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L’escamotage que Fellay a été incapable de mener à bien, les Rédemptoristes Transalpins l’ont réussi

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L’escamotage que Fellay a été incapable de mener à bien, les rédemptoristes transalpins – ses anciens affiliés – l’ont réussi : au bout de quatre longues années, ils ont achevé de se brader à la secte conciliaire non catholique
 

Envoyé par Pietro (Canada), correspondant du réseau TRADITIO

 

Anthony Mary et Michael Mary, ressemblant aux Schismatiques Orthodoxes Orientaux
Ces Pseudo-Traditionalistes crachent à la Face de la Bienheureuse Vierge Marie
Le jour de la Fête de Son Assomption en Apostasiant la Foi Catholique
Et devenant Sectaires Conciliaires Protestants
Ces Traîtres à l’Église Catholique ont attendu Quatre Années pour entrer
dans la Maison de Benoît-Ratzinger
Seulement pour Recevoir le Pire Résultat Possible :
Devenir un Institut Novus Ordo, Soumis à l’Autorité du Neo-“Évêque” Local

 

Chers Pères de TRADITIO,

Le 15 août 2012, Michael Mary, Supérieur des rédemptoristes transalpins, groupe qui faisait naguère partie de la néo-FSSPX et se trouvait donc sous l’autorité de Bernie Fellay, a craché au visage de la Bienheureuse Vierge Marie le jour même de la fête de l’Assomption en achevant de brader sa congrégation à la secte conciliaire non catholique après quatre longues années. Annonçant de manière prophétique ce qui va arriver à la néo-FSSPX quand elle se sera bradée, Benoît-Ratzinger a interdit aux rédemptoristes de conserver ne serait-ce que leur ancienne dénomination et les a contraints d’en prendre une nouvelle : « Fils du Rédempteur ». On a dit que lorsque Fellay braderait la néo-FSSPX, celle-ci prendrait le nom de « Fraternité du Saint-Sauveur », allitération qui sonne ridiculement pour coller à sa désormais ridicule congrégation.

Avant que cette apostasie ne soit consommée, quelques moines placés sous les ordres de Michael Mary quittèrent leur ordre, dont le supérieur venait d’engager des négociations avec la Rome conciliaire ; ils firent montre ainsi de leur perspicacité, et les événements leur ont donné raison. Quant à ceux qui ont refusé sa petite rébellion, ils sont retournés se blottir dans le giron de Fellay, alors même que la néo-FSSPX prépare sa propre capitulation devant l’église Conciliaire du Meilleur des Mondes, au sein de laquelle tous les dieux sont égaux. « Quels fous que ces mortels ! »[1]

Michael Mary rêvait d’être un abbas nullius, littéralement un abbé de rien, et c’est exactement ce qu’il a obtenu de Benoît-Ratzinger et de sa Rome conciliaire : rien. Ni prélature universelle en vertu de ses « liturgies spéciales », comme les appelle la Rome conciliaire, autrement dit la messe « Motu Proprio » de 1962, qui n’est autre que le service semi-conciliaire de Vatican II ; ni institut « pontifical » (c’est-à-dire néo-papal). Tout ce qu’il a obtenu, c’est un institut de droit diocésain dans le diocèse conciliaire d’Aberdeen, en Écosse. Par conséquent, Michael Mary et sa troupe d’apostats se verront confiner strictement dans un désert septentrional balayé par les vents : Papa Stronsay, sur la Mer du Nord. Même là, pourtant, l’évêque conciliaire d’Aberdeen aura pleine autorité sur lui et sur ses pseudo-moines. Il n’y aura pas longtemps à attendre avant de les voir concélébrer la nouvelle “messe” pour pouvoir manger, conformément au Protocole n° 1411, toujours en vigueur, qui impose aux prêtres « indult » de célébrer le service conciliaire chaque fois que leur « évêque » le leur demande.

Les « Fils » ont aussi une maison sœur sur l’Île du Sud de Nouvelle-Zélande. Qui sait ce qui va arriver à celle-ci ? Ce que l’on sait, c’est qu’à partir de maintenant, chaque fois que les « Fils » voudront fonder un nouvel apostolat, ils devront en demander la permission à l’ordinaire conciliaire du lieu. Comme la Communion Anglicane Traditionnelle et l’Institut du Bon Pasteur, ils sont à présent absorbés corps et âme dans l’église Conciliaire et son Novus Ordo Missae. La seule note gaie de l’affaire est que l’apostat Michael Mary n’aura plus à se préoccuper de fonder ailleurs de nouveaux apostolats, car ses vocations vont se tarir, et son principal souci sera de savoir comment conserver les pseudo-moines qu’il compte encore dans son troupeau.

Bien entendu, tous ces imbéciles de pseudo-traditionalistes sautent de joie. Le cardinal Muller, nouveau chef de la Doctrine conciliaire de Benoît-Ratzinger, qui a déjà été surpris à tenir plusieurs propos hérétiques, doit se tenir les côtes en regardant exulter ses ennemis alors même qu’il est en train de leur serrer un nœud coulant autour du cou. Ces imbéciles de pseudo-traditionalistes n’ont pas besoin d’être traînés à l’échafaud : ils s’y précipitent, impatients de prouver combien ils tiennent à se suicider.

 

Réponse des Pères de TRADITIO

Si les pseudo-traditionalistes veulent savoir de quel programme s’inspirer pour détruire à coup sûr leurs congrégations en obtenant la « reconnaissance »  de la secte conciliaire non catholique, ils feraient bien de suivre l’exemple des « Fils du Rédempteur ». Lorsqu’on eut vent pour la première fois, en 2008, de la trahison de Michael Mary, les dons faits à son ordre diminuèrent immédiatement de plus de moitié. Aujourd’hui, ils ont encore baissé de moitié. Et les futurs dons destinés à soutenir son vestige d’ordre repeint aux couleurs conciliaires pourraient bien atteindre un étiage proche du zéro, car les vrais catholiques savent que ce serait un péché mortel pour eux de verser un seul penny aux représentants immoraux et non catholiques de la secte conciliaire hérétique.

Avis aux bons catholiques : ces apostats rebaptisés « Fils du Rédempteur » nous rappellent ce que saint Thomas More dit à Richard Rich, qui s’était parjuré et avait trahi le saint en l’acculant à la mort, dans le seul but de devenir Procureur d’Henry III pour le pays de Galles : « Richard, il ne sert à rien de perdre son âme pour gagner le monde… Et c’est encore plus inutile pour gagner le pays de Galles !… »

 

Source : http://www.traditio.com/comment/com1208.htm#120820

Traduction : CatholicaPedia.net

 


[1] NdT : Réplique tirée de la pièce de Shakespeare « Le Songe d’une Nuit d’Été » (A Midsummer Night’s Dream)

Benoît-Ratzinger roule une nouvelle fois dans la farine les adeptes du Motu Proprio

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Benoît-Ratzinger roule une nouvelle fois dans la farine les adeptes du Motu Proprio
instituant une « Messe Extraordinaire » –, qui ne comprennent décidément rien à rien : il leur refait le coup du Novus Ordo trompeur de 1969 avec sa « nouvelle » version 2012

 

Par les Pères de TRADITIO

 

 

Benoît-Ratzinger va imposer aux adeptes du Motu Proprio un nouveau Missel « Extraordinaire » que la Presse du néo-Vatican s’apprête à publier et qui prendra effet le 2 décembre 2012.
La « Messe de 1962 » sera supprimée et remplacée par la « Messe de 2012 ».
Le but avoué de Ratzinger est de fusionner la Messe « extraordinaire » avec le service invalide du Novus Ordo, qui est pagano-maçonico-protestant.

 

 

Il y a eu de nouvelles fuites sur le vaste canular de la Messe « Motu Proprio » de Benoît-Ratzinger figurant dans le missel dit de la « Messe extraordinaire », qui prendra force obligatoire le 2 décembre prochain. Il a fallu attendre cinq ans depuis le Motu Proprio Summorum pontificum de 2007 pour voir remplacer la « Messe de 1962 », exactement comme Ratzinger l’avait annoncé à l’époque. Ratzinger s’éloigne ainsi de la « Messe de 1962 », parfois appelée à tort « Messe extraordinaire » (expression que n’a jamais employée l’Église catholique) pour fusionner ladite « Messe extraordinaire » avec le service invalide du Novus Ordo, qui est pagano-maçonico-protestant.

 

D’après ces fuites, le nouveau missel de la « Messe extraordinaire », que la Presse du Vatican publiera dans le courant de l’année, contiendra les Préfaces Novus Ordo au nouveau Canon sacré de la Messe, rubrique autorisant la « Messe extraordinaire » face aux fidèles et les lectures Novus Ordo en langues vernaculaires.

 

Avis aux bons catholiques : Ne percevez-vous pas là comme une note familière ? Vous le devriez. Car c’est exactement ainsi qu’a démarré le service Novus Ordo, qui est pagano-maçonico-protestant : nouvelles Préface au Canon sacré, messe face aux fidèles et nouvelles lectures en langues vernaculaires. Si les adeptes du Motu Proprio, qui s’accrochent toujours à la fable selon laquelle le « Pape pédophile » serait « traditionaliste », avaient un minimum d’instinct de conservation, ils quitteraient la secte conciliaire sans plus tarder, avant qu’il ne soit trop tard. S’ils veulent absolument rester non catholiques au lieu de devenir ­de vrais catholiques, peut-être trouveront-ils une autre secte protestante où le service et les ministres montrent du moins de la « révérence ».

 

Source : http://www.traditio.com/comment/com1208.htm#120819

Traduction : CatholicaPedia.net

La Voie que Bernard Fellay et Josef Ratzinger Empruntent pour la néo-F$$PX

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Les Anglicans Traditionnels en train de se brader à la Secte Conciliaire de Benoît-Ratzinger ont perdu leur mentalité traditionnelle et se soumettent à la “messe” du novus ordo

De la part de Pietro, correspondant du réseau TRADITIO pour le Canada

Ça Ressemble à une Messe Solennelle Catholique Traditionnelle
Mais C’est en Fait un Office Anglican Traditionnel
Mais Pas Plus, Maintenant que Certains Anglicans Traditionnels ont Déserté
À la Secte du Nouvel Ordre Mondial de Benoît-Ratzinger
Les Anglicans Traditionnels ont été Forcés d’Utiliser le Novus Ordo
C’est la Voie que Fellay et Ratzinger Empruntent pour la néo-F$$PX

Le service Anglican Traditionnel ressemblait récemment encore à la Messe solennelle du catholicisme de Tradition, bien que ce ne fût pas elle. Or, désormais, il ne lui ressemble même plus, parce que certains Anglicans traditionnels sont passés à la Secte Conciliaire de Benoît Ratzinger, au sein de laquelle ils sont maintenant forcés de célébrer le service conciliaire. Tel est le sort que Fellay et Ratzinger préparent à la néo-F$$PX.

 

Chers Pères de Traditio :

Nous savons tous, à présent, comment la Communion Anglicane Traditionnelle (TAC) s’est laissé diviser par la Rome moderniste et comment les « ordinariats » conciliaires sont en train d’annihiler son esprit traditionnel. Le sort des Anglicans traditionnels (appelés Épiscopaliens aux États-Unis) est une véritable inscription sur le mur à l’attention de la néo-F$$PX et de toute autre organisation catholique pseudo-traditionnelle qui caresserait l’idée de se brader à la secte conciliaire. C’est ce qui est arrivé aux Anglicans après qu’ils furent entrés dans la secte conciliaire par suite de la Constitution apostolique trompeuse publiée en 2009 par Benoît-Ratzinger sous le titre Anglicanorum coetibus.

En Angleterre, la Communion Anglicane Traditionnelle n’a accepté que vingt-quatre prêtres, et l’on a vu s’y installer la hiérarchie protestantisée de la secte conciliaire. Qu’est-ce que la Messe, à présent, pour cet ordinariat ? C’est ni plus ni moins que la catastrophe conciliaire. En guise d’habits liturgiques, on a vu apparaître les peignoirs de bain bon marché des ministres pentecôtistes des années soixante-dix. Quand ils sont usés, on peut toujours s’en servir pour lustrer la carrosserie de sa voiture. Bienvenue dans le novus ordo, les « tradis » !

Dernièrement, un ordinaire américain, Mgr Jeffrey Steeson, a publié une déclaration visant à décourager les prêtres anglicans, désormais conciliaires, de célébrer ne serait-ce que la messe semi-moderniste de 1962 mise en place par Vatican II. (Bien entendu, aucun de ces prêtres conciliaires n’est seulement ordonné, de sorte que leurs messes sont invalides). Bienvenue dans le novus ordo, les « tradis » !

Il ne reste plus que l’Australie, où l’église Anglicane est dirigée par un ancien évêque anglican traditionnel, Harry Enwistle. Mais il a été acheté par la secte conciliaire, comme en témoigne le fait que la Messe célébrée à la toute première paroisse d’ordinariat, dans la ville de Perth, était du début à la fin le service conciliaire pagano-maçonico-protestant, donc invalide. Et, incidemment, on y a remplacé la version standard révisée des Écritures, rédigée en anglais sacré dans la première édition, par une nouvelle version employant l’anglais courant. Bienvenue dans le novus ordo, les « tradis » !

Bernie Fellay doit se réveiller et se rendre compte enfin du désastre qu’il est en train de concocter. Il lui suffit de regarder ce qui est arrivé à la Communion Anglicane Traditionnelle quand elle s’est jointe à la Rome moderniste. Elle s’est retrouvée entièrement avalée par les libéraux et leur messe bidon. Si tu sautes dans les bras de ces periti maoïstes, Bernie, tu ne pourras pas dire que personne ne t’avait prévenu. Cesse toute discussion avec eux tant que tu le peux encore. Sois un homme et reconnais que tu t’es fait avoir. Tu as encore le temps de sauver la situation… À moins que tu ne baves tellement d’envie de revêtir la pourpre conciliaire que tu en as déjà perdu ta Foi catholique.

Source Traditio.com : http://www.traditio.com/comment/com1208.htm#120813

ROME-ÉCÔNE : MAX BARRET espère encore…

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Max Barret – combattant de la première heure et fidèle inconditionnel de Monseigneur Lefebvre – tel un soldat trahi, lance un dernier cri avec l’énergie du désespoir : Tout n’est peut-être pas encore perdu !

Alors que tout est “bouclé” depuis mars 2012, comme nous vous l’indiquions y il à 8 jours (le 7 juin) dans notre article : « Rome-Écône : Tout est consommé ! » et comme le confirme encore

des sources italiennes bien informées indiquent que Mgr Bernard Fellay et Benoît-Ratzinger ont déjà conclu un “accord de principe” en Mars 2012, et que Mgr Fellay a donné deux à trois mois pour “adoucir” son clergé et les laïcs pour la capitulation finale. Cependant, la révélation publique de la lettre “confidentielle” à Mgr Fellay des trois autres évêques de la fsspx (Mgrs Galarreta, Tissier de Mallerais, et Williamson) contre le processus de bradage a tout ralenti d’un mois supplémentaire, de sorte que Mgr Fellay va signer le document officiel de l’Apostasie d’ici la fin Juin 2012.

Max Barret, en désespoir de cause, diffuse par eMail à tous ses correspondants – une première fois hier et une seconde fois ce matin – la copie d’écran de l’article de La Croix (!) :

Rome attend désormais la réponse de Mgr Fellay

Message :

de:     MAX BARRET barret.max@free.fr
heure de l’expéditeur:     Envoyé à 23:03 (GMT+02:00). Heure locale : 11:58.
à:    
date:     14 juin 2012 23:03
objet:     Rome Ecône

Pièce jointe.

Tout n’est peut-être pas définitivement perdu !
Diffusez !

Faites connaître !

Faites part de votre résistance !

Et surtout : Priez !

de:     MAX BARRET barret.max@free.fr
heure de l’expéditeur:     Envoyé à 08:56 (GMT+02:00). Heure locale : 12:04.
à:    
date:     15 juin 2012 08:56

A diffuser.

Tout n’est peut-être pas encore perdu !

* * *

Pauvre Max ! il espère encore…

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

* * *

De la notion du respect dû aux clercs

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D’un correspondant du site catholique traditionnel américain TRADITIO :

The Traditional Roman Catholic Network
« The Independent Voice of Traditional Roman Catholicism since 1994 »
And Virtual Encyclopædia of Traditional Catholicism

The First Site on the Internet for Traditional Roman Catholics
More Readers than Any Other Traditional Roman Catholic Site*

 

Un lecteur écrit : « Je ne suis pas d’accord avec la voie suivie, paraît-il, par l’homme que vous appelez « Bernie »

De : Nick

Chers Pères de TRADITIO,

Je lis régulièrement les informations du site TRADITIO pour me tenir au courant de la situation de la néo-FSSPX. Bien que ce ne soit pas toujours le cas, il est fréquent que les commentaires sur Fellay ou d’autres personnes prenant part aux « négociations » ne respectent pas l’office ecclésiastique qu’occupent les intéressés. Je remarque, en particulier, l’usage fait par TRADITIO du diminutif  familier « Bernie ».

Je ne suis actuellement favorable à aucun « accord » qui mettrait l’Église catholique traditionnelle en danger, et c’est pourquoi je ne suis pas d’accord avec la voie suivie, paraît-il, par l’homme que vous appelez « Bernie » [Fellay]. Cependant, nous ne servons pas notre cause en manquant de respect aux personnes en question.

 

La réponse des Pères de TRADITIO :

Franchement, nous trouvons amusante la fixation de nombreux fidèles de la néo-FSSPX sur notre emploi du diminutif familier « Bernie » plutôt que sur les actions par lesquelles ledit Bernie se rend complice d’une braderie de la Foi catholique traditionnelle. Il est typique de notre époque que l’on prenne garde surtout aux mots en ignorant les actes, qui ont cependant beaucoup plus d’importance. L’emploi que nous faisons de ce diminutif a contribué à secouer la servilité des fidèles de la néo-FSSPX, leur permettant ainsi de réfléchir aux actions de Fellay. C’est bien là ce qui compte.

La familiarité en question a pour effet d’éliminer la couche de vernis derrière laquelle Fellay et Benoît-Ratzinger s’efforcent de masquer leurs dessins et actes néfastes. Trop de leurs suiveurs les considèrent comme des dieux ou presque, grâce à quoi ces deux hommes se permettent de mal agir à l’abri de toute opposition. Fellay peut bien parler en long et en large de la Vierge Marie, il est très loin d’en avoir l’humilité. Monseigneur Lefebvre, lui, ne prenait pas d’aussi grands airs. Il possédait cette confiance intérieure qui fait tant défaut à Fellay « le Comptable », lequel ne peut compter que sur l’« adoration » inconditionnelle de ses suiveurs.

Conformément aux meilleurs exemples catholiques, nous autres Pères de TRADITIO croyons fermement que le respect se mérite et qu’il n’est pas automatiquement dû à quelqu’un au motif que celui-ci occupe un poste élevé. Comme l’enseigne saint Thomas d’Aquin, Docteur universel de l’Église : « Si la foi est en danger, tout fidèle doit réprimander son évêque, y compris en public. »

Les actions corrompues et anticatholiques ne sauraient se dissimuler sous le vernis d’un quelconque office supposé. Tout catholique traditionaliste qui les accepte commet un péché de complicité avec la corruption, ainsi que l’enseignent les principes de la théologie morale catholique. Ce n’est pas nous qui « manquons de respect » à quelqu’un. C’est ce quelqu’un qui s’est manqué de respect à lui-même par sa conduite déshonorante, et c’est à bon droit qu’il est critiqué publiquement pour ses actions publiques. Chaque fois que des catholiques ont omis de rappeler à des « prélats » les impératifs de la morale catholique, comme on a déjà pu le voir avec le « Pape pédophile » Benoît-Ratzinger et l’« évêque-Judas » Bernie Fellay, leur complicité n’a fait qu’accentuer le caractère immoral de la situation.

Nous sommes confortés dans cette attitude par le grand Docteur occidental de l’Église que fut saint Augustin ; il prêta serment sur la place publique contre le pape hérétique de son époque et proclama : « Mieux vaut que la vérité soit connue que le scandale caché ». Tel est le catholicisme viril et résolu que nous faisons nôtre, à la différence de ce catholicisme efféminé dont Fellay et Ratzinger donnent le spectacle. Saint Thomas More offre un autre exemple de saint ayant usé de la satire, du sarcasme et même du ridicule pour critiquer les prélats dévoyés de son époque.

Qu’y a-t-il de plus vil et de plus méprisable que de dissimuler la sodomie, la pédophilie, l’hérésie et l’apostasie sous le voile hypocrite d’un habit blanc ou pourpre ? Telle n’est certainement pas la morale enseignée par Notre Seigneur Jésus-Christ. Lui-même nous a donné l’exemple en condamnant les faux « prélats » de Son temps dans les termes les plus vifs qui soient, les traitant d’hypocrites, de « sépulcres blanchis, qui au dehors paraissent beaux, mais au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture » (Matthieu, 23 : 27-28).

Il faut voir les choses en face : Fellay et Ratzinger essaient d’intimider quiconque critiquerait leurs vils agissements contre la vraie Foi catholique et de faire d’eux leurs esclaves béni-oui-oui. Ne soyez pas stupide et n’allez dans le sens des ambitions corrompues de ces « prélats ». Tout au contraire, soyez un catholique viril, et non pas efféminé !

 


http://www.traditio.com/comment/com1205.htm

 

A Reader Writes: « I Do Not Agree with the Purported Path Being Followed by the Man You Call ‘Bernie' »

From: Nick

Dear TRADITIO Fathers:

I have been reading the TRADITIO Network to obtain the most timely information about the Neo-SSPX situation. Although not always the case, there are many instances where comments are made about Fellay or other persons involved in the « negotiations » that do not give due respect for the Church offices held. I note in particularl TRADITIO’s use of the name « Bernie. »

I do not support any « deal » at this time that would place the traditional Catholic Church in danger and, accordingly, I do not agree with the purported path being followed by the man you call « Bernie » [Fellay]. However, we do no service to our cause by casting disrespect on the people involved.

The TRADITIO Fathers Reply.

Frankly, we find it amusing that so many Neo-SSPXers fixate on our use of the familiar name « Bernie » rather than on Bernie’s actions in conniving to sell out the traditional Catholic Faith. This seems to be typical of our age: that people get hung up with words, but ignore actions, which are far more important. Our use of this term has helped to shake Neo-SSPXers out of their servility to think about what Fellay is doing. That is the point.

The familiar form of address rips off the hypocritical veneer, behind which Fellay and Benedict-Ratzinger try to hide their evil designs and deeds. Too many of their followers look at them as virtual gods. In that way they can get away with evil without challenge. For all Fellay talks about the Virgin Mary, he doesn’t emulate her humility. Archbishop Lefebvre didn’t put on airs. He had the internal confidence that Fellay « The Bookkeeper » lacks and has to get by being « worshipped » without challenge by his followers.

In accordance with the best Catholic examples, we TRADITIO Fathers believe firmly that respect is earned. Respect is not automatic simply because someone holds a high office. As St. Thomas Aquinas, the Church’s Universal Doctor, teaches: « If the faith is endangered, a subject ought to rebuke his prelate even publicly. »

Corrupt, anti-Catholic actions cannot be cloaked under the veneer of some purported office. If a traditional Catholic buys into this, he becomes an sinful accomplice to the corruption under the principles of Catholic Moral Theology. We do not « cast disrespect » on anyone. It is the individual who has cast disrespect upon himself by his disreputable conduct, and such an individual is properly criticized, publicly, for his public actions. When Catholics have failed to hold « prelates » to Catholic morality, as generally they have failed to do in the case of the « Paedophile Pope, » Benedict-Ratzinger, and the « Judas » bishop, Bernie Fellay, the immoral situation has simply been made worse by the complicity.

In this approach we are supported by the Great Western Doctor of the Church, St. Augustine, who took an oath in the public square against the heretic pope of his time and proclaimed: « It is better that the truth be known than that scandal be covered up. » That is the committed and gutsy Catholicism that we follow, not the pansy version exemplified by Fellay and Ratzinger. St. Thomas More is another example of a Saint who used satire, sarcasm, and even ridicule to criticize the errant prelates of their time.

What is more vile and despicable than to hide sodomy, paedophilia, heresy, and apostasy perpetrated under the veil of some superficial white or purple garment? This is certainly not the morality that Our Lord Jesus Christ taught. He Himself gave us our example by condemning the false « prelates » of His time in the strongest possible terms, calling them hypocrites, « whited sepulchres, which outwardly appear to men beautiful but within are full of dead men’s bones and of all filthiness » (Matthew 23:27-28/DRV).

Let’s face it. Fellay and Ratzinger are trying to intimidate anyone who would criticize their vile actions against the true Catholic Faith by turning them into mere slavish « yes » men for themselves. Don’t you be a fool and play the slave to the corrupt ambitions of these « prelates. » Instead, stand up and be a gutsy Catholic, not a pansy!