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Le Père Jean dénonce la destruction de la FSSPX
Le Père Jean dénonce la destruction de la FSSPX, orchestrée par un réseau de clercs subversifs et le G.R.E.C., et couverte par Mgr Fellay. Mgr Williamson est un agent de Benoît XVI, selon le Père Jean.
Publication virgo-maria.org du 30 avril 2009
Disciple du Père Eugène de Villeurbanne, et de Mgr Lefebvre, le Père Jean veut sauver la FSSPX de l’infiltration cléricale, à composante gnostique, qui mène « lentement mais sûrement » à la destruction de l’œuvre de Mgr Lefebvre. Le Père Jean publiait, le 11 février, avec une détermination très affirmée et en invoquant solennelement sa conscience, une lettre pour accuser un réseau de clercs subversifs (appartenant au cercle secret du G.R.E.C.) de vouloir diriger un processus de trahison de Mgr Lefebvre et de travailler dans l’ombre et patiemment à la destruction de la FSSPX, en la livrant aux mains de la Rome moderniste apostate. Dans sa lettre qu’il a souhaité rendre publique, car il n’exclut pas qu’en raison de son comportement et de ses révélations, ses jours ne soient en danger, le Père Jean accuse Mgr Fellay de couvrir ce réseau infiltré et ses funestes projets de son autorité. Il proclame aussi que Mgr Williamson fait partie du complot et est de mèche avec le Vatican, jouant un véritable double jeu. -1) La dénonciation par le Père Jean d’un réseau de clercs subversifs dans les postes de direction de la FSSPX -2) La dénonciation par le Père Jean du projet de destruction de la FSSPX par ce réseau de clercs subversifs, en la livrant au « super moderniste » Ratzinger-Benoît XVI. -3) La dénonciation par le Père Jean de l’abbé Celier comme un disciple du gnostique Jean Borella, chantre de l’ésotérisme chrétien. -4) La dénonciation par le Père Jean, de l’implication de Mgr Fellay qui couvre activement cette subversion de la FSSPX. -5) La dénonciation par le Père Jean de Mgr Williamson, comme étant un agent caché de Benoît XVI. -6) Le Père Jean a pesé ses paroles et solennise sa lettre, il dit agir en « conscience ». -7) Il ne s’agit aucunement d’un brûlot du Père Jean ou d’une lettre improvisée, mais de l’expression « d’une conviction forgée depuis 5 ans ». -8) Le Père Jean n’exclut pas que ses jours ne soient en danger, en raison de ses accusations et de sa forte opposition au ralliement à l’entité maçonnique romaine. -9) Le Père Jean n’attend plus que de Mgr Tissier, ou de Mgr de Galarreta, de poursuivre le combat de Mgr Lefebvre. L’abbé de Cacqueray tente un « forcing psychologique » auprès du Père Jean, pour essayer d’écraser sa résistance au processus de mort lente de la FSSPX. L’abbé Beauvais aurait même été recruté par ses supérieurs pour aller, en personne, et avant de s’embarquer pour la Terre Sainte, sur les pas de Notre Seigneur Jésus-Christ, exercer des pressions sur les parents du Père Jean, afin de les retourner contre le comportement courageux de leur fils, et de l’isoler encore davantage.
Lettre du Père Jean O.F.M.
Nous avons reçu cette lettre très intéressante du Père Jean, Capucin de Morgon, qui a été envoyée par l’intéressé à tous les supérieurs religieux des communautés amies de la FSSPX.
Elle mérite d’être diffusée !
Couvent St Antoine Aurenque
Castelnaud’Arbieu
32500 FLEURENCEAurenque, le 11 Février 2009
Notre Dame de LourdesDéclaration Annexe
Monseigneur,
Mon révérend Père,
Ma révérende Mère,En conscience, devant Dieu et devant les hommes, et pour le bien commun de la tradition catholique – et donc de l’Église –, il me paraît être de mon devoir d’ajouter à ma lettre d’excuse ce qui suit :
Après mon intervention véhémente du 5 Février, aux pressions qui m’ont été faites, que ce soit à Saint-Nicolas ou à Caussade, j’ai répondu que je m’excuserai sur la forme (la colère) mais non sur le fond (la plainte).
Je regrette donc vivement mon emportement, non seulement dans la mesure où il aurait pu scandaliser autrui (quoique j’ai reçu par la suite des félicitations par téléphone et par lettre), mais aussi du fait qu’il pourrait disqualifier ou faire oublier le sujet de ma plainte. De plus, une simple lettre d’excuses pouvant vous laisser croire que je regrette aussi ce que j’ ai dit, je me vois donc obligé à revenir sur la question de fond, et même l’expliciter.
Ma première rencontre avec son Excellence Monseigneur Lefebvre remonte à Juin 1973, à Écône, quand il invita mes parents (qui avaient légué un héritage au séminaire) à venir parler et manger avec lui. Trois ans après, j’étais à la messe de Lille. Mes parents ont sacrifiés toute leur fortune familiale à acheter des bâtiments pour la Tradition. Et en ce moment, ils usent leurs dernières forces à aménager une hôtellerie pour notre couvent, dans une maison qu’ils ont acheté en vendant la dernière dont ils étaient propriétaires. Je pense que mon vieux père mourra d’un arrêt cardiaque, le jour où il apprendra que tous ces bâtiments passeront sous le contrôle de l’Église conciliaire…
Jusqu’à dimanche dernier, en chaire, j’ai toujours défendu la FSSPX devant les fidèles, et répercuté ses communiqués. Je dois avouer une seule incartade – si c’en est une –, en annonçant le premier « bouquet spirituel » de chapelets en 2006. Après avoir lu les trois intentions dans l’ordre donné par la fraternité, en commençant donc par la libéralisation de la messe de saint Pie V, j’ai ajouté qu’à mon avis personnel, c’est le retour de la Royauté Sociale de Notre Seigneur Jésus-Christ qui méritait d’être mis en premier (Monseigneur Lefebvre disait que ce point est plus important que la messe. Cf. « L’Église infiltrée… » p.70).
Si je n’ai pas fait chanter le Te Deum après le Motu Proprio, c’est que mon supérieur m’a laissé libre sur ce point, et que je ne voulais pas acclamer un texte qui identifie dans un même rite la messe de toujours et une messe « bâtarde », comme l’a souvent appelée Monseigneur Lefebvre. J’ai cependant lu le communiqué de Monseigneur Fellay aux fidèles, que Suresnes ne m’avait pas envoyé, mais qu’un fidèle m’avait trouvé sur Internet. De même pour le deuxième bouquet, que j’ai annoncé, et dont j’ai fait photocopier le communiqué final de Monseigneur Fellay (24 Janv.) pour que les fidèles puissent le lire et l’emporter chez eux.
Pardon pour ces longueurs, mais qu’on ne dise pas que je suis contre la FSSPX, un sédévancantiste, etc.. La FSSPX, je la considère comme œuvre d’Église, et une seconde mère pour moi : c’est à elle que je suis redevable de la conservation intégrale de ma foi, de ma vie religieuse, et de mon sacerdoce. Je l’aime de tout mon cœur, et c’est pour cela que je rugis quand je la crois menacée.
Un des tous premiers prêtres de la FSSPX me racontait, un jour d’ordination à Écône, que son père lui avait enseigné les méthodes subversives, mais interdit de les employer. Seulement pour savoir dépister les attaques et les personnes subversives. Pendant son professorat à Écône, il sut ainsi découvrir certains séminaristes subversifs, et les signaler au chanoine Berthod, ainsi qu’à Monseigneur Lefebvre. Ce dernier ne voulut pas les renvoyer, car ils étaient bons élèves par ailleurs. Le chanoine Berthod avait jugé l’affaire assez grave, pour menacer de démissionner, si ces éléments subversifs n’étaient pas chassés. On sait ainsi non seulement comment Écône a perdu un de ses plus éminents professeurs, mais aussi a connu de graves crises de dissidence dans les années suivantes.
Sans prétendre être un spécialiste en ce domaine, et encore moins être engagé dans cette lutte antisubversive – car je me suis consacré totalement à Dieu et aux times – je pense cependant savoir de quoi je parle quand j’emploie le mot subversif, et connaître un minimum dans le traitement des informations, avant d’en tirer des conclusions.
Lorsque j’ai pris le micro, j’ai dit, à peu près dans les termes suivants, qu’avec plusieurs prêtres, nous étions très inquiets de l’évolution des rapports de la FSSPX avec le Vatican, qui semblait nous mener lentement (mais sûrement) vers un ralliement avec la Rome conciliaire et moderniste.
Parlant au nom d’autres prêtres, dont deux m’ont encouragés à prendre la parole, – ce qui me répugnait fort – en cette occasion, je n’ai pas même exprimé ma conviction personnelle, bien établie depuis maintenant cinq ans, que cette évolution n’est qu’un processus habilement programmé par certains prêtres subversifs qui ont réussi à occuper des postes stratégiques de la FSSPX (supériorat, séminaires, médias et finances) en vue de la mener au ralliement.
Jean Vaquié avait déjà établi une liste de ces séminaristes (d’alors) et prêtres subversifs, avant sa mort en 1992 ; et si certains sont aujourd’hui ralliés (comme l’abbé Leschenne), d’autres sont toujours en place dans des postes d’influence, et particulièrement en France. L’un d’eux porte même la bure. Dans l’organigramme de cette organisation subversive, il faut placer dans les cases supérieures, un ancien disciple du professeur Borella (Nancy), qui, sous le pseudonyme d’Abbé Michel Beaumont, enseigne à nos fidèles dans Fidéliter (N° 163, p.20-25) que d’après la doctrine classique des papes, le Règne Social de Notre Seigneur Jésus Christ n’est plus possible dans notre monde d’aujourd’hui.
Dès mon retour de Paris, la Providence a pris le soin de me confirmer – si besoin était – le progrès de ce processus de ralliement, dans un tract, apporté par un fidèle ayant internet, tract à signer pour manifester notre soutien à Benoît XVI. Aux annonces du dimanche, j’ ai cru devoir mettre en garde les fidèles contre cette campagne, leurs expliquant que nous devons soutenir le Pape Benoît XVI par nos prières, car il porte de très lourdes responsabilités, mais qu’il n’est pas question de lui apporter un soutien inconditionnel, alors qu’il vient de déclarer récemment (oss.nom.fr 23/30 Déc. 08, p.6) que l’Église se réjouit de l’autonomie [ « autonomia » dans le texte italien original] entre l’État et l’Église, comme d’un grand progrès de l’humanité. Et d’inviter nos fidèles à lire l’article de Monseigneur Tissier de Mallerais sur les graves erreurs enseignées (et rééditées telles quelles) par le professeur Ratzinger (Sel de la Terre N° 67, p.22-54).
Et enquêtant plus loin sur cette pétition, on en trouve la source sur le site du forum catholique (http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=463376), où tout le monde peut lire que cette pétition émane et est encouragée par le G.R.E.C., « Groupe de Réflexion Entre Catholiques », institué depuis 1997 (nous n’avons donc jamais été informés de l’existence de ce club depuis plus de dix ans !), réunissant des clercs et laïcs de toutes les tendances de la « tradition », surtout des ralliés, mais y compris la FSSPX, et travaillant à « permettre un jour une réconciliation dans les formes institutionnelles et juridiques ». Ce qui ne peut viser évidemment que la FSSPX, la seule qui y soit représentée, et non (encore) ralliée.
Cette entreprise, y lit-on aussi, est encouragée par le nonce apostolique, Monseigneur Baldelli, et Monseigneur Breton, évêque d’Aire et de Dax, y représente la conférence des évêques de France. J’ai appris d’ailleurs par un confrère de la FSSPX, que Monseigneur Breton lui avait dit avoir fait la connaissance de Monsieur l’abbé de Cacqueray à une réunion du G.R.E.C. … Je n’ai donc pas été surpris, quand on m’a dit, tout à l’heure, que le supérieur du district de France venait d’exhorter tous nos fidèles, à la Mutualité, à signer cette lettre de soutien à Benoît XVI.
A-t-on encore besoin d’autres preuves de la détermination des autorités de la FSSPX à se rallier à la Rome conciliaire ? Faut-il réécouter l’enregistrement de l’émission de Radio Courtoisie, du 17 Juillet 2007, où le père Lelong, membre actif du G.R.E.C., n’a pas craint d’assurer aux auditeurs que, pour lui, la direction actuelle de la FSSPX serait entièrement acquise au ralliement et qu’il s’agirait essentiellement pour elle, de parvenir à réduire ou à faire taire les récalcitrants dans la FSSPX ?
Je suis parfaitement conscient de la gravité de ces révélations et de leurs conséquences. Je les ai pesées et vérifiées autant que possible, avec les moyens que la providence s’est ingéniée à me donner ces derniers temps. En conscience, je ne puis rester plus longtemps silencieux, ni me contenter de la seule prière, ni attendre que la maison soit complètement en flammes pour crier au feu ! Je suis absolument sûr de faire mon devoir et donc la volonté de Dieu, en vous faisant part de cela. A vous d’en juger devant votre conscience. Et de penser au nombre d’âmes qui vous sont confiées par Notre Seigneur Jésus Christ et dont vous devrez lui rendre compte au jour du jugement, sous le rapport essentiel de la foi : « Que demandez-vous à l’Église ? » Réponse : La FOI.
Pour mon proche avenir, je m’en remets totalement à la divine Providence. Je m’attends à être jeté à la rue, traité de « sédévancantiste » (la marginalisation par diffamation étant une technique classique des subversifs). Au cas où il m’arriverait quelque malheur (car il faut tout prévoir) j’ai confié cette lettre et tout mes documents brûlants à des amis sûrs, capables de les transcrire et de les diffuser au besoin. Je sais que mes parents me soutiennent, et m’aideront à recommencer, ou plutôt continuer ma vie religieuse ailleurs. Cela me peine énormément de devenir « vagus », mais si c’est la volonté du Bon Dieu dans cette incroyable crise, Fiat !
Car je n’ai aucune confiance en Monseigneur Fellay, qui couvre toute cette opération de son autorité, et guère confiance en Monseigneur Williamson, qui a été observé pendant ses contacts secrets à Rome la semaine après Pâques 2008. Pour nos deux autres évêques, j’espère bien que le jour officiel du ralliement (qui ne devrait pas être si loin qu’on le prétend, car Benoît XVI se fait vieux … ), ou même avant, l’un d’eux au moins se lèvera et poursuivra le combat de Monseigneur Lefebvre.
Ce jour là, que nos frères de Morgon et d’Aurenque, qui refuseront cette capitulation dans le combat de la Foi, sachent que je reviendrai me mettre sous l’obéissance de leur supérieur ou du plus ancien. En attendant, restons tous bien unis dans la prière du Rosaire, et confiant dans le triomphe final du Cœur Immaculé de Marie.
Fr. Jean O.F.M.
Nous avons ici la preuve irréfutable que le pauvre Père Jean a bien été le seul à oser braver les pseudo-autorités de la FSSPX. En effet, 2 Prêtres l’ont poussé à prendre la parole, mais ceux-ci se sont bien vite dérobés lorsque le Père Jean prit le micro. Quelle lâcheté de la part de ces Prêtres ! …. Ils l’ont envoyé au feu et l’ont laissé brûler. Désormais, nous comprenons mieux la réaction qu’a eue l’un d’eux …. d’aller se justifier auprès de ses confrères « Non Una Cum » ! Quelle misère ! Nous réalisons la lâcheté, la médiocrité de ces Prêtres qui sont revêtus de la puissance Divine pour le salut des âmes.
Quel glaive pour le cœur de Jésus !
Le Père Raffalli s’octroie les Honneurs de la Résistance du Père Jean
Des informations complémentaires nous sont parvenues sur la Réunion du 5 Février à Saint Nicolas du Chardonnet.
LE PÈRE RAFFALLI S’OCTROIE LES HONNEURS DE LA RÉSISTANCE
DU PÈRE JEAN
En effet, il laisse entendre à qui le veut bien et surtout à ses confrères « Non una cum » qu’il est un prêtre courageux car IL A RÉSISTÉ FACE AUX AUTORITÉS DE LA FSSPX lors de la réunion des responsables de Congrégation le 5 Février à Paris !
La vérité est qu’il n’a même pas daigné lever le petit doigt pour venir en aide au Père Jean lorsque celui-ci s’était levé pour s’insurger. Il n’est jamais non plus sorti de la salle de réunion avec le Père Jean. À l’issue de cette réunion, il a quitté la salle avec ses autres confrères, tout hilare, et est parti déjeuner avec eux. À table il était assi aux côtés de l’Abbé de Caqueray !
ALORS ASSEZ !
ASSEZ DE MENSONGES ! quand va-t-il cesser de prendre les honneurs qui reviennent aux autres, alors qu’ IL N’A PAS SU PRENDRE SES RESPONSABILITÉS ! Ce prêtre n’est pas courageux devant l’adversaire : il a laissé le Père Jean, SEUL, devant les fossoyeurs de la FSSPX.
Alors, avant de vous rendre à une de ses messes, rappellez-vous ceci : Il se dit prêtre « non una cum » … Mais il est « UNA CUM » Alphonso de Galaretta qui lui, est « UNA CUM Papa nostro Benedetto« . Et comme le précise Athanase-Alexandre dans notre précédent article :
Le Père Raffalli est “non una cum” Ratzinger il est vrai, mais il est una cum Alfonso (de Galarreta) et cela ne suffit pas ! Le problème de “l’una cum” est devenu fondamental aujourd’hui et ses Sacrifices ne peuvent pas être agréables à Dieu ! En aucun cas, il ne faut assister à la messe – même dans le rite éternel – d’un conciliaire : en effet, en lien (en communion) avec des autorités hérétiques, il est lui-même hérétique ; en outre, s’il est ordonné dans le rite montinien (après 1970), il n’est pas prêtre ; s’il est ordonné dans le rite traditionnel, il peut l’être par un pseudo-évêque de rite montinien, donc son ordination est nulle. De même, on doit s’interdire toute messe d’un prêtre rallié-apostat, ainsi que d’un prêtre una cum Benoît XVI. Ce n’est pas encore suffisant, car le prêtre non una cum Benoît XVI, mais attaché à un évêque non déclaré non una cum n’est pas innocent, n’est pas sûr et tombe sous la condamnation d’impiété de la très Sainte Vierge Marie. Le choix est donc très, très limité pour recevoir les grâces de la sainte Messe.
Voir au sujet de l’una cum :
LE PROBLÈME DE L’UNA CUM,
PROBLÈME DE L’HEURE PRÉSENTE
Autre précision concernant cette réunion du 5 Février, le Père Avril de Salérans dont Athanase-Alexandre nous signalait dans notre précédent article :
Autre Supérieur des Communautés amies de la FSSPX qui fait s’avoir à l’occasion qu’il est “non una cum” : le Père Avril de Salérans ! cela ne l’empêche pas de “fricoter” avec Di Falco et de célébrer ses 60 ans de Sacerdoce chez les diocésains de Marseille ( les photos sont visible sur son site http://www.salerans.net/ ) et de faire ensuite la même chose à Saint Nicolas du Chardonnet !
s’est empressé d’aller « soutenir » Mgr Fellay à l’issue de la réunion pour lui déclarer : « nous sommes avec vous ! Monseigneur… »
Prions pour tous ces religieux qui trahissent, par lâcheté, par orgueil ou par intérêts !
Un capucin s’oppose au ralliement de Mgr Fellay
Nous vous avons déjà communiqué un compte rendu de la réunion du 5 février à Saint Nicolas du Chardonnet. Maintenant nous vous rapportons l’analyse de Résistance-Catholique.org à lire ci-dessous.
Suite à notre publication du 5 février dernier, des bruits ont courus que le Père Raffalli, de l’Œuvre de l’Étoile à Nîmes, aurait suivi le Père Jean au moment de sa sortie.
La nouvelle a été également reprise par notre confrère Catholique-Sédévacantiste.com mais une mise au point a été donné par Athanase-Alexandre :
Vous notez en bas de votre article : « Par ailleurs, selon plusieurs informations, le Père Raffaly, non membre de la FSSPX, présent à cette réunion serait lui aussi sorti. » Étant présent à Saint-Nicolas ce jour là, je peux vous affirmer que le Père Jean a été le SEUL à s’opposer à Mgr Fellay et que personne d’autre n’est sorti de la salle de catéchisme avant la fin de la réunion ! Le Père Raffalli, bien présent ce jour là est sorti « tout sourire » à la fin de la réunion en bavardant avec ses confrères ! et s’est ensuite empressé d’aller déjeuner avec tout le monde (seul le Père Jean a refusé malgré les pressions de son supérieur le Père Antoine et du Père Innocent-Marie d’Avrillé). Selon de bonnes sources, le Père Raffalli était attablé à coté de l’abbé de Cacqueray lors du repas. Le Père Raffalli est « non una cum » Ratzinger il est vrai, mais il est una cum Alfonso (de Galarreta) et cela ne suffit pas ! Le problème de « l’una cum » est devenu fondamental aujourd’hui et ses Sacrifices ne peuvent pas être agréables à Dieu ! En aucun cas, il ne faut assister à la messe – même dans le rite éternel – d’un conciliaire : en effet, en lien (en communion) avec des autorités hérétiques, il est lui-même hérétique ; en outre, s’il est ordonné dans le rite montinien (après 1970), il n’est pas prêtre ; s’il est ordonné dans le rite traditionnel, il peut l’être par un pseudo-évêque de rite montinien, donc son ordination est nulle. De même, on doit s’interdire toute messe d’un prêtre rallié-apostat, ainsi que d’un prêtre una cum Benoît XVI. Ce n’est pas encore suffisant, car le prêtre non una cum Benoît XVI, mais attaché à un évêque non déclaré non una cum n’est pas innocent, n’est pas sûr et tombe sous la condamnation d’impiété de la très Sainte Vierge Marie. Le choix est donc très, très limité pour recevoir les grâces de la sainte Messe. Autre Supérieur des Communautés amies de la FSSPX qui fait s’avoir à l’occasion qu’il est « non una cum » : le Père Avril de Salérans ! cela ne l’empêche pas de « fricoter » avec Di Falco et de célébrer ses 60 ans de Sacerdoce chez les diocésains de Marseille ( les photos sont visible sur son site http://www.salerans.net/ ) et de faire ensuite la même chose à Saint Nicolas du Chardonnet !
Nous reviendrons prochainement sur ce sujet.
Source : http://www.resistance-catholique.org/analyses/2009/analyses_2009-02.html
Un capucin s’oppose au ralliement de Mgr Fellay.
Nous vous communiquons aujourd’hui des informations d’une particulière importance et gravité.
Elles témoignent de la terrible bataille qui est en train de se jouer actuellement.
Néanmoins, avant de les publier et compte tenu de la confusion volontairement entretenue par l’Ennemi, nous tenions à vérifier au préalable tous les renseignements qui nous ont été transmis depuis plusieurs jours sur les faits que nous allons évoquer ici.
Lors de la réunion des supérieurs des communautés amies, qui eut lieu sur convocation de Mgr Fellay le 5 février dernier à Saint Nicolas du Chardonnet, le Père Jean, Supérieur du Noviciat des capucins de Morgon à Aurenque dans le Gers (32), brisa la loi du silence et le conformisme ambiant imposés depuis des années par les autorités de la FSSPX.
Le Père Jean se leva pour dire non à la trahison du combat de la foi et aux compromissions avec la Rome moderniste.
Embourbé dans ses manœuvres impies et ses mensonges, Mgr Fellay ne résista pas à l’ascèse et à la foi du capucin.
Le plan occulte du Supérieur général de la FSSPX avec la Rome apostate est ainsi aujourd’hui dévoilé !
Réunion des supérieurs des communautés amies de la FSSPX
Cet après-midi, Mgr Fellay a convoqué les supérieurs des communautés amies à Saint Nicolas du Chardonnet, pour une opération de préparation au ralliement.
La réunion s’est tenue dans la petite salle des cours de catéchisme.
Alors que Mgr Fellay exposait ses commentaires sur les derniers évènements suite à la levée des excommunications, ses relations et discussions avec Rome, les supérieurs des communautés amies écoutaient attentivement, attablés à des petits bureaux d’écolier.
Une fois le discours de Mgr Fellay terminé, et tout l’auditoire fasciné, le Père Jean, Supérieur du Noviciat des capucins de Morgon à Aurenque dans le Gers, prit la parole.
Sur un ton calme et déterminé, il demanda à Mgr Fellay si « oui ou non« , il voulait rallier l’église Conciliaire, la Rome moderniste ?
Mgr Fellay, essaya de finasser par une réponse évasive. Le Père Jean renouvela alors énergiquement sa question mais Mgr Fellay esquiva à nouveau l’obligeant une troisième fois à poser sa question.
« Que votre oui soit oui, que votre non soit non ! » lança alors le Père Jean courageux à Mgr Fellay.
Le Père Antoine, son supérieur hiérarchique, supérieur de Morgon, essaya vivement de le faire taire avant de lui donner l’ordre de sortir.
Le Père Jean sorti alors par devoir d’obéissance et alla directement à l’autel de la Très Sainte Vierge Marie dans une chapelle latérale de l’église où il resta longuement en prière.
Des fidèles présents à Saint Nicolas avec l’Abbé Dubroeucq pour un rassemblement des membres du Tiers-Ordre du Carmel de Quiévrain ont été témoins de la sortie du Père Jean.
À la fin de la réunion, le Père Innocent-Marie d’Avrillé et le Père Antoine ont rejoint le Père Jean en prière, pour le réprimander comme un petit enfant » qui avait mal parlé à l’Évêque ! «
Le Père Jean fut donc le seul religieux à s’opposer au processus de ralliement engagé par Mgr Fellay.
Alors que plusieurs participants étaient sûrement d’accord avec les propos du Père Jean ! Qu’ont-ils attendu, les supposés sédévacantistes et les non una cum, pour venir en aide au Père Jean ! Ils ont préféré se taire, le laisser seul face à ses détracteurs ! Quelle misère …
Quelle lâcheté !
À l’issue de cette réunion à huis-clos, l’abbé de Cacqueray exigea des supérieurs présents le secret le plus absolu sur ce qui venait de se passer et sur tout ce qui avait été dit.