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VISIBILITÉ DE ÉGLISE : Église visible…chef visible de l’Église…
Nos contradicteurs aiment à nous parler — pour nous accuser, de schisme, d’hérésie, (sinon d’erreur) quant à notre position dite “sédévacantiste” — de la « visibilité de l’Église »… de « l’Église visible »… de « chef visible de l’Église » (leur saint Père)…
Qu’en est-il de leur « visibilité » aujourd’hui ? dans une église Conciliaire à Bi-Pape ???
Deux événements leur ont “sauté à la figure”… vendredi dernier, le 5 juillet 2013 :
François et Benoît ont consacré le Vatican à Saint Michel, le jour même de la présentation au monde de l’“encyclique” écrite « à quatre mains » — comme ont dit les média — Lumen Fidei.
Le jour où est présentée au monde l’encyclique écrite « à quatre mains » Lumen Fidei, signée par François mais de prédominante facture ratzingérienne, le pape Bergoglio appelle son prédécesseur à se manifester en un moment public « ordinaire » et il « décongestionne » ainsi nonchalamment tout psychodrame sur les « deux papes » exprimées par des essaims d’analystes ronchons. Ceux pour qui les gens « ne comprendraient pas » et « resteraient dans la confusion ».
VATICAN INSIDER – La Stampa – LaStampa.it
ANOMALIE bicéphale
Bi-Pape
Le mauvais effet du dernier acte de ce vendredi 5 juillet, avec l’apparition en public de François et Benoît , tête à tête, côte à côte, coude à coude, dans deux fauteuils, assis l’un à côté de l’autre… Une image trompeuse à l’extrême.
Si Francisco renonçait aussi… (quelque chose qui, depuis qu’il est apparu au balcon, pourrait arriver à tout moment), ce serait un cauchemar de voir ensemble… trois, puis un autre… un autre… et un autre…
Comme sur les photos de ce vendredi, Benoît portait une croix pectorale en or et Francisco une croix pectorale d’argent, celui qui viendrait… pourrait montrer une croix pectorale de bronze…
Le pire, c’est que la plupart ont applaudi, pas de problème.
Je maintiens, toutefois, que le traumatisme frappe de l’intérieur. Parce que le « chef visible de l’Église est le pape », — comme ils disent — et aujourd’hui — comme ils l’expliquent — il y a deux têtes visibles…
Même si l’un paraissait davantage « la tête » que l’autre … encore que…
Sources :
Radio Vatican : http://fr.radiovaticana.va/news/2013/07/05/françois_inaugure_une_statue_de_saint_michel_en_présence_de_benoît_xvi/fr1-707714
Vatican Insider : http://vaticaninsider.lastampa.it/es/vaticano/dettagliospain/articolo/francesco-francis-francisco-26233/
Benoît et moi (français) : http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/franois-consacre-le-vatican-a-st-michel.html
LA CONSÉCRATION DE LA RUSSIE SERAIT-ELLE POSSIBLE AUJOURD’HUI ?
En complément de l’article précédent sur « Le troisième Secret de Fátima » voici l’article essentiel de M. l’abbé Méramo sur la consécration de la Russie demandée par Notre-Dame à Fátima en 1917 :
La Consécration de la Russie
Serait-elle Possible Aujourd’hui ?
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Dans une partie du monde catholique actuel, y compris bon nombre de secteurs « traditionalistes », il est monnaie courante d’entretenir l’illusion puérile que la consécration de la Russie serait possible aujourd’hui. Ces nostalgiques, ces « prestidigitateurs » du message de Fátima méconnaissent la grammaire le plus élémentaire, car il est évident qu’ils divaguent faute de comprendre à quoi renvoie le « futur imparfait ». Ce dernier peut transmettre plusieurs nuances ; entre autres, il peut signifier un souhait, une possibilité, quelque chose d’inachevé ou d’incertain, par exemple : « tu ne tueras point, tu ne jureras pas en vain ». Cela veut-il dire que ceux à qui s’adresse cet ordre ne tueront jamais ou ne jureront jamais en vain ? Le « futur imparfait » peut aussi véhiculer une idée de conjecture ou de probabilité, pour indiquer le caractère probable ou possible d’une action et formuler une hypothèse, lorsque le locuteur n’est pas certain de ce qu’il dit et lui confère donc une note conditionnelle. Il y a enfin ce que l’on peut appeler « futur impératif », qui a un sens prospectif et un caractère modal d’obligation équivalant à un impératif et qu’on emploie pour donner – par le biais d’une loi ou d’un commandement quelconque – un ordre catégorique d’une très grande force supposé ne laisser aucune faculté de dérobade ou de révolte ; il reste cependant toujours possible de l’exécuter ou non. Ce fut le cas de l’ordre en forme d’interdit donné par Dieu à nos premiers parents dans le Jardin d’Eden.
La phrase : « Le Saint-Père me consacrera la Russie » ne veut pas dire que le Saint-Père ne refusera ou ne négligera pas de faire ce qui a été ordonné, car il y a là une idée de conjecture, une probabilité… ce qui s’est d’ailleurs vérifié depuis. En outre, Notre Dame a donné à cette phrase un sens quasi potentiel, presque désidératif ; sinon, pourquoi a-t-elle laissé planer la possibilité d’une non-exécution de cet ordre ? « … je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis. Si mes demandes sont acceptées, la Russie se convertira et il y aura la paix ; sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres […] diverses nations seront détruites. » Malheureusement, ces erreurs ont déjà été répandues à travers le monde, et nous devrions même nous demander si l’Occident naguère chrétien n’est pas plus corrompu que ne l’était l’URSS aujourd’hui disparue. En outre, il est clair qu’avec l’adverbe « sinon », Notre Dame a introduit le second terme d’une alternative.
Il peut y avoir aussi un « futur imparfait » de valeur concessive : « Même si vous ne vous conformez pas à ce que je demande, il se produira ceci… »
« Pour les sauver [les hommes], Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes se sauveront, et on aura la paix ! La guerre va finir ; mais si l’on ne cesse pas d’offenser Dieu, une autre, pire, va commencer sous le règne de Pie XI. Quand vous verrez une nuit éclairée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il va punir le monde de ses crimes par le moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l’Église et contre le Saint-Père. Pour empêcher cela, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la Communion réparatrice des premiers samedis. Si l’on écoute mes demandes, la Russie se convertira, et on aura la paix ; sinon elle répandra ses erreurs dans le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés ; le Saint Père aura beaucoup à souffrir ; plusieurs nations seront anéanties. Finalement, mon Cœur Immaculé triomphera. »
Ce dernier futur – « triomphera » – a, quant à lui, une valeur absolument catégorique, puisqu’il s’agit de la parole de Notre Dame et que c’est de Notre Dame et d’elle seule que dépend la réalisation de ce qui est annoncé là.
Il est donc évident que même si l’on n’accomplit pas ce que désire Notre Dame, son Cœur Immaculé triomphera en fin de compte. Quand ? À la fin, c’est-à-dire à l’unisson avec le triomphe du Christ-Roi, autrement dit lors de la Parousie de Notre Seigneur. Tout le reste n’est qu’élucubrations prétentieuses et déductions ridicules dénotant des esprits fiévreux, appauvris, déstructurés, de même qu’un sens commun déficient.
Cela montre bien que notre époque continue à souffrir d’une absence de vision apocalyptique, alors que l’Apocalypse est justement au centre même de la question. Ou bien on approfondit cette dernière sur le plan théologique en faisant une exégèse consciencieuse et réussie du texte de saint Jean, qui fait l’objet d’une vaste littérature, ou bien la Parousie arrivera alors que l’on continuera de penser à la consécration dès lors caduque, anachronique et impossible de la Russie.
Andrés Carballo
Cet important éclaircissement d’Andrés Carballo m’en a beaucoup appris au sujet d’un problème que me posait depuis quelque temps la consécration de la Russie évoquée dans le troisième Secret de Fátima. Car en réalité, cette consécration annoncée ne cadrait pas avec la situation que nous connaissons actuellement. En outre, à partir de 1940, les erreurs de la Russie allaient se répandre dans le monde, la Deuxième Guerre mondiale donnant le signal de leur déchaînement. Donc, à partir de cette date, toute consécration devenait tardive, et les conditions posées par Notre Dame n’étaient plus réunies, même avec la consécration effectuée par Pie XII le 7 juillet 1952 ainsi qu’avec les deux précédentes faites par ce même Pape, qui dataient des 31 octobre et 7 juillet 1942 ; indépendamment de la question de savoir si ces consécrations ont été faites ou non selon les exigences de la très Sainte Vierge, elles furent tardives (post factum) dans la mesure où elles étaient censées éviter ce qui se déchaînait déjà ; en effet, celui qui aurait dû y procéder – et avant 1940 – n’était autre que Pie XI, mais la volonté expresse de la Reine des Cieux n’ayant pas été respectée, les maux commencèrent alors à s’abattre sur le monde, maux qu’il était absurde de prétendre éviter alors qu’ils étaient déjà là.
Le problème – et il est grave –, c’est que la plupart des prêtres et des fidèles ont une conception éculée de Fátima et de la consécration de la Russie, car ils croient que celle-ci serait possible aujourd’hui encore, comme si nous ne supportions pas déjà les ultimes conséquences du non-respect des demandes de Notre Dame ; pour pieuse qu’elle paraisse, cette croyance est d’une sottise affligeante, car elle suscite de fausses attentes et espérances qui sont hors de propos, séparées du contexte actuel, comme si nous ne souffrions pas de tous les maux annoncés, maux qu’il aurait été possible d’éviter si la consécration avait été faite avant 1940, année où ils avaient déjà commencé.
C’est triste à dire, mais cela dénote l’infantilisme spirituel de la grande majorité du clergé, qui n’évalue pas avec sagesse et profondeur de vue le moment historique que nous vivons. De plus, cela nuit à la compréhension et à l’interprétation des faits historiques en dénaturant le message (la prophétie apocalyptique) de Fátima, qui n’a été donné que pour confirmer celui de La Salette ; à savoir que l’Église serait éclipsée et que Rome perdrait la foi et deviendrait le siège de l’Antéchrist, paroles terribles que peu d’esprits ont su élucider par manque de clarté et de vision apocalyptique. Tout cela présente l’inconvénient supplémentaire de nous faire vivre un rêve pieux, mais dépourvu de toute vérité.
En ce qui me concerne, je n’ai jamais réussi à faire cadrer la phrase « Le Saint-Père me consacrera la Russie » avec le contexte historique où nous vivons. En effet, à quoi pouvait bien servir la consécration après que l’hécatombe eut commencé ? Il était trop tard pour l’empêcher ; au mieux, on pouvait atténuer, mais en aucun cas supprimer les maux qu’il fallait endurer de toutes manières dans la mesure où l’on n’avait pas prêté attention à la voix du ciel.
D’autre part, quel genre de consécration pouvait-on attendre des “papes” conciliaires et postconciliaires et de tout l’épiscopat qui les suit dans leur erreur ? Tout espoir de ce genre est absurde, puisque les personnages en question font précisément partie du grand châtiment annoncé à Fátima, où fut prédite une perte quasi totale de la foi. Et comme nous l’avons déjà dit, même si Pie XII avait procédé correctement à la consécration demandée, il était déjà tard pour le faire ; en effet, cette dernière était censée éviter les maux, non les atténuer ou les diminuer, car la Volonté divine était d’enrayer miraculeusement – par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie et pour l’honneur de la Mère de Dieu – les maux que la Russie s’apprêtait à répandre, ainsi que de montrer au monde le caractère miraculeux de cette intercession.
Les éclaircissements grammaticaux d’Andrés Carballo montrent donc que cet avenir ne peut se réaliser de manière infaillible, contrairement à ce que nous pensions presque tous jusqu’à présent, mais qu’il représente une simple potentialité intrinsèque, ainsi que l’auteur l’explique en termes aussi clairs que lapidaires.
Euréka ! ai-je envie de crier, car à mes yeux, ce « mystère » (ou plutôt ce problème) auquel je ne voyais aucune explication, est à présent tout à fait surmonté.
L’annonce par Sœur Lucie de la conversion finale de la Russie signifie non pas qu’on devra cet événement à une consécration, mais qu’en fin de compte et en dépit de tout, la Russie se convertira comme se convertiront les Juifs et tous les peuples, et qu’il n’y aura donc plus alors qu’un seul pasteur et un seul troupeau.
Enfin, il ne faut pas confondre avec les canons russes les maux que la Russie propage et inflige, car ces maux sont dus non pas à des canons, mais au communisme et à l’humanisme athée. Il va de soi que cet humanisme se présente sous des dehors moins rugueux et plus avenants, ceux de la démocratie anthropothéiste vantée aussi bien par le capitalisme que par le communisme, et même par la nouvelle religion que proclament l’église Conciliaire et la Rome moderniste antéchristique.
On doit tenir compte aussi du fait que toute prophétie en la matière est subordonnée à la grande prophétie publique et scripturaire de l’Église qu’est l’Apocalypse, unique livre prophétique du Nouveau Testament, avec lequel il importe donc que tout concorde. Le problème est qu’on déplore un manque d’exégèse apocalyptique dans les milieux cléricaux, depuis longtemps allergiques à tout ce qui parle d’Apocalypse et de Parousie. Voilà pourquoi la plupart des « fátimologues » sont à côté de la plaque.
Il ne reste plus qu’à attendre le triomphe simultané des Saints Cœurs – le Cœur Immaculé de Marie et le Sacré Cœur de Jésus –, qui se produira en fin de compte et en dépit de la grande hécatombe apocalyptique, de la grande tribulation, de la grande apostasie, de l’abomination de la désolation dans le Lieu Saint et du mystère d’iniquité. Ce sera alors le jour de la glorieuse Parousie.
Basilio Méramo
Bogotá, le 30 août 2012
En la fête de sainte Rose de Lima
ÉCROULEMENT DE L’ÉGLISE (CONCILIAIRE !)
« ILS ONT… TOUT DÉTRUIT »… après ils ne leur reste plus qu’à détruire totalement NOS églises que nos ancêtres ont construites :
Nous avons reçu cette information que nous commentons.
RU 33/2012 – ÉCROULEMENT DE L’ÉGLISE
ÉCROULEMENT DE L’ÉGLISE (ru, 20 août 2012) – L’Eglise Catholique Romaine[1], encore grandiose jusqu’aux années du Concile Vatican II, s’écroule à pas géants. (L’église Conciliaire n’est pas l’Église catholique romaine !) Il y a 10 ans l’abbé de Tanoüarn pouvait encore prévenir : « La nef de l’Église tombe en ruines, bientôt il n’y en aura plus que les façades ». Bien sûr, il parlait au sens figuré. Mais aujourd’hui, même les façades cèdent, comme cette belle façade de l’église Saint-Vincent-de-Paul à Québec qui fut finalement – une vingtaine d’années après la démolition de la nef – livrée aux boules et pelles démolisseuses en février 2010 en faveur d’un projet hôtelier.
Peu après un livre parut dans les librairies du Québec : « La démolition de la façade de Saint-Vincent-de-Paul annonce-t-elle la disparition du Catholicisme[2] au Québec ? » En France les choses ne sont guère meilleures.
Prenons un diocèse au cœur même de la France : l’Allier en Auvergne (avec les villes de Moulins, Vichy etc.). Son pseudo-“évêque” Mgr (Monsieur) Pascal Roland[3], a osé dire la vérité concernant les nombres et les chiffres actuels de son diocèse (conciliaire) ! Ce département a 345.000 habitants. 7500 personnes vont le dimanche à la messe[4], dit l’évêque par suite à un comptage réel de fin 2011, ce qui représente 2,2 % de la population. Sur ces 7500 fidèles il y a 71 % de femmes et 29 % d’hommes. 60% de ces fidèles ont plus de 60 ans d’âge. Pratiquement pas de fidèles entre 20 et 40 ans, avoue l’évêque. Actuellement il y a encore 94 pseudo-“prêtres” diocésains. Mais Mr Roland annonce à ces ouailles : compte tenu des âges et du non-renouvellement des prêtres manque de vocations et d’ordinations (conciliaire), il est pratiquement sûr que, dans les prochaines 15 années, le nombre des fidèles se réduira encore une fois de moitié, on n’aura donc plus que 1 % de la population du département fréquentant la messe du dimanche, en pleine Auvergne ! Également, dans 15 ans, le nombre de pseudo-“prêtres” de moins de 75 ans d’âge tombera à environ 15. Il continue : le budget du diocèse est actuellement de 4 millions Euro par an, sans dettes pour l’instant, mais dès 2015, c’est-à-dire dans 3 ans, il manqueront (sic !) 500.000 Euro. La raison invoquée ? La diminution du nombre de fidèles, et le rétrécissement de la générosité. L’ pseudo-“évêque” a publié ces chiffres le 23 janvier 2012, en créant une commission qui, face à cette situation dramatique du diocèse, devait soumettre des solutions pour le 1 juillet 2012. Il leur a clairement posé la question : « Que devons-nous abandonner ? » Il y aurait « des choix pastoraux douloureux » à faire (fermetures d’églises, regroupement de paroisses etc.). Il se trouve que Benoît XVI a subitement, le 15 juin 2012, nommé Mr Roland évêque de Belley-Ars. Mon-seigneur ne verra donc pas la suite de l’écroulement actuel du diocèse de l’Allier. Et l’Allier n’est qu’un exemple.
Une Église Catholique (L’église Conciliaire n’est pas l’Église catholique romaine !) qui ne comptera plus que 1% de la population en France ? C’est une église (conciliaire) sans nef ni façade, c’est une église abattue, (qui a) apostasiée, en cours de dissolution[5]. Voilà la vérité. D’autant plus il est incompréhensible comment Rome peut refuser actuellement un accord avec les fidèles de la Tradition (F$$PX), en exigeant d’eux au préalable l’acceptation totale et absolue d’un Concile Vatican II par suite duquel cette catastrophe s’est produite en France, en Europe, et presque dans le monde entier.
Dans ce contexte l’UNEC (Union des Nations de l’Europe Chrétienne)[6] vient d’envoyer une lettre personnelle au “Saint Père” actuel, consistant de ces simples phrases (traduites de l’allemand) : « Très Saint Père, Dieu Vous donne aujourd’hui la possibilité de dépasser Votre échec avec Mgr Lefèbvre. L’église (conciliaire) doit pouvoir aimer une spiritualité qui veut être à 100 % fidèle à la Tradition. Accordez s.v.p., avant votre trépas, à la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X une place entière dans l’église (conciliaire) mortellement malade ! » Exaudi nos Domine.
– O.A.M.D.G. –
RU 33/2012 DÉPÊCHE HEBDOMADAIRE DE NOUVELLES CHRÉTIENNES
Disponible pour le moment uniquement en français. Sans copyright (mais mentionnez « ru » s.v.p.).
« RU », le service de presse du réseau UNEC, BP 70114, F-95210 St-Gratien
[1] L’église Conciliaire n’est pas l’Église catholique romaine !
[2] L’église Conciliaire n’est pas le Catholicisme !
[4] « cynaxe » ou un « repas »
[5] « ILS ONT… TOUT DÉTRUIT »… après ils ne leur reste plus qu’à détruire NOS églises, que nos ancêtres ont construites :
http://www.virgo-maria.org/Archives-CSI/2006/CSI-2006-01-16-A00-Ils_ont_tout_detruit_F.pdf
Comment un Pape, vrai successeur de Pierre, assuré de l’assistance de l’Esprit-Saint, peut-il présider à la destruction de l’ÉGLISE, la plus profonde et la plus étendue de son histoire en l’espace de si peu de temps, ce qu’aucun hérésiarque n’a jamais réussi à faire ?
[6] Apostate et ralliériste !