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Le “Pape” de la Fraternité Saint Pie X
Le “Pape” de la Fraternité Saint Pie X
ou florilège des aberrations d’un laïc déguisé en pontife de la secte conciliaire…
Dans un long article, M. l’Abbé Jean-Pierre Boubée (F$$PX) nous dresse un petit catalogue hallucinant de notre Bergoglio, clown jésuite et moderniste qui « mène la barque de Pierre sur les récifs » (JP. Boubée dixit !).
J’ai résumé pour vous la substantifique moelle de ce travail clérical afin de mieux mettre en relief l’aberration criminelle qui consiste, pour les évêques et prêtres de la F$$PX à qualifier ces personnages apostats du titre de catholique et de leur attribuer toute l’autorité dont ils sont ipso facto déchus en raison même de leur apostasie.
Mes éventuels petits commentaires sont en vert.
1/ le pape François ébranle les certitudes les mieux établies de l’Église catholique.
Comme vous le constatez, ça commence très fort !!!
2/ Bergoglio admire Henri de Lubac et Michel de Certeau.
et l’Abbé nous dit : « cela ne laisse pas présager d’une forte orthodoxie »
C’est le moindre que l’on puisse dire !!!
3/ Bergoglio fait plus penser à un vieux curé de campagne qu’à un Souverain Pontife…
Oui, sauf que nos curés de campagne avaient la foi catholique dans leur immense majorité ! Cette comparaison est pour le moins inadéquate…
4/ Bergoglio dit que l’esprit missionnaire est une pompeuse absurdité.
Quoi d’étonnant de la part d’un apostat ?
5/ Bergoglio est résolument œcuméniste sans état d’âme.
Il ne fait en cela que suivre les pères du conciliabule Vatican II…
6/ Bergoglio est injuste envers les siècles de chrétienté, nous dit l’Abbé.
Il pratique un socialisme christianisant et est favorable à l’éradication de toute forme de pouvoir temporel.
7/ Bergoglio détruit les repères moraux du Bien et du Mal.
Et ils appellent cet homme un « Pontife » ???
8/ Bergoglio infuse dans l’esprit des fidèles une confusion morale ou amorale propre au modernisme, en pratiquant le tour de force rhétorique qui permet de confondre tous les domaines et de justifier tous les désordres.
Et ils appellent ce personnage « Votre Sainteté » ?
9/ Bergoglio confond regard de Dieu (sur nos personnes) et jugement de Dieu (sur nos actions) et blasphème en laissant entendre que Dieu aime l’action mauvaise ou le péché.
Refus de juger, cet usurpateur ne peut remplir une mission catholique !
10/ Bergoglio pratique la méthode jésuitique qui consiste à répondre à une question par une autre question. Ce faisant il entraîne l’interlocuteur vers une interrogation existentielle qui le culpabilise.
Ce vrai « pape d’eux » est un redoutable…jésuite !!!
11/ Bergoglio, comme tout bon moderniste, est centré sur l’homme et son contexte. Tout l’ordre divin disparaît alors.
12/ Bergoglio, comme tout bon progressiste affirme que proclamer des certitudes serait une « transmission désarticulée », alors que l’essentiel c’est de prêcher l’amour.
Pour cet apostat, toute certitude dogmatique relève de « l’orgueil et de la maladresse » !
13/ Dans une vision obstinément phénoménologique, Bergoglio nie la distinction entre l’ordre des substances et celui des accidents. Cette tournure d’esprit est au service de la révolution qui ébranle les certitudes de Foi et de raison au profit d’un devenir annoncé comme meilleur.
Qu’attendre d’autre d’un moderniste jésuite et d’un progressiste bon teint ?
14/ Bergoglio privilégie le « peuple de Dieu » au détriment de la hiérarchie.
Avec Bergoglio le « sentire cum Ecclesia » devient affectif et fondé sur une expérience communautaire.
Qu’attendre d’autre de la part d’un antipape révolutionnaire ?
15/ Pour Bergoglio, ce qui est « vieux » n’est plus adapté à l’existentiel !
Bergoglio nie le rôle de la Tradition et bafoue par là même l’influence surnaturelle de l’Esprit Saint.
Progressisme révolutionnaire…du passé faisons table rase…!
16/ Bergoglio partage un certain illuminisme avec le theilardisme.
Ténébreuse alliance de la gnose et du modernisme….
Après cette énumération édifiante de l’Abbé Boubée, on peut réellement s’interroger sur la véritable localisation du mystère d’iniquité : ceux qui se mettent gravement en dehors de l’Église, de par leur modernisme et progressisme forcené, ou ceux qui, comme les traditionalistes insultent leur Dieu en nous disant depuis si longtemps que ces gens-là sont toujours l’Église et qu’ils conservent toute leur autorité apostolique…à laquelle les traditionalistes s’empressent d’ailleurs de désobéir lorsqu’ils le jugent nécessaire selon leurs propres critères qu’ils croient être ceux de l’Église…?
Après avoir lu tout cela, poser la question n’est-ce pas y répondre ?
La simplicité de la foi l’exige.
Pour Bergoglio Dieu n’est pas CATHOLIQUE ! …alors nous, que sommes nous ?
Le quotidien italien (gauchiste) « La Repubblica » a publié mardi 1er octobre un long entretien de son fondateur, Eugenio Scalfari, avec le pape (antipape) argentin…
Le journal progressiste conciliaire « La Croix » rapporte l’événement :
« Je me sens à l’aise en écoutant vos questions et en cherchant avec vous les chemins le long desquels nous pouvons, peut-être, commencer à faire un bout de route ensemble », avait écrit papeFrançois dans une lettre à Eugenio Scalfari, fondateur de La Repubblica , publiée le 11 septembre dernier dans les colonnes du quotidien italien de gauche, en réponse aux éditoriaux de cet intellectuel athée.
Le pape a poursuivi ce « bout de route » en recevant mardi 24 septembre Eugenio Scalfari dans sa résidence de Sainte-Marthe au Vatican pour un long entretien publié mardi 1er octobre en Une de La Repubblica .
…et ne trouve rien d’anormal quand Bergo(go)glio déclare :
« Pas un Dieu catholique »
Dans cet entretien-fleuve, qui rappelle celui récemment donné aux revues jésuites, papeFrançois évoque aussi les grands saints qui l’inspirent – saint François d’Assise et saint Augustin –, il reparle de sa jeunesse et de ce qu’il a ressenti lors de son élection comme pape (antipape), entre autres. Il confesse enfin croire en Dieu, « non en un Dieu catholique – il n’existe pas un Dieu catholique, il existe Dieu ».
Les deux hommes devraient continuer leur « bout de route » ensemble puisqu’à la fin de leur conversation, le pape indique qu’ils parleront la prochaine fois « du rôle des femmes dans l’Église », répétant que l’Église est un mot « féminin ». (Ça La Croix conciliaire progressiste aime bien ! — plus que tout…le « rôle des femmes dans l’Église »)
Sébastien Maillard (à Rome)
* * *
Extrait de « l’interview croisé » Scalfari-Bergo(go)glio :
Bergo(go)glio : « … À mon tour, maintenant, de vous poser une question : vous, laïc, qui ne croyez pas en Dieu, en quoi croyez-vous ? Vous êtes un écrivain et un penseur. Vous croyez sûrement en quelque chose, vous avez sûrement des valeurs dominantes. Ne me répondez pas par des mots comme honnêteté, recherche, vision du bien commun, qui sont autant de principes et de valeurs essentiels. Non ce n’est pas le sens de ma question. Je vous demande ce que vous pensez de l’essence du monde, ou plutôt, de l’univers. Vous vous êtes sans doute demandé, comme tout le monde, qui nous sommes, d’où nous venons, où nous allons. Un enfant se pose déjà ces questions. Et vous ? »
Scalfari : Je vous suis reconnaissant de m’avoir posé la question. Voici ma réponse : je crois dans l’Être, c’est-à-dire le tissu d’où jaillissent les formes, les Entités.
« Et moi, je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique (!!!!), car il n’existe pas de Dieu catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abbà, est la lumière et le Créateur (? Grand Maître de l’Univers ??? franc-Mac le père François ???). Tel est mon Être. Dites-moi, sommes-nous si éloignés l’un de l’autre ? »
Nous sommes éloignés dans les pensées, mais semblables en tant que personnes, animées inconsciemment de nos instincts qui se transforment en pulsions, en sentiments, en volonté, en pensée et en raison. En cela, nous sommes semblables.
« Mais ce que vous appelez l’Être, pouvez-vous me dire comment vous le définissez en pensée ? »
L’Être est un tissu d’énergie. Énergie chaotique mais indestructible et dans un état de chaos perpétuel. De cette énergie émergent les formes quand l’énergie arrive au point d’explosion. Les formes ont leurs propres lois, leurs champs magnétiques, leurs éléments chimiques, qui se combinent de manière aléatoire, évoluent et enfin s’éteignent mais leur énergie ne disparaît pas. L’homme est probablement le seul animal doué d’une pensée, du moins sur notre planète et dans notre système solaire. J’ai dit qu’il est animé d’instincts et de désirs mais j’ajoute qu’il porte en lui une résonance, un écho, une vocation de chaos.
« Bien. Je ne vous invitais pas à résumer votre philosophie et ce que vous m’avez dit me suffit. J’observe pour ma part que Dieu est lumière qui illumine les ténèbres même s’il ne les dissipe pas, et qu’une étincelle de cette lumière divine est au-dedans de chacun d’entre nous. Dans la lettre que je vous ai écrite, je me souviens vous avoir dit que notre espèce, comme d’autres, s’éteindra mais la lumière de Dieu, elle, ne s’éteindra pas, qui finalement envahira toutes les âmes et alors tout sera dans tous. »
* * *
Vous pouvez télécharger l’article complet de « La Repubblica » ou le lire en ligne à la source ci-dessous :
Le “Pape” à Scalfari : « Ainsi je changerai l’Église »
EXCLUSIF Dans Repubblica, le dialogue avec François : « Repartir du Concile, s’ouvrir à la culture moderne ». L’entretien au Vatican après la lettre de Bergoglio à Repubblica : « Essayer de vous convertir ? Le prosélytisme est une pompeuse absurdité. Il faut se connaître et s’écouter les uns les autres » par EUGENIO SCALFARI :
Traduzione di Isabelle Marbot-Bianchini
* * *
Pour l’anecdote : Radio Vatican a censuré l’interview et supprimé un passage hallucinant de papeFrançois dans son compte rendu :
On peut lire ici le long compte-rendu signé Radio Vatican de cette interview : http://www.news.va/fr/news/le-pape-francois-sa-vision-de-leglise-et-du-monde
Radio Vatican a censuré ce passage hallucinant de l’antipape François Ier :
Votre Sainteté, existe-t-il une vision unique du Bien ? Et qui en décide ?
« Tout être humain possède sa propre vision du Bien, mais aussi du Mal. Notre tâche est de l’inciter à suivre la voie tracée par ce qu’il estime être le Bien. »
Votre Sainteté, vous-même l’aviez écrit dans une lettre que vous m’avez adressée. La conscience est autonome, disiez-vous, et chacun doit obéir à sa conscience. A mon avis, c’est l’une des paroles les plus courageuses qu’un Pape ait prononcée.
« Et je suis prêt à la répéter. Chacun à sa propre conception du Bien et du Mal et chacun doit choisir et suivre le Bien et combattre le Mal selon l’idée qu’il s’en fait. Il suffirait de cela pour vivre dans un monde meilleur. »
Autre … de Bergo(go)glio… mais il n’en est pas à une près !
Le prosélytisme est « une bêtise magistrale » ou « une pompeuse absurdité« (!!! « Allez donc, enseignez toutes les nations… » [Mat.28:19] a dit Notre Seigneur à Ses Apôtres…mais ça c’était avant… C’était pour l’Église catholique…)
Et d’aucuns persistent encore à soutenir qu’il ne peut y avoir deux églises… Une Église catholique et une église Conciliaire !!! comme le pitre Ennemond (dit « Le Perroquet de Suresnes »), alias Jacques-Regis du Cray, alias Côme de Prévigny…qui n’a rien compris à l’éclipse de l’Église dénoncée par Notre-Dame sur la sainte montagne de La Salette.
Si vous affirmez qu’il y a deux Églises distinctes et séparées : l’une catholique, l’autre conciliaire, que l’une a été fondée par le Christ, ayant pour pasteur les papes jusqu’au Concile, que l’autre est une invention née du Concile, se pose alors la grave conclusion : le pape actuel ne serait que le chef de la seconde Église, que certains qualifient de « secte conciliaire » dont le souverain pontife serait alors le gourou… Et l’Église catholique dans tout cela ? Son pasteur légitime ne serait donc plus le pape ? On est non seulement dans le sédévacantisme mais en affirmant que l’Église n’a plus de tête, plus de réalité, ou une réalité plus ou moins diffuse, on est presque dans « l’ecclesiovacantisme ».
(…)
Nous ne pouvons donc pas concevoir deux entités parfaitement distinctes, bien individuées et identifiables, mais plutôt un être moral unique, le seul réel, l’Église catholique, mais empoisonné aujourd’hui par un esprit étranger et ennemi qui tend à le corrompre et à le détruire.
De fait ni la Rome moderniste, ni l’Église conciliaire n’ont un être distinct et séparé de celui de la Rome éternelle et de l’Église catholique. Elles ne peuvent en avoir, comme le mal ne peut exister qu’en empruntant son être au bien qu’il veut détruire, et qu’il ne peut détruire sans se détruire lui même…
http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=732429
(Nous y reviendrons…)
Mise à jour
Pour désamorcer le début de scandale qu’a provoqué l’interview-dialogue avec François…et les propos « hasardeux » (volontairement…comme des ballons d’essais ???) de celui-ci, embarrassé, le Vatican (d’Eux…faux-jetons !!!) a reconnu qu’il ne s’était pas agi d’une interview mais d’une conversation à bâtons rompus dans un cadre privé, non destiné à publication.
La vraie fausse interview du pape François
(tu parle !)
C’est Jean-Marie Guénois qui le dit :
« Formules chocs, dialogue très vivace, entre le pape François et Eugenio Scalfari, 89 ans, laïque et anticlérical affiché, fondateur du quotidien de gauche La Repubblica, l’«interview» publiée sur trois pages, mardi 1er octobre, a fait sensation. Petit florilège de citations attribuées au Pape : « Dieu n’est pas catholique » ; « les chefs de l’Église ont souvent été narcissiques » ; « quand je me trouve confronté à un clérical, je deviens soudainement anticlérical » ; « la vision vaticano-centriste (de la curie, NDLR) néglige le monde qui nous entoure. Je ne partage pas cette vision et je ferai tout pour la changer » ; « les pères conciliaires savaient qu’ouvrir à la culture moderne signifiait œcuménisme religieux et dialogue avec les non-croyants. Depuis ce temps il a été fait assez peu dans cette direction. J’ai l’humilité et l’ambition de vouloir le faire ». Devant la verdeur du texte, un doute s’est installé, mercredi, à Rome (plus menteurs qu’Eux, tu meurs) sur les conditions de recueil de cette interview. Embarrassé, le Vatican a reconnu qu’il ne s’était pas agi d’une interview mais d’une conversation à bâtons rompus dans un cadre privé, non destiné à publication. Que le texte n’avait « pas été revu par le Pape ». Que « sans être une encyclique » « la substance de l’entretien » y était mais que le document n’avait « pas d’autorité » particulière. Le Figaro a interrogé Eugenio Scalfari sur les conditions de recueil de cet entretien. Celui-ci a confirmé jeudi que « l’interview n’a pas été enregistrée et qu’aucune note n’a été prise » mais que le texte, affirme-t-il, a été « approuvé » par le Pape « avant publication ». Un texte, donc, intéressant mais à ne pas forcément prendre au pied de la lettre. »
Et Le Monde précise :
« sur la forme, l’exercice a frisé l’amateurisme : le pape n’a pas demandé à relire la retranscription de la conversation qu’il a eue avec le directeur de la Repubblica, a reconnu mercredi le porte-parole du Vatican. L’un des plus sérieux vaticanistes italiens y a relevé des incohérences, notamment la description d’une scène, lors du conclave, sur un balcon… qui n’existe pas. Un détail fâcheux qui pose plus largement le contrôle de la parole papale. »
Michel Janva du Salon Beige