusion de cette étude. Nous y verrons très brièvement à quel point elle est déficiente et scandaleuse, en soulignant et mettant en gras dans le texte même les passages qui fâchent…
Judas l’a fait pour 30 pièces d’argent… Bergoglio l’a fait gratuitement …
Un correspondant du CatholicaPedia Blog nous communique avoir trouvé dans Israël Magazine (1), un intéressant article de Lydie Türkfeld intitulé : « Sur la terre comme au ciel, entretiens, entre le cardinal Jorge Bergoglio, ancien archevêque de Buenos Aires, (devenu pape François) et le rabbin Abraham Skorka, Docteur en chimie, rabbin de la communauté Benei Tikva et professeur de littérature biblique et rabbinique au séminaire latino américain de Buenos Aires (dont il occupe aussi le rectorat) », à propos de l’ouvrage récent de Jorge Bergoglio (2) .
Allez voir : http://www.israelmagazine.co.il/sur-la-terre-comme-au-ciel/
L’“archevêque” Bergoglio a donc été l’auteur de la promotion de ce rabbin juif « Pro-homosexuel » au Grand Séminaire de la ville.
« Le cardinal Jorge Bergoglio », poursuit Lydie Türkfeld, « s’est en effet investi dans l’établissement de « ponts » entre les religions, soutenant par exemple la création de l’Institut de dialogue interreligieux, fondé par les instances juives et musulmanes en 2006 à Buenos Aires…prouvant sa volonté de contact rapproché avec les représentants de la communauté juive… « Sur la Terre comme au Ciel »…constitue un ouvrage riche de multiples enseignements, prodigués par deux grands « esprits libres » du monde religieux. »
Mais, contrairement à ce que l’on croit généralement, le Judaïsme moderne n’a plus rien à voir avec l’Ancien Testament. Ainsi que le démontre l’abbé Flavien Brénier dans son ouvrage « Les juifs et le Talmud », cette religion est uniquement talmudique, c’est-à-dire exclusivement appuyé sur la cabale.
- Les juifs et le Talmud, aux Éditions Saint-Remi : http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=%20780
“Pape” François, lorsqu’ il était “Archevêque” de Buenos Aires, avait donc nommé un juif cabaliste, à la tête de son grand séminaire.
Fallait le faire !!!
* * *
Pour aller plus loin, voir : « Le Pape François et le Rabbin Skorka », la dernière Lettre de Serviam [n°30] :
Rappelons que l’Universidad Católica Argentina a décerné à Abraham Skorka un doctorat honoris causa de l’occasion du 50e Anniversaire du Concile Vatican II, le 11 octobre 2012. Ce doctorat fut remis au rabbin Skorka par son ami, le “cardinal” Bergoglio devenu depuis le “Pape” François.
Lors de cette cérémonie, le rabbin Skorka a fait un discours (3) d’environ 30 minutes devant le “cardinal” Bergoglio, le recteur de l’Université et le Nonce Apostolique dans lequel il insulta gravement l’Église Catholique :
1) Il reprit le vieille calomnie de Jules Isaac à savoir que l’antisémitisme du National-Socialisme aurait ses racines au sein même de l’Église Catholique « tuvo raíces en la teología que se fue desarrollando en la Iglesia Católica ».
2) Que tout chrétien ne connaissant pas l’essence judaïsme ne peut posséder l’essence du christianisme : « todo cristiano que no sabe la esencia del judaísmo, no sabe la esencia del cristianismo ».
3) Que nous sommes dans l’attente de la venue du Messie (dans le sens du judaïsme talmudique bien entendu) : « estamos esperando al Mesías. Él va a venir cuando Dios lo disponga ».
4) Il appela Jésus, son “pote”, “collega”, affirmant que l’enseignement de Notre Seigneur sur l’amour se trouvait dans le Talmud !!! Comme si le Talmud ne comprenait pas les pires insultes envers Notre Seigneur !!!
5) Etc… (on pourrait aussi évoquer son exaltation à l’idéal du sionisme, …)
À la fin de ce discours, tout le monde applaudit grandement le rabbin, qui devant un parterre de soi-disant catholiques venant d’insulter Notre Seigneur et Son Église, de nier sa royauté sociale, …
Il est bon de souligner qu’en 2010, ce même rabbin avait pris position en faveur “de l’union entre les homosexuels” (4), faisant une distinction toute rabbinique entre les termes “union” et “mariage”. Rappelant que l’homosexualité était condamnée dans la Bible et le Talmud, il énonça “la réalité démocratique” (!!!) actuelle pour approuver l’union (sic) entre les invertis. Comme on le voit, le rabbin Skorka était un parfait candidat pour être fait docteur par une université catholique !
Il est vrai que son ami de 20 ans, le “cardinal” Bergoglio, avait écrit dans le livre Entre ciel et terre, dans le chapitre 16 sur les relations homosexuelles : « C’est un fait sociologique que la cohabitation n’a certainement pas l’accomplissement et la grandeur du mariage… » (5) Phraséologie typiquement moderniste !!! Vivre en état de péché mortel n’a pas la même grandeur que de vivre en ayant reçu le sacrement de mariage !!! Est-il bien certain de cela ?
[1] D’octobre 2013, Baruch Éditions Ashod Israël
[2] Publié aux Éditions Robert Laffont, en mai 2013 : http://www.laffont.fr/site/sur_la_terre_comme_au_ciel_&100&9782221137901.html.
[3] On pourra lire un compte-rendu détaillé en langue espagnol de ce discours sur le site suivant : http://pagina-catolica.blogspot.com.ar/2012/11/rabino-ofende-la-iglesia-en-la-uca.html
[5] « It is a sociological fact that co-habitation certainly does not have the fullness, or the greatness of marriage…. »