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Archive for the ‘Vierge Marie’ tag

Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat

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Le “secret” donné par la « Belle Dame » à Mélanie Calvat

 

La Salette

Certains voudraient qu’on n’en parle pas !!! ils nous disent avoir « avancé bien souvent les multiples mises à l’index de la version du secret de La Salette » cité dans nos articles, « mise à l’index par 4 Papes successifs (dont S. Pie X, Pie XI et Pie XII) »

Néanmoins, le Secret circula pendant plus de quarante ans avec l’accord de plusieurs papes. Documents à l’appui, Maurice CANIONI l’a expliqué dans son livre « La Femme et le Dragon ».

Et Mélanie l’a dit et répété maintes fois :

Le Secret fait partie des Paroles de la Sainte Vierge

Le Secret et le Reste n’ont pas été Inventés après coup

Françoise Mélanie Calvat, 1903

« Je ne suis pas chargée de vous le faire croire, mais seulement de vous le dire »

(Cf. Texte authentique de la Mère Saint-Jean, « Les Cahiers de Cassiciacum » de l’Abbé Jacques-Marie Seuillot)

« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist… L’Église sera éclipsée… » Chose inimaginable, incroyable, ceux qui ont mission de conduire les âmes au ciel deviendront des loups déguisés en brebis. Pie IX, Léon XIII et Saint Pie X confirmeront que le Mystère d’iniquité était déjà de leur temps en cours de réalisation. Nous traversons ces heures de tragiques ténèbres…

 

* * *

 

Dans l’heure où la Sainte Église, au premières Vêpres de Notre-Dame des Sept Douleurs, demande à ses prêtres de méditer l’oracle sacré :

« Ô, Vierge de SION votre douleur est grande comme les eaux de la mer… », la Très Sainte Vierge dans l’affliction annonçait à Mélanie, Bergère de La Salette :

ND de La Salette pleurant sur la France« Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu […]

« Malheur aux habitants de la terre […]

« Les péchés des hommes sont cause de toutes les peines qui arrivent sur la terre […] »

 

Il est certain que les malédictions proférées par Notre-Dame à l’encontre d’un « clergé infidèle » et de « mauvaise vie » avaient de quoi irriter certains Princes de l’Église et certains prêtres visés dans le Secret, comme le confirme l’histoire ecclésiastique en France au XIX° siècle.

Déjà, les coupables réclamaient contre les menaces de la Mère de Dieu… et exigeaient pour se soumettre un programme de conversion plus conforme à leur état !

Dans l’histoire contemporaine des avertissements où la Prédiction Divine est manifeste, l’Apparition Prophétique de Notre-Dame sur la sainte montagne de La Salette en 1846, se distingue par la contestation formidable qu’elle suscita d’emblée.

Cent soixante neuf années ont passé. Les opposants les plus opiniâtres ont tout tenté pour faire obstacle à la diffusion des recommandations de notre Bonne Mère du Ciel.

Des ecclésiastiques dévoyés ont cru pouvoir faire taire la Très Sainte Vierge. Car, il s’agit bien de cela !… En 1915, en fabricant une interdiction de commenter le Secret, ils ont utilisé une propagande digne des officines maçonniques.

Aux intrigues des sectaires républicains, aux manœuvres des Carbonari secondés par plusieurs évêques gallicans, ont succédé, à la fin du XIX° siècle et dans le premier quart du XX°, les campagnes venimeuses de comploteurs mitrés, soutenues par la presse rationaliste et relayées par les conjurés modernistes et quelques antimodernistes renommés.

Un cardinal, adepte du naturalisme dans l’action politique, s’aventura même jusqu’à dénoncer dans les promesses et les bénédictions de la Reine des Prophètes « des relents » de Millénarisme…

Au seuil de ce XXI° siècle, cinquante ans après le pseudo et funeste “concile” Vatican II, la Réalisation des prédictions apocalyptiques faites à Mélanie, est avérée.

Cependant, certains prétendent toujours interdire la diffusion des recommandations expresses de la Mère du Sauveur, descendue en pleurs vers les siens pour les appeler à la Conversion.

Notre Mère de Miséricorde est venue sur terre en 1846 pour appeler les siens au combat.

La Salette

« Allez, et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheurs. »

Ce pressant appel est une mission détaillée pour « le temps des temps, la fin des fins », combat de la Lumière contre les Ténèbres. Objet du mépris du plus grand nombre, cet appel maternel est le gage d’abondantes bénédictions si nous y répondons avec la foi requise. Avec une obéissance filiale, c’est l’assurance d’un combat victorieux.

 

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Written by Cave Ne Cadas

juillet 8th, 2015 at 12:18 pm

Posted in Église Éclipsée,La Salette,Maurice Canioni,Notre-Dame de La Salette,Polémique,Prophétie

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ANNONCE : Demande de prières

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Notre Ami du Christ Roy de France, Louis-Hubert Remy a été hospitalisé cette nuit de toute urgence.

Nous le recommandons à vos prières par l’intercession de Notre-Dame du Perpétuel Secours en la Neuvaine ci dessous. Vous pouvez, comme nous, commencer par Litanies de Notre-Dame du Perpétuel Secours :

 

Venez à son secours, ô charitable Mère !

Litanies de Notre-Dame du Perpétuel Secours
Litanies de Notre-Dame du Perpétuel Secours
Litanies de Notre-Dame du Perpétuel Secours
Litanies de Notre-Dame du Perpétuel Secours

 

 

Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours

 

Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 1
Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 2
Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 3
Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 4
Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 5
Neuvaine à Notre-Dame du Perpétuel Secours 6

 

 

ANNONCE : 20 juin Saint Benoît sur Loire

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20 juin Saint Benoît sur Loire

 

Saint Benoît sur Loire

Une journée pour la France !

C’est le moins que nous pouvons faire pour le Christ Roi de France et Sa sainte Mère, Reine de France.

Les Amis du Christ Roi de France vous invitent instamment à venir prier pour la France et les français en ces temps qui s’annoncent si graves.

Venez avec vos proches, diffusez et si vous ne pouvez venir joignez-vous à nos prières.

Merci à ceux qui peuvent nous aider financièrement :

ACRF, BP 2, 44140 Aigrefeuille

 

 

Le glaive de Siméon

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Le glaive de Siméon

 

À rapprocher avec le sermon de l’abbé de la Rocque !!!

publié ici-même, il y a quelques jours :

« Les blasphèmes pleuvent de partout »

 

… Plus tard eut lieu une seconde cérémonie religieuse à laquelle la Vierge ne crut pas pouvoir se soustraire alors que son Fils avait été circoncis. Le quarantième jour après la naissance de Jésus, la Vierge-Mère se rendit au temple de Jérusalem pour la purification édictée dans le Lévitique. Après s’être comportée comme si elle avait contracté la souillure légale, elle qui était plus pure que les cieux, Marie se fit relever comme les autres femmes de son peuple après la naissance de leurs enfants, en offrant, selon la taxe des pauvres, le couple de tourterelles ou les deux petits de colombe pour l’holocauste et le sacrifice d’expiation. Et comme en vertu de la Loi, son Fils ne lui appartenait plus, — Tu consacreras à Yahvé tout premier-né, disait l’Exode, et Moïse avait ajouté : Tu rachèteras tout premier né de l’homme parmi tes fils, — elle racheta son Premier-Né en versant au trésor sacré les cinq sicles d’argent.

Philippe de Champaigne - Présentation du Christ au Temple

La présentation de Jésus au Temple, par Philippe de Champaigne

Et vous savez quelle scène se passa à cette occasion. Un vieillard, Siméon (quelque saint prêtre, sans doute, mais qu’il n’est pas possible de mieux identifier) prit l’enfant des bras de sa mère et, éclairé d’une subite lumière prophétique, il entrevit quel serait le destin de celui qu’il élevait vers le ciel comme une hostie et quel sillage ineffaçable son passage laisserait à jamais dans la vie de l’humanité. Puis, se tournant vers Marie, il ajouta : Quant à vous, un glaive vous transpercera l’âme. La Vierge savait sans doute mieux que quiconque ce qui devait arriver et quel prix avait été statué pour la Rédemption. Mais la parole terrible de Siméon lui rappela avec une nouvelle énergie que l’heure des grandes douleurs approchait.

Essayez d’imaginer les émotions dont l’âme de la mère était le théâtre tandis qu’ils s’en retournaient et que Joseph n’avait plus de mots à cause de la parole du vieillard qui l’avait fait frissonner, émotions contradictoires qui se mêlent comme des caresses et des déchirements.

Elle vient d’enfanter dans la joie. Aucune mère n’a connu comme elle, sans mélange, la douceur de tenir un fils premier-né entre ses bras, pas même Élisabeth, sa parente, qui nourrit depuis six mois l’enfant si longtemps désiré. Les autres mères, en berçant leur enfant nouveau-né, ne pressent qu’un petit être inerte qui ne sait rien comprendre à la douceur des noms qu’elles lui prodiguent et qui ne peut répondre à leurs caresses. Mais celui qu’elle tient entre ses bras se révèle déjà comme le plus beau des enfants des hommes. Déjà le Fils et la Mère se comprennent : ils échangent d’âme à âme, mieux qu’avec le vulgaire langage, leurs témoignages de mutuelle tendresse.

Les autres mères craignent pour la fragilité d’une vie qui vient de naître, s’alarment au moindre signe, tremblent souvent pour le lendemain : pour leur enlever leur trésor, faut-il beaucoup plus que le vent de printemps qui emporte la frêle toison des amandiers en fleurs ? Marie ne tremble pas ; elle ne craint rien : rien n’est capable d’arracher son Fils à son amour ; on lui enviera ce Fils dans les yeux de qui, parfois, brille du divin.

Mais par contre les autres mères, dans leur ignorance du destin de leurs enfants, tissent pour eux des rêves d’avenir ; et Dieu sait dans quels nuages dorés vont parfois se perdre les rêves maternels. Marie, elle, sait le sort éternellement réservé à son Fils. Elle sait qu’elle le perdra à trente ans et dans des circonstances auxquelles on ne peut pas penser. La vision du sacrifice rédempteur est toujours au-dedans de ses paupières. Et ce n’est pas une éventualité, une menace, c’est une certitude.

La Vierge-Mère marche dans l’ivresse d’un bonheur idéalement pur avec un couteau planté dans le cœur. Ah ! notre psychologie est à court et n’a qu’à se taire devant la Mère de Jésus !

Mais rendons-lui grâce à jamais d’avoir librement accepté son destin. N’eût-il été fait que de douceur et de gloire, que les siècles ne la féliciteraient pas moins d’avoir été choisie et d’avoir accepté. Mais l’honneur de la maternité divine comportait une somme de souffrance et un martyre qui dépassaient la mesure commune. Elle le savait, et cela n’avait pas retardé son Fiat. Elle avait accepté de plein cœur sa part dans la Rédemption, souriant moins à l’honneur et à la gloire qu’à la volonté divine et aux souffrances maternelles que Dieu agréerait pour le salut du monde.

 

C’est la pensée du sonnet célèbre :

Tout te chante, ô Marie, et pourtant quelle femme,
Même au prix de ta gloire, eût bravé tes douleurs ?

 

Fr. Louis De Gonzague, O. M. C : Lectures sur la Vierge

 

Tiré de « La Semaine Religieuse du Diocèse de Quimper et de Léon » 53ième année, numéro 4, 28 janvier 1938.

 

 

 

La présentation de Jésus au Temple, par Rembrandt en 1628

 

 


 
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Abbé Louis J. Campbell : les plus grands péchés sont ceux relevant du blasphème

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Voici un sermon qui explique clairement la situation de ces dernières semaines…

 

Abbé Louis J. Campbell (1)

Abbé Louis J. Campbell

Troisième Dimanche après l’Épiphanie, 25 janvier 2015

« … sages à vos propres yeux. » (Rom. 12 : 16b)

 

Au Dieu Tout-Puissant, notre Divin Créateur, nous autres humains avons le devoir d’adresser les plus grandes louanges et actions de grâces. Elles sont infiniment plus grandes que nous n’en sommes capables, mais du fait de la Miséricorde divine, notre Sauveur Jésus-Christ a adressé à Dieu Son Père d’infinies louanges et actions de grâces par Sa mort douloureuse sur la Croix du Calvaire. Et au moyen du Saint Sacrifice de la Messe, Il nous a permis d’agir de même en offrant – par les mains du prêtre et en union avec le Fils de Dieu – d’infinies louanges et actions de grâces à la Sainte Trinité. C’est à cela que nous sommes appelés par notre Baptême. C’est cela que nous devons faire.

D’autre part, les plus grands péchés sont ceux relevant du blasphème. C’est pourquoi le Catéchisme du Concile du Trente parle de l’énorme culpabilité de « ceux qui d’une bouche impure et souillée osent blasphémer et maudire le nom adorable de Dieu, ce nom digne de toutes les bénédictions et de toutes les louanges des créatures, ainsi que le nom des Saints qui règnent avec Lui dans le ciel. Ce crime est si horrible et si monstrueux, que parfois nos Saints Livres pour le nommer se servent du mot [contraire] bénédiction. » (Sur le Deuxième Commandement).

Lors de Son procès devant le Sanhédrin des Juifs, Jésus fut accusé de blasphème, et c’est sur la foi de cette charge – après qu’il eut admis qu’il était le Fils de Dieu – qu’il fut condamné à mort. Et le grand prêtre déchira ses habits en disant :

« “Qu’avons-nous besoin de témoins ? Vous avez entendu le blasphème ; que vous en semble ?” Tous prononcèrent qu’il méritait la mort. » (Marc, 14 : 63, 64)

 

 Blasphème

 

Or, le blasphème est à la une de l’actualité. Les musulmans sont outragés par les dessins représentant leur “prophète Mahomet” sur les couvertures de l’hebdomadaire satirique parisien Charlie Hebdo. Cela n’a rien de surprenant. Mais les chrétiens ont encore plus de raisons d’être outragés que les musulmans, à cause des dessins blasphématoires de “Charlie” sur la Sainte Trinité, sur Jésus-Christ, le Verbe fait chair, et sur la Très Sainte et Immaculée Vierge Marie. Ce sont les dessins les plus blasphématoires et les plus abominables que j’aie vus de toute ma vie, longue déjà de plus de quatre-vingts ans.

Ils partagent la culpabilité de Charlie Hebdo, tous ces dirigeants du monde qui se sont rassemblés à Paris pour célébrer la mémoire des victimes de l’attaque musulmane et manifester leur soutien à Charlie Hebdo. Coupables aussi sont ceux qui crient « Je suis Charlie » en brandissant des pancartes où figure le même texte. Ils crient en faveur de la liberté de parole et de la liberté de la presse, agitant des stylos et des crayons pour faire valoir leur point de vue. Mais la liberté de parole et la liberté de la presse doivent avoir leurs limites.

Certes, ceux qui publient des journaux ou des magazines ne doivent pas subir des pressions ou des injonctions de la part du gouvernement ou d’autres instances quant à ce qu’ils peuvent publier ou non. Mais cela ne signifie pas qu’ils soient autorisés à dire tout ce qui leur plaît. Ils sont tenus par les Commandements de Dieu tout comme le commun des mortels que nous sommes. Ils ne sont pas libres de publier des choses licencieuses qui pervertissent l’esprit des gens, ni de promouvoir de fausses idéologies qui éloignent ceux-ci de Dieu ou de Sa Sainte Église. Et il en va de la liberté d’expression comme de la liberté de parole.

Nous ne sommes PAS libres d’appeler le mal bien et le bien mal. Nous ne sommes PAS libres de blasphémer le saint Nom de Dieu le Père, ni celui de Son Divin Fils Jésus-Christ, ni celui de Marie, la Très Sainte Mère de Dieu ! Nous ne sommes PAS libres de scandaliser l’innocent et d’insulter grossièrement d’autres êtres humains. Nous ne sommes PAS libres de voter des lois qui vont à l’encontre des Saints Commandements de Dieu ! Jésus a eu des paroles de colères pour les Pharisiens qui L’accusaient de manière blasphématoire de chasser les démons par le pouvoir du Prince des démons, et il les a conclues par ce sévère avertissement :

 

« Je vous le dis : au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu’ils auront dite. Car tu seras justifié par tes paroles, et tu seras condamné par tes paroles. » (Mt. 12 : 36, 37)

 

Les gens de Charlie Hebdo ont une attitude de provocation frontale qui pourrait constituer le détonateur de la Troisième Guerre Mondiale, mais ils ne veulent pas en entendre parler. Les musulmans se préparent pourtant à un grand Djihad. Ils vont marcher sur l’Europe, ils la dévasteront de manière catastrophique, et le monde entier paiera en subissant des souffrances et des destructions inimaginables.

Le PÉCHÉ, ce n’est PAS DRÔLE ! Nous ne devons pas rire devant ces publications, ces émissions de télévision ou ces vidéos circulant sur l’Internet qui présentent le péché sous des dehors hilarants. Or, le blasphème est le plus grand de tous les péchés ! Les nations ont appelé sur leurs têtes la juste colère de Dieu. N’avons-nous pas nous-mêmes assisté tout dernièrement à cet appel, salué par les applaudissements d’un grand nombre ? Dieu nous avertit par le prophète Isaïe :

 

« Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal […] Malheur à ceux qui sont sages à leurs propre yeux, et intelligents à leur propre sens […] C’est pourquoi, comme la langue de feu dévore le chaume, et comme l’herbe sèche s’abîme dans la flamme, leur racine sera semblable à la pourriture, et leur fleur sera emportée comme la poussière […] car ils ont rejeté la loi de Yahweh des armées, et méprisé la parole du Saint d’Israël. » (Is. 5 : 20a, 21, 24)

 

Les anges guerriers de Dieu, avec leurs épées enflammées, volent au-dessus du monde coupable :

 

« Devant lui la terre tremble, les cieux s’ébranlent, le soleil et la lune s’obscurcissent, les étoiles perdent leur éclat. Yaweh fait entendre sa voix à la tête de son armée ; car immense est son camp, car puissant est l’exécuteur de sa parole. Car le jour de Yaweh est grand et très redoutable ; et qui pourrait le soutenir ? » (Joël 2 : 10,11)

 

Que vienne une guerre mondiale, un tremblement de terre ou le feu du ciel, Dieu ne laissera pas périr les Siens. Mais nous devons nous détourner du péché IMMÉDIATEMENT et chercher refuge dans le Sacré Cœur de Jésus ainsi que dans le Cœur Immaculé de Marie. Nous osons encore espérer qu’en nous tournant vers Dieu avec un vrai repentir, nous pourrons trouver un lieu sûr dans ce monde livré au chaos.

 

« Mais maintenant encore – oracle de Yaweh, revenez à moi de tout votre cœur, avec des jeûnes, avec des larmes et des lamentations. Déchirez vos cœurs, et non vos vêtements, et revenez à Yaweh, votre Dieu ; car il est miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en bonté, et il s’afflige du mal qu’il envoie. » (Joël 2, 12, 13)

 

 

 

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*     *

 

 

 

 

 

Source : http://www.cathinfo.com/catholic.php?a=topic&t=35370&min=3&num=3

Traduction : le CatholicaPedia.net

(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

 


[1] L’abbé Louis J. Campbell est né à Brooklyn, New York, le 1er Novembre, 1932. Pour éviter les effets de la Grande Dépression, ses parents l’ont ramené en 1934 à l’île du Cap-Breton dans leur Nouvelle-Écosse natale, où il a grandi. Il est diplômé de l’Université St. Francis Xavier à Antigonish, en Nouvelle-Écosse, en 1956, et la même année a rejoint l’Ordre de Saint-Augustin. Après des études de séminaire au séminaire St. Francis à South Milwaukee, Wisconsin, et de l’Université Saint-Paul à Ottawa, en Ontario, il a été ordonné à la prêtrise le 3 Septembre 1961.

Au cours de ses 40 années avec les Augustins au Canada, le Père Campbell servi comme maître des novices, et était avant le monastère à Delta, en Colombie-Britannique, Racine, Wisconsin, et King City, en Ontario. Après plusieurs années comme curé de la paroisse Sacré-Cœur à King City, il a été autorisé par les Augustins à se joindre à la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre, où il reprend la célébration de la messe traditionnelle latine. Avec la Fraternité il était pasteur pendant trois ans à la paroisse St. Michael à Scranton, Pennsylvanie, et pendant deux ans à Saint-Clément à Ottawa, en Ontario, avant d’accepter l’invitation d’un groupe de catholiques traditionnels dans la région de Houston pour être aumônier au Sanctuaire Saint-Jude à Stafford, Texas, son emplacement actuel.

Les sermons du père Campbell sont envoyés par e-mail aux personnes et aux groupes de catholiques traditionnels partout dans le monde, et certains d’entre eux ont été publiés dans un livre intitulé The Little Book of Sermons pour les derniers temps.

Le titre de ses sermons du quotidien catholique sont à juste titre appelé « Qui légitime, intelligat »« Que celui qui lit comprenne ! » — qui sont les mots Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ transportés dans des termes sans équivoque à ses disciples, enregistrées dans Matthieu 24: 15, en parlant de l’abomination de la désolation prédite par le prophète Daniel et ces temps qui, de tous les signes et les événements, nous sommes très proches ou à l’époque même où il se réfère.Cet Évangile est aussi le dernier Évangile de l’année liturgique, en cours de lecture chaque 24 dimanche après la Pentecôte, juste avant le premier dimanche de l’Avent.

(Matthieu 24: 15 : « Quand donc vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, dressée en un lieu saint, — que celui qui lit comprenne ! —)

Source : http://www.dailycatholic.org/frlcbio.htm

 

Mel Gibson qui a financé la construction de la chapelle “Église de la Sainte Famille” s’est procuré les services du Révérend Père Louis Campbell, prêtre catholique traditionaliste désormais indépendant.

 


 
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Rappel aux incrédules : Jésus-Christ EST NÉ le 25 décembre

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La synagogue gardait la promesse écrite ; l’Église possède l’objet de la promesse.

"La Nativité entre les prophètes Isaïe et Ezéchiel" par Duccio Di Buoninsegna

« La Nativité entre les prophètes Isaïe et Ézéchiel » par Duccio Di Buoninsegna

 

Aujourd’hui, le lien antique est brisé, le diable est couvert de confusion, les démons se sont enfuis, la mort est détruite, le paradis est ouvert, la malédiction est effacée, le péché a été banni, l’erreur a été vaincue, la vérité est revenue, et la parole de la piété est répandue et propagée en tous lieux. La vie du ciel est implantée sur la terre, les anges communiquent avec les hommes, les hommes ne craignent point de s’entretenir avec les anges. Et pourquoi ? Parce qu’un Dieu est venu sur la terre et l’homme dans le ciel, et qu’ainsi tout a été uni et mêlé. Il est venu sur la terre, lui qui est tout entier dans le ciel, et, étant tout entier dans le ciel, il est tout entier sur la terre. Étant Dieu, il s’est fait homme, sans renoncer à sa divinité. Étant le Verbe, non sujet au changement, il s’est fait chair : il s’est fait chair afin d’habiter parmi nous. Il n’est point devenu Dieu, mais il était Dieu. Mais il s’est fait chair, afin qu’une crèche pût recevoir Celui que le ciel ne pouvait contenir. Il est donc posé dans la crèche, afin que Celui qui nourrit toute créature reçoive d’une vierge mère la nourriture qui convient à un petit enfant.

Et de nombreuses personnes (ou sites) véhiculent la désinformation sur la date de naissance de Notre-Seigneur Jésus-Christ incarné… pour détruire La Vérité, par le mensonge — selon l’enseignement de Voltaire « mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose », et de son père le diable — qui a été pourtant maintes fois réfuté depuis belle lurette et en particulier par Saint Jean Chrysostome au IVe siècle, par Rohrbacher en 1876 et par l’abbé Michel Marchiset qui tous les ans nous le rappelle dans son sermon de Noël ou de l’Épiphanie :

[audio:http://catholicapedia.net/audio/ab-Marchiset_Jesus-Christ-est-ne-un-25-Decembre.mp3|titles=Jésus-Christ est né un 25 Décembre|artists=Abbé Marchiset]

Voici donc, une nouvelle fois, la réfutation, pour la gloire de Dieu et le salut des âmes :

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