RAPPEL : Le satanisme au Vatican
Le satanisme au Vatican
Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient “pape” sous le nom de Paul VI. Quatre années plus tard, en 1967, Yves Saint Laurent publie chez l’éditeur Claude Tchou « La Vilaine Lulu », un album de bandes dessinées qui énumère les pratiques criminelles des sectes sataniques. L’ouvrage du célèbre couturier français porte en introduction la mention : « toute ressemblance avec des personnes qui existent ou qui ont existé est parfaitement voulue. Toutes ces aventures ont été tirées de faits réels ». Or, « Lulu »([1]), l’incarnation du mal dessinée par Yves Saint Laurent, parvient au sommet de l’Église. C’est précisément ce que des prêtres catholiques dénoncent en ces termes : « L’intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du “pape”.
29 juin 1963, inauguration du Temps du Prince de ce monde
« À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Événement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. […]
Le but ultime n’était pas de liquider l’organisation Catholico-Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs purement humains. […] Son Nom sera « l’Église Universelle de l’Homme ».
En 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur « la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église ». Les célébrations du 15ème anniversaire de “Pontificat” de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Pourquoi ne pas avoir choisi la date de son couronnement au lieu de celle de l’intronisation de Lucifer ?
Dans son livre « Windswept house »([2]), l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493 :
« À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’aimaient ; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux ; des sœurs qui pratiquaient les « Rites Noirs » de la Wicca et qui vivaient en relations lesbiennes … Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seulement étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la permission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques… Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)… Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux : les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puissance et l’influence effrénée de ce réseau ».
L’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy Engel, intitulé : « The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church »([3]). Plus qu’un livre, c’est une « encyclopédie de l’horreur » qui en 1.282 pages, 4.523 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimaginables. […]
Le livre se termine par la Section V : « Le Vatican et les pièces finales du puzzle » qui finit par ces mots : « Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape ! ».
La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel “pape” fut Paul VI, le « Pape qui changea l’Église » !
Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :
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— Satanistes au Vatican ?
« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».
— Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs ?
« Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».
Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous ?
« Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose « confessée » plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes ».
— Le Pape en est-il informé ?
« Bien sûr qu’il en a été informé ! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !… »
— Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la « fumée de Satan » est entrée dans l’Église ?
« C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la « fumée de Satan », Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».
Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican, il y a des “Cardinaux”, des “Évêques” et des “Prêtres” qui sont membres de sectes sataniques, « mais il fait ce qu’il peut » !
Paul VI lui aussi savait que la « fumée de Satan » était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même « s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps », cela « n’a cependant pas eu d’effets pratiques ».
On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex-Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russell :
« … avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici… », et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux “Papes” ne pourraient que se résigner à « parler sans avoir d’effets pratiques » et à « faire ce qu’on peut », car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !
Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ? […]
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Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants :
— la décision d’élire “Pape” le cardinal Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie.
— l’élection du cardinal Montini comme “Pape” est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-Maçonnerie juive des B’naï B’rith.
— le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.
— Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le “Pontife” est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-Maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire “Pape”.
Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’“Église” dans le monde. (La secte conciliaire)
L’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russell – n’était pas de « supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes », et ce, grâce à la création d’une « Maison de l’Homme sur la Terre », une « Nouvelle Ère de l’Homme » et « une Église Universelle de l’Homme »…
Source : Chiesa viva.
[1] Notons que sur Wikipedia, la partie analyse y a été enlevé le 14 mai 2013, ou il y était écrit :
« Cette œuvre, présentée comme une critique grinçante de la société contemporaine, met en scène un grand nombre de maltraitances sur enfants dont l’enlèvement ou le sacrifice humain, de rites sataniques et idéalise la pédophilie en libertinage sexuel des enfants. On y trouve une référence au catharisme et des scènes de violence anticatholiques. »
En 1967, Claude Tchou publie « La vilaine Lulu », la seule BD écrite et dessinée par Yves SaintLaurent. En 2002, l’auteur faisait faire un nouveau tirage limité de 500 exemplaires numérotés, signés par l’auteur, vendus par YSL au prix de 550 euros. À l’automne 2003 reparaît « La vilaine Lulu » dans sa version originale. Dans un style naïf, presque enfantin, Yves Saint-Laurent se moque parfois avec cruauté, souvent avec humour, toujours avec intelligence, de ses contemporains, de ses proches, du milieu de la mode et des mœurs de l’époque. L’ensemble est mordant et drôle, et n’a pas pris une ride. (Amazon.fr)
[2] Voir ACRF : en ligne ou en PDF
[3] En partie traduit par Virgo-Maria.org : http://virgo-maria.org/Engel_pages/randy_engel.html