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“COMING OUT” au Vatican !!!
“Coming Out” au Vatican !!!
Les faux prêtres de la secte tombent les masques…. et c’est très bien !
Chers amis lecteurs,
J’ai beaucoup hésité à parler de ce sujet très délicat qui heurte la pudeur tout autant que la foi des fidèles que nous sommes ou tentons du moins d’être, avec la grâce de Dieu, dans ce monde si chaotique et inversé. Car en parler en tant que personne privée, hors du cadre très normé de la morale et de ses condamnations sans appel, risque de faire naître chez certaines âmes sensibles ou suspicieuses des réactions quelque peu …diversifiées ! On verra bien !
D’éminentes personnalités laïques ou religieuses, y compris dans nos rangs, ont rappelé toutes les condamnations multiséculaires des personnes qui se livrent sans vergogne et sans retenue à ce qu’il faut bien nommer un vice contre-nature. Le rôle modeste que je me suis imparti ici n’est donc pas de rappeler une énième fois toutes ces condamnations, mais de tenter d’aborder ce problème sous un éclairage spécifique et propre à parvenir à expliquer à toutes les âmes de bonne volonté ce qui fait l’un des fonds du problème.
Certes nous sommes en principe entre adultes et aucun sujet ne doit rester secret (j’ai volontairement écarté le terme “tabou” !) tant que l’éclairage qu’on en donne reste « ad majorem Dei gloriam » et dans la voie étroite d’une charité bien comprise. Tout ce qui touche au plus intime de l’âme et du cœur humain suscite des remous secrets qu’on ne saurait trop manier avec la plus grande précaution.
Pour entrer dans le vif du sujet et faire comprendre à mes lecteurs l’une des nombreuses composantes du problème, je suis bien conscient de m’adresser à des lecteurs très majoritairement respectueux des condamnations de l’Église et aussi très majoritairement “hétérosexuels” dans leur choix de vie et le témoignage de leur existence qu’ils veulent conformes à la loi naturelle, tout simplement.
N’étant pas complètement naïf, je suis également conscient qu’il se trouvera peut-être parmi mes lecteurs quelques rares personnes qui ne se reconnaîtront pas dans cette majorité naturelle, voulue par Dieu, parce qu’elles feront partie d’une minorité infime qui aura plutôt tendance à se définir comme invertie ou pour le moins comme étant sujette à des pensées ou tendances qualifiées de vicieuses car contre-nature. Que l’on me suive bien : il m’importe peu de me poser la question de savoir si ces personnes très minoritaires ont construit leur vie affective sur un énorme déni ou si elles ont pris le problème à bras le corps en adoptant autant que faire se peut les remèdes spirituels et surnaturels recommandés par l’Église.
On juge l’arbre à ses fruits ! Que de mariages ratés ou bradés même au bout de plusieurs décennies sans que le commun des mortels ne devine ce qui a motivé la rupture. Il arrive souvent, et j’en ai lu des témoignages, qu’une jeunesse dissipée refleurisse beaucoup plus tard sur une terre ingrate et empoisonnée car trop longtemps négligée… L’on m’objectera que les personnes normales divorcent aussi à tour de bras et/ou se séparent à tour de bras ! L’objection n’est ni sérieuse ni honnête. Dans ce premier cas, il y a adultère, comportement pervers (avec ou sans enfants) ou grave incompatibilité d’humeurs susceptibles de motiver séparation ou divorce (rassurons-nous plus pour longtemps puisque François Zéro est plutôt pour la nullité du mariage !!!). En ce cas qui fait les frais de cet état des choses ? La morale religieuse…et les enfants !!!
Alors que dans le second cas, même si les raisons apparentes peuvent éventuellement paraître les mêmes (“adultère gay” (!), incompatibilité d’humeur, perversions diverses, etc…) la causalité profonde, c’est à dire la déviance originelle, n’est évidemment pas de même nature que dans le cas d’un couple classique ! On peut aussi dire que tous les invertis n’ont ni “vocation” au “mariage” (“gay” c’est à dire blasphématoire) ni à la “vie apairée”, pour reprendre un lexique plus conforme à la réalité et à la morale !…
Car le problème n’est pas celui de leur tendance, qui ne regarde que leur for interne, ou de leurs chutes, qui ne regardent que leur confesseur (sauf s’il y a scandale public !), mais celui de savoir si ces personnes ont assez de pudeur chrétienne pour garder en elles-mêmes un secret de bon aloi, dont les vertus sont évidentes à tout catholique digne de ce nom. D’aucuns viendront m’opposer peut-être qu’un secret dans le domaine psycho-affectif est à même de générer moult dérèglements, complexes, frustrations et atteintes neuro-physiologiques. Ben voyons !
Me refusant à entrer dans des domaines piégés comme la psychanalyse ou la psychologie, je répondrai que l’humanité a toujours vécu avec bien des frustrations de toutes sortes, conséquences du péché originel, et que le pourcentage des personnes “atteintes” a toujours été bien inférieur à l’intérêt général qu’ont eu toutes les sociétés raisonnables à défendre la loi naturelle et l’ordre social garant de la survie de l’espèce. La société chrétienne ayant parvenu malgré bien des fluctuations à un équilibre relativement satisfaisant pour le plus grand nombre.
Le politique laïque et révolutionnaire ayant généré le phénomène du communautarisme, les invertis les plus radicaux n’ont pas échappé à cette volonté subversive de reconnaissance de leurs soi-disant droits par une société politique elle-même déliquescente…
Ainsi, le secret multiséculaire, individuel et collectif, a-t-il été de plus en plus banni par les porteurs officiels de la conscience “gay” et remplacé par des bannières arc-en-ciel, symbole visible d’une transmutation-inversion quasi-totale : l’impudeur avait cédé la place à la pudeur !!! La « fierté gay » avait remplacé la honte de se savoir démasqué ! La nouvelle église néo-catholique n’échapperait pas non plus à cette formidable mutation.
Qu’on me permette alors une légère digression métaphysico-religieuse : le cloaque d’impureté décrit à La Salette qualifie d’abord, n’en doutons pas, le pourrissement intellectuel et doctrinal des prêtres de Jésus-Christ, accompagné, de temps à autre, par un pourrissement au niveau des mœurs.
Dans des temps disons catholiques, un prêtre aux tendances constitutionnellement inverties, soit ne parvenait pas à la prêtrise, soit accomplissait son ministère dans le renoncement accepté et vécu comme une pénitence car l’aide de l’Église était ce qu’il rencontrait de mieux et de plus efficace tout au long de sa vie. Dispensatrice des grâces de pureté et de chasteté, l’Église n’était pas avare de remèdes pour ses prêtres.
Dans la secte conciliaire, l’ambiance délétère du relativisme doctrinal et du scandale liturgique instaurés par le conciliabule, agit comme un « accélérateur de particules communautaires ». Non seulement ses faux prêtres ne jouissent d’aucune des grâces si spécifiques et merveilleuses du sacerdoce, mais ils se trouvent comme exaltés dans leurs différences (et particulièrement ceux qui sont invertis) par une hiérarchie conciliaire apostate et criminelle.
Alors ne nous étonnons pas que certains, mus par une certaine cohérence intellectuelle, fassent en toute connaissance de cause leur “coming out” ! Dans l’institution religieuse (on ne peut plus parler d’Église stricto sensu) les mutations sont lentes et se font toujours avec un peu de retard par rapport à la société civile.
La logique du prochain synode (“d’Eux !”) voudrait que ces mutations soient entérinées par une majorité de clercs progressistes. Malheureusement, il n’en sera pas ainsi et les leurres diaboliques feront leur office de frein circonstanciel.
Sur un plan stratégique, c’est sans doute cette crainte que les choses ne bougent pas assez vite, qui ont déclenché chez ce théologien (voir l’article du Figaro) de la Curie Romaine (!) le désir d’accélérer le processus en donnant l’ “exemple” !!! Il est même allé jusqu’à s’afficher en public (et en col romain !) avec son compagnon devant les caméras du monde entier.
Oui, la réserve chrétienne a vraiment cédé le pas à l’indécence conciliaire !
J’ose espérer bénéficier de l’indulgence de mes fidèles lecteurs pour un article assez court vu l’ampleur des problèmes qu’il soulève. D’avance je les en remercie.
Pierre Legrand.
(Dans l’article ci-dessous, le langage est totalement conciliaire, faisant croire qu’il s’agit de l’Église catholique)
Au Vatican le coming out médiatique d’un prêtre fait scandale
Où en est le « lobby gay » du Vatican ?
main dans la main avec François
Où en est le « lobby gay » du Vatican ?
Il va main dans la main avec François
Accrochez-vous, braves gens : le blogue “Call Me Jorge” ‘Appelez-moi Jorge’ a déniché une information explosive sur les entourloupes de la secte conciliaire. Vous avez sans doute entendu dire que le 21 mars dernier, le « Pape » François avait dénoncé la Mafia lors d’une séance de prière organisée en l’église Saint-Grégoire de Rome ; en revanche, il y a des chances pour qu’on ne vous ait pas appris qu’en pénétrant dans l’édifice, il avait été photographié main dans la main avec un de ses « prêtres », et pas n’importe quel prêtre…
Voici un court clip vidéo et une autre photo représentant la scène :
À présent, voyons qui au juste est ce prêtre que François est si heureux de tenir par la main. Il s’appelle Luigi Ciotti, et c’est un activiste pro-homosexuel admirateur du scandaleux Frère Andrea Gallo (1928-2013), qui soutenait ouvertement le communisme, le modernisme et la sodomie.
“Appelez-moi Jorge” fournit à cet égard des renseignements, ainsi que d’autres photos et des vidéos :
François le compassionné ? Bergoglio main dans la main avec un partisan de la perversion
Cet article est particulièrement intéressant et révélateur. Lisez-le bien jusqu’au bout et regardez les vidéos. Mais veillez à vous munir auparavant d’un sac pour vomir…
S’agissant à présent de François, vous vous souvenez peut-être que le 28 juillet 2013, lorsqu’il a donné sa première interview sur le vol qui le ramenait de Rio de Janeiro, où il avait présidé les Journées Mondiales de la Jeunesse, l’une des questions qui lui furent posées avait trait au « lobby gay » du Vatican dont l’existence s’était révélée sous Benoît XVI. Sa réponse aussi fourbe que désinvolte fut la suivante :
« On écrit tant de choses sur le lobby gay ! Je n’ai encore rencontré personne, au Vatican, qui ait sur soi une carte d’identité portant la mention « gay ». On dit qu’il y en a. Je crois que lorsqu’on a affaire à une telle personne, il faut établir une distinction selon qu’elle est gay ou qu’elle forme un lobby, car les lobbies ne sont pas tous une bonne chose. Et celui-là n’est pas une bonne chose. Si quelqu’un qui est gay et de bonne volonté cherche le Seigneur, qui suis-je pour le juger ? Le Catéchisme de l’Église catholique explique cela d’une bien belle manière quand il dit… Attendez un moment, comment dit-il ?… Il dit : “Nul ne doit marginaliser ces personnes pour une telle raison, et il faut les intégrer dans la société”. Le problème, ce n’est pas d’avoir cette tendance, non, nous devons nous comporter en frères et sœurs les uns avec les autres ; il y en a qui sont comme ci, et d’autres comme ça. La difficulté surgit dès lors qu’on forme un lobby animé par cette tendance-là, au même titre qu’un lobby d’avares, de politiciens, de francs-maçons, etc. À mes yeux, c’est là que réside le grand problème. »
(Antipape François, Conférence de presse organisée sur le vol de retour des JMJ le 28 juillet 2013)
On a là un résumé complet de l’attitude de François envers les sodomites et leurs alliés : il s’oppose au « lobby gay » du Vatican, bien sûr, mais seulement dans la mesure où il s’agit d’un lobby, non dans la mesure où ce dernier promeut la sodomie ou les sodomites. Autrement dit, pour François, le problème représenté par l’expression lobby gay tient au terme « lobby », non au terme « gay ». Alors, oui, il peut tout aussi bien tenir par la main l’un des membres dudit lobby. Peut-être, un jour, ira-t-il lui-même jusqu’à leur délivrer une carte d’identité…
Ainsi que nous aimons à le dire souvent : « Des choses comme celle-là, ça ne s’invente pas ! »
Novus Ordo Watch : http://www.novusordowatch.org/wire/index.htm#.U0lkG1dqxJt
Traduction : Le CatholicaPedia.net
Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre” déclare publiquement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Le pseudo “Vicaire du Christ sur terre”
déclare publiquement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Dans l’avion qui le ramenait des JMJ de Rio à Rome, papeFrançois a affirmé lors de sa première conférence de presse ne pas juger les homosexuels…
Suite à une question des journalistes, il a évoqué la question des homosexuels. « Le problème n’est pas d’avoir cette tendance, c’est de faire du lobbying. C’est le problème le plus grave selon moi. Si une personne est gay et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ? » a-t-il demandé.
C’était la première fois que cet antipape, version V.2.6 donnait une véritable conférence de presse. Détendu, plaisantant mais prudent, il a répondu à toutes les questions sans en esquiver, parfois après des pauses de réflexion, de manière très maîtrisée, que lui posaient une quinzaine des 70 journalistes présents sur le vol.
Interrogé sur les affirmations selon lesquelles il aurait été tenu dans l’ignorance des relations homosexuelles d’un prélat qu’il a nommé à la banque du Vatican, l’IOR, “Mgr” Ricca, papeFrançois a répondu : « J’ai fait diligenter une enquête brève et nous n’avons rien trouvé sur lui ».
« Je n’ai encore vu personne au Vatican sur la carte d’identité duquel est inscrit gay. On affirme qu’il y en a. Le catéchisme de l’Église catholique dit très bien qu’on ne doit pas marginaliser ces personnes qui doivent être intégrées dans la société ». « Sur le lobby gay, je n’ai rien trouvé. Les lobbies ne sont pas bons », a-t-il dit citant en exemple les lobbies politiques ou francs-maçons.
Évoquant plus largement la sexualité dans l’Église [entendre église Conciliaire], il a distingué “les délits” comme “les abus sur mineurs” et les “péchés”, notamment les « péchés de jeunesse ». « Des laïcs, des prêtres, des sœurs ont fait des péchés et se sont convertis. Quand le Seigneur pardonne, il oublie tout. »
papeFrançois interrogé sur les divorcés remariés, le mariage gay et l’avortement
papeFrançois a par rapport à la question “du pouvoir communier” des divorcés remariés, précisé qu’il « fallait regarder cela dans la totalité de la pastorale du mariage ». « Entre parenthèses, les orthodoxes ont une pratique différente. Ils suivent ce qu’ils appellent la théologie de l’économie et offrent une deuxième possibilité. Je crois que ce problème doit être étudié dans le cadre de la pastorale du mariage. L’un des thèmes sur lesquels je consulterai le conseil des huit cardinaux, du 1er au 3 octobre, sera de voir comment avancer en termes de pastorale matrimoniale ». Après avoir indiqué que le prochain synode des évêques devrait traiter de la pastorale du mariage, il a précisé : « On se marie sans maturité, sans s’apercevoir que c’est pour toute la vie ou parce que, socialement, l’on doit se marier. Cela entre dans la pastorale du mariage, comme le problème judiciaire de la nullité des mariages ».
Interrogé sur le mariage gay et sur l’avortement, auxquels l’Église est fermement opposée, papeFrançois a répondu : « Vous savez parfaitement la position de l’Église ». Pour la seule fois, il a répondu brièvement, sèchement.
Dans ces derniers cas l’église Conciliaire singe (pour le moment) la position ferme de l’Église catholique.
À un journaliste qui faisait remarquer qu’il n’avait durant son voyage au Brésil pas abordé directement les questions de l’avortement et du mariage gay, papeFrançois a répondu très brièvement : « L’Église s’est déjà parfaitement exprimée sur cela, il n’était pas nécessaire de revenir dessus. Il n’était pas nécessaire d’en parler à moins de dire des choses positives. Les jeunes savent parfaitement quelle est la position de l’Église. »
L’agence conciliaire Zenit.org rapporte les faits de cette façon :
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papeFrançois et le lobby gay au Vatican
Comment devant le regard obséquieux et pervers de ce personnage “Mgr” Battista Ricca, Bergo(go)glio peut-il nous faire croire qu’il n’était au courant de rien !
Le prélat du lobby gay
par Sandro Magister
ROME, le 18 juillet 2013 – « À la curie on parle d’un “lobby gay”. Et c’est vrai, il y en a un. Voyons ce que nous pouvons faire », a déclaré le pape François à des religieux latino-américains qu’il recevait en audience, le 6 juin.
Lire l’article : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1350561?fr=y et en particulier : « Le trou noir qu’il y a dans l’histoire personnelle de Ricca, c’est la période qu’il a passée en Uruguay, à Montevideo, sur la rive nord du Rio de la Plata, en face de Buenos Aires. »…
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UN PEU PLUS SUR FRANCISCO ET LES SODOMITES…
Sainte Catherine de Sienne, a reçu cette phrase de Notre Monsieur Jésus-Christ :
“ LA SODOMIE EST PESTILENTE POUR MOI ET DÉSAGRÉABLE MÊME POUR LES DÉMONS EUX-MÊMES ”
« Voilà l’horreur et le dégoût que ce péché me cause, et non seulement à moi, mais aux démons eux-mêmes, que ces malheureux ont choisis pour maîtres. »
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/catherine/oeuvres/dialogue.htm#124
Sainte Catherine de Sienne : vice maudit qui répugne aux démons eux-mêmes
La grande sainte Catherine de Sienne (1347-1380), maîtresse en spiritualité et Docteur de l’Église, condamna avec véhémence l’homosexualité.
Voici comment, dans son Dialogue de la divine Providence, elle relate les enseignements du Christ lui-même à propos du vice contre nature :
« C’est tout immondes qu’ils approchent de ce mystère, et non pas seulement avec l’impureté et la fragilité vers laquelle votre fragile nature vous incline (bien que la raison, quand le libre arbitre le veut, réprime cette rébellion) mais en commettant misérablement, au lieu de le réprimer, le maudit péché contre nature. Comme des maudits et des insensés, puisque la lumière de leur jugement s’est obscurcie, ils ne sont plus incommodés par cette puanteur et par tant de misère ! Non seulement je l’ai en horreur, moi suprême et éternelle pureté (je l’abomine tellement que mon divin jugement a englouti cinq villes uniquement à cause de ce péché) mais que les démons eux-mêmes, les démons que ces misérables se sont donnés pour maîtres, ne peuvent le supporter. Non pas que le mal ne leur déplaise, ils n’aiment aucun bien, mais leur nature a été une nature angélique et c’est pourquoi elle répugne à voir commettre cet énorme péché » (Sainte Catherine de Sienne, Le Livre des Dialogues, chapitre 124, pp. 401402).
À lire (ou relire) avec intérêt : Saint Pierre Damien (1007-1072), Docteur de l’Église, Cardinal, dans son Liber Gomorrhianus (1048-1051) condamne avec une extrême sévérité la pédérastie cléricale et ceux qui la protègent.
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Nous vous présentons maintenant un article de l’américain Michael Anthony Hoffman (à ne pas confondre avec Michael Hoffman, réalisateur, producteur, scénariste et acteur américain né le 30 novembre 1956 à Hawaii.).
Michael Anthony Hoffman, est né en 1954 dans une famille juive d’un quartier populaire de l’est du Queens à New York. Auteur américain de New York, spécialiste des théories du complot, en particulier antimaçonniques, il a étudié l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, et entre dans des discours qui contredisent la version “officielle” des événements – il est donc classé “révisionniste”. Il est peut-être l’homme qui a inventé le terme Holocaustianity — Grand mensonge de l’Holocauste (sionisme) —pour désigner le culte qui a émergé dans le monde de l’après-guerre. Hoffman a puisé dans l’histoire de la Franc-Maçonnerie et de la pègre Kabbalo-Hermético-Gnostique plus généralement, surtout dans des contextes qui révèlent leur influence sur les idées de gouvernement contemporaine et des ingénieurs médias sociaux.
Le « Vicaire du Christ sur terre » déclare textuellement :
« Qui suis-je pour juger un prêtre gay ? »
Par Michael Hoffman
(Lundi 29 juillet 2013)
L’Église catholique de la Renaissance a donné son approbation à l’usure sous le masque de maints euphémismes et ambiguïtés qui éblouissent et sidèrent depuis 1515 les vrais croyants de l’Église de Rome. L’encyclique « Vix Pervenit » du Pape Benoît XIV, avocat des usuriers, en offre un exemple des plus pertinents. Il s’agit, en effet, d’un discours qui, composé à 95% d’anti-usure et à 5% de formules trompeuses, a permis l’adoption d’une clause dérogatoire autorisant certains types d’usure. Or, des « érudits catholiques conservateurs » de mentalité suicidaire défendent aujourd’hui encore cette clause comme constituant une défense contre l’usure.
Forts d’exemples comme celui-ci, nous devrions savoir qu’il est aberrant d’imaginer que l’ambiguïté et les élucubrations équivoques de l’actuel Pape François soient le sous-produit d’une mentalité « vaticandeuse » des années soixante. Quiconque croirait cela prouverait que la cryptocratie vaticane s’est assuré sur son cerveau une maîtrise aussi absolue que celle avec laquelle l’araignée attire une mouche dans sa toile. Foin de toute amnésie, par conséquent, car « Vix Pervenit » a été publiée en 1745, non en 1965 !
Observez bien la manière dont le Pape François aborde la question sodomite. Selon le New York Times, il a déclaré aux journalistes présents sur son vol : « Si quelqu’un est gay et cherche le Seigneur dans un esprit de bonne volonté, qui suis-je pour le juger ? » (cf. « Pope Says He Will Not Judge Gay Priests » [le Pape dit qu’il ne jugera pas les prêtres gay], NY Times (en ligne) du 29 juillet 2013.
A-t-il vraiment employé le terme gay, orwellien et « novlangue » à souhait, à la place du mot sodomie ? Si oui, c’est déjà en soi une faute grave de ne pas appeler une chose par son nom.
Voyez-vous l’hameçon que cache le double langage du pape ? Percevez-vous la clause dérogatoire qu’il a jetée en pâture à son aile droite ? Ce qu’il a dit, ce n’est pas qu’il refusait de juger les actes homosexuels, c’est seulement qu’il se refusait à juger du point de savoir si un prêtre était homosexuel, ce qui donne à son aile droite la possibilité de supposer qu’il fait allusion à un prêtre célibataire « d’orientation homosexuelle ». Telle est la clause dérogatoire que ses partisans de droite exploiteront pour faire taire le tollé : « Le pape a dit simplement qu’il ne voulait pas juger les prêtres de bonne foi qui ont une orientation gay, sans approuver pour autant les pratiques gay. » (Au cours des prochains jours, on va lire et entendre des « éclaircissements » visant à mettre du baume sur les sensibilités de droite écorchées.)
Même dans ce cas, on est face à une énorme trahison, car le fait d’identifier immuablement les êtres humains à leur « orientation sexuelle » vient soutenir le mythe populaire selon lequel la plupart des homosexuels « sont nés ainsi et ne peuvent pas changer ». Or, c’est le contraire qui est vrai. La cryptocratie encourage l’androgynie et l’homosexualité, ne serait-ce que parce qu’elles contribuent à réduire l’« excédent » démographique, et aussi parce qu’elles amènent les individus sur la voie de l’anarchie et du déracinement, ce qui les expose à d’autres changements révolutionnaires et antinaturels. N’importe quel jeune qu’attire normalement le sexe opposé pourra ainsi se laisser inciter par l’ambiance culturelle à expérimenter l’homosexualité, après quoi on lui dira qu’il a une « orientation gay » définitive.
Tout véritable vicaire du Christ aurait dit aux journalistes ce qui suit : « Avec Dieu, tout est possible ; c’est pourquoi ceux qui croient avoir une orientation homosexuelle peuvent, par la prière comme par la pureté de cœur et d’esprit, clarifier leurs désirs et découvrir qu’ils éprouvent un sain attrait pour le sexe opposé, quand bien même cet attrait serait enterré sous les présupposés et les fantasmes que leur impose une culture plaçant tout ce qui est « tendance » au dessus de la morale biblique et de l’anoblissement de l’être humain. L’homosexuel est un individu qu’exalte la culture contemporaine. C’est ainsi que des gens sont amenés à s’identifier à la condition homosexuelle alors même que celle-ci ne fait pas vraiment partie de leur moi profond. Dans le même temps, ces mères héroïques et ces pères de famille nombreuse qui s’échinent quotidiennement pour nourrir et éduquer les leurs, formant ainsi le socle de la société, sont perçus et présentés par la publicité et les autres médias comme des bêtes de somme sans intérêt, comme les tout derniers exemples à suivre. Ne vous attendez pas à ce que j’approuve ces attitudes pathologiques. » Voilà ce que François aurait dit s’il était un pape digne de ce nom.
Les partisans que le « Pape François » compte sur sa gauche ne manqueront pas de saisir le symbolisme évident et téméraire de sa déclaration pour interpréter celle-ci largement et de telle sorte que la plupart des gens, y compris les jeunes, croient qu’il n’est pas moralement répréhensible de pratiquer la sodomie « si l’on cherche le Seigneur ».
Si les prêtres homosexuels de ce pontife étaient d’« orientation » nazie plutôt que sodomite, je serais prêt à parier n’importe quoi qu’il les vouerait sans hésiter au barbecue de l’enfer éternel. Mais lorsqu’il s’agit de prêtres « seulement » attirés par les rapports sexuels anaux, il s’interdit de les juger en tant que Pontifex Maximus.
Imaginez un adolescent catholique de quinze ou seize ans à la sexualité hésitante qui se sent surtout attiré par les filles, mais aussi un peu par les autres garçons et qui lirait les gros titres consacrés actuellement au pape. Si ce jeune catholique choisit une « orientation gay », François veut qu’il sache qu’en tant que pape, il n’a ni le pouvoir ni l’autorité de le « juger ». Si, ayant commencé à sortir, ce garçon se fait sodomiser, l’aile droite catholique dira : « Ce n’est pas la faute du Saint Père ; il n’a pas approuvé la sodomie, il s’est juste abstenu de juger l’orientation sodomite ».
Nos recherches font apparaître de plus en plus clairement qu’à mesure que l’Église de Rome autorisait depuis le début du seizième siècle l’usure et sa stérilité d’argent autoproductif, la pratique de la sodomie progressait de manière exponentielle dans les rangs supérieurs du clergé romain, le phénomène restant voilé durant des siècles sous un secret clérical qui commence à se fissurer aujourd’hui. Et nous attirons l’attention sur le fait évident que la sodomie est, elle aussi, une forme de stérilité.
Le Pape François offre un reflet de ce courant pro-sodomite, d’abord souterrain mais apparaissant maintenant au grand jour en tant que « Révélation-de-la-Méthode » (2), et les médias confèrent un imprimatur enthousiaste à ce moderne Uriah Heep (3) en le baptisant « pape de l’humilité ».
Il ne faut pas s’étonner que des millions de chrétiens latino-américains fuient l’Église de Rome pour se réfugier dans les chapelles des églises protestantes qui restent ancrées au socle biblique, apostolique et patristique du christianisme. Elles n’ont pas au-dessus d’elles un pape « infaillible » pour les fourvoyer et leur faire perdre leur salut éternel. Elles ont la liberté d’adhérer ou non à la Vérité biblique et de défier le mouvement sodomite, indépendantes qu’elles sont du dernier en date des fossoyeurs suicidaires romains, ultime représentant d’une lignée de plus de quarante papes usuriers. Les catholiques craignant Dieu et ne présentant pas un encéphalogramme plat doivent oser entreprendre une profonde réflexion sur les tromperies et les ravages que l’on doit aux papes de Rome depuis 1515, c’est-à-dire pendant les 498 années où l’usure cléricale et la sodomie sont allées de pair au sein de l’institution romaine.
Cette pourriture impie n’a pas commencé avec les « Lumières », la Révolution française ou Vatican II. Si vous ajoutez foi à ce bobard, le préféré des catholiques « traditionalistes », vous ne serez jamais capable de décoder l’actuelle manifestation du Mystère de Babylone, à savoir la déclaration par le supposé « Vicaire du Christ sur terre » qu’il ne peut pas juger les prêtres catholiques portés à la sodomie. Ce type de mensonge papal éhonté n’est autre qu’un défi lancé aux moutons hypnotisés que nous sommes pour voir s’ils vont gober une telle vomissure sans broncher ou si, au contraire, ils vont se dresser et rendre témoignage à la Vérité de Dieu, de Ses Apôtres, de Ses patriarches et de Ses saints.
Le Pape François n’a d’autre boussole morale qu’une éthique de circonstance. Or, c’est précisément l’éthique de circonstance qui a suscité la légalisation du péché mortel d’usure, d’abord au sein de l’Église de Rome lorsque Jean Calvin n’était qu’un enfant, puis par Calvin lui-même, sous l’influence de l’équité circonstancielle de Rome – ou epikeia –, qui est parfois juste quand elle sert à infléchir les lois humaines, mais qui est toujours talmudique et rabbinique quand on l’invoque pour modifier ou abroger les lois de Dieu.
C’est le zeitgeist ou « esprit du temps » qui détermine l’éthique du Vatican rebellé contre Dieu. L’esprit du temps présent étant entièrement imprégné d’homosexualité, la papauté s’adapte à ce pervers état de choses. Lorsque le Pouvoir de l’argent s’est emparé du zeitgeist durant la Renaissance, une papauté absolutiste a ouvert la porte au capitalisme prédateur. Or, aucun pape n’a le droit d’altérer la loi de Dieu, et si un pape le fait, il doit exister un mécanisme pour le corriger ou même le déposer.
Depuis 498 ans, les éthiciens de circonstance qui occupent le trône de Pierre s’abstiennent d’observer la loi éternelle de Dieu. Forts de cette éthique de circonstance, les papes de la Renaissance ont déformé la loi divine, et le papisme va s’arranger pour que d’ici à ce que les catholiques autoproclamés finissent par comprendre que l’autorité absolue conférée au pape porte en elle les germes de la catastrophe, cette catastrophe soit déjà sur nous. Le Christ voulait que Ses fidèles fussent des soldats (miles Christi), non des esclaves de simples humains, moins encore d’un sinistre clown blanc qui invoque Jésus pour mieux se moquer de Lui et de Sa Loi éternelle et immuable, que celle-ci condamne les prêts d’argent (Luc 6 : 32-36) ou les relations sexuelles entre hommes (Lévitique 18 : 22 ; Romains 1 : 26-27).
Enfin, promettons-nous de ne plus nous laisser endormir dorénavant par une novlangue orwellienne qui emprisonne nos esprits en nous amenant à penser selon la manière occlusive dont les manipulateurs masqués fabriquent de toutes pièces cette controverse. Ce dont il est question ici, c’est de rapports sexuels centrés sur l’égout rectal du corps humain. Il n’y a à cela strictement rien d’innocent ni de joyeux (« gai ») ; cessons donc de nous soumettre à la double pensée que nous imposent nos maîtres des médias lorsque nous luttons pour conserver leur pureté à nos enfants face au loup ravisseur couvert d’une peau de brebis ou – comme en l’espèce – des vêtements de saint Pierre.
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Source :
http://revisionistreview.blogspot.fr/2013/07/vicar-of-christ-on-earth-asks-who-am-i.html
Traduction CatholicaPedia.net
Que notre traducteur soit ici une nouvelle fois remercié.
[1] Les Amish sont une communauté anabaptiste présente en Amérique du Nord, vivant de façon simple et à l’écart de la société moderne. L’anabaptisme est le courant protestant qui prône un baptême volontaire et conscient, à un âge où la personne est en mesure de comprendre l’engagement.
[2] NdT : Expression crée par Michael Hoffman. Dans l’absolu, la « Révélation de la Méthode » est un rituel occulte, particulièrement un psychodrame franc-maçon. Employée ordinairement, l’expression décrit la tactique utilisée par la cryptocratie quand elle s’apprête à commettre un grand crime : elle manifeste ses intentions par avance en se servant pour cela du cinéma populaire et de la télévision.
[3] NdT : Personnage du roman de Charles Dickens David Copperfield. D’une obséquiosité et d’une hypocrisie écœurantes, cet individu – qui occupe une place centrale dans la dernière partie de l’ouvrage – se vante sans cesse de son humilité affectée. Dans les pays anglo-saxons, son nom a fini par devenir synonyme de « béni-oui-oui ».