Archive for the ‘libérales’ tag
Bergo(go)glio A voté !! Les francs-maçons paniquent…
La politique n’est pas l’objet de ce blogue…et nous n’en avons que faire de ses pseudo-“consultations” ripouxblicaine… Mais quand les frères francs-maçons paniquent, ça m’amuse !!!
Avant de passer à la panique des frères & sœurs trois points (∴), une autre anecdote amusante ce lundi matin post-électoral… que m’a transmise notre ami François (XXL)
Le clown blanc de la secte conciliaire en visite chez ses maîtres. Il n’a pas oublié de glisser un petit papier entre les pierres. Notre reporter a pu prendre connaissance du message :
« Je viens de me faire circoncire, et j’offre ma souffrance pour l’avènement de la Religion Mondiale ».
Courtisan un jour,… courtisan toujours !
Lettre Ouverte de l’Abbé Moulin à Mgr Williamson
Vous avez sans doute lu ce texte de l’abbé Moulin sur l’Internet.
Tandis que ce pauvre Max Barret s’en félicite, on ne peut que constater que tous ces abbés sont indécrottables !
Grand adulateur de Mgr Williamson, il loue les cours donnés par Williamson (Willi pour les intimes) à Écône en disant que Fellay a reçu de lui « une solide formation philosophique et théologique » !!!! Ah oui ? Vraiment ? On voit où l’a amené aujourd’hui cette « solide formation » !!
de: | MAX BARRET barret.max@free.fr | ||
heure de l’expéditeur: | Envoyé à 15:11 (GMT+02:00). | ||
à: | MAX BARRET <barret.max@free.fr> | ||
date: | 30 juin 2012 15:11 | ||
objet: | TR: Coutisan un jour, courtisan toujours | ||
envoyé par: | free.fr |
Un abbé de plus monte en ligne !
Je n’ai découvert ces textes qu’à mon retour d’Ecône cet après-midi !
C’est aussi à diffuser très largement. !
Abbé Charles Moulin
Prieuré de Nice
Lettre ouverte à Son Excellence Monseigneur Richard Williamson
Monseigneur,
Veuillez pardonner le caractère public de ces lignes que je me permets respectueusement et amicalement de vous adresser, comme suite au dernier courrier interne du Secrétaire Général de la Fraternité nous informant de votre exclusion du prochain Chapitre Général à Ecône.
Aussi, est-ce à l’Ami personnel de Monseigneur Lefebvre, au Doyen des évêques de la Fraternité, à l’ancien Supérieur, Sous-directeur du séminaire d’Ecône, à mon ancien Professeur de philosophie et de théologie, à un Frère aîné dans le sacerdoce et enfin à l’Ami de plus de quarante ans de ma famille providentiellement rencontré sous l’égide de Notre de Dame du Mont Carmel, que je vous demande respectueusement ne point tenir compte de ce courrier, conséquence d’un probable et regrettable malentendu vous concernant, et à ne pas renoncer de vous rendre comme prévu à Ecône pour ce Chapitre Général de juillet prochain. Il est vrai qu’en ces moments difficiles que traverse la Fraternité, selon les charitables paroles du bon roi Louis XVI exprimées dans son admirable testament « souvent dans les moments de trouble et d’effervescence, on n’est pas maître de soi ».
De ne pas tenir compte du canon n°1331 § 1et 2 maladroitement invoqué contre vous-même puisqu’il condamnerait également la « rébellion et la désobéissance » de Mgr Lefebvre et remettrait en cause la légitimité de sa désobéissance vis à vis de la Rome moderniste qui dirige l’Eglise depuis le dernier Concile ! (je trouve cela assez cocasse !)
Malentendu réel, si j’en juge ma connaissance personnelle de notre Supérieur Général avec qui je suis entré au séminaire d’Ecône il y a maintenant bientôt 35 ans, qui me permet d’affirmer que celui qui, depuis des mois, montre une si réelle bienveillance, compréhension et charité à l’égard des ennemis d’hier de l’Eglise et de la Fraternité, et qui accepte dans un esprit d’ouverture de dialoguer avec eux depuis qu’ils semblent suspendre leurs persécutions contre nous… ne puisse pas, aujourd’hui, pardonner à son « confrère d’arme » quelques écarts d’obéissance après tant d’année de combats communs, fidèles et héroïques au service du Christ-Roi, de son Eglise, de la Foi, de la Sainte Messe et du sacerdoce dans la droite ligne du combat de Mgr Lefebvre.
Qu’il veuille de plus sanctionner le fait qu’un véritable « Evêque parle » et réponde modestement chaque semaine aux interrogations légitimes des «catholiques perplexes» devant cette évolution jugée longue mais positive de l’église conciliaire. Au moment fort délicat où il leur est demandé de reprendre l’étude attentive et objective des textes de Vatican II, et à « lire entre les lignes » les textes, communiqués et décisions des autorités romaines, pour y discerner ces changements heureux qui l’inclinent, non pas secrètement mais discrètement, à réviser favorablement, au nom de toute la Tradition, son jugement sur les loyales dispositions des autorités romaines à notre encontre et leur sincérité d’opérer une certaine réforme de leur « Eglise ». Comme par exemple, d’être attentifs aux faits, tel que celui, survenu récemment en Corse, où l’Evêque du lieu s’est généreusement proposé de venir confirmer les fidèles de notre chapelle selon le rite traditionnel…
De plus, comme il se trouve, Monseigneur, que providentiellement vous n’êtes point engagé dans les discussions doctrinales avec les autorités romaines, il me semble que notre Supérieur, soucieux de notre future indépendance de paroles, d’apostolat et d’action de la Fraternité « intra muros », ne peut que se réjouir de votre liberté de paroles, privilège authentique et traditionnel de tout évêque catholique, à la fois pasteur, gardien et défenseur du petit troupeau contre tous les ennemis de l’Eglise, tant du dehors que du dedans. L’Eglise ne nous montre-t-elle pas St Paul prêchant la bonne doctrine « à temps et à contretemps » jusqu’à reprendre sévèrement et même avec force le grand St Pierre lui-même ? « Quand Céphas vint à Antioche, je lui résistais en face parce qu’il se trouvait avoir fort… Je dis à Céphas devant tout le monde… » (Gal. II)
Il m’est difficile également d’imaginer que notre Supérieur Général, qui fut l’un des élèves les plus attentifs à Vos cours magistraux au séminaire d’Ecône, et qui vous doit, ainsi qu’à Mgr Tissier de Mallerais, l’essentiel de sa solide formation philosophique et théologique ; puisse en cette période particulièrement délicate pour l’avenir de notre Fraternité, se dispenser de votre savoir et de vos lumières lors de ce prochain Chapitre Général qui marquera sans doute son histoire.
Il m’est surtout difficile de concevoir que notre Supérieur, toujours soucieux d’unité dans la Fraternité, puisse légitimement exclure l’un des quatre évêques choisis par Monseigneur Lefebvre lui-même sans briser l’union étroite et indissoluble voulue par lui, et détruire leur harmonieuse complémentarité.
Votre serviteur étant personnellement convaincu que vous avez été providentiellement choisi, par notre Fondateur, dans le but d’empêcher efficacement, par votre charisme personnel et méritoire de converti de l’anglicanisme, une toujours possible protestantisation » de notre modeste Fraternité après avoir assisté, impuissants, à celle opérée depuis cinquante ans dans toute l’Eglise.
Il m’est aussi difficile de comprendre qu’ il veuille se priver de vos précieuses connaissances en matière de tactiques subversives, modernistes, libérales et révolutionnaires des ennemis de l’Eglise.(sic !!!) Formation largement enrichie avec le temps par vos contacts étroits et amicaux pour certains avec ces hommes qui ont été providentiellement suscités pour notre temps (même si, hélas, un certain nombre d’entre eux, sont devenus passablement impopulaires dans nos milieux traditionnels suite à l’ouvrage d’un certain « Gentleman cambrioleur » !) Je pense tout particulièrement à ces messieurs Pierre Virion et A.-M. Bonnet de Viller… et bien d’autres dont Jean Vaquier… qui sont autant d’auteurs essentiels à connaître pour se former à une bonne compréhension de la terrible crise religieuse, sociale et politique que nous traversons et dont notre Supérieur ne peut ignorer les écrits selon la recommandation du Seigneur invitant ses apôtres à « être simples comme des colombes et prudents comme des serpents. »
Il m’est enfin difficile d’imaginer ce Chapitre Général sans votre éminente présence, qui risquerait peut-être par solidarité, de le priver également de la présence de vos deux autres Confrères dans l’épiscopat, mais surtout de priver notre Supérieur Général de vos précieux conseils dans la rédaction finale des raisons profondes qu’il devra nécessairement avancer aux autorités romaines pour justifier le refus de la Fraternité d’accepter les termes de la dernière proposition du cardinal Levada jugés par lui inacceptables.
Dieu veuille que ce malentendu heureusement et promptement dissipé, le Chapitre Général au complet, puisse trouver toute sa légitimité, et permettre, dans la paix et l’unité, à tous les capitulants de s’accorder, à la fois le temps de méditer avec fruit cette vérité merveilleusement formulée par St Jean Chrysostome disant qu’ « il y a plus à se fier aux blessures d’un ami qu’aux baisers empressés d’un ennemi » et de travailler enfin à demander aux autorités romaines, avec la levée d’excommunication des deux grands Oubliés la pleine et entière réhabilitation de notre vénéré et regretté fondateur Monseigneur Marcel Lefebvre à qui nous devons tant !
Espérant de tout cœur que vous preniez en compte ma supplique, veuillez croire, Monseigneur, à l’expression de ma respectueuse et sacerdotale amitié in Christo Rege et Maria.
* * *
Nous avons reçu la Lettre originale par un autre correspondant :
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”
Au moment où le guide d’aveugles, qui conduit les fidèles de la FSSPX dans la fosse ((« Laissez-les, et ignorez-les ; ce sont des guides aveugles et des enseignants aveugles : et si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. » Matthieu 15:14 ; « Un aveugle peut il conduire un aveugle ? Ne tomberont-ils pas tous deux dans la fosse ? » Luc 6:39)) — Évangile de ce 1er dimanche après la Pentecôte —, s’entête a vouloir être “reconnu” par la Rome conciliaire, nous vous présentons un document capital – sorti des archives – des Dominicains d’Avrillé qui montre clairement ce qui s’est succédé depuis l’année 2000 jusqu’à présent et comment sont tombées, une à une, successivement les diverses institutions de la Tradition.
La Fraternité Saint Pie X, quant à elle, après s’être opposée et avoir fouetté Campos et l’IBP, encoure les mêmes erreurs…
Les ralliés et leur échec
Nous présentons la Table des matière de ce document de 44 pages. La seule lecture de cette table, comme nous l’avons dit précédemment, montre clairement ce qui s’est succédé depuis les années 2000 jusqu’à présent et comment sont tombées, une à une, successivement les diverses institutions de la Tradition.
Les Dominicains d’Avrillé font une bonne étude de la crise, mais comme toujours, ils n’abordent pas le grand problème de Vatican II (d’Eux !) – à savoir : Les nouveaux sacrements ! et en particulier le « sacre des “évêques” » Conciliaires. Ils refusent l’étude de Pontificalis Romani sur l’invalidité des nouveaux sacrements comme l’a démontré d’une façon irréfutable – et jamais réfuté ! – le Comité international Rore Sanctifica (CIRS).
Ils ont volontairement publié dans leur revue des arguments gravement erronés (qui furent d’ailleurs en partie ceux-là mêmes utilisés par les modernistes pour justifier en 1968 le changement opéré) pour défendre la validité du nouveau rituel et ainsi soutenir la légitimité de l’église Conciliaire et de ses pontifes.
Malgré les réfutations factuelles et argumentées qui leur ont été adressées (www.rore-sanctifica.org), ils ne sont JAMAIS revenus sur leurs erreurs, préférant soutenir la thèse fallacieuse et impie du « sacerdoce probable » développée par Mgr Fellay.
C’est pourquoi, s’ils venaient aujourd’hui à refuser l’accord entre le Vatican et la FSSPX sans revenir sur leurs graves erreurs qui ont contribué grandement à cette progressive et insidieuse intégration de l’œuvre de Mgr Lefebvre au sein de l’église Conciliaire dépourvue de sacrements valides, les dominicains d’Avrillé confirmeraient, de fait, le double-jeu qui a été le leur (en lien avec le très douteux Mgr Williamson, au blason épiscopal rose-croix) : celui de vouloir neutraliser la « réaction » afin de la maintenir dans des positions qui ne sont absolument pas catholiques !
À ce propos, nous vous invitons à lire ou relire le dossier de nos confrères de Résistance-Catholique, sur les troublantes connections entre les dominicains d’Avrillé et certains cercles mondialistes et maçonniques dans lequel ils exposent et dénoncent les trois thèses fallacieuses défendues par le monastère dominicain (réputé théologiquement sûr !) et sa revue Le Sel de la Terre :
– L’authenticité du 3e secret de Fatima publié par le Vatican le 26 mai 2000 (Le Sel de la terre n°53, été 2005) ;
– La validité du nouveau rituel de consécration épiscopale (Le Sel de la Terre, n°54, automne 2005) ;
– La thèse d’une hiérarchie pour deux Églises (Le Sel de la Terre n°59, hiver 2006-2007).
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”,
par les Dominicains de Avrillé
Table des matières
Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés
I – L’œuvre de Mgr Lefebvre
I.1. L’œuvre de Mgr Lefebvre jusqu’en 1988 : maintenir la Tradition
I.2. Continuer cette œuvre après sa mort
Dans l’esprit de foi
Il est nécessaire de mettre la Tradition à l’abri des influences modernistes et libérales
La Tradition ne peut continuer qu’avec un ou plusieurs évêques
Ces évêques doivent avoir les mêmes principes que Mgr Lefebvre pour continuer l’œuvre dans le même esprit
Le sermon du 29 juin 1987
I.3. Attitude de Rome
Réaction de Rome
Mgr Lefebvre tente un accord avec réticence
Les bons fidèles craignaient cet accord
Visite du cardinal Cagnon : approbation de l’œuvre
I.4. Mgr Lefebvre refuse tout accord avec Rome
Le désaccord vient d’une opposition de doctrine avouée par les évêques
Le désaccord vient non seulement des erreurs doctrinales mais aussi de la perversité de leur esprit …et de leur manque d’honnêteté
Rome ne veut pas la même chose que lui
Mgr Lefebvre se donne les moyens de continuer l’œuvre : « opération survie », les sacres de 1988
I.5. D’autres acceptent un accord avec Rome
Ils pensent trouver dans cet accord les garanties suffisantes pour continuer la Tradition : confiance sans fondement
Les communautés qui ont passé cet accord avec Rome
On les appelle « ralliés »
II – Les intentions
II.1. Mgr Lefebvre
Remettre en honneur la Tradition et lui redonner dans l’Église la place qui lui est due
Examiner si Rome veut sincèrement protéger la Tradition
II.2. Rome
Réconciliation et non pas reconnaissance de la Tradition comme voulait Mgr Lefebvre
Faire rallier tous les traditionalistes à Rome
Pleine communion ecclésiale qui inclut la collaboration des ralliés sous la direction des évêques diocésains et qui détermine la composition de la commission romaine
C’est autre chose qu’une question de rite : toute une conception de l’Église
Dans ce cadre deux tendances sont manifestes
Il faut penser comme tous les évêques, reconnaître l’orthodoxie de la nouvelle messe et adhérer au concile Vatican II
Fidélité à la Tradition vivante
II.3. Les ralliés
Ils ne veulent pas pleinement suivre la Tradition
Être dans l’obéissance
Être dans la légalité (situation canonique régulière) ; être relevé des censures
Être dans l’Église ; l’Église est visible
Travailler dans l’Église à ce que la Tradition retrouve son droit de cité
C’est l’Église qui sauve et non nous qui sauvons l’Église
S’opposer à l’esprit de parti et au schisme
Garder ses amitiés ; faire cesser les divisions et les souffrances
S’ouvrir
Favoriser l’apostolat et l’afflue des vocations en ôtant les obstacles apparents de schisme
Être un pont entre Rome et la Fraternité Saint Pie X
Les laïcs sont incompétents pour juger de certaines choses religieuses ; ils prennent leur bien où ils peuvent
III – Les termes de l’accord : le Motu proprio du 2 juillet 1988
III.1. Un fondement sentimental et non doctrinal
III.2. Première conséquence : l’œcuménisme liturgique
III.3. Deuxième conséquence : de l’œcuménisme liturgique à l’œcuménisme doctrinal
Dérive progressive
La pleine acceptation de l’œcuménisme pratiqué par Jean-Paul II
La pleine acceptation des principes sous-jacents à cette pratique
III.4. La réponse du pape Pie XI
III.5. Tradition vivante
Sens des mots
Novateurs
Infaillibilité
IV – Un accord pratique ?
IV.1. Attitude subversive
IV.2. Se soumettre volontairement aux autorités romaines : se mettre sous influence moderniste
IV.3. Intégrer la Tradition dans le système moderniste : le pluralisme
V – Confirmation : l’accord de Campos
Être reconnus par Rome
Le concile Vatican II « à la lumière de la Tradition »
La nouvelle messe
Avec le pape collaborer au combat contre les erreurs !
Omission de la profession publique de la foi
VI – Confirmation : l’Institut du Bon Pasteur
Les premiers membres
Réconciliation
La messe
Évolutionnisme et pluralisme
Conclusion
VII – La participation à la messe chez les ralliés
Un exemple
Quelques notions
Retour sur l’exemple
Application : participation à la messe chez les ralliés
Un autre exemple à méditer
Un attrape-nigauds ! ce que Mgr Lefebvre pensait de la messe chez les ralliés ou de la messe à indult
Mgr Lefebvre aux fidèles du Canada
VIII – Conclusion
VIII.1. Rectitude d’intention
VIII.2. Vivre de foi, non de sentiment
VIII.3. Soumission à la sagesse, vraie obéissance
Soumission à la sagesse divine
Obéissance
Conseils des saints
“Mgr Lefebvre, Rome et les ralliés”, par les Dominicains de Avrillé