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Jésus demeure ma joie
Jésus demeure ma joie
Jésus demeure ma joie,
la consolation et la sève de mon cœur;
Jésus me préserve de toute souffrance
Il est la force de ma vie,
le plaisir et le soleil de mes yeux,
le trésor et le délice de mon âme.
Voilà pourquoi je ne laisse pas Jésus
hors de mon cœur et de ma vue.
« Jesus bleibet meine Freude »
Johann Sebastian Bach
Jesus bleibet meine Freude,
Meines Herzens Trost und Saft,
Jesus wehret allem Leide,
Er ist meines Lebens Kraft,
Meiner Augen Lust und Sonne,
Meiner Seele Schatz und Wonne;
Darum laß ich Jesum nicht,
Aus dem Herzen und Gesicht.
Un monument de sophismes… ! cette fois-ci !
Après « Un morceau d’anthologie » du mois de février, Le Seignadou d’avril nous offre maintenant par l’Abbé Simoulin « Un monument de sophismes… » !
* * *
Un monument de sophismes… ! La grande Question qui se pose à nous ou l’Abbé Simoulin Grand Prêtre du Temple Fraternel et Gardien du Saint Pragmatisme !
Dans un long article récent aux airs connus mais à la stratégie syntaxique toujours renouvelée, l’Abbé Simoulin (Photo ci-contre) nous « bourre le MOU » en trois coups de cuillers à pot et quelques paragraphes d’une prose très cléricale, donc forcément très religieusement correcte.
Après avoir soulevé et énoncé la fameuse grande Question que doit se poser, surtout en 2014, tout âme catholique bien née, notre Abbé balaie d’un revers de surplis le sédévacantisme comme chose non seulement négligeable mais surtout parfaitement méprisante. Tout ce mépris est concentré, comme toute l’énergie de l’univers, dans ce tout petit mot latin « Absit ». Je laisse aux latinistes distingués l’initiative de traduire toute la richesse de ce verbe (sauf erreur) au subjonctif présent !
L’Abbé aurait pu en rester là après tout, puisqu’il venait d’effectuer ainsi les trois quarts au moins de son devoir d’état sacerdotal ! La mise en garde contre le sédévacantisme talmudique n’est-il pas la mission la plus noble et la plus nécessaire que puisse faire un prêtre digne de ce nom ?
Il fallait encore divulguer la bonne doctrine et enfoncer dans les cervelles traditionalistes les poncifs dogmatisés d’un pragmatisme incontournable.