Archive for the ‘cloaque d’impureté’ Category
Un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône…
Notre ami « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus » ayant fait un excellant commentaire – lien permanent – (comme toujours !) sur le dernier article de Pierre Legrand : « Un digne Fils de ses Pairs… », j’ai plaisir à vous le mettre en avant pour que chacun puisse en apprécier le contenu :
Ce fut un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône qui fit de l’effet et qui en a éclaboussé plus d’un, n’est-ce pas Pierre le Grand !?
La statue effritée du commandeur instable est désormais bancale.
Merci à vous mon bon Cave de relayer l’Invective historique hautement justifiée du Chevalier vengeur Petrus.
Attention ! âmes sensibles s’abstenir.
En attendant que la Justice de Dieu brûle les ordures à Paris et tire la chasse à Marseille (La Salette), le forum agonisant prétendument catholique de XA, au début autant baveux que bavard, est en constant déclin, il n’y a presque plus personne pour haïr sans vergogne la Tradition apostolique du Magistère de toujours.
Les vieux Adam licencieux de la vieille Ève conciliaire émancipée et soixante-huitards récurrents qui présidaient à la Fantasia conciliaire dans les paroisses françaises, ont TOUS crevé de leur luthérienne mort « aggiornamentée » sans être munis de sacrements efficaces et leurs corps bouffés par des vers voraces, pourrissent lentement mais sûrement en terre ingrate ou bien livrés au four crématoire des incrédules, s’agitent convulsionnés en tous sens désordonnés, léchés par des flammes dévorantes indomptables. Bigre, c’est d’enfer !
QUIS UT ECCLESIA ! ! !
Notre dernier article, « Vatican D’Eux : canonisations, béatifications, synode & Cie… » a entraîné une Disputatio effrénée suite à la « contestation » du fait que je disais que « pour nous », Fidèles semper idem, il ne s’était RIEN passé dans l’Église catholique le week-end dernier alors que la secte « église Conciliaire » concluait en ce « Dimanche des conviés aux noces » ses parodies de béatification et de synode et que « pour nous », Fidèles semper idem… ce dimanche 19 octobre, n’était pas un jour de tristesse, jour de deuil…marqué malheureusement d’une pierre noire !…
Le premier a avoir “ouvert les hostilités” étant « Alexandre » (lien permanent), c’est lui le premier visé (mais c’est valable aussi pour tous les contradicteurs) par la très bonne réponse que nous donne notre cher correspondant « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus ». (lien permanent) :
Quis Ut Ecclesia ! ! !
Ou le monde perdu d’Alexandre le bienheureux qui s’attriste que Michou soit sur la table conciliaire et nous fait consterner une drolatique fâcheuse petite crise nerveuse.
Alexandre s’attriste et moi paraphrasant Saint Paul, je me réjouis qu’ils ne fassent pas plus de progrès dans la déchéance, espérant toutefois que leurs égarements insensés soient prochainement vraiment flagrants pour tous … c’est pas gagné … avec Fellay l’Iscariote !
CHIESA VIVA : Rituels sataniques, l’implication de Benoît XVI ?
Nous vous proposons de la dernière révélation de DON LUIGI VILLA qui nous montre le degré d’horreur des infiltrations sataniques (ici, au plus haut sommet, dans l’église [secte] Conciliaire qui se fait passer pour l’Église au yeux du Monde).
Toos Nijenhuis (une Hollandaise obligée, pendant des années, par son père, de participer à des rituels sataniques), dénonce les atrocités commises par des membres de l’élite satanico-mondialiste (prélats inclus, dont Joseph RATZINGER en 1987).
Ci-dessous, l’article du dernier n° de CHIESA VIVA est commenté en français par Laurent GLAUZY.
Rituels sataniques, l’implication de Benoît XVI ?
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FRANÇOIS-LE-DESTRUCTEUR :
PETIT FLORILÈGE DU « MAGISTÈRE » BERGOGLIEN
Un fidèle lecteur de notre blogue et de celui de notre confrère Radio Cristandad a fait une recension de l’ « enseignement » atypique du clown blanc qui préside la secte conciliaire depuis un peu plus de dix-huit mois (13 mars 2013)…
Radio Cristandad a publié récemment l’original en espagnol :
Alejandro Sosa Laprida: Francisco el Destructor: una antología del «magisterio» bergogliano.
Notre traducteur et ami nous en a fait une version française… et n’a pu s’empêcher de mettre mon grain de sel çà et là en diverses notes. Nous avons jugé que ces piques pouvaient et devaient être conservées. Il conclu par :
François-le-Destructeur :
Petit Florilège du « Magistère » Bergoglien
(Traduit de l’espagnol à partir d’une compilation réalisée par Miles Christi, 5 octobre 2014)
Projet de repentances à l’usage de la secte conciliaire
Projet de repentances à l’usage de la secte conciliaire
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1. Je me repens d’avoir fait appel à des théologiens hétérodoxes (pour ne pas dire hérétiques), déjà stigmatisés à ce titre par Rome, et à des bouillons de culture syncrétistes comme Taizé, ainsi que de m’être appuyée sur les élucubrations de ces catholiques plus que douteux pour préparer en secret – voire en loges – le deuxième Concile œcuménique du Vatican, dit « pastoral » et non pas dogmatique, dont le but véritable (et atteint) était de faire « 1789 dans l’Église », formule lancée d’un ton triomphant juste après le concile par le Cardinal franc-maçon Suenens.
2. Je me repens, en particulier, d’avoir truqué ce concile avant même qu’il commence et d’y avoir pratiqué jusqu’au bout le coup de force permanent, dans la plus pure tradition de l’Agitprop bolchevique… Il est vrai que lors de tractations conduites à Metz en 1962 entre le Cardinal Tisserand et le patriarche de Moscou, je m’étais engagée à ne pas y renouveler l’indispensable condamnation du communisme génocide, ennemi juré de Dieu et de la chrétienté, mon but étant d’assurer la présence « œcuménique » à Rome de membres de l’église « orthodoxe » russe noyautée par le KGB, agissant ainsi au mépris des catholiques dont la persécution par Moscou et ses satellites n’avait jamais cessé et ne s’est du reste pas ralentie depuis, bien au contraire, alors même que les naïfs croient le communisme vaincu. Ainsi ai-je pactisé partout avec la Révolution pérenne et son dernier avatar en date, allant jusqu’à trahir – au nom de mon Ostpolitik insensée – les catholiques des pays où règne ce régime abject, par exemple en « lâchant » les Uniates d’Ukraine, que n’ont cessé de persécuter nos « frères séparés » prétendument orthodoxes, mais authentiquement à la botte de Moscou et haineusement anti-romains.
3. Je me repens d’avoir proscrit – de la façon la plus arbitraire, illégale et totalitaire qui soit – la célébration de la seule Messe qui vaille : celle, immémoriale, que le pape saint Pie V a restaurée en donnant aux prêtres le droit de la célébrer jusqu’à la fin des temps, non sans fulminer d’avance l’anathème contre quiconque prétendrait les en empêcher. Cette attitude aberrante devait me conduire à excommunier (de facto, sinon de jure, et pour cause !) les derniers catholiques et leurs pasteurs – taxés de schisme – tout en laissant pérorer et parader à son aise l’hérésie néo-moderniste, quand je ne l’y encourageais pas. Témoin, entre autres, le grand charivari que j’ai permis aux « charismatiques » (ces convulsionnaires d’inspiration protestante et possédés par « l’esprit », certes, mais lequel ?) d’organiser au cœur même de la chrétienté, dans la basilique Saint-Pierre de Rome, puis sur son parvis, alors même que partout dans le monde, je fermais les lieux saints à la Tradition et à ses cérémonies authentiquement catholiques.
4. Je me repens d’avoir désacralisé le Saint Sacrifice de la Messe au point de le transformer en une sorte d’événement festif New Age axé sur l’adoration de l' »Homme » plus que de Dieu. Je me repens d’en avoir fait un simple mémorial, un vulgaire « repas communautaire » niant implicitement la Présence réelle et la Transsubstantiation, au point de rendre la fréquentation de la « messe de Paul VI » recommandable aux protestants par leur hiérarchie, qui – depuis Luther, ce moine défroqué, débauché et déséquilibré – exclut que la Messe puisse être ce qu’elle a été, est et restera toujours et avant tout : un Sacrifice propitiatoire non sanglant. Je me repens d’avoir institué là un office protestant à 98 %, avec un zeste de Kabbale (« Dieu de l’univers » au lieu de « Dieu des forces célestes » pour traduire Deus Sabaoth) et un soupçon de jargon maçonnique (« fruits de la terre et du travail des hommes » au lieu de « le pain sacré de la vie éternelle et le calice de l’éternel salut » pour traduire Panem sanctum vitæ æternæ, et Calicem salutis perpetuæ), ce qui est peu surprenant lorsqu’on songe que cette « messe » est sortie tout armée d’une obscure commission (une loge, en somme) dont j’avais confié la présidence au prélat franc-maçon Annibale Bugnini, assisté de six conseillers protestants et de quelques néo-modernistes jouant les « catholiques alibis ». Je me repens d’avoir profané les lieux saints en les prêtant à n’importe qui pour n’importe quel usage, en reléguant le Saint-Sacrement dans les bas-côtés, voire la sacristie, en laissant déposer les hosties par des mains non consacrées dans des mains non consacrées, en permettant à des jeunes filles de servir la « messe », en remplaçant l’autel par une table à repasser tournant le dos à Dieu, mais faisant face à l' »Homme » (dont Paul VI a même proclamé fièrement que j’avais le culte !), en supprimant la clôture du chœur, en ôtant les statues, etc. etc., bref, en faisant tout pour éliminer le respect dû au surnaturel. Je me repens d’avoir jeté aux orties le latin, langue sacrée depuis que les premiers chrétiens l’ont empruntée à leurs persécuteurs pour adorer Dieu d’une seule voix dans tout l’Empire romain, surmontant providentiellement ainsi la malédiction de Babel. Je me repens d’avoir voulu, par tous ces attentats, tuer le Saint Sacrifice de la Messe dans l’espoir fou et impie d’étouffer l’Église Catholique, dont il est le fondement, afin de me substituer définitivement à celle-ci.
5. Je me repens d’être revenue sur les enseignements de tous les papes d’avant 1958, ne serait-ce qu’en cautionnant cette monstruosité maintes fois condamnée qu’est la « liberté religieuse », porteuse de laïcisme, donc de révolte permanente contre le Christ-Roi, sous l’influence évidente des « libres-penseurs » que j’avais accueillis en mon sein. Je me repens, en fait, d’avoir ridiculisé dans l’esprit de l’immense majorité des catholiques les notions de dogme, de doctrine et de magistère, exposant ainsi les âmes au doute, à l’indifférence, à l’apostasie et aux ténèbres extérieures. Je me repens d’avoir été le loup déguisé en brebis et fourvoyant celles-ci pour mieux les perdre.
6. Je me repens d’avoir laissé (ne serait-ce qu’en France) bon nombre de mes évêques, archevêques et cardinaux – infiltrés dans l’Église par ses pires ennemis – délirer de la manière à la fois la plus grotesque et la plus crapuleuse dans tous les domaines possibles, par exemple :
— en fraternisant ouvertement avec lesdits ennemis – athées, talmudistes, marxistes, protestants et maçons, entre autres – au point même, pour beaucoup, de se faire carrément francs-maçons… quand il ne s’agit pas de francs-maçons qui se sont faits prêtres et ont progressé dans les deux hiérarchies à la fois selon les excellents préceptes de leurs grands ancêtres de la Haute Vente d’Italie ;
— en fermant les églises de France aux « indésirables » – à savoir les membres de la droite nationale non païenne qui souhaitaient recevoir le baptême ou auxquels leurs proches voulaient donner des obsèques religieuses, ou encore les fidèles de la Tradition décédés, parmi lesquels des prêtres – pour mieux en ouvrir les portes à tout ce qui n’est pas catholique et, de préférence, tout ce qui est le plus anti-catholique ;
— dans une logique suicidaire, en faisant don à l’islam prosélyte et conquérant (surtout pas aux « intégristes », c’est-à-dire au petit reste de catholiques véritables !) des églises désertées par les fidèles à cause de la dérive conciliaire, précisément ; or, c’est là, pour ce même islam, un signe infaillible de faiblesse et la preuve qu’il a désormais le champ libre sur le territoire d’une chrétienté dont les pasteurs mêmes s’appliquent à hâter la décomposition ; à cause de ces ventres mous, l’Europe occidentale n’est plus tout à fait le dar-el-harb (pays de la guerre avec les « infidèles ») que les mahométans ont vainement cherché à envahir pendant treize à quatorze siècles ; elle est même en passe de s’assimiler au dar-el-islam (pays de la « paix » mahométane) et de voir ainsi ses habitants s’intégrer bon gré mal gré à l’oumma (communauté des mahométans), dont les membres méprisent, ostracisent et persécutent les non-mahométans, qui ne sont à leurs yeux que des dhimmis (citoyens de deuxième ordre, assujettis quand même à l’odieuse chariah (loi mahométane) ;
— en pétitionnant, défilant et manifestant à la moindre occasion avec la racaille trotskiste, qui est fanatiquement internationaliste, immigrationniste, francophobe, anticléricale, avorteuse et homophile ;
— en multipliant les déclarations, prises de position et actions les plus bassement démagogiques, collaborationnistes, voire hérétiques, car bien dans l’irrespirable « air du temps », qui est à l’hédonisme, au relativisme, au naturalisme, à la tiédeur, au métissage forcé, à la destruction des nations, à la tolérance de l’intolérable, etc. etc. etc.
7. Je me repens d’avoir introduit l’erreur dans la Vérité, c’est-à-dire d’avoir obscurci cette dernière – ce qui insulte à la mémoire de tous les martyrs ayant versé leur sang pour elle depuis deux mille ans – en prônant, pratiquant et imposant un faux œcuménisme, véritable piège du Malin qui revient à faire croire que tout se vaut : la vraie Religion et les fausses ; or, ce prétendu œcuménisme (qui m’attire du reste le mépris croissant des fausses religions : beau résultat parmi d’autres !) dépouille évidemment ladite Religion de tout son crédit auprès des fidèles comme des âmes qui auraient pu s’y convertir, mais qui sont désormais fortement incitées à continuer de chercher d’impossibles « voies de salut » dans leurs cultes hérétiques, schismatiques, païens ou sataniques habituels, tandis que les ex-fidèles – complètement désorientés – perdent la Foi en tout ou partie et deviennent indifférents, quand ils ne se laissent pas coopter par des sectes religieuses ou antireligieuses, ayant pignon sur rue ou non.
8. Je me repens, dans le même ordre d’idées, d’avoir organisé à Assise, puis un peu partout en souvenir de ce happening démentiel, de véritables pandémoniums des fausses religions, mises sur le même pied que la vraie. Je me repens de n’avoir rien voulu comprendre aux avertissements du Ciel lorsque, onze ans jour pour jour après ce premier et gigantesque scandale, Assise a été frappée par un tremblement de terre dévastateur qui – entre autres signes sans équivoque – devait causer la destruction du maître-autel de la cathédrale, sur le tabernacle duquel on avait obligeamment prié les bouddhistes de poser leur idole, tandis que sous ce même autel, dans la crypte, la châsse contenant les reliques de saint François demeurait intacte. Je me repens d’avoir réédité le même exploit « œcuménique » dans le sanctuaire marial de Fatima ou, grâce à mes soins empressés, une idole hindoue a été adorée dans la chapelle des apparitions.
9. Je me repens d’avoir cherché à faire croire que les « avancées conciliaires » (par exemple, l’ « abolition » du démon et du péché originel et actuel) étaient irréversibles, comme si quelques dizaines d’années de tragiques errances rappelant la folie arienne pouvaient gommer dix-neuf siècles de saint et patient labeur au service de cette Foi, de cette Espérance et de cette Charité qu’a prêchées Celui dont le Nom est le seul par lequel nous puissions être sauvés.
10. Je me repens d’avoir gaspillé en des JMJ purement médiatiques et ostentatoires – destinées à prouver la vigueur de la Foi des jeunes, mais ayant au contraire crûment mis à nu la désolante ignorance des intéressés en matière de religion – la soif d’absolu d’une jeunesse en friche qui, lorsqu’elle parvient à échapper au bourrage de crâne ambiant, constate l’inanité du Novus Ordo Missae et se dirige de plus en plus vers le catholicisme de Tradition.
11. Je me repens d’avoir tout mis en œuvre afin de diviser le mouvement traditionaliste, d’abord en tirant prétexte des sacres de 1988 pour terroriser une partie des « tradis » et les pousser à quitter la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X (je leur avais fait miroiter un leurre en forme d’indult), ensuite en laminant la Fraternité Saint-Pierre – produit pourtant bien docile de cette scission – par des grenouillages indignes, enfin en essayant de provoquer le même genre d’éclatement au sein du noyau organisé de la résistance catholique, la Fraternité Saint-Pie X, œuvre de Mgr Marcel Lefebvre, à laquelle j’ai proposé, selon ma bonne habitude, des « discussions ». Je me repens d’avoir agi, ce faisant, sous l’inspiration de celui dont le nom signifie « diviseur ».
12. Je me repens d’avoir déboussolé un peu plus encore les fidèles en pratiquant la « repentance » à tort et à travers, autrement dit en battant ma coulpe sur la poitrine des saints papes qui se sont succédé au cours des siècles, et cela pour des fautes imaginaires qui sont en réalité des hauts faits : avoir évangélisé les païens en renversant leurs idoles selon les instructions du Divin Maître, redressé les hérésies en les combattant résolument lorsqu’elles prétendaient s’imposer par les armes, rouvert les routes de Jérusalem aux pèlerins après des siècles pendant lesquels l’islam prédateur les avait impunément tués, rançonnés ou réduits en esclavage, voire – comme le Vénérable Pape Pie XII – sauvé des milliers de juifs de l’extermination, pour se faire accuser longtemps après de s’être désintéressé de leur sort et même d’avoir collaboré avec les nazis, sans que je réagisse avec toute la fermeté voulue contre d’aussi nauséeuses calomnies, le pontife en question présentant à mes yeux la tare manifeste d’avoir été le dernier pape préconciliaire, autant dire le dernier pape incontestablement catholique en dépit de ses faiblesses.
13. Je me repens d’avoir accéléré ma fuite en avant vers le précipice à mesure que s’affirmait mon cuisant échec. L’arbre se juge à ses fruits, et les miens – tout colorés et appétissants qu’ils peuvent être à la vue de certains – se sont révélés secs, amers, gâtés ou moisis à la dégustation de tous ceux qui conservent tant soit peu de palais. Ainsi, je me repens d’avoir provoqué la désaffection des églises, monastères et séminaires et d’avoir tendu, devant ce véritable désastre, l’écran de fumée d’une prétendue « nouvelle Pentecôte » pour tenter de faire oublier les déclarations de Paul VI lui-même déplorant que les « fumées de Satan » se fussent introduites dans l’Église.
14. Je me repens d’avoir réservé un enterrement de première classe au miracle comme aux révélations de Fatima, et notamment d’avoir menti au moins par omission sur le troisième secret (qui m’est archi-défavorable : cela, du moins, est un secret de Polichinelle) tout en ne m’opposant pas aux « apparitions mariales » de Medjugorje, qui ne sauraient venir du Ciel tant les messages de la « Gospa » sont répétitifs, lénifiants, inconsistants… conciliaires en quelque sorte, tant elles attirent les « charismatiques » comme les sanies attirent les mouches, tant les voyants et leurs « sponsors » présentent une sainteté pour le moins douteuse. Je me repens donc, d’une part d’avoir censuré la Très Sainte Vierge Marie, d’autre part d’avoir prétendu reconnaître sa parole dans une véritable bouillie pour les chats… tout en continuant d’ignorer avec une pertinacité infernale les avertissements très clairs qu’elle a donnés à La Salette en 1846 et qui annonçaient mes ignominies actuelles.
15. Je me repens d’avoir mis le Saint Linceul de Turin sous l’éteignoir depuis sa prétendue datation au carbone 14 de 1988, alors que j’ai appris depuis – en toute certitude – que celle-ci n’était qu’une grossière imposture. Il est vrai que je n’ai pas tardé à me coucher devant la fausse science et ses diktats antichrétiens, par exemple les fariboles évolutionnistes que Jean Rostand – leur tenant athée – avait eu le courage quelque peu schizophrène de dénoncer en écrivant que l’ « Évolution » était « un conte de fées pour grandes personnes ». Je me repens d’avoir vu en fait dans le Saint Linceul, comme dans son message miraculeux et sans ambiguïté, un obstacle massif à ma seule véritable obsession : l’extension de l’ « œcuménisme » à tout et n’importe quoi. Aux « extra-terrestres » aussi, depuis peu !…
16. Je me repens d’avoir contribué – notamment par cet œcuménisme dévoyé – à ériger le trône de l’Antéchrist, dont le règne passera par l’instauration d’une religion mondiale n’ayant évidemment rien à voir avec la Religion Catholique et ne pouvant déboucher que sur la fin des temps annoncée par saint Jean dans son Apocalypse, point d’orgue de la Révélation. Les précurseurs de l’ « homme d’iniquité » auront été nombreux en mon sein…
17. Je me repens d’avoir « canonisé » le rose-croix Roncalli et le théosophe Wojtyla, ainsi que d’avoir envisagé la « canonisation » de l’abominable Montini, « canonisant » du même coup le conciliabule hérétique Vatican II et ses tristes hérauts.
18. Je me repens d’avoir entraîné, par ces innombrables et criminels errements en tous genres, la chute en enfer d’un grand nombre d’âmes, et je sais qu’il m’en sera demandé raison au Jugement Dernier, dont j’attends le Jour en tremblant.
19. Je me repens de ne pouvoir me repentir de tous mes méfaits et manquements tant ils ont été nombreux et tant leur seule évocation m’épouvante aujourd’hui.
20. Je me repens, pour l’essentiel, d’avoir sombré dans le schisme et l’hérésie en me séparant du Catholicisme de toujours et d’avoir sévi jusqu’en cet instant béni où, avec la plus vive et la plus sincère contrition, ainsi que le fervent espoir de voir le Juge Suprême pardonner à mes membres, j’ai l’indicible soulagement de me réintégrer enfin à l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine, seule porteuse du message de Vérité de Notre Seigneur Jésus-Christ, unique Sauveur des hommes de bonne volonté, à laquelle je restitue humblement les clefs de saint Pierre dont j’ai usurpé la garde pendant un demi-siècle environ.
21. Je me repens. Je me repens. Je me repens… Je Me Repens !!…
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François
Carlos Urrugoity, prêtre renvoyé par le Vatican…
Virgo-Maria.org l’avait dénoncé !!!
L’évêque à la Rose l’avait protégé !!!
La F$$PX l’avait ensuite exclu (pour homosexualité, rapporte le quotidien français « La Croix »)… Il avait alors fondé sa propre structure traditionaliste ralliée à Rome…
Le Vatican vient d’ordonner le renvoi du prêtre Carlos Urrugoity vicaire général dans un diocèse de l’est paraguayen. Le prêtre argentin est suspecté d’avoir commis des abus sexuels sur de jeunes gens aux États-Unis.
(Nota : Le langage est ici conciliaire…)
APIC| 30 juillet 2014 | 09h32
L’évêque de Ciudad del Este temporairement suspendu
Paraguay : Le Vatican renvoie un vicaire général suspecté d’abus sexuels sur mineurs
Ciudad del Este : Le Vatican a ordonné le renvoi du prêtre Carlos Urrugoity, qui officiait comme vicaire général dans le diocèse paraguayen de Ciudad del Este, à l’est du pays, rapporte le 28 juillet 2014 la presse locale. Le prêtre argentin est suspecté d’avoir commis des abus sexuels sur de jeunes gens aux États-Unis. L’évêque ultra-conservateur Rogelio Livieres Plano, qui a toujours soutenu le Père Urrugoity, a été temporairement suspendu par l’envoyé du Vatican, le cardinal espagnol Santos Abril y Castello.
Le pape François avait envoyé mi-juillet une délégation, menée par le prélat espagnol, pour enquêter sur les scandales qui ont récemment éclaté dans le diocèse paraguayen. Outre l’indignation soulevée par l’accession du Père Urrugoity au poste de vicaire général, des accusations de malversations financières et des irrégularités dans la formation des séminaristes ont émergé.
Exclu de la FSSPX
Selon des dépositions relatées par le site Internet d’information américain GlobalPost, de jeunes séminaristes du Minnesota et de Pennsylvanie ont accusé le prêtre argentin d’attouchements et d’autres actes à caractère sexuels. Des membres du clergé du diocèse de Scranton, à l’est des États-Unis ont diffusé des avertissements selon lesquels le Père Urrugoity représente « une sérieuse menace pour les jeunes gens ». Le prêtre a cependant toujours nié ces allégations et n’a jamais été pénalement condamné.
Le Père Urrugoity avait été ordonné pour la Fraternité Saint-Pie-X (FSSPX), séparée de Rome depuis 1988, avant d’en être exclu pour homosexualité, rapporte le quotidien français « La Croix ». Il avait alors fondé sa propre structure traditionaliste ralliée à Rome. Suite aux accusations d’abus sexuels en Pennsylvanie, il était parti suivre une thérapie au Canada avant de rallier le Paraguay où il était devenu vicaire général.
Ambiance délétère dans l’épiscopat
Le cardinal Abril y Castello a annoncé avant son retour à Rome que l’évêque de Ciudad del Este avait été temporairement suspendu et ne peut ordonner des prêtres et des diacres.
Mgr Livieres Plano a toujours défendu son vicaire général en avançant le fait que sa culpabilité n’a jamais été prouvée. En juin dernier, un reportage de la chaîne américaine NBC reprenant les accusations contre le Père Urrutigoity avait mis le feu à l’épiscopat paraguayen. L’archevêque d’Asuncion, Mgr Pastor Cuquejo, avait demandé une réouverture de l’enquête, ce qu’avait vertement refusé l’évêque de Ciudad del Este accusant son confrère de la capitale d’être lui-même « homosexuel » et dénonçant une « persécution » menée par « les libéraux ».
Détournements de fonds ?
Sur le plan financier, l’évêque est notamment accusé d’avoir détourné plusieurs millions de dollars reçus d’une entreprise locale qui exploite un gigantesque barrage hydroélectrique sur le Parana. Elle aurait versé 300’000 dollars et offert au diocèse un théâtre d’une valeur de 1,5 million de dollars. Selon des organisations de laïcs, avec lesquelles l’évêque est en difficulté, l’argent devait servir à des œuvres sociales, mais Mgr Livieres Plano l’aurait utilisé pour son nouveau séminaire. L’établissement, qui accueille 200 étudiants, un record dans la région, est justement l’autre difficulté du diocèse. Les évêques paraguayens accusent Mgr Livieres Plano d’y dispenser un enseignement très conservateur, mais aussi bâclé – les études durent 4 ans au lieu de 6. De son côté, l’évêque de Ciudad del Este a accusé ses confrères, dans une lettre à Benoît XVI, d’être des tenants de la théologie de la libération.
Source : CATH.ch : http://www.cath.ch/detail/paraguay-le-vatican-renvoie-un-vicaire-g%C3%A9n%C3%A9ral-suspect%C3%A9-dabus-sexuels-sur-mineurs