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La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican aux ESR
Nouvelle parution inédite aux Éditions Saint-Remi
« L’un des ouvrages les plus puissants de la décennie »
(Florida Times – Union)
La Maison Battue par les Vents, le roman du Vatican,
par Malachi Martin
traduit de l’anglais par François Thouvenin
Belle impression offset, papier 70 gr., 792 pages, format 16×24,
couverture pelliculée : 25 €
Lire un extrait : La Maison Battue Par Les Vents
Les éditions Saint-Remi viennent de faire paraître la version française du célèbre roman de Malachi Martin, « Windswept House, a Vatican Novel », (« La Maison Battue par les Vents, Le Roman du Vatican »), qui était paru aux USA en 1996. Ce livre a connu un grand succès dans sa version anglaise, plusieurs centaines de milliers d’exemplaires vendus.
La traduction professionnelle de grande qualité a été réalisée par François Thouvenin. Il est également le traducteur d’autres ouvrages que nous avons publiés : Brouillard Rouge sur l’Amérique de W. Carr, Du Sang Sur l’Autel, Histoire secrète de la société occulte la plus dangereuse du monde de Craig Heimbichner, Impérialisme, Judaïsme et Communisme, ces trois forces qui dominent le monde de Istvàn BAKONY.
En Interview sur Radio Courtoisie :
mercredi 18 novembre à 10h45,
François Thouvenin, le traducteur et Bruno Saglio, directeur des Éditions Saint-Remi, étaient reçus par Benoît Mancheron dans son émission Au fil des pages, sur cet ouvrage de Malachi Martin, un roman à clefs, témoignage important sur les manœuvres
de destruction de la fonction pontificale au Vatican :
« Pourtant, personne en 1962 ne pouvait prévoir avec précision dans quelle mesure Rome, ses évêques et ses Papes allaient faire ami-ami avec ce que beaucoup de gens devaient appeler plus tard des loups en habits ecclésiastiques poursuivant un but mortel pour la doctrine et la moralité catholiques romaines. » p. 217
Écoutez l’émission « Au fil des pages » du 18/11/2015 :
Ce livre nous semble toujours d’actualité, — poursuit l’éditeur —, car il met en scène des personnages sombres qui tentent une prise en main complète du Vatican au service d’un futur Gouvernement Mondial. Il était même prémonitoire, car ces agents du complot cherchent à se débarrasser du « pape slave », jugé insuffisamment docile à leur plan, et le scénario retenu est la démission forcée. Scénario qui se réalisera plus tard en réalité avec Benoît XVI. Ce fait apporte sérieux et crédibilité aux informations données par Malachi Martin, qui a vu de près ce qui ce passait au Vatican. Ce roman semble donc avoir été un prétexte pour décrire une sombre réalité, et avertir ses contemporains.
Nous avons ajouté une annexe, page 37, qui identifie chacun des noms des personnages du roman avec les personnages réels.
La Guerre froide est terminée. Avec des capacités et une audace impossibles à envisager jusqu’à présent, une improbable coalition internationale d’intérêts politiques, financiers et religieux supérieurs voit enfin dégagé devant elle l’itinéraire devant aboutir à son objectif ultime : l’établissement d’une société mondiale unique, l’Utopie.
Avec pour seuls points communs un immense pouvoir et l’ambition démesurée d’en acquérir davantage encore, avec pour slogan l’unité et la prospérité mondiales, avec la trahison, le scandale et l’assassinat comme armes toutes prêtes à servir, ces hommes ont à la fois les moyens et la volonté de s’approprier le mécanisme mondial convenant parfaitement à la réalisation de leurs plans : la plus ancienne, la plus habile et la plus stable chancellerie politique du monde, le Vatican.
Au vortex de cette lutte à mort et aux côtés d’un Pape rompu aux conflits se tiennent deux frères américains, Paul et Christian Gladstone – l’un avocat, l’autre prêtre – qui font figure de pions parfaits. Le premier succombe aux crocs acérés de la cupidité, le second deviendra l’un des très proches alliés du Pape et finira par découvrir les plus noirs secrets de la Rome pontificale.
De l’Amérique à la Russie en passant par l’Europe, parmi de vastes paysages comme dans des couloirs clandestins, une distribution riche et variée – présidents et hommes politiques, saints et pécheurs, faiseurs de papes et aspirants à la papauté – s’entrechoque sur fond d’événements dramatiques et parfois sanglants, tandis que le sort du monde est en jeu.
Étroitement associé à Jean XXIII et au Cardinal Augustin Bea, l’ancien jésuite d’origine irlandaise MALACHI MARTIN (1921-1999) est l’auteur de best-sellers nationaux tels que Les Jésuites, The Final Conclave et Hostage to the Devil.
Né dans le Comté de Kerry, en Irlande, il étudia à l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Il y reçut des doctorats en langue sémitique, en archéologie et histoire orientale. Il étudia ensuite à Oxford et à l’université hébraïque de Jérusalem.
Ordonné prêtre le 15 août 1954, il est professeur à l’institut biblique de Rome de 1958 à 1964, et accomplit certaines missions délicates pour le cardinal Augustin Bea (dont il était le secrétaire privé), et pour les antipapes Jean XXIII et Paul VI. Relevé en 1964 par Montini-Paul VI de ses vœux de pauvreté et d’obéissance à sa propre demande, il reste cependant prêtre. Déménageant à New York il devient un auteur international connu de romans. Ses essais défendent en général les théories du traditionalisme et intégrisme catholique. De tendance traditionaliste, il est déçu des orientations données à l’Église Catholique par le conciliabule Vatican II (d’Eux). Il mentionne fréquemment Monseigneur Lefebvre dont il est sympathisant, sans faire partie de son association.
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“pape”-François cité à comparaître devant le Sanhédrin…
Bientôt le retour du Grand Kahal (1) !…
Émile Touati (Président du Consistoire de Paris de 1983 à 1990) du site JSSNews de la « JSS COMMUNICATION » nous apprend, en riant, que :
(Nous laissons l’article sans modifications bien que celui qu’ils appellent “Le pape François” n’est qu’un clown blanc déguisé en Pape…)
Le pape François cité à comparaître devant le Sanhédrin…
Cela pourrait passer pour une plaisanterie, mais le fait est rapporté par Giulio Meotti, dans l’édition d’Aroutz Sheva du 24 aout…
Le « Sanhédrin » est une instance non officielle calquée sur l’institution éponyme des temps anciens, avec 71 juges.
Cette instance intente un procès au Pape François qui se tiendra le 9 septembre à midi, sur le Mont Sion, à Jérusalem.
L’idée de ce procès est venue en réponse à la reconnaissance par le Vatican d’un « État palestinien » et à sa politique concernant Jérusalem.
« Malheureusement, les actions de Son Excellence (le pape) sont la continuation de la longue histoire des activités et positions de l’église catholique romaine, qui n’a apparemment jamais abandonné ses objectifs de persécutions du peuple d’Israël, en raison de son refus de reconnaître le messie de l’église comme celui d’Israël et pour l’obliger à renier sa propre doctrine religieuse » expose le Sanhédrin.
Il expose aussi que « le Vatican devrait cesser son soutien à l’entité occupante de la terre d’Israël, connue sous le nom « d’Autorité palestinienne » et cesser de la présenter comme un « État ».
L’argumentation se poursuit de façon solide, évoquant les honneurs rendus à un négationniste notoire qui refuse l’idée qu’un seul juif pourrait vivre dans « son » État, qui poursuit ses actes d’hostilité contre Israël, tandis que l’État d’Israël comprend des millions d’arabes qui y jouissent de tous les droits.
Le pape sera donc jugé par contumace et est accusé de complot en vue de voler sa terre au peuple d’Israël.
Bien que cette initiative ne soit que symbolique, l’acte d’accusation contient un certain nombre de vérités qui méritent d’être rappelées.
En même temps que Sa Sainteté, neuf personnes ou organismes seront jugés comme complices de ce complot.
Il s’agit de :
Monsieur Barack Hussein Obama, Président des États-Unis ; Monsieur John Kerry, secrétaire d’État des États-Unis ; les nations signataires du récent accord sur le nucléaire avec le gouvernement de l’Iran (États-Unis, Grande-Bretagne, Russie, Allemagne, France et Chine) ; le Conseil de sécurité de l’O.N.U. ; l’UNESCO ; La court suprême des États-Unis ; La cour européenne des droits de l’homme ; L’Union Européenne.
Toutes ces personnes, États ou organismes sont poursuivis « tant à titre individuel que collectif »…
L’article cite ensuite une dizaine d’attendus, qu’il serait trop long de citer ici.
Les anglophones intéressés pourront en prendre connaissance en suivant ce lien : http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/17443#.Vdw1SCXtmko
Vivement le 9 septembre !
Émile Touati – JSSNews
[1] Le Kahal (hébreu : קהל « foule ») ou kehilla (hébreu : קהילה « communauté » ou « assemblée ») est la structure organisationnelle théocratique de la société israélite dans la Bible, désignant aussi les communautés juives ou assemblées de fidèles en langage courant.
(Définition du Wikipédia)
Le juif russe converti au christianisme Jacob Brafmann publia en 1869 un essai nommé Kniga Ḳahala dans lequel il développe le concept du Kahal juif ou l’idée d’une sorte de pouvoir central de la communauté juive sous la forme d’un conseil d’administration, tissant la trame de nombreux complots. Un autre Russe, Kalikst De Wolski, reprend ces thèmes dans La Russie juive publié en 1887 à Paris chez Albert Savine éditeur ; il décrit cette institution, ses rites et son fonctionnement au XIXe siècle en Pologne et en Russie. Le kahal est évoqué dans le 17e protocole des Protocoles des Sages de Sion.
Nous vous présenterons, par la suite, une étude de don Curzio Nitogilia « Il Gran Kahal, un terribile segreto », parue dans les Chiesa Viva, de novembre, décembre 2013 et mars 2014, traduite de l’italien par Laurent Glauzy, qui vous permettra de faire un peu la lumière sur le mystère du Kahal et de voir que tout cela est fait dans un but bien précis !…
Vatican d’Eux : Huitième Anniversaire de la mort de Roger Schutz
Nous avons reçu cet article d’un fidèle lecteur :
* * *
Huitième anniversaire de l’exécution du « Frère » Roger ?
Le 18 août 2005 (certains disent le 16 ?), le fondateur de Taizé est mort « assassiné. » La presse unanime en a fait le panégyrique. Valeurs actuelles (1), du 19, le qualifiait d’ « homme de paix ».
Sous le titre général L’Europe entière rend hommage à Frère Roger, le même numéro du Monde note la « tristesse de Benoît XVI… Entamant, mercredi 17 août, son audience publique hebdomadaire à Castel Gandolfo par quelques phrases : j’ai reçu une nouvelle très triste, terrible…Le frère Roger était pour moi surtout l’un des piliers de l’Europe qui s’unit. » Si Benoît XVI le connaissait le 17, l’assassinat du frère Roger a donc eu lieu au plus tard le 16. Pourquoi, la presse n’en a-t-elle parlé que le 19, en le datant du 18 ? Curieux, mais ce n’est pas la seule anomalie dans cette affaire !
L’homme d’un réseau.
« Le Frère (notons la majuscule) Roger, 90 ans, avait consacré toute sa vie…aux jeunes de plusieurs nationalités », indique Valeurs actuelles, qui poursuit : « Protestant, diplômé en théologie, Roger Schutz était arrivé de Suisse en août 1940, en Saône et Loire, dans le petit village de Taizé, non loin de Cluny, pour y fonder une communauté monastique œcuménique travaillant à la réconciliation des chrétiens. Taizé se trouvait…à quelques kilomètres de la ligne de démarcation. Frère Roger avait alors hébergé de nombreux réfugiés en particulier des juifs qui fuyaient la zone occupée…des milliers de jeunes venus du monde entier, protestants, catholiques, orthodoxes se retrouvaient chaque semaine à Taizé pour y prier. Les rencontres de Taizé organisées chaque année depuis 1978…attirent à chaque fois plusieurs milliers de jeunes (plus de 80 000 à Paris en 2002)… »
Le journal Le Monde (2) ne consacre pas moins de trois colonnes entières à la biographie du frère Roger, dans son numéro du 18 août ! On y apprend qu’ « en 1940…sa maison devient un refuge (qui) accueille sans distinction juifs, réfugiés politiques et résistants… Le 11 novembre 1942, à la suite d’une dénonciation, sa maison est fouillée de fond en comble par la gestapo…Roger Schutz est obligé de quitter Taizé et de repasser la frontière (a-t-il bénéficié de protections, pour n’avoir eu qu’une si faible sanction ?)…son projet communautaire va mûrir dans l’éloignement de Genève. C’est là que le rejoignent ses premiers compagnons de route suisses comme lui, Max, un théologien… » Le Monde n’en dit pas plus de Max Thurian qui eut, à n’en pas douter, avec Roger Schutz des liens qui ne sont pas au-dessus de tout soupçon. Curieux ce silence sur le compagnon du frère Roger, dont on ne nous dit nullement ce qu’il est devenu, alors qu’il a partagé sa notoriété des années durant.
On nous apprend par contre que le frère Roger est né le 12 mai 1915 en Suisse près de Neuchâtel d’un pasteur protestant suisse et d’Amélie Marsauche, appartenant elle aussi à l’église prétendue réformée. Sa mère est originaire de Bourgogne où il passe ses vacances ; de là son choix de Taizé. « En famille, on lisait Blaise Pascal et Angélique Arnaud. »
Ce que Le Monde omet de nous dire, c’est que les Schutz sont cousins des Schlumberger. Richissimes banquiers suisses, cette famille est notoirement connue en milieu protestant pour être de race israélite. Roger Schutz était donc lui aussi de « la race élue ». Quant à Max Thurian, c’est un cousin de Giscard, prétendu d’Estaing. Ce dernier, le jour de son emménagement à l’Élysée, s’est vanté à la télévision, de descendre du comte de Saint Germain. Celui-ci est un juif occultiste qui joua un certain rôle dans la préparation de la Révolution dite française.
Ce que nous apprend par contre Le Monde c’est que : « en 1948, (ayant fait une) demande à l’évêque d’Autun (d’utiliser l’église du lieu)…(Roger Schutz) reçoit une réponse chaleureusement positive signée du nonce apostolique…Mgr Angelo Roncalli. Ce fut le début d’une longue amitié Jean XXIII est l’un des hommes qui auront le plus compté pour le prieur de Taizé. »
Comment la demande insignifiante d’user de l’église d’un patelin obscur, qui plus est adressée à l’évêque d’Autun, est-elle parvenue au nonce apostolique à Paris ? Comment la requête d’un inconnu, protestant de surcroît, put-elle être prise en compte et recevoir une réponse chaleureusement positive du futur « pape » Jean XXIII ? Ceci ne peut se comprendre que si elle a cheminé par une filière occulte composée d’initiés, bref par un réseau d’amitiés au service de la Cause. Là est également l’explication du fait que « de 1962 à 1965, Frère Roger est l’un des observateurs les plus attentifs du concile Vatican II », en clair, un des protagonistes les plus actifs du brigandage qui substituera au catholicisme romain, l’œcuménisme judéo-maçonnique.
L’Europe judéo-maçonnique.
Et Le Monde de poursuivre : « Les rencontres avec Paul VI furent également confiantes. Au cours de son voyage dans la région lyonnaise, le 5 octobre 1986, Jean Paul II franchit le seuil de la communauté : « je me suis senti poussé par une nécessité intérieure » dira le pape ; ajoutant cette autre formule restée célèbre « on passe à Taizé comme on passe près d’une source ». Karol Wojtyla aimait le Frère Roger qu’il avait invité à prêcher dans son ancien diocèse de Cracovie devant 200 000 mineurs. » Ce qu’omet pourtant de dire Le Monde, c’est que Katz Wojtyla, dont le marranisme est notoire, vint de nombreuses fois à Taizé avec l’autorisation du gouvernement polonais communiste et que, lors de l’écroulement du mur de Berlin, les manifestants chantaient des cantiques appris à Taizé !
Ainsi avons-nous affaire à une entreprise politico-religieuse à dimension mondialiste puisque Le Monde toujours, nous apprend que le frère Roger devait « déclarer à l’UNESCO en 1989 : « Il dépend des jeunes que la grande famille européenne sorte de l’ère de la méfiance » c’est « l’une des urgences des années à venir… Le tournant », précise Le Monde, « est « le concile des jeunes » que le prieur de Taizé convoque en pleine bourrasque de l’après 68… Avant 1970, par centaines, des jeunes venaient déjà passer Pâques sur la colline : ils sont 2 500 en 1970…7 500 puis 16 000, 18 000, 20 000 à Pâques 74, 50 000 le 30 août suivant pour l’ouverture du « le concile des jeunes ». Banc d’essai pour les JMJ », conclut Le Monde.
Concluons en matière de réseau subversif, sur cette phrase du Monde : « Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde, était un grand ami de Frère Roger et un visiteur assidu de Taizé. » Lorsqu’on a en tête la conclusion relative à « La face cachée du Monde », que ce journal n’est autre qu’ « une loge maçonnique, courroie de transmission du judaïsme mondialiste », la boucle est bouclée !
Une drôle de mort !
Lorsque la nouvelle tombe, le 18 août, « frère Roger a été poignardé » Au fur et à mesure, on apprend qu’il a été égorgé ! Le Parisien daté de ce jour, titre « La roumaine qui a égorgé frère Roger ».
L’assassin présumé, dont on a pu prouver qu’elle avait acheté le couteau la veille, prétend ne pas avoir porté le coup qui a tranché la trachée artère du prieur œcuménique. Une femme frêle comme apparaît être Luminata Solcanu sur les photos qu’on a publiées d’elle, a-t-elle pu porter un tel coup ? Elle prétend également, ainsi que l’indique Le Parisien (3), avoir « voulu avertir frère Roger d’un complot de moines francs-maçons ». Le Monde (4), confirme les propos tenus par la jeune femme par le témoignage même du procureur de la République Coste, chargé de l’affaire près du tribunal de Mâcon. Il y a en outre toute une variation sur le nom de la coupable présumée. Dénommée Luminata Sunacu, dans Le Parien, elle devient Luminata Solcanu dans Valeurs actuelles et dans Le Monde du même jour, mais Luminata Solcan dans celui du 20 août. Bref ! On saura au Jugement Dernier.
Toutefois, il nous semble que Solcanu pourrait être la forme roumaine de Solcan et que Le Monde informerait ainsi ses lecteurs initiés, en imprimant que l’auteur présumé de l’assassinat se nomme Solcan, nom indubitablement juif comme Laban, Lacan, Gozlan… Ce qui laisserait supposer l’hypothèse d’un règlement de comptes ?
Beaucoup de Roumains sont passés par Taizé. L’affaire Ceauscescu n’était pas si ancienne et y avait trempé un candidat à l’émigration pour Israël. Trotski n’est-il pas mort d’un coup de pic à glace ? Les haines dans ces milieux sont terribles.
Frère Roger, principal artisan de l’attentat sacrilège contre la messe.
Mais le non du « frère » Roger restera attaché, dans la mémoire des catholiques, à l’attentat sacrilège contre la sainte Messe. Ainsi, le nom de ce prétendu « homme de paix » restera attaché à l’un des plus grands attentats sacrilèges de tous les temps : la tentative au XX° siècle, heureusement avortée par la grâce de Dieu, de destruction de la sainte Messe catholique.
En effet, si le novus ordo missae de 1969 fut proposé par une commission officielle, présidée par le cardinal Bugnini, promulgué par Paul VI et imposé, en 1970, en France par un épiscopat apostat depuis 1958, les travaux préparatoires furent diligentés par une sous commission, dont le noyau dirigeant était constitué des « frères Roger Schutz et Max Thurian ».
Ils furent photographiés avec l’ensemble des membres de cette sous-commission. Cette photographie fut diffusée dans le monde entier, car elle fit l’objet d’une publication sur la page de couverture des Informations Catholiques Internationales, cliché repris depuis par plusieurs publications traditionalistes.
On mesure ici l’importance du rôle joué par les deux complices. Il ressort du reste que le texte lui même, qui fut promulgué par le marrane Montini, avait été rédigé par frère Roger, lui-même. Il s’en servait pour célébrer à Taizé ce qu’il avait l’hypocrisie d’appeler la messe ! Mais « Desiderium impiorum peribit : le désir des impies périra », leurs efforts contre la messe se sont soldés par un échec. Il en ira de même en ce qui concerne ceux qu’ils ont déployés, de concert avec Katz Wojtyla, en faveur de la construction européenne. Déjà la confusion des langues se profile à l’horizon politique entre les protagonistes : Allemagne, France, Grande Bretagne …
Mais revenons à la date de sa mort. Nous avons dit au plus tard le 16. Ne serait-ce pas plutôt le 15 ? On sait, par la vénérable Marie d’Agréda, auteur de la Cité Mystique, qui révèle des faits surnaturels de l’histoire de la Très Sainte Vierge, que cette dernière donna l’ordre à ses anges d’exécuter Hérode, le persécuteur impénitent de l’Église naissante, l’assassin de saint Jean Baptiste et de Saint Jacques.
Roger Schutz n’aurait-il pas enfreint, en pénétrant dans le domaine sacré de la sainte Messe, une interdiction ? Ne serait-ce pas en vertu de cet impératif moral que Dieu, dans sa justice, lui a réservé la fin qu’il a rencontrée au cours d’une célébration de son propre ordo missae et qu’il aurait dès lors pleinement méritée ?
Une exécution le 15 août, ne serait-ce pas une marque de la punition infligée, comme pour Hérode, à la demande de la Sainte Vierge ?
* * *
Et ça continu toujours sous François 1er (Bergo(go)glio) :
Le très progressistes « Golias » et les réseaux maçonniques
Flashback : retour en arrière suite à l’article d’hier de “Golias”…
En 2009 suite à l’ “affaire Williamson”, Le Bulletin d’André Noël titrait : « Les dessous d’un complot contre le Pape » (1) et poursuivait :
« On en sait désormais un peu plus sur les circonstances dans lesquelles l’interview de Mgr Williamson a été obtenue, au cours de laquelle il a tenu ses propos négationnistes. Au Vatican, on n’hésite plus à parler de « complot » visant à « déstabiliser le pape ».
« Cette manœuvre a pour origine le milieu anticlérical français (2) …Deux femmes ont été à son origine, Flametta Venner et Caroline Flourest. Cette dernière est une militante de Prochoix, donc en faveur de l’avortement, mais c’est également une pasionaria de la cause homosexuelle. A ce double titre, elle lutte contre « l’intégrisme », largement compris, puisqu’elle y inclut l’Opus Dei, les évêques conservateurs et le pape. Elle serait aussi proche du Grand Orient de France. Elle a développé avec beaucoup de hargne et autant d’ignorance, ses thèses dans un ouvrage « Les nouveaux soldats du pape », cosigné par sa compagne Flametta Venner. Le livre est paru dans une maison d’édition prétendument catholique, les Editions Golias, fer de lance de la lutte anti-romaine, et qui fédère les tenants de la contestation progressiste dans l’église de France. »
On peut donc inférer deux choses de ces informations :
- Les milieux progressistes dans la mouvance catholique conciliaire, en l’occurrence Golias, sont sous-tendus par des réseaux maçonniques, notamment Caroline Flourest et ses amis ; ce qui semble confirmer l’appartenance à la maçonnerie d’une certaine partie du clergé de l’église Conciliaire.
- La guerre a fait rage entre Benoît XVI, appuyé sur les milieux romains qui lui sont fidèles, et la maçonnerie. (Qui l’a obligé à démissionner ??? comme cela a été dit et écrit…)
Le Bulletin d’André Noël poursuit :
« Les réseaux d’influence de Caroline Flourest sont importants, qui lui permettent de peser sur de nombreux média : elle est journaliste à « Charlie Hebdo », chroniqueur au « Monde » et à « France culture », tout en donnant des cours à Science Po Paris… Flametta Venner sur Internet a confié à son blog, ce qui s’est passé. Elle s’est empressée de révéler aux reporters suédois que Mgr Williamson soutenait des thèses négationnistes. Les journalistes n’en savaient rien. Leur interview, à l’origine, ne devait pas porter sur ce thème mais seulement sur l’établissement de la Fraternité S. Pie X dans leur pays. Toutefois, ainsi informés, ils changent d’orientation et interrogent Mgr Williamson d’emblée sur la Shoa… Pour elle (Flametta Venner), la levée des excommunications établit, si ce n’est la complicité, du moins la connivence entre le pape et l’évêque négationniste. »
Ainsi donc toute une frange de l’église Conciliaire en France, sous influence maçonnique, a combattu ouvertement contre Benoît XVI, qui, de son côté, s’est rapproché de la Fraternité Saint Pie X, pour y puiser un appui contre les tenants de l’imagerie républicaine laquelle s’oppose à la haute maçonnerie. C’est la raison de la poursuite du dialogue avec Écône jusqu’en juin 2012. Il est donc clair que Ratzinger soutient la haute maçonnerie judaïque dans sa construction du temple de l’Humanité, c’est-à-dire du règne de l’Antéchrist. »
Il n’est donc pas inintéressant de recouper ces informations avec celles d’un dossier circulant sur Internet à propos des « femen » ; ces « putes ukrainiennes », comme les appelle le réalisateur du dossier, ont été lancées dans les pattes de Civitas, à l’occasion de la première manif contre le mariage gay. On sait que les catholiques influencés par Civitas ont été accusés d’avoir « tabassé » des femen, alors qu’ils avaient en réalité attaqués et n’avaient fait que se défendre sans brutalité.
Or, le principal témoin à charge dans ces accusations calomnieuses était…Caroline Flourest. Ceci confirme que :
- La lutte fait rage entre « l’église » de la Rome cabaliste et la maçonnerie ;
- La maçonnerie noyaute les instances dirigeantes de « l’église Conciliaire » en France ; d’où le coup de poignard dans le dos des « évêques de France » contre La Manif pour Tous ;
- La poursuite des négociations de la Rome cabaliste avec Écône n’avait pour but, dans l’esprit de Ratzinger, que de mettre les « tradis » aux côtés des « catho conciliaires » contre la maçonnerie ;
- Pour la Rome cabaliste l’heure n’est pas à l’éclatement de la FSSPX ;
- L’affrontement ne saurait en rester là.
Complot contre le pape !
par Caroline Fourest
Écoutez : [audio:http://catholicapedia.net/audio/Caroline-Fourest_Complot_contre_le_pape.mp3|titles=France Culture|artists=Caroline Fourest]
« Ni moi ni la télévision suédoise ne connaissions à l’avance l’agenda du Vatican »
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Propos recueillis par Jean-Baptiste Chastand
“Complotto contro Benedetto XVI entro 12 mesi morirà”
http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/02/10/complotto-di-morte-benedetto-xvi/190221/
La succession de Joseph Ratzinger est déjà décidée…
Sophie Esposito
Journaliste italienne
Fin de règne pour Benoît XVI ?
Publication: 15/02/2012 14h29
« Benoît XVI est la cible d’un complot » voici l’information qui, telle qu’elle était présentée à la une du journal Il Fatto [1] vendredi dernier, a fait du bruit en Italie. Le journal publiait un document confidentiel, où une plume anonyme raconte (en allemand) le voyage secret en Chine du cardinal de Palerme, Paolo Romeo. Pendant ce voyage, qui s’est déroulé en novembre dernier, le cardinal aurait déclaré qu’il ne reste plus que 12 mois à vivre à Joseph Ratzinger. « Pendant ses entretiens en Chine, détaille le papier, le cardinal Romeo a prédit la mort du pape Benoît XVI dans les 12 prochains mois. Les déclarations du cardinal ont été exposées, en tant que personne probablement informée d’un complot sérieux et délictueux, avec une telle sureté et fermeté, que ses interlocuteurs en Chine ont pensé avec effroi qu’un attentat soit programmé contre le Saint Père ». Ni plus ni moins !
De plus, le papier affirme que la succession de Joseph Ratzinger est déjà décidée : ce sera « en tous cas un candidat d’origine italienne », selon le palermitain Paolo Romeo, et même « le Saint Père […] aurait déjà choisi le cardinal Angelo Scola comme candidat, car il est le plus proche [du Pape] pour sa personnalité ». Évêque de Milan, Angelo Scola y aurait été transféré pour préparer la suite au pontificat de Benoît XVI. Les Italiens seront contents de revoir un pape italien, sans doute. Mais est-ce vrai ? Selon le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, oui. Le document est vrai, mais son contenu serait une série d’affirmations “délirantes”. Mais en Italie on doute : est-ce une “fin de règne” pour Benoît XVI ?
Voilà qu’une théorie du complot entoure le petit État dans l’État, si plein de légendes et mystères irrésolus depuis sa naissance. Les récits des journaux font penser à une sorte de vie de cour entre les murs du Vatican, faite de trahisons et de carriérisme. Les images, juste à côté, montrent la coupole de Saint-Pierre en noir sur fond orange, dans un coucher de soleil à la Dan Brown. Mais ce n’est pas un roman, c’est la vérité, parfois cachée, du Saint-Siège. De mystères, il en est plein.
Le dernier en date : la mort subite du pape Jean Paul I, un mois seulement après son élection, alors qu’il avait annoncé une réforme profonde de la hiérarchie catholique. Mais un élément teinte cette histoire d’une touche de mystère : le corps du pape n’a jamais été autopsié. Ces scénarios de polar sont ressortis en même temps que le document prouvant le complot. Ils rajoutent un peu d’ambiance…
Et comme « les disgrâces ne viennent jamais seules » (autre proverbe italien), le complot du cardinal Romeo s’insère dans un contexte où le Saint-Siège est au centre de plusieurs polémiques concernant sa transparence. La première, selon le même Fatto, la Curie refuse de donner accès aux opérations bancaires de sa propre banque, l’Institut des Œuvres Religieuses (IOR). La deuxième, le secrétaire d’État du Vatican, Tarcisio Bertone avait envoyé à Washington un cardinal qui promettait de lutter contre la corruption et les fausses facturations. Autant d’éléments obscurs et inexplicables, ainsi qu’inexpliqués, qui ont fait naître un débat. Mais il est loin. Loin de la vraie Italie, dans cet État si différent que l’on confond souvent avec la ville de Rome tout autour. Loin des problèmes des ouvriers licenciés, des jeunes qui ne trouvent pas de travail, et des plus vieux qui ne peuvent toujours pas partir à la retraite. Loin, et pourtant si proche, car en Italie les catholiques sont légion, et le Pape est plus qu’un guide spirituel. Il est le symbole d’une époque, un critère pour distinguer les années, comme pour nos grands-parents. Et les complots, le carriérisme, même dans ce petit État caché dans la Capitale, montrent une Italie en pleine régression. Un pays qui revient aux années 60, à un après-guerre où on ne gagne rien et on s’approprie tout, en l’arrachant.
Sur le web :
Vatican : un complot contre Benoît XVI ? – YouTube
Lalibre.be – Un complot pour assassiner Benoît XVI ?
Vatican : un complot contre Benoît XVI ? | euronews, monde
Source : http://www.huffingtonpost.fr/sophie-esposito/fin-de-regne-pour-benoit-_b_1278589.html
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Le Pape Benoît XVI est-il sous la menace d’un complot visant à l’assassiner ? C’est en tout cas ce qu’affirme ce vendredi un quotidien italien, Il Fatto Quotidiano, qui s’appuie sur un document confidentiel, daté du 30 décembre 2011, circulant au Vatican.
Commentaire du porte-parole du Saint-Siège : c’est du délire.
Certains observateurs avancent que la diffusion de ce genre de rumeurs s’inscrit dans le cadre d’une lutte de pouvoir au Vatican. (euronews.com)
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Toute la question est de savoir si Scola réussira à faire mentir le vieil adage selon lequel « qui entre pape au conclave, en sort cardinal… »
[1] Il Fatto Quotidiano : http://www.ilfattoquotidiano.it/2012/02/10/complotto-di-morte-benedetto-xvi/190221/
en français Google : http://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&eotf=1&u=http%3A%2F%2Fwww.ilfattoquotidiano.it%2F2012%2F02%2F10%2Fcomplotto-di-morte-benedetto-xvi%2F190221%2F