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F$$PX : l’abbé Gleize blasphème !
Un Bon Article Mais Une Fausse Conclusion
Le dilemme que pose la canonisation de Jean-Paul II,
DICI/Abbé Gleize – 14 Février 2014
http://www.dici.org/documents/le-dilemme-que-pose-la-canonisation-de-jean-paul-ii/
Dans le Courrier de Rome de janvier 2014 (n°372), l’abbé Jean-Michel Gleize, professeur d’ecclésiologie au Séminaire Saint-Pie X d’Écône, publie une étude intitulée
« Jean-Paul II : un nouveau saint pour l’Eglise ? ».
Après avoir rappelé qu’une canonisation est infaillible, il pose la question :
« Les nouvelles canonisations obligent-elles en conscience tous les fidèles catholiques ? ».
Puis il demande : « Jean-Paul II peut-il être canonisé ? », citant les déclarations du pape polonais aux luthériens, anglicans, orthodoxes, juifs et musulmans, reprenant également ses propos sur la liberté religieuse.
« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »
« La justice, c’est de rendre à chacun ce qui lui est dû »
À l’heure où l’on parle de la « canonisation » de W…. aux fins de « canonisation du ‟Concile” ‟Vatican II”, il est plus que temps de choisir son camp. Un saint est un modèle. La meilleure façon d’honorer un saint est de l’imiter. Pouvons-nous imiter le promoteur des « rencontres » interreligieuses qui à Assise et autres lieux propagent un esprit qu’il est bien difficile de qualifier de saint. Pour clarifier notre pensée nous avons repris l’analyse très documentée publiée en 1986 par le Courrier de Rome. (Marcus) lors de la première rencontre d’Assise Et chacun pourra approuver ou désapprouver cette initiative de la (fausse) hiérarchie actuelle. Mais attention un silence indifférent serait complice de 5 fautes majeures. Nous allons prendre le temps de les discerner. Ceux que W…. a appelés « les représentants des autres religions » ont toujours été appelés plus proprement par l’Église « infidèles » : « sont infidèles en un sens plus général tous ceux qui n’ont pas la vraie foi ; au sens propre les infidèles sont les non-baptisés et ils se divisent en monothéistes (juifs et musulmans), polythéistes (hindous, bouddhistes, etc …) et athées » (Roberti-Palazzini, Dizionario di teologia morale, p. 813). Et ce que Jean-Paul II a appelé les « autres religions » a toujours été appelé plus proprement par l’Église les « fausses religions » : est fausse toute religion non chrétienne « en tant que ce n’est pas la religion que Dieu a révélée et veut voir pratiquer. Est fausse aussi, en outre, toute secte chrétienne non catholique, en tant qu’elle n’accepte ni ne pratique fidèlement tout le contenu de la révélation » (ibidem). Cela dit, les ‟rencontres” d’Assise (et autres lieux dans le même esprit) ne peuvent être considérées, à la lumière de la foi catholique, que comme :
1) Une injure faite à Dieu ;
2) Une négation de la nécessité universelle de la Rédemption ;
3) Un manque de justice et de charité envers les infidèles ;
4) Un danger et un scandale pour les catholiques ;
5) Une trahison de la mission de l’Église et de Saint Pierre.
Analysons ces points très importants sans haine mais sans concession. Il ne s’agit pas d’une polémique gratuite, il y va de la vie éternelle des âmes, de vos âmes, de nos âmes.
PAPA SUPERSTAR
Nos confrères de Radio Cristiandad (La Voz de la Tradición Católica) ont publié le 30 janvier dernier, un article d’Osko, (l’auteur de l’article) intitulé « Un « Papa » SuperStar » suite à la « Une » de la revue rock emblématique Rolling Stone sur Bergo(go)glio 1er.
Cet article nous a apparu assez intéressant et amusant pour vous en proposer la traduction en français…
Sortie prochaine d’un opéra-rock :
Papa SuperStar
Le « Pape » SuperStar
Et pourquoi pas ? Puisqu’on a déjà connu un « opéra » irrespectueux et à coup sûr blasphématoire consacré au personnage de Jésus-Christ (ou ce que les jobards entendent par Jésus-Christ), pourquoi ne pas mettre en scène un opéra-rock dont les superstars seraient les pseudo-papes conciliaires ?
Déclarations scandaleuses de l’Abbé BOUCHACOURT (f$$px)
Les anti-ralliement de la F$$PX n’en finissent pas de parcourir leur chemin de Croix ! (qui n’est hélas pas de Damas !) Pauvre Bouchacourt, que j’ai bien connu lorsqu’il était “curé” de St Nicolas à Paris et qui fut même un temps mon confesseur…
Cet article est très emblématique du dialogue de sourd entre les deux camps, car tous deux partagent la même erreur de fond ! Et cette erreur est mortelle !
Mes remarques sont en vert dans le texte.
Pierre Legrand
« Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine ; et nulle ville nulle maison divisée contre elle-même ne saurait se maintenir. » (Mt. 2, 25)
Il faut le lire pour le croire !
Par Michaël (de “Avec l’Immaculée”)
Le 1er décembre 2013, la revue argentine, Clarin, E. Impresa, donnait une interview de l’abbé Bouchacourt, supérieur du District d’Amérique du Sud de la FSSPX. Voici quelques extraits de cet article. Lisez jusqu’au bout, l’évolution moderniste de la FSSPX est impressionnante.
FAUSSES MYSTIQUES : Sœur Faustine… Marthe Robin… Maria Valtorta… MÊME COMBAT ! (pour l’œuvre Satanesque)
Sœur Faustine… Marthe Robin… Maria Valtorta… Même combat !
(pour l’œuvre Satanesque)
Au cours d’une vision, le 13 septembre 1935, “Jésus” demande à Sœur Faustine Kowalska de développer la dévotion à la Divine Miséricorde et “souhaite” qu’une fête en cet honneur, soit instaurée.
Trois ans plus tard, le 5 octobre 1938, Sœur Faustine meurt : elle avait à peine 33 ans. Son « Petit journal » relatant ses visions est publié et le culte à la Divine Miséricorde se répand.
« Ma fille, dit Jésus à Sœur Faustine, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs… La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, Je désire qu’elle soit fêtée le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu’il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde » (1)
La Neuvaine à la Divine Miséricorde, demandée par “Jésus”, se généralise (2).
Le 16 avril 1954, jour du Vendredi-Saint, “Jésus” confie à Maria Valtorta :
« En même temps que la Neuvaine à la Miséricorde Divine, fais encore une fois celle pour l’unité des Églises que l’on fait du 18 au 25 janvier durant l’octave de l’Unité. Refaites-la chaque année du Vendredi Saint au samedi précédent le dimanche après Pâques (dimanche in Albis). C’est mon souhait et celui de de nombreux autres habitants du Ciel ou de ministres de Dieu sur la terre.
Comme tu n’as pas eu la Pagella del S. Cuore (bulletin du Sacré-Cœur) pour avril, mets les intentions de la Neuvaine de la Miséricorde Divine comme intention de ce mois. Saches que pour moi et la bienheureuse Sainte Trinité, ma sainte Mère, saint Joseph, et tous les saint Patriarches et prophètes, les saints, les anges et les archanges, les prières pour l’Unité des Églises et pour la conversion des pécheurs de toutes sortes sont les bienvenues plus que toutes autres, parce qu’elles conduisent au Ciel, pour l’éternité, beaucoup d’âmes, un très grand nombre, qui autrement, à cause de leur péché contre la Sainte, Unique, Vraie, Église catholique apostolique et romaine et contre ses commandements, seraient allées pour toujours en Enfer ». (Quadernetti, 54.1).
“Jésus” confirme donc la dévotion à la Divine Miséricorde, sa date de célébration et surtout, son importance.
Le 6 mars 1959, le Saint-Office (aujourd’hui Congrégation pour la Doctrine de la foi) publie le décret suivant :
« Qu’il soit rendu public que la Suprême Sacrée Congrégation du Saint-Office, après avoir examiné les prétendues visions et révélations de Sœur Faustine Kowalska, de l’institut de Notre-Dame de la Miséricorde, décédée en 1938 près de Cracovie, a décidé ce qui suit :
Il faut interdire la diffusion des images et des écrits qui présentent la dévotion à la Divine Miséricorde dans la forme proposée par ladite Sœur Faustine.
Il est requis de la prudence des évêques de devoir faire disparaître lesdites images qui ont éventuellement déjà été exposées au culte.
Du palais du Saint-Office, le 6 mars 1959
Ugo O’Flaherty, Notaire »
Une dévotion fausse et sans respect pour Dieu qui fourmille d’hérésies…
Nous poursuivons notre analyse de la fausse mystique Sœur Faustine avec un document un peu ancien…
Toute cette dévotion est fausse et sans respect pour Dieu.
D’abord à cause du tutoiement incessant envers Dieu, absolument insupportable, ensuite par la spiritualité sous-jacente, inacceptable pour un catholique.
Je reviens d’abord sur le chapelet, où l’on dit bien : « Dieu saint, saint fort, saint immortel, ayez pitié de nous et du monde entier ». Les anges et les âmes des hommes sont également immortels. Tous les saints sont des saints immortels ! Dieu est éternel. J’ai comparé avec la formule des Saintes Plaies, ce n’est pas tout à fait la même : « Dieu fort, Dieu saint, Dieu immortel, ayez pitié de nous et de tout le monde ». Sœur Marie-Faustine a copié sur sœur Marie-Marthe Chambon ! Et cette formule est due à prêtre romain du XIXe siècle et pas aux franciscains.
Sur le sacrement de la confession, par exemple, il n’y a ni regret des fautes, ni contrition, ni ferme propos. Je vous renvoie à l’extrait que je vous ai adressé de l’abbé Ricart Torrens (1) (Du nombre des élus) et la nécessité du ferme propos pour être absous. On est en présence du système luthérien où Dieu couvre les péchés, mais ne purifie pas le pécheur, qui n’est donc pas régénéré dans l’état de grâce comme par l’eau du baptême, mais reste avec sa souillure, et donc en reste imprégné et complice. En confession, on n’étale pas ses faiblesses, on accuse des fautes délibérées dont on se reconnaît pleinement coupable, ce n’est pas une partie de plaisir, de même que la Messe n’est pas un spectacle, comme, hélas, c’est le cas pour la majorité des gens qu’on vont à “Saint-Nicolas”.