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Où en est le « lobby gay » du Vatican ?
main dans la main avec François

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Où en est le « lobby gay » du Vatican ?

 

Il va main dans la main avec François

 

Jorge Bergoglio en compagnie de luigi Ciotti

Jorge Bergoglio en compagnie de Luigi Ciotti – sont-ils pas mignons ensemble ?

 

Accrochez-vous, braves gens : le blogue Call Me Jorge Appelez-moi Jorgea déniché une information explosive sur les entourloupes de la secte conciliaire. Vous avez sans doute entendu dire que le 21 mars dernier, le « Pape » François avait dénoncé la Mafia lors d’une séance de prière organisée en l’église Saint-Grégoire de Rome ; en revanche, il y a des chances pour qu’on ne vous ait pas appris qu’en pénétrant dans l’édifice, il avait été photographié main dans la main avec un de ses « prêtres », et pas n’importe quel prêtre…

Voici un court clip vidéo et une autre photo représentant la scène :

François et don Luigi Ciotti main dans la main

François et don Luigi Ciotti main dans la main

À présent, voyons qui au juste est ce prêtre que François est si heureux de tenir par la main. Il s’appelle Luigi Ciotti, et c’est un activiste pro-homosexuel admirateur du scandaleux Frère Andrea Gallo (1928-2013), qui soutenait ouvertement le communisme, le modernisme et la sodomie.

“Appelez-moi Jorge” fournit à cet égard des renseignements, ainsi que d’autres photos et des vidéos :

François le compassionné ? Bergoglio main dans la main avec un partisan de la perversion

Cet article est particulièrement intéressant et révélateur. Lisez-le bien jusqu’au bout et regardez les vidéos. Mais veillez à vous munir auparavant d’un sac pour vomir…

S’agissant à présent de François, vous vous souvenez peut-être que le 28 juillet 2013, lorsqu’il a donné sa première interview sur le vol qui le ramenait de Rio de Janeiro, où il avait présidé les Journées Mondiales de la Jeunesse, l’une des questions qui lui furent posées avait trait au « lobby gay » du Vatican dont l’existence s’était révélée sous Benoît XVI. Sa réponse aussi fourbe que désinvolte fut la suivante :

« On écrit tant de choses sur le lobby gay ! Je n’ai encore rencontré personne, au Vatican, qui ait sur soi une carte d’identité portant la mention « gay ». On dit qu’il y en a. Je crois que lorsqu’on a affaire à une telle personne, il faut établir une distinction selon qu’elle est gay ou qu’elle forme un lobby, car les lobbies ne sont pas tous une bonne chose. Et celui-là n’est pas une bonne chose. Si quelqu’un qui est gay et de bonne volonté cherche le Seigneur, qui suis-je pour le juger ? Le Catéchisme de l’Église catholique explique cela d’une bien belle manière quand il dit… Attendez un moment, comment dit-il ?… Il dit : “Nul ne doit marginaliser ces personnes pour une telle raison, et il faut les intégrer dans la société”. Le problème, ce n’est pas d’avoir cette tendance, non, nous devons nous comporter en frères et sœurs les uns avec les autres ; il y en a qui sont comme ci, et d’autres comme ça. La difficulté surgit dès lors qu’on forme un lobby animé par cette tendance-là, au même titre qu’un lobby d’avares, de politiciens, de francs-maçons, etc. À mes yeux, c’est là que réside le grand problème. »

(Antipape François, Conférence de presse organisée sur le vol de retour des JMJ le 28 juillet 2013)

 

On a là un résumé complet de l’attitude de François envers les sodomites et leurs alliés : il s’oppose au « lobby gay » du Vatican, bien sûr, mais seulement dans la mesure où il s’agit d’un lobby, non dans la mesure où ce dernier promeut la sodomie ou les sodomites. Autrement dit, pour François, le problème représenté par l’expression lobby gay tient au terme « lobby », non au terme « gay ». Alors, oui, il peut tout aussi bien tenir par la main l’un des membres dudit lobby. Peut-être, un jour, ira-t-il lui-même jusqu’à leur délivrer une carte d’identité…

Ainsi que nous aimons à le dire souvent : « Des choses comme celle-là, ça ne s’invente pas ! »

 

Novus Ordo Watch : http://www.novusordowatch.org/wire/index.htm#.U0lkG1dqxJt

Traduction : Le CatholicaPedia.net

Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif

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…Un lobby sollicite papeFrançois pour qu’il rende le célibat des “prêtres” catholiques [conciliaires] facultatif

 

Mariage des prêtres

Suite de la série d’articles sur Vatican d’Eux et la volonté farouche qu’ils [Eux] ont de mettre fin au “célibat des prêtres”… (enfin, ceux qui ne sont pas pédérastes ! quoi que ?!!!)

 

Troisième épisode, retour sur la copine de Bergo(go)glio, militante et lobbyiste pour l’abolition du célibat des prêtres.

 

(London Evening Post, 23 avril 2013)

Un lobby sollicite le “Pape” François pour qu’il rende le célibat des prêtres facultatif

 

 Clelia LuroClelia Luro montre une photo de son défunt mari, Jerónimo Podestá,
ancien évêque d’Avellaneda, à son domicile de Buenos Aires

 

Clelia Luro est en fauteuil roulant et porte le poids de ses quatre-vingt-sept ans, mais elle se sent la force d’obliger l’Église catholique romaine (l’église Conciliaire qui occupe Rome) à prêter attention à sa campagne pour qu’il soit mis fin au célibat des prêtres. Cette femme, dont l’histoire d’amour, puis le mariage avec un évêque (défroqué) avaient fait scandale durant les années soixante, est une amie intime du Pape François, qui l’appelait tous les dimanches quand il était le premier cardinal d’Argentine.

 

Clelia LuroLuro est persuadée que le Pape finira par faire en sorte d’amener l’Église universelle à en finir avec l’obligation du célibat sacerdotal, obligation que, selon elle, « le monde ne comprend plus ». Elle pense que cela pourra résoudre la pénurie mondiale de prêtres et convaincre les nombreux catholiques ne pratiquant plus de retourner à l’Église. « Je crois qu’en temps voulu, le célibat des prêtres deviendra facultatif », a-t-elle déclaré dans une interview recueillie par l’Associated Press chez elle, à Buenos Aires, à la suite d’une lettre ouverte qu’elle avait adressée au pape et dans laquelle elle exposait sa cause. « Je suis sûre que François le suggérera ».

 

Jean-Paul II, Benoît XVI et d’autres papes avant eux ont interdit toute discussion tendant à modifier la règle du célibat, et François n’a pas parlé de cette question depuis qu’il est devenu pape, le mois dernier. « Je ne vois pas comment cela pourrait faire le moins du monde partie de son programme », a déclaré le Père Robert Gahl, membre de l’Opus Dei et professeur de théologie morale à l’Université pontificale de la Sainte-Croix, à Rome. Pourtant, lorsqu’il était le Cardinal Bergoglio, il avait évoqué la question en des termes inspirant aux militants anti-célibat l’idée que le temps du changement était venu.

 

Sur la Terre comme au Ciel, Robert LaffontDans son livre « Sur la Terre comme au Ciel », publié l’an dernier, Bergoglio écrit : « Pour le moment, je suis favorable au maintien du célibat, avec ses avantages et ses inconvénients, parce qu’en dix siècles, il a produit plus de bons résultats que d’échecs. » Il précise cependant : « C’est une question de discipline, non de foi. Cela peut changer », et il ajoute que dans le Rite oriental de l’Église catholique, où le célibat est facultatif, il y a aussi de bons prêtres. Je crois en l'homme: Conversations avec Jorge Bergogli« Dans l’hypothèse où l’Église déciderait de revenir sur cette règle […] ce serait pour un motif culturel, comme dans le cas de l’Église d’Orient, où l’on ordonne des prêtres mariés » ; tels sont les propos qu’il a tenus dans « Le Pape François. Je crois en l’homme. Conversations avec Jorge Bergoglio », réédité le mois dernier par ses biographes agréés, Sergio Rubin et Francesca Ambrogetti.

 

 Clelia Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda

Luro et son mari Jerónimo Podestá, ex-évêque d’Avellaneda, se sont sentis ostracisés par l’Église pendant de nombreuses années, mais selon elle, Bergoglio n’a pas hésité à leur apporter son soutien pastoral quand Podestá était hospitalisé, peu avant sa mort en 2000. Ils devinrent bons amis ensuite, au point que Bergoglio – raconte-t-elle – l’a appelée chaque dimanche au téléphone pendant douze ans, parlant souvent avec elle de la question du célibat, entre autres discussions portant sur toutes sortes de sujets brûlants. Luro a maintenant le sentiment que si les cardinaux ont élu un jésuite étranger au Vatican, qui s’emploie à étendre l’Église universelle et à réaffirmer l’attachement de celle-ci aux pauvres, cela montre qu’ils ont la volonté d’entreprendre de profonds changements afin d’enrayer l’exode des fidèles.

 

Le Père Thomas Reese, prêtre jésuite et professeur spécialiste du Vatican à l’Université de Georgetown, a déclaré que pour François, une première mesure pourrait consister à indiquer que rien ne s’oppose à l’ouverture d’un débat sur la question : « Selon le Vatican conduit par Jean-Paul et Benoît, certaines questions ne pouvaient simplement pas être abordées, et tout évêque qui en aurait parlé se serait exposé à des ennuis, de même que les théologiens qui auraient écrit à ce sujet. » Cela s’inscrit donc dans la question plus vaste de savoir dans quelle mesure le “Pape” François va autoriser de franches discussions au sein de l’Église. D’après Reese, « Ce serait exactement le genre de discussion franche que le Vatican n’aime pas », et il ajoute : « Dans leur esprit, les parents de doivent pas exposer leurs enfants à la confusion en discutant devant eux ».

 

Le Canon 277 du Code canonique [de 1983] est ainsi rédigé : « Les clercs sont tenus par l’obligation de garder la continence parfaite et perpétuelle à cause du Royaume des Cieux, et sont donc astreints au célibat, don particulier de Dieu par lequel les ministres sacrés peuvent s’unir plus facilement au Christ avec un cœur sans partage et s’adonner plus librement au service de Dieu et des hommes. »

 

Pourtant, le célibat sacerdotal n’est pas un dogme, une loi d’origine divine, c’est une tradition de l’Église catholique romaine ; or, si les dogmes ne peuvent changer, les traditions changent. « Nous sommes très enthousiastes et espérons vivement que François pourra renverser cette disposition canonique », a déclaré Guillermo Schefer, ancien prêtre qui copréside avec son épouse, Natalia Bertoldi, la Fédération latino-américaine des prêtres mariés. « Il importe que les prêtres puissent, eux aussi, opter pour le mariage et une vie de famille. Cela les aiderait à mieux s’intégrer aux laïcs. »

 

Dans le rite catholique oriental, les séminaristes déjà mariés peuvent ensuite être ordonnés prêtres ; en outre, certains “prêtres” anglicans mariés ont déjà été autorisé à se convertir au catholicisme romain (de l’église Conciliaire, bien sûr !) ; enfin, certains veufs ayant des enfants sont devenus prêtres de l’Église romaine (des laïcs de l’église Conciliaire ! puisque celle-ci n’a plus de sacrements valides tout comme l’église Anglicane…). Mais comme le note Gahl, aucune tradition catholique romaine n’autorise des hommes ayant déjà « épousé l’Église » à contracter ensuite un mariage. Selon lui, cela créerait des cœurs partagés, affaiblirait le dévouement sacerdotal des intéressés et irait tout à fait là l’encontre de ce que François a déclaré depuis qu’il est “pape” quant à la nécessité pour les prêtres de se refuser les plaisirs terrestres, dans la mesure où ils ont à répandre l’Évangile.

 

« Il prêche beaucoup dans ce sens chaque matin » au Vatican, souligne Gahl. Les partisans du célibat facultatif disent : « La prêtrise, c’est trop dur, pourquoi ne la rendons-nous pas plus facile ? » Mais le Pape, lui, déclare : « Si vous faites ce sacrifice, il vous apportera de la joie pure ». Ceux qui résistent au changement disent que le célibat a d’autres avantages, et non pas moins dans le domaine financier ( 😆 !!!) : imaginons que les quatre cent mille prêtres du monde entier aient chacun une famille, sans doute nombreuses compte tenu de l’interdiction de la contraception par l’Église. Les salaires relativement maigres des prêtres devraient subir instantanément un accroissement exponentiel.

 

Il n’en est pas moins vrai que des milliers de prêtres (prêtres oui, avant 1970…mais depuis, que des faux prêtres !) ont quitté leur ministère pour se marier et que beaucoup d’autres, surtout en Afrique et en Amérique latine, sont restés prêtres en ayant des relations féminines et des enfants. Bergoglio condamne cette pratique dans ses ouvrages. « Ce que je ne permettrai pas, c’est la double vie », a-t-il écrit. « S’il ne peut s’acquitter de son ministère, je lui demande de rester chez lui, je lui dis que nous sollicitons pour lui une dispense papale et qu’ainsi, il pourra recevoir le sacrement du mariage. »

 

Benoît a réaffirmé le caractère obligatoire du célibat en réaction à la croisade tumultueuse d’un archevêque africain marié qui fut excommunié après avoir défié le Vatican en sacrant évêques quatre hommes mariés. De son côté, le Cardinal brésilien Claudio Hummes, grand ami de Bergoglio, s’est retrouvé sur des charbons ardents après avoir déclaré que le célibat des prêtres n’était pas une question de droit divin dans une interview qu’il avait accordée à un journal en 2006 avant d’arriver à Rome pour s’occuper des prêtres du monde entier au sein du Vatican. Cela déclencha de telles spéculations sur la possibilité d’un changement que Hummes fut obligé de publier une longue déclaration réaffirmant l’obligation du célibat.

 

Msr Jerónimo José PodestáLuro était âgée de trente-neuf ans, séparée de son mari et mère de six enfants (femme adultère donc !!!) lorsqu’en 1966, elle fit la connaissance de Podestá, alors âgé de quarante-cinq ans. Il était déjà évêque et très engagé en faveur des causes sociales, puisqu’il prêchait la « théologie de la libération » dans le cadre du Mouvement des prêtres du tiers-monde. « Pour Jerónimo, j’étais la première femme », se rappelle-t-elle. Loin de cacher leur relation, ils la rendirent publique, et pour que soit supprimée l’obligation du célibat sacerdotal, ils lancèrent une campagne qui les amena aux portes du Vatican. Mais peu après, en 1967, le Pape Paul VI publia son encyclique « Sacerdotalis Caelibatus », dans laquelle il soutenait le maintien des vœux sacerdotaux de célibat perpétuel.

 

Luro déclare que les appels dominicaux de Bergoglio lui ont été d’un grand soutien. « Nous parlions de l’église, nous discutions. Je lui envoyais les écrits de Jerónimo ». Après être devenu François, il l’a appelée une nouvelle fois, dit-elle, mais par respect pour le “pape”, elle ne veut pas rapporter ce qu’il lui a dit.

 

 


 The Washington Post

Source originale : http://www.washingtonpost.com/world/europe/pope-francis-who-once-said-priestly-celibacy-could-change-is-lobbied-to-make-it-optional/2013/04/22/052869ec-ab65-11e2-9493-2ff3bf26c4b4_story_1.html

 

Source : http://www.thelondoneveningpost.com/europe/pope-francis-is-lobbied-to-make-priestly-celibacy-optional/