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Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)
Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement…
Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !
Pourquoi le pape François ne donne pas la communion ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.
par Sandro Magister
ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.
Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.
Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.
Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.
Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.
Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.
Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :
« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »
Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».
En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.
On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».
Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».
Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.
Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.
En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.
La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».
Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.
En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».
Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.
Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.
Sandro Magister, « L’espresso »
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Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !… Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!
Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…
La Vie, relate d’ailleurs événement :
Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (II)
Après l’interview de Leonardo Boff — « Théologien de la libération » et ancien “prêtre” brésilien, qui fut condamné par l’église Conciliaire (elle-même !) pour ses prises de position — qui assure que Bergoglio a aidé un couple d’invertis à adopter il y a quelques mois…
Une autre histoire dans laquelle Bergoglio a aidé une femme en lui envoyant un luthérien pour procéder à un exorcisme sur son fils…
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L’exorciste favori du Pape François
Le pasteur luthérien Manuel Acuña (1) est spécialisé dans la santé spirituelle, et c’est un ami personnel du souverain pontife, qui avait pour habitude de le recommander chaque fois qu’étaient décelés chez quelqu’un des signes de possession.
Il y a cinq ans, une certaine Alejandra accourut, désespérée, à l’archevêché de Buenos Aires pour y chercher une solution au problème de son fils de cinq ans, qui présentait des signes évidents de possession démoniaque. Elle avait déjà frappé à la porte de plusieurs églises, mais sans jamais qu’arrive de Rome l’autorisation de procéder à un exorcisme. Elle eut la bénédiction de pouvoir rencontrer en privé et hors de tout protocole celui qui était alors le cardinal Jorge Bergoglio et qui est, depuis mercredi dernier, le nouveau Pape de l’Église catholique. Là, cette femme angoissée reçut un billet portant un nom et un numéro de téléphone. Il s’agissait de Manuel Acuña, pasteur luthérien spécialisé dans la santé spirituelle et ami personnel de l’actuel Souverain Pontife. Ce n’était pas la première fois que se produisait une telle situation, ni la dernière, dans la longue histoire des exorcismes réalisés par celui qui est désormais le fier « bras expulseur de démons » du chef du Vatican. « Nous sommes très amis, le saint père est une personne extraordinaire. Nous nous connaissons bien, et il a un grand respect pour la santé spirituelle. Chaque fois que nous parlions au téléphone ou qu’il parvenait à trouver un moment pour me recevoir, il m’interrogeait beaucoup sur cette question et sur mon activité, car il s’est toujours intéressé à ce qui touche à la santé. C’est un grand connaisseur », reconnaît lui-même Acuña, bien qu’il se montre plus énigmatique sur l’origine des cas de possession communiquées par Bergoglio. « En parler serait compromettre le Pape actuel », a déclaré le pasteur. Mais le cas de la dénommée Alejandra fournit des indications sur cet arrangement, qui a duré des années. « Je me suis rendue tout d’abord dans une église du sud de la ville, parce qu’elle était proche de chez moi. Là, ils ont vu mon gamin, qui était déjà passé entre les mains de professionnels de la médecine, puis de guérisseurs qu’on m’avait recommandés. Rien n’y avait fait. Même des médecins m’ont conseillé de m’adresser à l’église, parce qu’il y avait quelque chose d’autre », a raconté cette femme. L’enfant présentait en effet une série de caractéristiques évoquant une possession démoniaque. L’une d’elles – inexplicable – était qu’il parlait en araméen, une langue antique. Sa mère, une fois convaincue qu’il avait besoin d’aide spirituelle, se précipita dans une église. Là, on la reçut, on examina l’enfant, mais on ne put le soumettre à un exorcisme, parce qu’il y fallait une autorisation spéciale du Vatican. Laquelle tardait sans cesse. « Nous nous sommes rendus dans une autre église, et ce fut pareil. Les prêtres nous ont dit qu’il n’y avait aucun doute, mais qu’ils ne pouvaient exorciser sans autorisation. Quelqu’un m’a alors recommandé d’en parler à Bergoglio, et je suis allée le voir dans son bureau. Je n’ai pas demandé d’audience, je m’y suis simplement présentée. Il me reçut aimablement, cela dura quelques minutes. Il lut quelques documents que je lui apportais. Il se montra très compréhensif et me promit une solution rapide », raconte Mariana. [NdT : « Alejandra » = « Mariana » ??…] Au bout de quelques jours, on la convoqua par téléphone, et on lui remit le désormais célèbre billet. « On me dit d’appeler immédiatement, que je trouverais là une prompte résolution au problème », ajoute Alejandra. La communication fut évidemment instantanée, et la solution semblait se dessiner très rapidement. Le pasteur Manuel, qui reçoit les personnes à exorciser dans sa paroisse du Bon Pasteur de la localité de Santo Lugares, la convoqua pour le jour même. « Il y eut trois séances. Dès la première, mon fils changea profondément. Quelque chose avait quitté son regard, une chose sinistre qui s’y trouvait jusqu’alors et qui donnait le frisson. Une fois l’exorcisme terminé, tout devint différent pour nous. Notre vie changea, et mon gamin put commencer à mener une vie normale. Nous serons toujours redevables à ces deux prêtres (2), Bergoglio et Acuña. Ce fut pour nous une bénédiction », explique la femme. Ajoutons, en marge de cette histoire, que le pasteur Acuña a à son actif plus de deux cents exorcismes enregistrés. Beaucoup ont été relatés dans ces pages au cours des dernières années et sont connues de par le monde. « C’est pour moi une fierté que mon amitié avec le Pape François. J’ai beaucoup appris de lui pendant tout ce temps. Chacun de ses mots et de ses conseils, chacune de ses accolades, je les conserve dans mon cœur. Je me considère comme son fils, et je vais tout mettre en œuvre pour que ses messages soient connus de notre communauté. Il s’agit de cela, de porter la parole de Dieu en tous lieux », déclare le pasteur. « Cela m’émeut énormément qu’il ait élu par ses pairs. Lui-même se tenait à l’écart, mais Dieu l’a choisi à travers ses autres fils. C’est beau, cette manière dont il a demandé aux personnes présentes de prier pour lui. Nous l’avons tous fait, et nous continuons. Nous croyons fermement qu’il va devenir un pape extraordinaire qui ouvrira les portes de l’institution aux plus nécessiteux, aux exclus et aux marginaux. C’est un honneur d’être son contemporain, plus encore en tant qu’Argentins. Il y a beaucoup à faire », a déclaré, très ému, le pasteur Acuña.
Source : http://www.diariopopular.com.ar/notas/150119-la-historia-del-exorcista-favorito-del-papa-francisco
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Traduction CatholicaPedia.net
Que notre traducteur soit ici encore une fois remercié.
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On notera que le « Code de Droit Canonique » de l’église Conciliaire précise pourtant :
Can. 1172 – § 1. Personne ne peut légitimement prononcer des exorcismes sur les possédés, à moins d’avoir obtenu de l’Ordinaire du lieu une permission particulière et expresse.
§ 2. Cette permission ne sera accordée par l’Ordinaire du lieu qu’à un prêtre pieux, éclairé, prudent et de vie intègre.
http://www.vatican.va/archive/FRA0037/__P45.HTM
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…
[1] NdT : L’auteur (évidemment conciliaire) de ce texte parle successivement de « curé » et de « prêtre » à propos du luthérien en question. Nous ne pouvons nous y résoudre.
NdlR : La Chaîne Ibéro-Américaine C.I.N. le présente même comme « l´Evêque Luthérien Manuel Acuña » !!!
Prière pour la Paix au Moyen-Orient
Dans la Ville Autonome de Buenos Aires. Année 2001. Le pasteur Pentecôtiste de Boston pris par la main du Président de Solidarité Mondiale, le Professeur Francisco López y Diez, et à son côté, l´Evêque Luthérien Manuel Acuña.
Chaîne CIN : http://www.cadenacin.com/french/noticiasdepaz4.asp
[2] NdT : même remarque.