Archive for janvier, 2014
N.O.M. : Les prophètes sont parmi nous et Attali est le plus grand
Je ne résiste pas à l’envie de vous présenter ici un très bon billet de Pierre Mylestin sur Jacques Attali.
Issu d’une famille ultra talmudique (!), Jacques Attali a été, comme on le sait, l’éminence grise du président Mitterrand dans les années 80. Ce qu’on ne sait pas, c’est quelle place il occupait exactement dans le système de pouvoir de l’Élysée. Son grand ami Elie Wiesel déclarait : « nous nous voyons chaque fois que je suis reçu par le président Mitterrand puisqu’il faut passer par son bureau pour entrer dans celui de son patron… Mes rapports avec lui sont excellents ». Attali était donc l’incontournable censeur qu’il fallait convaincre pour avoir le droit à un entretien avec le président, et ceci, en plus d’être le chef d’orchestre de la politique mitterrandienne…
Les prophètes sont parmi nous et Attali est le plus grand
Le 2 janvier 2014
Sacré Jacques. Un vrai prophète, intemporel, immortel, prophète de l’euthanasie pour les autres, prophète de l’éprouvette pour les restes.
La Vérité au sujet de Medjugorje
Pour mettre fin à cette scandaleuse mystification nous vous proposons un Document conciliaire (à lire donc avec le décodeur “église Conciliaire≠Église catholique”…) produit par « l’Ordinaire du lieu » en 1990, par l’abbé Pavao Žanić (†) prêtre déguisé en évêque (« ordonné » “évêque” conciliaire le 2 Mai 1971), Paix à son âme !…
(Note : le signe ≠ dit en Sciences : différent [not equal])
En 1882, le Christ a révélé à la stigmatisée, Marie Julie Jaheny : « Dans les derniers jours (temps), les faux visionnaires se présenteront comme un essaim de mouches de l’enfer pour tenter de masquer les véritables apparitions avec les fausses »…
Déjà, le 4 mai 1880 : dans l’Introduction du Père Pierre Roberdel (Cris du Ciel. Sur le temps qui vient, Quatorze mois avec Marie-Julie Jahenny) : « Le ciel nous avertit qui faut s’attendre, en approchant de la fin du siècle, à ce que partout se multiplient les visites de Dieu et de sa sainte mère. Il y aura un nombre rapproché de faits prodigieux qui, tous, ne seront pas heureux, car l’Enfer redoublera aussi ses efforts. On nous décrit le cachet qui permettra de reconnaître les œuvres de Dieu. Les cas de possession seront nombreux. »
Mgr Pavao Žanić †, a “présidé” la diocèse de Mostar, de 1971 à 1993. Il a exercé la “pleine juridiction ecclésiastique” sur la paroisse de Medjugorje, qui est situé dans la région de la Bosnie-Herzégovine.
Tout d’abord bienveillant vis-à-vis des apparitions et des voyants de Medjugorje, l’“évêque” de Mostar, Mgr Žanić, constituait le 11 janvier 1982 sa commission d’enquête canonique pour examiner les faits et les paroles de l’apparition et des voyants.
Dans les semaines qui suivirent, il se rendit compte que les voyants lui mentaient. Il s’agissait pour eux de lui cacher les propos de la Gospa en faveur de deux franciscains rebelles à ses directives légitimes, à celles de leurs supérieurs et aux ordres du Pape lui-même. Ainsi de janvier à mai 1982, sa conviction se forgea définitivement. Il décida aussitôt, en accord avec les membres de la commission d’enquête, de publier sa sentence canonique de condamnation de ces apparitions au titre de simagrées de Satan. Sa conviction était alors que les adolescents voyaient bien un être préternaturel, mais que c’était Satan. Mgr Žanić ne songea dès lors qu’à mettre en garde les autorités romaines contre cette désorientation diabolique qui risquait de couvrir l’Église de honte. (…)
Il a publié l’article suivant en 1990. (Le lecteur pourra constater – même avec le décodeur “église Conciliaire≠Église catholique”… – que ce que dit le pseudo-“évêque” conciliaire est tout à fait catholique…) :
La Vérité au sujet de Medjugorje
Document conciliaire
de Monseigneur Pavao Zanic, “Évêque” de Mostar
Article publié en 1990.
Bonne année, bonne santé, et le paradis à la fin de votre vie !
Nous vous souhaitons : Bonne année, bonne santé, et le paradis à la fin de votre vie.
En ce début d’année 2014, nous vous offrons ce petit billet qui nous est parvenu des Sœurs du Christ-Roi du regretté Père Vinson (†) :
Le Livre Blanc
À la première heure du premier jour de chaque année, il nous est remis, par une main invisible, un livre aux blanches feuilles.
Ce livre a 365 feuillets et chacun de ces feuillets porte les mots écrits par les négociants sur leur livre de compte, le mot « dû » et le mot « avoir ». Lui aussi est une livre de compte.
Sur le côté de la page où est écrit le mot « dû », on pourrait lire jour par jour, heure par heure, ce que Dieu laisse à notre disposition pour multiplier nos richesses.
Parcourons ce côté des pages du livre de l’année dernière qui s’éloigne petit à petit. Oh ! Que Dieu a été bon, qu’Il a été généreux, qu’Il a été aimant dans les biens qu’Il nous a prêtés : la respiration qui a entretenu notre vie, le pain quotidien qui nous a nourris, les joies de l’amitié, les mille petits bonheurs qui adoucirent notre existence, les conseils que l’on nous a donnés, le charme d’une occupation utile, les inspirations pieuses, les remords après une faute, les peines même, les chagrins et les accidents qui ont servi de remède à un peu de vanité ou à un trop plein d’affection qui aurait tué notre âme comme trop de rosée ou trop de soleil tue la plante…
Nous ne l’avons pas vu, tout cela, et mille et mille petits soins encore, et cependant Dieu nous les donnait à chaque instant, comme à chaque instant la mère prévoyante laisse, dans le trésor de son fils et à son insu, tomber une pièce d’or.
Ce que Dieu a fait l’année dernière, Il le fait aujourd’hui, Il le fera demain, Il le fera tous les jours !
Et à mesure que ces biens s’épancheront de son cœur aimant, ils s’inscriront pour toujours sur un côté d’une des pages du livre de cette année.
Sur l’autre côté de la page, il n’y a rien d’écrit encore ; mais ce qui doit s’y inscrire et qui réellement s’y inscrit et s’y fixe d’une manière mystérieuse, heure par heure, minute par minute, ce sont nos actions, nos paroles, nos pensées les plus secrètes.
Une main invisible enregistre tout avec un soin minutieux et ces actions, ces pensées n’y sont pas telles que nous les embellissons pour les autres, et même pour nous, mais telles qu’elles sont et telles que Dieu les voit, Lui qui voit tout, Lui qu’on ne peut jamais tromper : douceur, piété, miséricorde pour les autres. Patience à supporter non pas tant les grands malheurs que les menues contrariétés de tous les jours. Exactitude à remplir nos devoirs et à les remplir sous le regard de Dieu, avec paix, avec constance, avec dévouement. Activité sans trouble et sans affaissement. Vigilance de toute heure pour nous garder innocents. Humeur égale devant les obstacles, les oppositions, les fatigues. Soins assidus Pour perfectionner notre intelligence et pour conserver notre cœur pur, affectueux, dévoué…
Rien de ce que nous ferons d’utile et de bon ne sera oublié dans ce côté de la page consacrée à enregistrer nos œuvres, nos désirs eux-mêmes ; ces simples désirs d’un cœur dévoué et soumis qui veut sincèrement mais qui ne peut passeront marqués à notre avoir et comptés comme nos œuvres.
On y trouvera aussi nos impatiences, nos dépits intérieurs, notre ennui volontaire et ces découragements qui se communiquaient à ceux que nous devions porter au bien, notre lâcheté au travail, nos pertes de temps multipliées, nos illusions créées par notre imagination pour nous rassurer sur les occasions de fautes auxquelles nous nous abandonnons, nos petites sensualités, notre égoïsme et cette folle envie de paraître un peu plus que nous sommes et un peu plus que les autres, nos moments d’humeur, notre faiblesse à laisser faire le mal et notre timidité pour ne pas essayer le bien…
Et au dernier jour, toutes les pages de chacun de ces livres reçus chaque année, remplies chaque année et chaque année classées dans les archives divines, seront étalées devant nous et nous verrons, à la clarté d’une lumière qui empêche toute erreur, cette terrible chose qu’on appelle un inventaire, dans laquelle on cherche â équilibrer le « dû » et I’« avoir ».
Oh ! S’il y avait un déficit !
Un autre, au commencement de son livre, se trace le plan de ce qu’il veut y mettre, Nous aussi au commencement de cette année, avant qu’aucune de nos actions ne soit inscrite dans ce livre blanc que Dieu nous met entre les mains, traçons-nous un plan auquel nous serons fidèles.
Imposons-nous, d’une volonté ferme, ce que nous nous proposons de faire cette année, ce mois, cette semaine, et dirigeons sérieusement nos intentions.
Voulez-vous une indication de sommaire ? Notre vie doit être pleine d’actions et d’actions bonnes ; or, chaque action produisant un peu de gloire, un peu de peine et un peu de joie :
laissons la gloire à Dieu,
donnons la joie aux autres,
gardons la peine pour nous.
Les souhaits d’un cœur chrétien
« Sanctifiez-vous chaque jour par la prière fervente et fréquente : c’est elle qui vous vivifiera, vous éclairera, vous soutiendra. »
« Soyez fidèles à Dieu par la prière et tous les biens seront à vous : ceux du temps et de l’éternité. »
« Cherchez Dieu dans la prière et en Lui trouvez à jamais joie, lumière et sainteté. »
Le Bon Samaritain, Janvier 2014, n°49 ; Communauté des Sœurs du Christ-Roi, Maison Saint-Joseph. 38470 Serre-Nerpol