Archive for mars, 2013
Pape pipovre
Les pitreries du “papeFrançois” ouvrent les yeux de nombreux fidèles
À l’heure ou les pitreries du “papeFrançois” ouvrent les yeux de nombreux fidèles de la “fausse majorité traditionnelles” (dixit M. l’abbé Marchiset) et de ralliés comme Yves Daoudal, qui sur son Blogue fait la recension de celles-ci et écrivait le 14 mars :
En moins de 24 heures, le nouveau pape aura multiplié les gestes de rupture.
et :
Il est le premier pape à paraître au balcon de Saint-Pierre de Rome sans aucun ornement liturgique, et ne daigne revêtir une étole que pour la bénédiction urbi et orbi, récitée et non chantée.
Il commence son allocution par « Bonsoir » et la termine par « Bonne nuit », comme tous ces prêtres réfractaires à tout esprit liturgique qui commencent la grand-messe par « Bonjour à tous » et la terminent par « Bon dimanche ».
* * *
Après que le nouveau“papeFrançois”, comme la rumeur en court sur les médias italiens, a lancer au cérémoniaire pontifical, qui lui présentait la mozette du Souverain Pontife, héritage de la pourpre impériale : « Le carnaval est fini ! »
Le premier Angelus du pape François (Premier dimanche de la Passion)
Le pape François est apparu dimanche 17 mars à midi à sa fenêtre place Saint-Pierre pour son premier Angélus devant une foule de plusieurs dizaines de milliers de personnes. « Bonjour. Après notre première rencontre de mercredi, je suis heureux de vous saluer ce dimanche, le jour du Seigneur (…) sur une place qui grâce aux médias a les dimensions du monde » , a-t-il déclaré, après avoir été accueilli par une clameur à son apparition au balcon de ses futurs appartements privés au 3e étage du palais apostolique.
« Bon dimanche et bon appétit », a-t-il conclu, fidèle à son style empreint de simplicité et de bonhomie.
Contrairement à l’habitude de ses prédécesseurs, il a achevé l’Angélus sans saluer la foule dans différentes langues.
Nous vous proposons deux lectures importantes qui sont les deux premières au Top 10 des téléchargements sur notre site du CatholicaPedia.net :
Downloads (Top 10)
À Quoi Sert Le Pape ?
par Monseigneur GAUME
Les Prêtres Ordonnés Suivant Le Nouveau Rite Sont-Ils Prêtres ?
Les Évêques Sacrés Suivant Le Nouveau Rite Sont-Ils Évêques ?
Ce second texte est capital, écrit en 2003, avec des citations de Bonum Certamen écrites de 1981 à 1992 ; soit 15-25 ans avant les travaux du CIRS (Rore Sanctifica) , il explique la situation actuelle avec le pitre “papeFrançois” qui est démuni de toute grâce sacerdotale !
Après le concile Vatican II, Paul VI a modifié le rite de tous les sacrements. Une réforme aussi générale est pour le moins risquée. En effet, si quelque chose d’essentiel a été modifié, le nouveau rite n’est plus efficace, il ne produit plus la grâce, car il n’est plus le rite que le Christ a institué.
En a-t-il été ainsi dans la réforme du sacrement de l’ordre ? Cette question est de la plus grande importance, car, dans ce cas, la transmission du sacerdoce ne serait plus assurée. Les conséquences en seraient incalculables :
plus de sacerdoce catholique, plus d’eucharistie : il faut un prêtre validement ordonné pour dire la messe ;
plus de sacerdoce, plus de sacrement de pénitence pour remettre les péchés ;
plus d’extrême-onction pour aider les mourants ;
plus de confirmation pour les baptisés.
Par la destruction de ce seul sacrement, l’église Conciliaire ne serait plus l’Église du Christ : elle serait une secte de plus parmi beaucoup d’autres.
Sans être le plus grand de tous les sacrements, celui de l’ordre est indispensable à l’Église. Il est en effet la source de presque tous les autres sacrements. Sans évêque catholique, les hommes pourraient encore être baptisés et se marier religieusement, mais c’en serait fait de toute vie sacramentelle, en particulier du saint sacrifice de la messe et de la présence réelle du Christ dans son état de victime immolée et offerte. Sans sacerdoce valide, l’Église du Christ ne serait plus qu’une secte et rien d’autre.
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Bonum Certamen n° 58, septembre-octobre 1981
Les Hommes Ordonnés, En France, Depuis 1968, Sont-Ils Prêtres ?
Angoissante Question ; Tragique Réponse !
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Bonum Certamen n° 59, novembre-décembre 1981
Aurons-Nous Encore Longtemps Des Évêques Validement Sacrés ?
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Bonum Certamen n° 118, novembre-décembre 1991
L’Ordinal De Paul VI Est Invalide
parce qu’il est la copie servile de l’ordinal anglican
« L’Ordination ne transmet pas le sacerdoce ; mais seulement la mission » (Mgr Vilnet)
A – Étude de la Prêtrise
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Bonum Certamen n° 119, janvier-février 1992
L’Ordinal De Paul VI Est Invalide
B – Étude de l’Épiscopat
Le blog d’Yves Daoudal
13 mars 2013 :
« François Ier »… : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/13/francois-ier.html
14 mars 2013 :
Du cardinal Bergoglio au pape François : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/du-cardinal-bergoglio-au-pape-francois.html
Bergoglio, décembre 2002 : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/bergoglio-decembre-2002.html
C’est le plus urgent ? : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/c-est-le-plus-urgent.html
Ça continue : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/14/ca-continue.html
16 mars 2013 :
Trois ou quatre petites choses sur Jorge Bergoglio : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/trois-ou-quatre-petites-choses-sur-jorge-bergoglio.html
Les Franciscains du pape François : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/les-franciscains-du-pape-francois.html
Tout va pour le mieux. Et encore mieux que cela. : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/tout-va-pour-le-mieux-et-encore-mieux-que-cela.html
Le pape François et les évangéliques : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/03/16/le-pape-francois-et-les-evangeliques.html
La “confirmation” selon le “cardinal” Bergoglio, “pape” François
Le « Cardinal Bergoglio » dans ses œuvres pastorales : et que j’te fais la bise au lieu de te donner le soufflet de « confirmation » !… Et que j’te barbouille le front avec l’huile sainte (?), après y avoir tracé une croix…
Corpus Christi – Fiestas Patronales – Jesús Sacramentado 2012
Abbé Ricossa : Marche arrière toute !
Avant le conclave 2013, V 2.6, M. l’Abbé Ricossa a donné une interview sur les sites italiens “Wakeupnews” et “Il secolo d’Italia”.
Elle a été publiée par Clément LECUYER, sur Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE !
Lundi 11 mars 2013
Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes. Interview de Mr l’abbé RicossaNous publions ci-dessous une interview de Mr l’abbé Ricossa parue sur des blogs italiens d’informations. Elle a été réalisée par le site wakeupnews et une partie par le site “Il secolo d’Italia”.
Nous remercions ici notre traducteur !
Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes
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Marche arrière toute !
…ou les « entrailles » de l’Église, vues par M. l’Abbé Ricossa (Institut italien Mater Boni Consilii)
Dans son dernier entretien avec “Wakeupnews”, Monsieur l’Abbé Ricossa, chef de file des néo-guérardien, adeptes de la fameuse « thèse du pape materialiter »et directeur de la revue théologique Sodalitium, nous parle du prochain conclave et ce qu’il conviendrait d’en attendre.
L’Abbé commence par nous dire que les modernistes veulent détruire l’Église de l’intérieur.
Assurément, c’est en effet leur intention démoniaque. Mais nous nous savons que c’est impossible car l’Église a les promesses de la vie éternelle. On eût aimé que l’Abbé le rappelât très brièvement, car c’est un dogme de foi.
Ensuite l’Abbé nous parle des « obstacles » du prochain conclave des cardinaux. Il y voit principalement les erreurs contre la foi et la morale catholique, mais fait totalement l’impasse sur la qualité même de ces prétendus cardinaux dont la plupart tiennent leur ordination de rites parfaitement invalides car non catholiques. Verrua et ses partisans ne parlent jamais de ce problème qui est le véritable marqueur de cette fausse « église » de Vatican II !
En outre M. l’Abbé ne voit aucun programme qui puisse être capable d’extirper ces erreurs qui ont cours depuis près de 50 ans ! Nous lui ferons respectueusement remarquer qu’il serait vain et étrange pour le moins de vouloir chercher et trouver le remède au sein même de la secte apostate !!! Ou alors ce serait reconnaître implicitement qu’il « subsiste » dans cette hiérarchie apostate des germes véritables de restauration de l’Église. Ce qui est aberrant et de plus impossible en raison de la nature même du péché commis par tous ces clercs et leurs aînés depuis un demi-siècle. M. l’Abbé ne semble pas en être parfaitement convaincu… et nous allons voir un peu plus loin pourquoi.
« La faillite de Vatican II, de ce point de vue, est visible aux yeux de tous : il faut avoir le courage de l’admettre. Si on s’engage dans une voie sans issue, il ne reste plus qu’à faire marche arrière. » nous déclare l’Abbé sans rire !
Fort d’enfoncer pour commencer une grande porte ouverte avec la visibilité de la faillite de Vatican II – à moins qu’il ne s’adresse principalement à « ceux d’en face » et « à ceux d’à côté » – l’Abbé nous dit qu’il faut faire marche arrière !!! Mais de qui et de quoi nous parle-t-il ? À en croire le début de sa phrase, il ne s’agit rien moins que de ceux d’en face… c’est-à-dire les conciliaires toutes tendances et sensibilités confondues. « Il ne reste plus » a toute l’apparence soit d’une formule magique soit d’une expression convenue et de pure convenance… Tout cela n’est pas sérieux de la part d’un prêtre se disant sédévacantiste (mitigé il est vrai…) et qui nous dit plus haut qu’il ne voit aucun programme susceptible de remédier à tous ces maux…
D’aucuns verront dans la suite une infirmation de mon analyse et ne manqueront pas de juger mes propos scandaleusement outranciers, irrespectueux et calomniateurs des intentions véritables de ce prêtre. J’ai l’habitude…
Mais poursuivons notre lecture sans lunettes roses, bleues ou violettes !
« Humainement parlant, je ne vois personne ! Mais ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. (…) » poursuit l’Abbé sans se rendre compte qu’il se contredit – apparemment – avec sa « marche arrière » citée plus haut. En fait l’Abbé ne voit plus qu’une seule solution : c’est à Dieu en Personne de faire marche arrière car humainement il n’y a plus personne !!! Voilà qui est admirable ! Et jusqu’où ne va pas le volontarisme clérical lorsqu’il est en partie déconnecté de la réalité des choses !… La solution ? Mais c’est Dieu ! Oui, mais attention, nous les Abbés, nous dicterons à Dieu notre solution qu’il ne peut que trouver bonne puisque nous sommes des hommes de foi et de morale !!! Et voici les trois divines personnes embringuées, si j’ose dire, dans une aventure qu’elles ne contrôleront pas elles-mêmes puisque Verrua a déjà toute la solution ! Et St Paul est la caution évangélique de cette intervention de Dieu.
Mais tout fidèle tant soi peu sensé doit se poser la question : la solution de Dieu pour Son Église peut-elle être un seul instant équiparée à celle des hommes, mêmes les plus saints, les plus savants ou les plus pieux ?
Alors certains me diront qu’ils ne voient aucune contradiction entre une marche arrière et une solution proposée par Dieu. Oui, sauf que la solution, même si nous en avons – hélas – une assez claire idée de par les prophéties privées ou apparitions mariales, nous n’avons aucune certitude, pour ne pas dire aucune connaissance de la solution que FINALEMENT Dieu choisira pour restaurer Son Église.
Plus loin l’Abbé emporté dans son élan a quelques expressions malheureuses que nous lui pardonnerons bien volontiers dans le contexte d’un entretien oral : « portant l’Église à la ruine » … « un vrai pape »… « ait le courage de revenir à la tradition »… « un tel pontife… serait un miracle de Dieu »… « événement salvateur »….
Le langage humain a ceci de particulier qu’il traduit plus ou moins admirablement des concepts qui ne sont concevables que dans un cerveau humain, mais qu’il reflète aussi le climat psycho-affectif qui baigne habituellement les schémas de pensée d’un individu.
Véritable « détecteur de mensonge » lexical, le langage nous trahit tous plus ou moins dans nos aspirations les plus profondes, les plus cachées et nos affects les plus avouables et/ou inavouables Depuis Babel, nos mots sont les reflets obligés de notre chute ! À une époque où le verbe s’exprime sans complexe, sans vertu et sans pudeur, à une époque où les médias ont investi ce vecteur de la pensée idéologique, il convient de prendre garde à ce que nous disons et écrivons, sachant néanmoins que tout être pensant est faillible en ce domaine comme en d’autres.
L’Abbé a tout de même un éclair de lucidité lorsqu’il nous dit qu’il craint que nous ne « touchions le fond » AVANT ce fameux évènement salvateur évoqué plus haut.
Mais on sent bien que dans sa pensée ce fond doit être le déclencheur et le géniteur obligé de cet « évènement salvateur ». Encore une fois, Dieu est mis à contribution : on veut bien quelques châtiments éventuels mais ensuite on appliquera « notre » solution ! Nous sommes décidément, depuis le péché originel, assez incorrigibles ! Nous retombons sans cesse dans les mêmes illusions ! Vous noterez en outre que l’Abbé « craint » mais n’est pas sûr à cent pour cent de la réalité des châtiments qui vont s’abattre sur le monde ! Il y a comme une timide réticence ou restriction de pensée que l’on comprend mieux quand on sait quels sont les aspirations secrètes de ce clerc.
À la fin l’Abbé nous montre vraiment le bout de son nez pour qui a appris à lire autrement que sur la page sms d’un portable dernière génération !
Après un excellent rappel, qu’on aurait aimé voir un peu plus haut et surtout au bon endroit, l’Abbé nous affirme que les modernistes sont dans les « entrailles de l’Église » et se permet, un peu imprudemment, de paraphraser St Pie X qui en effet déclara :
« Ennemis de l’Église, certes les modernistes le sont, et à dire qu’elle n’en a pas de pires on ne s’écarte pas du vrai. Ce n’est pas du dehors, en effet, on l’a déjà noté, c’est du dedans qu’ils trament sa ruine ; le danger est aujourd’hui presque aux entrailles mêmes et aux veines de l’Église ; leurs coups sont d’autant plus sûrs qu’ils savent mieux où la frapper. » (Pascendi-1907)
Certains « mots-clés » vont nous dévoiler la véritable pensée – quasi subliminale – de l’Abbé.
Après avoir rappelé que l’Église NE PEUT PAS être divisée, notre clerc nous dit que les modernistes sont « dans les entrailles de l’Église » ! C’est subtil mais parlant ! L’Abbé Ricossa croit que les modernistes sont dans les entailles de l’Église alors que St Pie X nous dit clairement que c’est du dedans que les modernistes trament la ruine de l’Église, ce qui n’est pas la même chose ! Lorsqu’on lit sérieusement le Pape, on ne peut qu’en déduire que les modernistes, « ennemis de l’Église », donc IPSO FACTO EN DEHORS de ladite Église, constituent un danger pour l’Église et que ce danger est PRESQUE arrivé AUX ENTRAILLES de l’Église et aussi aux veines…
En nous disant que les modernistes SONT DANS LES ENTRAILLES DE L’ÉGLISE, l’Abbé commet un abus de langage et s’écarte dangereusement de ce que St Pie X a voulu nous faire comprendre. Sa syntaxe imprudente est révélatrice du fond réel de sa pensée. L’Abbé ne croit pas vraiment que les modernistes sont en dehors de l’Église mais qu’ils sont comme une espèce de « tumeur » qui a envahi jusqu’aux entrailles et veines de l’Église ! C’est pourquoi l’Abbé croit en un événement salvateur qui consisterait SOIT à chasser ces modernistes qui occupent les entrailles de l’Église SOIT à les convertir afin qu’ils restent dans cette Église qu’auparavant ils persécutaient !!! C’est subtil, mais je pense que vous aurez saisi que les intentions induites par sa thèse obligent notre clerc à raisonner de cette façon. Ce qui est réjouissant c’est que cet esprit brillant et cultivé est capable lui aussi de se dévoiler sans le vouloir vraiment ! Nous ne sommes pas dupes de « leur » solution et sachons ce qu’elle vaut vraiment.
On comprend mieux maintenant pourquoi la caution paulinienne est indispensable à l’Abbé Ricossa !!!
St Pie X, divinement inspiré, sait de foi certaine que les modernistes ne peuvent être en aucune manière au sein de l’Église, puisque par définition ils sont en dehors, mais que c’est le DANGER qu’ils représentent qui est arrivé jusqu’aux entrailles mêmes de l’Église. Or que sont les entrailles de l’Église ? C’est tout le « système digestif », celui qui nourrit et apporte les nutriments essentiels de la foi et évacue les scories qui viendraient corrompre son système. En un mot, c’est le Magistère de l’Église et à sa tête le Pape !
Ainsi voyons-nous que le mot choisi par St Pie X est admirable de justesse car il permet de raisonner en termes quasiment physiologiques, à l’instar d’une Église incarnée.
Si vous avalez une boulette de poison qui met votre vie en péril, direz-vous ou votre médecin dira-t-il que cette boulette fait partie prenante de votre corps même si elle en est « l’ennemi terrible » ? Assurément non ! Il vous prescrira un remède capable d’expulser à vie ce corps étranger et non pas « tumeur » comme nous le dit l’Abbé, « éminence circonscrite » nous dit le Littré…
Il est donc pour le moins téméraire, voire imprudent, pour ne pas dire prétentieux, de vouloir PARAPHRASER un saint dans l’expression divinement inspirée de sa pensée !
Nous attendons de l’Abbé Ricossa qu’il nous dise clairement si, selon son entendement, les modernistes, font ou non partie de l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique… et, s’ils en font tout de même partie, bien que non catholiques, leur appartenance à la Sainte Église n’est que matérialiter !!!!!!!!…
L’Abbé conviendra au moins avec moi que dire que la « tumeur se cache » ne correspond nullement à la réalité de la vie ecclésiale telle qu’elle est perçue par les catholiques qui ont conservé le sensus fidei minimum.
Pour la suite… « Grand arbre » ou « Petit troupeau » ? Nous laissons le soin à M. l’Abbé Ricossa de dicter sa solution à Dieu le Père qui ne manquera pas de l’écouter avec une sollicitude toute formaliter !!!
P.Legrand
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Publié par Clément LECUYER, sur Sédévacantiste, pour rester CATHOLIQUE !
Lundi 11 mars 2013
Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes. Interview de Mr l’abbé Ricossa
Nous publions ci-dessous une interview de Mr l’abbé Ricossa parue sur des blogs italiens d’informations. Elle a été réalisée par le site wakeupnews et une partie par le site “Il secolo d’Italia”.
Nous remercions ici notre traducteur !
Vers le conclave 2013 : la voix des sédévacantistes
– Les jours du conclave 2013 approchent ; jeudi soir (28/02) le siège sera vacant et les préparatifs s’accéléreront alors. Ce ne sont pas seulement les cardinaux qui s’activent ces jours-ci, mais c’est bien l’ensemble de la chrétienté qui participe à un instant particulier durant lequel chacun est amené à analyser l’actuelle situation [de l’Église] et à en faire une projection dans l’avenir.
Un de ces milieux ecclésiastiques est l’Institut Mater Boni Consilii, principal représentant du sédévacantisme italien. Les sédévacantistes – comme ils l’expliquent sur leur site, décelant des erreurs incontestables [dans les définitions de leur doctrine] aussi bien dans les propositions que dans les réalisations des documents du Concile Vatican II – soutiennent que Paul VI et tous les papes qui lui succédèrent ne possèd(ai)ent pas la véritable autorité pontificale. Ils considèrent donc comme étant vacant le siège apostolique et attendent que cessent d’être enseignées des erreurs et des hérésies, par une rétractation de celles-ci et par un retour aux précédents enseignements du catholicisme. Pour eux, le conclave 2013 est une bonne opportunité de faire entendre leur voix concernant l’avenir de l’Église.
Wakeup News a interviewé Don Francesco Ricossa, supérieur de “Mater Boni Consilii” et directeur de Sodalitium, revue théologique de cet institut.
> Sur votre site est rapportée une position très dure envers la renonciation de Benoît XVI, dans la continuité de votre position de critique des pontificats et de l’Église post-Concile [Vatican II]. Pourquoi croyez-vous inopportun cette approche des systèmes séculaires ?
Je dois dire avant tout que nous ne critiquons pas l’Église Catholique, mais les modernistes qui veulent La détruire de l’intérieur. Ceci étant dit, une des clés de lecture de Vatican II est justement cette ouverture au monde et cette attaque de la primauté du Pape (avec la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale) promue par les évêques et théologiens du Nord de l’Europe. Le théologien Ratzinger, partisan convaincu de la collégialité, se considère comme un évêque qui, tout comme les autres évêques d’après le Concile, doit démissionner. Déjà, beaucoup de cardinaux ont souhaité que ses successeurs l’imitent et que ce choix personnel devienne une nouvelle procédure moralement obligatoire, en vue d’un ultérieur “revirement” de la Papauté.
> L’occasion du Conclave 2013 peut être un moment pour repenser aux motifs qui vous ont poussé à faire votre choix et, si possible, de dévier les obstacles. Quels sont ces obstacles et, d’une autre part, les signes positifs du Collège des cardinaux ?
Les obstacles, ce sont les erreurs contre la Foi et la morale catholique enseignées abondamment, impunément et à tous les niveaux, depuis 50 ans. Je ne vois aucun programme qui aurait pour but d’extirper les erreurs, bien au contraire : beaucoup voudraient en ajouter de nouvelles…
> Pour le nouveau pape nombreux sont les défis qui l’attendent ; quels sont les priorités que vous identifiez pour l’Église du proche futur et comment les affronteriez-vous ?
Un vrai et authentique successeur de Pierre et Vicaire du Christ a le devoir de conserver intact le dépôt de la vérité divinement révélée, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes : « Allez, enseignez, baptisez […] celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné ». La faillite de Vatican II, de ce point de vue, est visible aux yeux de tous : il faut avoir le courage de l’admettre. Si on s’engage dans une voie sans issue, il ne reste plus qu’à faire marche arrière.
> Entre les cardinaux de l’Église catholique, voyez-vous à ce moment une quelconque figure ouverte au dialogue et qui, si elle était élue au pontificat, pourrait conduire correctement l’Église et vous donner un moyen de reconnaître pleinement l’autorité ?
Humainement parlant, je ne vois personne ! Mais ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. La grâce de Jésus-Christ a transformé en un instant le pharisien Saul, persécuteur des chrétiens, au grand Saint Paul, apôtre des Gentils. Il ne reste qu’à prier et à faire pénitence.
> Ratzinger, souvent considéré comme « orthodoxe » par rapport au mondialiste Wojtyla, était-il, au contraire, un fervent partisan du Concile Vatican II, qui est encore une autre “démocratisation” de l’Église ?
Tous les successeurs de Paul VI ont conçu leur mission dans un seul but : appliquer les innovations du Concile Vatican II. Et ils l’ont fait d’une manière évidente, portant l’Église à la ruine. Benoît XVI, en particulier, était très sensible à la question de la “collégialité épiscopale” : l’Église ne doit pas être une monarchie (avec la primauté du pape), comme l’a voulu Jésus-Christ, mais un organe collégial permanent. Lors du Concile, le jeune théologien Ratzinger s’opposa même à la “nota praevia”, qui modérait la collégialité enseignée par Lumen gentium et que Paul VI avait voulu pour obtenir les votes même des Pères conciliaires, lesquels, fidèles à la Tradition et à la Papauté, s’opposaient à la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale
> Quel genre de pape serait en mesure d’enrayer le grave déclin ecclésiastique dans l’Église ?
Un vrai Pape, digne vicaire du Christ et digne successeur de Saint Pierre. Et par conséquent un pontife qui, se rendant compte que la voie ouverte par Vatican II mène à la ruine, ait le courage de revenir à la tradition. Un tel un Pontife serait un miracle de Dieu et trouverait devant lui un ennemi terrible. Je crains que, avant cet évènement salvateur, nous ne touchions le fond.
> Le schisme dans l’Église entre catholiques traditionalistes et modernistes, est profond et semble irrémédiable. “Toute maison divisée contre elle-même périra” ?
L’Église n’est pas divisée, Elle est une et Elle ne peut périr parce que “les portes de l’enfer ne prévaudront pas.” Les modernistes ne sont pas catholiques. Ils sont “dans les entrailles de l’Église”, en paraphrasant le Pape saint Pie X, comme une tumeur qui se cache dans le corps malade. Le modernisme n’édifie pas, il démolit et s’autodétruit. L’Église va survivre, mais il nous faut éradiquer le modernisme agnostique. Ensuite l’Église réapparaîtra comme un grand arbre ou au contraire, comme un petit troupeau: mais cela n’a pas d’importance, car Elle sera en tous cas le troupeau du Christ.
Un pape pour deux Eglises ou Deux papes pour une Eglise ?
Après la F$$PX qui déclarait qu’ « il y a “un pape pour deux Eglises” » !…
En 2009, sur le site officiel de la F$$PX, la Porte Latine, Monsieur l’abbé Barrère déclarait dans un éditorial plusieurs énormités, dont :
« Un pape pour deux Eglises »
La formule « un pape pour deux Eglises » sans être rigoureusement exacte semble exprimer assez bien la situation présente.
Voir : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-28166575.html
C’est maintenant l’église Conciliaire qui déclare qu’il y a « Une Eglise à deux papes » !!!
Avis de danger : une Église à deux papes
Le conclave imminent va élire le nouveau pontife. Mais il ne lèvera pas les inconnues concernant le rôle du « pape émérite ». Un grand canoniste montre les risques de cette appellation. Et des autres équivoques qui l’entourent
par Sandro Magister
ROME, le 9 mars 2013 – Comment le nouveau pape qui est sur le point d’être élu va-t-il guider l’Église alors que celui qui l’a précédé sur la chaire de Pierre est encore vivant ?
Je vous laisse découvrir ce qui les préoccupent en lisant les articles de Sandro Magister et de Carlo Fantappiè du 9 mars 2013 :
L’élection de François Ier le 13 mars 2013 vient accomplir la prophétie des Papes de Malachi
Un lecteur nous écrit :
« L’élection de François Ier le 13 mars 2013 vient accomplir la prophétie des Papes de Malachi. »
Le nouvel élu n’est qu’un simple laïc ou éventuellement un simple Diacre déguisé en Pape.
Mais dans les deux cas l’ordination a été faite dans le nouveau rituel conciliaire et cela est insuffisant pour assurer la FIN de l’Église, contrairement aux papes et antipapes précédents sur la trône de Pierre. Il a rupture ontologique car le Diacre n’a pas les pouvoirs du Sacrifice du Culte Sacrificiel de Melchisédek de la Nouvelle & Éternelle Alliance. Il ne peut accomplir le Sacrifice !
Il ne possède plus ontologiquement le Sacerdoce.
En effet, son ordination sacerdotale a été effectuée le 13 décembre 1969 (voir Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jorge_Mario_Bergoglio et surtout Catholic-Hierarchy.org : http://www.catholic-hierarchy.org/bishop/bbergj.html), or selon le décret de la Sacrée Congrégation des Rites, faisant suite à l’application du nouveau rituel issu de la “Constitution Apostolique” de Pontificalis Romani recognitio, du 18 juin 1968 par Montini-Paul VI, la consécration sacerdotale (invalide) est devenue universelle et obligatoire à partir du 06 avril 1969, soit deux mois avant l’ordination du futur François Ier.
Dans son commentaire de la prophétie de Malachie, en 1951, le père jésuite René Thibaut a analysé et annoncé l’extinction de la succession apostolique visible sur le trône de Pierre après le tenant de la devise “de gloria olivae” (Benoît XVI). À partir de là, selon ce jésuite (voir la page 22 de son livre “La mystérieuse prophétie des Papes”), l’Église catholique cesse de s’appeler romaine.
Livre téléchargeable ici : http://catholicapedia.net/Documents/rp_Thibaut_Rene/1951_Thibaut_Rene_La-Mysterieuse-Prophetie-des-Papes.pdf (soyez patient… 41.1 Mo)
Sa prédiction s’inscrit en contrepoint de la première déclaration de François Ier qui n’a eu de cesse de se présenter comme l’évêque de Rome le 13 mars 2013.
Dans ses commentaires, le savant jésuite annonce en 1951 que ces évènements interviendraient en 2012 ! (à partir de calculs réalisés sur la prophétie de Malachie).
Nous vivons donc un moment historique. L’Église catholique qui n’a plus de Pape depuis la mort de Pie XII en 1958, les autres ayant été des anti-Papes, est éclipsée par une église Conciliaire qui n’a plus le Sacerdoce en la personne de son chef François Ier, à partir du 13 mars 2013.
Cette rupture devant Dieu, qui a institué le Sacerdoce valide, amorce une nouvelle époque, qui peut être comparée par analogie avec la destruction du Temple de Jérusalem en l’an 70, quand les anti-Grands prêtres d’Israël, en vinrent à disparaître quarante ans après la Crucifixion, mettant ainsi un terme biologique visible au Sacerdoce d’Aaron institué par Dieu mais devenu schismatique et anti-Christ à partir du déchirement du voile du Temple lors de la mort en croix de Notre Seigneur Jésus-Christ.
En comparant ces différents éléments, tout se passe comme si, devant Dieu, la perte du Sacerdoce à la tête de l’église Conciliaire marquait un tournant définitif et le début d’une nouvelle époque et des tribulations de l’église Conciliaire.
Tout cela doit nous faire méditer le mystère de l’Incarnation et ses profondeurs, car nous sommes loin d’avoir compris ce que signifie pour Dieu, l’incarnation du Sacerdoce et l’institution des sacrements, associés à la réalité ontologique fondamentale devant Dieu. Cette réalité est d’un autre ordre que la déviance doctrinale dans la Foi. Elle semble plus ancrée encore dans la réalité de la Foi car elle touche aux fondements même de l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ, à son union hypostatique avec la nature humaine pour permettre sa Rédemption.
Ce mystère n’a visiblement été scruté ni médité par aucun clerc de la Tradition catholique. La totalité d’entre eux se refusent même aujourd’hui à simplement poser le problème.
Les hérésies de Benoît XVI pouvaient laisser penser que la page avait été tournée depuis 1958. Or, la prophétie des Papes de Malachie nous apprend que le tournant décisif est l’année 2013 avec l’élection du simple diacre Bergoglio-François Ier.
Nous pouvons désormais redouter que les châtiments ne s’abattent sur Rome et sur le reste du monde, ainsi que sur les clercs de la Tradition qui, par leur attitude obstinée, ont méprisé l’Incarnation de Notre Seigneur Jésus-Christ, souverain Prêtre et source du Sacerdoce.