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F$$PX : une reconnaissance régionale avant une reconnaissance mondiale !
Un pas décisif vers l’accord F$$PX-Rome par une décision du 13 Mars 2015, du Secrétariat du Culte Argentin vient d’être franchi…la Reconnaissance canonique de la F$$PX par le pseudo-cardinal Monsieur Mario Aurelio Poli de Buenos Aires (un laïc conciliaire déguisé en Cardinal) :
Dès que la connaissance de cette intervention du peudo-cardinal de Buenos Aires a été portée à la connaissance du grand public, la Maison Générale de la Fraternité $$ a immédiatement limité sa portée. Selon un communiqué publié par son agence DICI, du 13 Avril 2015 essentiellement à des fins internes, Menzingen (la Maison Générale) affirme que, « le document du Cardinal Poli n’a aucune autorité canonique », et que tout cela, « n’est rien de plus qu’une procédure strictement administrative dans le cadre restreint de la République de l’Argentine ». Que personne ne pense, surtout, qu’il pourrait y avoir une reconnaissance canonique ponctuelle et partielle !
Les abbés anti-ralliéristes, néo-Résistants de la fausse Résistance du site d’ “Avec l’Immaculée” ont publié une réponse que nous n’avons pas faite car nous laissons la dite Fraternité $$ à la Justice de Dieu depuis qu’elle ne représente plus qu’une Voie sans issue !
La dépêche de l’agence DICI :
Le quotidien argentin Clarin, daté du 12 avril 2015, a annoncé la décision du Secrétaire du culte, Guillermo R. Oliveri, parue au Bulletin Officiel de la République Argentine le 9 avril 2015, – décision selon laquelle la Fraternité Saint-Pie X était reconnue en Argentine comme personne juridique et qu’elle était inscrite au Registre des Instituts de Vie consacrée où figurent les ordres et les congrégations religieuses catholiques, présents en Argentine.
Cette décision a été rendue possible, entre autres formalités à remplir, par une lettre de l’archevêque de Buenos Aires, le cardinal Mario Aurelio Poli, adressée au Secrétariat du culte et accompagnant la démarche entreprise par les autorités de la Fraternité auprès de ce Secrétariat, depuis 2011. Cette lettre où l’archevêque de Buenos Aires « demande que la ‘Fraternité des apôtres de Jésus et Marie’ (Fraternité Saint-Pie X) soit considérée, jusqu’à ce qu’un cadre juridique définitif lui soit accordé dans l’Église universelle, comme si elle était une association de droit diocésain », est une condition nécessaire à remplir par toutes les congrégations religieuses catholiques en Argentine.
Le document du cardinal Poli n’a pas de portée canonique, car il ne saurait se substituer à l’autorité romaine qui seule peut régler le statut canonique de la Fraternité. Il ne s’agit que d’une démarche permettant une décision administrative de l’État argentin, en attendant « qu’un cadre juridique définitif soit accordé (à la Fraternité) dans l’Église universelle ».
Il faut savoir qu’en Argentine, l’apostolat des congrégations religieuses catholiques ne peut s’exercer que dans un cadre administratif et juridique conditionné par l’inscription au Registre des Instituts de vie consacrée, après avis de l’autorité ecclésiastique.
Le fait que le cardinal Poli ait succédé au cardinal Bergoglio sur le siège archiépiscopal de Buenos Aires peut faire légitimement penser que cette décision n’a pas été prise sans concertation avec le pape François. Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une démarche strictement administrative dans le contexte propre à la République Argentine.
Réponse à DICI concernant la reconnaissance canonique de la F$$PX de Buenos Aires – Avis d’un juriste argentin – le problème de l’expression « comme si » inventée par DICI
La FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !
La FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !
Ou lorsque le fruit est mur, il faut sans tarder commencer à le déguster… Tant il est vrai qu’à Rome de nombreux « gourmets » sont à l’affût…
FSSPX : un vrai panier de crabes fraternels !" width="300" height="210" />
Les opposants-résistants à Mgr Fellay et consorts nous rappellent que :
Le 6 juillet 1988, des supérieurs de la Fraternité Saint Pie X avaient signé le texte suivant dont voici un extrait :
« En revanche, nous n’avons jamais voulu appartenir à ce système qui se qualifie lui-même d’Église Conciliaire, et se définit par le Novus Ordo Missæ, l’œcuménisme indifférentiste et la laïcisation de toute la Société. Oui, nous n’avons aucune part, nullam partem habemus, avec le panthéon des religions d’Assise ; notre propre excommunication par un décret de votre Éminence ou d’un autre dicastère n’en serait que la preuve irréfutable. Nous ne demandons pas mieux que d’être déclarés ex communione de l’esprit adultère qui souffle dans l’Église depuis vingt-cinq ans, exclus de la communion impie avec les infidèles. Nous croyons au seul Dieu, Notre-Seigneur Jésus-Christ, avec le Père et le Saint-Esprit, et nous serons toujours fidèles à Son unique Épouse, l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine.
Être donc associés publiquement à la sanction qui frappe les six évêques catholiques, défenseurs de la foi dans son intégrité et son intégralité, serait pour nous une marque d’honneur et un signe d’orthodoxie devant les fidèles. Ceux-ci ont en effet, un droit strict à savoir que les prêtres auxquels ils s’adressent ne sont pas de la communion d’une contrefaçon d’Église, évolutive, pentecôtiste, et syncrétiste. »
« C’était le bon temps… » nous disent-ils sans rire… En lisant ce texte, on peut mesurer le changement de mentalité (sic!) de la FSSPX, ajoutent-ils… Et encore : « N’oublions pas de prier pour les prêtres, afin qu’ils y voient clair et aient un sursaut. (sic!) Vont-ils tous se laisser avoir ? (sic!) Personne ne va donc rien faire ? Les capucins de Morgon vont-t-il se taire ? Et les Bénédictins ? »
Alors me direz-vous que se passe-t-il au sein de la FSSPX ? Voici :
Circus Jorge F1 : Jorge aime le tango
Condamné par le pape saint Pie X,
approuvé par Bergoglio …
Il aime le Tango
“Pape” François aime la danse Immorale
Plus vous creusez dans le passé de Jorge Mario Bergoglio – l’homme que le monde appelle maintenant “le pape François” – plus vous trouvez des choses les plus incroyables, des choses qui font qu’il est très évident que l’homme n’est pas un bon catholique et n’a en rien le sens catholique.
« J’aime beaucoup le tango. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi. » C’est ce que le Cardinal Jorge Mario Bergoglio a déclaré en 2010 dans une longue interview publiée dans le livre “Le Jésuite” par Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti. Bergoglio se révéla être un expert dans l’histoire du tango. Il est un fan du tango des grands chanteurs Carlos Gardel et Julio Sosa, ainsi que du compositeur contemporain Astor Piazzolla.
Bergoglio est un libéral du genre “hippie des années 60” (1960). En 2010, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti ont publié un livre intitulé El Jesuita (espagnol pour “Le Jésuite”), qui est une biographie autorisée de l’époque du “Cardinal” Jorge Mario Bergo(go)glio. Dans ce livre, les auteurs citent Jorge Bergoglio sur l’une des danses les plus immorales dans le monde, le tango, comme suit : « J’aime beaucoup le tango. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi. ». L’amour de Bergoglio pour le tango n’est pas inconnu. Après son élection à la tête de la secte Vatican II (d’Eux), le maire de Rome a invité les gens à une soirée spéciale de tango « en l’honneur de papa Francesco ».
Compte tenu de cet engouement, pour commémorer l’anniversaire de la fondation de Rome, le maire de la ville et l’ambassade d’Argentine en Italie ont pris l’initiative de promouvoir une soirée de tango le 20 Avril 2013 en hommage à Papa Francesco. En effet, la publicité de l’affiche du festival, reproduite ci-dessous, est ainsi libellée :
Capitale de Rome
Dans le rythme du tango
En l’honneur du pape François
Festival Italo-Argentin
Piazza del Popolo (la place du Peuple)
Samedi, 20 Avril 2013, Heure : 20h00
Pour plus d’informations, vous pouvez lire un rapport en italien (traduction auto Google) ici .
Malgré les préférences de papeF1-Bergoglio, le tango a été considéré comme opposé à la Doctrine catholique car c’est une danse très immorale et sensuelle, comme indiqué dans les première et deuxième citations ci-dessous.
Au nom du pape saint Pie X, le vicaire général de Rome, le Cardinal Basilio Pompiles a publié une Lettre pastorale en 1914 dénonçant le tango comme « très dommageable pour l’âme ». Le cardinal a déclaré :
« Le tango, qui a déjà été condamné par d’illustres Évêques et est interdit, même dans les pays Protestants, doit être absolument interdit au Siège Apostolique, le centre de la religion Catholique. » Il a exhorté les membres du clergé à élever courageusement la voix « pour défendre le caractère sacré des coutumes Chrétiennes contre le danger menaçant et l’écrasante immoralité du nouveau paganisme ». Il a également averti les parents que s’ils ne protègent pas leurs enfants de cette corruption, ils seront coupables devant Dieu de manquer à leurs devoirs les plus sacrés. (The New York Times, le 16 Janvier, 1914)
Le Cardinal Aristide Cavallari, patriarche de Venise, a également fermement condamné le tango, le qualifiant de « turpitude morale », ajoutant :
« C’est le pire qu’on puisse imaginer. C’est révoltant et dégoûtant. Seules les personnes qui ont perdu tout sens moral peuvent supporter ça. C’est la honte de nos jours. Celui qui persiste commet un péché. » Le Cardinal a ordonné à tous les ecclésiastiques de refuser l’absolution à ceux qui dansent le tango et ne promettent pas de mettre fin à cette pratique. (The New York Times 22 Janvier 1914)
Cent ans après ces sages condamnations, le même tango est promu publiquement à Rome par un Pape [que le monde prend pour “pape”] s’il vous plaît ! …qui l’a dansé et qui aime ça…
Quelques photos de tango, qui rendent parfaitement clair comment le tango est une danse sexuellement provocante ; et comment le tango est vraiment une faute immorale.
En fait, un examen rapide de l’histoire du tango révèle qu’il a commencé d’abord dans des maisons closes, et, encore plus dignement dans notre cas ici, en particulier dans les bordels de Buenos Aires. « À l’origine, la danse était une “mise en scène” de la relation entre la prostituée et son proxénète », nous dit-on dans un article fourni par BBC News, intitulé « Histoire du Tango : Du bordel à Broadway ». Et dans le cas où des personnes ne le comprendraient toujours pas à ce point, l’article explique en outre : « Sensuelles et sexuellement suggestives, ces chansons de tango et danses [de tango] étaient généralement considérées comme obscènes. »
Ouais, alors là vous l’savez ! Et cette danse obscène, originaire des bordels de Buenos Aires, étant aussi sexuellement suggestive qu’elle pourrait l’être, est «aimée» par «Pape» François et c’est quelque chose qui « vient de l’intérieur » de lui… (1) Il dit même qu’il la dansait lui-même : « J’ai dansé étant jeune homme, mais je préférai la Milonga » (2) ( « Le pape Francis aime le tango » , GMA News).
Est-ce que cette information sur François vous choque, ou vous surprend ? Si c’est le cas, vous avez été à l’écoute de mauvais commentateurs, ou lisez les mauvais blogs, ou vu des mauvaises choses… Ou vous êtes aveuglés… Aveuglement “cause du péché”… (De la danse du Tango peut-être ?)
Mais ne devons-nous pas vous dire toute la vérité sur François ? Pensez à cela.
Cet article a été élaboré avec la contribution de Novus Ordo Watch et Tradition in Action
He Likes to Tango – « Pope » Francis Loves Immoral Dance
http://.org/wire/francis-likes-to-tango.htm
Church Revolution in Pictures: Tango for Pope Bergoglio
http://traditioninaction.org/RevolutionPhotos/A518-Tango.htm
pape François aime le tango
BUENOS AIRES — Le pape François, le premier Argentin à monter sur le trône de saint Pierre, aime danser le tango et dansait passionnément sur la musique sud-américaine dans sa jeunesse.
« Je l’aime beaucoup. C’est quelque chose qui vient de l’intérieur de moi », a déclaré Jorge Mario Bergoglio dans une longue interview publiée en 2010 dans le livre “Le Jésuite”, de Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.
Dans l’interview, le cardinal Bergoglio se révéla ensuite être un peu connaisseur de l’histoire du tango, la musique qui a émergé des quartiers pauvres de Buenos Aires et de Montevideo.
Il a dit qu’il était un fan des grands chanteurs de tango Carlos Gardel et Julio Sosa et au début du 20e siècle de l’orchestre de Juan D’Arienzo.
Comme un bon pasteur, il rapportait le monde du tango à celui de la religion dans l’interview, et a exprimé son admiration pour Ada Falcon, une célèbre danseuse de tango qui a tout laissé derrière elle pour devenir nonne.
Il a également dit qu’il avait de bons souvenirs de la chanteuse et auteur-compositeur Azucena Maizani.
« J’ai donné l’extrême-onction à Azucena (en 1970). Je la connaissais parce que nous étions voisins », a-t-il dit.
Sur la scène du tango plus contemporain, Bergoglio a dit qu’il admirait Astor Piazzolla, compositeur argentin et maître du bandonéon qui est considéré comme l’un des plus grands du tango du 20ème siècle.
« Savez-vous comment danser le tango ? » Ont-ils demandé Bergoglio.
« Oui, je le dansais étant jeune homme, mais je préférais la “Milonga” », a-t-il dit, se référant à la musique populaire de rythme plus rapide qui était l’une des premières racines du tango.
Le futur pape a dit qu’il avait une petite amie alors, et ils allaient danser ensemble avec un groupe d’amis, mais la romance s’est terminée « quand j’ai découvert ma vocation religieuse. », Agence France-Presse
(AFP)
[1] Vade retro, Satana! (Retire-toi, Satan !)
[2] Milonga pampeana ou Milonga est une musique et une danse (d’Argentine, qui est un rythme populaire de l’Argentine, l’Uruguay et le Rio Grande do Sul (Brésil).
Quelques œuvres “décalées” de Bergo(go)glio alias papeFrançois — (III)
Poursuivons notre petit tour des déviations de Bergo(go)glio alias papeFrançois… Sandro Magister, dans la revue (conciliaire) en ligne Chiesa.it, veut nous faire croire que papeFrançois ne donne pas la communion :
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement…
Ce qui, nous allons le voir et totalement faux !
Pourquoi le pape François ne donne pas la communion ((Texte tout à fait conciliaire, fait par un conciliaire… où les mots pape, communion, hostie consacrée, etc. n’ont pas de valeurs réellement catholique du fait de l’invalidité des sacrements conciliaire… Cf. Rore-Sanctifica.org))
Parce que, dit-il, des pécheurs publics non repentis pourraient se glisser parmi les fidèles et qu’il ne veut pas favoriser leur hypocrisie. Le cas des politiciens catholiques partisans de l’avortement.
par Sandro Magister
ROME, le 9 mai 2013 – Il y a, dans les messes célébrées par le pape François, une particularité qui suscite des questions restées jusqu’à présent sans réponse.
Lorsque vient le moment de la communion, le pape Jorge Mario Bergoglio ne la distribue pas lui-même mais il laisse à d’autres le soin de donner aux fidèles l’hostie consacrée. Il s’assied et attend que la distribution du sacrement soit achevée.
Les exceptions sont rarissimes. Aux messes solennelles, le pape, avant de s’asseoir, donne la communion à ceux qui l’assistent à l’autel. Et dernièrement, lors de la messe du Jeudi Saint, célébrée à la prison pour mineurs de Casal del Marmo, il a voulu donner lui-même la communion aux jeunes détenus qui se sont approchés pour la recevoir.
Bergoglio n’a donné, depuis qu’il est pape, aucune explication explicite à ce comportement.
Mais il y a, dans un de ses livres publié en 2010, une page qui fait pressentir les motifs qui sont à l’origine de cette attitude.
Ce livre est un recueil d’entretiens qu’il a eus avec le rabbin Abraham Skorka de Buenos Aires.
Celui qui était alors l’archevêque Bergoglio déclare, à la fin du chapitre consacré à la prière :
« David avait commis l’adultère et il avait commandé un homicide ; nous le vénérons quand même comme un saint parce qu’il a eu le courage de dire : ‘J’ai péché’. Il s’est humilié devant Dieu. On peut commettre des fautes énormes, mais on peut aussi le reconnaître, changer de vie et réparer le mal que l’on a fait. Il est vrai que, parmi les paroissiens, il y a des gens qui ont tué non seulement intellectuellement ou physiquement mais aussi de manière indirecte, par une mauvaise gestion des capitaux, en payant des salaires injustes. Ils sont membres d’organisations de bienfaisance, mais ils ne paient pas à leur personnel ce qui lui revient, ou ils le font travailler au noir. […] Nous connaissons parfaitement le curriculum de certains d’entre eux, nous savons qu’ils prétendent être catholiques mais qu’ils ont des comportements indécents dont ils ne se repentent pas. C’est pour cette raison que, dans certaines occasions, je ne donne pas la communion, que je reste en arrière et que je laisse ceux qui m’assistent dans la célébration de la messe le faire, parce que je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo. On pourrait également refuser la communion à un pécheur notoire qui ne s’est pas repenti, mais il est très difficile de prouver ces choses-là. Recevoir la communion, cela signifie recevoir le corps du Seigneur, avec la conscience de former une communauté. Mais si un homme, plutôt que d’unir le peuple de Dieu, a fauché la vie d’un très grand nombre de personnes, il ne peut pas recevoir la communion, ce serait totalement contradictoire. On trouve ce genre de cas d’hypocrisie spirituelle chez un grand nombre de gens qui trouvent refuge dans l’Église mais qui ne vivent pas selon la justice demandée par Dieu. Et ils ne donnent aucun signe de repentir. C’est ce que l’on appelle communément mener une double vie. »
Comme on peut le constater, Bergoglio expliquait en 2010 son refus de donner personnellement la communion par un raisonnement très pratique : « Je ne veux pas que ces gens s’approchent de moi pour la photo ».
En pasteur expérimenté et en bon jésuite qu’il est, il savait que, parmi ceux qui s’approchaient pour recevoir la communion, il pouvait y avoir des pécheurs publics non repentis qui se prétendaient par ailleurs catholiques. Il savait que, dans cette situation, il serait difficile de leur refuser le sacrement. Et il savait quels effets publics cette communion pourrait avoir, si elle était reçue des mains de l’archevêque de la capitale de l’Argentine.
On peut en déduire que Bergoglio perçoit le même danger depuis qu’il est pape, et même encore davantage. Et que, pour cette raison, il adopte le même comportement prudent : « Je ne donne pas la communion, je reste en arrière et je laisse faire ceux qui m’assistent ».
Les péchés publics que Bergoglio a donnés comme exemples, dans son entretien avec le rabbin, sont l’oppression des pauvres et le refus de donner un juste salaire à l’ouvrier. Deux péchés qui figurent traditionnellement parmi les quatre qui « crient vengeance au Ciel ».
Mais, au cours de ces dernières années, un raisonnement semblable a été appliqué par d’autres évêques à un autre péché : le soutien public apporté aux lois favorables à l’avortement par des politiciens qui se proclament catholiques.
Cette controverse-là a eu son épicentre aux États-Unis.
En 2004, celui qui était alors le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, fit parvenir à la conférence des évêques des États-Unis une note dans laquelle étaient formulés les « principes généraux » relatifs à cette question.
La conférence des évêques décida d’ »appliquer » au cas par cas les principes rappelés par Ratzinger en confiant à « chaque évêque le soin de formuler des jugements pastoraux prudents en fonction des circonstances spécifiques auxquelles il serait confronté ».
Depuis Rome, le cardinal Ratzinger accepta cette solution et déclara qu’elle était « en harmonie » avec les principes généraux de sa note.
En réalité, les évêques des États-Unis ne sont pas unanimes. Certains, même parmi les conservateurs, comme les cardinaux Francis George et Patrick O’Malley, sont peu enclins à « faire de l’eucharistie un champ de bataille politique ». D’autres sont plus intransigeants. Lorsque le catholique Joe Biden fut choisi comme vice-président par Barack Obama, Charles J. Chaput, qui était alors évêque de Denver et qui est aujourd’hui archevêque de Philadelphie, déclara que le soutien apporté par Biden au « droit » à l’avortement constituait une grave faute publique et que « pour cette raison, celui-ci devrait, par souci de cohérence, s’abstenir de se présenter pour recevoir la communion ».
Ce qui est certain, c’est que lors de la messe d’inauguration du pontificat de François, le 19 mars dernier, le vice-président Biden et la présidente du parti démocrate Nancy Pelosi, qui est également une catholique pro-avortement, faisaient partie de la délégation officielle des États-Unis.
Et ils ont l’un et l’autre reçu la communion. Mais pas des mains du pape Bergoglio, qui était resté assis derrière l’autel.
Sandro Magister, « L’espresso »
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Dans cette dernière phrase, Sandro Magister exonère papeFrançois en disant que ce n’est pas lui qui a donné la communion !… Le fourbe ! C’est lui qui laisse faire !!!
Voyons maintenant les œuvres réelles de Bergo(go)glio, une image vaut mille mots ! Alors quand ont en a plusieurs…
La Vie, relate d’ailleurs événement :
Du côté d’une certaine frange intégriste, on ne se prive pas non plus de rapporter d’autres anecdotes. Ainsi, le site américain Tradition in Action rapporte-t-il comme une preuve accablante du modernisme du nouveau pape une série de photos où on le voit distribuer la communion dans la main. Le même site titrait quelques jours auparavant: « La révolution misérabiliste du pape Bergoglio ». « En moins d’une semaine depuis son élection le 13 Mars 2013, le pape François a déjà accompli plus de progressisme en changeant la papauté que ce qui a été fait dans les dernières décennies de Jean-Paul II et Benoît XVI combinés », tonne le blog.
À suivre pour de nouvelles Œuvres de Bergo(go)glio…