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Archive for the ‘Tradition’ Category

LE CHIEN DE MON VOISIN

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Abbé Juan-Carlos Cériani nous donne une traduction de la Nouvelle de l’abbé Castellani « Le chien de mon voisin » et une adaptation qu’il en a faite à Mgr Fellay.

LE CHIEN DE MON VOISIN

Mon voisin avait un chien qui, de temps en temps, rentrait dans notre maison pour y voler de la viande.

Nous, les garçons, nous passions souvent chez ce voisin pour lui voler ses figues.

Et il arriva un jour que le chien nous aperçut dans la propriété de son maître, alors qu’il se trouvait lui-même maraudant dans notre cuisine.

Que fit-il ? Aboya-t-il là où il se trouvait ? Jamais de la vie ! Il abandonna aussitôt son larcin, repassa silencieusement par le trou de la clôture, fit prudemment un détour par l’arrière de la maison afin que nous ne le voyions pas, et rentra furtivement dans sa niche… d’où il ressortit presque aussitôt en aboyant avec le plus grand sérieux, comme si, de toute sa vie, il n’avait jamais brisé une assiette.

Mais dans sa voix on sentait son embarras, sa honte et son manque de conviction : il n’avait pas la conscience tranquille.

Il aboyait, le pauvre, parce c’était son devoir d’aboyer, mais tout en prenant le ferme propos de ne plus voler même un os, quand bien même il devrait connaître toutes les famines du monde, comme par le passé.

Que tous ceux qui ont pour métier de prêcher la vertu au prochain aient au moins l’honnêteté du chien de mon voisin.

APPLICATION

Il y avait un évêque de la Tradition et pour la Tradition qui s’était rendu dans la Rome antichrist, moderniste et libérale, alors qu’il n’aurait pas dû y aller.

Benoît XVI, de temps à autre et fort machiavéliquement, lançait bien des œillades du côté de la Tradition, mais il continuait tranquillement à avancer sur le chemin de la nouveauté dans la continuité.

Et il arriva que, tandis que l’évêque de la Tradition et pour la Tradition déclarait que « nous voulons que la Rome présidée par Benoît XVI nous reconnaisse comme de vrais évêques » et que « peut-être nous sommes beaucoup plus proches du pape que ce qu’il semble », il réalisa tout à coup que Benoît XVI était en train d’annoncer Assise III et la béatification de Jean-Paul II.

Que fit-il ?

Délaissant pour l’heure ses illusions romaines, il fit prudemment, par l’arrière de Rome, un détour diplomatique et politique, sachant que Rome comprend très bien la politique… il rentra furtivement à Saint Nicolas de Chardonnet… d’où il ressortit presque aussitôt en aboyant avec le plus grand sérieux, comme si, de toute sa vie, il n’avait jamais brisé une assiette … bien qu’avec le Te Deum pour le Motu Proprio et le Magnificat pour le Décret de la levée de l’excommunication il ait déjà brisé toute la vaisselle de la Tradition…

Il a aboyé, certes… Mais dans sa voix on sentait son embarras, sa honte et son manque de conviction : il n’avait pas la conscience tranquille.

Il a aboyé, le pauvre, parce que c’est son devoir…

Espérons qu’il ait pris le très ferme propos de ne plus continuer le dialogue avec la Rome antichrist, moderniste et libérale, quand bien même il devrait connaître toutes les famines du monde, comme par le passé.

Abbé Juan-Carlos Cériani ; traduction de la Nouvelle de l’abbé Castellani « Le chien de mon voisin » et une adaptation qu’il en a faite à Mgr Fellay.

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Nous remercions chaleureusement l’abbé Cériani pour ce texte et le correspondant qui nous l’a fourni.

Written by Cave Ne Cadas

janvier 26th, 2011 at 5:32 pm

SANTA MARIA DE GUADALUPE

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DÉCOUVERTES SUR LE TILMA

DE LA VIERGE DE GUADALUPE,

IMPÉRATRICE DES AMÉRIQUES

par André Fernando García

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Êtes-vous prêt à lire quelque chose qui, non seulement vous surprendra, mais va modifier à jamais votre manière de penser ?

Alors, lisez ce que la science a découvert sur le Tilma[1] de la Vierge de Guadalupe :

La Vierge Marie de Guadalupe

Le présent exposé a pour unique objet de vous prouver que la Vierge sera toujours avec vous, chaque fois que vous aurez besoin d’elle, qu’elle ne vous abandonnera jamais et que vous serez toujours son fils ou sa fille particulièrement aimé(e).

N’oubliez jamais les paroles qu’elle a adressées à Juan Diego :

« Mon cher petit enfant, écoute-moi… Ne crains rien.
Ne suis-je pas ici, moi ta mère ?
N’es-tu pas sous ma protection ?…
Ne te trouves-tu pas enveloppé dans mon manteau, blotti dans mes bras ? »

La Vierge Marie de Gadalupe

SANTA MARIA DE GUADALUPE

Télécharger la présentation en PowerPoint (pps)

Télécharger la présentation en PDF


[1] Vêtement de pauvre qualité tissé en fibres de cactus.

Written by Cave Ne Cadas

janvier 14th, 2011 at 11:09 pm

Bonne et Sainte Année 2011

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Bonne et Sainte Année 2011, et le Paradis à la fin de vos jours !

Veni, Creator Spiritus : [dewplayer:http://catholicapedia.info/wp-content/uploads/2011/01/Veni-Creator-Spiritus.mp3]

Venez, Esprit Saint, remplissez le cœur de vos Fidèles en cette année nouvelle
et allumez en eux le feux de votre Amour !

Veni, Creátor Spíritus,
Mentes tuórum vísita,
Imple supérna grátia,
Quæ tu creásti péctora.

Qui díceris Paráclitus,
Altíssimi donum Dei,
Fons vivus, ignis, cáritas,
Et spiritális únctio.

Tu septifórmis múnere,
Dígitus patérnæ déxteræ,
Tu rite promíssum Patris,
Sermóne ditans gúttura.

Accénde lumen sénsibus:
Infúnde amórem córdibus:
Infírma nostri córporis
Virtúte firmans pérpeti.

Hostem repéllas lóngius,
Pacémque dones prótinus:
Ductóre sic te prǽvio
Vitémus omne nóxium.

Per te sciámus da Patrem,
Noscámus atque Filium,
Teque utriúsque Spíritum
Credámus omni témpore.

Deo Patri sit glória,
Et Fílio qui a mórtuis
Surréxit, ac Paráclito,
In sæculórum sǽcula.

Amen.

Written by Cave Ne Cadas

janvier 1st, 2011 at 12:00 pm

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Te Deum laudamus !

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Te Deum d’Action de grâce pour l’année 2010


Hymne d’action de grâces. Schola Cantorum du Collège pontifical de procédure des Bénédictins de Saint-Anselme à Rome. R.P. Wolf Notker, OSB.

Written by Cave Ne Cadas

décembre 31st, 2010 at 9:00 pm

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Bernard, Qu’as-tu fais de ton épiscopat ?

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Bernard, Bernard, Richard, Alfonso,  » Qu’as-tu fait de ton talent ? « 

Mgr Marcel Lefebvre

Je me souviens d’une parabole où il était demandé « qu’as-tu fait de ton talent ? ».

Monseigneur Lefebvre, le 29 juin 1987, lors des Ordinations Sacerdotales à Écône, faisait la déclaration émouvante qu’il voulait continuer L’Église Catholique et faire perdurer la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X par la consécration épiscopale de ses successeurs.

Il faut bien le dire, je ne puis pas me taire et je ne puis pas le cacher, cette année a été une année grave, très grave pour l’Église catholique, pour nous catholiques, pour les prêtres catholiques.

(…) si nous voulons rester catholique et continuer l’Église, nous avons des devoirs imprescriptibles ; nous avons des devoirs graves qui nous obligent d’abord à multiplier les prêtres, multiplier les prêtres qui croient en Notre Seigneur Jésus-Christ, en sa royauté, en sa royauté sociale, selon la doctrine de l’Église.

C’est pourquoi nous sommes heureux aujourd’hui, de faire cette ordination sacerdotale et que nous pensons sincèrement qu’il n’est pas possible d’abandonner cette œuvre que le Bon Dieu a mise entre nos mains. Car ce n’est pas moi qui l’ai fondée en vérité ; c’est Notre Seigneur par des circonstances incroyables.

Et maintenant, après quinze ans d’existence, notre Fraternité a pris des dimensions mondiales. Et puis bien d’autres initiatives – grâce à Dieu – se sont levées aussi avec nous, autour de nous.

Tous ces religieux, ces religieuses qui sont ici, qui se sont levés aussi pour proclamer la royauté de Notre Seigneur Jésus-Christ, pour ne pas abandonner Notre Seigneur. Allons-nous L’abandonner ? Allons-nous Le laisser une deuxième fois crucifier ? Allons-nous laisser l’Église dans l’état de sa Passion qu’elle subit maintenant, sans que nous venions à son secours ? Et que deviennent les âmes, si plus personne ne proclame la divinité de Notre Seigneur Jésus-Christ ? Et que deviendront les âmes, si nous ne leur donnons plus la véritable grâce dont elles ont besoin ? Alors tout cela est d’une nécessité évidente.

Et par conséquent, il faut que nous soyons convaincus. Et  c’est pourquoi il est vraisemblable que je me donnerai des successeurs pour pouvoir continuer cette œuvre. Parce que Rome est dans les ténèbres. Rome ne peut plus actuellement écouter la voix de la Vérité. Rome n’écoute plus la voix de la Vérité. Alors comment faire ? Quel écho à nos appels ? Voilà vingt ans que je vais à Rome ; que j’écris ; que je parle ; que je leur envoie des documents pour leur dire : Suivez la Tradition ; revenez à la Tradition, sinon l’Église va à sa perte. Vous devez, vous, qui êtes placés à la succession de ceux qui ont construit l’Église, vous devez continuer à la construire et non pas à la détruire. Ils sont sourds, sourds à nos appels !

C’est pourquoi, si Dieu nous le demande, eh bien, nous n’hésiterons pas à nous donner des auxiliaires pour continuer cette œuvre, car nous ne pouvons pas penser que Dieu veut que cette œuvre soit détruite ; que cette œuvre soit terminée ; qu’elle ne continue plus et que les âmes soient abandonnées et que l’Église – par le fait même – n’ait plus de pasteurs.

Que voulez-vous, la situation est telle, l’œuvre que le Bon Dieu a mise entre nos mains est telle, que devant cette obscurité de Rome, devant cette ténacité dans l’erreur des autorités romaines, devant ce refus de revenir à la Vérité et à la Tradition, de ceux qui occupent les sièges à Rome, eh bien, il nous semble que le Bon Dieu demande que l’Église continue.

Et c’est pourquoi il est vraisemblable que je devrai, avant de rendre compte de ma vie au Bon Dieu, faire des ordinations épiscopales.

Et aujourd’hui, qu’ont-ils fait de leur épiscopat ?

Mgr Bernard Fellay

Bernard (Fellay) détruit tout par ses « négociations » avec le Serpent… l’autre Bernard (Tissier) se tait et se mure dans le silence d’un soit-disant devoir d’obéissance… Richard fait semblant de s’opposer pour mieux capter le 10è d’opposition selon la doctrine des « 2 anneaux » du sataniste Chanoine Roca… et Alfonso participe à la Démolition par la présidence de ces « négociations » !…

On ne dîne pas avec le Diable même avec une longue cuillère en bois…

Pendant ce temps-là les catholiques « Fidèles » à l’Église Catholique doivent faire des centaines de kilomètres pour rejoindre l’un des 25 centres de messe NON Una Cum de France et de Belgique !

Télécharger le Sermon de Mgr Lefebvre du 29 juin 1987.

Une partie importante des ce sermon  a été publiée dans FIDELITER n° 58 – juillet-août 1987

Written by Cave Ne Cadas

décembre 16th, 2010 at 8:08 pm

Le Grain d’Encens : Les Sédévacantistes et les Messes Una Cum

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Nous sommes heureux de publier la traduction inédite du texte de l’abbé Anthony Cekada :

Abbé Anthony Cekada

Le Grain d’Encens :

Les Sédévacantistes et les Messes Una Cum

Pouvons-nous assister à une Messe traditionnelle offerte “ en communion avec Votre serviteur Benoît, notre Pape ” ?

L’abbé Anthony Cekada a produit ce texte capital en novembre 2007 mais celui-ci n’avait encore jamais fait l’objet d’une traduction en français. L’abbé Cekada a par la suite fait un bref résumé de ce document (en novembre 2008)  » Puis-je Assister à une Messe où Benoît XVI est Nommé au Canon ?  » qui lui a déjà été traduit.

Dans ce document « Le Grain d’Encens« , l’abbé Cekada analyse minutieusement ce problème de l’assistance aux Messes una cum par des sédévacantistes.

DANS NOS VIES de catholiques traditionalistes, nous portons de nombreux jugements qui doivent inévitablement produire des conséquences logiques dans notre pratique religieuse effective. Le premier que je me rappelle avoir porté fut à l’âge de 14 ans environ. Les chants à la guitare à la Messe étaient irrévérencieux, avais-je conclu. Par la suite, durant huit ans de séminaire diocésain, je n’ai jamais ouvert la bouche pour en chanter un.

Pour certaines questions, la ligne de conduite pratique suivant un jugement s’explique d’elle-même : si le rite de Paul VI pour l’ordination des prêtres et des évêques est invalide, nous devons éviter les Messes dites par ces prêtres et ces évêques.

Pour d’autres questions, notre façon d’agir n’est pas si évidente – ou elle peut être dictée par l’instinct, parce que nous ne pouvons pas nécessairement expliquer tous les principes sous-jacents.

Pour certains sédévacantistes, un sujet en particulier tombe dans la seconde catégorie : une Messe traditionnelle en latin offerte par un prêtre validement ordonné qui prononce une phrase au Canon se référant à Benoît, notre Pape. Cette pratique est suivie par tous les prêtres qui offrent les Messes selon le Motu Proprio récemment promulgué, ainsi que des prêtres de la Fraternité Saint Pie X (FSSPX), ses organismes affiliés et la majorité des prêtres traditionalistes “ indépendants ”.

Ces Messes sont quelquefois appelées “ Messes una cum ”, d’après la phrase du Canon dans laquelle le nom du pape régnant est inséré : una cum famulo tuo Papa nostro N. (en communion avec Votre serviteur N., notre Pape).

Maintenant, puisqu’un sédévacantiste est un traditionaliste qui a conclu que Benoît XVI est un hérétique et non un vrai pape, sa première pensée est de rechercher une Messe traditionnelle offerte par un prêtre sédévacantiste, et d’éviter les Messes traditionnelles dans lesquelles le prêtre fait référence à Benoît XVI en tant que pape. Agir autrement semble contradictoire ou d’une façon ou d’une autre est “ ressenti ” comme incorrect par le sédévacantiste, même s’il n’est pas capable d’articuler quelques raisons ou arguments théologiques pour ce qu’il fait.

Il a lu ou entendu l’histoire des innombrables martyrs qui choisirent des morts horribles plutôt que d’offrir un seul grain d’encens en hommage à la fausse religion œcuménique de l’empereur romain. À plus forte raison il faut absolument éviter les Messes de prêtres qui, avec le una cum, offrent un grain d’encens à l’hérésiarque Ratzinger et sa fausse religion œcuménique…

Dans beaucoup de parties du monde cependant, la seule Messe traditionnelle disponible risque d’être celle offerte par un prêtre (Motu Proprio, FSSPX ou indépendant) qui met le nom du faux pape dans le Canon. Confronté à choisir entre cela ou rien, un sédévacantiste peut quelquefois être tenté d’assister quand même à la Messe.

La tentation sera dorénavant d’autant plus grande depuis que Ratzinger a autorisé la Messe Motu Proprio. Dans certains diocèses des prêtres âgés qui furent validement ordonnés ont repris du service pour offrir une Messe selon le Missel de 62. De plus, un nombre substantiel de prêtres validement ordonnés dans la FSSPX est passé à des organisations telles que la Fraternité Saint Pierre et offrent également des Messes Motu Proprio. De telles Messes sont valides. Pourquoi ne pas simplement ignorer le nom de Benoît dans le Canon et “ juste avoir sa Messe ” ? Ce n’est qu’un grain d’encens après tout…

Bien que divers arguments aient été avancés pour justifier l’assistance aux Messes una cum par des sédévacantistes, aucun ne semble réellement sonner juste.

Les prêtres qui offrent ces Messes affirment dans le Canon que Ratzinger est un vrai pape, alors qu’un sédévacantiste (par définition) affirme le contraire. En assistant activement à une telle Messe, un sédévacantiste admet l’assertion que le célébrant fait publiquement au nom de toute l’assistance – Benoît, NOTRE Pape – une assertion que le sédévacantiste sait et croit être fausse.

L’incohérence – une déconnexion totale entre croyance et culte – devrait être évidente après 10 secondes de réflexion. La conclusion théorique (Ratzinger n’est pas un vrai pape), pensons-nous, devrait dicter la conclusion pratique (ne pas assister aux Messes ou les prières disent le contraire).

Mais quels sont les principes sous-jacents qui devraient guider ici notre comportement ? Pourquoi est-il mauvais pour un sédévacantiste d’assister activement à une Messe traditionnelle dans laquelle le prêtre emploie la phrase Benoît notre Pape au Canon ?

Ayant beaucoup écrit au long des années sur le sédévacantisme, le droit canon et la liturgie sacrée, je suis maintenant souvent interrogé à ce propos. Dans cet article j’y répondrai longuement car je considère le problème comme crucial pour l’avenir du mouvement traditionaliste.

Par ailleurs, il existe une quantité de matériau dans les écrits des papes, des spécialistes en théologie dogmatique, droit canon et théologie morale, ainsi que dans les décrets du Vatican et chez les liturgistes, lesquels, mis ensemble, nous donnent une réponse très claire à la question.

Tout le monde n’aura pas la patience de suivre un long article. Je promets à ces lecteurs de produire bientôt un bref résumé de ce qui suit, très semblable au résumé que j’avais proposé de mon étude sur le Rite de Consécration Épiscopale de 1968.

Quelle que soit la version cependant, la structure de notre enquête sera assez simple, et nous examinerons les points suivants :

(I) La signification des mots una cum dans le Canon, sur les plans de la linguistique et de la théologie, et comment ce sens doit être appliqué à Ratzinger.

(II) Si le sédévacantiste qui participe activement à une Messe una cum participe en même temps à la prière qui contient ces mots.

(III) Pourquoi un sédévacantiste ne doit pas participer activement à une telle Messe.

Dans cet article en version longue nous présenterons également divers arguments qui ont été évoqués pour justifier l’assistance à des Messes où l’on offre un grain d’encens à Ratzinger et nous démontrerons comment celles-ci ne méritent pas plus d’attention qu’un grain de sel. Nous conclurons par un résumé.

Vous pouvez lire ce document en ligne sur le CatholicaPedia.net.

Ou télécharger ce document en PDF.

Le bref résumé sur 3 pages est consultable sur le CatholicaPedia.

L’abbé Cekada, qui a été ordonné en 1976 par Mgr Lefebvre, est professeur de théologie sacramentelle, de liturgie et de droit canon.

Pour compléter le sujet et nourrir vos méditations, nous vous recommandons vivement de lire (ou de relire) l’étude de Louis-Hubert Remy  » Le Problème de l’UNA CUM, Problème de l’Heure Présente  » , préfacée par l’Abbé Xavier GROSSIN en 2001.