Archive for the ‘François 1er’ tag
VATICAN D’EUX : canonisations, béatifications, synode & Cie…
Une tempête impétueuse a soufflé dimanche dernier dans beaucoup de chapelles d’une certaine tradition…
Des ralliés (n’en parlons pas !) aux tradis de la fausse-majorité-Traditionnelle (F$$PX) jusqu’aux tradis Verruenien (1) se sont “scandalisés” dimanche 19 octobre 2014… suite aux derniers événements que la secte conciliaire concluait en ce « Dimanche des conviés aux noces » (pour nous ! pas pour Eux…).
Ce dimanche nous présentait pourtant, selon Dom Pius Parsch, une magnifique image de l’automne liturgique (dans l’Église catholique !) :
Nous voyons une salle de festin brillamment éclairée, où sont assis de nombreux invités, revêtus d’habits d’une blancheur éclatante. Dans l’attente, tous portent leurs regards vers la porte qui doit s’ouvrir à tout instant pour laisser entrer le Roi venant rendre visite aux invités ; les invités, c’est nous, chrétiens ; la blanche robe nuptiale, c’est le vêtement baptismal de la filiation divine ; le roi qui arrive, c’est le Seigneur dont le retour est attendu. La grande préoccupation de notre vie doit être de posséder la blanche robe nuptiale ; c’est l’homme nouveau que nous devons revêtir dans la vraie justice et sainteté (Épître) ; c’est l’accomplissement de la volonté de Dieu (Oraison).
Et nos bons tradis n’avaient aux oreilles et à la bouche qu’une préoccupation…
Ce 19 octobre restera dans l’histoire comme le jour où Jean-Baptiste Montini aura été béatifié par le pape François…
La F$$PX s’étant fendue de quelques communiqués :
Du côté de l’Institut (IBMC) même combat !… Certains prêtres allant jusqu’à célébrer leur Sainte Messe « en réparation de ces scandales »…
Les abbés anti-ralliéristes de la fausse résistante, eux aussi, ne sont pas en reste… qui comme l’ineffable R.P. Pierre-Marie des BonsHommes d’Avrillé, alias “Dominicus” dans un « Tiré à Part, du 18 octobre 2014 » de la Revue « Sel de La Terre » écrit :
Et bien NON ! mes chers Fidèles semper idem…
Nous sommes d’Église Catholique ! (corps mystique de Jésus-Christ)
NON !
Parce que cette “église” est une des nombreuses sectes qui pullulent autour de l’Église catholique…
Mais N’est Pas l’Église catholique !
Elle s’est définie elle-même : « église Conciliaire »…
« dimanche 19 octobre, jour de tristesse,
jour de deuil…marqué malheureusement d’une pierre noire »
Uniquement pour Tous les « Una Cum »…
Pour le Fidèle semper idem…
Sur mon agenda, sur le calendrier de l’histoire de l’Église Universelle, de l’Église catholique au 19/10/2014 :
(Dix-neuvième Dimanche après la Pentecôte)
(Saint Pierre d’Alcantara)
[1] Verrua Savoia (français : Verrue) est une commune italienne de la province de Turin dans la région du Piémont en Italie, siège de l’Institut Mater Boni Consilii, société religieuse fondée par quelques prêtres italiens de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X de Mgr Lefebvre sortis de ladite Fraternité en décembre 1985.
Fraternité d’espions ou clercs “Harry Potter” ?
James Bond 666 ou OSS Triple Zéro ?
Fraternité d’espions ou clercs “Harry Potter” ? James Bond 666 ou OSS Triple Zéro ?
Le diable est malin ! Il réussit à nous faire rire alors que nous devrions pleurer en voyant le spectacle de nos prêtres soi-disant de tradition….
On dit que le rire est bon pour la santé et je le crois volontiers à condition qu’il ne soit ni niais, ni moqueur, ni sarcastique ou irrévérencieux…
Dans les années 68-72 post-conciliabule Vatican II, certaines sommités mitrées de l’époque allaient répétant que “Dieu est humour”…histoire de se rassurer sans doute au cas où toutes leurs intrigues tourneraient au vinaigre….
Lorsque j’ai lu ce petit post sur un site de la “Résistance Interne” (chacun aura compris !) j’ai cru que mes yeux me trompaient après une longue, pieuse et attentive lecture (réponse à Calixte !!!) et donc forcément fatigante…mais je dus me rendre à l’évidence : la photo en question était bien réelle et l’auteur du post m’assurait que cela était officiel et avait été dument vérifié.
Nos (?) abbés sont modernes et ont des messageries WhatsApp (je ne sais pas ce que c’est !). C’est le cas de l’Abbé Wailliez qui a donc mis une superbe photo de sa petite personne sacerdotale.
L’effet est saisissant !! Entre James Bond 007 et OSS 117, à moins que l’on ne penche plutôt pour tel ou tel mage noir, comme Aleister Crowley ou le trop fameux Anton Lavey….je respecterai alors le choix de chacun !!!…
Bien sûr les esprits médisants ou rétrogrades (= catholiques !?) y verront une image trop floue, trop bizarroïde ou dégradée du prêtre, ainsi déguisé en petit homme noir (ou gris ?), d’autant que le bonhomme, aimant apparemment le mystère et se cachant, de trois-quart, sous un large chapeau (de sorcier ?), laisse cependant apparaitre un signe hautement initiatique et visible de son appartenance à une secte : un joli portrait, à gauche (sur la photo !) d’un crucifix flamboyant, d’un certain anti-pape, plus connu de nos lecteurs sous le nom de François….
Mais laissons à nos chers résistants la parole en lisant leur petit commentaire qui devrait se passer de commentaires (de ma part) mais que voulez-vous, je n’ai pas résisté ! Mea culpa! Mea maxima culpa!
Abbé Waillez (sic!) : photo officielle de sa messagerie WhatsApp
(les mises gras, en couleurs et les ajouts sont de notre fait ! P. Legrand)
Source : Avec l’Immaculée.
Cette photographie est la photographie officielle que l’abbé Waillez (re-sic !), supérieur du District de Belgique, utilise pour sa messagerie WhatsApp. On voit le pape François à l’arrière dans le cadre. Cette façon de se cacher les yeux nous a personnellement indisposés. (Non ? vous êtes trop sensibles mes chers pères !) Nous avons trouvé cela tellement bizarre que nous avons cru au début à un canular et à une fausse photographie. Mais non. Après vérification, elle est authentique !
Deux interprétations sont possibles :
– Soit c’est une facétie (Le littré : Discours, acte qui tient le milieu entre la plaisanterie et la bouffonnerie) complètement déplacée (donc une bouffonnerie !?). Mais cela paraît un peu étrange, pour un supérieur de District, de se livrer à de tels enfantillages…
– Soit cette photographie qui est envoyée à ses correspondants recèle un message caché pour les initiés. Rappelons qu’il a usurpé (Oh! le vilain !!) l’identité de l’abbé Pinaud en prenant une fausse adresse email à son nom…
Qui est l’abbé Waillez (re-re-sic !) ? Signifie-t-il par cette photographie que nous ne savons pas vraiment qui il est ? Finira-t-il comme l’abbé Thuillier ? (aurait-il mal fini ???!!! il n’a fait que rejoindre sa véritable “hiérarchie” !) Celui-ci est à présent secrétaire particulier du Cardinal Vingt-Trois. (en voilà un qui a su monter en grade !!!) L’abbé Waillez (re-re-re-sic !) finira-t-il secrétaire particulier de l’archevêque de Bruxelles ? (Dieu seul le sait….et Satan peut-être ! Hihi !)
Source : Avec l’Immaculée : http://aveclimmaculee.blogspot.fr/2014/03/abbe-waillez-photo-officielle-de-sa.html
Vatican d’Eux : PÎTRE PUBLIQUE
Et un sédévacantiste n’est pas pris au sérieux en tant que catholique ?
… vos autem fecistis eam speluncam balatronum
« N’est-il pas écrit : Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations ? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. »
(Marc 11:17)
Source : the Daily Mail
Mise à jour :
Pour les Naïfs qui pourraient croire que c’est un photo-montage… voir la page du photographe officiel du Vatican : Fotografia Felici : http://www.fotografiafelici.com/index.php?page=scripts/inserimento&num_file=268&cerimonia=10772%2005%20Udienza%20Generale%20novelli%20sposi&data=2013-11-07%2016:58:05&cod=496&language=ITA&n_page=6#foto
[ngg_images gallery_ids= »9″ display_type= »photocrati-nextgen_pro_slideshow »]
Vatican d’Eux : La pantalonnade de consécration au Cœur Immaculée de Marie… doublée d’une escroquerie
En tant que “rallié” et pas trop partisan de François Ø (Bergo(go)glio ne veux pas qu’on l’appelle François Ier !!!) Yves Daoudal ne décolère pas et revient (par deux fois !) sur son blogue sur ce qui s’est passé dimanche 13 octobre 2013, à Rome…
« Tromperie », « déviation doctrinale », « sabotage », « pantalonnade »… les mots d’Yves Daoudal sont durs…mais sont peut-être encore en dessous de la réalité !!! escroquerie conciliaire…pensons-nous !!! (Les accentuations sont de nous ; attention ! le langage qui suit est conciliaire…)
L’erreur
Je reviens sur ce qui s’est passé dimanche à Rome, parce que c’est important.
Doublement important.
D’une part il y a la tromperie.
Des communautés catholiques, des épiscopats entiers, à travers le monde, ont accompli dimanche des actes de consécration au Cœur Immaculée de Marie « en union avec le pape » à Rome. Parce que Radio Vatican avait annoncé (ICI) un acte de consécration. Avant de souligner trois jours plus tard qu’il ne s’agissait pas de consécration et que le Vatican insistait sur ce point. Mais c’était trop tard. Après coup, l’agence Zenit a osé tenter de faire croire qu’il s’agissait d’une « véritable consécration » même si le mot n’était pas prononcé. Mais il ne s’agissait pas seulement du mot. La prière prononcée par le pape n’avait rien à voir avec une consécration. Par elle on ne consacrait rien, on ne donnait rien, on ne promettait rien à la Sainte Vierge. On disait uniquement qu’on avait confiance en elle…
D’autre part et surtout il y a la déviation doctrinale qui sous-tend cette tromperie.
Les théologiens qui ont repris le dessus après avoir été marginalisés par Jean-Paul II et Benoît XVI ont réussi à imposer leur thèse que l’on ne peut consacrer ce que l’on est et ce que l’on a qu’à Dieu seul. Ils l’ont réussi parce que le nouveau pape est de leur bord. (Voir aussi Sandro Magister, qui a enfin complètement compris : Martini pape. Le rêve devenu réalité.)
À priori la thèse est correcte, et même évidente. On ne peut « consacrer » qu’à Dieu. Mais c’est oublier toute la tradition, c’est oublier qu’il y a une Mère de Dieu. C’est oublier (volontairement) que toute grâce passe par la Mère de Dieu, et que l’on ne va à Dieu que par sa Mère. (En gras par Y.D.) C’est rejeter tous les théologiens de la doctrine mariale, de saint Jean Damascène à saint Maximilien Kolbe.
Ce n’est pas sauver le « christocentrisme » que de nier la possibilité d’une consécration à Notre-Dame. C’est au contraire faire un affront au Christ. Car tout ce qui honore Marie rejaillit en gloire christique. Non pas que l’on puisse ajouter à la gloire du Fils du Père, puisqu’elle est infinie, mais l’on peut ajouter à la gloire précisément du Christ venu sur terre pour nous sauver. Tout ce qui fait honneur à Marie rehausse la gloire du Christ. Tout ce qui honore la Mère est à l’honneur de son Fils. Tout ce qui est consacré au Cœur Immaculé de Marie est mis en dépôt éternel dans le Cœur du Christ, le Sacré Cœur.
Il y a une totale communion entre le Cœur Immaculé et le Sacré Cœur (c’est ce que nous disions hier…« Les très Saints Cœurs de Jésus et de Marie sont irrémédiablement liés ») : ce qui est consacré à l’un est ipso facto consacré à l’autre. Elle est la Mère de Dieu.
L’épisode de dimanche nous ramène (une fois encore) aux années 60. Quand les théologiens à la mode expliquaient qu’au nom du christocentrisme il ne fallait pas qu’il y ait un document spécifique du concile sur la Sainte Vierge, puis qu’il ne fallait pas la proclamer « Mère de l’Église ». On parle souvent de Paul VI à propos de François, et lui-même évoque souvent Paul VI. Mais Paul VI est le pape qui, à la dernière session du concile, face aux théologiens à la mode et à la majorité des évêques qui les suivait, proclama solennellement Marie Mère de l’Église.
Le « christocentrisme », c’est l’argument des protestants contre toute la théologie mariale : il est bien évident qu’il n’y a pas pu y avoir d’assomption de la Sainte Vierge, puisque personne d’autre que le Christ ne peut s’élever au ciel corps et âme ; il est bien évident qu’il ne peut pas y avoir d’Immaculée Conception, puisque seul le Christ a pu avoir une conception immaculée ; il est bien évident qu’on ne peut consacrer qu’au Christ, puisque seul le Christ est Dieu.
« Après cela il faut dire, en vérité, avec les saints : De Maria nunquam satis : de Marie jamais assez » (Saint Louis Marie Grignion de Montfort).
* * *
La veille, Yves Daoudal avait déjà lancé les premières salves :
Totale confusion
Je ne voulais pas parler du sabotage (parce que c’était simplement un de plus) de la journée mariale qu’avait voulue Benoît XVI le 13 octobre dans le cadre de l’Année mariale, entre le bastringue années 60 revu télé-Berlusconi années 80, qui était censé être un « Rosaire », et une prière mariale qui était censée être un acte de consécration au Cœur Immaculé de Marie, sans l’être tout en l’étant…
Mais la vérité oblige.
Je ne sais pas pourquoi certains ont absolument voulu que la prière devant la statue de Notre-Dame de Fatima fût une « consécration ». Ce fut annoncé comme tel par Radio Vatican et l’agence Zenit. Toutefois, si Radio Vatican, le 8 octobre, annonçait « Le pape François va consacrer le monde au Cœur immaculé de Marie », la même radio du Vatican disait trois jours plus tard que le pape « prononcera un “acte de confiance” à la Vierge » et précisait : « Au Vatican, on insiste pour dire cependant que cette démarche du pape n’est pas à proprement parler une “consécration du monde au cœur immaculé de Marie”. »
Ce lundi, il n’y a donc aucune allusion à une quelconque consécration sur le portail News.va, et il faut aller voir l’article sur la messe d’hier, intitulé « Le Pape : “Que la Vierge Marie aide les hommes à se laisser surprendre par Dieu” », pour trouver in fine la « prière de confiance » dite par le pape.
Ce lundi on peut lire d’autre part sur le site de l’agence Zenit un très long texte, intitulé « Une véritable consécration du monde au Cœur immaculé de Marie », qui prétend expliquer que François a fait comme ses prédécesseurs en utilisant en italien l’expression « acte de confiance » (affidamento) qui veut dire en fait « acte de consécration ». L’agence Zenit ne peut toutefois pas gommer complètement le fait que Benoît XVI et Jean-Paul II parlaient de « consécration » (en italien) – mais elle ose le faire pour l’acte de Pie XII en 1942.
Or bien entendu Pie XII avait utilisé, en italien, le mot de « consécration ». Et Benoît XVI aussi. Quant à Jean-Paul II, il avait dit 14 fois le mot consacrer ou consécration (oui, en italien), dans son acte du 25 mars 1984.
Donc il est totalement faux de prétendre que François a fait comme ses prédécesseurs et qu’il aurait bel et bien consacré le monde au Cœur Immaculé de Marie même s’il n’a pas employé le mot (ni celui de « monde », du reste).
Le plus grave n’est pas dans cette pantalonnade où l’on tente de faire prendre des vessies pour des lanternes au bon peuple chrétien (conciliaire, commence par c**) (et ça marche, si j’en crois certaines réactions). Le plus grave est que François n’a pas fait d’acte de consécration parce que les théologiens à la mode ont décidé qu’il ne pouvait pas y avoir de consécration à la Vierge. C’est ce que nous apprenait Radio Vatican après son brusque retournement : « Mgr Rino Fisichella a ainsi expliqué à I.MEDIA qu’il existait un “débat théologique très fort” sur la signification du terme “consécration” et qu’il avait été abandonné par Jean Paul II après son Encyclique Redemptoris mater de mars 1987. Au préalable, en mai 1982 à Fátima, puis en mars 1984 au Vatican, le pape polonais avait publiquement prononcé des actes de consécration du monde à la Vierge Marie. »
Donc Jean-Paul II n’avait pas encore compris, avant 1987, le véritable sens du mot « consécration ». On ne peut pas lui jeter la pierre, puisque aucun pape avant lui ne l’avait compris non plus, y compris ce pauvre Pie XII. (Hi, hi, hi…il est drôle cet Y.D. !!!)
Mais ce qui est stupéfiant est que, après cela, Benoît XVI ne l’ait pas compris non plus, lui, qui, le 12 mai 2010, à Fatima, a consacré les prêtres au Cœur Immaculé de Marie…
Bref, enfin vint François, qui allait rompre avec les erreurs de ses prédécesseurs…
N.B. 1 : Les théologiens dont il est question ne savent pas (rejettent) ce que veut dire « Mère de Dieu ».
N.B. 2 : Si vous entendez crier saint Louis Marie Grignion de Montfort et saint Maximilien Kolbe (et le bienheureux Jean-Paul II si lié à l’un et à l’autre), c’est normal. On leur arrache, on veut nous arracher, la vraie dévotion à Marie, canal du salut.
Sources :
L’erreur : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/10/15/l-erreur-5196999.html
Totale confusion : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/10/14/totale-confusion-5196085.html
* * *
Le “Pape” émérite Benoît XVI a accueilli la statue de Notre-Dame de Fatima…
…et Yves Daoudal de rajouter sur son blogue :
Finalement…
Il y a peut-être eu une consécration papale du monde au Cœur Immaculé de Marie…
Les journaux portugais avaient annoncer ceci :
La Statue de Notre Dame de Fátima se rend à Rome à la demande de deux papes
Le 13 Octobre, devant l’image de Notre-Dame de Fátima, le Pape Francisco fera, à Rome, la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie.
Lusa 18h59, 12 Août, 2013
L’image de la Vierge Marie va quitter la Chapelle des Apparitions et va se rendre à Rome pour la Journée Mariale organisée par le Conseil Pontifical pour la Promotion de la Nouvelle Évangélisation.
Papes Benoît et François ont demandé que l’image de Notre-Dame du Rosaire, vénérée dans la chapelle des Apparitions dans le sanctuaire de Fátima, soit l’icône de la Journée Mariale, qui aura lieu à Rome.
La première demande est venue du pape émérite Benoît XVI, et plus tard renforcé par l’actuel chef de l’Eglise catholique. C’est la première fois que l’image sera absente d’un grand pèlerinage, a déclaré le recteur du Sanctuaire de Fátima.
« On ne dit pas non au pape n’est pas », a déclaré l’évêque de Leiria-Fátima, António Marto, donc, « en réponse à la volonté du Saint-Père Francisco (…) l’image sera à Rome les 12 et 13 Octobre à la Journée Mariale organisée par le Conseil Pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation », selon un communiqué de presse du sanctuaire.
Le 13 Octobre, avec l’image de Notre-Dame, le pape Francisco fera la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie.
La réunion est un événement majeur dans le calendrier des célébrations du pape prévue dans l’Année de la Foi, et réuniront à Rome des centaines de mouvements et institutions liées à la dévotion mariale.
Dans une lettre adressée à l’évêque de Leiria et Fátima, António Marto, le président du Conseil Pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, Rino Fisichella, a souligné que « toutes les spiritualités mariales ecclésiales » sont invitées au voyage que propose le Octobre 12, un pèlerinage au tombeau de l’apôtre saint Pierre, et le lendemain, à la célébration eucharistique présidée par le pape.
« C’est un vif désir du Saint-Père que la Journée Mariale peut avoir comme signe spécial l’une des icônes mariales les plus importantes pour les chrétiens du monde entier, et pour cela, nous avons pensé à la statue originale aimée de Notre-Dame de Fatima » Rino Fisichella a-t-il écrit.
Le Sanctuaire de Fátima a annoncé que l’image de Notre-Dame va quitter le Sanctuaire de Fátima, au Portugal, dans la matinée du 12 Octobre et revenir l’après-midi du 13.
« À sa place, dans la chapelle des Apparitions, sera placée la première image de la Vierge pèlerine de Fátima, qui trône dans la basilique de Notre-Dame du Rosaire depuis le 8 Décembre 2003. » dit la déclaration.
http://expresso.sapo.pt/imagem-de-fatima-viaja-ate-roma-a-pedido-dos-papas=f825719
Vatican d’Eux : Huitième Anniversaire de la mort de Roger Schutz
Nous avons reçu cet article d’un fidèle lecteur :
* * *
Huitième anniversaire de l’exécution du « Frère » Roger ?
Le 18 août 2005 (certains disent le 16 ?), le fondateur de Taizé est mort « assassiné. » La presse unanime en a fait le panégyrique. Valeurs actuelles (1), du 19, le qualifiait d’ « homme de paix ».
Sous le titre général L’Europe entière rend hommage à Frère Roger, le même numéro du Monde note la « tristesse de Benoît XVI… Entamant, mercredi 17 août, son audience publique hebdomadaire à Castel Gandolfo par quelques phrases : j’ai reçu une nouvelle très triste, terrible…Le frère Roger était pour moi surtout l’un des piliers de l’Europe qui s’unit. » Si Benoît XVI le connaissait le 17, l’assassinat du frère Roger a donc eu lieu au plus tard le 16. Pourquoi, la presse n’en a-t-elle parlé que le 19, en le datant du 18 ? Curieux, mais ce n’est pas la seule anomalie dans cette affaire !
L’homme d’un réseau.
« Le Frère (notons la majuscule) Roger, 90 ans, avait consacré toute sa vie…aux jeunes de plusieurs nationalités », indique Valeurs actuelles, qui poursuit : « Protestant, diplômé en théologie, Roger Schutz était arrivé de Suisse en août 1940, en Saône et Loire, dans le petit village de Taizé, non loin de Cluny, pour y fonder une communauté monastique œcuménique travaillant à la réconciliation des chrétiens. Taizé se trouvait…à quelques kilomètres de la ligne de démarcation. Frère Roger avait alors hébergé de nombreux réfugiés en particulier des juifs qui fuyaient la zone occupée…des milliers de jeunes venus du monde entier, protestants, catholiques, orthodoxes se retrouvaient chaque semaine à Taizé pour y prier. Les rencontres de Taizé organisées chaque année depuis 1978…attirent à chaque fois plusieurs milliers de jeunes (plus de 80 000 à Paris en 2002)… »
Le journal Le Monde (2) ne consacre pas moins de trois colonnes entières à la biographie du frère Roger, dans son numéro du 18 août ! On y apprend qu’ « en 1940…sa maison devient un refuge (qui) accueille sans distinction juifs, réfugiés politiques et résistants… Le 11 novembre 1942, à la suite d’une dénonciation, sa maison est fouillée de fond en comble par la gestapo…Roger Schutz est obligé de quitter Taizé et de repasser la frontière (a-t-il bénéficié de protections, pour n’avoir eu qu’une si faible sanction ?)…son projet communautaire va mûrir dans l’éloignement de Genève. C’est là que le rejoignent ses premiers compagnons de route suisses comme lui, Max, un théologien… » Le Monde n’en dit pas plus de Max Thurian qui eut, à n’en pas douter, avec Roger Schutz des liens qui ne sont pas au-dessus de tout soupçon. Curieux ce silence sur le compagnon du frère Roger, dont on ne nous dit nullement ce qu’il est devenu, alors qu’il a partagé sa notoriété des années durant.
On nous apprend par contre que le frère Roger est né le 12 mai 1915 en Suisse près de Neuchâtel d’un pasteur protestant suisse et d’Amélie Marsauche, appartenant elle aussi à l’église prétendue réformée. Sa mère est originaire de Bourgogne où il passe ses vacances ; de là son choix de Taizé. « En famille, on lisait Blaise Pascal et Angélique Arnaud. »
Ce que Le Monde omet de nous dire, c’est que les Schutz sont cousins des Schlumberger. Richissimes banquiers suisses, cette famille est notoirement connue en milieu protestant pour être de race israélite. Roger Schutz était donc lui aussi de « la race élue ». Quant à Max Thurian, c’est un cousin de Giscard, prétendu d’Estaing. Ce dernier, le jour de son emménagement à l’Élysée, s’est vanté à la télévision, de descendre du comte de Saint Germain. Celui-ci est un juif occultiste qui joua un certain rôle dans la préparation de la Révolution dite française.
Ce que nous apprend par contre Le Monde c’est que : « en 1948, (ayant fait une) demande à l’évêque d’Autun (d’utiliser l’église du lieu)…(Roger Schutz) reçoit une réponse chaleureusement positive signée du nonce apostolique…Mgr Angelo Roncalli. Ce fut le début d’une longue amitié Jean XXIII est l’un des hommes qui auront le plus compté pour le prieur de Taizé. »
Comment la demande insignifiante d’user de l’église d’un patelin obscur, qui plus est adressée à l’évêque d’Autun, est-elle parvenue au nonce apostolique à Paris ? Comment la requête d’un inconnu, protestant de surcroît, put-elle être prise en compte et recevoir une réponse chaleureusement positive du futur « pape » Jean XXIII ? Ceci ne peut se comprendre que si elle a cheminé par une filière occulte composée d’initiés, bref par un réseau d’amitiés au service de la Cause. Là est également l’explication du fait que « de 1962 à 1965, Frère Roger est l’un des observateurs les plus attentifs du concile Vatican II », en clair, un des protagonistes les plus actifs du brigandage qui substituera au catholicisme romain, l’œcuménisme judéo-maçonnique.
L’Europe judéo-maçonnique.
Et Le Monde de poursuivre : « Les rencontres avec Paul VI furent également confiantes. Au cours de son voyage dans la région lyonnaise, le 5 octobre 1986, Jean Paul II franchit le seuil de la communauté : « je me suis senti poussé par une nécessité intérieure » dira le pape ; ajoutant cette autre formule restée célèbre « on passe à Taizé comme on passe près d’une source ». Karol Wojtyla aimait le Frère Roger qu’il avait invité à prêcher dans son ancien diocèse de Cracovie devant 200 000 mineurs. » Ce qu’omet pourtant de dire Le Monde, c’est que Katz Wojtyla, dont le marranisme est notoire, vint de nombreuses fois à Taizé avec l’autorisation du gouvernement polonais communiste et que, lors de l’écroulement du mur de Berlin, les manifestants chantaient des cantiques appris à Taizé !
Ainsi avons-nous affaire à une entreprise politico-religieuse à dimension mondialiste puisque Le Monde toujours, nous apprend que le frère Roger devait « déclarer à l’UNESCO en 1989 : « Il dépend des jeunes que la grande famille européenne sorte de l’ère de la méfiance » c’est « l’une des urgences des années à venir… Le tournant », précise Le Monde, « est « le concile des jeunes » que le prieur de Taizé convoque en pleine bourrasque de l’après 68… Avant 1970, par centaines, des jeunes venaient déjà passer Pâques sur la colline : ils sont 2 500 en 1970…7 500 puis 16 000, 18 000, 20 000 à Pâques 74, 50 000 le 30 août suivant pour l’ouverture du « le concile des jeunes ». Banc d’essai pour les JMJ », conclut Le Monde.
Concluons en matière de réseau subversif, sur cette phrase du Monde : « Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, était un grand ami de Frère Roger et un visiteur assidu de Taizé. » Lorsqu’on a en tête la conclusion relative à « La face cachée du Monde », que ce journal n’est autre qu’ « une loge maçonnique, courroie de transmission du judaïsme mondialiste », la boucle est bouclée !
Une drôle de mort !
Lorsque la nouvelle tombe, le 18 août, « frère Roger a été poignardé » Au fur et à mesure, on apprend qu’il a été égorgé ! Le Parisien daté de ce jour, titre « La roumaine qui a égorgé frère Roger ».
L’assassin présumé, dont on a pu prouver qu’elle avait acheté le couteau la veille, prétend ne pas avoir porté le coup qui a tranché la trachée artère du prieur œcuménique. Une femme frêle comme apparaît être Luminata Solcanu sur les photos qu’on a publiées d’elle, a-t-elle pu porter un tel coup ? Elle prétend également, ainsi que l’indique Le Parisien (3), avoir « voulu avertir frère Roger d’un complot de moines francs-maçons ». Le Monde (4), confirme les propos tenus par la jeune femme par le témoignage même du procureur de la République Coste, chargé de l’affaire près du tribunal de Mâcon. Il y a en outre toute une variation sur le nom de la coupable présumée. Dénommée Luminata Sunacu, dans Le Parien, elle devient Luminata Solcanu dans Valeurs actuelles et dans Le Monde du même jour, mais Luminata Solcan dans celui du 20 août. Bref ! On saura au Jugement Dernier.
Toutefois, il nous semble que Solcanu pourrait être la forme roumaine de Solcan et que Le Monde informerait ainsi ses lecteurs initiés, en imprimant que l’auteur présumé de l’assassinat se nomme Solcan, nom indubitablement juif comme Laban, Lacan, Gozlan… Ce qui laisserait supposer l’hypothèse d’un règlement de comptes ?
Beaucoup de Roumains sont passés par Taizé. L’affaire Ceauscescu n’était pas si ancienne et y avait trempé un candidat à l’émigration pour Israël. Trotski n’est-il pas mort d’un coup de pic à glace ? Les haines dans ces milieux sont terribles.
Frère Roger, principal artisan de l’attentat sacrilège contre la messe.
Mais le non du « frère » Roger restera attaché, dans la mémoire des catholiques, à l’attentat sacrilège contre la sainte Messe. Ainsi, le nom de ce prétendu « homme de paix » restera attaché à l’un des plus grands attentats sacrilèges de tous les temps : la tentative au XX° siècle, heureusement avortée par la grâce de Dieu, de destruction de la sainte Messe catholique.
En effet, si le novus ordo missae de 1969 fut proposé par une commission officielle, présidée par le cardinal Bugnini, promulgué par Paul VI et imposé, en 1970, en France par un épiscopat apostat depuis 1958, les travaux préparatoires furent diligentés par une sous commission, dont le noyau dirigeant était constitué des « frères Roger Schutz et Max Thurian ».
Ils furent photographiés avec l’ensemble des membres de cette sous-commission. Cette photographie fut diffusée dans le monde entier, car elle fit l’objet d’une publication sur la page de couverture des Informations Catholiques Internationales, cliché repris depuis par plusieurs publications traditionalistes.
On mesure ici l’importance du rôle joué par les deux complices. Il ressort du reste que le texte lui même, qui fut promulgué par le marrane Montini, avait été rédigé par frère Roger, lui-même. Il s’en servait pour célébrer à Taizé ce qu’il avait l’hypocrisie d’appeler la messe ! Mais « Desiderium impiorum peribit : le désir des impies périra », leurs efforts contre la messe se sont soldés par un échec. Il en ira de même en ce qui concerne ceux qu’ils ont déployés, de concert avec Katz Wojtyla, en faveur de la construction européenne. Déjà la confusion des langues se profile à l’horizon politique entre les protagonistes : Allemagne, France, Grande Bretagne …
Mais revenons à la date de sa mort. Nous avons dit au plus tard le 16. Ne serait-ce pas plutôt le 15 ? On sait, par la vénérable Marie d’Agréda, auteur de la Cité Mystique, qui révèle des faits surnaturels de l’histoire de la Très Sainte Vierge, que cette dernière donna l’ordre à ses anges d’exécuter Hérode, le persécuteur impénitent de l’Église naissante, l’assassin de saint Jean Baptiste et de Saint Jacques.
Roger Schutz n’aurait-il pas enfreint, en pénétrant dans le domaine sacré de la sainte Messe, une interdiction ? Ne serait-ce pas en vertu de cet impératif moral que Dieu, dans sa justice, lui a réservé la fin qu’il a rencontrée au cours d’une célébration de son propre ordo missae et qu’il aurait dès lors pleinement méritée ?
Une exécution le 15 août, ne serait-ce pas une marque de la punition infligée, comme pour Hérode, à la demande de la Sainte Vierge ?
* * *
Et ça continu toujours sous François 1er (Bergo(go)glio) :
Benoît XVI inspiré par Dieu
Benoît XVI assure que sa démission lui a été inspirée par Dieu
Benoît XVI a confié que sa démission lui avait été inspirée par Dieu et que le “charisme” de François le confortait chaque jour davantage dans cette conviction, selon une de ses rares confidences à un hôte anonyme reprise par le site catholique Zenit. [Zenit est un site conciliaire…]
« C’est Dieu qui me l’a dit », a-t-il répondu récemment à cet hôte qu’il recevait dans sa résidence de l’ancien monastère Mater Ecclesiae au Vatican, qui l’interrogeait sur les raisons de sa démission surprise annoncée le 11 février et concrétisée le 28 du même mois.
Une expérience mystique
Il ne s’est pas agi d’une apparition ou d’un phénomène analogue, mais bien d’une “expérience mystique”, a précisé à son hôte le pape allemand, grand adepte de la raison, sans doute pour couper court à toute spéculation qui pourrait naître sur un phénomène miraculeux.
C’est Dieu qui a fait naître en lui le “désir absolu” de rester seul à seul avec lui, recueilli dans la prière, a-t-il expliqué.
Un successeur au “grand charisme”
Selon la même source citée par Zenit, le “pape émérite” a ajouté que cette “expérience mystique” s’était poursuivie durant les mois suivant sa démission, le confortant dans son choix. Il a ajouté que plus il constatait le grand “charisme” de son successeur François 1er, plus il comprenait que sa décision avait été “volonté de Dieu”.
Ratinger est assez en forme et profondément heureux de sa retraite spirituelle, selon des sources vaticanes. S’il reçoit quelques rares amis et proches, Joseph Ratzinger vit retiré du monde, conformément à son vœu, servi par quatre laïques “consacrées” italiennes.
Il reste fidèle à sa promesse d’obéir inconditionnellement au nouveau pape et de ne pas s’immiscer dans le gouvernement de l’Église, alors que la résidence Sainte-Marthe, où vit François, n’est qu’à quelques centaines de mètres. Selon des sources informées, papeFrançois le consulte assez régulièrement. À son retour de Rio, François avait affirmé que Benoît était comme un « grand-père à la maison ». « Si j’avais une difficulté ou une chose que je n’aurais pas comprise, je lui téléphonerais : dites-moi, je peux le faire ? », a-t-il confié aux journalistes dans l’avion le ramenant à Rome, après les Journées Mondiales de la Jeunesse (JMJ) au Brésil.
D’après une annonce AFP