2262

Le CatholicaPedia Blog

CatholicaPedia, une mémoire de la Tradition… en toute liberté

Archive for the ‘Rose+Croix’ tag

Mgr Fellay a-t-il vraiment bradé la néo-FSSPX en mars 2012 ou non ?

without comments

Les Pères du Réseau TRADITO en Amérique ont reporté – sans la publier – à leur manière, notre information du 7 juin dernier.
( Ndlr du CatholicaPedia : ) Mgr Williamson étant leur héros et roulant pour lui, ils le mettent bien sûr en avant, n’ayant toujours pas compris le double-jeu de l’évêque britannique à la Rose+Croix.

 

Fellay a-t-il vraiment bradé la néo-FSSPX en mars 2012 ou non ?
Ou bien Mgr Williamson, plus âgé que lui, a-t-il fait capoter ses plans… à nouveau ?
La Providence s’est-elle servie de Mgr Williamson pour faire échec au projet de ralliement de Fellay ?
Un site Internet français soutient que Fellay a déjà bradé la FSSPX en mars 2012.

 

Les sites Internet français pro-Fellay et anti-Fellay se disputent actuellement sur ce point. Ironie du sort, Williamson est peut-être devenu l’agent d’une insondable Providence pour faire échec à la perfidie « rallieuse » de Fellay.

 

Fellay pète à nouveau les plombs depuis qu’un site Internet français a laissé entendre que l’évêque avait déjà vendu la néo-FSSPX à la secte conciliaire en mars 2012 et annoncerait cette braderie le 8 juin 2012 sur son propre site Internet français. La braderie en question se solderait par un changement de nom de la congrégation, l’adoption de nouveaux statuts et un transfert de propriété en faveur de la secte conciliaire, ainsi que l’expulsion de tous les prêtres qui ne seraient pas d’accord avec ladite secte.

 

Nous tenons à préciser tout d’abord que le réseau TRADITIO n’a pas publié cette information, parce que nous en attendons confirmation. En effet, le réseau TRADITIO veille avec soin à publier non pas de simples « rumeurs », mais uniquement des informations confirmées par plusieurs de nos sources en place. Or, en l’espèce, bien qu’il n’y ait peut-être aucune preuve documentaire que Fellay a procédé au ralliement en question, il n’en existe pas non plus (pas encore ?) pour démontrer le contraire.

À notre avis, et comme l’ont d’ailleurs confirmé plusieurs sources italiennes bien informées, Fellay et Benoît-Ratzinger s’étaient probablement entendus sur un ralliement destiné à être annoncé le 27 mai 2012, c’est-à-dire le dimanche de Pentecôte. Que s’est-il passé ? La même chose que ce qui avait déjà empêché le ralliement de se produire le 2 février 2009 : une intervention de Mgr Richard Williamson, évêque le plus âgé de la néo-FSSPX. Non pas que Williamson ait agi délibérément dans l’un et l’autre cas, mais il se peut que par une insondable Providence, il soit devenu l’agent permettant de faire échec à la perfidie « rallieuse » de Fellay.

 

Comme d’habitude, Fellay s’est lancé dans une de ses tirades insensées. Lui et ses agents ont fait circuler le même genre de « rumeurs » que celles qu’ils ne cessent eux-mêmes de condamner de la part d’autrui. L’annonce du site français était-elle un canular ? Était-ce un montage ? Était-ce une machination des « sédévacantistes » visant à aggraver la division de la néo-FSSPX et à la plonger dans la confusion un peu plus encore ?  Le vrai problème, c’est que Fellay est lui-même le Grand Truqueur. À ce jour, bien des mois après, il persiste à refuser de révéler le contenu de ses communications avec Ratzinger et la hiérarchie du néo-Vatican aux membres de sa congrégation, y compris ses propres évêques, y compris ses propres prêtres et ses propres fidèles.

Voilà pourquoi ces parties intéressées recherchent ailleurs leurs informations, y compris auprès d’un courageux lanceur d’alerte qui a divulgué la lettre des trois évêques attaquant le projet de ralliement de Fellay. Pourquoi ne s’adresseraient-elles pas à des sources indépendantes telles que le réseau TRADITIO ? Après tout, c’est leur Foi catholique et leur congrégation qui sont en jeu, alors que Fellay n’est qu’un petit potentat de passage, tout comme Ratzinger.

 

Nous autres, Pères de TRADITIO, qui avons de ces questions et de ces personnalités une expérience antérieure à Vatican II, nous nous inspirerons de l’exemple du Père de l’Histoire que fut le Grec Thucydide, qui – dans l’Antiquité – rassemblait des informations et des personnages pour en tirer des conclusions hautement intuitives (et le plus souvent exactes) sur ce qu’il en était vraiment des événements historiques.

 

Une semaine environ avant le ralliement dont il était question pour le 2 février 2009, intervint l’interview très contestée accordée par Williamson à la télévision publique suédoise, dans laquelle l’intéressé émit une opinion sujette à controverse sur un point discuté d’histoire séculière, ce qui rendit dingues les porte-parole laïcs de la communauté juive. Ratzinger, le plus judéophile de tous les papes conciliaires, renonça immédiatement à conclure l’accord prévu. Aujourd’hui, trois ans après, la lettre de Williamson, cosignée par ses confrères de la FSSPX Mgrs Galarreta et Tissier de Mallerais, a paniqué Ratzinger par rapport à la dernière tentative de ralliement en date. Au lieu de pouvoir livrer intacte – et enrubannée d’une jolie faveur – la congrégation naguère catholique de Mgr Lefebvre à l’ennemi de celui-ci, Josef Ratzinger, Fellay ne pourrait maintenant lui livrer qu’une congrégation en miettes, brisée comme Humpty Dumpty, selon les paroles prophétiques de la célèbre comptine :

 

Humpty Dumpty sat on a wall,

Humpty Dumpty had a great fall.

All the king’s horses and all the king’s men

Couldn’t put Humpty together again.

 

« Humpty Dumpty[1], mal assis sur un mur,

Humpty Dumpty s’est cassé la figure.

Tous les chevaux, tous les soldats du roi

Ne pourraient pas le remettre à l’endroit. »

 

[dewplayer:http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/uploads/2012/06/Classic_Rhymes_from_Appu_Series_Humpty_Dumpty.mp3]

 


[1] Humpty Dumpty est un personnage éponyme d’une comptine anglaise, le plus souvent représenté comme un œuf.

Jean XXIII entre les Extraterrestres et les Francs-Maçons…

with one comment

Publication du 18 novembre 2011 (restaurée d’après le cache Google)

Jean XXIII entre les Extraterrestres et les Francs-Maçons

Lundi 14 novembre 2011
par Radio Cristiandad

Il est connu le récit qui dit que les E.T. ont dicté à Jean 23 ce qui est relatif au Concile Vatican II. (Quels doutes a-t-on en voyant les résultats ?)

(ndlr CatholicaPedia : Pour ceux qui ne connaissent pas cette histoire drôle, voir plus bas.)

 

Maintenant venons en aux Francs-Maçons.

Voyez cette prière :

Prière Maçonnique – Pape Jean XXIII

[flowplayer src=’http://catholicapedia.net/video/Oracion_Masonica_Papa_Juan_XXIII.flv’ width=480 height=350 splash=http://catholicapedia.net/video/Oracion_Masonica_Papa_Juan_XXIII.jpg splashend=show]

Ils disent :

 

Prononcée par le V∴M∴ de la R∴L∴S∴ « Maravila No. 10 » à l’Or∴ d’Alajuela, du Costa Rica pendant la cérémonie effectuée en honneur des 120 ans de lumière maçonnique de la R∴L∴S∴ « Firmeza No. 3 » à l’Or∴ de la Cité de Guatemala, Guatemala.

En mémoire du Q∴H∴ Angelo Roncalli qui voyage par l’Or∴E∴

 

* * *

Voici l’histoire drôle… :

Le pape Jean XXIII et les ovnis

En 2008, dans un entretien pour le journal italien L’Osservatore Romano, Jose Ga­briel Funes, directeur de l’Observatoire astronomique du Vatican, a déclaré que « Dieu pourrait avoir créé une vie intelligente dans d’autres parties de l’Univers et qu’ils pourraient même être nos frères », déclaration qui s’est vivement répandue dans le monde entier.

Le journal anglais The Sun est le premier à avoir publié des éléments sur les relations entre le Vatican et les ovnis, suivi par un journal américain (le 23 juillet 1985). Le Sun a révélé que dans les années 1960 le pape Jean XXIII, également connu comme le « bon pape », à qui l’on attribue des milliers de miracles et de guérisons de par le monde, avait rencontré des extraterrestres à plusieurs reprises. Une de ces rencontres, qualifiée de très spéciale et de bien documentée, eut lieu en 1961 dans sa résidence d’été de Castel Gandolfo, en Italie. Un assistant du pape l’a décrite ainsi : « Le vaisseau était ovale, muni de lumières clignotantes oranges et bleues. Il nous survola quelques minutes et atterrit sur le gazon, à l’extrémité sud du jardin. Un être étrange en sortit, il semblait humain, excepté qu’il était entouré d’un halo doré et avait des oreilles pointues.

« Le Pape et moi-même nous mîmes à genoux. Nous ne savions pas ce dont nous étions les témoins. Mais nous savions que cela n’était pas de notre monde, et qu’il s’agissait donc d’un évènement céleste. Le saint père se releva et marcha vers l’être. Ils restèrent ensemble 15 à 20 minutes. Ils semblaient parler intensément. Ils ne m’appelèrent pas, aussi je restai à l’endroit où je me trouvais et je ne pus rien entendre de leur conversation. L’être retourna vers le vaisseau qui s’envola immédiatement. Le Pontife revint vers moi et me dit : « Les Fils de Dieu sont partout. Parfois nous avons des difficultés à reconnaître nos propres frères. »

À cette époque, ce témoignage ne reçut pas beaucoup d’attention, mais plus tard, en 2007, il fut de nouveau examiné lors d’un congrès d’experts sur le phénomène ovnis, au Pérou, par Higinio Alas, évêque de l’Église catholique œcuménique de Jésus-Christ. H. Alas déclara lors d’un entretien téléphonique : « Si nous croyons que Dieu le Père a imprimé son sceau de vie dans tout l’Univers, il devrait logiquement y avoir de la vie dans les autres galaxies et sur d’autres planètes. »

Dans un ouvrage intitulé Le profezie di Papa Giovanni XXIII (Les prophéties du pape Jean XXIII) paru en 1976, Pier Carpi décrit un évènement qui se déroula en 1935. Lors d’un rituel d’initiation dans un temple rosicrucien, un frère se mit à parler avec une voix qui n’était pas la sienne. Le Chancelier de l’ordre nota les paroles de ce frère : « …les lumières du ciel seront rouges, bleues et vertes. Et elles seront rapides. Quelqu’un venant de très loin désire nous rencontrer, le Fils de la Terre. Et il y a déjà eu des rencontres. Mais ceux qui les ont réellement vus sont restés silencieux. »

Ce frère était Angelo Roncalli, évêque de Bergame, en Italie, qui des années plus tard allait devenir le pape Jean XXIII.

Le 31 mai 1963, au cours de sa dernière tournée en Europe, George Adamski rencontra le pape Jean XXIII. Il eut accès à une petite porte encastrée dans les immenses portes d’entrée en bois, à gauche du Dôme, loin des Gardes suisses. Plus tard G. Adamski raconta à sa correspondante en Suisse, Lou Zinsstag, qui l’accompagnait dans presque toutes ses tournées en Europe, qu’il avait vraiment été reçu par le pape qui lui avait dit : « Je vous attendais. » Il remit au pape un message scellé qu’il avait reçu précédemment d’un Frère de l’Espace, à Copenhague. En retour, le pape offrit à Adamski un nouveau médaillon du Conseil œcuménique, qui n’était pas encore en vente à ce moment-là. Deux jours plus tard, le lundi de Pentecôte, le pape Jean XXIII décédait.

[Sources : Canal TV 4, Mexique; Geor­ge AdamskiL’indicible histoire, Lou Zinsstag]

 

…Et pendant ce temps là, Notre-Dame de Fatima attendait qu’il (le « bon pape » !) voulait bien accéder à Sa demande !…

 

* * *

 

Infiltrations maçonniques dans l’Église catholique [lien]

L’auteur de bandes dessinées, romancier et essayiste Pier Carpi indique dans son essai Les Prophéties de Jean XXIII ((Pier Carpi, Le profezie di papa Giovanni : la storia dell’umanita dal 1935 al 2033, Edizioni mediterranee 1976)), qu’en 1935 Angelo Roncalli, le futur pape Jean XXIII, aurait été invité à intégrer une société initiatique de type maçonnique héritière des enseignements rosicruciens à laquelle auraient appartenu dans le passé Louis-Claude de Saint-Martin, le comte de Cagliostro, Joseph Balsamo et le comte de Saint-Germain. Il mentionne également ce qu’il estime être des preuves documentaires de l’initiation maçonnique d’Angelo Roncalli en Turquie.

Jacques Duchaussoy écrit dans Mystère et Mission des Rose+Croix que ce que Pier Carpi a condensé dans son livre a dû provoquer en haut lieu des réactions terrifiées car dans la semaine qui suivit la parution en français du livre, celui-ci disparut de chez tous les libraires et l’éditeur répondit que le titre était « épuisé ».

Dans son livre, La Maçonnerie Face au Monde Contemporain ((Alfonso Sierra Partida, La Masoneria Frente al Mundo Contemporaneo, Mexico, Editorial Masonico Menphis, 1972, Wraps.)), le professeur maçon mexicain Alfonso Sierra Partida, explique comment il essaya de publier dans divers journaux de la ville de Mexico une copie d’un supposé acte d’initiation en maçonnerie dans une loge de Paris qui aurait établi que les profanes Angelo Roncalli (le pape Jean XXIII) et Giovanni Montini (le pape Paul VI) auraient « été élevés le même jour aux augustes mystères de la maçonnerie », ce qui lui fut refusé.

Ces deux auteurs évoquent un lien entre leur supposée initiation en loge et la tenue du concile Vatican II dont des milieux catholiques traditionalistes affirment qu’elle est le début de la destruction de la base de l’Église ((Jean XXIII et Vatican II sous les feux de la Pentecôte Luciférienne [Lien])).

Piers Compton dans The Broken Cross signale une infiltration de l’Église par les francs-maçons et les Illuminati ((Piers Compton, The Broken Cross)).

Le Marquis de la Franquerie dénonça des infiltrations de la franc-maçonnerie dans l’Église catholique, en particulier du cardinal Mariano Rampolla del Tindaro ((Le Franc-maçon Cardinal Mariano Rampolla, Haut Initié Luciférien de l’O.T.O, Secrétaire d’État de Léon XIII sur le site Virgo-Maria, 9 octobre 2006 [Lien])). Il dénonça également le cardinal Pietro Gasparri en décriant sa politique qu’il jugeait proche des cercles maçonniques dans des articles de presse et à la hiérarchie catholique ((Marquis de la Franquerie, Lucifer et le pouvoir occulte, p.16, 1984. [Lien])).

Franco Bellegrandi, camérier du pape Paul VI, signala dans un livre l’existence d’une discussion entre cardinaux pendant la période du concile d’élection du successeur de Pie XII où fut présentée une publication circonstanciée qui accusait d’illégitime l’élection de Jean XXIII car voulue par la franc-maçonnerie et indiquait son appartenance maçonnique depuis l’époque de sa nonciature en Turquie ((Franco Bellegrandi, Nichitaroncalli. Controvita di un papa, Editions Eiles, Roma, 1994, p. 176)) ).

Certaines revues catholiques traditionalistes ((Franco Bellegrandi, Nichitaroncalli. Controvita di un papa, Editions Eiles, Roma, 1994, p. 176)), ((Sous la Bannière, nº 22, mars-avril 1989 pp. 23-24)) ont signalé et cité un article du Journal de Genève de 1966 aussi parue dans le « Quotidien du congrès national brésilien » en 1971 qui citent une prière de tendance maçonnique que le pape Jean XXIII aurait faite du temps de son pontificat ((“Seigneur et Grand Architecte, nous nous humilions a tes pieds et invoquons ton pardon pour nos erreurs passées au moment où nous sommes sur le point de reconnaître à nos frères maçons comme tes fidèles de prédilection. Nous nous sommes opposés à la libre pensée car nous n’avions pas compris que le premier devoir d’une religion, comme l’a affirmée le concile, de reconnaître même le droit de ne pas croire en Dieu. Nous avons persécutés tous ceux qui, dans ta propre Église, sans pour autant s’éloigner du chemin de la vérité, se sont inscrit dans les loges, ignorant toutes les injures et les menaces. Sans réfléchir, nous avions cru qu’un signe de croix était supérieur aux trois points qui forment une pyramide. Pour tout cela, nous te demandons pardon, Seigneur, et te demandons de nous faire comprendre qu’un compas sur un nouvel autel peut signifier autant que nos vieux crucifix. Amen”, Journal de Genève du 9 janvier 1966 et Quotidien du congrès national brésilien, du 4 mars 1971.)).

Notes et références