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Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (IV)
Les premiers shows de papeFrançois
Est-ce que papeFrançois est un bon modèle pour la tolérance zéro ?
Dans l’activité d’embrassement intense de papeFrançois dans son pontificat de “moins d’un mois”, une tendance semble se dégager : il a une préférence pour embrasser les personnes handicapés. Bien que nous soyons tous bien disposés envers leur douleur et voudrions leur donner du soulagement, la manière appropriée de le faire n’est pas nécessairement un baiser pontifical sur le visage. Une prière dite pour eux ou une bénédiction donnée sur le front semble être beaucoup plus dans l’exemple de Notre Seigneur Jésus Christ.
“Pape” François n’a pas suivi l’exemple divin et a montré, comme les photos de cette page le révèlent, une manière très discutable d’offrir la consolation. En fait, il a embrassé des enfants – handicapés ou non – sur leurs visages et leurs bouches avec un tel étalage si expansif de tendresse que celui qui voit les vidéos de ses visites populistes par la place de St Pierre peut tout bonnement se demander s’il n’exhibe pas une tendance de pédophile.
Même si ce n’est pas le cas, comme nous le souhaitons sincèrement, quel exemple donne-t-il ? Est-ce qu’il n’est pas conscient qu’aujourd’hui l’église conciliaire — qui éclipse l’Église catholique et que le monde prend pour elle — subit les conséquences ravageuses du scandale de “prêtres”, d’ “évêques” et de “cardinaux” pédophiles ?
Ce facteur a été ignoré dans l’empressement de “pape” Bergo(go)glio de sembler populaire et humble… Pour nous, Catholiques, il est chanceux que quelqu’un ait vu le dommage de ces scènes de baiser et le lui dise pour les contrecarrer. Ainsi, vendredi 5 avril 2013 (1), il a appelé le chef de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et lui a ordonné de renforcer la politique de l’église (Conciliaire) contre la pédophilie.
C’était positivement une bonne chose de faire ce contrôle des dommages. Mais si papeFrançois n’arrête pas son activité de baisers démagogiques et si les vidéos comme celle-ci continuent de se propager à travers le monde, le message qu’il envoie est, à tout le moins, qu’il n’est pas un bon exemple pour renforcer les normes de tolérance zéro de l’église Conciliaire sur les prêtres pédophiles.
Regardez cette courte vidéo :
Mc 9,41. « Mais si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît autour du cou une de ces meules que les ânes tournent, et qu’on le jeta dans la mer. »
Source Tradition in Action : http://traditioninaction.org/RevolutionPhotos/A516-PedoPope.htm
[1] vendredi 5 avril 2013
Agir Avec Détermination Contre Les Abus Sexuels
Cité du Vatican, 5 avril 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audience Mgr. Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi. Selon un communiqué de ce dicastère, le Pape a demandé à la Congrégation d’agir avec détermination sur les cas d’abus sexuels, dans la continuité de la ligne voulue par Benoît XVI, encourageant surtout les mesures de protection des mineurs, l’aide à ceux qui par le passé ont subi de telles violences, les procédures à l’encontre des coupables, et l’engagement des Conférences épiscopales dans la formulation et la mise à jour des directives nécessaires dans ce domaine si important pour le témoignage de l’Eglise et sa crédibilité. Le Saint-Père a assuré que dans son attention et sa prière pour les personnes qui souffrent, les victimes d’abus sont présentes d’une façon particulière.
Publié VIS Archive 01 – 5.4.13
http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/04/agir-avec-determination-contre-les-abus.html
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)
Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement…
Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !
Pourquoi le pape François ne donne pas la communion ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.
par Sandro Magister
ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.
Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.
Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.
Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.
Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.
Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.
Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :
« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »
Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».
En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.
On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».
Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».
Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.
Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.
En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.
La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».
Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.
En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».
Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.
Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.
Sandro Magister, « L’espresso »
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Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !… Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!
Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…
La Vie, relate d’ailleurs événement :
Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…