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Mgr Tissier attaque Benoît XVI, le père hérétique du Novus Ordo
Mgr Tissier attaque Benoît XVI, le père hérétique du Novus Ordo
Publication virgo-maria.org du 11 février 2009
Mgr Tissier – à juste titre – persiste et signe : La « Foi » de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI : une « pure Gnose » hérétique qui sous-tend la Réforme liturgique conciliaire de 1969. Dans le dernier numéro du Sel de la Terre (n°67 – janvier 2009), la revue des Dominicains d’Avrillé, Monseigneur Tissier de Mallerais démonte et dénonce la doctrine de l’abbé apostat Ratzinger-Benoît XVI sur le Dogme catholique de la Rédemption qui dématérialise la Croix et le Sang du Christ pour leur substituer l’enseignement de la Gnose kantienne de l’« Amour pur, forme pure sans matière ni efficience ni finalité ». Un enseignement gnostique et parfaitement hérétique qui sous-tend l’abominable réforme liturgique conciliaire du Lazariste Franc-Maçon Annibale Bugnini. « L’étude de la Fraternité Saint-Pie X, parue en 2001, Le Problème de la réforme liturgique, dévoile comment le rite de la messe de Paul VI institué en 1969 est en définitive l’application de la « révolution dans l’idée d’expiation » promue par le théologien Joseph Ratzinger dans ses cours de Tübingen pendant le semestre de l’hiver 1966-1967. Le théologien de Tübingen à l’origine de la réforme liturgique. En effet, dans le rite nouveau, ce qui a trait à la peine due au péché n’est plus objet de prière : l’offrande est présentée à Dieu comme une pure louange, comme si les péchés commis antérieurement n’avaient laissé aucune trace susceptible d’être un obstacle à l’agrément ; et les fruits satisfactoires (ou plutôt propitiatoires) de la messe sont passés sous silence. Outre cela, le regret de la faute est lui-même minimisé, tout comme dans la théologie de Joseph Ratzinger qui présente le sacrifice comme une « adoration » et simplement cela. » (…) « Ces six dernières brèves lignes de saint Thomas dissipent par avance l’erreur d’Occam et de Luther, dont Joseph Ratzinger n’est pas exempt ». (…) « À propos de l’expression « mauvais esprit du Concile », il est utile de remarquer que la même expression en allemand, « Konzils Ungeist », est employée par le cardinal Ratzinger dans son célèbre Entretien sur la foi, pourquoi la foi est en danger (1985), mais dans le sens d’un anti-esprit du Concile qui se serait substitué subrepticement au véritable esprit du Concile à rencontre de la lettre du Concile : en somme, l’herméneutique de rupture aurait pris la place de l’herméneutique de continuité réalisée par le Concile. Telle n’est pas la pensée de Mgr Lefebvre, qui voit dans la lettre même du Concile l’expression d’un mauvais esprit qui est celui-là même du Concile. » Mgr Tissier de Mallerais
[1] L’Étude « Le mystère de la rédemption selon Benoît XVI« – Télécharger l’étude -format A5- en PDF
Lettre Ouverte de l’abbé Guépin à ses confrères de la FSSPX
Source : http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-27691938.html
L’appel public de l’abbé Guépin à ses confrères de la FSSPX
Suite à son sermon dénonçant vigoureusement l’attitude lamentable de Mgr Fellay, monsieur l’abbé Guépin lance un appel à tous ces confrères de la FSSPX.
Cher Confrère,
Pour l’amour de Dieu et pour l’amour de la sainte Église, je vous en supplie, faites le bon choix pour l’honneur de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Vous ne pouvez servir le Christ-Roi et dans le même temps servir ceux qui l’ont découronné : « qui n’est pas avec moi est contre moi. »
La vérité et l’erreur sont inconciliables. Si les premiers chrétiens avaient cherché à s’entendre avec leurs persécuteurs, ou à se faire « reconnaître » par eux, nous n’aurions pas de saints, nous n’aurions pas de martyrs !
Je prie pour vous au saint Autel, pour que vous restiez fidèle à la seule et unique Église de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Abbé Philippe Guépin
Monsieur l’abbé Belmont sur son site rajoute ceci :
La note du Vatican en date du 4 février dernier précise bien : « Pour une future reconnaissance de la Fraternité Saint Pie X, la condition indispensable est la pleine reconnaissance du Concile Vatican II… »
Il n’y a plus à tergiverser, il faut témoigner de la foi.
Espérons que cet appel (un de plus) portera ses fruits et que beaucoup de prêtres de la FSSPX ne tomberont pas dans le piège qui leur ait tendu.
Réunion des supérieurs des communautés amies de la FSSPX
Cet après-midi, Mgr Fellay a convoqué les supérieurs des communautés amies à Saint Nicolas du Chardonnet, pour une opération de préparation au ralliement.
La réunion s’est tenue dans la petite salle des cours de catéchisme.
Alors que Mgr Fellay exposait ses commentaires sur les derniers évènements suite à la levée des excommunications, ses relations et discussions avec Rome, les supérieurs des communautés amies écoutaient attentivement, attablés à des petits bureaux d’écolier.
Une fois le discours de Mgr Fellay terminé, et tout l’auditoire fasciné, le Père Jean, Supérieur du Noviciat des capucins de Morgon à Aurenque dans le Gers, prit la parole.
Sur un ton calme et déterminé, il demanda à Mgr Fellay si « oui ou non« , il voulait rallier l’église Conciliaire, la Rome moderniste ?
Mgr Fellay, essaya de finasser par une réponse évasive. Le Père Jean renouvela alors énergiquement sa question mais Mgr Fellay esquiva à nouveau l’obligeant une troisième fois à poser sa question.
« Que votre oui soit oui, que votre non soit non ! » lança alors le Père Jean courageux à Mgr Fellay.
Le Père Antoine, son supérieur hiérarchique, supérieur de Morgon, essaya vivement de le faire taire avant de lui donner l’ordre de sortir.
Le Père Jean sorti alors par devoir d’obéissance et alla directement à l’autel de la Très Sainte Vierge Marie dans une chapelle latérale de l’église où il resta longuement en prière.
Des fidèles présents à Saint Nicolas avec l’Abbé Dubroeucq pour un rassemblement des membres du Tiers-Ordre du Carmel de Quiévrain ont été témoins de la sortie du Père Jean.
À la fin de la réunion, le Père Innocent-Marie d’Avrillé et le Père Antoine ont rejoint le Père Jean en prière, pour le réprimander comme un petit enfant » qui avait mal parlé à l’Évêque ! «
Le Père Jean fut donc le seul religieux à s’opposer au processus de ralliement engagé par Mgr Fellay.
Alors que plusieurs participants étaient sûrement d’accord avec les propos du Père Jean ! Qu’ont-ils attendu, les supposés sédévacantistes et les non una cum, pour venir en aide au Père Jean ! Ils ont préféré se taire, le laisser seul face à ses détracteurs ! Quelle misère …
Quelle lâcheté !
À l’issue de cette réunion à huis-clos, l’abbé de Cacqueray exigea des supérieurs présents le secret le plus absolu sur ce qui venait de se passer et sur tout ce qui avait été dit.
Appel public et général de la part de l’abbé Cériani (FSSPX)
Appel public et général de la part de l’abbé Cériani (FSSPX) : rejet du décret du 21 janvier 2009
Publication virgo-maria.org du 4 février 2009
TRÈS IMPORTANT ET TRÈS URGENT. Appel public et général de la part de l’abbé Cériani (FSSPX) auprès de ses confrères prêtres et évêques de la FSSPX. Au nom de Mgr Lefebvre : rejet du décret du 21 janvier 2009. «Je conteste et j’estime nuls et sans valeur, tant de droit que de fait, les prétendues excommunications, le décret qui essaie de les déclarer et le décret qui tente de les lever, laissant accroire qu’elles n’étaient pas nulles. » « Je demande aux quatre Évêques de la Fraternité de reconsidérer devant Dieu la situation actuelle et, à l’exemple de Mgr Lefebvre, de revenir sur leurs pas. Dans des circonstances aussi ambiguës les prêtres et les fidèles ont besoin d’être encouragés dans le bon combat pour la Rome Éternelle contre l’église Conciliaire. » Abbé Cériani, 29 janvier 2009. Nous recevons cet appel de l’abbé Cériani (FSSPX) qui circule sur internet. Il émane d’un membre important de la FSSPX. Lettre de l’abbé Cériani. Texte de l’appel. Dernier numéro spécial de Tychique. Par suite du contenu de la lettre de l’abbé Cériani, c’est donc bien la bronca contre Mgr Fellay des clercs réunis le 26 janvier à Saint Nicolas du Chardonnet – mentionnée aussitôt comme il se devait dans le blog de Virgo-Maria – qui a fait reculer ce dernier en l’obligeant à modifier le texte du communiqué officiel qu’il fait avait lire dans toutes les chapelles et par lequel il disait « faire sien Vatican II avec des « réserves » et non pas simplement « faire sien Vatican I ».
- [1] Appel public et général de la part de l’abbé Cériani (FSSPX) : rejet du décret du 21 janvier 2009 – Télécharger en PDF
Lettre ouverte de l’abbé Méramo (FSSPX) à Mgr Fellay
Sources : www.virgo-maria.org et www.catholique-sedevacantiste.com
Prieuré Bto Rafael Guízar y Valencia Calle Sur 11 N° 1114 C.P. 94390 Orizaba, Veracruz, Mexique
Lettre ouverte au Supérieur Général de la Fraternité Saint-Pie X Mgr Bernard Fellay
La Résistance catholique s’organise !
Cher Monseigneur,
Compte tenu des évènements concernant l’ensemble de la Fraternité (tant les membres que les fidèles), c’est avec une grande douleur et tristesse, que je me vois dans l’obligation de vous écrire cette lettre ouverte.
Je ne peux pas garder le silence sur le retrait ou la levée du décret d’excommunication, de la part de la « Rome apostate » – selon l’expression utilisée à maintes occasions par Monseigneur Lefebvre –, sollicitée par la croisade d’un million de rosaires qui furent apportés à Rome à cette fin, car cela équivaudrait à reconnaître implicitement – ce qui n’est pas le cas – que la Fraternité a été excommuniée, malgré les puériles explications qui tentent de démontrer le contraire. Vous l’avez vous-même reconnu, dans votre sermon de Flavigny, le 2 février 2006, en disant : « Nous avons demandé bien sur le retrait du décret d’excommunication et son annulation. Mais dire “annuler” veut déjà dire que l’on reconnaîtrait quelque chose ».
Comme membre perpétuel de la Fraternité, personnellement et en conscience, je me vois contraint d’exprimer mon total désaccord, publiquement, devant Dieu et l’Église Catholique, unique arche du salut, exclusive et unique épouse du Christ, et non, contrairement à ce que dit l’œcuménisme dominant, une religion parmi d’autres dans le Panthéon des fausses religions, chacune ayant son autel (avec ses “droits”) en pacifique et abominable coexistence, dans le royaume de l’Antéchrist.
C’est un acte de capitulation mielleux et dissimulé que ce bouquet (un million de rosaires) livré à la Rome moderniste apostate (la femme écarlate, chevauchant la bête, ou la religion prostituée, corrompue et adultère décrite par le Père Castellani). C’est cela même qui a tellement stupéfié le pur et virginal apôtre (le préféré) Saint Jean comme nœud gordien du mystère d’iniquité dans les Lieux Saints, l’abominable désolation du temple, de la religion falsifiée, en collusion avec les pouvoirs du monde, et forniquant avec les rois de la terre.
Lever (ou retirer) le décret d’excommunication n’est pas la même chose que déclarer ou reconnaître son invalidité et sa nullité dès le début. De plus, on ne peut annuler, et en conséquence déclarer l’annulation (actuelle et de fait) ici et maintenant d’un décret que si celui-ci était jusque là valide et légitime, et non simplement à partir de maintenant du seul fait de la rectification, la modification, ou la constatation de la bonne volonté de celui qui a été sanctionné. En résumé, on peut annuler ou considérer comme annulée une loi juste, mais qui n’a plus lieu d’être. Par contre une loi injuste (comme la sanction d’excommunication de la tradition) est invalide et nulle depuis l’origine, non par la volonté du législateur mais par défaut de légitimité, de vérité, de justice et de droit. Une loi injuste et comme telle invalide et nulle, n’a jamais été loi. Un changement de loi n’est possible que si elle a été valide, légitime et juste selon le cadre du droit. Si ces deux choses ont l’air semblables, elles n’en sont pas moins bien distinctes.
Demander que soit levé (retiré ou supprimé) le décret d’excommunication n’est pas la même chose que demander ou exiger la reconnaissance de la nullité absolue de l’excommunication et son invalidité totale. Ce sont deux choses très différentes bien que se ressemblant. Ne pas les distinguer est un manque de compréhension ou de l’ignorance, et si on n’accepte pas cela, il ne reste qu’à se faire traiter d’ingénu stupide ou de pur malicieux. Il n’y a pas d’autre explication.
Lever cette excommunication n’est pas pareil que de dire qu’il n’y eut jamais excommunication. Il ne faut donc pas confondre nullité et annulation, ou retrait du décret.
Il est clair que pour la Rome moderniste, il s’agit de la remise d’une peine, (celle-ci étant la censure d’excommunication). Car en termes juridiques les peines médicinales, ce qui est le cas pour les censures, comme l’établit le droit canon, celles-ci sont levées par la remise de la peine, c’est-à-dire que l’on pardonne, on lève, on libère d’une sanction qui a été infligée a cause d’une délit pour lequel il y a eu condamnation par contumace. Il est donc clair que celui qui accepte cette remise de peine, c’est parce qu’il se considère coupable du délit en terme juridique. Et il est logique qu’ainsi le censuré (délinquant) soit reconnaissant une fois amendé et pardonné par la remise de sanction. Qu’un digne fils de Monseigneur Lefebvre demande cela, c’est renier l’héritage de son père en épiscopat, en reconnaissant que l’acte fut délictueux, car il ne lui reste pas d’autre alternative, en terme juridique. Si, si, no, no. Et comme dit l’adage juridique : « A trop vouloir prouver, on ne prouve rien. »
Si l’on regarde bien, on ne lève aucunement l’excommunication concernant les deux évêques consécrateurs : Monseigneur Lefebvre et Monseigneur de Castro Mayer, avec par conséquent celle des évêques (par eux) consacrés ; mais on remet (lève) seulement l’excommunication des quatre évêques consacrés, Monseigneur Tissier de Mallerais, Mgr Williamson, Mgr Fellay, et Mgr de Galarreta. Ce qui démontre clairement que l’excommunication est levée pour ceux qui la sollicitent en échange de leur bonne volonté filiale pour la sensibilité paternelle de Benoît XVI. Il n’y a aucune rétractation de la part de Rome, pas la moindre, simplement une indulgence paternelle vis-à-vis des quatre Évêques qui sollicitent filialement le retrait de l’excommunication au magnanime Benoît XVI. Monseigneur Lefebvre et Mgr de Castro Mayer continuent à être « royalement » excommuniés, excepté s’ils sortent de leur tombe et qu’ils sollicitent également avec des preuves de bonne volonté, la levée d’une excommunication qui était, sans aucun doute, légitime et juste selon Rome. Tout ceci est plus clair que l’eau !
Toutes les raisons évoquées pour masquer l’action n’ont aucun poids et sont superflues sur la question de fond, qui est de foi. La Rome protestantisée et moderniste a tenté de désactiver la résistance s’étant formée autour du noyau de la Fraternité et de Mgr Lefebvre, dix huit ans après sa mort. Aujourd’hui, le processus d’intrigue, qui commença à se manifester publiquement à partir du jubilé de l’an 2000, se referme.
Je ne suis pas d’accord et ne le serai jamais, je ne le peux pas sous peine de capitulation, de céder, en me laissant prostituer intellectuellement et religieusement par le pouvoir du mal qui introduisit dans l’Église tout ce qui peut la pervertir ou l’inverser, c’est-à-dire la sodomiser spirituellement et religieusement, ce qui est l’attitude du pharisaïsme (corruption spécifique de la religion), qui, aujourd’hui domine, avec tout le prestige que donne le pouvoir, mais qui s’exerce au détriment de la Vérité. Le meilleur instrument de la Révolution Mondiale Antichrétienne, ne l’oublions jamais, est de faire des hommes, des « prostituées intellectuelles » (1).
Une bombe ne se désactive pas à coups de marteau ni de hache, mais avec une fine et subtile manœuvre de réajustement de sa machinerie interne. C’est ainsi que l’on procède aujourd’hui, avec la Fraternité Saint Pie X en la rendant inutilisable (l’annulant ou la neutralisant) pour son combat, et son héroïque résistance contre les erreurs de Rome moderniste et apostate, comme l’a dit en son temps Mgr Lefebvre.
Sous l’apparence (le masque) du bien (et d’une fausse magnanimité paternelle), se désactive la résistance et le combat contre la nouvelle église post-conciliaire œcuméniste, qui est en collusion avec le globalisme mondial, soumis au règne du Prince de ce monde : Satan et ses œuvres.
Si aucun des trois autres évêques ne disent rien, ils consentent ainsi par leur silence, ce qui est inexplicable au regard de leur rôle de gardien de la foi, car celui qui ne dit mot consent et celui qui consent accepte l’erreur, la tromperie, le mensonge et tout ce que cela implique.
Ce sont des temps difficiles, et surtout, apocalyptiques, dans lesquels chaque fidèle, doit être comme un soldat du Christ, confirmé dans la foi du baptême, défendant héroïquement et vaillamment sa foi, comme les martyrs dans l’Église primitive, sans secours ni aide humaine, seul avec Dieu en face de leurs bourreaux.
Notre seul devoir est de rester fermes dans la foi, fidèles au Christ et à sa divine Église Catholique, Apostolique et Romaine, qui est aujourd’hui éclipsée (c’est l’éclipse totale du soleil : De Labore Solis selon la devise du précédent pontificat) et d’agir en accord avec les Evangiles. Nous voyons l’abomination désolatrice dans les lieux saints, anéantissant tout ce qui est sacré (ou se dit de Dieu) et envahissant le Temple, sous la férule tenace de l’éphémère triomphe de la Synagogue de Satan à l’intérieur de l’Église. (De Gloria Olivae, comme l’exprime la devise du Pontificat actuel). Accomplissant ainsi la prophétie de Notre Dame de la Salette, « Rome perdra la foi et deviendra le siège le l’Antéchrist ». Ceci est aujourd’hui un fait, et pour le reconnaître avec équanimité et force, il faut une foi solide et illustrée avec le contraire de ce que nous voyons dans le monde d’aujourd’hui, plein de ténèbres, et où la Foi s’est perdue.
Malgré cela, nous ne devons pas nous décourager, car nous savons avec certitude que « Les portes de l’Enfer ne prévaudront pas » c’est-à-dire qu’« Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas » , tel que l’explique Saint Thomas, dans son commentaire du Credo.
Nous savons aussi que la véritable Église, unique et légitime épouse virginale du Christ par la foi, perdurera, même réduite à un petit reliquat (pusíllus grex, Lc. 12, 32) dispersé par le monde, parce que l’Église, comme le dit Saint Augustin dans le catéchisme de Trente (art. 9) : « C’est le peuple fidèle éparpillé par le monde entier », qui attend son retour soutenu par la bienheureuse espérance dont parle Saint Pierre (II 3, 12) et Saint Paul (Tit. 2, 13), qui consiste au retour du Christ Roi, en Gloire et Majesté.
Nous devons demeurer « fermes dans la foi », comme nous y exhorte Saint Pierre car « Tout ce qui ne procède pas de la foi est péché » (Rom. 14, 23) et comme dit Saint Paul, « Le juste vivra de la foi » parce que nous avons été sauvés gratuitement par le moyen de la foi ( Heb. 10, 38). Il nous faut seulement durer comme de vaillants et fermes soldats confirmés dans la foi du baptême, et ainsi s’accomplira en nous ces paroles de Saint Paul « confirmés par le témoignage de la foi, ils furent fidèles en Jésus Christ notre Seigneur » (Héb. 12, 39).
D’autre part, il est inconcevable que l’on dise que la Fraternité veut aider le Pape à résoudre la crise, quand, de fait, les Papes modernistes sont les premiers responsables et par là même les principaux coupables de cette crise sans précédant qui ne s’est jamais vue et ne se reverra jamais. Et ce qui est à savoir, pour comble de malheur, c’est que Joseph Ratzinger, toute sa vie, d’abord comme théologien expert au Concile, puis comme Cardinal Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi sous le funeste pontificat de Jean-Paul II et aujourd’hui comme Benoît XVI, maintient toutes ces erreurs au lieu de les condamner. Ce n’est pas avec des serviettes d’eau chaude, que se soignent les grands maux. De plus parler de la crise sans mentionner la crise de la foi, mais uniquement la crise des vocations, de la pratique religieuse, du catéchisme et de la fréquentation des sacrements, c’est inverser les choses et confondre l’effet avec la cause.
D’autre part, parler des droits de la Tradition, comme s’il s’agissait du droit des uns et du droit des autres, c’est faux, car il s’agit (si nous devons parler de droits), de l’unique droit exclusif de la Tradition, de l’Eglise, de la Vérité, alors que les bouddhistes, les animistes, les musulmans, les juifs, les protestants, etc., tous peuvent revendiquer leurs droits, dans la démocratie libérale, puisque toute personne en vertu de sa dignité humaine et liberté religieuse et de conscience, réclame ses droits, ceci est une approche libérale, moderniste et en accord avec les faux droits de l’homme de la Révolution Antichrétienne.
Il ne faut pas oublier que s’agissant de l’invalide et nulle (pharisaïque) excommunication, Mgr Lefebvre disait : « Tous ces esprits qui sont modernistes sont excommuniés par Saint Pie X. Ce sont ces personnes imbues des principes modernistes qui nous excommunient alors qu’elles sont les excommuniées par le pape Saint Pie X. Et pourquoi nous excommunient–elles ? Parce que nous voulons rester catholiques, parce que nous ne voulons pas les suivre dans cet esprit de démolition de l’Église. Puisque vous ne voulez pas venir avec nous pour contribuer à la démolition de l’Église, nous vous excommunions. Très bien : merci. Nous préférons être excommuniés. Nous ne voulons pas participer à cette œuvre épouvantable qui se réalise depuis 20 ans dans l’Église. » (Sermon durant la Messe chantée de l’abbé Bernard Lorber à l’École Étoile du Matin du 10 juillet 1988, cfr. Fideliter Nº 65, 1988).
« Jamais nous n’avons voulu appartenir à ce système qui se qualifie lui même d’Eglise conciliaire (…) Nous ne voulons pas avoir la moindre part avec le Panthéon des religions, notre propre excommunication par un décret de votre éminence n’en serait que la preuve irréfutable. Nous ne voulons rien de mieux que d’être déclarés « excommuniés » de l’esprit adultère qui souffle depuis 25 ans dans l’Église, exclus de la communion impie avec les infidèles » (lettre au Cardinal Gantin, 6 juillet 1988, cfr. Fideliter nº 64, pp. 11 et 12).
En une autre occasion, de passage à Ecône, étant avec Mgr Lefebvre et un journaliste, qui lui rendait visite, celui-ci l’interrogea, entre autres choses sur les excommunications et Mgr lui répondit : « S’il y a quelqu’un d’excommunié, ce n’est pas moi, ce sont eux qui le sont ». Tout ceci semble suivre le même sort que les documents préparatoires du concile Vatican II qui furent mis à la poubelle pour refaire tout à nouveau, d’une autre manière.
Il y a également Mgr Lefebvre, se référant à Mgr de Castro Mayer et à lui-même pour avoir également été condamnés et excommuniés, qui affirma : « Ceux qui estiment devoir minimiser ces richesses et même les nier ne peuvent que nous condamner, ce qui ne fait que confirmer leur schisme d’avec Notre Seigneur et son Règne, par leur laïcisme et leur œcuménisme apostat » (Itinéraire Spirituel, p. 9). Et à part tout cela, je rajouterai : « Cette apostasie fait de ces membres des adultères, des schismatiques, opposés à toute tradition, en rupture avec l’Église du passé… » (Itinéraire Spirituel, p. 70).
En conclusion, il faut signaler que sur le concile Vatican II, il y a beaucoup plus que des « réserves » comme vous l’affirmez, car c’est un concile atypique, qui n’est pas infaillible, et qui est également contradictoire, comme l’est un cercle carré, et par là même imprégnés d’erreurs (de bombes à retardement), d’erreurs et d’hérésies, au point d’être considéré par Mgr Lefebvre lui-même comme un concile apostat, par son œcuménisme (comme nous l’avons constaté), et qui de plus est schismatique, comme il est affirmé dans ce texte : « Ce concile représente, tant aux yeux des autorités romaines, qu’aux nôtres, une nouvelle église, qu’ils appellent d’ailleurs, l’église Conciliaire. Nous croyons pouvoir affirmer, en nous en tenant à la critique interne et externe de Vatican II , c’est-à-dire en analysant les textes et en étudiant les avenants et aboutissants de ce Concile, que celui-ci tournant le dos à la tradition et rompant avec l’Église du passé, est un Concile schismatique. On juge un arbre à ses fruits. (…) Tous ceux qui coopèrent à l’application de ce bouleversement, acceptent et adhèrent à la nouvelle « église Conciliaire » – comme la désigne Son Excellence Mgr Benelli, dans la lettre qu’il m’adressa au nom du Saint-Père, le 25 juin dernier – entrent dans le schisme (…). Comment pourrions-nous, par une obéissance servile et aveugle, faire le jeu de ces schismatiques, qui nous demandent de collaborer à leur entreprise de destruction, de l’Église ? » (Un évêque parle, pp. 97-98).
Face à tout cela, il ne reste plus qu’à dire : « non possumus ».
In Christo et Maria Virgine
Basilio Méramo Pbro.
Membre à perpétuité de la FSSPX et Prieur de Orizaba le 26 janvier 2009
(1) Expression forte mais très imagée utilisée par John Swinton, journaliste qui fut rédacteur en chef du célèbre magasine New York Times, dans laquelle il visait la presse et les journalistes. Elle fut prononcée au cours d’un toast porté à l’occasion d’une fête réunissant des membres de sa corporation et dont il était un des invités d’honneur.
Réactions à la levée des Excommunications
Ils s’opposent au Ralliement de la FSSPX
L’abbé Guépin dénonce les faux-semblants de Mgr Fellay et de Menzingen
Publication virgo-maria.org du 1er février 2009
L’abbé Guépin (Nantes) lance un cri d’alarme sur l’invalidité des prêtres qui diront le rite de Saint Pie V. ABBÉ GUEPIN (ORDONNÉ PAR MGR LEFEBVRE) : SERMON DU DIMANCHE 25 JANVIER 2009, À L’OCCASION DE LA LEVÉE DE L’EXCOMMUNICATION DES ÉVÊQUES DE LA F.S. SAINT PIE X. « Ils [la FSSPX] vont même jusqu’à enseigner à des modernistes (par moyens vidéo) la manière de célébrer la Messe traditionnelle sans se préoccuper de savoir s’ils sont réellement Prêtres …! S’ils ont été ordonnés selon le nouveau rite de 1968, il y a un doute grave quant à la validité du sacrement ; et Saint AUGUSTIN demande, en pareil cas, que l’on agisse comme si c’était invalide. S’ils ont été ordonnés par des «évêques» sacrés selon le nouveau rite de 1968, alors, il est certain qu’ils ne sont pas Prêtres. » » « Alors, peu nous importe ce que pensent les gens du monde ; ce qui nous importe, c’est d’être en pleine communion avec l’enseignement de la Sainte Église qui a toujours prêché la Vérité révélée par Dieu. » « Nous ne pouvons servir deux maîtres, nous ne pouvons servir L’Église Catholique, fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ et, en même temps, suivre l’église moderniste, fondée par des hommes impies. » Abbé Guépin
L’abbé Belmont dénonce une « joie indécente »
Une joie indécente
Réaction de Monsieur l’abbé Belmont, ancien prêtre de la FSSPX, maintenant non una cum, concernant la levée des « excommunications ». A lire absolument car monsieur l’abbé Belmont met en évidence les positions incohérentes, contradictoires et hérétiques de la FSSPX et dénonce la doctrine apostate de Vatican II.
Cliquez ICI
Déclaration de l’Institut Mater Boni Consilii sur le décret du 21 janvier 2009 concernant la levée de l’excommunication des quatre évêques de la Fraternité Saint-Pie X.
L’Institut Mater Boni Consilii‘ dénonce les contradictions de Mgr Fellay et de la FSSPX.
Cliquez ICI
Abbé J. LE GAL : Avis en 10 points sur la levée de « l’excommunication »
AVIS EN 10 POINTS SUR LA LEVÉE DE “L’EXCOMMUNICATION”
MÉMENTO POUR LES FIDÈLES (ET LES PRÊTRES),
A BUT NON POLÉMIQUE MAIS EXCLUSIVEMENT APOLOGÉTIQUE.
Vous pouvez le lire en fichier PDF ICI
5 POINTS HISTORIQUES
1)- Le point de départ : la suspens a divinis de 1975 pour un an, renouvelée sine die en 1976. Mgr Lefebvre, encore partagé, commence à ériger en système théologique la désobéissance à celui qu’il considère comme vrai Pape (je reconnais Paul VI comme Pape, mais je ne lui obéis plus : l’intention est viciée). L’autorité de Mgr Lefebvre supplante peu-à-peu l’autorité de celui qui est considéré comme Pape. Naissance des erreurs contre l’infaillibilité pontificale, et du mythe de Mgr Lefebvre qui s’apparente à du théologiquement correct : impossibilité de remettre en cause son autorité, son héritage (essentiellement ce dilemme permanent, décrit ici par l’abbé Sanborn en 1995 : “chercher une voie moyenne impossible entre reconnaître en lui [Paul VI et ses successeurs] l’autorité du Christ et résister en lui à l’autorité du Christ” ; “d’un côté travailler avec le Novus Ordo [= chercher un statut canonique pour être reconnu par les “autorités” que par ailleurs on condamne comme modernistes] et de l’autre préserver la Foi catholique”).
2)- La grande rupture à Noël 1978 entre Mgr Lefebvre et le Père Guérard des Lauriers. Seulement deux mois et demi après l’élection de Jean-Paul II, Mgr Lefebvre demande un accord pour la Messe (à des conditions plus faibles que le motu proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI). Le Père Guérard des Lauriers : “Mgr, nous ne voulons pas de cette paix”, il n’y a pas deux Messes dans l’Église de Jésus-Christ, comment mettre à égalité LA Messe et la messe de Luther ?
3)- Le point de non-retour : le refus définitif de la voie de la vacance du Siège apostolique. Pour cela, il ira jusqu’à sacrifier les prêtres trop intransigeants : 1° Le 8 novembre 1979 : “En conséquence, la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X ne peut pas tolérer dans son sein des membres qui refusent de prier pour le Pape [en tant que Pape, note de Sodalitium] et qui affirment que toutes les Messes du Novus Ordo Missæ sont invalides”. 2° À Jean-Paul II le 8 mars 1980 : “Je n’ai aucune hésitation sur la légitimité et la validité de Votre élection” (…) “j’ai dû déjà sévir et continue de le faire vis-à-vis de quelques séminaristes et quelques prêtres qui se sont laissés influencer par quelques ecclésiastiques, étrangers à la Fraternité”. Jusqu’à Mgr Fellay qui, le 31 janvier 2009, juge froidement que les éventuels désaccords au sein de la FSSPX sur sa situation nouvelle seront “minimes” et “n’auront rien de significatif”.
4)- Le sommet de la duplicité : le protocole du 5 mai 1988 avec le cardinal Ratzinger. Mgr Lefebvre signe cinq points doctrinaux, dont a) l’acceptation du code de droit canon (pleins d’erreurs sinon d’hérésies selon lui), b) du n°25 de Lumen Gentium (et donc de la valeur magistérielle de tout ce document), c) de la validité de tous les nouveaux ‘sacrements’. En outre, son changement d’avis le lendemain vient, dit-il, des points pratiques (et non pas des 5 points doctrinaux qu’il ne remet pas en cause, ni le 6 mai, ni le 30 juin).
5)- Le sommet de l’incohérence : les consécrations épiscopales du 30 juin 1988. Selon nous pas de schisme formel puisque Jean-Paul II n’est pas Pape, mais une attitude pratique schismatique puisque l’intention est schismatique : sacrer contre l’avis explicite de celui qu’il considère être le Pape (pratique qui sera, avec le temps, toujours davantage doctrinale).
5 POINTS DOCTRINAUX
6)- La consommation de la duplicité : la levée des excommunications obtenues par un principe moderniste. Ou quand le principe œcuménique de la communion imparfaite inventée par Vatican II qui absout les quatre évêques de la FSSPX est fêté avec le Magnificat. La FSSPX voudrait accepter l’offre du moderniste Ratzinger d’une chapelle latérale dans la cathédrale arc-en-ciel qui réunit orthodoxes, anglicans, (luthériens ?), et la FSSPX. Pour plaire aux deux parties, cette offre sera nécessairement un accord ambigu, que chacune pourra lire comme elle l’entend elle-même. Mgr Fellay déclare déjà le 31 janvier 2009 : “Il y a une restauration de l’Église qui s’annonce, qui probablement commencera par la discipline (…) plutôt que par la doctrine”.
7)- Une maladie chronique de la FSSPX : le pragmatisme. Ou la théologie à la remorque des circonstances pratiques (cf enregistrement du sermon prononcé rue Bleue à Paris le 29/06/2008 ; ex : les positions successives – et contradictoires – de Mgr Lefebvre sur l’assistance à la nouvelle messe). Le remède ? La douce, suave et salvatrice intransigeance de la Vérité et de la Foi : remettre à la première place l’étude théologique de la Révélation et du Magistère à la lumière du thomisme, remettre à la première place les principes, d’où découleront naturellement et pacifiquement les conséquences pratiques réellement catholiques.
8)- Une complication naturelle due à cette maladie chronique de la FSSPX : l’incohérence. Cherchez l’erreur [d’après un article de l’abbé Belmont, les crochets sont rajoutés] : “jusqu’à présent on se félicitait de Benoît XVI autorisant par son motu proprio un rite [qu’on affirmait] jamais interdit, maintenant on applaudit qu’il lève une excommunication [qu’on affirmait] jamais encourue”. Quant à la situation canonique dans l’Église : soit on a un Pape régnant et il n’y a pas d’état de nécessité [et donc il faut se soumettre à ce Pape, à l’Ordinaire du lieu et au nouveau code de droit canon], soit on n’en a pas [et donc on doit ne pas s’y soumettre] et on est en situation d’exception. L’existence ou non de la suspens a divinis des prêtres “traditionalistes” dépend de la réponse à ce dilemme, tertium non datur.
9)- La gravité de la position de la FSSPX : l’acte de Foi vicié (et donc la Foi chrétienne viciée à la racine ?) La Foi est la ferme adhésion – à cause de l’autorité de Dieu – à la Révélation, connue par le moyen du Magistère, à commencer par le Pape régnant (son infaillibilité sert justement à permettre la certitude de la Foi !), règle prochaine de ma Foi. Dans la FSSPX, on veut adhérer à la Révélation connue par le moyen de l’enseignement de la FSSPX qui est supérieur à l’enseignement de celui qu’on considère comme Pape régnant : s’agit-il encore d’un véritable acte de Foi ? ou pour combien de temps s’agira-t-il encore d’un acte de Foi ?
10)- Une invitation providentielle à réfléchir : Cet évènement est l’occasion donnée à tous, prêtres et fidèles, de réfléchir aux fondements de notre combat pour la Foi. On ne fondera une résistance solide, durable et victorieuse au modernisme et au libéralisme que sur la Vérité, sur la Foi, et donc la saine théologie. Lisez-bien : cette feuille n’est pas contre la personne de Mgr Lefebvre, qui nous a quitté en 1991, mais veut inviter à remettre sur la table de discussion (et d’étude !) l’héritage laissé par Mgr Lefebvre et imposé aux jeunes générations. Cette feuille veut certainement refuser le carcan du théologiquement correct pour atteindre librement notre but à tous : sauver l’Église, et à travers elle l’honneur de Notre-Seigneur et le salut des âmes.
Le point de départ essentiel – qui s’impose aux consciences catholiques dès Vatican II comme exigence de cohérence – autour duquel réaliser l’union des forces vives : la vacance du Siège apostolique. Pour l’éclairer, une piste à (ré)étudier : la position théologique (bien comprise !) du théologien dominicain le R.P. Guérard des Lauriers, professeur reconnu à l’université pontificale du Latran. La condition essentielle de notre réussite : notre sanctification personnelle s’épanouissant dans la véritable Charité (notamment sans excès de paroles), et le témoignage courageux et cohérent de la Foi (ne pas avoir recours aux sacrements “una cum famulo tuo Papa nostro Benedicto”). Que Dieu nous garde tous !
Paris le 1er février 2009.
Abbé Jocelyn Le Gal, prêtre de l’Institut Mater Boni Consilii.
Sources :
• Communiqué de l’Institut Mater Boni Consilii sur le décret du 21 janvier 2009 qui lève l’excommunication des évêques de la
FSSPX (téléchargeable sur le site www.sodalitium.eu dans la rubrique “documents – communiqués”)
• Article “Réponse à la Tradizione Cattolica” de l’abbé Francesco Ricossa dans Sodalitium en français n°55 (téléchargeable
sur le site www.sodalitium.eu dans la rubrique “revue”), surtout les pages 31 à 47.
• Les 6 documents sur la rupture entre Mgr Lefebvre et le Père Guérard des Lauriers (dont ses lettres parues dans Einsicht)
consultables et téléchargeables sur le site www.sodalitium.eu (rubrique “documents – Mgr Guérard”) :
• Article “Déclaration sur les sacres accomplis par Mgr Lefebvre le 30 juin 1988” dans Sodalitium en français n°17, numéro
épuisé en version papier, mais consultable sur le site www.sodalitium.eu (“rubrique documents – mythe traditionaliste”).
• Article “La Montagne de Gelboé” de l’abbé Donald Sanborn dans Sodalitium en français n°39 pages 33 à 46, consultable et
téléchargeable sur le site www.sodalitium.eu (“rubrique documents – mythe traditionaliste”)
• Article “Une joie indécente” de l’abbé Hervé Belmont (téléchargeable sur le site www.quicumque.com)
• Interview de Mgr Fellay à Oliver Figueiras, parue dans le quotidien Présent du 31/01/2009.
Institut Mater Boni Consilii, 350 Route de Mouchy, 58400 Raveau – revue Sodalitium – info@sodalitium.eu – www.sodalitium.eu
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