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papeFrançois…et le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires]
pape François…et le célibat des
“prêtres” catholiques [conciliaires]
Nous vous proposons une série d’articles, toujours sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)
Premier épisode, l’amie de Bergo(go)glio, militante pour l’abolition du célibat des prêtres.
Texte original en espagnol : http://www.ambito.com/noticia.asp?id=680190
Traduction CatholicaPedia.net
Les relations de François avec une femme vivant publiquement dans le péché… et où François donne l’extrême-onction à un pêcheur public, évêque défroqué, sans que celui-ci ni sa “femme” n’aient en rien regretté leurs actions passées, et en particulier leur combat pour abolir le célibat des prêtres.
Combat que cette femme adultère mène toujours voir : http://www.associationofcatholicpriests.ie/2013/04/ex-bishops-widow-believes-pope-francis-will-make-celibacy-optional/
« “I think that in time priestly celibacy will become optional,” Luro said in an interview with The Associated Press in her home in Buenos Aires, after sending an open letter to the pope stating her case. “I’m sure that Francis will suggest it.”
(Je suis sûre que le célibat des prêtres deviendra un jour optionnel, a dit Luro dans une interview avec The Associated Press depuis sa maison de Buenos Aires, après avoir envoyé une lettre ouverte au pape à ce sujet. « Je suis sûre que François va le suggérer »)
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Le “Pape” François nouveau est arrivé !
« Bergoglio est un homme de gestes »
par Clelia Luro
Clelia Luro, veuve de monseigneur Jerónimo Podestá et amie du cardinal Bergoglio, s’entretenait tous les dimanches avec celui-ci au téléphone, ce qu’elle a fait également le dernier dimanche avant qu’il ne parte pour Rome. Lors d’une interview téléphonique diffusée dans le cadre de l’émission Coincidencias, animée par Enrique Llamas de Madariaga, elle raconte que Jerónimo Podestá a reçu l’extrême-onction de Bergoglio et que c’est ainsi qu’a commencé son amitié avec le futur Pape. Elle met en doute qu’une « main cachée » ait cherché à séparer le cardinal Bergoglio de l’Église et du gouvernement (des Kirchner). Rappelons que Clelia Luro, âgée [alors] de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six filles, fit la connaissance en 1966 de Monseigneur Jerónimo José Podestá, évêque d’Avellaneda (Argentine), âgé à l’époque de quarante-cinq ans. Commença alors entre eux une relation sentimentale qui, en 1967, força le prélat de renoncer à l’épiscopat. En 1972, il fut réduit à l’état laïc et épousa Clelia. Il avait eu comme compagnons de promotion les évêques Eduardo Pirinio, Antonio Quarracino et aussi Raúl Primatesta. Podestá a toujours été un ecclésiastique très engagé dans l’action sociale, ce qui lui valut de devoir s’exiler en 1974 sous la menace de l’Alliance Anticommuniste Argentine (dite Triple A), car le gouvernement militaire de Juan Carlos Onganía le tenait pour « le principal ennemi de la Révolution ». Il retourna en Argentine en 1983 et y vécut jusqu’à sa mort, en 2000. Podestá fut président de la Fédération latino-américaine des prêtres mariés, organisation qui représente environ cent cinquante mille prêtres.
Voici quelques moments saillants de l’interview :
Q. : Que pouvez-nous nous dire du Pape François 1er ?
R. : Je suis émue. Je pense à Cristina (1) et à Bergoglio… Combien nous avons lutté ! Moi du moins contre la presse, contre ceux qui voulaient séparer le gouvernement de l’Église, moi qui ai tant parlé de Cristina avec Bergoglio. Et maintenant, je les vois qui s’embrassent, cela m’émeut énormément ! Un mois avant de mourir, Jerónimo (Podestá) me dit : « Clelia, je vais aller parler au cardinal ». Et moi, je lui demandai : « Pourquoi y vas-tu si Quarracino n’a pas voulu te recevoir ? » Il me répondit : « Mais celui-ci n’est pas Quarracino, c’est un jésuite très intelligent qui va m’écouter ». Il y alla et y resta deux heures. Il revient très content et me dit : « C’est un homme très intelligent, très ouvert, crois-le bien ». À part cela, l’Église ne s’est pas occupée de Jerónimo, même pas les prêtres du tiers monde, qui l’on plutôt évité. En revanche, quand Bergoglio apprit qu’il était hospitalisé, il m’appela au téléphone et me demanda s’il pouvait lui téléphoner. Je lui répondis : « Bien sûr, il en sera heureux ! » Je lui dis alors qu’il se trouvait au sanatorium San Camilo, et il alla s’y entretenir avec lui. Quand on emmena Jerónimo pour lui administrer une thérapie, Bergoglio accordait une audience. La religieuse l’ayant informé de cette thérapie, Bergoglio mit fin à l’audience et s’en fut à San Camilo. Il dit à Jerónimo : « Je t’apporte l’extrême-onction pour que tu te lèves ». Jerónimo était déjà dans le coma. « Il a dit quelque chose ? », lui demandé-je, et il me répondit : « Non, Clelia, il m’a juste serré très fort la main ». Je sais ce que cela a signifié pour Jerónimo, alors qu’il souffrait, que Bergoglio soit venu le voir. Ensuite, Bergoglio a dit aux religieuses : « Ne faites pas sortir Clelia de la salle de soins, laissez-la jusqu’au bout » ; car on ne me laissait que quinze minutes, pas plus. Bergoglio me dit : « ne quittez par Jerónimo jusqu’à ce qu’il s’en aille », et j’ai pu rester encore trois jours avec lui. C’est de là qu’est née ma reconnaissance, l’affection que j’ai pour Bergoglio. Plus que tout, c’est un homme de gestes, et ce sont les gestes qui font croire. Avec les paroles, on peut dire de belles choses, mais l’important, c’est ce qu’on fait. Bergoglio est un homme de gestes et de paroles, mais c’est par les gestes qu’il manifeste ce qu’il est vraiment.
Q. : Comment l’avez-vous perçu durant ces premiers jours de son pontificat ?
R. : Au Vatican, il se manifeste déjà par plusieurs attitudes bien à lui. Il n’a pas encore parlé des problèmes actuels, qui sont nombreux et épineux. Il n’avait aucune intention de devenir Pape, il avait même déjà renoncé à faire partie de la Curie du fait de son âge, mais Benoît XVI n’avait pas accepté sa démission. Quand il a pris congé de moi dimanche, avant de prendre l’avion le lendemain pour Rome, je lui dis : « Tu ne reviendras pas », et lui me répondit : « Tu es une mauvaise sorcière ». Je lui rétorquai : « Non, je t’assure, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le pressentiment que tu vas rester là-bas ; la dernière fois, tu t’es dérobé, mais cette fois, tu ne pourras pas ». Et il me répondit : « Je le sais bien, Clelia… » Quand on nous a montré la fumée noire, j’ai dit : « Ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, alors c’est Bergoglio qui va sortir », et c’est ce qui s’est passé.
Q. : Un cardinal primat reçoit un évêque marié et son épouse, et il s’entretient avec eux. Sommes-nous devant une Église en révolution ?
R. : Après la mort de Jerónimo, douze ans durant, Bergoglio m’a appelée tous les dimanches, sans y manquer une seule fois, et nous causions pendant une quarantaine de minutes. Et il me disait en riant : « Jerónimo t’a laissée pour que tu m’aides à réfléchir ». C’est ainsi que je l’ai connu, après avoir beaucoup lutté contre la presse à cause d’une maudite mouvance qui voulait toujours provoquer l’affrontement entre le Cardinal et l’Église, ainsi qu’entre les Kirchner et le Cardinal. Ce fut très difficile à vivre, parce que la plupart du temps, tout ça était faux. Je me souviens que quand il y avait déjà eu des problèmes avec l’Église, le Président Perón avait dit à Jerónimo que c’était du fait de la CIA. Je voyais une main cachée derrière cette volonté de détruire et d’opposer l’Église au gouvernement.
Q. : Mais cette main cachée tient bon, à présent, elle a des journaux…
R. : Et c’est pourquoi elle continue à vouloir détruire, bien que Bergoglio ait été élu Pape. Ces gens ont fait des choses dont j’ai honte en tant qu’Argentine ; par exemple, ils continuent à ressortir l’histoire des deux prêtres (2), qui est fausse. Je ne sais pourquoi ils n’achètent pas le livre “Le Jésuite” dans lequel Bergoglio raconte les choses telles qu’elles se sont passées, ni pourquoi ils n’écoutent pas Alicia Oliveira qui l’accompagnait quand ils allèrent parler à Massera pour faire sortir ces deux prêtres du pays. Bergoglio était incapable de livrer les deux prêtres aux militaires, et il a même aidé alors beaucoup de personnes persécutées en les cachant au Colegio Máximo.
Q. : Même Pérez Esquivel l’a défendu…
R. : Oui, lui également l’a défendu, et aussi Zaffaroni, qui le connaissait. Mais il est difficile de se laver d’une calomnie ou d’une malveillance. Bergoglio m’a dit : « Ne t’en fais pas, Clelia, ces choses-là meurent toutes seules ». Moi, je lui ai demandé : « Pourquoi ces prêtres ne te défendent-ils pas ? » Et il m’a répondu : « Parce que je leur ai demandé de ne pas se mêler de tout ça, de ne pas jouer avec ça, car cela n’aurait alors plus de fin ; les racontars finissent par s’éteindre d’eux-mêmes. » Pourtant, il semble que tel n’est pas le cas, et cela reste lancinant.
Q. : Comment imaginez-vous son pontificat ?
R. : Il sera comme celui de Jean XXIII. Bergoglio est très proche de Vatican II, et il a commencé à le montrer. Dans Vatican II, l’une des questions discutées était « L’Église et le peuple de Dieu », et sur le balcon du Vatican, avant de donner sa bénédiction au peuple, il lui a demandé la sienne. Ensuite, il a parlé de la liberté de conscience, qui fait aussi partie de Vatican II, mais qui a été occultée, parce que le Pape précédent a imposé silence à son sujet. Cela va être un bouleversement au sein de l’Église, un printemps pour tous ceux qui pensent comme nous.
[1] NdT : Cristina Kirchner, actuelle Présidente de l’Argentine, qui a succédé à son mari après la mort de celui-ci.
[2] NdT : Enlevés par la Junte militaire au pouvoir en Argentine de 1976 à 1981 (celle-ci ayant à sa tête Jorge Rafael Videla et Emilio Eduardo Massera). Dans ce pays, certains accusent aujourd’hui Bergoglio de s’être fait le complice de leur enlèvement à l’époque et, d’une manière générale, d’avoir collaboré avec la junte.
Vatican d’Eux : papeFrançois aux juifs du monde entier : « Chana Tova »
pape François reçoit le Congrès juif mondial
Le dialogue, clé pour bâtir un avenir commun
Rome, 3 septembre 2013 (Zenit.org) Anne Kurian |
Le pape François a reçu pour la première fois une délégation du Congrès juif mondial (« World jewish congress », WJC) hier, lundi 2 septembre 2013, au Vatican. Au cœur des échanges, la question de la Syrie, mais aussi le dialogue interreligieux.
Le WJC représente les communautés juives dans une centaine de pays, auprès des gouvernements, des parlements et des organisations internationales. Son président, Ronald S. Lauder, était présent lors de l’audience, accompagné du président du Congrès juif pour l’Amérique latine, Jack Terpins, du vice-président du WJC, Robert Singer, du vice-président associé, Maram Stern, et du directeur exécutif du « Los alamos jewish center » (LAJC), Claudio Epelman.
Au cours de l’entretien, le pape François a souhaité aux juifs du monde entier « une année 5774 douce et paisible » : « Chana Tova » – Bonne Année, leur a-t-il dit en hébreu. Les juifs fêtent en effet « Rosh Hachana », commencement de l’année les 4-6 septembre : des célébrations qui rappellent la création du monde.
Juifs et chrétiens, mêmes racines
Selon un communiqué du WJC, les parties ont échangé sur la situation en Syrie, théâtre de massacres humains que le pape a qualifiés « d’inacceptables » : « Les dirigeants mondiaux doivent tout faire pour éviter la guerre », a-t-il insisté.
Le pape a également appelé à renforcer le dialogue entre les communautés religieuses du monde et s’est opposé à l’intégrisme, quelle que soit la religion : « Le dialogue est la clé pour bâtir un avenir commun », a-t-il estimé.
Comme il l’avait déclaré en juin dernier devant le Comité juif international pour les consultations interreligieuses, le pape a rappelé qu’« un chrétien ne peut pas être antisémite » : « pour être un bon chrétien, a-t-il ajouté, il est nécessaire de comprendre l’histoire et les traditions juives », car « juifs et chrétiens partagent les mêmes racines ».
(…)
Après la rencontre, Ronald S. Lauder a salué l’engagement indéfectible du pape pour le dialogue : « la conduite du pape a donné un nouvel élan aux relations avec le judaïsme. Jamais les relations entre l’Eglise catholique et le peuple juif n’ont été aussi bonnes depuis 2000 ans. La conduite des papes successifs, au cours des cinq dernières décennies a contribué à surmonter beaucoup de préjugés. Cela nous permet maintenant de travailler ensemble pour défendre la liberté religieuse partout où elle est menacée et quelle que soit la communauté affectée ».
(3 septembre 2013) © Innovative Media Inc. http://www.zenit.org/fr/articles/le-pape-francois-recoit-le-congres-juif-mondial
N.B. Les accentuations sont de nous ; CatholicaPedia.net
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Comme nous le voyons ici encore une fois, Vatican D’Eux est bien d’eux !… depuis les cinq dernières décennies…
Francesca Chaouqui, l’assistante glamour de papeFrançois
Suite de l’épisode précédant… où l’on voit que ce Vatican d’Eux est de plus en plus grotesque !!!
Nous vous livrons maintenant la traduction de l’article du site Clerical Whispers (Potins Cléricaux) « Pope’s glamorous aide Francesca Chaouqui ruffling Vatican feathers » :
Francesca Chaouqui, l’assistante glamour du Pape François, défrise quelque peu le Vatican
Samedi 24 août 2013
Avec ses allures de star de cinéma, sa chevelure flottante et son blouson de cuir à la glissière descendue de façon provocante, Francesca Chaouqui campe un personnage inhabituel aux côtés des hommes d’âge mur qui dirigent l’Église catholique (église Conciliaire !).
Il n’en reste pas moins que lorsque cette consultante en relations publiques de vingt-sept ans (l’âge varie de 27 ans comme ici à 30 ou 32 ans par Sandro Magister !!! Quand une femme avoue son âge, c’est qu’elle ne l’a plus…) fut nommée le mois dernier auprès d’une importante commission du Vatican, on salua en cela un symbole de la détermination du Pape François à faire entrer du sang neuf.
La semaine dernière, pourtant, ce choix fort peu conventionnel devint soudain embarrassant pour le pontife argentin, car l’attention s’était portée sur une série de tweets envoyés depuis le compte de Mme Chaouqui au cours des mois ayant précédé sa nomination, dont l’un dans lequel le Cardinal Tarcisio Bertone, Secrétaire d’État du Vatican, était qualifié de « corrompu ».
Le tapage qui s’en est suivi a mis au jour l’existence, au sein du Vatican, d’une lutte de pouvoir visant le Pape, dont la vision est celle d’« une église pauvre, pour les pauvres », ce à quoi s’oppose la Curie romaine, cette bureaucratie éclaboussée par des scandales liés à la corruption, à la pédophilie et au copinage.
Née en Italie d’un père d’origine marocaine, Mme Chaouqui est proche de plusieurs cardinaux italiens.
En 2010, elle a mis sur You Tube un diaporama comprenant une photographie en studio prise d’elle – seins nus, semble-t-il – dans les bras de son petit ami.
Le mois dernier, le Pape a nommé Mme Chaouqui auprès d’une commission de huit membres créée en vue de remanier l’administration financière du Vatican.
Ce n’est apparemment qu’après sa nomination que le Pape, lors de sa tournée triomphale au Brésil, prit connaissance des interventions de l’intéressée sur Tweeter et du franc-parler dont elle y faisait preuve. On ignore s’il était au courant de la photographie en question.
L’attaque contre le Cardinal Bertone, personnage puissant mais controversé, était assez méchante. Selon un autre tweet de même source, Benoît XVI, qui est le prédécesseur du Pape actuel et qui a démissionné en février dernier, souffrirait de leucémie, ce qui est officiellement démenti.
À en croire un troisième tweet, Paolo Gabriele, ancien majordome de Benoît XVI, n’aurait pas fait fuiter les dossiers pontificaux publiés ensuite dans un livre à grand succès, alors qu’il a été condamné pour leur vol et leur fuite.
Giulio Tremonti, ancien ministre italien des Finances, a déclaré la semaine dernière qu’il intentait un procès contre Mme Chaouqui et plusieurs journaux à cause d’un autre tweet le présentant comme homosexuel. Le Cardinal Bertone nie s’être rendu coupable de corruption et envisage, lui aussi, une action en justice.
Pour Gianluigi Nuzzi, auteur du livre Sa Sainteté – Scandale au Vatican, qui s’appuie sur les dossiers en question, on a péché contre Mme Chaouqui plus qu’elle n’a péché elle-même. « Les personnes proches de Bertone se servent de Francesca pour défendre leurs propres intérêts », écrit-il. « La Curie joue un jeu tracassier ; elle n’aime pas que ce Pape la tienne à l’écart des décisions-clés.
« Francesca n’a nullement à avoir honte ; elle s’est bornée à critiquer Bertone. Il est bon que le Pape ait choisi une jeune femme ; elle aidera à examiner la manière dont sont établis les contrats de travail, par exemple, et cela irrite la Curie. »
Le jésuite Thomas Reese, analyste au National Catholic Reporter, est d’accord : « La Curie tente de faire admettre à François que s’il se montre trop pressé et s’il ne passe pas par les filières habituelles, il risque de commettre des fautes embarrassantes », écrit-il. « Le Vatican s’est toujours opposé à ce que des éléments extérieurs – clercs ou laïcs – viennent s’occuper de ses affaires. »
Le Pape (anti-pape !) ne cache guère son antipathie pour la bureaucratie vaticane, qu’il a traitée de « fosse aux serpents » lors d’une conversation avec un cousin, avant son élection.
Il a mis sur pied un petit secrétariat pour l’aider à diriger l’Église (église Conciliaire !), et il a choisi de prendre ses quartiers dans une suite de la Maison Sainte-Marthe, où sont logés les ecclésiastiques en visite, plutôt que dans les appartements officiels du Palais apostolique, qu’il juge trop opulents.
On s’attend, par ailleurs, à ce qu’il procède à d’importants changements, y compris en remplaçant le Cardinal Bertone.
En attendant, Mme Chaouqui a fermé tout tranquillement son compte Tweeter. Elle a déclaré au Corriere della Sera qu’elle n’était pas la seule à l’utiliser et a nié avoir écrit le tweet sur M. Tremonti.
« Je ne suis pas inquiète, parce que le Saint-Père n’est pas inquiet », a-t-elle dit.
Ce commentaire a, selon elle, reçu l’approbation du Père Federico Lombardi, porte-parole du Pape, ce qui tendrait à indiquer que le Pape (anti-pape !) compte la soutenir.
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Source, Clerical Whispers (Potins Cléricaux) : http://clericalwhispers.blogspot.fr
Traduction CatholicaPedia.net
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Et pour finir, jetons un coup d’œil sur l’article de Marie-Lucile Kubacki pour la revue conciliaire La Vie.fr
Vatican
Le pape a-t-il des ennemis à Rome ?
Marie-Lucile Kubacki
Créé le 26/08/2013 / modifié le 26/08/2013 à 15h56
Nous évoquions brièvement ce sujet dans la Matinale chrétienne du 25 juillet. Après le scandale déclenché par les déclarations de l’Espresso sur la double vie de Mgr Ricca, homme de confiance du pape à la Banque du Vatican, avec un officier militaire suisse, le vaticaniste Sandro Magister pointait une possible deuxième « erreur de casting » : Francesca Immacolata Chaouqui, toute nouvelle membre de la commission chargée de réaliser un audit financier du Saint-Siège avec sept autre experts. Les griefs contre Francesca Chaouqui : sa double casquette d’informatrice régulière du site Dagospia, spécialisé dans les indiscrétions sur le Vatican, et sa proximité avec Gianluigi Nuzzi, le journaliste qui recevait et publiait les documents confidentiels lors de l’affaire Vatileaks.
Alors que la presse italienne a frémi, ces derniers jours, en exhumant de vieux messages du compte Twitter de Francesca Chaouqui datant d’avant sa nomination au Vatican – l’un affirmant au sujet du secrétaire d’État « Bertone est corrompu », l’autre que Benoît XVI souffrait de leucémie depuis plus d’un an – Sandro Magister va plus loin et demande : « Étant donc établi que le pape François ne connaissait pas personnellement Francesca Chaouqui, qui l’a convaincu de la nommer à un poste à si hautes responsabilités ? »
Le vaticaniste italien n’y va pas par quatre chemins. Pour lui, « l’hypothèse la plus crédible conduit à Mgr Vallejo Balda », 52 ans, espagnol et membre de la Fraternité de la Sainte-Croix, la branche sacerdotale de l’Opus Dei, qui n’est autre que le secrétaire et le coordonnateur de la commission chargée de réformer la banque du Vatican. Il cite le « CV » de Francesca Chaouqui, rédigé par Vallejo Balda : « Expérience de plusieurs années dans le domaine du conseil en gestion de la communication d’entreprise et en management des relations extérieures et institutionnelles ; leadership faisant autorité, fondé sur de grandes aptitudes en matière de relations publiques et de communication, et forte capacité à finaliser les contacts au niveau business ; guidée par des principes et des valeurs éthiques et moraux très forts ». Un CV qui se trouvait avec celui des 7 autres membres de la commission en pièce jointe d’un mail adressé par Vallejo Balda aux membres en question.
« Dans son e-mail du 18 juillet, envoyé le matin à 9 heures 41, Mgr Vallejo Balda demandait aux destinataires de garder le secret, écrit Sandro Magister. Mais tout de suite après, ce matin-là, Francesca Chaouqui avait déjà violé la consigne, en faisant suivre l’e-mail de Vallejo Balda, avec les trois fichiers joints, à un certain nombre de ses contacts. » Tout en niant son appartenance à l’Opus Dei, Sandro Magister affirme qu’elle « fréquente des résidences romaines de l’Opus ». Pour lui, la nomination de Mgr Ricca et de Francesca Chaouqui, puis la décision de les maintenir en poste, sont « la négation vivante de du programme de nettoyage et de réforme ».
© Malesherbes Publications
Lavie.fr : http://www.lavie.fr/religion/catholicisme/le-pape-a-t-il-des-ennemis-a-rome-26-08-2013-43371_16.php
VATICAN D’EUX : Scandales aux Vatican, papeFrançois ne fait aucune correction de trajectoire
Plus de deux mois se sont écoulés depuis que “Mgr” Battista Ricca a été malencontreusement nommé “prélat” de l’Institut pour les Œuvres de Religion (IOR) et plus d’un mois depuis que Francesca Immacolata Chaouqui a été nommée, non moins malencontreusement, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Vatican.
Ces nominations ont été toutes les deux faites par papeFrançois et la première a été pour lui une décision très personnelle.
Pourtant, alors que le mois d’août touche à sa fin, aucune correction de trajectoire ne se manifeste…
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Telle est l’introduction de Sandro Magister dans son article du 26 août dernier (Voir plus bas).
Topless et tweetant : le nouveau visage féminin du Vatican
Au cours des deux millénaires de l’Église catholique romaine, il n’y a jamais eu un conseiller papal qui ait affiché (même discrètement) une photo seins nus d’elle-même sur l’Internet, en étant “grignoté” sur l’épaule par son compagnon (boyfriend) de la même façon déshabillé.
La photo semi-nue de F. I. Chaouqui (…Immacolata était surement un désir de sa maman… mais le résultat n’est pas là !!! — Il n’y en a qu’Une d’Immaculée !) et son partenaire masculin qui est sorti sur son compte YouTube,(1) a finalement été retirée. Voici la capture d’écran par News.com.au de la photo initialement publiée.
Francesca Chaouqui a brisé le moule au Vatican dominée par les hommes. Âgée de seulement 30 ans, elle a récemment été nommé par le “pape” François comme la seule femme sur une puissante commission de huit membres chargé de réformer les finances scandaleuses (elles aussi !!!) du Vatican.
L’italo-marocaine (2) “PR woman” (3) glamour, qui a récemment travaillé comme journaliste en charge de la communication et des relations extérieures chez Ernst & Young Italia, a déjà été surnommée la « lobbyiste du Pape ».
Elle est la seule femme qui fait partie du comité de conseillers du pontife. Francesca Chaouqui a connu la gloire pour ses tweets incendiaires sur le Vatican :
Lorsque Benoît a abandonné son pontificat, Chaouqui a écrit sur son compte Twitter : « Il a gagné Bertone. J’étais sûr qu’il ne le ferait pas, mais il a jeté l’éponge. En tant que croyante, je suis juste déçue. » Mais ce n’était pas son premier ni son dernier commentaire robuste.
Chaouqui par exemple, a chaleureusement félicité l’un des journalistes qui ont découvert les documents du Vatileaks. « Heureusement que tu existes », a-t-elle écrit à l’enquêteur Gianluigi Nuzzi, qui a publié un livre avec les documents volés par le Majordome de Benoît XVI, « Bravo, c’est ce qu’on appelle faire une bonne information. Fier de vous. »
Mais dans un autre, elle a dit que Paolo Gabriele, l’ancien Majordome de Benoît XVI, n’avais pas fuité (répandu) les dossiers papaux publiés dans ce livre à succès – bien qu’il ait été reconnu coupable du vol et la fuite de ceux-ci.
Dans un autre encore, elle a catalogué le Cardinal Tarcisio Bertone, le secrétaire d’État du Vatican, comme “corrompu”. Le Cardinal Bertone nie la corruption et envisagerait une action en justice…
En attendant, Giulio Tremonti, un ancien ministre des Finances italien, a dit à la mi-août qu’il poursuivait en justice Mme Chaouqui et des journaux pour un autre tweet où elle a dit qu’il était homosexuel.
Avec son nom et son image à l’honneur, la Miss Chaouqui a rapidement fermé son compte du réseau de micro-blogging, ce qui n’a pas empêché les médias italiens de récupérer avant cela une copie de certains de ses tweets les plus controversés.
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Ricca et Chaouqui, deux ennemis de l’intérieur
Il est prélat de l’IOR, elle est membre de la commission pour la réorganisation des administrations du Vatican. Deux nominations qui ont été voulues et décidées par le pape François mais qui sont la négation vivante de son programme de nettoyage et de réforme.
ROME, le 26 août 2013 – Plus de deux mois se sont écoulés depuis que Mgr Battista Ricca a été malencontreusement nommé “prélat” de l’Institut pour les Œuvres de Religion (IOR) et plus d’un mois depuis que Francesca Immacolata Chaouqui (photo) a été nommée, non moins malencontreusement, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Vatican.
Ces nominations ont été toutes les deux faites par le pape François et la première a été pour lui une décision très personnelle.
Et tout de suite après, dans un cas comme dans l’autre, de graves contre-indications ont été découvertes dont le pape ne savait rien initialement.
Pourtant, alors que le mois d’août touche à sa fin, aucune correction de trajectoire ne se manifeste.
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En ce qui concerne le “prélat” de la banque du Vatican, le pape François, après l’avoir nommé, a été rapidement informé, par plusieurs personnes dignes de confiance, des antécédents scandaleux du personnage et des protections dont il avait bénéficié et bénéficie encore actuellement au Vatican. Et il a exprimé sa gratitude à ces personnes.
Mais, dans l’avion qui le ramenait du Brésil, le pape Jorge Mario Bergoglio a évité, lorsqu’il a répondu à une journaliste, de prendre une position nette en ce qui concerne l’affaire de Mgr Ricca.
Les propos du pape que les médias du monde entier ont repris avec le plus d’emphase – en un festival de commentaires favorables à son “ouverture” aux homosexuels – ont été interprétés comme une façon de suspendre son jugement : « Si une personne est gay et cherche le Seigneur et qu’elle est de bonne volonté, mais qui suis-je pour la juger ? ».
Quelques jours après être rentré à Rome, le pape François a été plus clair. Il a fait savoir à la secrétairerie d’état que Mgr Ricca « restera à son poste ».
Et c’est ainsi que va rester intacte, à travers celui-ci, la contradiction spectaculaire entre d’une part la volonté de nettoyer et de réorganiser la curie romaine exprimée à plusieurs reprises par le pape François et d’autre part le fait que celui-ci continue à faire confiance au “prélat” qu’il a nommé et qui est vraiment le parfait symbole de ces comportements scandaleux et de ces “lobbies” qui devraient être balayés.
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L’affaire de Francesca Immacolata Chaouqui est différente de celle de Mgr Ricca. La secrétairerie d’état du Vatican disposait déjà, à son sujet, d’informations précises plusieurs mois avant qu’elle ne soit nommée, le 18 juillet dernier, membre de la commission pour la réorganisation des services économico-administratifs du Saint-Siège, avec la possibilité d’accéder à tous les documents les plus confidentiels.
Mais que pour la création de cette commission et la nomination de ses huit membres, le pape François a agi de manière autonome. La secrétairerie d’état n’y a pas été associée et elle n’en a été informée qu’après coup.
La secrétairerie d’état avait déjà été mise en état de pré-alerte, au printemps 2012, par certains articles parus dans le plus lu des quotidiens progressistes italiens, “La Repubblica”.
Il était affirmé dans ces articles que Paolo Gabriele, le majordome de Benoît XVI arrêté et condamné pour avoir volé au pape une quantité énorme de documents confidentiels qui étaient ensuite transmis à la presse, n’était pas le seul, à la curie, à avoir agi de cette manière, mais que d’autres, comme lui et après lui, étaient encore en activité, parmi lesquels une femme.
Les “révélations” concernant cette affaire ne donnaient pas le nom des personnes impliquées. Y compris la dernière interview anonyme, celle qui a fait le plus de bruit, publiée dans “La Repubblica” le 7 mars 2013, quelques jours avant le conclave qui a élu Bergoglio pape.
Mais la personne interviewée était tellement bavarde qu’elle se vantait à droite et à gauche d’être l’informatrice qui fournissait la matière des articles de “La Repubblica” : Francesca Immacolata Chaouqui, 32 ans, fille d’un père marocain et d’une mère calabraise, vivant à Rome, mariée. Elle a été chargée, de 2007 à 2009, des relations extérieures du cabinet international d’avocats Pavia & Ansaldo, puis, à partir de 2010, du cabinet Orrick Herrington & Sutcliffe et enfin, à partir de 2013, du cabinet Ernst & Young, disposant pour cela d’un vaste réseau de relations réelles ou relevant de la vantardise, composé de journalistes, de politiciens, d’hommes d’affaires, de prélats et de cardinaux.
Lorsque, dans les jours où avait lieu le conclave, l’identité de l’informatrice anonyme de “La Repubblica” est parvenue aux oreilles du substitut à la secrétairerie d’état, l’archevêque Giovanni Angelo Becciu, celui-ci a adressé une protestation au journal. À partir de ce moment, la publication d’articles clairement attribuables à la “source” Chaouqui a en effet cessé.
Voilà pourquoi lorsque, le 18 juillet, on a appris que le pape avait nommé cette jeune “Public Relations” membre de la commission pour la réorganisation des administrations du Vatican, ceux qui connaissaient ses antécédents ont été absolument stupéfaits.
Mais même les gens qui ne savaient rien d’elle auraient pu très facilement se faire une idée du personnage. Il suffisait pour cela d’ouvrir sa page Twitter, d’y lire son auto-présentation, de parcourir ses messages.
On y apprenait, entre autres choses, que Francesca Chaouqui a un lien direct avec Gianluigi Nuzzi, le journaliste qui a reçu et publié les documents volés à Benoît XVI par son majordome infidèle, et qu’elle est une informatrice assidue du site dagospia.com, le réceptacle de médisances et poisons vaticanesques le plus lu d’Italie.
Par précaution, le 23 juillet, Francesca Chaouqui a retiré sa photo (voir ci-dessus) et, le 10 août, elle a désactivé sa page Twitter. Mais elle l’a fait trop tard et de manière incomplète.
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Étant donc établi que le pape François ne connaissait pas personnellement Francesca Chaouqui, qui l’a convaincu de la nommer à un poste à si hautes responsabilités ?
L’hypothèse la plus crédible conduit à Mgr Lucio Angel Vallejo Balda, secrétaire de la préfecture des affaires économiques du Saint-Siège et également, depuis le 18 juillet, secrétaire et factotum de la commission nouvellement créée dont Francesca Chaouqui est membre.
Mgr Vallejo Balda, 52 ans, est espagnol et membre de la Fraternité de la Sainte-Croix, la branche sacerdotale de l’Opus Dei. Après avoir donné la preuve de ses talents d’administrateur dans le diocèse d’Astorga, il s’est distingué en organisant avec succès les Journées Mondiales de la Jeunesse de Madrid, en 2011, aux côtés du cardinal Antonio María Rouco Varela. Ce qui a favorisé, la même année, sa promotion à la fonction de numéro deux de la préfecture des affaires économiques du Saint-Siège, à Rome.
À ce nouveau poste, Vallejo Balda a dépassé, dans les faits, son supérieur direct, le cardinal Giuseppe Versaldi, qui est désavantagé – entre autres – par le fait qu’il appartient à l’équipe déclinante du cardinal secrétaire d’état Tarcisio Bertone.
Il n’est donc pas surprenant que, une fois élu pape, Bergoglio ait rapidement détecté dans le dynamique monsignor espagnol l’un des hommes sur lesquels il pourrait compter pour la réorganisation administrative de la curie.
La preuve en est le rôle dominant que le chirographe pontifical instituant la commission attribue à Mgr Vallejo Balda : non seulement celui-ci est le secrétaire de la commission, mais il en est également le « coordinateur qui a des pouvoirs de délégué et qui agit au nom et pour le compte de la commission en ce qui concerne la collecte des documents, données et informations nécessaires à l’exercice de ses fonctions institutionnelles ».
On peut d’autre part affirmer que le pape a également confié la tâche de choisir et de recruter les membres de la commission à Vallejo Balda. Cela se déduit de la lettre par laquelle celui-ci a annoncé à chacun d’eux sa nomination et de sa manière de rédiger les curriculum vitæ, en se référant (dans un italien quelque peu confus) aux rencontres personnelles qu’il a eues avec l’un ou l’autre.
On peut, par exemple, lire ceci à propos de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Singapour, George Yeo :
« C’est un homme courtois et empressé, mais il a un style intellectuel fort ; il a beaucoup lu et connaît à fond les plaques tectoniques mouvantes de l’Histoire. C’est, ou c’était les deux fois où j’en ai parlé longuement avec lui, un catholique sérieux et consciencieux, ayant beaucoup d’intuitions fascinantes à propos du catholicisme avec des caractéristiques chinoises ».
Et à propos de Francesca Chaouqui :
« Expérience de plusieurs années dans le domaine du conseil en gestion de la communication d’entreprise et en management des relations extérieures et institutionnelles ; leadership faisant autorité, fondé sur de grandes aptitudes en matière de relations publiques et de communication, et forte capacité à finaliser les contacts au niveau business ; guidée par des principes et des valeurs éthiques et moraux très forts ».
Ces curriculum vitæ – comportant les adresses électroniques et les numéros de téléphone privés – se trouvaient dans l’un des trois fichiers joints à l’e-mail confidentiel par lequel, le 18 juillet, Mgr Vallejo Balda a annoncé de manière anticipée aux sept autres membres de la commission la publication, le jour suivant, du chirographe par lequel le pape les nommait.
Les deux autres fichiers joints étaient d’une part le texte du chirographe pontifical et d’autre part l’annexe au chirographe lui-même, également signée par le pape François, indiquant les mesures opérationnelles pour la commission. Et portant la mention :
« Ne pas publier et ne pas distribuer en dehors de la commission ».
Le premier de ces deux documents a effectivement été rendu public le lendemain. Le second, non. Mais on peut le lire sur cette page de www.chiesa :
> Disposizioni operative… (en italien)
Dans son e-mail du 18 juillet, envoyé le matin à 9 heures 41, Mgr Vallejo Balda demandait aux destinataires de garder le secret.
Mais tout de suite après, ce matin-là, Francesca Chaouqui avait déjà violé la consigne, en faisant suivre l’e-mail de Vallejo Balda, avec les trois fichiers joints, à un certain nombre de ses contacts.
On a dit que Francesca Chaouqui appartient à l’Opus Dei, comme Mgr Vallejo Balda. Mais ce n’est pas vrai.
En revanche il est certain qu’elle fréquente des résidences romaines de l’Opus, parmi lesquelles celle où habite le numéraire Joaquin Navarro-Valls, l’inoubliable porte-parole de Jean-Paul II.
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Les précédents articles de www.chiesa à propos des cas de Mgr Ricca et de Francesca Immacolata Chaouqui :
> Double tempête sur l’IOR (3.7.2013)
> Le prélat du lobby gay (18.7.2013)
> La tromperie ayant été révélée, François “saura comment agir” (25.7.2013)
> La “segretariola” de François, le pape qui veut tout faire lui-même (8.8.2013)
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À propos de Mgr Vallejo Balda, le portrait flatteur qu’en a fait José Manuel Vidal sur “Religión Digital” :
> Quién es Lucio Ángel Vallejo Balda, el nuevo “gerente del papa” (en espanol)
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Traduction française par Charles de Pechpeyrou.
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www.chiesa : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350582?fr=y
[1] En 2010, elle a affiché un diaporama sur YouTube qui comprend plusieurs portraits de studio apparemment nus avec son petit ami.
[2] Francesca Chaouqui âgée de 30 ans (Sandro Magister lui donne 32 ans, d’autres 27 !!!) est née d’un père français d’origine marocaine et d’une mère italienne. Elle fait partie de «Vedro» (“je verrai”), le think tank dirigé par Enrico Letta. Et elle est inscrite à la FERPI, la Fédération des relations publiques italiennes qui depuis des années se bat pour que le parlement approuve une loi pour la transparence des activités de lobbying. Elle se présente ainsi sur sa page Twitter : « Je vis comme si j’avais plus de temps, j’aime, je souris toujours, parfois je me mets en colère, j’écris la nuit. Heureuse ».
La presse italienne l’encense déjà et la présente même comme une excellente gestionnaire. Le quotidien La Repubblica rappelle ainsi son passage chez Ernst & Young où elle s’est occupée de communication et de relations publiques.
Mais si Francesca Chaouqui a du sang marocain, La Republicca voit d’abord en elle une fervente catholique, plutôt proche de l’Opus Dei, un mouvement de l’Eglise catholique qui fait du travail et de la moindre circonstance de la vie comme une occasion de rencontrer Dieu.
[3] PR woman (Femme responsable des relations publiques)
Vatican d’Eux : Huitième Anniversaire de la mort de Roger Schutz
Nous avons reçu cet article d’un fidèle lecteur :
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Huitième anniversaire de l’exécution du « Frère » Roger ?
Le 18 août 2005 (certains disent le 16 ?), le fondateur de Taizé est mort « assassiné. » La presse unanime en a fait le panégyrique. Valeurs actuelles (1), du 19, le qualifiait d’ « homme de paix ».
Sous le titre général L’Europe entière rend hommage à Frère Roger, le même numéro du Monde note la « tristesse de Benoît XVI… Entamant, mercredi 17 août, son audience publique hebdomadaire à Castel Gandolfo par quelques phrases : j’ai reçu une nouvelle très triste, terrible…Le frère Roger était pour moi surtout l’un des piliers de l’Europe qui s’unit. » Si Benoît XVI le connaissait le 17, l’assassinat du frère Roger a donc eu lieu au plus tard le 16. Pourquoi, la presse n’en a-t-elle parlé que le 19, en le datant du 18 ? Curieux, mais ce n’est pas la seule anomalie dans cette affaire !
L’homme d’un réseau.
« Le Frère (notons la majuscule) Roger, 90 ans, avait consacré toute sa vie…aux jeunes de plusieurs nationalités », indique Valeurs actuelles, qui poursuit : « Protestant, diplômé en théologie, Roger Schutz était arrivé de Suisse en août 1940, en Saône et Loire, dans le petit village de Taizé, non loin de Cluny, pour y fonder une communauté monastique œcuménique travaillant à la réconciliation des chrétiens. Taizé se trouvait…à quelques kilomètres de la ligne de démarcation. Frère Roger avait alors hébergé de nombreux réfugiés en particulier des juifs qui fuyaient la zone occupée…des milliers de jeunes venus du monde entier, protestants, catholiques, orthodoxes se retrouvaient chaque semaine à Taizé pour y prier. Les rencontres de Taizé organisées chaque année depuis 1978…attirent à chaque fois plusieurs milliers de jeunes (plus de 80 000 à Paris en 2002)… »
Le journal Le Monde (2) ne consacre pas moins de trois colonnes entières à la biographie du frère Roger, dans son numéro du 18 août ! On y apprend qu’ « en 1940…sa maison devient un refuge (qui) accueille sans distinction juifs, réfugiés politiques et résistants… Le 11 novembre 1942, à la suite d’une dénonciation, sa maison est fouillée de fond en comble par la gestapo…Roger Schutz est obligé de quitter Taizé et de repasser la frontière (a-t-il bénéficié de protections, pour n’avoir eu qu’une si faible sanction ?)…son projet communautaire va mûrir dans l’éloignement de Genève. C’est là que le rejoignent ses premiers compagnons de route suisses comme lui, Max, un théologien… » Le Monde n’en dit pas plus de Max Thurian qui eut, à n’en pas douter, avec Roger Schutz des liens qui ne sont pas au-dessus de tout soupçon. Curieux ce silence sur le compagnon du frère Roger, dont on ne nous dit nullement ce qu’il est devenu, alors qu’il a partagé sa notoriété des années durant.
On nous apprend par contre que le frère Roger est né le 12 mai 1915 en Suisse près de Neuchâtel d’un pasteur protestant suisse et d’Amélie Marsauche, appartenant elle aussi à l’église prétendue réformée. Sa mère est originaire de Bourgogne où il passe ses vacances ; de là son choix de Taizé. « En famille, on lisait Blaise Pascal et Angélique Arnaud. »
Ce que Le Monde omet de nous dire, c’est que les Schutz sont cousins des Schlumberger. Richissimes banquiers suisses, cette famille est notoirement connue en milieu protestant pour être de race israélite. Roger Schutz était donc lui aussi de « la race élue ». Quant à Max Thurian, c’est un cousin de Giscard, prétendu d’Estaing. Ce dernier, le jour de son emménagement à l’Élysée, s’est vanté à la télévision, de descendre du comte de Saint Germain. Celui-ci est un juif occultiste qui joua un certain rôle dans la préparation de la Révolution dite française.
Ce que nous apprend par contre Le Monde c’est que : « en 1948, (ayant fait une) demande à l’évêque d’Autun (d’utiliser l’église du lieu)…(Roger Schutz) reçoit une réponse chaleureusement positive signée du nonce apostolique…Mgr Angelo Roncalli. Ce fut le début d’une longue amitié Jean XXIII est l’un des hommes qui auront le plus compté pour le prieur de Taizé. »
Comment la demande insignifiante d’user de l’église d’un patelin obscur, qui plus est adressée à l’évêque d’Autun, est-elle parvenue au nonce apostolique à Paris ? Comment la requête d’un inconnu, protestant de surcroît, put-elle être prise en compte et recevoir une réponse chaleureusement positive du futur « pape » Jean XXIII ? Ceci ne peut se comprendre que si elle a cheminé par une filière occulte composée d’initiés, bref par un réseau d’amitiés au service de la Cause. Là est également l’explication du fait que « de 1962 à 1965, Frère Roger est l’un des observateurs les plus attentifs du concile Vatican II », en clair, un des protagonistes les plus actifs du brigandage qui substituera au catholicisme romain, l’œcuménisme judéo-maçonnique.
L’Europe judéo-maçonnique.
Et Le Monde de poursuivre : « Les rencontres avec Paul VI furent également confiantes. Au cours de son voyage dans la région lyonnaise, le 5 octobre 1986, Jean Paul II franchit le seuil de la communauté : « je me suis senti poussé par une nécessité intérieure » dira le pape ; ajoutant cette autre formule restée célèbre « on passe à Taizé comme on passe près d’une source ». Karol Wojtyla aimait le Frère Roger qu’il avait invité à prêcher dans son ancien diocèse de Cracovie devant 200 000 mineurs. » Ce qu’omet pourtant de dire Le Monde, c’est que Katz Wojtyla, dont le marranisme est notoire, vint de nombreuses fois à Taizé avec l’autorisation du gouvernement polonais communiste et que, lors de l’écroulement du mur de Berlin, les manifestants chantaient des cantiques appris à Taizé !
Ainsi avons-nous affaire à une entreprise politico-religieuse à dimension mondialiste puisque Le Monde toujours, nous apprend que le frère Roger devait « déclarer à l’UNESCO en 1989 : « Il dépend des jeunes que la grande famille européenne sorte de l’ère de la méfiance » c’est « l’une des urgences des années à venir… Le tournant », précise Le Monde, « est « le concile des jeunes » que le prieur de Taizé convoque en pleine bourrasque de l’après 68… Avant 1970, par centaines, des jeunes venaient déjà passer Pâques sur la colline : ils sont 2 500 en 1970…7 500 puis 16 000, 18 000, 20 000 à Pâques 74, 50 000 le 30 août suivant pour l’ouverture du « le concile des jeunes ». Banc d’essai pour les JMJ », conclut Le Monde.
Concluons en matière de réseau subversif, sur cette phrase du Monde : « Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, était un grand ami de Frère Roger et un visiteur assidu de Taizé. » Lorsqu’on a en tête la conclusion relative à « La face cachée du Monde », que ce journal n’est autre qu’ « une loge maçonnique, courroie de transmission du judaïsme mondialiste », la boucle est bouclée !
Une drôle de mort !
Lorsque la nouvelle tombe, le 18 août, « frère Roger a été poignardé » Au fur et à mesure, on apprend qu’il a été égorgé ! Le Parisien daté de ce jour, titre « La roumaine qui a égorgé frère Roger ».
L’assassin présumé, dont on a pu prouver qu’elle avait acheté le couteau la veille, prétend ne pas avoir porté le coup qui a tranché la trachée artère du prieur œcuménique. Une femme frêle comme apparaît être Luminata Solcanu sur les photos qu’on a publiées d’elle, a-t-elle pu porter un tel coup ? Elle prétend également, ainsi que l’indique Le Parisien (3), avoir « voulu avertir frère Roger d’un complot de moines francs-maçons ». Le Monde (4), confirme les propos tenus par la jeune femme par le témoignage même du procureur de la République Coste, chargé de l’affaire près du tribunal de Mâcon. Il y a en outre toute une variation sur le nom de la coupable présumée. Dénommée Luminata Sunacu, dans Le Parien, elle devient Luminata Solcanu dans Valeurs actuelles et dans Le Monde du même jour, mais Luminata Solcan dans celui du 20 août. Bref ! On saura au Jugement Dernier.
Toutefois, il nous semble que Solcanu pourrait être la forme roumaine de Solcan et que Le Monde informerait ainsi ses lecteurs initiés, en imprimant que l’auteur présumé de l’assassinat se nomme Solcan, nom indubitablement juif comme Laban, Lacan, Gozlan… Ce qui laisserait supposer l’hypothèse d’un règlement de comptes ?
Beaucoup de Roumains sont passés par Taizé. L’affaire Ceauscescu n’était pas si ancienne et y avait trempé un candidat à l’émigration pour Israël. Trotski n’est-il pas mort d’un coup de pic à glace ? Les haines dans ces milieux sont terribles.
Frère Roger, principal artisan de l’attentat sacrilège contre la messe.
Mais le non du « frère » Roger restera attaché, dans la mémoire des catholiques, à l’attentat sacrilège contre la sainte Messe. Ainsi, le nom de ce prétendu « homme de paix » restera attaché à l’un des plus grands attentats sacrilèges de tous les temps : la tentative au XX° siècle, heureusement avortée par la grâce de Dieu, de destruction de la sainte Messe catholique.
En effet, si le novus ordo missae de 1969 fut proposé par une commission officielle, présidée par le cardinal Bugnini, promulgué par Paul VI et imposé, en 1970, en France par un épiscopat apostat depuis 1958, les travaux préparatoires furent diligentés par une sous commission, dont le noyau dirigeant était constitué des « frères Roger Schutz et Max Thurian ».
Ils furent photographiés avec l’ensemble des membres de cette sous-commission. Cette photographie fut diffusée dans le monde entier, car elle fit l’objet d’une publication sur la page de couverture des Informations Catholiques Internationales, cliché repris depuis par plusieurs publications traditionalistes.
On mesure ici l’importance du rôle joué par les deux complices. Il ressort du reste que le texte lui même, qui fut promulgué par le marrane Montini, avait été rédigé par frère Roger, lui-même. Il s’en servait pour célébrer à Taizé ce qu’il avait l’hypocrisie d’appeler la messe ! Mais « Desiderium impiorum peribit : le désir des impies périra », leurs efforts contre la messe se sont soldés par un échec. Il en ira de même en ce qui concerne ceux qu’ils ont déployés, de concert avec Katz Wojtyla, en faveur de la construction européenne. Déjà la confusion des langues se profile à l’horizon politique entre les protagonistes : Allemagne, France, Grande Bretagne …
Mais revenons à la date de sa mort. Nous avons dit au plus tard le 16. Ne serait-ce pas plutôt le 15 ? On sait, par la vénérable Marie d’Agréda, auteur de la Cité Mystique, qui révèle des faits surnaturels de l’histoire de la Très Sainte Vierge, que cette dernière donna l’ordre à ses anges d’exécuter Hérode, le persécuteur impénitent de l’Église naissante, l’assassin de saint Jean Baptiste et de Saint Jacques.
Roger Schutz n’aurait-il pas enfreint, en pénétrant dans le domaine sacré de la sainte Messe, une interdiction ? Ne serait-ce pas en vertu de cet impératif moral que Dieu, dans sa justice, lui a réservé la fin qu’il a rencontrée au cours d’une célébration de son propre ordo missae et qu’il aurait dès lors pleinement méritée ?
Une exécution le 15 août, ne serait-ce pas une marque de la punition infligée, comme pour Hérode, à la demande de la Sainte Vierge ?
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Et ça continu toujours sous François 1er (Bergo(go)glio) :
Benoît XVI inspiré par Dieu
Benoît XVI assure que sa démission lui a été inspirée par Dieu
Benoît XVI a confié que sa démission lui avait été inspirée par Dieu et que le “charisme” de François le confortait chaque jour davantage dans cette conviction, selon une de ses rares confidences à un hôte anonyme reprise par le site catholique Zenit. [Zenit est un site conciliaire…]
« C’est Dieu qui me l’a dit », a-t-il répondu récemment à cet hôte qu’il recevait dans sa résidence de l’ancien monastère Mater Ecclesiae au Vatican, qui l’interrogeait sur les raisons de sa démission surprise annoncée le 11 février et concrétisée le 28 du même mois.
Une expérience mystique
Il ne s’est pas agi d’une apparition ou d’un phénomène analogue, mais bien d’une “expérience mystique”, a précisé à son hôte le pape allemand, grand adepte de la raison, sans doute pour couper court à toute spéculation qui pourrait naître sur un phénomène miraculeux.
C’est Dieu qui a fait naître en lui le “désir absolu” de rester seul à seul avec lui, recueilli dans la prière, a-t-il expliqué.
Un successeur au “grand charisme”
Selon la même source citée par Zenit, le “pape émérite” a ajouté que cette “expérience mystique” s’était poursuivie durant les mois suivant sa démission, le confortant dans son choix. Il a ajouté que plus il constatait le grand “charisme” de son successeur François 1er, plus il comprenait que sa décision avait été “volonté de Dieu”.
Ratinger est assez en forme et profondément heureux de sa retraite spirituelle, selon des sources vaticanes. S’il reçoit quelques rares amis et proches, Joseph Ratzinger vit retiré du monde, conformément à son vœu, servi par quatre laïques “consacrées” italiennes.
Il reste fidèle à sa promesse d’obéir inconditionnellement au nouveau pape et de ne pas s’immiscer dans le gouvernement de l’Église, alors que la résidence Sainte-Marthe, où vit François, n’est qu’à quelques centaines de mètres. Selon des sources informées, papeFrançois le consulte assez régulièrement. À son retour de Rio, François avait affirmé que Benoît était comme un « grand-père à la maison ». « Si j’avais une difficulté ou une chose que je n’aurais pas comprise, je lui téléphonerais : dites-moi, je peux le faire ? », a-t-il confié aux journalistes dans l’avion le ramenant à Rome, après les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) au Brésil.
D’après une annonce AFP