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PENTECÔTE LUCIFÉRIENNE : Le Renouveau charismatique, une sorcellerie kabbalistique
Après les fausses mystiques que nous avons abordés dernièrement, nous terminons de traiter du Renouveau charismatiques et du Pentecôtisme dans l’église Conciliaire par deux derniers documents qui éclaireront le lecteur sur ces pratiques progressistes, modernistes, kabbalistiques et lucifériennes.
Le Renouveau Charismatique dont Montini-Paul VI disait :
« Ce Renouveau spirituel ne serait-il pas une chance pour l’Église et pour le monde ? »
L’éminent franc-maçon Carlos Vazquez Rangel (Grand Commandeur du Conseil suprême de la maçonnerie mexicaine, 33ème degré) déclarait dans une interview donnée à Proceso, un journal politique du Mexique, en 1992 que Jean XXIII et Paul VI furent initiés à la maçonnerie : « Le même jour, à Paris, le profane Angelo Roncalli (Jean XXIII) et le profane Giovanni Montini (Paul VI) ont été initiés aux augustes mystères de la Fraternité. »
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Nous vous proposons donc aujourd’hui deux textes de 1985. Un premier revu en une deuxième édition de 2003 : « Le Renouveau charismatique aujourd’hui » de l’Action Familiale et Scolaire qui avait publié en 1985 une brochure intitulée « Connaissance élémentaire du Renouveau charismatique » et qui a été complètement refondue et mise à jour, sous le titre Le Renouveau charismatique aujourd’hui. C’est ce document d’Arnaud de Lassus que nous nous proposons de présenter, en donnant le résumé d’une partie de son contenu. Ce document est donné pour la valeur informative qu’elle représente, traitant surtout de la Communauté charismatique de l’Emmanuel.
Le second, des demoiselles Lebaindre et Grandjean qui signent ici Georges Lacordelle est extrait de leur brochure : « Jean XXIII et Vatican II, Sous les feux de la Pentecôte luciférienne » (texte qui, malheureusement, n’a circulé que dans un milieu restreint) et traite du phénomène (!!!) « Medjugorje et le Renouveau Charismatique »…
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LES NOUVEAUX DÉRAPAGES DE FRANÇOIS Ø !
Les Nouveaux Dérapages de François !
Voici l’hérésie : François dit que Jésus est consubstantiel à sa Mère.
“Una vez escuché que alguien decía: ‘¡Este pasaje del Evangelio parece la guía telefónica!’ No, es otra cosa: este pasaje del Evangelio es pura historia y tiene un argumento importante. Es pura historia, porque Dios, como decía San León Papa, Dios ha enviado a su Hijo. Y Jesús es consustancial al Padre, Dios, pero también consustancial a la Madre, una mujer. Y ésta es aquella consustancialidad de la Madre. Dios se ha hecho historia. Dios ha querido hacerse historia. Está con nosotros. Ha hecho el camino con nosotros”.
Les modernistes francs-maçons ont fait exprès dans un premier temps de changer le mot “consubstantiel” (consubstantialem Patri) par l’expression “de même nature” (de même nature que le Père), en faisant croire qu’il s’agissait de la même chose. C’est faux. En effet, on peut dire que Paul, qui est un être humain, a la même nature que Jacques, qui est aussi un être humain. Mais on ne peut pas dire que Paul et Jacques sont consubstantiels, ce qui signifierait qu’ils ont une unique substance pour deux personnes.
Nous arrivons à présent dans le second temps du processus moderniste et maçonnique : on revient au mot consubstantiel, mais cette fois-ci pour affirmer une hérésie pure : Jésus, qui est Dieu, deviendrait consubstantiel à Marie, qui est une créature purement humaine. Affirmer cela revient à enlever à Dieu sa divinité. On peut donc dire de Jésus qu’outre la nature divine, il possède la nature humaine que sa Mère a contribué à former en lui, mais on ne peut pas dire qu’il est consubstantiel à sa Mère, ce qui signifierait que Jésus et Marie sont deux personnes dans une unique substance. En fait, le seul cas possible de consubstantialité (mot qui implique nécessairement une unique substance pour des personnes distinctes) se trouve en Dieu (mystère de la sainte Trinité). La substance de Jésus est séparée de celle de Marie. Ils ne forment pas une seule substance à tous les deux. Jésus ne lui est pas consubstantiel.
Pour le pape de la secte conciliaire, non seulement « Dieu est consubstantiel à [l’homme] » mais plus encore : « lorsque Dieu veut dire qui Il est, Il dit “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob” ». Ainsi, « le nom de Dieu », c’est « nous, c’est chacun de nous ».
« Dieu prend le prénom [de chacun] pour en faire son nom : “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, de Pedro, de Marietta, d’Harmony, de Marisa, de Simon, de tous !”. Le nom de Dieu, c’est chacun ».
Dieu « a laissé l’homme écrire Son histoire » aussi le croyant est appelé à « Le laisser écrire son histoire. C’est cela la sainteté (…). »
La phrase « le nom de Dieu c’est chacun » signifie en clair que Dieu n’est plus Dieu. C’est très grave. On reconnaît ici la volonté maçonnique de mettre l’homme à la place de Dieu et Dieu à l’égal de l’homme. Le nom, c’est ce qui exprime l’identité d’une personne. En Dieu, le nom exprime l’essence même de Dieu. C’est pour cela qu’il est indicible. Donc strictement parlant, dire : « le nom de Dieu », c’est « nous, c’est chacun de nous » est un pur blasphème. On voit même ici une affirmation qui met Dieu sous l’homme : Dieu « a laissé l’homme écrire Son histoire », dit François. Dieu n’a évidemment pas laissé l’homme écrire son histoire. Sinon cela implique que Dieu s’est soumis à l’homme.
Pape matériel ?
Pape matériel ?
L’Hérétique de l’Année
Tout le personnel de la maison était en effet présent, avec le directeur, lors de la messe qu’il a célébrée en la chapelle de Sainte-Marthe, ce matin.
Quatre personnes sans abri vivant dans le quartier proche du Vatican étaient également venues avec Mgr Konrad Krajewski, l’aumônier du pape. À la fin de la messe, comme d’habitude, le pape a salué chacun personnellement.
Le cardinal Angelo Sodano, doyen du Collège cardinalice, était présent, ainsi que le secrétaire d’État, Mgr Pietro Parolin, qui a exprimé ses vœux au nom des membres de la Secrétairerie d’État.
Le pape François a commenté l’Évangile du jour, généalogie de Jésus (Mt 1,1-17) : « Une fois j’ai entendu quelqu’un dire : “Mais, ce passage de l’Évangile, on dirait l’annuaire téléphonique !”. Non, c’est bien autre chose : ce passage de l’Évangile est une histoire vraie et il traite d’un sujet important. »
Dieu fait l’histoire avec des pécheurs
Cette « histoire vraie » exprime que « Jésus est consubstantiel au Père, à Dieu, Mais il est aussi Consubstantiel à sa Mère, à une Femme ». Et Dans la « Consubstantialité avec sa Mère, Dieu s’est fait Histoire. Dieu a voulu se faire Histoire ».
Dieu « a eu l’idée de marcher avec l’homme », en appelant Abraham, « le premier cité dans cette liste », qui « a commencé ce chemin qui se poursuit dans l’histoire ».
L’histoire de Dieu « marchant avec son peuple » englobe « la sainteté et le péché : dans cette liste, il y a des saints mais aussi des pécheurs » et certains même « de haut niveau », qui « ont fait de gros péchés ».
« Dieu a fait l’histoire avec des pécheurs, qui n’ont pas répondu à ce que Dieu attendait d’eux. Pensons à Salomon, si grand, si intelligent et qui a fini sans savoir comment il s’appelait ! Mais Dieu était avec lui. »
Dieu porte le prénom de l’homme
Pour le pape, non seulement « Dieu est consubstantiel à [l’homme] » mais plus encore : « lorsque Dieu veut dire qui Il est, Il dit “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob” ». Ainsi, « Le Nom de Dieu », c’est « Nous, c’est Chacun de Nous ».
« Dieu prend le prénom de chacun pour en faire son nom : “Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, de Pedro, de Marietta, d’Harmony, de Marisa, de Simon, de tous !”. Le Nom de Dieu, C’est Chacun ».
Dieu « a laissé l’homme écrire Son histoire » aussi le croyant est appelé à « Le laisser écrire son histoire. C’est cela la sainteté : laisser le Seigneur écrire notre histoire » a conclu le pape en exprimant un « vœu de Noël » : « Que le Seigneur écrive ton histoire et que toi, tu le laisses écrire la tienne. »
Par sa date de naissance, on peut penser qu’il y a une affinité particulière entre le pape et Noël : c’est en effet le 17 décembre que commence la grande neuvaine de préparation à Noël.
Rome, 17 décembre 2013 Messe à Sainte-Marthe, Zenit
Le Subjectivisme Absolu et le Mensonge de Perdition
Eugenio Scalieri.
Votre Sainteté, vous-même l’aviez écrit dans une lettre que vous m’avez adressée.
La conscience est autonome, disiez-vous, et chacun doit obéir à sa conscience.
À mon avis, c’est l’une des paroles les plus courageuses qu’un Pape ait prononcée.
« Pape » François
« Et je suis prêt à la répéter. Chacun a sa Propre Conception du Bien et du Mal et Chacun Doit Choisir et Suivre le Bien et Combattre le Mal Selon l’Idée qu’il s’en Fait. Il suffirait de cela pour vivre dans un monde meilleur. »
« Et moi, je crois en Dieu. Pas dans un Dieu catholique [le même que les musulmans], Car il n’Existe pas de Dieu Catholique, il existe un Dieu. Et je crois en Jésus Christ, son incarnation. Jésus est mon maître et mon pasteur, mais Dieu, le Père, Abbà, est la lumière et le Créateur. Tel est mon Être. Dites-moi, sommes-nous si éloignés l’un de l’autre ? »
Nul ne peut juger le pape, mais celui dont le Dieu n’est pas catholique, qui est d’ailleurs le même que celui des musulmans, et qui choisit sa propre conception du bien et du mal est déjà jugé.
INTERROGATION SUR LE PENTECÔTISME
Après les fausses mystiques, et le Renouveau charismatiques avatar du Pentecôtisme (protestant) dans l’église Conciliaire, continuons d’explorer ce Pentecôtisme avec un texte du R.P. Philibert de Saint-Didier, O.F.M. Capucin, « Interrogation sur le Pentecôtisme » de 1975.
Confrère du R.P. Eugène de Villeurbanne, et écrivant à la même époque, le Père Philibert partage le même “handicap” que le Père Eugène que nous vous signalions il y a quelques jours, à savoir :
Les Pères Eugène et Philibert écrivent en 1975, dans le tout début de cette église Conciliaire… qui n’est plus (pas) l’Église catholique !
Il est évident que lorsqu’ils parlent de “l’Église catholique”, il ne s’agit plus de la sainte Église catholique de NSJC mais de la secte conciliaire voulue et issue de Vatican d’Eux…
De même, lorsqu’ils font référence à “Vatican II”, ils pensaient sincèrement (on le suppose !) à un concile œcuménique de l’Église qui certes nouveau, n’avait pas encore révélé son “vrai visage” et tous ses vices…
Ceci-ci dit, toute les démonstrations des Pères Eugène et Philibert sur le “Pentecôtisme” ou les « Renouveaux charismatiques » et « Renouveaux spirituels » sont faites en fonction des règles de l’Église Catholique.
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Recueil de textes extraits de “La Pensée catholique”, janvier-juin 1975
Documents sur le Pentecôtisme
Interrogation sur le Pentecôtisme
P. Phillibert de Saint-Didier, ofm cap.
Avant-propos
Rédigée pour la « Pensée Catholique », l’étude reproduite ici a paru intéressante à une partie plus large du public. C’est pourquoi nous avons cru devoir en faire un « tiré à part », sous forme de brochure. C’est la présente publication. Au moment où le pentecôtisme vient encore ajouter à la confusion des esprits et risque, après les attaques contre le Saint Sacrifice de la Messe, contre tous les Sacrements, de saper les fondements même de l’Église par une nouvelle offensive d’illuminisme et de libre examen, puisse-t-elle être utile pour affermir les survivants catholiques dans leur indispensable orthodoxie.
C’est là notre seul désir.
Fr Philibert de St Didier.
UN FAUX « RENOUVEAU » : LE PENTECÔTISME DIT « CATHOLIQUE »
Après les fausses mystiques, continuons de voir ce Renouveau charismatiques avatar du Pentecôtisme (protestant) dans l’église Conciliaire par le texte du Père Eugène sur le faux Renouveau :
Documents sur le Pentecôtisme
Illuminisme « 67 »
Un Faux « Renouveau » : Le Pentecôtisme Dit « Catholique »
P. Eugène de Villeurbanne
Cunctas haereses sola intereinisti in universe mundo ô Maria !
« Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous déguisés en brebis, mais au dedans sont des loups rapaces.
« C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez ».
Matth. 7, 16.
Avant-propos
À l’automne après avoir cueilli les produits de son jardin le jardinier le laisse à l’abandon, les mauvaises herbes ont champ libre et foisonnent. Pour l’Église, jardin de Dieu ce devrait toujours être le temps de la fertilité et de la production. Hélas ! Quand le soleil de la charité ne luit plus, que les pluies de la prière et du sacrifice ne fertilisent plus le sol, les jardiniers négligents s’endorment au lieu de semer le bon grain et les ennemis du Père de famille sèment l’ivraie.
C’est ainsi qu’après l’attaque sur la Foi, la Morale, le Saint Sacrifice, les Sacrements et le Sacerdoce, Satan tente par ses mercenaires d’aligner l’Épouse légitime, l’Église du Christ sur les prostituées de la Foi. Il l’anesthésie d’abord par le narcotique d’une charité œcuménique sentimentale délirante, la fascination d’un faux mysticisme. Parmi les fidèles privés des lumières de la vérité une multitude de doctrinaires sans mandat, répétiteurs de théologiens de triste renom, et applaudis par les chefs d’Orchestre de la subversion religieuse et sociale s’appliquent à saccager la santé mentale et religieuse des Chrétiens.
Alors « partout éclosent des sectes, des églises soulevées de délire prophétique, secouées de frénésie charismatique ». Séduits par le clinquant d’une sainteté à bon marché, par l’attrait de la mode, tremblants de ne pas être dans le vent, moines et religieuses se précipitent dans la ronde des Pentecôtismes et des Renouveaux et chantent sur le bord des précipices diaboliques, cherchent à y entraîner les fidèles. La douleur et la consternation s’emparent des catholiques, restés lucides, devant l’effondrement de nouveaux pans de l’Église, la chute des âmes, de proches parents. Celle des directeurs spirituels est indicible devant l’ampleur du carnage spirituel, devant de trop longs et injustifiables silences.
Stimulé par des prêtres amis j’ai fait appel à des intelligences puissantes et des plumes alertes. L’on n’a pas cru au danger. Que fallait-il faire ? Comme la loi civile Dieu ne me pénaliserait-t-il pas pour n’avoir pas porté secours à tant de frères et de sœurs en danger ? je le crois et le crains sincèrement. J’ai donc pris la plume d’une main malhabile. Telle est l’origine de cette brochure. Elle ne présente que la première partie d’une réfutation d’ensemble. Elle pourrait être suivie d’une deuxième si l’accueil fait à celle-ci manifestait son utilité et le désir du public chrétien.
Dieu veuille que son insuffisance suscite le zèle et mon humble prière le succès d’un pieux défenseur de la Foi et des âmes.
Lausanne en la fête de Pâques 1974.
Fr. Eugène de Villeurbanne, Capucin.
Le PENTECÔTISME soi-disant « Catholique » et les « RENOUVEAUX » charismatiques
Après les fausses mystiques que nous avons abordés dernièrement, nous vous proposons de traiter du Renouveau charismatiques et du Pentecôtisme dans l’église Conciliaire par une série de documents qui éclaireront le lecteur sur ces pratiques progressistes et modernistes.
Le Renouveau Charismatique dont Montini-Paul VI disait :
« Ce Renouveau spirituel ne serait-il pas une chance pour l’Église et pour le monde ? »
Nous allons donc commencer par le R. P. Eugène (de Villeurbanne) et son ouvrage « Illuminisme “67ˮ un faux renouveau : le Pentecôtisme dit “catholique” » duquel nous tirons quelques Réflexions et Conclusions de l’auteur…
Le Père Eugène écrit en 1975, dans le tout début de cette église Conciliaire… qui n’est plus (pas) l’Église catholique !
Il est évident que lorsqu’il parle de “l’Église catholique hiérarchique”, il ne s’agit plus de la sainte Église catholique de NSJC mais de la secte conciliaire voulue et issue de Vatican d’Eux…
De même, lorsqu’il fait référence à “Vatican II”, il pensait sincèrement (on le suppose !) à un concile œcuménique de l’Église qui certes nouveau, n’avait pas encore révélé son “vrai visage” et tous ses vices…
Ceci-ci dit, toute la démonstration du Père Eugène sur le “Pentecôtisme soi-disant « catholique » qui s’est ramifié en « Renouveaux charismatiques » et « Renouveaux spirituels »” est faite, dans son esprit, en fonction des règles de l’Église Catholique.
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Documents sur le Pentecôtisme
Illuminisme “67”, Le Pentecôtisme soi-disant « Catholique » et les “Renouveaux”
Fr. Eugène de Villeurbanne, Capucin