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La F$$PX infidèle à la Foi Catholique
D’où Vient la Quasi Stagnation Sinon Même la Régression de la Fraternité Saint Pie X ?
Réponse : De Ses Hérésies !
La FSSPX se proclame fidèle à la Tradition. Elle est hélas infidèle à la Foi Catholique.
Elle l’est en enseignant que les papes ne sont infaillibles que très rarement, seulement lorsqu’ils proclament solennellement un dogme …de manière rarissime, et qu’ils peuvent parfois enseigner l’hérésie, même à toute l’Église …puisque c’est ce que firent Roncalli puis Montini et successeurs que la FSSPX tient pour vrais papes. La FSSPX récuse ainsi le Magistère infaillible défini par le Concile Vatican (I) et cru depuis toujours. Elle l’est en enseignant que des papes comme Honorius et Libère ont enseigné l’erreur, ce qui a été démenti par le Concile de Vatican (I) et ce que dément chaque année la fête de Saint Damase longtemps l’adjoint du pieux pape Libère.
Elle l’est lorsqu’elle enseigne que Montini (moderniste, œcuméniste et laïciste hissé sur le siège de Pierre par la complicité du frère maçon Roncalli et de ses nominations d’hérétiques modernistes comme “Cardinaux”), lui qui parapha de son autorité les décrets hérétiques de “Vatican II” (d’Eux) et détruisit la Messe et le sacrement de l’Ordre… était vrai pape légitime ; que le sont de même ses successeurs élus par ses faux cardinaux nommés par ce Montini invalide et par son prédécesseur franc-maçon et leurs successeurs, qui maintiennent ces hérésies pour doctrine officielle (hérésies condamnées solennellement par le Pape Pie X, dont la FSSPX se réclame pourtant, et avant lui par tous ses prédécesseurs Paul IV, Innocent III, saint Pie V, Clément XII, Pie VI, Grégoire XVI, Pie IX, Léon XIII). Elle cautionne comme papes revêtus de l’onction du Saint Esprit ces pontifes judéo-maçons usurpateurs qui enseignent le Clergé et les structures de l’Église dans des hérésies et les sacrilèges, proclament de fausses béatifications, et font le jeu du Judaïsme antichrist, donc radicalement opposés aux devoirs et enseignements du Magistère.
Elle l’est lorsque elle tient Roncalli pour pape légitime, lui franc-maçon et Rose-Croix qui opéra le renversement hérétique de la papauté et changea ses pratiques, rites et dogmes pour ceux de la Maçonnerie ; ce maçon∴, excommunié par le Magistère depuis Clément XII, un Pape dont la FSSPX piétine donc allègrement l’édit et ceux de ses successeurs, en ayant reconnu le maçon∴ Roncalli pour pape prétendu validement élu, bien qu’il n’ait jamais renié ses attaches maçonniques qui le mettaient hors de l’Église selon le Droit Divin, et en ayant adopté ses réformes liturgiques ! La FSSPX tient donc pour sans valeur pérenne les anathèmes et l’excommunication latæ sentenciæ portés par le Magistère contre les francs-maçons et assimilés, qui par leur adhésion à la secte renient l’appartenance au Corps du Christ.
Elle l’est lorsqu’elle prétend rappeler la Bulle Quo Primum du Pape saint Pie V sur la messe tridentine, mais tient pour sans valeur les anathèmes de cette bulle contre qui porterait atteinte à cette Messe, ce que fit Montini en l’interdisant ; la FSSPX qui pose en traditionaliste méprise donc la validité et la pérennité des condamnations solennelles du Magistère.
Elle l’est lorsqu’elle dédaigne les condamnations de la Bulle Cum ex apostolatus de Paul IV affirmant nulle et sans valeur toute élection, même obtenue à l’unanimité du Conclave et reconnue de toute l’Église, d’un “pape” qui prétendrait s’écarter du Magistère, ce que firent les Roncalli, Montini et successeurs, Ratzinger et celui d’aujourd’hui, bulle qui déclare et affirme nulles les décisions de tels usurpateurs illicites, que la FSSPX affirme néanmoins à ses prêtres et ses fidèles être Papes de l’Église, et dont elle reconnaît la hiérarchie !
De ces affirmations non-catholiques de la FSSPX s’ensuivent d’autres conséquences : sa doctrine sur la cène de Paul VI dite “nouvelle messe”, œuvre de protestants, que la FSSPX tient pour « peut-être bien valide lorsque bien dite ! » (doctrine enseignée à Écône et sur un document de Mgr Lefebvre distribué au Pointet au début des années 1990) cela, en dépit du document officiel d’institution de cette néo-cène qui en a évacué tout sens sacrificiel, a supprimé l’Offertoire et une partie des paroles de la Consécration du vin… et en contradiction avec l’enseignement de Léon XIII que les prières annexes donnant son sens au sacrement (ici l’Offertoire catholique Tridentin et celui des autres rites catholiques) sont absolument nécessaires à la réalisation valide du sacrement.
Ne voulant pas reconnaître ses erreurs concernant les prétendus papes de “Vatican II” (d’Eux), la FSSPX tient pour valide le changement radical du Pontifical opéré en 1968 par le juif Montini, instituant un rite sans valeur de sacrement et qui donc mit fin au sacerdoce institué par Notre Seigneur Jésus-Christ !
La FSSPX enseigne donc que la hiérarchie de l’église de Vatican II est bien celle de l’Église catholique (!) alors que ces “évêques” et “cardinaux” sont des modernistes et des maçons∴, nommés par un pouvoir invalide et nul (Bulle de Paul IV), et ont reçu (Ratzinger et son successeur inclus) un pseudo rite de sacre sans valeur sacramentelle, comme ce fut attesté et démontré par le délégué apostolique de l’église Syro-Chaldéenne Catholique auprès du Vatican en 2005 à Mr Bourcier de Carbon. (Cf. VM N°247 et CIRS 31/03/07)
Comment affirmer à la fois : « Montini détruisit l’Église plus vite et plus complètement que Luther » comme déclara Mgr Lefebvre, et en même temps affirmer qu’il est pape de l’Église ; à la fois que la néo-messe est « valide, mais mauvaise« et que tout en étant celle du pape qu’ils reconnaissent, il ne faut pas y aller ! : incohérence, absurde et scandaleuse, et vrai blasphème contre le Saint-Esprit.
Les enseignements de la FSSPX, clairs comme un jour d’épais brouillard, ses mensonges politiques et ses grossières erreurs libérales frappant d’incohérence et de contradictions tout son enseignement ont entraîné le retour à l’église moderniste judaïsante de Vatican II de centaines de ses prêtres.et de dizaines de milliers de fidèles catholiques via les scissions de la Fraternité Saint-Pierre et les abandons individuel ; elles continueront leur œuvre de sape de la Foi aussi longtemps que la FSSPX les maintiendra. Elles ont complètement brouillé le sens catholique de ses prêtres et fidèles, qui ne savent plus et ne se soucient même plus de savoir si un Pape est faillible ou infaillible dans son enseignement solennel à toute l’Église (bulles, rescrits sur la Foi, les rites, la morale, les béatifications, etc.). Comme des modernistes et des maçons∴, la FSSPX est allée jusqu’à tronquer le livre du Père de Clorivière qu’elle réédita pour en supprimer l’affirmation de l’infaillibilité du pape, exposée par le docte jésuite comme une évidence catholique soixante-dix ans avant la proclamation du dogme.
Qui nie une vérité catholique perd toute la FOI. La FSSPX n’est donc pas catholique. Nulle surprise que son apostolat soit stérile, qu’elle ait enregistré un nombre très élevé de défaillances et défections des prêtres qu’elle a ordonnés, soit par défroquage, soit par passage à la secte moderniste que la FSSPX confond avec l’Église. Le tissu d’incohérences et d’erreurs de la société lefébriste explique au moins en partie ces défaillances. La FSSPX par son hérésie mène inéluctablement les fidèles au ralliement avec les modernistes.
Que ses prêtres étudient la doctrine et le Magistère, et ils rejetteront les erreurs et hérésies enseignées à Écône et obstinément maintenues par leur néfaste direction.
Que ceux qui veulent être ordonnés prêtres catholiques cherchent ce sacrement auprès d’évêques strictement orthodoxes dans la Foi comme il s’en trouve aux USA ou ailleurs.
Il est gravissime d’envoyer étudier au Séminaire d’Écône des jeunes désirant se destiner à la cléricature où il leur sera inculqué des notions non catholiques qui les marqueront à vie.
Nous signalons enfin que tous les évêques lefébristes, Mgr Williamson inclus plus encore, professent la même non-foi concernant l’infaillibilité pontificale, et que s’adresser à eux revient à s’adresser à des protestants !
Qui n’a pas la foi même sur un seul point du dogme n’est pas catholique (Léon XIII, Satis cognitum) : il est donc vain de multiplier les actes de piété, prières et pèlerinages avec la FSSPX, puisqu’elle s’obstine à nier le dogme de l’infaillibilité pontificale. Qu’elle se mette donc d’abord en règle avec la FOI et qu’elle évince ceux qui l’ont dévoyée, notamment sa direction actuelle et ceux des responsables de district soutiens de la même fausse doctrine. Tant que ses prêtres n’auront pas compris ces vérités premières, il est inconvenant de leur confier des messes à célébrer et d’aider financièrement cette société (F$$PX), ce qui reviendrait à aider l’hérésie moderniste d’Écône à se perpétuer et se diffuser.
La FSSPX dénonce de manière tonitruante les effets – les hérésies du conciliabule Vatican II (d’Eux) – pour en cacher les vraies causes, les vrais responsables : la montée sur le trône de Pierre d’apostats vendus à l’adversaire pour trahir et transformer l’Église, Roncalli et Montini fondateurs d’une église Maçonnique qui désormais s’auto perpétue – et avant eux les vrais géniteurs de “Vatican II” (d’Eux) que furent les trois papes complices de l’hérésie moderniste successeurs de Pie X.
Le Bon Dieu est très patient mais ne permet pas que l’on se moque de Lui.
Que les prieurs y réfléchissent.
L’église Conciliaire, ennemi du catholicisme traditionnel
Nous diffusons aujourd’hui un bon article de Johan Livernette publié sur son blogue que nous vous recommandons.
Dommage que, comme beaucoup (et dans la fausse majorité Traditionnel en particulier) l’auteur écrive l’église conciliaire avec un E (É) majuscule !!!
Ce “É” majuscule EST blasphématoire, c’est d’attribuer le terme d’Église à une secte qui ne représente qu’elle-même et pas l’enseignement apostolique et patristique de toujours !
CatholicaPedia écrit « église Conciliaire » avec une minuscule pour le ‘é’ de ‘église’, comme la Rome de toujours l’a toujours fait à l’égard des communautés qui ne possèdent pas le Sacerdoce sacrificiel valide ni la succession apostolique.
L’église [secte] Conciliaire ne possède plus aujourd’hui le Sacerdoce sacrificiel sacramentellement valide ni même la succession apostolique, et ne mérite plus de porter le nom d’Église avec une majuscule.
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L’église Conciliaire, ennemi du catholicisme traditionnel
Par Johan Livernette
« Les Catholiques libéraux sont les pires ennemis des Catholiques intégraux, car c’est du dedans qu’ils trament la ruine de l’Église ! » [1] Cette affirmation de saint Pie X n’a jamais été aussi vraie qu’en ces temps obscurs où le démon fait des ravages. Nous allons voir qu’il en fait autant dans l’église du Vatican qu’en dehors car Rome a bel et bien perdu la foi et deviendra sans doute le siège de l’Antéchrist.
La préoccupation de toute société doit être le bien commun au sein de la population. Ceci concerne le pouvoir temporel. S’agissant du pouvoir spirituel, le but est le salut des âmes. Il est évident, aujourd’hui, que l’autorité sévissant dans l’église Conciliaire ne remplit point ses deux objectifs primordiaux : sanctifier et sauver les hommes. Ce simple constat ne peut être contredit. Remonter aux causes mériterait une étude approfondie du sujet en relatant les différents schismes de l’Église. Nous cernerons donc les grandes lignes du problème actuel dans un esprit de synthèse.
L’église Conciliaire n’est pas catholique
Depuis 1962, la liste des hérésies et renoncements de l’église Conciliaire est trop longue pour qu’on puisse en faire le tour [2]. Nous nous attacherons ici aux fondamentaux, au catéchisme de Jean-Paul II (1983) par exemple qui, dans la droite ligne de Vatican II, indique que l’Église catholique doit s’adapter à l’esprit du monde et non l’inverse. Cette trahison de principes est complétée par tant d’erreurs. Subjectivisme, évolutionnisme, liberté religieuse, œcuménisme religieux, rationalisme, naturalisme, fausse considération sur la grâce, éloge de la laïcité, négation du péché originel, de la transsubstantiation, tutoiement de Dieu, appartenance d’hommes d’Église à des sociétés secrètes… et la liste est non exhaustive. Le venin du modernisme passera inaperçu pour beaucoup, mais pas pour certains qui ne transigeront jamais sur les principes, la doctrine, la vérité face à l’erreur, car comme disait Léon XIII dans « Satis cognitum » en 1896 : « Quiconque soutient une seule de ces hérésies n’est pas catholique. »
Les ennemis de l’Église l’ont attaquée et minée de l’intérieur. Tout fidèle est actuellement orphelin d’autorité. Le modernisme a gangrené le catholicisme romain à tel point que ce dernier n’est plus catholique, puisqu’on se sépare de l’Église catholique par l’hérésie. Se faire sa propre vérité, sa religion à la carte, est devenu courant dans l’inconscient collectif. L’œcuménisme religieux est devenu l’idéologie dominante appliquée par les modernistes dirigeant Rome. Tout homme aurait la grâce, selon eux, et n’aurait plus besoin de pratiquer pour se sauver, mais juste croire pour aller au ciel. Ce postulat spirituel des plus protestants débouchera sur de terribles conséquences (divorce, dépression, débauche, mœurs dépravés…) qui sont les résultats concrets des maux de notre société.
Rome et la perdition des âmes
Lors du Concile Vatican II et sous la pression du judaïsme international (American Jewish Committee, B’naï B’rith) [3], des concessions ont été faites à la communauté juive organisée et sa religion antichrétienne. Bien pire pour les fidèles, les sacrements ont été modifiés et demeurent aujourd’hui encore invalides. À en croire un proche de Paul VI, Jean Guitton, les dés étaient jetés dès le début : « L’Église catholique est morte dès le premier jour du Concile Vatican II. Elle a fait place à l’église Œcuménique. Elle ne devrait plus s’appeler catholique mais œcuménique. » Ce drôle d’aveu nous rappelle que les conditions nécessaires pour être catholique ne sont pas remplies par l’église Conciliaire qui ne contient pas une même foi, une même hiérarchie ni les mêmes sacrements d’origine. Ainsi, cautionner cette contrefaçon de l’Église en y restant, en minimisant ses méfaits, en lui trouvant toutes les excuses imaginables, en fermant les yeux sur les innombrables erreurs qu’elle propage, sur les casseroles de ses dirigeants, c’est faire le jeu de l’ennemi tout en allant à sa perte.
Le problème de l’heure présente est profond car la conjuration antichrétienne constante. Il convient, encore et toujours, de se poser d’abord les bonnes questions afin de trouver les solutions appropriées. Comme chacun sait, on juge un arbre à ses fruits. Or quels effets produisent les discours hérétiques des dirigeants de Rome ? Quelles mœurs ont ces Catholiques suivant le catéchisme de Jean-Paul II ? Quelles conséquences a cet enseignement désastreux ? Les fidèles ont-ils la science et la piété ? La charité ? Les questions sont embarrassantes et les réponses bien cruelles. Car force est de constater que nombreux sont ceux qui ont fui le catholicisme, nombreux sont ceux qui ont perdu la foi. Nombreux sont les prêtres ayant défroqué. Nombreux sont ceux, aussi, parmi les fidèles, qui ont changé de religion, notamment suite au Concile dans les années 1960. Et donc nombreux sont ceux dont l’âme sera damnée. Non seulement les dirigeants de l’église Conciliaire les ont fait fuir, mais ils sont parvenus à dégoûter leurs fidèles du catholicisme. À tel point qu’il est ensuite très difficile de les faire revenir dans le droit chemin. Saint Pie X ira jusqu’à dire que « les modernistes sont inconvertissables ». Convertir un agnostique ou un athée au véritable catholicisme sera bien plus réalisable, surtout si celui-ci a le goût des valeurs. Ce constat est terrible. Les fidèles conciliaires devraient en avoir conscience. Car pire encore que les pitreries de Bergoglio et comme constaté précédemment, la vocation de cette “Eglise officielle” est incontestablement la perdition des âmes et c’est bien cela le plus grave. Cette conséquence catastrophique devrait inciter tout Catholique à en sortir urgemment et obligatoirement, à la combattre ardemment, sans concession ni remord.
Bergoglio, marionnette du lobby juif
Saint Pie X avait donc parfaitement raison de dire que « les Catholiques libéraux sont les pires ennemis des Catholiques intégraux », car c’est à cause du poison moderniste qu’ils mènent les fidèles à leur perte. Une fois ce constat établi, la solution passera par le retour à la philosophie du « penser droit » de saint Thomas d’Aquin, à la théologie officielle et infaillible de ce grand Docteur angélique et donc aux fondamentaux qui ont fait l’ordre et l’harmonie dans la société française. Sauf que renouer avec le thomisme est aujourd’hui impossible dans le fief conciliaire.
Au contraire, le nouveau « Pape » poursuit, dans la lignée de Vatican II, des Wojtyla et autre Ratzinger, l’œuvre de destruction programmée par la Synagogue de Satan [4]. Bergoglio reçut, dès son élection, les louanges du Congrès Juif Mondial, du Grand Orient italien et du B’naï B’rith, la secte transalpine déclarant : « Avec François 1er, rien ne sera plus comme avant. C’est un choix de fraternité pour une Eglise du dialogue non contaminée par les logiques et les tentations de pouvoir spirituel ». Comme le prouve le document ci-dessous, l’archevêque Bergoglio fut membre du Rotary Club (il l’est peut-être toujours) qui est affilié à la franc-maçonnerie. Il aurait dû être excommunié, ou tout du moins sanctionné, comme le précise le droit canonique de 1917 [5]. Au lieu de cela, on le retrouve à la tête de l’“Eglise romaine” après avoir été invité par le B’naï B’rith à donner une conférence dans une cathédrale de Buenos Aires [6] ! Bergoglio a aussi participé à une fête talmudique (Hanukkah) dite « judéo-chrétienne » l’an passé [7]. Il fut par ailleurs impliqué dans l’opération Condor, une série d’assassinats fomentée par la CIA en Argentine dans les années 1970 [8]. Pour couronner le tout, son ordination de prêtre était invalide puisque effectuée avec le nouveau rituel en 1968.
Mais aussi ridicule et anticatholique qu’il soit, Jorge Mario Bergoglio n’est pas si dangereux. Le problème de fond reste les dirigeants de l’église Conciliaire, Vatican II, le rituel d’ordination et les sacrements non valides, le catéchisme de Jean-Paul II. Nous pouvons même le considérer comme étant « utile » dans le sens où son modernisme est particulièrement marqué, ses amitiés plus que douteuses, ses antécédents des plus suspects. Il est donc plus facile à démasquer que son prédécesseur. Ami des Juifs, ennemi avéré des Catholiques traditionalistes, Bergoglio ne pourra être pris au sérieux bien longtemps, à moins d’être sourd et aveugle ou de mauvaise foi ou contaminé par le modernisme, ce que sont le plus souvent et malheureusement la plupart des fidèles de l’église Conciliaire. À ceux-là, encore plus qu’aux autres, nous rappellerons les mots si justes de Dom Guéranger : « Quand le pasteur se change en loup, c’est au troupeau de se défendre tout d’abord. » Nous leur recommanderons aussi l’étude du catéchisme de saint Pie X [9] et clamerons enfin sa devise que Rome a délibérément délaissé : « Instaurare omnia in Christo » [10].
Johan Livernette pour « Rivarol » le 2 avril 2013
[1] Encyclique « Pascendi » de saint Pie X en 1907.
[2] Les 202 hérésies du Concile Vatican II sont détaillées dans ce document : http://lacontrerevolution.files.wordpress.com/2013/03/hc3a9rc3a9sies-de-vatican-ii-et-de-jean-paul-ii.pdf
[3] Lire « Le judaïsme et le Vatican » de Léon de Poncins, éditions Saint-Remi.
[4] Lire « Mystère d’iniquité » de Pierre Virion, éditions Téqui.
[5] Droit canonique, 2335 : “Ceux qui donnent leur nom à une secte maçonnique ou à d’autres associations du même genre qui complotent contre l’Église ou les pouvoirs civils légitimes, contractent par le fait même une excommunication simplement réservée au Siège apostolique.”
2336 : “En outre les clercs et les religieux qui donnent leur nom à la franc-maçonnerie ou à des associations semblables doivent être dénoncés à la S. Congrégation du S. Office.”
[8] http://www.mondialisation.ca/bergoglio-a-participe-au-silence-complice-de-leglise-avec-la-dictature-genocidaire/5327535
[9] En vente aux éditions Saint-Remi : http://www.saint-remi.fr/details-catalogues.php?id=171
[10] “Tout restaurer dans le Christ.”