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Bergoglio 1er – François ZérØ moderniste et hérétique
Bergoglio 1er – François ZérØ
moderniste et hérétique
Bergo(go)glio, « homme au langage pervers » (St Pie X) a remis officiellement le dimanche 24 novembre 2013 à 36 représentants de l’église Conciliaire et publiée mardi 26, une lettre d’Exhortation au chaos évangélique : “Evangelii Gaudium” (1) – première exhortation “apostolique” de François Ø (qui ne veut pas qu’on l’appelle François 1er) – venant clôturer officiellement l’« Année de la foi » qui avait été lancée par Benoît 1er de Vatican d’Eux (XVI) le 11 octobre 2012.
Cette lettre ‘apostolique’ “Evangelii gaudium”, « la joie de l’Évangile » (aux ‘évêques’, ‘prêtres’, ‘diacres’, personnes ‘consacrées’ et à tous les fidèles laïcs (…ouf !) sur l’Annonce de l’Évangile dans le monde d’aujourd’hui) est, non seulement très fastidieuse à lire parce qu’elle consiste en 1000 conseils “pastoraux”, qui sont des plus réformateurs et révolutionnaires…
Mais elle est surtout « imprégnée jusqu’aux moelles du venin d’erreur puisé chez les adversaires de la Foi ! » (St Pie X) de la première à la dernière ligne !
« Nous taire n’est plus de mise, » dit Saint Pie X (2), « si Nous voulons ne point paraître infidèle au plus sacré de Nos devoirs »… Nous devons donc, nous aussi dénoncer les hérésies – le pire mal qui existe sur terre –, et nous devons vous éclairer…pour que vous gardiez la Foi !
Les Gauloises et les Gaulois à la Passion de Jésus
Nous vous proposons en ce Vendredi saint, une Conférence donnée à Marseille dans l’église de Notre-Dame du Mont, le Vendredi Saint, 31 mars 1893, par Monsieur l’abbé Henry Bolo.
Je dédie ce modeste opuscule à l’auditoire d’hommes qui se pressait autour de la chaire de Notre-Dame du Mont, le 31 mars 1893. L’énorme affluence provoquée par la simple annonce du sujet qui devait être traité, l’intérêt admirablement soutenu avec lequel la foule a suivi, deux heures durant, les démonstrations assez arides que je vais essayer de reproduire, ont bien montré, ce jour-là, que le patriotisme et la foi vivent de la même vie, dans les âmes françaises, et que le sentiment religieux durera chez nous, aussi longtemps que l’amour de la patrie.
Et comment l’amour de la patrie se refroidirait-il dans un beau pays comme la France ?
Ce 3 avril 1893, HENRY BOLO.