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L’existence de Jésus-Christ « remise en cause » !
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(signifiant Édition Spéciale)
22 avril 2016
À la demande des pays Arabes et le vote de la France, l’UNESCO a voté une résolution remettant en cause l’existence de Jésus. Chrétiens réveillez vous !
Il ne s’agit pas d’un canular : L’UNESCO, sur proposition des pays arabes, a voté une résolution négationniste remettant en cause l’existence même de Jésus, voire du Christianisme, le 18 avril 2016.
Avec l’Espagne, la Slovénie, la Suède et la Russie, la France a voté favorablement cette résolution.
Ce révisionnisme musulman vise non seulement à la négation pure et simple du Judaïsme en Terre Sainte mais aussi à l’existence même du Christianisme et de Jésus Christ.
En effet, si le Monde accepte qu’il n’y ait aucun lien entre les Juifs et Jérusalem, entre les Juifs et le Mont du Temple, alors Jésus ne serait plus qu’une légende inventée.
Selon le Nouveau Testament, Jésus était Juif et c’est à Jérusalem qu’il se rendit pour prier au Temple.
Dès les évangiles de Matthieu et de Luc, nous sommes transportés à Jérusalem où sont relatées les dernières années du règne d’Hérode le Grand. Nazareth, Bethléem et, bien sûr, Jérusalem.
La capitale de David est le lieu de plusieurs épisodes des évangiles de l’enfance : la vision de Zacharie dans le Temple (Lc 1,5-23), la venue des Mages auprès d’Hérode (Mt 2,1-12) et la présentation de Jésus au Temple à 40 jours (Lc 2,22-38). Douze ans plus tard, c’est la rencontre du jeune Jésus avec les docteurs de la Loi (Lc 2,41-52).
Jésus lance en public, dans le Temple, les paroles prophétiques qui annoncent la chute de la ville et la destruction du Temple.
Le Temple est le cœur du peuple Juif : le grand lieu de la prière, des sacrifices et des grandes fêtes liturgiques. Les disciples s’extasient devant son architecture imposante : “ Maître, regarde : quelles pierres, quelles constructions ! ” (Mc 13,1).
Luc, “ Jésus passait le jour dans le Temple à enseigner et il sortait passer la nuit sur le mont des Oliviers ” (Lc 21,37).
Quand Jésus monte à Jérusalem, c’est pour se rendre au Temple, l’un des lieux importants de l’évangile. Jean mentionne des montées de Jésus pour les fêtes de Pâque (2,13; 11,55), des Tentes (7,2), de la Dédicace (Hanoukka : 10,22) et pour une fête Indéterminée (5,1). Jésus va prier au Temple.
L’importance de Jérusalem, ville juive, et du Temple Juif sont au centre des évangiles.
Il est donc pour le moins étrange qu’aucune autorité religieuse Chrétienne ne se soit élevée contre cette résolution révisionniste qui remet en cause tous les fondements du Christianisme et du Judaïsme.
Ainsi pour l’UNESCO, le Temple de Salomon, celui d’Hérode, n’auraient pas existé : ce ne seraient que des mythes juifs, illégitimes, auxquels il faudrait tordre le cou, à défaut de pouvoir tordre le cou de chaque Juif ?
Ce sont des tonnes et des tonnes de pierres de toutes tailles et des poussières formées par les déblais du creusement d’une vaste salle de prière sous l’esplanade des mosquées, là où se trouvait le Temple qui n’aurait jamais existé ; ce lieu où les Juifs n’auraient jamais mis les pieds pour honorer l’Éternel, ni à l’époque de Jésus, ni avant ?
Pour parachever le tout, l’UNESCO décide que le site du Mur Occidental (Mur des Lamentations) n’a aucun lien avec le Peuple juif ; le passé est abrogé par un acte bureaucratique qui accuse de mythomanie le Peuple juif, ainsi que les quatre évangiles canoniques.
L’UNESCO considère ainsi que toute l’histoire du Judaïsme mais aussi du Christianisme, de Rome sont des mensonges, délirants et insensés. Les écrits relatés par Flavius Josèphe, dans son livre de plus de 1000 pages, « la guerre des Juifs » contre Rome sont également des mensonges et des fables.
Flavius rappellera que le siège de la cité « de sainteté », mené par Titus et ses légions, – lieu dont l’UNESCO décide qu’il n’a pas de lien historique avec les Juifs – coûtera un million de vies de Juifs (hommes, femmes, enfants).
Cette résolution s’inscrit dans la volonté de l’Islam et du monde Arabe de s’imposer en effaçant progressivement toute trace du Judaïsme et du Christianisme en Terre Sainte.
Déjà le 21 octobre 2015, l’UNESCO avait classé le Caveau des patriarches et la Tombe de Rachel, deux lieux saints juifs en Israël, comme des sites musulmans de l’État palestinien.
Les pays arabes ont même accusé Israël de fabriquer de fausses tombes juives à Jérusalem !
Il n’y aurait pas de « Mont du Temple » et pas de Mont Moriah – il n’y aurait que l’Esplanade des Mosquées et le Haram al Sharif ou « Noble Sanctuaire ».
On peut tout à fait considérer en bon laïc que toutes ces histoires de lieux saints ne sont que des sornettes, mais alors il faut s’abstenir de préférer une sornette à une autre, surtout lorsque l’une des sornettes précède toutes les autres de quelques millénaires.
L’un des épisodes les plus pathétiques de l’échec des négociations de paix à Camp David en 2000 était une scène largement documentée qui a vu Yasser Arafat tenter de convaincre un Bill Clinton ahuri que cette histoire de Temple juif était un mythe et qu’il n’y a en réalité aucun lien entre les juifs et Jérusalem.
Sans rentrer dans un développement théologique, il semble essentiel de rappeler ici une évidence : c’est parce que Jérusalem est sainte pour les Juifs qu’elle l’est devenue pour les Chrétiens puis pour les Musulmans.
Si le Coran est largement silencieux sur Jérusalem (le nom même de la ville n’y figure pas), la tradition islamique est truffée de références explicites au fait que le Noble Sanctuaire, la Mosquée d’Al-Aqsa et le Dôme du Rocher ont été érigés sur le lieu exact du Temple de Salomon.
Il ne serait pas venu à l’esprit du Calife Omar, qui a construit la première mosquée sur le Mont du Temple au VIIe siècle, de nier le lien consubstantiel entre ce lieu et le judaïsme. La tradition islamique rapporte que c’est même un rabbin yéménite fraîchement converti à l’islam qui lui indiqua le lieu précis de la « pierre de la fondation » sur laquelle est bâti aujourd’hui le Dôme du Rocher.
Le théologien Ibn Taymiyya (XIIIe siècle), considéré comme l’une des références religieuse centrales du courant wahhabite et salafiste, était si convaincu du lien entre ce lieu saint et les juifs qu’il s’en méfiait.
Salomon n’était pas juif mais bien musulman
L’une des preuves les plus absurdes de cette réécriture de l’histoire nous vient des revirements du WAQF, l’organisme en charge de la gestion des lieux saints musulmans à Jérusalem. Les guides publiés et distribués par le WAQF aux visiteurs avant la création de l’État d’Israël s’enorgueillissaient de cette filiation avec le premier et le deuxième Temple juif et en particulier avec la figure du roi Salomon.
Le nouveau guide publié et diffusé en 2014 nie tout lien entre le Mont du Temple ou même le Mur de Lamentations et le peuple juif…
Le comble est probablement l’affirmation dans cette dernière publication que le roi Salomon n’était pas juif mais bien… musulman (ce qui est bien sûr difficile à réconcilier avec la chronologie étant donné que son règne précède l’avènement de l’islam d’à peu près 1 500 ans.).
L’UNESCO veut faire disparaitre la civilisation Judéo-Chrétienne
Ce sont les fondements de la civilisation Judéo-Chrétienne qui sont remis en cause avec la complicité de la diplomatie française.
Cette résolution infâme, soutenue par la France, devrait soulever l’indignation de l’Église et des Chrétiens qui jusque là restent bien silencieux.
Nier tout lien entre le Judaïsme et le Mont du Temple, nier l’existence du Temple de Jérusalem où se déroula la vie de Jésus, où il pria, où il prêcha, c’est nier également l’existence même de Jésus mais aussi les fondements du Christianisme.
Sans Temple Juif à Jérusalem, tous les évangiles sont remis en cause.
Pourtant pas une seule autorité Chrétienne ne s’est élevée contre ce révisionisme historique et religieux de l’UNESCO sous la pression arabe…
Une fois de plus, seuls les Juifs dénoncent cette manipulation de l’histoire opérée par le monde arabe…
Le Dr Francis Weill écrivant au Préfet du Doubs suite au vote de cette résolution résume bien les faits :
« Ce vote est insensé : le Temple juif de Jérusalem, dont ce mur est un vestige, a été édifié environ mille ans avant notre ère. Le mur a été bâti au plus tard au 1er siècle par Hérode le Grand.
L’islam est apparu en l’an 622 de notre ère : sept siècles plus tard. Cette résolution est donc scientifiquement stupide et moralement malveillante. Elle reprend une thèse négationniste constante de l’islam, qui, pour de raisons de politique actuelle, nie toute présence juive (et donc primo-chrétienne) antique en Israël. Il y a vingt ans déjà j’ai entendu personnellement le grand mufti de Jérusalem exprimer cette position : pour lui, le Mur est le mur de soutènement de sa mosquée.
Ainsi, même si la science a prouvé qu’un objet est noir, il suffit que l’islam désire qu’il soit qualifié de blanc pour que le gouvernement français accepte de se plier à sa volonté.
Ce faisant, nos gouvernants ont installé tous les Français dans un statut de dhimmis. Ce fait est lourd de danger pour l’avenir. Ce vote n‘est pas seulement insensé ; il est indigne.
Nos forces de défense se battent contre l’islamisme conquérant. Et voilà qu’à l’UNESCO notre pays à concédé à l’État islamique une immense victoire culturelle.
Notre gouvernement a toujours proclamé sa détermination à lutter contre l’antisémitisme ; mais en l’occurrence il a apporté, sur la scène internationale, son soutien à un certain antisémitisme. »
Les Chrétiens doivent absolument dénoncer cette manipulation de l’histoire qui remet en cause l’existence même du Christ.
Chrétiens réveillez vous !
© Christian De Lablatinière pour Europe Israël News
Ces Ralliers de la vaine Gloire…
« Que sert à l’homme de gagner le monde entier s’il perd son âme ? » (Matthieu 16, 26)
Max Barret nous fait part, dans son dernier Courrier de Tychique –n° 420 –, de ses souvenirs d’avec l’abbé apostat Pascal Thuillier (ex-FSSPX) que l’on a annoncé cette semaine comme « secrétaire particulier de l’ “archevêque” de Paris » …
Le parcours de M. l’abbé Pascal Thuillier…
J’ai rencontré l’abbé Pascal Thuillier lors de l’une des deux kermesses de St Nicolas du Chardonnet, qu’on m’avait demandé d’animer, en 2002 et/ou 2003. Il devait être, alors, vicaire de cette paroisse sous la férule de M. l’abbé Bouchacourt. Je dispose d’une photo « historique » que je publie en annexe pour les internautes. On y voit très nettement, sur le podium de la fête paroissiale, MM. Les abbés de Tanoüarn, M. l’abbé Bouchacourt – que j’accompagne à l’accordéon – chantant tous deux à pleine voix et, entre les deux, M. l’abbé Thouvenot, actuellement secrétaire de Mgr Fellay et… M. l’abbé Thuillier hilare…
L’abbé Thuillier avait été l’assistant du Directeur de l’Université St Pie X, aumônier de « Civitas » et professeur de Dogme au séminaire d’Ecône ! C’est dire s’il avait un bagage intellectuel et spirituel qui ne souffrait pas la suspicion… qui a frappé les Communautés d’Avrillé ou de Morgon !
Ce qui ne l’a pas empêché de tourner casaque, de quitter la Fraternité et de rejoindre l’église conciliaire qui l’a accueilli avec enthousiasme et reconnaissance puisqu’il fut l’un des cérémoniaires de la « messe » pontificale célébrée par Benoît XVI lors de sa venue à Paris en septembre 2008 ! Il vient d’être nommé, à compter du 1er septembre 2012, Secrétaire particulier de l’Archevêque de Paris et membre du Conseil de formation des diacres permanents… Quelle ascension !…
J’ai déjà diffusé une partie de ces informations aux Internautes et M. Paul Chaussée m’a adressé cette réflexion qu’il m’autorise à publier :
Riposte Catholique, de son coté, titre : « Parcours atypique : de la Fraternité Saint-Pie X à l’archevêché de Paris »
C’est officiel : l’abbé Pascal Thuillier :
« est nommé à compter du 1er septembre 2012, secrétaire particulier de l’archevêque de Paris et membre du conseil de formations des diacres permanents » (Paris Notre-Dame, 12 juillet 2012, p. 4).
Secrétaire particulier, un beau poste pour un prêtre venant de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X ! Au sein de la FSSPX, l’abbé Thuillier a exercé diverses fonctions : premier vicaire de Saint-Nicolas du Chardonnet, assistant du directeur de l’Institut Universitaire Saint-Pie X, aumônier de Civitas et professeur de dogme au séminaire d’Écône.
Il fut aussi, sous la férule de Mgr Chauvet, l’un des cérémoniaires de la messe pontificale célébrée par le pape Benoît XVI lors de sa venue à Paris en septembre 2008.
On s’extasie de la réussite du rallié ! sans se soucier le moins du monde du fait que l’église Conciliaire n’est pas l’Église catholique ! et de l’invalidité de ses sacrements !!!
Quel profit en effet aura l’homme, s’il gagne le monde entier, mais perd son âme ? Ou que donnera l’homme en échange de son âme ? (Matthieu 16, 26)
* * *
Et savez-vous où l’on retrouve notre homme (Thuillier) mondain ?…
Dans la Fondation Pierre Lafue ! et comme Président du Conseil d’administration, s’il vous plait…
Résistance-Catholique et Virgo-Maria, nous ont parlé réciproquement en 2010 et 2008 des mauvaises fréquentations du mondain abbé Lorans dans ce même groupe proche de l’UNESCO.
Trouvant sans doute sa vie de prêtre un peu monotone, l’abbé Lorans a voulu « diversifier » ses activités… Habitué à la vie mondaine parisienne et prenant plaisir à côtoyer l’Intelligentsia française, l’abbé Lorans est ainsi depuis plusieurs années membre du jury du prix de la Fondation Pierre Lafue.
C’est à ce titre qu’en 2004 ce clerc dévoyé, membre également du conseil d’administration de ladite Fondation, a primé au siège de l’UNESCO le « cardinal » Paul Poupard pour son livre « Au cœur du Vatican, de Jean XXIII à Jean-Paul II » puis, en 2007, « Mgr » Francesco Follo, observateur du Vatican auprès de l’UNESCO, pour son livre « Jean-Paul II et la culture contemporaine » !
(…)
En consultant les ouvrages d’Emmanuel Ratier (spécialisé dans les mouvements occultes à la suite d’Henry Coston et Yann Moncomble), notamment son Encyclopédie politique française et son livre Au cœur du pouvoir, enquête sur le club le plus puissant de France, nous découvrons que deux des membres du jury de la Fondation Pierre Lafue, André Fontaine et Jean-Denis Bredin, ont appartenu durant la même période au Siècle, club occulte très influent.
Nous y apprenons ainsi qu’André Fontaine, ancien directeur du journal Le Monde, est également membre de la Commission Trilatérale, Haute Instance du Nouvel Ordre Mondial.
Jean-Denis Bredin appartient, quant à lui, au Cercle de l’Union Interalliée que nous évoquerons dans notre 3e partie et qui est dirigé par le comte Denis de Kergorlay, frère du Père Pierre-Marie.
(…)
C’est ainsi que l’abbé Lorans entretient depuis plus de dix ans des liens étroits avec des réseaux parisiens influents et mondialistes, proches des hautes sphères du pouvoir, liés pour la plupart d’entre eux, à la Franc-Maçonnerie.
(…)
Le jury de la Fondation Pierre Lafue comprend aussi… un certain abbé Pascal Thuillier (ex-FSSPX) qui en est très vite devenu le vice-président.
— Virgo-Maria :
Le double jeu de l’abbé Lorans, le « responsable de la communication de la FSSPX » auprès de Mgr Fellay est démasqué.
(…)
Nous révélons aujourd’hui que l’abbé Lorans participe à un jury de remise du prix de la Fondation Pierre Lafue, aux côtés d’André Fontaine, ancien directeur du Monde, de feu Pierre Messmer et de l’abbé Thuillier, l’ancien premier vicaire de Saint Nicolas du Chardonnet, ancien assistant du directeur de l’Institut Universitaire Saint Pie X, ancien aumônier de Civitas et ancien professeur de dogme au séminaire d’Ecône. Depuis 2005, l’abbé Thuillier a renié le combat de Mgr Lefebvre et est devenu chapelain de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, en intégrant l’église conciliaire.
L’abbé Thuiller (devenu désormais le ‘Père Pascal Thuillier’) est l’un des trois cérémoniaires qui organisent la fausse messe de Benoît XVI-Ratzinger aux Invalides à l’occasion de sa venue à Paris le samedi 14 septembre (…) etc..
(..)
L’abbé Lorans mène donc une double vie, d’une part en charge officiellement de la communication de la FSSPX auprès de Mgr Fellay, et officieusement, dans des cercles mondains parisiens, où il décerne des récompenses aux prélats conciliaires du Vatican.
* * *
Toujours ensemble, copains comme cochons, en cachette… « cochon qui s’en dédit » !
Mais : Quel profit en effet aura l’homme, s’il gagne le monde entier, mais perd son âme ? Ou que donnera l’homme en échange de son âme ? (Matthieu 16, 26)