Vatican d’Eux : saint Gabriel, patron des télécommunications !
Pour “EUX”, hier nous ne fêtions pas Saint Michel Archange — qui combattit Lucifer lors de la rébellion des anges déchus et le précipita hors du Ciel par le cri de Victoire : Quis Ut Deus ? —, considéré par l’Église Catholique comme étant le plus puissant et le plus beau de tous les Anges du Ciel.
Pour le pseudo-cardinal Parolin, « La mission de Radio Vatican rappelle celle des archanges » :
La mission de Radio Vatican et les saints archanges
Radio Vatican fête saint Gabriel, patron des télécommunications.
Rome, 29 septembre 2015 (ZENIT.org) Marina Droujinina |
« La mission de Radio Vatican rappelle celle des archanges : communiquer fidèlement (!!!), guérir et protéger du mal, et ouvrir la route au Seigneur », a dit le pseudo-cardinal Pietro Parolin.
Le secrétaire d’État du Saint-Siège a présidé la synaxe en la chapelle de la Radio ce mardi 29 septembre, à l’occasion de la fête des saints archanges, spécialement de saint Gabriel, patron des télécommunications, rapporte Radio Vatican.
Le pseudo-cardinal Parolin a comparé la mission de Radio Vatican à celle des archanges en précisant qu’elle consistait à « ouvrir la route » au Christ : « Servir le Christ offre l’avantage incomparable de devenir serviteur de la vérité, et ainsi d’être libres de toutes servitudes. »
Le secrétaire d’État du Saint-Siège a salué le « dynamisme » de l’équipe de Radio Vatican en demandant de poursuivre ce chemin « avec beaucoup de sérénité et de confiance », au moment où le nouveau secrétaire pour les communications repense le système d’information du Saint-Siège qui unira les différents médias du Vatican. Radio Vatican restera « un composant fondamental de cette nouvelle réalité », a souligné Parolin.
Dans son “homélie”, le “cardinal” conciliaire a aussi parlé de l’importance de l’information objective et « correcte » (!!!) qui n’était pas soumise à la « tyrannie pesante et superficielle des émotions ».
Les équipes de Radio Vatican produisent chaque jour 79 programmes en 40 langues. Depuis ce mardi 29 septembre, le père Andrzej Majewski, un jésuite polonais, est le nouveau directeur des programmes de Radio Vatican. Il succède au père Andrzej Koprowski qui occupait ce poste depuis 2003.
(29 septembre 2015) d’après Innovative Media Inc.
Le temps des châtiments est presque là, les portes de l’enfer s’ouvrent lentement… Continuons à Prier Saint Michel Archange :
Il est l’Ange qui combattit Lucifer lors de la rébellion des anges déchus et le précipita hors du Ciel par ce cri de Victoire, qui devint Son Nom :
Quis Ut Deus ?
C’est Saint Michel qui dans l’Ancien Testament, conduisit la famille de Noé, puis retint le bras d’Abraham, alors qu’il s’apprêtait à immoler son fils. Il est aussi l’Ange de l’Apocalypse, où Il apparaît à plusieurs reprises.
Saint Michel est aussi l’Ange du Martyr, il a été considéré comme étant l’Ange qui réconforta Jésus, lors de Son Agonie, et qui recueillit le Sang Précieux du Côté du Christ en Croix, pour le porter en offrande au Père Céleste, en rémission des péchés des hommes.
Saint Michel Archange est connu pour être le Chef des Hiérarchies Angéliques, le Grand Défenseur de DIEU, de L’Église de Jésus Christ et de Son peuple chrétien. Il est l’Ange Protecteur de la Sainte Croix, des Évangiles et Grand Gardien de l’Eucharistie. Saint Michel est sans conteste, l’Ange de Dieu le plus actif auprès de l’humanité, sur laquelle l’on dit qu’Il fut le premier Ange à se pencher et dont l’Église n’hésite pas à confesser Ses innombrables bienfaits.
Il est aussi considéré comme l’Ange Tétulaire de la France, pays qu’IL a définitivement conquis par la construction de l’Abbaye du Mont Saint Michel, anciennement nommé « Mont Tombe ». Saint Michel est intervenu dans l’histoire de notre pays, à de multiples reprises, dont l’une des interventions les plus connues Le fera guider Sainte Jeanne d’Arc dans sa mission de libération de la France des anglais. Mais l’Archange fut impliqué dans plus d’en grand événement de notre histoire.
« Je suis Michel, le protecteur de la France »
Saint Michel à sainte Jeanne d’Arc
Saint Michel est le Souffle de la Justice de DIEU, c’est par LUI que s’accompliront les prophéties des derniers temps, dont la plus importante est l’Apocalypse de Saint Jean. C’est LUI, qui refoulera dans « l’étang de feu et de soufre, l’antéchrist, où sont la bête et le faux prophète » (Ap. 20.10)
« Dans la première guerre, Dieu a vaincu
en se servant du prince des milices célestes,
l’Archange Saint-Michel,
et nous devons croire fermement
que la lutte actuelle se terminera par le triomphe,
avec le secours de cet Archange béni. »
Saint Pie X
Invito sacro Rome, le 18 septembre 1903
Le 19 mai 1912, année du cinquième centenaire de la naissance de sainte Jehanne d’Arc, tous les évêques de France s’unirent pour consacrer la France à saint Michel.
L’initiative de cet acte revint au gardien du Mont Saint Michel, Monseigneur Joseph Guérard, évêque de Coutances et d’Avranches, qui, lors des fêtes du XIIème centenaire de l’apparition de l’archange sur le mont Tombe, prononça, le 16 octobre 1909, une première consécration. Plusieurs évêques l’adoptèrent aussitôt dans leurs diocèses. Trois ans plus tard, tous les évêques de France résolurent de faire en un même jour, le 19 mai 1912, en la fête nationale de la bienheureuse Jeanne d’Arc, cette consécration dans leurs diocèses respectifs. Mgr Joseph Rumeau, évêque d’Angers ainsi que Mgr Louis Humbrecht, évêque de Poitiers demandèrent que dans toutes les églises et chapelles de leur diocèse ait lieu cette consécration solennelle. Mgr Marie Prosper Adolphe de Bonfils, évêque du Mans organisa cette cérémonie dans l’église de Notre-Dame de la Couture, au salut solennel qui suivit l’office de Vêpres.
Prière de la Consécration de la France à saint Michel,
le 19 mai 1912, faite par tous les évêques de France
Ô glorieux Saint Michel, permettez que nous vous apportions l’hommage de notre reconnaissance, de notre vénération, de notre amour.
Commis par l’Éternel à la garde du droit, vous avez rejeté dans les abîmes Satan et ses suppôts, inclinant votre épée devant le Dieu-fait-Homme et la Vierge qui devait enfanter et devenir la Reine des Anges.
Le peuple élu vous vit à sa tête lorsqu’il errait dans le désert, et vous fûtes, dans son exil, son espoir et sa force.
Sur le berceau de l’Église, héritière de la Synagogue, tendrement vous avez veillé. Votre devise devint sa devise, et, depuis deux mille ans, rien de grand ne s’est opéré dans son sein en dehors de votre intervention féconde.
Baptisée la première des nations, dans le sang du Christ, la France vous aima la première. Aussi vous êtes-vous ingénié à faire d’elle, à votre image et à votre exemple, le bon sergent de Dieu. Des champs de Tolbiac aux sommets du mont Tombe ; des sommets du Mont Tombe aux vallons de Domrémy ; des siècles reculés au temps où languit notre vie, vous avez écrit les meilleures pages de notre histoire. Naguère encore dans l’éclat de la piété de votre XIIe centenaire, sur ce coin immaculé de terre française où la Foi vous éleva votre temple, le plus merveilleux et le plus célèbre, qui donc n’a reconnu votre si douce intervention ?
Ajoutez encore à vos bienfaits, ô bon et puissant Archange, prenez sous votre garde tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes, nos personnes et nos biens, nos familles et nos paroisses, nos évêques et nos prêtres.
Cette consécration solennelle, nous la voulons nationale, et nous renouvelons, autant qu’il est en nous, le pacte séculaire qui lie la France au Prince des Anges.
Nous vous saluons, nous vous bénissons, nous vous acclamons, mais de grâce, défendez-nous dans le combat !
Les ténèbres du doute et de l’erreur nous envahissent de toutes parts : Archange de lumière, dissipez nos ténèbres ! Les volontés fléchissent et les courages chancellent : Archange victorieux, ranimez nos ardeurs et communiquez-nous la flamme qui fait les âmes justes et les peuples vaillants !
Les cœurs s’attachent à la chair et au sang : ô Séraphin sublime, arrachez-nous à la fange et portez-nous à Dieu !
Veillez tout spécialement sur nos foyers, où la foi et l’innocence subissent de si rudes assauts, et commandez à Satan d’y respecter la paix et la vertu.
Ô saint Michel, gardez l’Église et son chef admirable ; sauvez notre patrie bien-aimée, protégez son clergé et ses fidèles, convertissez ses fils égarés.
Que le Cœur Sacré de Jésus, que Marie Immaculée vous envoient vers nous, avec la bienheureuse Jeanne d’Arc ; et que le règne de Dieu s’établisse sur nous et sur le monde à jamais, pour qu’à jamais, ô grand Prévôt du Paradis, nous soyons associés à vos triomphes.
Ainsi soit-il !
(Le Pape régnant était alors saint Pie X)
C’était comme un testament de Pie XII
Le Pape Pie XII, dans la dernière allocution de sa vie, début octobre 1958 et ce fut comme un testament, oui, comme une vision de l’avenir disait :
« De sombres nuages et des choses graves s’abattront sur l’Église et sur le monde. Si nous voulons les surmonter, il faut avant tout nous allier avec les saints anges du ciel. »
Déjà le Pape Léon XIII a vu d’avance cette
ATTAQUE GÉNÉRALE DE L’ENFER
Il composa ses magnifiques prières à l’Archange Saint Michel et beaucoup d’autres merveilleuses prières. À plusieurs reprises, il fit appel à la récitation du Rosaire qui si souvent déjà a sauvé l’Église de très grands périls.
Exorcisme de Léon XIII
L’Église a toujours encouragé les laïcs à dire l’exorcisme de Léon XIII. Voici le fac-similé de l’exorcisme de Léon XIII publié en 1922 à Paris avec l’imprimatur du Cardinal Dubois :
« Cette prière composée pour mettre le démon en fuite, peut préserver de grands maux la famille et la société si, en particulier, elle est récitée avec ferveur, même par les simples fidèles. On s’en servira, spécialement dans les cas où l’on peut supposer une action du démon, se manifestant : soit par la méchanceté des hommes, soit par des tentations, des maladies, des tempêtes, des calamités de toutes sortes. »
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Mise à Jour :
Comme le lecteur averti peut le constaté, la version française de cette Prière à Saint Michel Archange est mutilée dans le texte promulgué par Léon XIII en latin ci-dessous.
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Mise à Jour :
Comme indiqué plus haut, la version française de la Prière à Saint Michel Archange est mutilée. Le texte actuellement si répandu d’une part, et le texte original (en latin ci-dessous) publié par ordre de Léon XIII en 1903, dernière année de son Pontifical d’autre part, ces deux textes différent entre eux. Cette différence concerne, il est vrai, non l’exorcisme lui-même, mais la « Supplique à Saint Michel » qui le précède. Elle consiste : premièrement, en quelques interversions (dans l’ordonnancement des prières), deuxièmement en deux omissions. Le premier point étant sans importance, c’est le second que nous devons considérer. La différence, par omissions, entre les deux textes, peut être, comme tant d’autres choses, envisagée à deux points de vue : soit materialiter, quant au fait ; soit formaliter, quant à la signification.
Texte latin de l’exorcisme de Léon XIII publié dans le Rituel Romain de 1903
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La signification de la mutilation perpétrée dans le texte promulgué par Léon XIII.
La signification de l’omission est aussi claire pour nous maintenant que l’est celle de la prophétie. « Rien n’est caché, qui ne soit (tôt ou tard) révélé » (Math. x, 26). Dieu opère le bien, même à partir du mal. Dieu opère que même l’erreur encoure à manifester la Vérité. Voilà ce que, brièvement, nous allons expliciter.
Le mal est, dans un être de nature, une privation qui affecte le bien auquel cet être est, par nature, ordonné. Si on veut nuire en infligeant une privation, il faut pour y réussir, non pas user d’une violence qui provoque un réflexe d’opposition à cette frustration, mais induire le sujet à estimer excellent le « bien diminué » qu’on consent à lui laisser. Alors, il est possible que le sujet erre provisoirement sur l’estimation concrète de sa véritable fin ; et qu’il se mette ainsi progressivement dans des conditions qui lui rendent impossible de l’atteindre. Dans un tel processus, le bien véritable, celui dont on vise que la privation en arrive, c’est celui qui est diligemment occulté.
Pareillement, si on veut induire en erreur, il faut pour y réussir, non pas affirmer le faux, mais faire miroiter une « vérité diminuée » ; l’esprit, appâté, déserte sa propre et native curiosité, et croit trouver toute la Vérité dans les vestiges qui lui en sont concédés. Dans un tel processus, la totale Vérité, celle dont on vise qu’elle ne soit pas communiquée, c’est précisément celle qui est diligemment occultée.
La totale Vérité, c’est en l’occurrence ce que Léon XIII, inspiré, a osé clamer : le père du mensonge est « là où fut instituée la chaire de Vérité« . Le signe que cela était et demeure pour ainsi dire le paroxysme de la Vérité, le signe que, « Léon XIII glorieusement régnant », le père du mensonge s’infiltrait déjà dans la chaire de Vérité, c’est qu’il a réussi à occulter ce que Léon XIII en avait révélé, avec autant de courage que d’Autorité.
« Les ténèbres n’ont pu arrêter la Lumière » (Jean i, 4). L’acte ecclésial de Léon XIII est maintenant connu tel qu’il fut posé. L’Exorcisme, diminué quant à la portée, par la mutilation de la prière qui en assignait la terrifiante finalité, cet Exorcisme, fort répandu et lui-même infesté, est enfin exorcisé ! C’est-à-dire que, tout simplement, il est connu et il sera récité, tel qu’il fut inspiré par L’ESPRIT DE VÉRITÉ.
L’Exorcisme exorcisé, restitué en son intrépide et native pureté, rayonnera partout la Vérité que Satan avait provisoirement réussi à occulter. La Vérité libérera l’Église (Jean viii, 32). L’Exorcisme vierge, ardemment vécu et récité, opérera, « par l’intercession de la Vierge immaculée Mère de Dieu, de saint Michel Archange, de saint Joseph époux de Marie, des saints Apôtres Pierre et Paul et de tous les saints », que le père du mensonge soit expulsé du « lieu où fut institué le Siège du bienheureux Pierre et la chaire de Vérité ».
En la fête de la très SAINTE TRINITÉ, dimanche 17 juin 1984.
Mgr. M. L. Guérard des Lauriers
- Pour en savoir plus : http://www.virgo-maria.org/references/references_html/Leon_XIII/C-53-Exorcisme-de-Leon-XIII.htm