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LA RÉVOLUTION CONCILIAIRE, SES POMPES ET SES ŒUVRES…
La Révolution Conciliaire, ses Pompes et ses Œuvres….ça continue !
Exit les Curés !!!
Place aux “Prêtres Administrateurs” et aux « EAP » !!! (“équipes d’animation pastorale” !)
Difficile, chers lecteurs, de contenir une profonde tristesse mêlée de rage et de colère……
Satan-Lucifer et tous ses suppôts, les hiérarques de la secte Conciliaire, savent pertinemment que s’attaquer aux fondements de la paroisse est aussi indispensable que s’attaquer à la famille, cellule de base, dans l’ordre séculier… Ce parallèle parlera sans doute à beaucoup d’entre nous…
Ainsi, assiste-t-on à la disparition programmée (merci François Zéro Pointé !) des curés (St Jean Marie Vianney au-secours !) et à la mise en avant des équipes de laïcs via une animation obligatoire pour masquer le vide abyssal, tant surnaturel que sacramentel et liturgique, de leurs nouveaux “rites et gesticulations” entièrement nuls, vains et invalides… Les leurres, comme dirait un de nos fidèles lecteurs, fonctionnent à plein rendement !!! Et les regroupements de “paroisses” sont un alibi facile pour opérer ce « grand œuvre » qui ose à peine dire son nom !
« L’évolution de la vie paroissiale est en jeu » nous disent-ils sans rire, en ajoutant même que « l’Esprit de Dieu, souffle imprévisible de Sa Présence, 50 ans après le Concile Vatican II, change les habitudes de l’Église d’Occident. Ce vent de Pentecôte permet aux décrets conciliaires d’être mis en œuvre de plein droit pour donner des responsabilités renouvelées à des laïcs. »
Vous noterez, chers lecteurs, que c’est le “vent de Pentecôte” qui permet de mettre en œuvre les sacro-saints décrets conciliaires !!! Le démon connait ses classiques et sait pertinemment qu’aucun fidèle n’oserait s’opposer à ou remettre en question ce “VENT” là !!!!!!!!!!!!!
Vent démoniaque et véritablement pestilentiel, sorti tout droit des profondeurs abyssales du gouffre infernal où la Présence de Dieu est à jamais refusée et bannie…
Quant au bonhomme déguisé en « prêtre catholique », il (le “prêtre administrateur” = président-animateur de la synaxe de Caïn !) veille à accomplir la vie sacramentelle (!) et au respect du droit de l’« Église ».
« Le “prêtre référent” (comme le toubib !!!) ne réside plus sur la paroisse et ses fonctions et tâches pastorales sont réparties autrement, essentiellement dans l’Équipe d’Animation Pastorale : ses laïcs y sont pleinement engagés suite à leur formation (sic !) et par le travail en équipe (resic !). Ils assument ainsi leur tâche propre de baptisés-confirmés. » nous disent-ils encore… (Admirable n’est-ce pas ! mais que font alors les autres baptisés-confirmés ? ils se tournent les pouces ?!!non ! ils dansent, consomment et copulent joyeusement avec le « vent » !!!)
Quant aux fameuses “Équipes” (EAP), elles sont appelées à discerner ce qui est essentiel pour que l’Évangile soit annoncé à tous et par tous les baptisés. Pas besoin, donc, de vous faire un dessin, chers lecteurs… (Hé bien si !… ↷ )
Afin d’illustrer mes modestes propos, qui sont hélas loin d’épuiser un sujet aussi vaste, je suis allé emprunter à nos « amis résistants » de “La Sapinière” une vraie leçon de chose avec, en vedette américaine, un pauvre prêtre de 82 ans, embarqué bien malgré lui dans une sale affaire et qu’une partie des paroissiens « regroupés » (dans tous les sens du terme !) tentent de défendre du mieux qu’ils peuvent ; mais, comme de bien entendu, la partie semble bien perdue d’avance.
Le châtiment avance, avec ses troupes monstrueuses, ses équipes endiablées, ses administrateurs et référents infestés, ses fantoches mitrés invalides et son Clown Blanc précurseur de l’Antéchrist ! Plus que jamais, chers lecteurs, l’heure n’est plus à la compromission d’aucune sorte et nous devons fuir comme la peste cette secte de perdition, ses pompes, ses œuvres et ses fruits de mort. Il y aura des pleurs et des grincements de dents…
Mais je vous laisse lire l’édifiant article de “La Sapinière”, tout en regrettant que ces catholiques n’aillent toujours pas jusqu’au bout de leurs conclusions.
Pierre LEGRAND
Se recentrer sur l’essentiel
Petit commentaire : Ne serait-ce pas là en réalité le péché originel du traditionalisme, que de n’avoir pas voulu ou ne pas s’être donné les moyens de rejeter doctrinalement par la puissance de l’anathème tous ceux qui ne professaient plus la pure doctrine catholique ? En fait, par cette défection des meilleurs et de ceux qui au sein de l’Église étaient investi du sacerdoce plénier, le châtiment était déjà à l’œuvre puisque les vrais moyens de réagir se sont trouvés gravement en défaut… Lorsque les catholiques semper idem et antilibéraux rejettent absolument toute cette fausse église Conciliaire, ses “pontifes”, prélats, rites, sacrements, etc… ils rejettent par là-même toute velléité de pragmatisme et œuvrent indubitablement pour la véritable UNITÉ de l’Église en restant fermes sur les principes et résolument fermés à toutes les formes d’hérésie et d’erreur… Eux seuls semblent avoir compris la véritable signification du “nullam partem” ! En refusant de mettre cette priorité absolue au calendrier et à la source de sa réaction légitime contre la révolution en chape et en tiare, en adoptant tant dans les faits que dans les postures un pragmatisme et un attentisme dissolvants et blasphématoires, le traditionalisme, presque toutes tendances confondues, s’est volontairement (aveuglement-châtiment) privé des Moyens Surnaturels Exclusivement Catholiques de combattre réellement l’apostasie des antichrists de Rome et d’ailleurs…et, par le fait même, s’est coupé des canaux de la Grâce qui seule permet de voir clair et de marcher droit !
Sans cette intransigeance surnaturelle et de droit divin, le traditionalisme s’est retrouvé comme mort-né, sans fruits, balloté de chapelle en chapelle entre les mains du Diable, tout juste bon à faire le perroquet d’une foi mondaine et “libéralisée” et à n’être que le distributeur d’une liturgie et de sacrements, devenus au fil du temps et de l’extinction du sacerdoce valide, des leurres diaboliques…….
Un Principe divin incontournable…
ou comment ne pas mettre, comme les traditionalistes, depuis 50 ans, la charrue avant les bœufs…..et le pragmatisme à la place des principes !
Un principe divin, une règle de conduite valable pour tous en tous temps et en tous lieux.
« Le principe du pragmatisme, c’est de n’avoir pas de principes »
« Seuls les principes peuvent sauver les nations »
(Comte de Chambord)
Mgr Freppel remarquait avec raison que l’abandon des principes conduit inéluctablement aux catastrophes. On ne peut que craindre l’avertissement de saint Pie X : « Si la règle semble un obstacle à l’action, on se dit que dissimuler et transiger facilitent le succès : on oublie alors les règles sûres, on obscurcit les principes, sous prétexte d’un bien qui n’est qu’apparent. Que restera-t-il de cette construction sans fondations, bâtie sur le sable ? »
Le but de cette étude est de démontrer, que le principe sus-dit est absolument catholique, et ne peut souffrir ni abandon, ni exception, étant voulu de Dieu Lui-même.
I – La Révélation
Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, c’est la volonté très ferme et explicite de Dieu, que les hommes qu’Il daigne gratifier de Sa pure et vraie doctrine se gardent absolument de frayer avec ceux qui en professent une autre différente, au risque de rentrer en collusion avec la partie adverse et de manquer ainsi aux devoirs de sa charge. C’est ce qu’on appelle la prévarication. C’est la toute première recommandation qu’Il tient à faire à Moïse, lorsqu’Il conclut l’alliance avec lui : « Garde-toi de t’allier aux habitants des pays où tu vas, de peur qu’’ils ne soient pour toi un piège. Mais vous renverserez leurs autels et briserez leurs idoles … » (Ex. 34, 11) Notre Seigneur, à son tour, mettra souvent en garde Ses disciples contre le levain de la doctrine des Pharisiens et des Saducéens (Mt 16, 6 ; Mc 8, 15), contre les faux prophètes revêtus de peaux de brebis (Mt 7, 15) qui induiront beaucoup de gens en erreurs (Mt 24, 11) et même les élus si possible (Mt 24, 24). Les Apôtres seront si marqués par ces avertissements du divin Maître, qu’ils les transmettent avec force à leurs propres disciples : — « Je vous en prie, Frères, gardez-vous de ces scandaleux qui vont à l’encontre de la doctrine que vous avez reçue : évitez-les, car ces gens-là ne servent pas le Christ » (Rm. 16, 17). — « Je le répète : si quelqu’un vous prêche un évangile différent que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! » (Gal. 1, 9). — « Si quelqu’un vient à vous qui ait une doctrine différente, ne le recevez pas chez vous et ne le saluez même pas. Car celui qui le salue participe à ses œuvres mauvaises. » (2 Jn 10).
On pourrait ajouter d’autres passages de l’Écriture encore, ceux-là suffisent amplement, étant dictés par le Saint Esprit, pour nous convaincre que le devoir de nous garder des fauteurs d’hérésie (ou de religions fausses) est bien de droit divin.
II – La Tradition
Les premiers Pères de l’Église ne pouvaient pas oublier ces anathèmes doctrinaux, et ne purent que répéter sur tous les tons l’exhortation de saint Paul : « Fuis l’hérétique ! » (Tit. 3, 10). — « Fuyez les hérétiques, ce sont des successeurs du diable qui a réussi à séduire la première femme. » (St Ignace d’Antioche). — « Fuis tout hérétique ! » (St Irénée). — « Fuyez le venin des hérétiques ! » (St Antoine du désert). — « Ne t’assied pas avec des hérétiques ! » (St Ephrem). Et saint Vincent de Lérins tient à nous préciser : — « L’Apôtre commande cette intransigeance à toutes les générations » il faudra toujours anathématiser ceux qui ont une doctrine contraire à celle reçue ».
C’est pourquoi, au XIXe siècle, un Dom Guéranger écrira à Mgr d’Astros : « Un des moyens de conserver la foi, une des premières marques de l’unité, c’est la fuite des hérétiques. ». En effet, cette « première marque de l’unité » concerne évidemment l’unité de foi, la première note caractéristique de l’Église catholique, (une, sainte, catholique et apostolique) qui ne peut avoir « qu’un seul Seigneur et une seule foi » (Eph. 4, 5). Cette même Église, qui avertit solennellement les futurs sous-diacres ainsi : « Restez fermes dans la vraie foi catholique, car selon l’Apôtre, tout ce qui ne provient pas de la foi est péché (Ro. 14, 23), schisme, étranger à l’unité de l’Église ». Aussi pour mieux comprendre non seulement l’ancienneté, mais surtout le caractère absolu de notre principe, il nous faut garder bien gravé dans l’esprit que durant plus de mille ans de schisme entre les byzantins et Rome on n’a jamais, sans aucune exception, conclu un seul accord canonique avec des Uniates avant que ceux-ci n’aient pleinement reconnu la doctrine catholique sur les dogmes controversés (Filioque, Primat du Pape etc…).
D’après le Père Jean ; Février 2014
Petit commentaire “inspiré” par un extrait du blog de Jacques Attali
Petit commentaire “inspiré” par un extrait du blog de Jacques Attali
« On ne le répètera jamais assez, depuis la mort de Pie XII et le funeste conciliabule Vatican II, nous vivons l’époque de la Grande Apostasie de sorte que l’on ne saurait faire confiance à aucune structure, à aucun chef. Les intrus du Vatican travaillent main dans la main avec les cénacles mondialistes dont ils font partie. » (Jérôme Bourbon.)
(…) Le dragon maléfique transfuse, dans les hommes mentalement dépravés et corrompus par le cœur, un flot d’abjections. (…) ils ont porté leurs mains impies sur tout ce qu’Elle (l’Église) désire de plus sacré. (…) — Exorcisme de Léon XIII.
Il est manifeste que non seulement nous vivons et sommes au cœur de la Grande Apostasie, mais qu’en plus les fruits pervers du criminel aveuglement de la tradition dans son immense majorité consistent en ce formidable et cataclysmique déni de l’état dans lequel se trouve l’Épouse du Christ, déni qui appelle les plus grands et les plus effroyables châtiments qui n’épargneront personne pas même le tout petit carré (que je distingue du petit « reste » évoqué dans plusieurs prophéties) de ceux qui y voient clair et résistent – auront résisté – jusqu’au bout.
La cécité spirituelle, l’abrutissement des intelligences touchent tous les domaines, des plus terre à terre jusqu’aux plus sacrés et religieux. Cette décomposition générale du bon sens et du sensus fidei est la marque spécifique de la fin des temps des nations.
Il n’est pas du tout anodin que le mot « transfusion » soit employé par Léon XIII et qu’il s’accompagne des mots très ciblés de mental (qui renvoie à mentalité) et corruption par le cœur (qui renvoie non seulement au péché contre l’Esprit Saint mais aussi au règne infernal du psycho-affectif dominant au détriment de la « veritas est adæquatio intellectus et rei »). Il y a transfusion lorsque le sang d’un organisme est entièrement remplacé par celui d’un autre. Comme il s’agit ici dune transfusion au sens figuré ou plus exactement spirituel, il convient d’abord de changer de fond en comble les mentalités afin que l’organisme ne donne pas lieu à des phénomènes de rejet et que cette transfusion soit durable et définitive. Ne vous y trompez pas ! Ces opérations magiques et initiatiques commencent au sein d’une minuscule « élite » et se diffusent tout doucement ensuite au sein des peuples en suivant tout le parcours hiérarchique nécessaire à une si longue et sérieuse opération. Le rôle plus spécifique des loges consistera à adapter et peaufiner les ordres, consignes et slogans à l’usage du vulgaire en tenant compte non seulement des circonstances mais aussi de l’avancée des progrès dans la lente alchimie du Grand Œuvre pour changer les mentalités.
Pour avancer le travail dans la bonne direction (car il n’y a jamais de recul véritables, mais des reculades mineures et calculées), l’esprit maçonnique doit auparavant utiliser tous les leviers possibles qui vont rendre possible la « corruption par le cœur ». Ces leviers, au sein de notre société moderne apostate, sont innombrables : médias, politiques, faits divers, mode, musique, art, mœurs « libérées », éducation, traditions locales, nostalgie sociétale, etc… Tous ont en commun le fait qu’ils majorent et/ou exploitent systématiquement tout ce qu’il y a dans l’être humain d’irrationnel, d’affectif et de psychologique (d’où la multiplication des fameuses « cellules psychologiques »).
Et les traditionalistes, dans leur ensemble, n’échappent pas à cette « règle ». Je dirai même, qu’en raison de leur légitime « nostalgie » et défense d’un certain passé, ils sont bien plus encore exposés au « travail psycho-affectif » que d’autres couches de la population. C’est ainsi que le piège de l’aveuglement s’est refermé sur eux ! Le déni est un enfermement psychologique particulièrement sournois, car quasiment indétectable par ceux qui en souffrent et difficilement décelable par des observateurs plus ou moins extérieurs.
C’est donc par la corruption du cœur, celle qui touche et transforme alchimiquement les affects humains, que l’on atteint plus sûrement la sphère intellectuelle. Cette dernière sera attaquée, « transfusée » que dans la mesure où l’on aura préparé le terrain de l’affect. On ne peut changer les mentalités que si ce changement passe d’abord par le cœur ! L’homme, à l’image de Dieu, ne se résume pas à un corps ou à une intelligence. (Ni bête, ni ange !) Ce qui lui permet de correspondre au « divin incarné » c’est précisément le « passionnel » qui l’anime et fait le lien entre son âme et son intelligence et ses fonctions animales et vitales. Ainsi notre corps ne sera le « temple de l’Esprit Saint » que dans la mesure où nos passions – toujours désordonnées à cause du péché originel – seront à l’écoute harmonieuse et du corps et de l’âme (dont l’intelligence n’est qu’un attribut). Le Verbe Incarné nous donne le modèle parfait d’équilibre de ce vers quoi nous devons tendre jusqu’à notre dernier souffle. Lorsque nous sommes en état de grâce nous correspondons, même pour un très court instant, à ce que Dieu attend vraiment de nous. L’équilibre sera bien vite rompu dès que notre affect prend plus (ou moins !) de place qu’il ne doit dans notre vie spirituelle.
La « passion » en état de désordre entraîne toujours une sorte de déni. C’est à partir de ce dernier que l’on peut en déduire qu’il y a rupture d’équilibre soit chez autrui soit dans sa propre vie. Mais pour cela il faut faire une sérieuse introspection, un authentique examen de conscience. L’orgueil (intellectuel) et l’attachement (affectif) à des erreurs connues sont les principaux obstacles à cet examen. Le déclin programmé de la confession a également quasiment supprimé ou dévoyé ce salutaire exercice.
Tout s’enchaîne logiquement et l’on ne pourra corriger ses affects que si l’on se soumet à un examen rigoureux et que si l’on recherche d’abord quelles sont les vérités de foi intangibles que l’Église nous enseigne et nous a toujours enseigné. Pas celles de tel grand théologien, de tel évêque ou de tel « grand » chef de file ! Non ! Uniquement les vérités qui sont sûres à 100 pour cent et qui ont toujours été crues et enseignées partout et toujours dans l’Église.
Alors voyons pourquoi le déni des traditionalistes est un crime et un blasphème et pourquoi de par sa propre nature il requiert les plus grands châtiments. Et pourquoi nos ennemis de toujours s’appuient et se nourrissent de nos défaillances psycho-affectives pour mieux faire changer les mentalités et aboutir en fin de compte à l’ « homme nouveau » de la Kabbale.
Souvenons-nous toujours de l’affinité particulière qu’il y a entre l’affect et l’intellect. Vouloir déconnecter l’un de l’autre est une erreur anthropologique très grave. Erreur que ne font jamais nos ennemis… c’est-à-dire ceux qui veulent effacer toute trace de la civilisation chrétienne non seulement dans les têtes mais surtout dans les mœurs et les mentalités. La Synagogue, experte en psychologie, a compris que la « corde » qui nous relie plus sûrement à l’animal c’est précisément la « mentalité ». Il ne sert donc à rien de vouloir changer intellectuellement un homme si l’on ne transforme pas d’abord de fond en comble sa mentalité et tous les « réflexes » (proches de l’ « instinctif ») mentaux qui l’accompagnent.
Dans son exorcisme Léon XIII nous parle d’un « flot d’abjections ». Qu’est-ce au juste ? Et en quoi consiste-t-il ?
L’abjection c’est tout simplement ce que Dieu déteste le plus dans les fruits de l’abaissement que nous avons-nous-mêmes programmé en acceptant la corruption (et les corrupteurs !) et la transmutation (plus ou moins passive) de nos mentalités. Les abjections dont parle le Pape sont des fruits que nous ne pouvons éviter car la ruine des intelligences et des mentalités mène de manière irrémédiable et quasiment irréversible à la corruption généralisée et donc à la production de fruits abjects car directement contraires à la Volonté de Dieu. Il est tout naturel que l’homme, à l’image de son créateur, soit en perpétuelle co-création. Lorsqu’il ne crée pas dans l’ordre du bien, il ne peut que s’adonner au mal dans l’ordre du non-être et du chaos.
Ainsi, l’homme, tiré du néant, produira des œuvres abjectes en raison de son affect dévoyé, de ses passions désordonnées et de sa mentalité tarée. « Sans moi vous ne pouvez rien faire » a dit Notre-Seigneur, sous-entendu… rien faire de beau, de bon et de bien qui puisse être agréé par mon Père qui est dans les cieux… L’homme se glorifiera davantage de ses œuvres (mauvaises) qu’elles seront plus ou moins directement contraires à la Volonté de Dieu C’est ainsi ! Depuis la chute, nous sommes des rebelles-nés !
Toute « production » mauvaise, que ce soit dans l’ordre intellectuel ou l’ordre matériel ne mérite dans l’absolu qu’une seule chose : être aussitôt réduite à néant par le Tout-Puissant. L’Ancien Testament nous en montre quelques illustres exemples…
Sous la nouvelle loi, Dieu use la plupart du temps d’une (infinie) patience qui curieusement nous scandalise car nous avons tendance, sans nous en rendre compte, à faire avec Notre Père un coupable anthropomorphisme ! Là encore c’est ainsi ! mais « Qui est comme Dieu ? ».
Le Pape nous parle encore de « mains impies » et de désir sacré en ce qui concerne l’Église.
En effet les désirs les plus ardents, les plus intimes, les plus affectueux de Notre-Seigneur s’expriment non seulement par Sa parole mais aussi par Son Église, ses rites, ses sacrements et ses œuvres. C’est pourquoi l’on ne peut prétendre aimer pleinement N.S.J.C. sans aimer d’un même amour Son Épouse. Les quatre notes étant, a priori, un obstacle à toute dérive psycho-affective de la part des catholiques… Hélas ! Ce n’est plus le cas depuis que Notre Sainte Mère est éclipsée !
ET pourquoi est-elle éclipsée ? parce que des « mains impies » ont osé se porter à l’assaut de son dépôt sacré.
Dans un texte très révélateur, la Synagogue de Satan, nous donne à la fois une leçon de manipulation et prophétise l’abjection à venir (dont nous avons un bel exemple actuellement avec le « mariage » pour tous !)
Dans son blog, Jacques Attali, factotum doctrinaire des cercles mondialistes et judéo-maçonniques, annonce la couleur.
Après décryptage et analyse de texte, on retiendra sept niveaux principaux de la subversion de la pensée.
1/ la manipulation
2/ l’affirmation délictueuse
3/ l’affirmation péremptoire
4/ le glissement syntaxique
5/ le prophétisme menaçant et le cynisme œcuménique
6/ l’historisme païen et révolutionnaire
7/ l’eschatologie démoniaque
Dans ce texte il y a tout ou presque ! Tout ce qui a causé nos maux, tout ce qui nous menace, tout ce qui nous attend ! C’est un programme (presque) complet qui n’attend plus que d’être appliqué à la lettre et finalisé !
En l’état actuel des choses, des événements imminents et de l’état mental et intellectuel de nos contemporains et plus particulièrement des catholiques traditionalistes, nous osons dire et affirmer, sans trop craindre de nous tromper, que ce plan, ce programme démoniaque ira sans doute jusqu’à sa consommation pour notre plus grand châtiment… et que rien ne pourra l’arrêter ! Pourquoi nous dira-t-on ? Parce qu’un tel programme, n’étant pas d’inspiration uniquement humaine, ne peut être contrecarré que par des moyens surnaturels de grande ampleur. Or ces moyens n’existent plus ! Ils sont neutralisés, de par la volonté de Dieu, à cause de l’éclipse généralisée de l’Église. C’est un châtiment. Et nous n’en mesurons pas encore toutes les implications pratiques et les désordres apocalyptiques qui s’en suivront, car nous vivons au jour le jour et avons perdu de vue le véritable sens de l’histoire et la vision que Dieu a de la marche en avant de l’humanité qu’il a créée par pur amour. L’absence de Dieu et de Sa Providence laisse à notre monde aucune échappatoire si ce n’est dans sa misérable quête en avant des signes d’une « fin du monde » purement matérielle et si peu spirituelle. Mais revenons au blog de Jacques Attali.
1/ Attali et consorts sont des manipulateurs. Ils nous montrent toute leur perversité en dissimulant leur pensée et en occultant que ce sont eux les premiers qui ont pensé à dévoyer le mot « mariage » pour mieux le désacraliser et le resacraliser ensuite au profit du Très Bas pour lequel ils travaillent manifestement.
Ainsi, feignant de croire et de faire accroire que ce sont les autorités religieuses, et elles seules, qui ont été horrifiées par l’usage de ce mot « mariage », ils dévoilent ainsi à l’initié qui sont les véritables inventeurs de cette dérive sémantique sacrilège.
Leur cynisme n’a d’égal que la perversion de leur cœur. Ils opposent « droits et privilèges » liés à cette union et soi-disant étendus aux « couples » homosexuels (l’emploi du mot « couple » est à lui seul un intrus invisible, sorte de « réplicateur » implacable, introduit par une série de science-fiction américaine) au seul mot de mariage qu’ils distinguent subtilement de l’union devant le maire, car ces gens-là n’ignorent pas que ce mot s’accompagne obligatoirement d’une connotation réellement religieuse, le « mariage civil » n’étant que la première partie et/ou l’expression tronquée d’un usage uniquement religieux dès l’origine.
Dès l’apparition de la volonté gouvernementale de changer la loi, aucune bataille sémantique n’a été menée de front et collectivement par l’opposition (elle-même divisée) si ce n’est que par quelques individualités très isolées.
La victoire était déjà en germe dès le début ! Le mauvais exemple des autres pays ayant déjà accepté cette « révolution sémantique criminelle » empêchait en effet toute velléité d’opposition véritable. Les médias, véritables relais sataniques, ont admirablement joué le jeu, et très subtilement d’ailleurs, jouant de l’ambiguïté et employant tour à tour « mariage pour tous » « mariage gay » ou « union pour tous ! ».
Ne trouvez-vous pas étrange que, finalement, ce soit le mot « mariage » qui se soit imposé presque partout ? Et comme nous dit Attali, s’il donne les mêmes droits et privilèges que le mariage civil hétérosexuel… comment ne pas lui reconnaître ce droit au mot et le qualifier donc au même titre de « Mariage ». ET hop ! le tour est joué ! La manipulation a parfaitement réussie car toutes les conditions étaient requises pour qu’elle réussisse.
2/ Attali et consorts sont des délinquants de la pensée.
Pour eux cette querelle de mots (alors qu’il s’agit en fait d’un véritable crime sémantique aux implications gravissimes !) rend l’histoire ambigüe !! Rien de moins !
Et là nous disent-ils, il y a urgence. Les œuvres de ténèbres doivent toujours de faire dans l’urgence (du moins affirmée « pieusement ») car dans les faits il faut compter non seulement avec les tares nombreuses de l’humain mais aussi avec la Volonté de Dieu qui parfois contrarie tous ces beaux plans… lorsque les sociétés et les âmes cultivent encore quelques mérites…) ; et l’on sait que les initiés lucifériens qui œuvrent dans l’ombre n’ignorent pas qu’il leur faudra du temps… et même parfois beaucoup de temps. L’on m’objectera que tout s’accélère et que Notre-Seigneur a donné un temps compté à Lucifer pour détruire son Église. Certes. Mais encore une fois qui aurait l’audace et de préjuger de la patience, de la miséricorde de Dieu et de faire l’impasse sur les mérites et les souffrances cachées de quelques saints connus de Dieu seul ? Nous ne maîtriserons jamais ces paramètres ! grâce à Dieu !
3/ Attali et consorts affirment péremptoirement que seule la morale est religieuse ! en ajoutant subtilement « pour ceux qui le désirent » ! Ainsi les églises ne doivent plus être maître des mots du droit. Ils rappellent à tous ceux qui l’auraient oublié qu’ILS ont gagné à la Révolution et que ce sont eux les maîtres qui doivent dicter quelle est la source du droit et qui en doit être le maître. L’allusion à la séparation de l’Église et de l’État – victoire maçonnique et judaïque – est plus que claire même pour ceux qui n’ont pas de culture historique ! On voit mieux ainsi toutes les conséquences… à plus d’un siècle de distance !!!
Enchainement logique : Attali et consorts nous proclament que « le droit est laïc ». Nous le savions déjà mais nous n’en mesurions pas peut-être toutes les terribles conséquences. Nous devons porter notre regard encore plus loin qu’eux, car nous nous avons les paroles de la Vie éternelle. Resterions-nous en retrait de ces enfants de ténèbres ? Honte à nous !
Mais, me direz-vous, quels sont les fruits abjects (Léon XIII) de telles affirmations ? La réponse est sévère : la disparition de toute morale ! La morale, cantonnée à la sphère privée et/ou religieuse est une abomination, toujours condamnée par l’Église. C’est contraire à la nature même de l’homme pécheur que de prétendre lui imposer une morale (chrétienne) de cette manière là !
« Seule la morale est religieuse » nous dit Attali. Prenons garde de prendre toute la mesure de la malice intrinsèque de cette formule ! Apparemment ce bout de phrase affirmative ne nie pas l’existence ou la possibilité d’existence d’une « morale ». Réfléchissons. Si la seule morale est religieuse c’est qu’elle ne peut pas l’être ailleurs ou bien alors qu’elle ne s’appellera plus « morale », ce terme étant réservé à la sphère religieuse. Si donc elle n’a plus d’existence légale dans la sphère sociétale, hormis la sphère religieuse, c’est qu’elle n’existe plus en tant que morale mais en tant que quelque chose d’autre. Il faudra donc lui trouver un nouveau nom.
À moins que… la « morale laïque » devienne la nouvelle norme religieuse puisque, dans les deux cas, seuls ceux QUI LE DÉSIRENT, mettront ces morales en pratique ! En somme c’est la morale à la carte… ou l’absence totale de morale… la seule morale en acte restant celle de la police (peur du gendarme) et de la justice !
Mais Lucifer finit toujours par nous montrer un petit bout de sa queue !
4/ Par un glissement sémantique inouï, Attali et consorts, conçoivent la société laïque comme le rempart contre les « derniers restes » (curieuse expression qui nous en rappelle une autre…) et non plus comme le respect (supposé) de toutes les religions et expressions des morales. Nous voilà prévenus et saurons nous en souvenir !
La « connotation religieuse » des fêtes catholiques est encore tolérée… à condition d’adopter un nom laïque !!! La fureur diabolique de la Synagogue n’a plus de bornes !
Il lui faut éradiquer jusqu’aux noms de fêtes qui pourraient encore rappeler leur lointaine origine religieuse ! Ainsi les « derniers restes » ne gêneront plus personne pour l’érection de la super religion mondialiste de Lucifer !
L’avantage, dans ce torrent de boue infernale, c’est que ces tristes suppôts ne nous cachent plus guère leurs véritables intentions. Ils sentent la victoire finale si proche…
Quant au « choix » que l’on donne au citoyen lambda de choisir ses « fêtes » il sera bien entendu subordonné à ce que toutes les tendances religieuses bénéficient de ce choix, y compris les religions non chrétiennes (ce qui est inouï !) puisque ces initiés nous citent Kippour, Aïd et… l’anniversaire du Dalaï-Lama !!! Syncrétisme démoniaque…et cynisme œcuménique. Nous allons y revenir.
5 et 6/ Attali et consorts prophétisent. Et font appel à la mémoire révolutionnaire et païenne.
Pour mieux se prémunir d’une critique sommaire voire primaire, ils affirment que leurs propositions ne sont pas le résultat d’un « caprice » de laïc. Et là où ça devient intéressant c’est lorsqu’ils démentent une victoire sur le religieux puisqu’ils déclarent qu’elle ne pourrait être qu’illusoire… Donc pour ces sectaires l’avenir du monde est religieux et le sera. Reste à savoir de quelle religion ils seront les « sectataires » et les prophètes ! Nous, nous le savons !
Deuxième prophétie en filigrane : il se peut bien que les autres religions, dans leur bon droit (laïc !), ne réclament un jour le même traitement que pour les fêtes catholiques. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils seront plus nombreux que les catholiques. Vous pensez à une religion en particulier ? Rassurez-vous, moi aussi ! Voilà pourquoi ils nous parlent de Salut public, nous replongeant ainsi brutalement dans nos « racines » révolutionnaires. Quand on sait que le Comité du même nom a sur la conscience la plupart des crimes de la terreur…
Cette religion, à laquelle vous pensez, ne plaît guère aux cénacles mondialistes car elle est expansionniste et nataliste. C’est pourquoi César est en fin de compte invoqué afin qu’on lui rende ce qui lui revient : la direction de l’Empire et la sauvegarde de son temple initiatique, à savoir la sacro-sainte Laïcité !
Depuis deux siècles l’avancement du plan luciférien est inscrit sur le fronton de nos lieux officiels et même de certaines de nos églises ! Après la victoire de la LIBERTÉ (XIXe et moitié du XXème siècle), nous venons de connaître celle de l’ÉGALITÉ (qui va se conclure par le « mariage » pour tous !) et nous allons très prochainement entre dans la phase de la FRATERNITÉ. Souvenons-nous que pendant la révolution de 1789, ce mot de Fraternité était la plupart du temps accompagné de la formule « OU LA MORT ».
Ces rappels à l’historique révolutionnaire et au paganisme césarien ne sont pas innocents…
7/ Attali et consorts nous prédisent, avec une ironie toute luciférienne, un monde démo(n)cratique, une église sans prêtres et une « fraternité » agissante.
À ceux qui auraient encore la faiblesse de penser que la fille ainée de l’Église c’est la France, Attali et consorts rappellent vertement que les privilèges de la noblesse ayant été abolis, il ne saurait être question de considérer comme toujours vivaces ceux du clergé. Il est clair que ce clergé dont on parle ne peut être que le clergé catholique !
Pourquoi ? Parce qu’il n’existe pas de véritable clergé dans les autres religions et que la France n’est plus la fille ainée de l’Église… puisque les privilèges ont été abolis.
Ce raisonnement de serpent a le mérite de ne pas nier frontalement la position de fille ainée mais de la révoquer en droit par le biais d’un autre corps : celui de la noblesse. Ce faisant, ces messieurs nous donnent une petite leçon d’histoire en nous rappelant la hiérarchie sacrale qui présidait à l’ordre d’Ancien Régime dont le Roi était la clé de voute, véritable évêque du dehors puisque sacré avec un cérémonial tout à fait particulier. En outre on nous fait bien sentir que les « générations à venir » (lisez : les mentalités transformées par « eux » !) ne seront plus capables du tout de concevoir quelque confusion en ce domaine… La religion sera donc exclusivement l’apanage de la sphère privée. ET, cerise sur le gâteau, on nous annonce même, dans un délire prophétique luciférien, que bientôt les mots eux-mêmes ainsi que les rites n’auront plus aucun sens pour nos (futurs ?) contemporains. Très logique !
Pas de rite sans mot, véhicule de la pensée. Ainsi nous voyons par quel biais l’Église est mise sous le boisseau ; ce programme est déjà fort avancé si l’on se réfère, non seulement aux futures lois mortifères (« mariage » pour tous) mais surtout à l’invalidité radicale des rites conciliaires aussi bien que pour la plupart des sacrements que pour l’ordination des prêtres et le sacre des évêques.
Ainsi, nous dit-on très clairement, que ces mots et ces rites ne seront plus un danger (chez ces lucifériens de la Synagogue de Satan on croit au surnaturel) pour la … démocratie de demain (toujours à venir et toujours en marche, remarquez bien !) mais qu’au contraire la fameuse FRATERNITÉ y aura tout à gagner. Quel programme exaltant !
La réalisation du trinôme maçonnique requiert que soient accomplis les trois programmes : Liberté, Égalité et Fraternité. Tous trois nous relient à l’abjection décrite par Léon XIII.
Liberté : abjection de la destruction et du sacrilège (Révolution, Terreur)
Égalité : abjection de la subversion et de la corruption des mœurs et de la pensée
Fraternité : abjection du règne de la démo(n)cratie universelle et de l’apparition de l’Antéchrist.
Nous venons tout juste d’entrer dans le glorieux cycle de la Fraternité ! Serrez vos ceintures !
Il ne faut donc pas nous étonner d’entrer dans une ère proprement totalitaire où la fraternité obligatoire deviendra, avec ses modes de pensées et sa « mentalité » forgée dans les loges et la Synagogue, la règle de vie des habitants de cette planète qui n’auront plus qu’à accueillir comme leur Sauveur l’Antéchrist en personne.
À l’heure où nos clercs se répandent à loisir en complaintes logorrhéiques en tous genres sur les malheurs des temps et réclament à grands flots d’écrits et de sermons qu’on reconnaisse soit leurs pratiques traditionnelles, soit leurs œuvres pie, soit leurs oppositions farouches et fondées, à l’heure où chacun croit être fidèle à sa religion, à celle de son fondateur, à son « évêque », à telle ou telle chapelle, tel prêtre, tel ou tel gourou de pacotille ou non, à l’heure où les aveugles conducteurs d’aveugles n’ont jamais été aussi nombreux et quasi-invisibles dans ce qui nous reste d’Église, à l’heure où la volonté de puissance et de paraître des uns n’a d’égale que l’entêtement des autres à ressasser toujours les mêmes erreurs de jugement et de pensée, à l’heure où le traditionalisme n’a jamais été aussi proche d’un châtiment bien mérité, Léon XIII, d’heureuse et de malheureuse mémoire, et la Synagogue, nous donnent des pistes pour le véritable combat, sachant néanmoins qu’il sera gravement amputé de sa face surnaturelle, selon les saints décrets divins. Mais pour l’honneur et l’amour de ce Dieu qui s’est incarné pour nous, nous devons, quoiqu’il arrive continuer le bon combat sans pour autant tomber dans les pièges et les écueils si chers à une certaine « tradition ».
Ces pièges et ces écueils, de nombreux auteurs bien plus compétents que moi en ont parlé. Je ne leur ferai pas l’indélicatesse de les plagier maladroitement.
La Grande Apostasie nous enserre de plus en plus dans ses tentacules nauséabondes. Restons fermes dans la Foi ! Et n’oublions pas que la vraie bataille commence par celle des mots ! C’est « eux » qui nous le disent.
Jadis on mourrait pour une cause, un chef, un étendard ou une idée. Bientôt nous faudra-t-il peut-être accepter le Grand Sacrifice juste pour un mot !?
En toutes choses il nous faudra bien faire la Volonté de Dieu.
Merci de votre indulgente attention.
Extrait pris dans le blog de Jacques Attali : Laïciser l’État, enfin !
(Les soulignés et les couleurs sont de nous)
« Si la question du mariage pour tous fait tant bondir toutes les Églises, ce n’est pas tant parce que les droits et privilèges de l’union devant le maire seront ainsi étendus aux couples homosexuels, que parce que les autorités religieuses sont horrifiées par l’usage du mot “mariage” pour qualifier cette union.
Et cette querelle de mots révèle une ambiguïté de l’Histoire de France, qu’il est urgent de clarifier : depuis plus d’un siècle au moins les Églises ne doivent plus être maîtres des mots du droit ; elles sont en charge de la seule morale et pour leurs seuls fidèles. Le droit est laïc ; seule la morale est religieuse, pour ceux qui le désirent (…)
Il convient même, désormais, d’aller plus loin et d’enlever de notre société laïque les derniers restes de ses désignations d’origine religieuse. Par exemple, les jours fériés ne devraient être que laïcs, tels le 1er janvier, le 1er Mai, le 14 juillet et le 11 novembre. Les autres, dont les noms conservent encore une connotation religieuse (la Toussaint, Noël, Pâques, l’Ascension, la Pentecôte, l’Assomption) devraient se voir attribuer des noms laïcs (« fête des enfants » pour Noël et « fête de la liberté » pour Pâques) ou être considérés comme des fêtes religieuses, que les citoyens pourraient choisir comme jours fériés, parmi d’autres jours fériés pour d’autres fêtes religieuses (Kippour, l’Aïd, l’anniversaire du Dalaï Lama).
Cette proposition n’est pas un caprice de laïc, soucieux d’affirmer une illusoire victoire sur le religieux. C’est au contraire une mesure de salut public, qui rendrait à César ce qui est à César, si on ne veut pas que d’autres religions, aux pratiquants peut être un jour plus nombreux que les catholiques, ne réclament à bon droit que des jours soient fériés pour tous à l’occasion de leur propres fêtes.
On rétorquera que la France est fille ainée de l’Église et que cela donne à celle-ci quelques privilèges. On aura pourtant du mal à convaincre les générations à venir que les privilèges de la noblesse aient été abolis et que ceux d’un clergé devraient rester toujours aussi vivaces.
La religion est une affaire privée. Les mots qu’elle emploie et les rites qu’elle pratique ne sauraient en rien influer sur la démocratie de demain. La fraternité, au 21ème siècle, aurait tout à y gagner ».
(Source : le salon Beige)
Mise à jour du 11 février, en la fête de Notre-Dame de Lourdes
Un correspondant ami du CatholicaPedia Blog nous adresse le message suivant :
Chers amis, ce texte dont j’ignore l’auteur est absolument remarquable, et j’aurais aimé être capable de l’écrire ! Je me suis néanmoins permis d’en être l’humble correcteur, car je trouverais dommage que quelques fautes (de ponctuation notamment) ou des coquilles diverses en gênent la bonne lecture, comme ce fut le cas pour le linguiste professionnellement déformé que je suis. C’est pourquoi j’ai pris la liberté d’en faire une version très légèrement révisée (en pièce jointe). Il importe de diffuser cela le plus largement possible dans la « tradisphère » !!
Bien amicalement
Neuvaine au “Bienheureux” Jean-Paul-II-le-Grand… pour hâter l’opération suicide de la FSSPX
Elle circule sur l’Internet depuis quelques temps et nous l’avons reçu, à nouveau, ce matin d’un prêtre de la FSSPX.
Neuvaine au Bienheureux Jean-Paul II-le-Grand
pour hâter l’opération suicide de la FSSPX ((Distribuée par un prêtre de la FSSPX et certainement composé par un prêtre de la FSSPX, puisqu’est cité leur revue interne Cor Unum. Commenceraient-ils à voir clair ? Quelques-uns auraient-ils enfin le courage de combattre pour la Foi. Remarquons quand même que le primordial n’est pas cité : l’invalidité des sacrements, en particulier celui des sacres.))
Ô Bienheureux Jean-Paul, Toi qui baisa si « respectueusement » le coran ((Le 14 mai 1999 au Vatican lors de la visite d’un groupe de chrétiens et de musulmans irakiens, le pape conciliaire a baisé en public le Coran.)), Toi qui, dans la « forêt sacrée » du Togo, en t’inclinant devant « une citrouille séchée remplie d’eau et de farine de maïs » a « prié pour la première fois avec des animistes » qui invoquaient les « Puissance de l’eau » ((La Croix ; 23 août 1985. & Oss. Rom. 11 août 1985.)), Toi qui a loué la « profonde religiosité de Luther » ((31 octobre 1983, message officiel au cardinal Willebrands à l’occasion du 500e anniversaire de la naissance de l’hérésiarque Martin Luther.)), Toi qui a mis Confucius, Bouddha, Mahomet et Zoroastre au même rang que Jésus-Christ ((9 septembre 1998, à l’audience générale du mercredi : « C’est précisément de cette ouverture primordiale de l’homme à l’égard de Dieu que naissent les différentes religions. Il n’est pas rare qu’à leur origine nous trouvions des fondateurs qui ont réalisé, avec l’aide de l’esprit de Dieu, une plus profonde expérience religieuse. Transmise aux autres, cette expérience a pris forme dans les doctrines, dans les rites et dans les préceptes des différentes religions ». Oss. Rom., 10 sept. 1998.)), Toi qui, par amour de la liberté religieuse, a poussé les derniers États catholiques à ne plus professer la vraie religion comme religion d’État ((Italie, Chili, Irlande, Colombie, Valais…, Oss. Rom. 20/21 février 1984.)), Toi qui a toujours su plaire à nos « frères aînés » en reconnaissant que « l’ancienne Alliance n’avait jamais été révoquée » ((À Mayence, le 17 novembre 1980, allocution aux représentants de la communauté juive de l’Allemagne fédérale, DC 78 (1981), p. 427. Cette affirmation sera reprise par le nouveau Catéchisme de l’Église catholique : « l’ancienne Alliance n’a jamais été révoquée C. 121 ». Cf. S. Paul aux Hébreux 8, 7-13 : « En disant : Une Alliance nouvelle, Dieu a déclaré la première vieillie ; or, ce qui est devenu ancien, ce qui est vieilli, est près de disparaître ».)), vient en aide à tes frères traditionalistes afin qu’ils parviennent à « la pleine réconciliation » et « qu’ils soient un ».
Ô Bienheureux Jean-Paul, Toi qui a tant souffert des intégristes Mgr Lefebvre et Mgr de Castro-Mayer qui te refusèrent le titre de « Bon Pasteur » ((Lettre du 31 août 1985 : « Très Saint Père, Votre responsabilité est gravement engagée dans cette nouvelle et fausse conception de l’Église qui entraîne le clergé et les fidèles dans l’hérésie et le schisme. Si le Synode, sous Votre autorité, persévère dans cette orientation, Vous ne serez plus le Bon Pasteur ».)), intercède auprès du dieu des modernistes et de la conscience onusienne de l’humanité, et fortifie ton fidèle successeur, Benoît, qui t’a heureusement glorifié, afin qu’il réussisse « à réduire les durcissements et les rétrécissements » de la FSSPX, « pour donner ainsi une place à ce qu’il y a de positif et de récupérable pour l’ensemble. » Qu’il se souvienne de son expérience, où il a « vu, dans les années qui ont suivi 1988, que, grâce au retour de communautés auparavant séparées de Rome, leur climat interne a changé ; que le retour dans la grande et vaste Église commune a fait dépasser des positions unilatérales et a atténué des durcissements de sorte qu’ensuite en ont émergé des forces positives pour l’ensemble. » ((Benoît XVI, Lettre du 10 mars 2009 aux évêques de l’Eglise catholique, dans D.C. n°2421.))
Ô Bienheureux Jean-Paul, obtient que Benoît persévère fidèlement dans tes enseignements entachés d’hérésies ((Benoît XVI lors de si visite à la synagogue de Rome, le dimanche 17 janvier 2010 : « L’Église n’a pas manqué de déplorer les fautes de ses fils et de ses filles, en demandant pardon pour tout ce qui a pu favoriser d’une manière ou d’une autre les plaies de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme (Commission pour les rapports religieux avec le judaïsme, Nous nous souvenons : une réflexion sur la Shoah, 16 mars 1998). Puissent ces plaies être guéries pour toujours ! Il me revient à l’esprit la prière pleine de tristesse au Mur du Temple à Jérusalem du Pape Jean-Paul II, le 26 mars 2000, qui résonne avec vérité et sincérité au plus profond de notre cœur : « Dieu de nos pères, tu as choisi Abraham et sa descendance pour que ton Nom soit apporté aux peuples : nous sommes profondément attristés par le comportement de ceux qui, au cours de l’histoire, les ont fait souffrir, eux qui sont tes fils, et, en te demandant pardon, nous voulons nous engager à vivre une fraternité authentique avec le peuple de l’Alliance ».)), qu’il « confirme ses frères » avec zèle, n’abandonnant pour rien au monde « la boussole de l’Église pour le XXIe siècle » : le « Concile Vatican II » ; et qu’il tienne bon sur le « magistère post-conciliaire des Papes », car « on ne peut pas geler l’autorité magistérielle de l’Église à l’année 1962, ceci doit être bien clair pour la Fraternité » ((Benoît XVI, Lettre du 10 mars 2009 aux évêques de l’Eglise catholique, dans D.C. n°2421)).
Ainsi l’Église pourra être le sacrement de la paix mondialiste.
Ô Bienheureux Jean-Paul, fortifie Mgr Fellay afin qu’il éclaire les incrédules qui doutent que la FSSPX ait obtenu, par ses millions de chapelet, ce qu’elle avait demandé. Que ces « hommes de peu de foi » comprennent que demander la royauté sociale du Christ et obtenir « la saine laïcité » c’est la même chose. Que demander que « la messe tridentine soit rétablie dans ses droits » et obtenir un « rite extraordinaire » aussi saint que la messe bâtarde promue « rite ordinaire », c’est la même chose ((Communiqué du Supérieur Général de la FSSPX, Menzingen, le 7 juillet 2007 & Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI.)). Que demander le retrait et obtenir la levée de l’excommunication qu’ils ont toujours contestée, c’est la même chose ((Lettre aux fidèles de Mgr Fellay du 24 janvier 2009.)). Qu’attribuer toutes ces grâces à la sainte Vierge, ce n’est point blasphémer mais faire preuve d’esprit surnaturel.
Ô Bienheureux Jean-Paul, aide les prêtres et les fidèles à toujours faire plus aveuglément confiance au supérieur de la FSSPX. Qu’il arrive à les persuader qu’à Rome les choses ont changé. Que Benoît ne voulait pas d’Assise III, et c’est pour cela qu’il a « fait un flop à Assise », qu’« il a voulu rater Assise » ((Mgr Fellay à Flavigny, le lundi 13 février 2012.)). Et qu’après ta béatification, voulue par les méchants partisans de l’herméneutique de la rupture, il a déclaré héroïquement mais en privé : « Et maintenant ça suffit ! », autrement dit : Laissez-moi tranquille avec ce dossier ((Mgr Fellay à Flavigny, le lundi 13 février 2012.)). Bref, aide-les à avoir confiance en ce pape qui, par diplomatie, fait des choses gravement contraires à la foi bien qu’il n’y adhère pas lui-même et qui est prêt à faire le mal pour mieux travailler ensuite à la gloire de Dieu, au bien de l’Église et au salut des âmes…
Ô Bienheureux Jean-Paul, donne toujours plus de prudence surnaturelle à Mgr Fellay pour réussir à aller contre les volontés du Chapitre général de 2006, à propos des Relations avec Rome. Que les membres acceptent que la décision ultime n’appartienne qu’au seul « supérieur général en son conseil » ((« Si un accord avec le Saint Siège était sérieusement envisagé, un chapitre général extraordinaire serait convoqué pour traiter de la question ». Cor Unum, n° 85, 2006.)) et que le vrai principe qui doit diriger la FSSPX n’est plus le « principe lumineux » du fondateur : « Le lien officiel à la Rome moderniste n’est rien à côté de la préservation de la foi » ((Mgr Tissier de Mallerais, Marcel Lefebvre, une vie, Clovis, 2002, p. 589.)), ni celui du Chapitre : « pas d’accord pratique sans accord doctrinal » ((« Les contacts qu’elle entretient épisodiquement avec les autorités romaines ont pour seul but de les aider à se réapproprier la Tradition que l’Église ne peut renier sans perdre son identité, et non la recherche d’un avantage pour elle-même, ou d’arriver à un impossible “accord” purement pratique ». Cor Unum, n° 85 octobre 2006.)) mais « le seul vrai principe c’est de rester catholique » dans l’église Conciliaire ((Mgr Fellay, Flavigny, 13 février 2012 & « Eglise conciliaire, contrefaçon d’Eglise, évolutive, pentecôtiste, et syncrétiste ». Fideliter n° 64, juil.-août 1988.)).
Ô Bienheureux Jean- Paul, merci d’avoir fait changer d’avis Mgr Fellay qui pensait à tort que Benoît XVI « lui-même se sent entièrement et théologiquement attaché au concile Vatican II. Son enseignement et son gouvernement de l’Église s’inscrivent directement dans l’esprit du Concile. La preuve est qu’il veut nous incorporer dans l’Église officielle, selon une conception œcuménique. Il pratique un œcuménisme à notre égard. » (Jesus Christus, n°121, 2009). Merci surtout de lui avoir fait comprendre les erreurs de Mgr Lefebvre qui faisait parti de ceux qui « pour faciliter les choses font une identification entre l’Église Officielle et l’église Moderniste. Mais c’est une erreur, car nous parlons d’une réalité concrète. » ((Mgr Fellay à Flavigny, le lundi 16 février 2009 & Conférence de Mgr Lefebvre à Écône le 9 septembre 1988 : « Je crois qu’il faut vous convaincre de cela : vous représentez vraiment l’Église catholique. […] ces derniers temps, on nous a dit qu’il était nécessaire que la Tradition entre dans l’Église visible. Je pense qu’on fait là une erreur très très grave. Où est l’Église visible ? […] où sont les véritables marques de l’Église ? […] Il est clair que c’est nous qui gardons l’unité de la foi, qui a disparu de l’Église officielle. […] Tout cela montre que c’est nous qui avons les marques de l’Église visible. […] Ce n’est pas nous, mais les modernistes qui sortent de l’Église. Quant à dire « sortir de l’Église visible », c’est se tromper en assimilant Église officielle et Église visible. Nous appartenons bien à l’Église visible, à la société des fidèles sous l’autorité du Pape, car nous ne récusons pas l’autorité du Pape, mais ce qu’il fait. […] Sortir, donc, de l’Église officielle ? Dans une certaine mesure, oui, évidemment. […] Il faut donc sortir de ce milieu des évêques, si l’on veut ne pas perdre son âme. Mais cela ne suffit pas, car c’est à Rome que l’hérésie est installée. Si les évêques sont hérétiques […] ce n’est pas sans l’influence de Rome. […] Le cardinal Ratzinger me disait toujours : « Mais Mgr, il n’y a qu’une Église, il ne faut pas faire une Église parallèle ». Quelle est cette Église pour lui ? L’église Conciliaire, c’est clair ». »))
Ô Bienheureux Jean-Paul, que la prétention si peu catholique et complètement irréaliste de Mgr Lefebvre cesse à jamais car « Rome ne perd jamais la face » ((Entretien de Mgr Lefebvre à Fideliter, septembre 1988 : « Nous n’avons par la même façon de concevoir la réconciliation. Le cardinal Ratzinger la voit dans le sens de nous ramener à Vatican II. Nous, nous la voyons comme un retour de Rome à la Tradition. On ne s’entend pas. C’est un dialogue de sourds. Si je vis encore un peu, et en supposant que d’ici à un certain temps Rome fasse un appel […] à ce moment-là, c’est moi qui poserai les conditions. […] Je poserais la question au plan doctrinal : « Est-ce que vous êtes d’accord avec les grandes encycliques de tous les papes qui vous ont précédés ? […] Est-ce que vous êtes en pleine communion avec ces papes et avec leurs affirmations ? Est-ce que vous acceptez encore le serment antimoderniste ? […] Si vous n’acceptez pas la doctrine de vos prédécesseurs, il est inutile de parler. Tant que vous n’aurez pas accepté de reformer le concile, en considérant la doctrine de ces papes qui vous ont précédés, il n y a pas de dialogue possible. C’est inutile ». »)). Que la FSSPX accepte d’être libre dans une Église libre. Que le Bienheureux Jean XXIII et le Bienheureux Pie IX, fassent comprendre, à ceux qui ont une fausse notion de la « Tradition vivante » et de sa « réalité concrète », que le pape de l’aggiornamento et le pape du Syllabus doivent cohabiter paisiblement dans la grande Église qui est « Communion ». Que « le Pontife Romain », avec la FSSPX, « peut et doit se réconcilier et transiger avec le progrès, le libéralisme et la civilisation moderne » ((80e proposition condamnée par le Syllabus, i,. Alloc. Jamdudum cernimus, du 18 mars 1861.)).
Que la FSSPX doit devenir, elle aussi, « dorénavant un misérable affluent du grand mouvement d’apostasie organisé, dans tous les pays, pour l’établissement d’une Église universelle. » (Pie X, Notre charge apostolique, 25 août 1910).
Ô Bienheureux Jean-Paul invoque le Père du mensonge pour que l’optimisme et l’espérance chrétienne fassent taire « les prophètes de malheur ». Ô Prince des ténèbres achève ton œuvre ! Il te reste peu de temps pour tromper, « si tu le peux, les élus mêmes ». Persuade-les qu’il n’est pas nécessaire à l’Église catholique d’être contre l’église Conciliaire. Aide-les, comme l’homme moderne, « à baptiser bien ce qui est mal, vrai ce qui est faux, parce que devenus eux-mêmes mensonge. » Fumées de Satan, faites qu’on ne sache plus ni qui croire ni quand le croire. Ô paroles prophétiques : « Dans ce nouveau climat, nous avons la ferme espérance d’arriver bientôt à la reconnaissance des droits de la Tradition catholique. » Ô paroles captieuses dites six mois plus tard : « Nous sommes en guerre, ne l’oublions pas ! » ((Communiqué de Mgr Fellay à Menzingen du 24 janvier 2009 & Mot du Supérieur général Mgr Fellay, Cor Unum n° 94 d’octobre 2009.)) . L’heureux dénouement approche car si « Rome nie le principe de non-contradiction » ((Mgr Fellay à Flavigny, lundi 13 février 2012 : « Rome nie le principe de non-contradiction. Peut-on encore discuter avec eux ? Je ne sais pas. On est embêté ».)), aujourd’hui elle n’est plus seule.
Ô Bienheureux Jean-Paul, hâte le doux jour du bel « accord » de ceux qui ne sont « pas d’accord » ! Et donne nous la Paix et les Bisous. Shalom !