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LA RÉVOLUTION CONCILIAIRE, SES POMPES ET SES ŒUVRES…
La Révolution Conciliaire, ses Pompes et ses Œuvres….ça continue !
Exit les Curés !!!
Place aux “Prêtres Administrateurs” et aux « EAP » !!! (“équipes d’animation pastorale” !)
Difficile, chers lecteurs, de contenir une profonde tristesse mêlée de rage et de colère……
Satan-Lucifer et tous ses suppôts, les hiérarques de la secte Conciliaire, savent pertinemment que s’attaquer aux fondements de la paroisse est aussi indispensable que s’attaquer à la famille, cellule de base, dans l’ordre séculier… Ce parallèle parlera sans doute à beaucoup d’entre nous…
Ainsi, assiste-t-on à la disparition programmée (merci François Zéro Pointé !) des curés (St Jean Marie Vianney au-secours !) et à la mise en avant des équipes de laïcs via une animation obligatoire pour masquer le vide abyssal, tant surnaturel que sacramentel et liturgique, de leurs nouveaux “rites et gesticulations” entièrement nuls, vains et invalides… Les leurres, comme dirait un de nos fidèles lecteurs, fonctionnent à plein rendement !!! Et les regroupements de “paroisses” sont un alibi facile pour opérer ce « grand œuvre » qui ose à peine dire son nom !
« L’évolution de la vie paroissiale est en jeu » nous disent-ils sans rire, en ajoutant même que « l’Esprit de Dieu, souffle imprévisible de Sa Présence, 50 ans après le Concile Vatican II, change les habitudes de l’Église d’Occident. Ce vent de Pentecôte permet aux décrets conciliaires d’être mis en œuvre de plein droit pour donner des responsabilités renouvelées à des laïcs. »
Vous noterez, chers lecteurs, que c’est le “vent de Pentecôte” qui permet de mettre en œuvre les sacro-saints décrets conciliaires !!! Le démon connait ses classiques et sait pertinemment qu’aucun fidèle n’oserait s’opposer à ou remettre en question ce “VENT” là !!!!!!!!!!!!!
Vent démoniaque et véritablement pestilentiel, sorti tout droit des profondeurs abyssales du gouffre infernal où la Présence de Dieu est à jamais refusée et bannie…
Quant au bonhomme déguisé en « prêtre catholique », il (le “prêtre administrateur” = président-animateur de la synaxe de Caïn !) veille à accomplir la vie sacramentelle (!) et au respect du droit de l’« Église ».
« Le “prêtre référent” (comme le toubib !!!) ne réside plus sur la paroisse et ses fonctions et tâches pastorales sont réparties autrement, essentiellement dans l’Équipe d’Animation Pastorale : ses laïcs y sont pleinement engagés suite à leur formation (sic !) et par le travail en équipe (resic !). Ils assument ainsi leur tâche propre de baptisés-confirmés. » nous disent-ils encore… (Admirable n’est-ce pas ! mais que font alors les autres baptisés-confirmés ? ils se tournent les pouces ?!!non ! ils dansent, consomment et copulent joyeusement avec le « vent » !!!)
Quant aux fameuses “Équipes” (EAP), elles sont appelées à discerner ce qui est essentiel pour que l’Évangile soit annoncé à tous et par tous les baptisés. Pas besoin, donc, de vous faire un dessin, chers lecteurs… (Hé bien si !… ↷ )
Afin d’illustrer mes modestes propos, qui sont hélas loin d’épuiser un sujet aussi vaste, je suis allé emprunter à nos « amis résistants » de “La Sapinière” une vraie leçon de chose avec, en vedette américaine, un pauvre prêtre de 82 ans, embarqué bien malgré lui dans une sale affaire et qu’une partie des paroissiens « regroupés » (dans tous les sens du terme !) tentent de défendre du mieux qu’ils peuvent ; mais, comme de bien entendu, la partie semble bien perdue d’avance.
Le châtiment avance, avec ses troupes monstrueuses, ses équipes endiablées, ses administrateurs et référents infestés, ses fantoches mitrés invalides et son Clown Blanc précurseur de l’Antéchrist ! Plus que jamais, chers lecteurs, l’heure n’est plus à la compromission d’aucune sorte et nous devons fuir comme la peste cette secte de perdition, ses pompes, ses œuvres et ses fruits de mort. Il y aura des pleurs et des grincements de dents…
Mais je vous laisse lire l’édifiant article de “La Sapinière”, tout en regrettant que ces catholiques n’aillent toujours pas jusqu’au bout de leurs conclusions.
Pierre LEGRAND
« Le quart d’heure de Paul VI »
Je dédie cet article au “survivandiste” Jean-Baptiste André…
…qui attend bravement le retour de P.6.v²…
Son « pape » bien aimé…
Le quart d’heure de Paul VI
L’article d’Itinéraires intitulé « Le quart d’heure de Paul VI » (1976) illustre bien le procédé du ridicule qui tue adopté par Madiran. Paul VI fournit le texte. Il s’agit de l’instruction “Immensae Caritatis” (1) permettant de boire de l’alcool un quart d’heure avant de communier. L’autorisation concerne les malades, les vieillards, ceux qui les soignent et leur entourage. Voici le commentaire de Madiran dans Itinéraires :
« Qu’est ce donc que Paul VI leur permet de plus dans sa réglementation nouvelle ? C’est clair : de boire de l’alcool un quart d’heure avant de communier.
« Comme si les malades et les vieillards étaient gens qui ne peuvent s’abstenir d’alcool plus d’un quart d’heure : qui doivent en boire un coup toutes les quinze minutes…
« La loi en vigueur, au moment où Paul VI impose cette nouveauté, est de s’abstenir de vin et d’alcool une heure (une heure seulement !) avant de communier.
« S’abstenir de vin et d’alcool pendant une heure, même un ivrogne en est capable.
« Et pourtant Paul VI juge qu’une heure, c’est trop.
« Il décrète un quart d’heure.
« Mais un quart d’heure avant la communion, cela tombe forcément pendant la messe.
« Ainsi Paul VI autorise les vieillards et les malades non alités, et ceux qui les soignent et leur entourage, quand ils vont communier, à emporter avec eux leur fiole de pinard ou de gnole, pour s’en donner une rasade liturgique et vernaculaire, juste un quart d’heure avant la communion.
« Pour que le quart d’heure de Paul VI soit exactement respecté, il faudra sans doute instituer pendant la messe une double sonnerie supplémentaire.
« Première sonnerie : “Vous pouvez encore boire un coup”.
« Deuxième sonnerie : “Rien ne va plus”. »
Itinéraires, 18 octobre 1976, Supplément-voltigeur, numéro 41.
Source : TradiNews ; in [Jean de Viguerie – Présent] : http://tradinews.blogspot.fr/2014/12/jean-de-viguerie-present-hommage-jean.html
[1] Instruction Immensae caritatis (29 janvier 1973)
Communiqué de l’Institut Mater Boni Consilii concernant l’élection de Jorge M Bergoglio
Communiqué de l’Institut Mater Boni Consilii concernant l’élection de Jorge M Bergoglio
– 15 mars 2013 –
Le communiqué de notre Institut daté du 11 février se terminait par ces mots : “Seule l’élection d’un vrai successeur de Pierre pourrait mettre fin à cette crise d’autorité, mais la composition du corps électoral laisse présager – à vue humaine – que la nuit sera encore plus profonde, et l’aube lointaine”. Hélas la réalité – avec l’élection du 13 mars dernier – est allée plus loin que les prévisions les plus sombres. Si le Grand Orient d’Italie, et même plus cette organisation maçonnique très particulière qu’est le B’naï B’rith (Fils de l’Alliance), se sont vivement réjouis du choix fait en la personne de Jorge Mario Bergoglio, le monde catholique au contraire pleure non seulement parce qu’il est encore privé d’un vrai, authentique et légitime successeur de Pierre et vicaire du Christ, mais aussi parce que – en châtiment pour nos péchés et pour d’autres motifs insondables – celui qui occupe le Siège Apostolique est un véritable ennemi intérieur de l’Église catholique.
En ce moment historique, et en attendant des actes objectifs qui puissent confirmer ou – plaise à Dieu – démentir les lignes précédentes, dans notre état de simples baptisés, confirmés ou prêtres de l’Église catholique, nous entendons professer la foi catholique, proposer quelques réflexions, et lancer un appel.
Avant tout, les membres de l’Institut désirent renouveler ici publiquement et personnellement la profession de foi catholique du Concile de Trente et du premier Concile du Vatican (DH 1862-1870) et le serment antimoderniste (DH 3537-3550), et de façon particulière leur foi “dans le primat et le magistère infaillible du pontife romain”, vicaire du Christ et successeur de Pierre, auquel le Christ a confié les clés du Royaume des Cieux, la charge de confirmer ses frères dans la foi et de paître Son troupeau ; primat que le Christ a confié seulement à Pierre, et non pas de façon stable à tout le collège apostolique et encore moins au “collège épiscopal”.
Les événements récents (renonciation de Joseph Ratzinger, élection de Jorge M. Bergoglio) ont aussi rappelé le rôle de Dieu et celui des hommes durant la vacance du Siège et l’élection d’un nouveau Pontife. Durant la vacance du Siège, l’autorité demeure toujours dans le Christ, chef invisible de l’Église, et seulement “in radice” dans le corps moral qui peut désigner le nouveau Pontife.
Ce corps moral élit un candidat avec des actes humains propres à chacun des électeurs ; la personne élue doit ensuite accepter, non seulement en parole, mais dans la réalité, le Souverain Pontificat, ce qui exige la volonté objective et habituelle de réaliser la fin même du Pontificat et le bien de l’Église. Cette acceptation et cette intention sont elles aussi des actes humains, soumis à toutes les imperfections comme tout autre acte humain. Ces actes humains – des électeurs et de l’élu – constituent l’aspect matériel de la papauté ; papauté qui cependant ne vient pas des hommes, mais du Christ Lui-même qui gouverne, sanctifie, enseigne l’Église, de façon stable, “avec” son vicaire : “je serai avec vous…” (Matth. XXVIII, 20). Le Christ communique donc, à celui qui a été canoniquement élu et qui a réellement accepté, l’autorité qui le constitue formellement Souverain Pontife.
C’est par un simple acte volontaire de renonciation que Joseph Ratzinger a refusé l’élection qui avait été faite en sa personne, rendant ainsi le Siège totalement vacant ; il a ainsi rendu explicite l’absence chez lui de la volonté de gouverner réellement “avec le Christ”, absence qui l’empêchait, depuis le début, d’être Pape. Analogiquement, c’est avec un acte de sa volonté que Jorge M. Bergoglio n’a pas objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat, au point que le soir de l’élection il s’est lui-même présenté, non comme Pape, mais comme “l’évêque de Rome”, selon la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale. Tous les actes de Jorge M. Bergoglio dans son archevêché de Buenos Aires attestent, sans aucun doute possible, qu’il considère son rôle en référence au dialogue interreligieux, spécialement avec le judaïsme, et à l’œcuménisme (jusqu’à se faire bénir et imposer les mains par les hérétiques), dans l’union fraternelle avec tous les ennemis de l’Église et du Christ, et dans le plus total mépris de la Tradition dogmatique, liturgique et disciplinaire de l’Église catholique. Une telle intention publique et habituelle est incompatible avec le fait d’être Pape, c’est à dire d’être “una cum” le chef invisible de l’Église, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Voilà l’analyse qu’il nous semble de notre devoir de faire pour comprendre la situation actuelle de l’autorité dans l’Église.
Adressons donc notre prière à Notre-Seigneur : “Domine, salva nos, perimus” ! (Matth. VIII, 23). Seul le Seigneur, dans la médiation de Marie, peut sauver et sauvera Son Église. Nous en appelons à tous les catholiques qui se sentent encore liés à la tradition de l’Église, afin qu’ils ouvrent les yeux et rompent courageusement la communion avec ceux qui ne peuvent pas représenter Jésus-Christ et son Épouse, l’Église catholique.
Prions enfin les saints apôtres Pierre et Paul pour qu’ils protègent l’Église romaine, et les pontifes saint Pie V et saint Pie X pour qu’ils soutiennent par leur intercession tous les défenseurs de l’Église de ses ennemis intérieurs et extérieurs.
Verrua Savoia, 15 mars 2013.
Lire le communiqué sur le site Sodalitium.eu.
Note du CatholicaPedia :
Nous avons reçu ce message d’un lecteur :
« Non seulement Bergoglio n’est pas pape », dit-il, « parce qu’il ne veut pasl’être mais Ratzinger ne l’a jamais été car il n’a pas voulu se charger luinon plus du rôle de Pape » ! Mgr Fellay ne peut plus décemment continuer sondialogue avec Rome si tant est que Bergoglio le souhaite ! Radio Notre Damedéclare que la parenthèse Benoît 16 est refermée en ce qui concerne la messeet la liturgie…Bien à vous
Il est navrant de constater dans ce communiqué de Verrua que pas un mot ne soit dit sur l’invalidité sacerdotale de tous ces personnages qui constitues l’église [secte] Conciliaire !
Venant d’un Institut “non una cum”… dire de Josef Ratzinger « absence qui l’empêchait, depuis le début, d’être Pape » ou de Bergoglio « c’est avec un acte de sa volonté que Jorge M. Bergoglio n’a pas objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat » est déplorable ! Ce ne sont que des niaiseries… par rapport à la grave question de la disparition du sacerdoce (visible).
Pour les abbés de Verrua, qui ont fait des études de théologie, ne pas se soucier de ce fait évident est de l’aveuglement ! (Aveuglement spirituel ! Aveuglement péché ? Aveuglement cause du péché ? Aveuglement effet du péché ? Je ne sais, Dieu le sait…) Est-ce la thèse ?…
S’il y a bien UN motif pour être “non una cum”… Franciscus c’est bien qu’il ne peut pas être pape (laïc ou diacre apostat ! et hérétique s’étant mis hors de l’Église lui-même !) et non pas parce qu’il ne veut pas se considérer comme pape !!! n’ayant pas « objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat ».
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”
Au moment où le guide d’aveugles, qui conduit les fidèles de la FSSPX dans la fosse ((« Laissez-les, et ignorez-les ; ce sont des guides aveugles et des enseignants aveugles : et si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. » Matthieu 15:14 ; « Un aveugle peut il conduire un aveugle ? Ne tomberont-ils pas tous deux dans la fosse ? » Luc 6:39)) — Évangile de ce 1er dimanche après la Pentecôte —, s’entête a vouloir être “reconnu” par la Rome conciliaire, nous vous présentons un document capital – sorti des archives – des Dominicains d’Avrillé qui montre clairement ce qui s’est succédé depuis l’année 2000 jusqu’à présent et comment sont tombées, une à une, successivement les diverses institutions de la Tradition.
La Fraternité Saint Pie X, quant à elle, après s’être opposée et avoir fouetté Campos et l’IBP, encoure les mêmes erreurs…
Les ralliés et leur échec
Nous présentons la Table des matière de ce document de 44 pages. La seule lecture de cette table, comme nous l’avons dit précédemment, montre clairement ce qui s’est succédé depuis les années 2000 jusqu’à présent et comment sont tombées, une à une, successivement les diverses institutions de la Tradition.
Les Dominicains d’Avrillé font une bonne étude de la crise, mais comme toujours, ils n’abordent pas le grand problème de Vatican II (d’Eux !) – à savoir : Les nouveaux sacrements ! et en particulier le « sacre des “évêques” » Conciliaires. Ils refusent l’étude de Pontificalis Romani sur l’invalidité des nouveaux sacrements comme l’a démontré d’une façon irréfutable – et jamais réfuté ! – le Comité international Rore Sanctifica (CIRS).
Ils ont volontairement publié dans leur revue des arguments gravement erronés (qui furent d’ailleurs en partie ceux-là mêmes utilisés par les modernistes pour justifier en 1968 le changement opéré) pour défendre la validité du nouveau rituel et ainsi soutenir la légitimité de l’église Conciliaire et de ses pontifes.
Malgré les réfutations factuelles et argumentées qui leur ont été adressées (www.rore-sanctifica.org), ils ne sont JAMAIS revenus sur leurs erreurs, préférant soutenir la thèse fallacieuse et impie du « sacerdoce probable » développée par Mgr Fellay.
C’est pourquoi, s’ils venaient aujourd’hui à refuser l’accord entre le Vatican et la FSSPX sans revenir sur leurs graves erreurs qui ont contribué grandement à cette progressive et insidieuse intégration de l’œuvre de Mgr Lefebvre au sein de l’église Conciliaire dépourvue de sacrements valides, les dominicains d’Avrillé confirmeraient, de fait, le double-jeu qui a été le leur (en lien avec le très douteux Mgr Williamson, au blason épiscopal rose-croix) : celui de vouloir neutraliser la « réaction » afin de la maintenir dans des positions qui ne sont absolument pas catholiques !
À ce propos, nous vous invitons à lire ou relire le dossier de nos confrères de Résistance-Catholique, sur les troublantes connections entre les dominicains d’Avrillé et certains cercles mondialistes et maçonniques dans lequel ils exposent et dénoncent les trois thèses fallacieuses défendues par le monastère dominicain (réputé théologiquement sûr !) et sa revue Le Sel de la Terre :
– L’authenticité du 3e secret de Fatima publié par le Vatican le 26 mai 2000 (Le Sel de la terre n°53, été 2005) ;
– La validité du nouveau rituel de consécration épiscopale (Le Sel de la Terre, n°54, automne 2005) ;
– La thèse d’une hiérarchie pour deux Églises (Le Sel de la Terre n°59, hiver 2006-2007).
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”,
par les Dominicains de Avrillé
Table des matières
Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés
I – L’œuvre de Mgr Lefebvre
I.1. L’œuvre de Mgr Lefebvre jusqu’en 1988 : maintenir la Tradition
I.2. Continuer cette œuvre après sa mort
Dans l’esprit de foi
Il est nécessaire de mettre la Tradition à l’abri des influences modernistes et libérales
La Tradition ne peut continuer qu’avec un ou plusieurs évêques
Ces évêques doivent avoir les mêmes principes que Mgr Lefebvre pour continuer l’œuvre dans le même esprit
Le sermon du 29 juin 1987
I.3. Attitude de Rome
Réaction de Rome
Mgr Lefebvre tente un accord avec réticence
Les bons fidèles craignaient cet accord
Visite du cardinal Cagnon : approbation de l’œuvre
I.4. Mgr Lefebvre refuse tout accord avec Rome
Le désaccord vient d’une opposition de doctrine avouée par les évêques
Le désaccord vient non seulement des erreurs doctrinales mais aussi de la perversité de leur esprit …et de leur manque d’honnêteté
Rome ne veut pas la même chose que lui
Mgr Lefebvre se donne les moyens de continuer l’œuvre : « opération survie », les sacres de 1988
I.5. D’autres acceptent un accord avec Rome
Ils pensent trouver dans cet accord les garanties suffisantes pour continuer la Tradition : confiance sans fondement
Les communautés qui ont passé cet accord avec Rome
On les appelle « ralliés »
II – Les intentions
II.1. Mgr Lefebvre
Remettre en honneur la Tradition et lui redonner dans l’Église la place qui lui est due
Examiner si Rome veut sincèrement protéger la Tradition
II.2. Rome
Réconciliation et non pas reconnaissance de la Tradition comme voulait Mgr Lefebvre
Faire rallier tous les traditionalistes à Rome
Pleine communion ecclésiale qui inclut la collaboration des ralliés sous la direction des évêques diocésains et qui détermine la composition de la commission romaine
C’est autre chose qu’une question de rite : toute une conception de l’Église
Dans ce cadre deux tendances sont manifestes
Il faut penser comme tous les évêques, reconnaître l’orthodoxie de la nouvelle messe et adhérer au concile Vatican II
Fidélité à la Tradition vivante
II.3. Les ralliés
Ils ne veulent pas pleinement suivre la Tradition
Être dans l’obéissance
Être dans la légalité (situation canonique régulière) ; être relevé des censures
Être dans l’Église ; l’Église est visible
Travailler dans l’Église à ce que la Tradition retrouve son droit de cité
C’est l’Église qui sauve et non nous qui sauvons l’Église
S’opposer à l’esprit de parti et au schisme
Garder ses amitiés ; faire cesser les divisions et les souffrances
S’ouvrir
Favoriser l’apostolat et l’afflue des vocations en ôtant les obstacles apparents de schisme
Être un pont entre Rome et la Fraternité Saint Pie X
Les laïcs sont incompétents pour juger de certaines choses religieuses ; ils prennent leur bien où ils peuvent
III – Les termes de l’accord : le Motu proprio du 2 juillet 1988
III.1. Un fondement sentimental et non doctrinal
III.2. Première conséquence : l’œcuménisme liturgique
III.3. Deuxième conséquence : de l’œcuménisme liturgique à l’œcuménisme doctrinal
Dérive progressive
La pleine acceptation de l’œcuménisme pratiqué par Jean-Paul II
La pleine acceptation des principes sous-jacents à cette pratique
III.4. La réponse du pape Pie XI
III.5. Tradition vivante
Sens des mots
Novateurs
Infaillibilité
IV – Un accord pratique ?
IV.1. Attitude subversive
IV.2. Se soumettre volontairement aux autorités romaines : se mettre sous influence moderniste
IV.3. Intégrer la Tradition dans le système moderniste : le pluralisme
V – Confirmation : l’accord de Campos
Être reconnus par Rome
Le concile Vatican II « à la lumière de la Tradition »
La nouvelle messe
Avec le pape collaborer au combat contre les erreurs !
Omission de la profession publique de la foi
VI – Confirmation : l’Institut du Bon Pasteur
Les premiers membres
Réconciliation
La messe
Évolutionnisme et pluralisme
Conclusion
VII – La participation à la messe chez les ralliés
Un exemple
Quelques notions
Retour sur l’exemple
Application : participation à la messe chez les ralliés
Un autre exemple à méditer
Un attrape-nigauds ! ce que Mgr Lefebvre pensait de la messe chez les ralliés ou de la messe à indult
Mgr Lefebvre aux fidèles du Canada
VIII – Conclusion
VIII.1. Rectitude d’intention
VIII.2. Vivre de foi, non de sentiment
VIII.3. Soumission à la sagesse, vraie obéissance
Soumission à la sagesse divine
Obéissance
Conseils des saints
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”, par les Dominicains de Avrillé