15 février 1559 : UNE LUMIÈRE POUR LES TÉNÈBRES CONCILIAIRES
Demain 15 février 2015, Sa Sainteté le pape Paul IV fixait à jamais, il y a 456 ans, les règles canoniques qui permettent de discerner un vrai Pape d’un intrus.
La Bulle “ Cum Ex Apostolatus ” du Pape Paul IV
Fixant à jamais les règles canoniques qui permettent de discerner le vrai Pape de l’intrus.
Une Lumière Dans Les Ténèbres Conciliaires :
La Bulle “Cum Ex Apostolatus” Du Pape Paul IV
du 15 février 1559
Par M. l’Abbé Henri Mouraux †
Le 23 mai 1555, en pleine crise protestante, le Sacré Collège porte au Souverain Pontificat le Cardinal Jean-Pierre Carafa. C’est un Religieux à la volonté de fer, au sacerdoce d’une pureté angélique, un prélat savant et énergique à souhait. Il va incarner dans sa personne et son gouvernement la Contre-Réforme catholique en face des hérésies de Luther. Il coiffe la tiare sous le nom de Paul IV. Le 15 février 1559, il publie la Bulle « Cum ex Apostolatus » qui, dans une fidélité absolue à la tradition, fixe à jamais les règles canoniques qui permettent de discerner le prélat légitime de l’intrus. Deux principes dominent le texte dont nous reproduisons l’essentiel ci-dessous, à savoir :
- Si le Pape ne peut être jugé par aucun tribunal humain, on DOIT cependant « le contredire s’il dévie dans les matières de FOI » ;
- Si le Souverain Pontife lui-même a, avant son élection au trône de Saint Pierre, dévié dans la FOI, ou est tombé dans l’hérésie, « son Élection Est Nulle, Sans Valeur Et Non Avenue. Son pontificat ne peut être tenu comme légitime, en aucun de ses actes ».
Voici la traduction des passages essentiels de la Bulle :
§ 1 – Nous considérons la situation actuelle assez grave pour que le Pontife romain, Vicaire de Dieu sur la terre, revêtu de la plénitude du pouvoir sur les nations et les royaumes, juge de tous les hommes et ne pouvant être jugé lui-même en ce monde par personne, puisse toutefois être Contredit s’il Dévie dans la Foi.
§ 6 – Si jamais un jour il apparaissait qu’un évêque, faisant même fonction d’Archevêque, de Patriarche ou de Prélat ; qu’un cardinal de l’Église romaine, même Légat ; qu’un Souverain Pontife, lui-même, Avant sa promotion et élévation au cardinalat ou au Souverain Pontificat, déviant de la Foi Catholique, soit tombé en quelque hérésie, sa Promotion ou Élévation, même si elle a eu lieu dans la Concorde et avec l’Assentiment Unanime des cardinaux, Est Nulle, Sans Valeur, Non Avenue. Son entrée en charge, gouvernement, administration, Tout Devra Être Tenu Pour Illégitime.
S’il s’agit du Souverain Pontife, on ne pourra prétendre que son intronisation, l’agenouillement devant lui, l’obéissance à lui jurée, même une courte durée de règne, que tout cela a convalidé son pontificat ; car celui-ci ne peut être tenu pour légitime en aucun de ses actes. De tels hommes, évêques, archevêques, patriarches, primats, cardinaux ou même Souverain Pontife, ne peuvent être censé avoir reçu ou pouvoir recevoir Aucun Droit, ni dans le domaine spirituel, ni dans le domaine temporel. Toutes leurs paroles, faits et gestes, toute leur administration, tout est dénué de valeur, et ne confère par conséquent Aucune Autorité, Aucun Droit à Personne. Ces hommes ainsi promus seront donc, sans besoin d’aucune déclaration ultérieure, privés par le fait même de toute dignité, place, honneur, titre, fonction, et pouvoir.
Prenez Marie chez-vous !
11 février : Notre-Dame de Lourdes
« Que sòi era Immaculada Concepcion »
c’est-à-dire, « Je suis l’Immaculée Conception ».
« La Dame était si belle que quand on l’a vue une fois, on voudrait mourir pour la voir toujours », affirme Bernadette Soubirous que l’on interroge sans cesse pour démasquer une éventuelle supercherie… Rien n’y fait.
« Prenez Marie chez-vous ! » Monsieur l’abbé Joseph Vérité
« Mère, voila votre fils… » Monsieur l’abbé Joseph Vérité
« Prenez Marie chez-vous ! » Monsieur l’abbé Joseph Vérité
« Soyez de bons fils, Elle vous gardera, Elle vous assurera la vie Éternelle, le Salut ! » Monsieur l’abbé Joseph Vérité
Ô Marie conçue sans péchés,
priez pour nous qui avons recours à Vous
Ô Marie conçue sans péchés,
priez pour nous qui avons recours à Vous
Ô Marie conçue sans péchés,
priez pour nous qui avons recours à Vous
Alsace-Moselle : les “cultes” préconisent l’abrogation du délit de blasphème
Le site des ralliés “Ecclesia Dei” « Riposte Catholique » ((Détenu par Guillaume Jourdain de Thieulloy…
Guillaume de Thieulloy, un assistant de Jean-Claude Gaudin, le sénateur-maire UMP de Marseille est en fait à la tête d’un réseau de médias. Il détient une entreprise de presse, GT éditions, et dirige – en plus de l’Observatoire de la christianophobie et du Salon Beige – Nouvelles de France, l’Osservatore Vaticano, le portail Riposte catholique, le magazine Les 4 Vérités, ou encore les Éditions Muller, dont le dernier ouvrage édité s’intitule Dix bonnes raisons de restaurer la monarchie. Il est également le créateur du Collectif Famille Mariage (CFM) et de Defensor Christi, une association ayant vocation, explique-t-il, à « mettre en place une mission de sensibilisation au parlement à Bruxelles et à créer un groupe de défense juridique des chrétiens au niveau européen ».
Source : http://www.lemondedesreligions.fr)) ainsi que BFMTV/RMC nous apprennent que les représentants des principaux “cultes” en Alsace-Moselle, y compris l’islam, et le sénateur UMP Grosdidier demandent que le délit de blasphème, toujours en vigueur dans le droit local, soit abrogé…
En Alsace-Moselle, les cultes préconisent l’abrogation du délit de blasphème
Les représentants des principaux « cultes » en Alsace-Moselle, y compris l’islam, demandent que le délit de blasphème, toujours en vigueur dans le droit local, soit abrogé. Conciliaires, protestants, juifs et musulmans ont fait cette proposition le 6 janvier – à la veille de l’attaque sanglante contre Charlie Hebdo – lors d’une audition commune à Paris devant l’Observatoire de la laïcité, une instance rattachée aux services du Premier ministre.
250è anniversaire de l’approbation par le Saint-Siège du culte liturgique du Sacré-Cœur de Jésus.
Deux-cent-cinquantième anniversaire de l’approbation par le Saint-Siège du culte liturgique du Sacré-Cœur de Jésus.
1765 – 6 février – 2015
Vendredi 6 février 2015,
Premier vendredi du mois dédié à la réparation envers le divin Cœur de Jésus ;
Fête de Saint Vaast, catéchiste du Roi Clovis puis évêque d’Arras ;
Fête de Saint Tite, disciple de Saint Paul puis évêque en Crête.
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La Providence a voulu qu’en cette année 2015, le 6 février coïncidât avec le premier vendredi du mois, jour spécialement dédié à la dévotion réparatrice en l’honneur du Sacré-Cœur de Jésus : ce 6 février, en effet, marque précisément le deux-cent-cinquantième anniversaire de l’approbation romaine du culte liturgique du Sacré-Cœur de Jésus.
Le Royaume de France adopta cette fête du Sacré-Cœur à la suite de cette approbation romaine –, mais commençons d’abord par résumer ici brièvement les faits :
Sainte Marguerite-Marie (1647-1690), religieuse de la Visitation de Paray-le-Monial, avait reçu des révélations spéciales de Notre-Seigneur Jésus-Christ qui lui dévoilait les mystères de Son divin Cœur, la chargeait d’en diffuser la dévotion en insistant sur son caractère réparateur, et lui demandait d’œuvrer pour que l’Église instituât une fête liturgique particulière où jour qu’Il lui désignait pour cela.
Sainte Marguerite-Marie mourut sans autre consolation que d’avoir vu la dévotion au Cœur adorable de Notre-Seigneur commencer à s’implanter dans son propre monastère, et dans plusieurs autres monastères de l’Ordre. Elle avait pu dévoiler et expliciter les desseins divins à plusieurs supérieures visitandines et à des religieux de la Compagnie de Jésus qui, conquis, s’efforcèrent eux-aussi, de faire connaître et aboutir les demandes du Sacré-Cœur.
C’est ainsi, en particulier, que se développèrent des Confréries du Sacré-Cœur qui eurent une grande influence pour le rayonnement de ce culte : les évêques qui approuvaient la création de ces confréries dans leurs diocèses ne pouvaient que constater les fruits de grâce et de sanctification de cette dévotion dans l’âme des fidèles.
Néanmoins, il n’existait pas, tant que le Saint-Siège ne l’avait pas autorisé, d’office liturgique ni de formulaire de messe propre, et les évêques pouvaient seulement autoriser, au jour demandé par Notre-Seigneur (c’est-à-dire le vendredi suivant l’octave de la fête du Très Saint Sacrement), la célébration de la messe déjà existante en l’honneur des Cinq Plaies de Notre-Seigneur.
In memoriam : Robert Brasillach (1909-1945)
Aujourd’hui est un jour de souvenir et de mémoire, de Mr Robert Brasillach, assassiné il y a 70 ans au fort de Montrouge par la racaille gaullisto-communiste…
Prier pour lui, et pour tout ceux qui, en prison ou dans les rues, ont été « épurés » par la racailles gaullistes.
(31 Mars 1909 – 6 Février 1945)
Robert Brasillach déclara lors de son procès :
« J’ai pu me tromper sur des hommes, sur des faits ou sur des circonstances, mais je n’ai rien à regretter de l’intention qui m’a fait agir ».
Entré à l’ENS en 1928, il collabora à l’Action Française à partir de 1930. Il fut l’auteur d’une Histoire du cinéma et d’une Histoire de la guerre d’Espagne. Ses romans constituèrent une sorte de quête du bonheur. Épousant toutes les thèses du fascisme, il devint rédacteur en chef de Je suis partout (1937-1943) où il joua un rôle de premier plan dans la propagande provichyste. À la « Libération », sa condamnation et son exécution le placèrent au centre des débats sur la responsabilité politique de l’écrivain.
Après avoir été inhumé au carré des fusillés du cimetière de Thiais, il fut transféré au Père Lachaise.
Ses restes furent transférés une ultime fois dans le cimetière de Charonne, dans la tombe actuelle.
aujourd’hui dans l’histoire
6 février 1945, la mort de Robert Brasillach par Franck FERRAND
Chaque matin, Franck Ferrand nous fait revivre l’histoire à travers les évènements qui ont marqué la date du jour.
Biographie de Robert Brasillach
Né à Perpignan en 1909, Robert Brasillach fait des études au lycée de Sens, puis à Paris, au lycée Louis-le-Grand. Il entre à l’École Normale Supérieure en 1928 et y est encore élève lorsqu’il publie son premier livre « Présence de Virgile ».
Critique littéraire à l’« Action Française », auteur d’études qui font autorité : « Portraits », « Corneille », « Les Quatre jeudis », il aborde tous les genres littéraires. Ses romans, notamment « Le Marchand d’oiseaux », « Les Sept Couleurs », « Comme le temps passe », son « Histoire du Cinéma », écrite en collaboration avec Maurice Bardèche, son « Anthologie de la Poésie grecque » montrent la diversité du talent d’un des écrivains les plus doués de sa génération. Dans « Notre Avant-Guerre », ouvrage constamment réédité, il fait revivre le bouillonnement littéraire, artistique et politique du Paris de sa jeunesse, restituant l’atmosphère d’une époque non dénuée d’insouciance, malgré les orages qui s’annoncent.
Attiré par le fascisme qui représente pour lui, comme pour Drieu La Rochelle, la possibilité d’une réconciliation du « social » et du « national », Brasillach collabore à l’hebdomadaire « Je Suis Partout » et publie une « Histoire de la Guerre d’Espagne ».
Après la défaite de 1940, il passe plusieurs mois dans un camp de prisonniers en Allemagne. Rentré en France, il défend dans « Je Suis Partout » et « Révolution Nationale » la politique de collaboration du gouvernement de Vichy.
Condamné à mort à la « Libération », Brasillach est fusillé le 6 février 1945 malgré une pétition adressée au général De Gaulle par une cinquantaine de personnalités, François Mauriac en tête, pour soutenir le recours en grâce déposé par le condamné. Les poèmes qu’il avait écrits pendant son incarcération seront publiés sous le titre de « Poèmes de Fresnes ».
► http://raknagar.blogspot.fr/2008/02/robert-brasillach-pomes-de-fresnes.html
Vous pouvez aussi suivre ce lien pour participer à la discussion sur le Forum du CatholicaPedia :
► http://wordpress.catholicapedia.net/forums/sujet/in-memoriam-robert-brasillach-1909-1945/
LES TENTATIONS DU MONDE ~ LA VIOLENCE ET LA SÉDUCTION
Joseph-Marie, lecteur habituel de notre blogue, nous transmet ce texte…
Pour le bien des âmes !
Les Tentations du Monde Présent (1)
Notre-Seigneur Jésus-Christ nous a mis en garde !…
« Malheur au monde à cause de ses scandales ! (Math. XVIII, 7.)
N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde.
Tout ce qui est dans le monde, la concupiscence de la chair, la convoitise des yeux, l’orgueil de la vie, ne vient pas du Père éternel, mais vient du monde.
Le monde entier est soumis au Démon. » (Joan., II, 15-16 ; V, 19.)
Qu’est-ce que le MONDE ?
« Si la vie des hommes, même chez les croyants, n’est pas ce qu’il faudrait qu’elle fût pour arriver au salut, la raison doit se chercher, nous dit le P. Faber, dans l’influence de l’esprit du Monde. (Monde soumis au Démon) Le péché est une explication partielle, le grand secret gît dans l’esprit du Monde. C’est là la principale force perturbatrice, la première puissance ennemie (2). » Le fait est qu’il est l’auxiliaire le plus précieux du diable. « L’incarnation de Satan, affirme le P. Monsabré, son ministre à mille têtes, son Église, l’assemblée de ses fidèles, c’est le monde (3). »
Mais ce monde qui est ennemi et qui tente, qu’est-il ?