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LES SERMONS DE SON EXCELLENCE MGR MARCEL LEFEBVRE
Les Éditions Saint-Remi nous font part, à la veille du 20ème anniversaire de la mort de Monseigneur Lefebvre de la publication des Sermons de son Excellence Mgr Marcel Lefebvre :
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| Édition originale, 3 volumes, format14,5×20, 1313 p., 69 € les 3 volumes. | ||
LES SERMONS DE SON EXCELLENCE MGR MARCEL LEFEBVRE
REMERCIEMENTS
Les éditions Saint-Rémi remercient M. Joseph Lefebvre et Mme Marie-Thérèse Toulemonde, frère et sœur de Mgr Marcel Lefebvre, qui ont répondu chaleureusement à notre projet de faire connaître les œuvres de leur frère, comprenant le bien que ces écrits pouvaient faire aux âmes. Ils nous ont accordé par contrat les droits d’édition des sermons de Mgr Marcel Lefebvre.
Ces sermons permettent de suivre le combat de Monseigneur Lefebvre au quotidien. C’est une page importante de l’Histoire de l’Église. Par ses confidences, ses analyses, il déjoue les brigandages, les manœuvres, les mensonges, les trahisons, et redonne l’espérance. Tout ce développement permettra aux fidèles, aux lecteurs de mieux comprendre les enjeux et les projets de ceux qui veulent imposer la Religion universelle, mélange impie de toutes les religions. Monseigneur Lefebvre profitait de ses sermons pour transmettre la pure doctrine, le catéchisme, le dogme, l’enseignement sur tous les sacrements et la vie sacramentelle, pour expliquer la vie de l’Église, la vie des saints, les fêtes, la vie intérieure, l’examen de conscience, donc comment vivre chrétiennement : tout ce qui fut toujours enseigné, pratiqué et vénéré depuis 2000 ans, tout ce qui permit à chaque génération d’aller au ciel. Ces sermons sont un trésor unique. Les jeunes, même les jeunes clercs, qui ne voient que la Rome conciliaire ne savent pas ce qu’était la vie de la véritable Église, l’Église en ordre.
De Maria numquam satis !
Saint Gabriel de l’Addolorata a bien entendu Saint Bernard : « de Marie on ne parle jamais assez ! »
Symbole de Marie par Saint Gabriel de l’Addolorata,
fête le 27 février : Passionniste 1838 – 1862
Symbole de Marie
JE CROIS, ô Marie, que Vous êtes la Mère de tous les hommes, et que Vous les avez tous reçus en la personne de Jean, selon le désir de Jésus.
JE CROIS que Vous êtes notre vie, et je Vous appellerai avec Saint Augustin, l’unique espérance des pécheurs après Dieu.
JE CROIS que votre intercession est moralement nécessaire pour notre salut ; que toutes les grâces que Dieu nous dispense passent par vos mains ; que toutes les miséricordes qui ont été accordées aux hommes, l’ont été par votre entremise, et que personne ne peut entrer au ciel que par Vous, qui en êtes la porte.
JE CROIS que Vous êtes la coopératrice de notre rédemption, et que ceux-là restent engloutis dans la mer orageuse de ce monde, qui ne sont pas reçus dans votre navire. Notre salut est entre vos mains, c’est pourquoi, celui qui demande des grâces sans recourir à Vous est semblable à quelqu’un qui voudrait voler sans ailes…
JE CROIS que ceux qui mettent en Vous leur appui ne pécheront point, et que ceux qui Vous honorent obtiendront la vie éternelle…
JE CROIS que Vous seule avez accompli, dans toute sa perfection, le précepte : « Tu aimeras le Seigneur. » Je crois que dès le premier instant de votre existence, Vous avez surpassé l’amour de tous les hommes et de tous les anges envers Dieu, et que les bienheureux Séraphins pouvaient descendre pour apprendre, dans votre cœur, la manière d’aimer Dieu.
JE CROIS que votre amour pour le prochain a été si grand, qu’il n’y a jamais eu et qu’il n’y aura jamais personne qui puisse l’aimer autant. Je crois que si l’on réunissait l’amour que toutes les mères ont pour leurs enfants, tous les époux pour leurs épouses, tous les saints et tous les anges pour ceux qui ont de la dévotion envers eux, cet amour n’égalerait point celui que Vous portez à une seule âme ; et je crois que l’amour de toutes les mères pour leurs enfants n’est qu’une ombre de celui que Vous avez pour un seul d’entre nous…
JE CROIS avec Saint Hilaire, que vos dévots serviteurs ne peuvent jamais se perdre, quelque grands pécheurs qu’ils aient été auparavant. Je crois, avec Saint Bonaventure, que quiconque ne Vous estime point, mourra dans son péché : et que celui qui ne Vous invoque point pendant la vie, ne parviendra point au royaume des cieux. Je crois avec Saint Ephrem, que la dévotion envers Vous est le passeport du salut : Charta libertatis…
par Saint Gabriel de l’Addolorata, fête le 27 février : passionniste 1838 – 1862
27 février : Saint Gabriel de l’Addolorata, patron des Abruzzes, des séminaristes et novices, et un des saints de la jeunesse !
Frère Gabriel de L’Addolorata (1838-1862) – (c’est-à-dire Notre-Dame des Sept-Douleurs) – est le nom de religion que reçut François Possenti lorsqu’il fut entré chez les Passionnistes…
KAROL WOJTYLA BIENHEUREUX ? … JAMAIS !!
Les Éditions Saint-Remi nous font part de la publication en français de la revue italienne Chiesa Viva n°430, sept. 2010.
KAROL WOJTYLA BIENHEUREUX ? … JAMAIS !!
par Don Luigi VILLA

Don Villa, nous retrace avec une centaine de photos, la biographie de Karol Wojtyla pendant sa jeunesse, il remonte à ses ancêtres, puis comptabilise ses voyages internationaux, expose sa philosophie, sa théologie, ses relations avec les francs-maçons, avec les communistes, ses faits et dires, sa doctrine mariale, sa conception de la primauté de Pierre et enfin sa théologie du corps : invraisemblable !
N’ayons pas peur de la vérité, elle nous rendra libre ; voyez, lisez et jugez…
À LIRE, À DIFFUSER MASSIVEMENT
POUR ÉVITER L’IMPOSTURE DE LA BÉATIFICATION
Du Confiteor qu’on dit avant la communion
Du Confiteor qu’on dit avant la communion.

Dans les messes du Motu Proprio dis par les “prêtres” diocésains[1] ou encore chez nombre de fraternités disant la messe de toujours ou plutôt « celle de Jean XIII »[2], il est de bon ton par soucis de jeunisme, de modernisme et de réformation conciliaire ou conciliante, c’est selon, d’omettre ou même de censurer le confiteor avant la communion, et par la même le Miseratur vestri et l’ Indulgentiam.
Agir de telle sorte est très grave pour des protecteurs de la messe de toujours, cette façon pernicieuse peut empêcher une communion plus parfaite, ce qui est un tort si minime soit il …
Regardons ce que nous enseigne le Révérend Père Pierre Lebrun[3] (†1719), prêtre à l’Oratoire, liturgiste français, dont le savoir n’a d’égal que l’orthodoxie.

L’usage de faire dire le Confiteor pendant la messe, immédiatement avant de communier, s’est introduit depuis environ cinq cent ans[4]; et il vient s’en doute de la condescendance qu’on a eue de donner la communion aux fidèles hors le temps du sacrifice. On a cru qu’en cette occasion il falloit que les communions fissent auparavant une espèce de confession générale de leurs péchés, après laquelle le prêtre leur feroit les prières de l’absolution, comme on en use à l’égard des malades qui communient sans pouvoir assister à la messe, afin qu’ils renouvelassent publiquement les sentiments de douleur avec lesquels ils avoient [auraient] dû confesser et expier leurs fautes, et qu’on n’eût pas tout-à-fait lieu de dire qu’ils étoient semblables à ceux que déplore saint Cyprien, qui, sans avoir expié leurs fautes, sans les avoir confessés, et sans avoir purifié leur conscience par le sacrifice et l’imposition de la main du prêtre, osent s’approcher de la sainte table ; ou, comme dit Firmilieu, qui, sans avoir exposé leur péchés, ont la témérité de communier au corps et au sang de Jésus-Christ.
Au treizième siècle, les Dominicains, les Carmes, les Cordeliers et les Augustins autorisèrent l’usage de dire le Confiteor et les prières de l’absolution avant que de donner [avant de donner] la communion, dans le temps même du sacrifice.
En ce temps là, les coutumes de Cluni et les statuts des Chartreux ne faisoient [faisaient] aucune mention de confession avant le moment de la communion ; et parmi les Chartreux encore, le prêtre, après avoir communié, donne la communion sans autre prière que Corpus Domini nostri Jesu Christi custodiat te in vitam aeternam .

Le pontifical romain, au jour de l’ordination, fait dire le Confiteor aux diacres et aux sous-diacres avant la communion ; les seuls prêtres qui célèbrent avec l’évêque ne le disent pas. Cela est aussi marqué dans les rubriques du missel romain publiées par Pie V. Au fond, cet usage ne sauroit être blâmé, et l’on peut le justifier par divers vestiges de l’antiquité.
On voit dans Optat de Milève qu’après le canon, et immédiatement avant l’Oraison dominicale, on imposoit les mains aux pénitents et à tous ceux qui doivent communier. Saint Augustin nous fait entendre que les fidèles faisoient une espèce de confession de leurs péchés, en frappant leur poitrine lorsqu’on disoit : Dimitte nobis debita nostra ; et l’on voit dans l’Eglise grecque qu’au moment [Litur Chrysost.] de la communion le diacre et tous ceux qui veulent recevoir la sainte Eucharistie demandent pardon de leurs péchés, et surtout des scandales qu’ils pourroient avoir donnés, et que tous les assistants répondent : Que Dieu vous pardonne.
Dans une ancienne messe manuscrite conservée à l’abbaye de Saint-Denys en France, et qu’on croit écrite vers le temps de Charlemagne, la confession des péchés est marquée après avoir baisé le livre des évangiles, immédiatement avant l’oblation. Le pontifical, qui avoit appartenu à saint Prudence, évêque de Troies en 840, marque aussi une fort longue confession des péchés après l’évangile, immédiatement avant l’offertoire. Vers le même temps, dans l’ancienne messe d’Illyric, outre la confession de l’évêque fait après s’être habillé à la sacristie et celle qu’il renouvelle à l’autel, il en fait une troisième à l’offertoire.
On voit de même la confession placée entre l’évangile et l’offertoire dans un ancien sacramentaire de saint Gatien de Tours, et dans plusieurs autres anciens missels, qu’il seroit trop long de détailler. On conserve dans la bibliothèque de Saint-Germain-des-Prés un sacramentaire de saint Guillem au diocèse de Lodève, d’environ neuf cents ans d’antiquité [de nos jours 1200 ans], où après l’Oraison dominicale il y a un long Confiteor attribué au pape Grégoire III [Saint ; élu en 731], terminé par l’Agnus Dei et par la communion en cette manière : Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous. Les choses saintes sont avec les saints. Que la communion du corps et du sang de Jésus-Christ soit pour la vie éternelle à ceux qui le mangent et qui le boivent. Ainsi, l’usage de dire le Confiteor au temps de la communion n’est pas si nouvau qu’on n’en trouve anciennement quelques exemples [nous sommes au XVII ème siècle] ; et pour en rapporter un qui approche beaucoup plus de l’usage d’à présent, les Cisterciens, au douzième siècle, suivis en cela par les Guillemites, dans leurs constitutions confirmées en 1259, faisoient faire la confession aux religieux dans le chœur avant que d’aller à la sainte table. Ils se faisoient l’un à l’autre, et, quand un seul devoit communier, il alloit faire sa confession au prieur ou au premier du chœur. On ne voit point encore là de confession faite à haute voix ni à l’autel. Peut-être ne l’a-t-on introduite aux grandes messes qu’à cause que le peuple n’entend point la confession que le prêtre et les ministres font au bas de l’autel pendant que le chœur chante l’introït. Il seroit à souhaiter qu’on pût partout imiter les Chartreux, qui font tous ensemble la confession avec le célébrant au commencement de la messe.
Quoi qu’il en soit, les fidèles doivent être bien aises de se déclarer publiquement pécheurs, et de reconnoistre ainsi :
LE BESOIN QU’ILS ONT DE L INDULGENCE ET DE LA MISÉRICORDE DE DIEU LORSQU’ILS S’APPROCHENT DE LA SAINTE TABLE.

Source : http://semperfidelis.over-blog.fr
Lire sur CatholicaPedia.net
[1] Ndr : Ces pseudo-prêtres (du grec pseudês ψευδἡς : « faux » ) ont été généralement “ordonnés” dans le nouveau rit Conciliaire Pontificalis Romani (1968) totalement invalide cf : http://www.rore-sanctifica.org . Pour les quelques rares vieux prêtres qui ont été ordonnés validement avant cette date, mais sont restés dans cette nouvelle église Conciliaire de Vatican d’Eux, ils sont apostas depuis longtemps !
[2] Ndr : Toutes ces Fraternités et Instituts sont « una cum famulo tuo Papa nostro B16 » d’une part et de seconde part (sauf pour la FSSPX) ont une grande majorité de pseudo-prêtres (du grec pseudês ψευδἡς : « faux » ) “ordonnés” par des pseudo-évêques (du grec pseudês ψευδἡς : « faux » ) —voir note N°1— qui sont totalement invalides et ne peuvent donc aucunement faire des prêtres même en utilisant le rit Traditionnel ! Pour le problème de l’una cum, voir : “ Le Problème de l’UNA CUM, Problème de l’Heure Présente ” et “ Le Grain d’Encens : Les Sédévacantistes et les Messes Una Cum ”.
[3] Pierre Lebrun (1661-1719), né à Brignoles, appartient à une famille aisée. Le 13 novembre 1678, il entre à Aix dans la Congrégation de l’Oratoire. Le 30 août 1684, il est nommé professeur de philosophie au Collège de Toulon et en septembre de la même année ordonné prêtre à Fréjus. Prédicateur éminent, il se destine pourtant à l’histoire ecclésiastique et ses supérieurs l’envoient à la Maison Saint-Magloire de Paris. Son œuvre la plus remarquable, Explication de la Messe, contenant les dissertations historiques et dogmatiques sur les liturgies de toutes les Églises du monde chrétien, lui confère une réputation d’historien et de grand savant liturgiste. Comme il s’était fait défenseur de l’épiclèse en s’appuyant sur l’autorité des Pères et en se dressant contre les fausses affirmations des Jésuites et des Chanoines Réguliers de Sainte-Geneviève, ses adversaires essaient de le faire condamner par Rome, mais ils échouent. Il s’épuise dans son labeur, souvent sur les routes pour recueillir les documents et après trente ans d’enseignement, il meurt à Saint-Magloire le 6 janvier 1719 ; in Bibliothèque Nationale, mss latins n° 16796 à 16818. Les quatre tomes sont téléchargeable sur : http://jesusmarie.free.fr/pierre_lebrun.html
[4] 500 ans au moment où le père Lebrun écrit, lors du conciliabule Vatican d’Eux ou même de la reforme de Jean XIII cela faisait 800 ans.
Sainte Agathe

Sainte Agathe est invoquée contre les maux de seins
Un cantique Castillan s’exprime ainsi sur Sainte Agathe :
Vous vainquez les démons,
Vous délivrez des tremblements de terre,
Vous guérissez le flux de sang,
Vous éteignez les incendies,
Votre intercession sacrée
Est puissante contre tout mal.
Les femmes qui vous implorent
En voyant leurs maux de seins
Détruits par votre intercession,
Vous honorent comme leur médecin.
Donnez-leur un prompt secours,
Prenant leurs peines en commisération.
Sainte Agathe, priez pour nous.
LE CHIEN DE MON VOISIN
Abbé Juan-Carlos Cériani nous donne une traduction de la Nouvelle de l’abbé Castellani « Le chien de mon voisin » et une adaptation qu’il en a faite à Mgr Fellay.
LE CHIEN DE MON VOISIN
Mon voisin avait un chien qui, de temps en temps, rentrait dans notre maison pour y voler de la viande.
Nous, les garçons, nous passions souvent chez ce voisin pour lui voler ses figues.
Et il arriva un jour que le chien nous aperçut dans la propriété de son maître, alors qu’il se trouvait lui-même maraudant dans notre cuisine.
Que fit-il ? Aboya-t-il là où il se trouvait ? Jamais de la vie ! Il abandonna aussitôt son larcin, repassa silencieusement par le trou de la clôture, fit prudemment un détour par l’arrière de la maison afin que nous ne le voyions pas, et rentra furtivement dans sa niche… d’où il ressortit presque aussitôt en aboyant avec le plus grand sérieux, comme si, de toute sa vie, il n’avait jamais brisé une assiette.
Mais dans sa voix on sentait son embarras, sa honte et son manque de conviction : il n’avait pas la conscience tranquille.
Il aboyait, le pauvre, parce c’était son devoir d’aboyer, mais tout en prenant le ferme propos de ne plus voler même un os, quand bien même il devrait connaître toutes les famines du monde, comme par le passé.
Que tous ceux qui ont pour métier de prêcher la vertu au prochain aient au moins l’honnêteté du chien de mon voisin.
APPLICATION
Il y avait un évêque de la Tradition et pour la Tradition qui s’était rendu dans la Rome antichrist, moderniste et libérale, alors qu’il n’aurait pas dû y aller.
Benoît XVI, de temps à autre et fort machiavéliquement, lançait bien des œillades du côté de la Tradition, mais il continuait tranquillement à avancer sur le chemin de la nouveauté dans la continuité.
Et il arriva que, tandis que l’évêque de la Tradition et pour la Tradition déclarait que « nous voulons que la Rome présidée par Benoît XVI nous reconnaisse comme de vrais évêques » et que « peut-être nous sommes beaucoup plus proches du pape que ce qu’il semble », il réalisa tout à coup que Benoît XVI était en train d’annoncer Assise III et la béatification de Jean-Paul II.
Que fit-il ?
Délaissant pour l’heure ses illusions romaines, il fit prudemment, par l’arrière de Rome, un détour diplomatique et politique, sachant que Rome comprend très bien la politique… il rentra furtivement à Saint Nicolas de Chardonnet… d’où il ressortit presque aussitôt en aboyant avec le plus grand sérieux, comme si, de toute sa vie, il n’avait jamais brisé une assiette … bien qu’avec le Te Deum pour le Motu Proprio et le Magnificat pour le Décret de la levée de l’excommunication il ait déjà brisé toute la vaisselle de la Tradition…
Il a aboyé, certes… Mais dans sa voix on sentait son embarras, sa honte et son manque de conviction : il n’avait pas la conscience tranquille.
Il a aboyé, le pauvre, parce que c’est son devoir…
Espérons qu’il ait pris le très ferme propos de ne plus continuer le dialogue avec la Rome antichrist, moderniste et libérale, quand bien même il devrait connaître toutes les famines du monde, comme par le passé.
Abbé Juan-Carlos Cériani ; traduction de la Nouvelle de l’abbé Castellani « Le chien de mon voisin » et une adaptation qu’il en a faite à Mgr Fellay.
Nous remercions chaleureusement l’abbé Cériani pour ce texte et le correspondant qui nous l’a fourni.






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