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Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (IV)

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Les premiers shows de papeFrançois

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Est-ce que papeFrançois est un bon modèle pour la tolérance zéro ?

Dans l’activité d’embrassement intense de papeFrançois dans son pontificat de “moins d’un mois”, une tendance semble se dégager : il a une préférence pour embrasser les personnes handicapés. Bien que nous soyons tous bien disposés envers leur douleur et voudrions leur donner du soulagement, la manière appropriée de le faire n’est pas nécessairement un baiser pontifical sur le visage. Une prière dite pour eux ou une bénédiction donnée sur le front semble être beaucoup plus dans l’exemple de Notre Seigneur Jésus Christ.

“Pape” François n’a pas suivi l’exemple divin et a montré, comme les photos de cette page le révèlent, une manière très discutable d’offrir la consolation. En fait, il a embrassé des enfants – handicapés ou non – sur leurs visages et leurs bouches avec un tel étalage si expansif de tendresse que celui qui voit les vidéos de ses visites populistes par la place de St Pierre peut tout bonnement se demander s’il n’exhibe pas une tendance de pédophile.

Même si ce n’est pas le cas, comme nous le souhaitons sincèrement, quel exemple donne-t-il ? Est-ce qu’il n’est pas conscient qu’aujourd’hui l’église conciliaire qui éclipse l’Église catholique et que le monde prend pour elle — subit les conséquences ravageuses du scandale de “prêtres”, d’ “évêques” et de “cardinaux” pédophiles ?

Ce facteur a été ignoré dans l’empressement de “pape” Bergo(go)glio de sembler populaire et humble…  Pour nous, Catholiques, il est chanceux que quelqu’un ait vu le dommage de ces scènes de baiser et le lui dise pour les contrecarrer. Ainsi, vendredi 5 avril 2013 (1), il a appelé le chef de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi et lui a ordonné de renforcer la politique de l’église (Conciliaire) contre la pédophilie.

C’était positivement une bonne chose de faire ce contrôle des dommages. Mais si papeFrançois n’arrête pas son activité de baisers démagogiques et si les vidéos comme celle-ci continuent de se propager à travers le monde, le message qu’il envoie est, à tout le moins, qu’il n’est pas un bon exemple pour renforcer les normes de tolérance zéro de l’église Conciliaire sur les prêtres pédophiles.

 

Regardez cette courte vidéo :

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Mc 9,41. « Mais si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît autour du cou une de ces meules que les ânes tournent, et qu’on le jeta dans la mer. »

 


 

 

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Source Tradition in Action : http://traditioninaction.org/RevolutionPhotos/A516-PedoPope.htm

 

 


[1] vendredi 5 avril 2013

Agir Avec Détermination Contre Les Abus Sexuels

Cité du Vatican, 5 avril 2013 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin en audience Mgr. Gerhard Ludwig Müller, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi. Selon un communiqué de ce dicastère, le Pape a demandé à la Congrégation d’agir avec détermination sur les cas d’abus sexuels, dans la continuité de la ligne voulue par Benoît XVI, encourageant surtout les mesures de protection des mineurs, l’aide à ceux qui par le passé ont subi de telles violences, les procédures à l’encontre des coupables, et l’engagement des Conférences épiscopales dans la formulation et la mise à jour des directives nécessaires dans ce domaine si important pour le témoignage de l’Eglise et sa crédibilité. Le Saint-Père a assuré que dans son attention et sa prière pour les personnes qui souffrent, les victimes d’abus sont présentes d’une façon particulière.

Publié VIS Archive 01 – 5.4.13

http://visnews-fr.blogspot.fr/2013/04/agir-avec-determination-contre-les-abus.html

Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)

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Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :

Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement

Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !

 

Pourquoi le pape François ne donne pas la communion  ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))

 

Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.

par Sandro Magister

ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.

Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.

Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.

Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.

Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.

Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.

Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :

« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »

Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».

En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.

On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».

Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».

Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.

Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.

En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.

La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».

Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.

En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».

Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.

Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.

Sandro Magister, « L’espresso »

* * *

Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!

Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…

La Vie, relate d’ailleurs événement :

Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.

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À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…

 

Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (II)

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Après l’interview de Leonardo Boff — « Théologien de la libération » et ancien “prêtre” brésilien, qui fut condamné par l’église Conciliaire (elle-même !) pour ses prises de position — qui assure que Bergoglio a aidé un couple d’invertis à adopter il y a quelques mois
Une autre histoire dans laquelle Bergoglio a aidé une femme en lui envoyant un luthérien pour procéder à un exorcisme sur son fils

* * *

L’exorciste favori du Pape François

 

Manuel-AcunaLe pasteur luthérien Manuel Acuña (1) est spécialisé dans la santé spirituelle, et c’est un ami personnel du souverain pontife, qui avait pour habitude de le recommander chaque fois qu’étaient décelés chez quelqu’un des signes de possession.

 

            Il y a cinq ans, une certaine Alejandra accourut, désespérée, à l’archevêché de Buenos Aires pour y chercher une solution au problème de son fils de cinq ans, qui présentait des signes évidents de possession démoniaque. Elle avait déjà frappé à la porte de plusieurs églises, mais sans jamais qu’arrive de Rome l’autorisation de procéder à un exorcisme. Elle eut la bénédiction de pouvoir rencontrer en privé et hors de tout protocole celui qui était alors le cardinal Jorge Bergoglio et qui est, depuis mercredi dernier, le nouveau Pape de l’Église catholique. Là, cette femme angoissée reçut un billet portant un nom et un numéro de téléphone. Il s’agissait de Manuel Acuña, pasteur luthérien spécialisé dans la santé spirituelle et ami personnel de l’actuel Souverain Pontife. Ce n’était pas la première fois que se produisait une telle situation, ni la dernière, dans la longue histoire des exorcismes réalisés par celui qui est désormais le fier « bras expulseur de démons » du chef du Vatican. « Nous sommes très amis, le saint père est une personne extraordinaire. Nous nous connaissons bien, et il a un grand respect pour la santé spirituelle. Chaque fois que nous parlions au téléphone ou qu’il parvenait à trouver un moment pour me recevoir, il m’interrogeait beaucoup sur cette question et sur mon activité, car il s’est toujours intéressé à ce qui touche à la santé. C’est un grand connaisseur », reconnaît lui-même Acuña, bien qu’il se montre plus énigmatique sur l’origine des cas de possession communiquées par Bergoglio. « En parler serait compromettre le Pape actuel », a déclaré le pasteur. Mais le cas de la dénommée Alejandra fournit des indications sur cet arrangement, qui a duré des années. « Je me suis rendue tout d’abord dans une église du sud de la ville, parce qu’elle était proche de chez moi. Là, ils ont vu mon gamin, qui était déjà passé entre les mains de professionnels de la médecine, puis de guérisseurs qu’on m’avait recommandés. Rien n’y avait fait. Même des médecins m’ont conseillé de m’adresser à l’église, parce qu’il y avait quelque chose d’autre », a raconté cette femme. L’enfant présentait en effet une série de caractéristiques évoquant une possession démoniaque. L’une d’elles – inexplicable – était qu’il parlait en araméen, une langue antique. Sa mère, une fois convaincue qu’il avait besoin d’aide spirituelle, se précipita dans une église. Là, on la reçut, on examina l’enfant, mais on ne put le soumettre à un exorcisme, parce qu’il y fallait une autorisation spéciale du Vatican. Laquelle tardait sans cesse. « Nous nous sommes rendus dans une autre église, et ce fut pareil. Les prêtres nous ont dit qu’il n’y avait aucun doute, mais qu’ils ne pouvaient exorciser sans autorisation. Quelqu’un m’a alors recommandé d’en parler à Bergoglio, et je suis allée le voir dans son bureau. Je n’ai pas demandé d’audience, je m’y suis simplement présentée. Il me reçut aimablement, cela dura quelques minutes. Il lut quelques documents que je lui apportais. Il se montra très compréhensif et me promit une solution rapide », raconte Mariana. [NdT : « Alejandra » = « Mariana » ??…] Au bout de quelques jours, on la convoqua par téléphone, et on lui remit le désormais célèbre billet. « On me dit d’appeler immédiatement, que je trouverais là une prompte résolution au problème », ajoute Alejandra. La communication fut évidemment instantanée, et la solution semblait se dessiner très rapidement. Le pasteur Manuel, qui reçoit les personnes à exorciser dans sa paroisse du Bon Pasteur de la localité de Santo Lugares, la convoqua pour le jour même. « Il y eut trois séances. Dès la première, mon fils changea profondément. Quelque chose avait quitté son regard, une chose sinistre qui s’y trouvait jusqu’alors et qui donnait le frisson. Une fois l’exorcisme terminé, tout devint différent pour nous. Notre vie changea, et mon gamin put commencer à mener une vie normale. Nous serons toujours redevables à ces deux prêtres (2), Bergoglio et Acuña. Ce fut pour nous une bénédiction », explique la femme. Ajoutons, en marge de cette histoire, que le pasteur Acuña a à son actif plus de deux cents exorcismes enregistrés. Beaucoup ont été relatés dans ces pages au cours des dernières années et sont connues de par le monde. « C’est pour moi une fierté que mon amitié avec le Pape François. J’ai beaucoup appris de lui pendant tout ce temps. Chacun de ses mots et de ses conseils, chacune de ses accolades, je les conserve dans mon cœur. Je me considère comme son fils, et je vais tout mettre en œuvre pour que ses messages soient connus de notre communauté. Il s’agit de cela, de porter la parole de Dieu en tous lieux », déclare le pasteur. « Cela m’émeut énormément qu’il ait élu par ses pairs. Lui-même se tenait à l’écart, mais Dieu l’a choisi à travers ses autres fils. C’est beau, cette manière dont il a demandé aux personnes présentes de prier pour lui. Nous l’avons tous fait, et nous continuons. Nous croyons fermement qu’il va devenir un pape extraordinaire qui ouvrira les portes de l’institution aux plus nécessiteux, aux exclus et aux marginaux. C’est un honneur d’être son contemporain, plus encore en tant qu’Argentins. Il y a beaucoup à faire », a déclaré, très ému, le pasteur Acuña.

 

Source : http://www.diariopopular.com.ar/notas/150119-la-historia-del-exorcista-favorito-del-papa-francisco

la-historia-del-exorcista-favorito-del-papa-francisco

Bergo(go)glio alias papeFrançois avec le pasteur luthérien Manuel Acuña

_______

 

Traduction CatholicaPedia.net

Que notre traducteur soit ici encore une fois remercié.

* * *

On notera que le « Code de Droit Canonique » de l’église Conciliaire précise pourtant :

Can. 1172 – § 1. Personne ne peut légitimement prononcer des exorcismes sur les possédés, à moins d’avoir obtenu de l’Ordinaire du lieu une permission particulière et expresse.

§ 2. Cette permission ne sera accordée par l’Ordinaire du lieu qu’à un prêtre pieux, éclairé, prudent et de vie intègre.

http://www.vatican.va/archive/FRA0037/__P45.HTM
 

À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…

 



[1] NdT : L’auteur (évidemment conciliaire) de ce texte parle successivement de « curé » et de « prêtre » à propos du luthérien en question. Nous ne pouvons nous y résoudre.

NdlR : La Chaîne Ibéro-Américaine C.I.N. le présente même comme « l´Evêque Luthérien Manuel Acuña » !!!

Prière pour la Paix au Moyen-Orient

Dans la Ville Autonome de Buenos Aires. Année 2001. 0382001Le pasteur Pentecôtiste de Boston pris par la main du Président de Solidarité Mondiale, le Professeur Francisco López y Diez, et à son côté, l´Evêque Luthérien Manuel Acuña.

Chaîne CIN : http://www.cadenacin.com/french/noticiasdepaz4.asp

[2] NdT : même remarque.

L’impact fort de Vatican II en Amérique latine

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Revenons un moment sur ce Leonardo Boff, « Théologien de la libération » et ancien “prêtre” brésilien, qui fut condamné par l’église Conciliaire (elle-même !) pour ses prises de position.

Dans une “Tribune libre de swissinfo.ch”, il reconnait joyeusement que :

Le Concile Vatican II (1962-1965) fut la réponse tardive, mais authentique à la Réforme protestante du XVIe siècle. Celle-ci appelait à des réformes à la tête (hiérarchie) et aux membres (communauté chrétienne). En 500 ans, cette réforme n’est jamais venue. Mais les temps ont changé et elle est finalement arrivée. C’est pour cela que le concile représente une rupture sur le chemin que l’Eglise catholique avait parcouru pendant des siècles.

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Tribune libre à Leonardo Boff

L’impact fort de Vatican II en Amérique latine

Par Leonardo Boff, swissinfo.ch
26 octobre 2012 – 10:55

Leonardo Boff reste l'une des figures les plus connues de la Théologie de la Libération. (latinphoto.org)

Le Concile Vatican II (1962-1965) fut la réponse tardive, mais authentique à la Réforme protestante du XVIe siècle. Celle-ci appelait à des réformes à la tête (hiérarchie) et aux membres (communauté chrétienne). En 500 ans, cette réforme n’est jamais venue. Mais les temps ont changé et elle est finalement arrivée. C’est pour cela que le concile représente une rupture sur le chemin que l’Eglise catholique avait parcouru pendant des siècles.

C’était une Eglise transformée en forteresse assiégée, se défendant contre tout ce qui venait du monde moderne : de la technique et des avancées de la civilisation comme la démocratie, les droits humains et la séparation entre l’Eglise et l’Etat. Le pape Pie XII (1939-1958) fut le dernier représentant du rêve médiéval de l’Eglise, rêve qui s’était transformé en véritable cauchemar collectif et en un corps étranger à l’intérieur du monde d’aujourd’hui.

Mais une bouffée d’air frais vint d’un pape âgé dont on n’attendait rien, Jean XXIII (1958-1963). Celui-ci ouvrit les portes et les fenêtres de l’Eglise en disant : « Elle ne peut pas être un musée respectable ; elle doit être la maison de tous, aérée et agréable à vivre ». Le concile Vatican II représenta, selon le langage de Jean XXIII, un « aggiornamento », c’est-à-dire une actualisation et une reconstruction de son auto-compréhension, de ses institutions, de son langage, de ses rites et du type de présence dans le monde.

Il ne s’agit pas ici de résumer les éléments principaux introduits par le concile. Ce qui nous intéresse, c’est la manière dont cet « aggiornamento » fut accueilli et traduit par l’Eglise latino-américaine. Ce processus, dit de réception, n’est jamais une simple adaptation ou application des décisions officielles, mais une relecture et un remodelage des intuitions du concile à l’intérieur du contexte latino-américain, bien différent du contexte européen dans lequel s’élaborèrent tous les documents. Nous mettrons juste l’accent sur quelques points essentiels, à la manière d’une lecture à l’aveugle qui ne capte que ce qui est important.

Le courage de crier

Le premier point essentiel, sans aucun doute, fut la profonde transformation de l’atmosphère ecclésiale : auparavant, c’était la Grande Discipline qui dominait, l’uniformisation romaine et l’air sombre et austère de la vie ecclésiale. Les Eglises de l’Amérique latine, de l’Afrique et de l’Asie étaient des Eglises-miroir de l’Eglise romaine. Soudain, elles ont commencé à se sentir des Eglises-source. Elles pouvaient faire de l’inculturation et créer de nouveaux langages. C’est pour cela que rayonnent maintenant la joie, l’enthousiasme et le courage de crier. Finalement, l’Eglise catholique a trouvé sa place au sein du monde d’aujourd’hui en participant à ses joies et à ses peines, à ses recherches et ses avancées.

Deuxièmement, on a assisté en Amérique latine à une redéfinition du rôle social de l’Eglise. Vatican II fut un concile universel, mais dans la perspective des pays centraux et riches. Cela se remarque dans son document pastoral le plus ouvert, Gaudium et Spes (Joie et Espoir), dans lequel on a défini l’Eglise au sein du monde moderne. L’Eglise latino-américaine regarde autour d’elle et prend conscience du sous-monde de la périphérie et de l’oppression. L’Eglise doit se déplacer du centre humain pour les périphéries sous-humaines. Si l’oppression règne, son rôle doit alors être la libération et la transformation. C’est ainsi qu’ont été valorisées les paroles du pape Jean XXIII qui disait un mois avant le concile : « L’Eglise de tous, mais qui veut surtout être une Eglise des pauvres ».

Ce virage s’est traduit à Medellín (1968) par une option de solidarité et de préférence pour les pauvres, contre la pauvreté et en faveur de la vie et de la liberté. Ce virage a été au centre de l’attention à Puebla (1979) et s’est affirmé ensuite comme une marque déposée de l’Eglise latino-américaine.

Troisièmement, c’est la concrétisation de l’Eglise comme Peuple de Dieu. Vatican II a placé cette idée avant la hiérarchie. Pour l’Eglise latino-américaine, le Peuple de Dieu n’est pas qu’une métaphore : le peuple est en grande majorité chrétien et catholique ; il est donc le Peuple de Dieu, qui gémit sous l’oppression comme à l’époque de l’Exode hors d’Egypte. De là naît la dimension de libération que l’Eglise assume officiellement dans tous les documents, de Medellín à Aparedida (2009). Cette vision de l’Eglise-peuple-de-Dieu a donné lieu à quelque chose d’original en Amérique latine : les communautés ecclésiales de base, à savoir l’Eglise de la base et l’Eglise de la libération.

Une lecture populaire de la Bible

Quatrièmement, le concile a compris la Parole de Dieu, contenue dans les Ecritures, comme l’âme de la vie ecclésiale, spécialement de la réflexion théologique. Ceci s’est traduit en Amérique latine par une lecture populaire de la Bible dans des milliers et des milliers de cercles bibliques. Dans ces cercles, les chrétiens comparent leur vie aux Ecritures et en tirent des conclusions pratiques conformément à la communion, à la participation et à la libération.

Cinquièmement, le concile s’est ouvert aux droits humains. En Amérique latine, ils se sont traduits par les droits des pauvres et donc en premier lieu en droit à la vie, au travail, à la santé et à l’éducation. A partir des droits des pauvres, on comprend les autres droits.

Sixièmement, le concile a accueilli l’œcuménisme et le dialogue avec les autres religions. En Amérique latine, l’œcuménisme n’est pas vu tant comme la convergence des doctrines que comme la convergence dans la pratique. Toutes les Eglises s’engagent pour la libération des opprimés. C’est un œcuménisme de mission. Le dialogue avec les religions est vu au travers de la présence de l’Esprit qui arrive avant le missionnaire. Les religions et leurs valeurs doivent donc être respectées.

Pour conclure, il faut bien reconnaître que l’Amérique latine fut le continent où Vatican II a été pris le plus au sérieux et a apporté le plus de transformations, projetant l’Eglise des pauvres comme un défi pour l’Eglise universelle et pour toutes les consciences humanitaires.

Leonardo Boff, swissinfo.ch
(Traduction du portugais : Olivier Pauchard)

Source : http://www.swissinfo.ch/fre/societe/L_impact_fort_de_Vatican_II_en_Amerique_latine.html?cid=33801610

 

Cette église n’est pas l’Église catholique !

« Absolument Nul Et Entièrement Vain » !!!

Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (I)

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portrait_Leonardo_BoffDans une interview publiée récemment, le sosie-de-Karl-Marx Leonardo Boff a souligné comment le vrai libéral radical Jorge Mario Bergoglio est vraiment – et c’est quelqu’un qui sait :

« On peut s’attendre à une vraie surprise de la part de François. »

et :

« Par exemple, il y a quelques mois, il a explicitement permis à un couple homosexuel d’adopter un enfant. Il est resté en contact avec des prêtres exclus de l’église officielle pour s’être mariés. »

À noter que :

Leonardo Boff

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Théologien de la libération et ancien prêtre brésilien, Leonardo Boff fut condamné par l’Église catholique pour ses prises de position. En 1985, il fut condamné à un an de « silence obséquieux ».

 

« À propos du nouveau Pape :
le point de vue de Boff »

 

Source RORATE CÆLI : « For the record: Boff speaks on the new Pope » ; traduction CatholicaPedia.net

Un lecteur nous a adressé la traduction en anglais du texte intégral de l’interview accordée par Leonardo Boff, ancien prêtre et gourou de la théologie de la libération, à Erich Follath, de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.

 

S : Professeur Boff, avez-vous été surpris, ravi ou horrifié quand vous avez appris qui avait été élu à Rome ?

Boff : J’espérais que le nouveau Pape prendrait le nom de François, et j’avais prédit que tel serait le cas. En ce sens, j’ai réagi avec une grande satisfaction, jointe à l’espoir que quelque chose allait enfin changer dans cette église tragiquement vétuste. Car le choix de ce nom est tout un programme : François d’Assise est pour une église des pauvres et des opprimés, pour la conscience environnementale et contre l’amour démesuré de la pompe et de la solennité.

Et n’êtes-vous pas déçu que le cardinal Odilo Scherer, de Sao Paolo, n’ait pas été l’élu du conclave ?

Boff : Seigneur ! Tout vaut mieux que Ratzinger sur le trône de Pierre, c’est certain, mais Scherer est un archi-conservateur qui a fait siennes toutes les positions de la curie. Je me réjouis que le nouveau Pape soit originaire d’Amérique du Sud, de la région du monde où il y a le plus de catholiques, et non pas – comme d’habitude – d’Europe. Il y a longtemps que la Chrétienté a son centre dans le Tiers Monde, et l’élection d’un Sud-Américain en tient compte. Mais ce qui est beaucoup plus important, c’est un autre changement : le passage à la vision d’une église sans prétentions, d’une église humble. Et c’est le genre d’église dont le nouveau Pape est partisan.

Le cardinal Bergoglio a critiqué les théologiens libertaires comme vous parce qu’ils sont trop à gauche, trop marxistes.

Boff : En Argentine, les théologiens qui font montre d’esprit critique ont adopté d’autres positions que celles prises au Brésil par mes amis et moi-même. Leur église n’est pas une église de la libération, c’est une « église du peuple », même sous une dictature. Ce n’est pas pour rien, après tout, que Bergoglio s’est fait connaître comme le « cardinal des pauvres ». Il est allé dans les quartiers misérables, il y a parlé aux gens, il a dénoncé l’injustice sociale, et il a mis ses paroles en pratique. Il vivait dans un petit appartement, faisait lui-même sa cuisine, ne se servait jamais d’une voiture officielle. Il a toujours été près du peuple, je le sais de ma propre expérience.

L’avez-vous [jamais] rencontré ?

Boff : Oui, il y a quelques années, lors d’une convention organisée en Argentine, où il faisait un exposé ; nous nous sommes tout de suite compris.

Vos propos semblent étonnement euphoriques si l’on songe que le nouveau Pape est un archi-conservateur qui s’oppose à la contraception, au mariage des prêtres, à l’extension du rôle des femmes dans l’église, au mariage homosexuel…

Boff : Cela, c’est que le Vatican a décrété ; tous les hauts dignitaires ont dû aller dans le même sens, et personne n’était autorisé à le mettre en cause. Cela peut changer à présent.

Avez-vous des raisons de croire que Bergoglio est plus libéral ?

Boff : Oui. Par exemple, il y a quelques mois, il a explicitement permis à un couple homosexuel d’adopter un enfant. Il est resté en contact avec des prêtres exclus de l’église officielle pour s’être mariés. Et personne n’a pu le persuader de modifier sa position, qui consistait à dire que nous devons être du côté des pauvres, même si cela doit aller jusqu’à  s’opposer aux puissants.

Mais ne l’a-t-on pas accusé de n’avoir pas assez protégé, et même d’avoir trahi deux des jésuites dont il était responsable à l’époque de la dictature militaire ?

Boff : je suis au courant de ces accusations ; en la matière, je suis du même avis qu’Adolfo Perez Esquivel, lauréat du Prix Nobel de la Paix, qui fut lui-même torturé en tant que dissident et qui connaît bien la question. Il a dit que des évêques avaient en effet soutenu la dictature, mais que Bergoglio n’en faisait pas partie.

C’est contredit par de proches parents des victimes.

Boff : Jusqu’ici, il n’y a eu aucune preuve concrète que Bergoglio ait mal agi. Au contraire, on a dit qu’il avait caché et sauvé plusieurs prêtres. J’ai moi-même rencontré Orlando Yorio, l’un des deux jésuites que Bergoglio aurait, paraît-il, trahis, et il ne m’a jamais fait part de telles accusations.

Quel conseil donneriez-vous au Pape François ? Que devrait-il commencer par faire ?

Boff : Il y a beaucoup à réparer dans l’Église catholique : elle est dans un état déplorable. Benoît XVI s’est surtout attaché à renforcer le pouvoir du Vatican ; il a gouverné avec une rigueur fondamentaliste, [ce fut] un ange de la mort au sein de l’église. Les huit années ou presque de son pontificat ont été encore pires que je ne le craignais, et mes craintes étaient pourtant assez vives. Le nouveau Pape devra dissiper les scandales, encourager une discussion ouverte et démocratique, sans le moindre tabou, sur le célibat des prêtres, la contraception, le rôle des femmes. Il devra répandre une atmosphère de renouveau. Je suis très optimiste à cet égard.

Quelles mesures devront le distinguer en tant que réformateur ?

Boff : Il doit décentraliser l’église, accorder plus de pouvoir de décision aux représentants de chaque continent et de chaque pays. Beaucoup de problèmes passent entièrement inaperçus derrière les murs du Vatican. Pourquoi ne pas organiser un synode en Asie ou en Afrique ? Pourquoi ne pas déplacer le centre des droits de l’homme dans l’église d’Amérique latine ?

Vous, plus que quiconque, connaissez les forces paralysantes du Vatican. Bergoglio n’a pas beaucoup de bons contacts au sein de la curie ; comment pourra-t-il pénétrer dans la mentalité insulaire de ses membres ?

Boff : Il est maintenant le Pape. Il peut tout faire. On peut s’attendre à une vraie surprise de la part de François. Mais cela passera par une rupture avec les traditions, par une mise à l’écart de la curie vaticane corrompue, par le passage à une église qui soit universelle, par la mise en relief de questions nouvelles et essentielles : le fossé entre riches et pauvres, l’inégalité devant la justice. Ce qui s’est produit à Rome est révolutionnaire : un religieux d’Amérique latine a été élu au siège de Pierre.

Croyez-vous que son prédécesseur va se mettre en travers de son chemin ?

Boff : Il est probable que non. Ratzinger est épuisé ; il va se retirer complètement. Il est très occupé par les préparatifs de sa grande rencontre avec le Seigneur.

 

Source : http://rorate-caeli.blogspot.com/2013/04/for-record-boff-speaks-on-new-pope.html

Traduction CatholicaPedia.net
Que notre traducteur soit ici encore une fois remercié.

 

* * *

Serait-ce le cas visé par Boff – deux homosexuels achètent (« l’adoption ») des enfants et de les faire baptiser dans une église de Buenos Aires, dans le diocèse de Bergoglio ?

Cérémonie homosexuel dans une basilique de Buenos Aires

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Roberto Carlos Trinidad homosexuel lui-même a subit des interventions chirurgicales pour changer de sexe et devient « Florencia » Trinidad, ci-dessus à gauche dans la robe blanche. Il / elle a vécu avec un autre homme, Pablo Goycochea, depuis plus d’une décennie. « Florencia » est une star de la télé dans plusieurs séries sur Telefe – Canal 11 à la télévision Buenos Aires. Il ya quelque temps, le couple homosexuel a adopté (acheté) deux enfants nés le même jour dans une clinique qui fait l’insémination artificielle à San Diego, en Californie.

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À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…

 

Rome : La collection de maillots de football de papeFrançois s’enrichit !

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Rome : La collection de maillots de football du pape François s’enrichit

Rome, 17 avril 2013 (Apic) La collection de maillots de football du pape François s’est enrichie d’une pièce de grande valeur : celui de l’attaquant argentin Lionel Messi, star du club catalan du FC Barcelone.

Caricature: Bernard Bovigny 28.02.2013

Le maillot blaugrana, qui porte la signature du quadruple Ballon d’or et l’inscription “avec beaucoup d’affection“, a été remis au souverain pontife au terme de l’audience générale du 17 avril 2013 par le sous-secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs, Mgr Miguel Delgado Galindo, originaire de Barcelone. (apic/imedia/cp/mp)

 

Elles est pas belle cette église Conciliaire !!!

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