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« Dieu n’existe pas », affirme Bergoglio…

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« Dieu n’existe pas », affirme Bergoglio… pour rire ?

 

Par Osko de Radio Cristiandad

 "pape" françois étourdit beaucoup de monde en déclarant que les athées sont de bons éléments

Cela est-il à ranger dans la Théorie du « Sommeil de Dieu » ?

 

 

 

En bref :

 

Hier, très tôt, Fabian Vazquez (1) faisait part de cette déclaration de Bergoglio :

« Dieu n’existe pas : ne vous en scandalisez pas ! Dieu n’existe pas de cette manière-là ! Ce qui existe, ce sont le Père, le Fils et le Saint-Esprit : des personnes, pas une idée en l’air !… Ce Dieu-spray n’existe pas ! Ce qui existe, ce sont les personnes ! »

 

Nous nous bornerons à citer, à cet égard, un commentaire publié par quelqu’un qui critique Bergoglio avec modération (du moins avec plus de modération que votre serviteur) :

« Voyons cela. Le successeur de Pierre — chargé, par le Verbe de Dieu fait homme Lui-même, de « confirmer ses frères dans la foi » — a déclaré ce que vous venez de lire. Si nous prenons cela au pied de la lettre, nous devons dire que le pape François ne croit ni en la nature divine, ni en les essences divines. « Ceci », en quoi il ne croit pas, ce ne serait donc qu’un « spray ». Il ne croit qu’en les personnes divines — le Père, le Fils et le Saint-Esprit —, mais il ne croit pas en la Trinité en tant qu’unité de personnes. »

« Je conseille aux thomistes de ne pas même essayer de lui parler de l’Ipsum Esse Subsistens, car comme il ne comprend pas cette notion, il ne manquera pas de leur accorder en retour une de ces miséricordes dont il a le secret. »

 

 

De même, sur un autre blogue, on trouve cet intéressant commentaire :

« “Dieu n’existe pas : je l’ai dit, je l’ai dit”, pourrait répéter tout seul dans le secret de ses appartements cet individu dont l’élection pose un problème de légitimité toujours irrésolu, puisque depuis la publication du livre d’Antonio Socci, la question de ladite légitimité ne cesse de diviser les canonistes et de susciter de vives controverses. Pour répondre à une question de ce niveau, il est permis d’avancer que le Siège est vacant, étant donné un cas aussi notoire de démence et quelle qu’en soit la cause, psychique ou spirituelle.

caricature "pape" François par Wilson Santos

« Il se trouve que, dans le fracas des tempêtes ou la tranquillité d’un calme crépuscule, à un moment quelconque et au milieu des souffrances qu’il endure en assistant aux horreurs répandues par Rome sur le monde, le catholique parvient à capter les accents d’une algarade céleste annonçant la Main prompte à s’abattre : « Quousque tandem abutere, Francisce, patientia nostra ? » (2) Et aucun blasphème de Bergoglio ne parviendra à écarter cette Main. »

 

 

Précisons que ces deux blogues sont gérés par des personnes qui n’ont pas la même position que nous vis-à-vis de Bergoglio et de l’église Conciliaire ou officielle.

Ces personnes ne sont pas disposées à admettre facilement la possibilité que l’Église soit en état de Sede Vacante.

Néanmoins, comme on peut s’en rendre compte, elles ne sont pas sans remarquer l’hérésie du personnage déguisé en pape.

Or, dans un article précédent, nous traitions ce personnage de « vieux possédé », et nous pensions que cela pourrait en scandaliser plus d’un.

Mais nous subodorons qu’à mesure que le temps passe, il se trouve de moins en moins de gens pour se scandaliser de ce que nous disons et, plus encore, de ce que dit Bergoglio.

Ceci est un reflet fidèle de la réalité :

Hier, c’était : « Il n’Existe Pas de Dieu Catholique ».

Aujourd’hui, c’est : « Dieu n’Existe Pas ».

L’une et l’autre affirmations (prises dans leur contexte) équivalent à une évidente profession anti-trinitaire.

 

Hier, nous insultions un faux pape hérétique et blasphémateur.

 Le Clown Blanc Bergoglio

 

Aujourd’hui, il nous semble important de répéter que nous assistons à la fausse phase finale d’une guerre totale contre la FOI CATHOLIQUE, hors de laquelle nul ne peut se sauver.

 

L’offensive ainsi exposée, dont Bergoglio est à la fois le chef et l’exécuteur, laisse transparaître une évidente accélération du processus en question.

Le démon sait qu’il lui reste peu de temps.

Ceux qui le servent le savent aussi.

Le blasphème vulgaire du « SPRAY », émis par cet apostat dément et décrépit, va tomber à plat, selon l’antique sentence annonçant l’Avènement du Christ en Gloire et en Majesté.

 

Car « De Dieu, On ne se Moque Pas. »

 

 

 

 

 

***

 

 

 

Source : Osko: ¿Será Esto Parte Del Sueño de Dios? | Radio Cristiandad

 

Traduction Le CatholicaPedia.net

(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

 


[1] Directeur de Radio Cristiandad

[2] Ndt : « Jusqu’à quelle extrémité comptes-tu abuser de Notre patience, François ? »

Communiqué de l’Institut Mater Boni Consilii concernant l’élection de Jorge M Bergoglio

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Communiqué de l’Institut Mater Boni Consilii concernant l’élection de Jorge M Bergoglio
– 15 mars 2013 –

 

   Le communiqué de notre Institut daté du 11 février se terminait par ces mots : “Seule l’élection d’un vrai successeur de Pierre pourrait mettre fin à cette crise d’autorité, mais la composition du corps électoral laisse présager – à vue humaine – que la nuit sera encore plus profonde, et l’aube lointaine”. Hélas la réalité – avec l’élection du 13 mars dernier – est allée plus loin que les prévisions les plus sombres. Si le Grand Orient d’Italie, et même plus cette organisation maçonnique très particulière qu’est le B’naï B’rith (Fils de l’Alliance), se sont vivement réjouis du choix fait en la personne de Jorge Mario Bergoglio, le monde catholique au contraire pleure non seulement parce qu’il est encore privé d’un vrai, authentique et légitime successeur de Pierre et vicaire du Christ, mais aussi parce que – en châtiment pour nos péchés et pour d’autres motifs insondables – celui qui occupe le Siège Apostolique est un véritable ennemi intérieur de l’Église catholique.

   En ce moment historique, et en attendant des actes objectifs qui puissent confirmer ou – plaise à Dieu – démentir les lignes précédentes, dans notre état de simples baptisés, confirmés ou prêtres de l’Église catholique, nous entendons professer la foi catholique, proposer quelques réflexions, et lancer un appel.

   Avant tout, les membres de l’Institut désirent renouveler ici publiquement et personnellement la profession de foi catholique du Concile de Trente et du premier Concile du Vatican (DH 1862-1870) et le serment antimoderniste (DH 3537-3550), et de façon particulière leur foi “dans le primat et le magistère infaillible du pontife romain”, vicaire du Christ et successeur de Pierre, auquel le Christ a confié les clés du Royaume des Cieux, la charge de confirmer ses frères dans la foi et de paître Son troupeau ; primat que le Christ a confié seulement à Pierre, et non pas de façon stable à tout le collège apostolique et encore moins au “collège épiscopal”.

   Les événements récents (renonciation de Joseph Ratzinger, élection de Jorge M. Bergoglio) ont aussi rappelé le rôle de Dieu et celui des hommes durant la vacance du Siège et l’élection d’un nouveau Pontife. Durant la vacance du Siège, l’autorité demeure toujours dans le Christ, chef invisible de l’Église, et seulement “in radice” dans le corps moral qui peut désigner le nouveau Pontife.

   Ce corps moral élit un candidat avec des actes humains propres à chacun des électeurs ; la personne élue doit ensuite accepter, non seulement en parole, mais dans la réalité, le Souverain Pontificat, ce qui exige la volonté objective et habituelle de réaliser la fin même du Pontificat et le bien de l’Église. Cette acceptation et cette intention sont elles aussi des actes humains, soumis à toutes les imperfections comme tout autre acte humain. Ces actes humains – des électeurs et de l’élu – constituent l’aspect matériel de la papauté ; papauté qui cependant ne vient pas des hommes, mais du Christ Lui-même qui gouverne, sanctifie, enseigne l’Église, de façon stable, “avec” son vicaire : “je serai avec vous…” (Matth. XXVIII, 20). Le Christ communique donc, à celui qui a été canoniquement élu et qui a réellement accepté, l’autorité qui le constitue formellement Souverain Pontife.

   C’est par un simple acte volontaire de renonciation que Joseph Ratzinger a refusé l’élection qui avait été faite en sa personne, rendant ainsi le Siège totalement vacant ; il a ainsi rendu explicite l’absence chez lui de la volonté de gouverner réellement “avec le Christ”, absence qui l’empêchait, depuis le début, d’être Pape. Analogiquement, c’est avec un acte de sa volonté que Jorge M. Bergoglio n’a pas objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat, au point que le soir de l’élection il s’est lui-même présenté, non comme Pape, mais comme “l’évêque de Rome”, selon la nouvelle doctrine de la collégialité épiscopale. Tous les actes de Jorge M. Bergoglio dans son archevêché de Buenos Aires attestent, sans aucun doute possible, qu’il considère son rôle en référence au dialogue interreligieux, spécialement avec le judaïsme, et à l’œcuménisme (jusqu’à se faire bénir et imposer les mains par les hérétiques), dans l’union fraternelle avec tous les ennemis de l’Église et du Christ, et dans le plus total mépris de la Tradition dogmatique, liturgique et disciplinaire de l’Église catholique. Une telle intention publique et habituelle est incompatible avec le fait d’être Pape, c’est à dire d’être una cum le chef invisible de l’Église, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Voilà l’analyse qu’il nous semble de notre devoir de faire pour comprendre la situation actuelle de l’autorité dans l’Église.

   Adressons donc notre prière à Notre-Seigneur : “Domine, salva nos, perimus” ! (Matth. VIII, 23). Seul le Seigneur, dans la médiation de Marie, peut sauver et sauvera Son Église. Nous en appelons à tous les catholiques qui se sentent encore liés à la tradition de l’Église, afin qu’ils ouvrent les yeux et rompent courageusement la communion avec ceux qui ne peuvent pas représenter Jésus-Christ et son Épouse, l’Église catholique.

   Prions enfin les saints apôtres Pierre et Paul pour qu’ils protègent l’Église romaine, et les pontifes saint Pie V et saint Pie X pour qu’ils soutiennent par leur intercession tous les défenseurs de l’Église de ses ennemis intérieurs et extérieurs.

Verrua Savoia, 15 mars 2013.

 

Lire le communiqué sur le site Sodalitium.eu.

 


Note du CatholicaPedia :

Nous avons reçu ce message d’un lecteur :

Voir le communiqué de l’Institut Mater Boni Concilii :
« Non seulement Bergoglio n’est pas pape », dit-il, « parce qu’il ne veut pas
l’être mais Ratzinger ne l’a jamais été car il n’a pas voulu se charger lui
non plus du rôle de Pape » ! Mgr Fellay ne peut plus décemment continuer son
dialogue avec Rome si tant est que Bergoglio le souhaite ! Radio Notre Dame
déclare que la parenthèse Benoît 16 est refermée en ce qui concerne la messe
et la liturgie…
Bien à vous

Il est navrant de constater dans ce communiqué de Verrua que pas un mot ne soit dit sur l’invalidité sacerdotale de tous ces personnages qui constitues l’église [secte] Conciliaire !

Venant d’un Institut “non una cum”… dire de Josef Ratzinger « absence qui l’empêchait, depuis le début, d’être Pape » ou de Bergoglio « c’est avec un acte de sa volonté que Jorge M. Bergoglio n’a pas objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat » est déplorable ! Ce ne sont que des niaiseries… par rapport à la grave question de la disparition du sacerdoce (visible).

Pour les abbés de Verrua, qui ont fait des études de théologie, ne pas se soucier de ce fait évident est de l’aveuglement ! (Aveuglement spirituel ! Aveuglement péché ? Aveuglement cause du péché ? Aveuglement effet du péché ? Je ne sais, Dieu le sait…) Est-ce la thèse ?…

S’il y a bien UN motif pour être non una cum”… Franciscus c’est bien qu’il ne peut pas être pape (laïc ou diacre apostat ! et hérétique s’étant mis hors de l’Église lui-même !) et non pas parce qu’il ne veut pas se considérer comme pape !!! n’ayant pas « objectivement l’intention de gouverner l’Église en acceptant le Souverain Pontificat ».