POUR EN FINIR AVEC ABRAHAM…
pour en finir avec Abraham
Joseph Lemann, La Religion de combat
Livre premier – Le rassemblement des enfants de lumière – Chapitre deuxième
IV. Troisième catégorie d’hommes : les captifs des ombres dans la caverne, mais sans qu’ils soient enchaînés ; ils sont libres de sortir.
Qui sont-ils ? Pauvres idolâtres ; pauvres israélites ; pauvres musulmans. Explication sur Abraham : il n’a été que l’ombre projetée en avant de Celui qui devait venir. Loin de la belle lumière de l’Église, il y a une autre catégorie d’hommes que nous avons nommés les captifs des ombres. Il faut bien se garder, toutefois, de les confondre avec les fils de ténèbres.
Mais quoi ! après deux mille ans bientôt de christianisme, y a-t-il donc encore des infortunés épris des ombres, fascinés par des fantômes ? Hélas, oui.
Et qui donc sont ces infortunés ?
Beaucoup de pauvres idolâtres ;
Beaucoup de pauvres israélites ;
Beaucoup de pauvres musulmans ;
Captifs des ombres, disons-nous, et comment cela ? Voici :
Le prisonnier de la caverne de Platon, quand on voulait le traîner à la lumière, frémissait, si l’on s’en souvient, de cette violence et s’écriait, en ramenant vivement ses yeux éblouis et fatigués vers les parois de la caverne où se projetaient les ombres : « Voilà, je vous assure, la réalité ! »
Eh bien, ils tiennent exactement le même langage, tant de pauvres idolâtres qui se prosternent encore aujourd’hui, avec frénésie, devant les créatures, ombres du Créateur : refusant leurs hommages et leurs adorations à Celui qui est la souveraine perfection. Fanatiques de la créature, ils s’y cramponnent comme à la seule réalité. Idolâtres qui sont nombreux, non pas seulement dans les steppes de la Tartarie ou près des grands lacs de l’intérieur de l’Afrique, mais idolâtres en pleine Europe, plus épris et plus fanatiques même de la créature que les ignorants de l’Afrique ou de l’Asie. Cramponnés avec fureur aux biens de la terre, oubliant le souverain Bien, les idolâtres de l’Europe montrent leurs champs, leurs affaires, leur or, leurs coffres, le palais de la Bourse, et ils disent : Ici seulement, est la réalité ! … Captifs des ombres, des fantômes !
Captifs des ombres également, beaucoup d’israélites, beaucoup de musulmans.
« Mais ! pauvres infortunés, disait un jour un voyageur à un groupe d’hébreux qu’il considérait pleurant le vendredi soir sur les ruines du Temple à Jérusalem, retournez la tête. Ce n’est plus ici, sur des ruines, qu’il faut regarder ; c’est là-bas… »
Et il leur montrait dans le lointain le lieu de la résurrection de Jésus-Christ inondé de lumière, et la Croix qui étincelait.
Hélas ! ils ne détournaient même pas la tête, tout entiers au passé, tout entiers aux ombres !…
Le croirait-on ? ce qui les trompe, eux et les populations innombrables de l’Asie détournées par Mahomet, ce qui les trompe et leur est devenu le plus grand obstacle, c’est le nom d’Abraham : figure qu’on a exagérée, ombre qui les fascine et les empêche de se retourner vers Jésus-Christ. Il y a, en physique, ce phénomène : les ombres, dans leur projection et leurs dessins, sont toujours exagérées. Une ombre qui se projette a une proportion démesurée. Pareil phénomène est arrivé au rôle d’Abraham auprès des israélites et des musulmans : l’Esprit de mensonge a exagéré cette figure (1). Incontestablement, Abraham est une bien grande figure. Que n’a-t-on pas dit à sa louange, l’Église, la première ? « Il est le père de tous les croyants ». — « Le nom d’Abraham est à la race sémitique ce que les obélisques sont à l’Égypte ». Et bien d’autres louanges auxquelles les chrétiens applaudissent comme les israélites. Néanmoins, en regard de Jésus-Christ, Abraham n’est que l’ombre projetée en avant : silhouette majestueuse de Celui qui devait venir ; patriarche avant-coureur d’Un plus grand que lui ! Il est l’ombre : Jésus-Christ, lui, est la lumière, la réalité éblouissante. « Avant qu’Abraham fût, j’étais », (Jean, VIII, 58) a dit le Christ. Il était, et Abraham, en sortant de Chaldée, a été son ombre projetée ! (2)
Or, fascinés par l’ombre, par le grand nom d’Abraham, les israélites, et avec eux les musulmans, ne se retournent pas vers la lumière, vers la réalité. Mon Dieu ! qu’y a-t-il donc à faire pour les désabuser ? Écoutez, pauvres captifs :
Le prophète Isaïe a comparé les flancs d’Abraham à une carrière d’où le peuple d’Israël a été extrait ; il disait :
« Vous qui suivez la justice et qui cherchez le Seigneur, jetez les yeux sur cette roche dont vous avez été taillés et cette carrière profonde dont vous avez été tirés : jetez les yeux sur Abraham votre père ! » (Isaïe, li, 1-2).
Oh ! comprenez, restes d’Israël, ces admirables paroles du prophète, si bien en harmonie avec l’allégorie de Platon. Abraham a été, dit le prophète, la carrière, la roche d’où vous avez été tirés. Par conséquent, remarquez donc ! Abraham n’est que la roche, que la carrière profonde ; Jésus-Christ, lui, est l’horizon au dehors de la carrière. Si vénérable et si vénéré que soit Abraham, il n’est que la caverne dans les flancs de laquelle vous avez tous dormi ; il est également, si vous le voulez, l’ombre projetée du Christ qui s’y dessinait ; mais Jésus-Christ, lui, est la lumière au dehors, il est le plein jour. Comprenez-vous, restes d’Israël. Sortez donc, oh ! sortez de la caverne ; passez d’Abraham à Jésus-Christ !
Mais nos entraves ? objecterez-vous.
Vos entraves : elles sont tombées ! La Vérité éternelle s’est montrée, qui a annoncé à tous les captifs, dans la synagogue même de Nazareth :
« Vous, êtes libres, la Vérité vient vous délivrer. L’Esprit du Seigneur m’a envoyé pour annoncer aux captifs leur délivrance » (Jean).
Examinez vos mains, palpez vos pieds, chers captifs des ombres, Israélites sincères qui attendez le Messie ; à vos mains, à vos pieds, il n’y a plus ni entraves du respectable, mais suranné Rituel hébraïque, ni entraves du stupide et tyrannique Talmud ; rien ne vous enchaîne plus, vous pouvez vous retourner et sortir. Sortez donc ! Osez, osez ce magnifique mouvement qui s’appelle une conversion. Se convertir, c’est, puisqu’on est libre, se détourner des ombres, si grandioses, si vénérées soient-elles ;
S’en détourner, pour se retourner vers Celui qui est la pleine clarté ;
C’est s’élancer hors de la caverne, pour entrer dans le royaume de la lumière, et dire avec reconnaissance, en tombant aux pieds de Jésus-Christ : Vous êtes mon Seigneur et mon Dieu !
Et de notre temps, selon certains media français “Chaos Jorge” alias François Ø ne reconnaît pas Dieu en Jésus !
papeFrançois laisse un message dans le Mur des Lamentations
L’anti-pape François achevant à Jérusalem son “pèlerinage” en Israël, a glissé lundi matin 26 mai [2014] un message dans le mur des lamentations pour le dernier jour de son voyage au Proche-Orient. Il y aurait écrit un message en faveur de la paix…
“Chaos Jorge” alias François Ø s’est recueilli lundi devant le Mur des Lamentations, dans la vieille ville de Jérusalem, où il a glissé un message dans les interstices des pierres du lieu le plus saint du judaïsme.
Il s’est approché seul du Mur, y a posé une main durant plusieurs minutes de silence. Puis il a ouvert une enveloppe blanche, a déplié une feuille où se trouvait écrit un court message, qu’il a lu devant le mur, hors micros. Selon la radio publique israélienne, il y était écrit : « Je suis venu ici pour prier Dieu afin qu’il fasse régner la paix ».
Selon le site conciliaire evangelium-vitae (l’Évangile de la Vie) repris ensuite par différents media français dont le Salon Beige ou encore Le Suisse Romain… la « Prière du Saint-Père au Mur Occidental » était celle-ci :
Ô Seigneur, Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob,
Dieu de Jésus le Nazaréen,
du cœur de cette Cité Sainte,
patrie spirituelle des Juifs, des Chrétiens et des Musulmans,
je fais mienne l’invocation des pèlerins
qui montaient vers ton temple, débordant de joie :
« Appelez le bonheur sur Jérusalem :
Paix à ceux qui t’aiment !
Que la paix règne dans tes murs,
le bonheur dans tes palais !
À cause de mes frères et de mes proches,
je dirai : ‘‘Paix sur toi !’’.
À cause de la maison du Seigneur notre Dieu,
je désire ton bien » (Ps 122, 6-9)
Et l’Abbé de La Rocque (F$$PX), d’en profiter le samedi 7 juin dans son sermon au départ du pèlerinage de Chartres :
« Vous l’avez vu, atterrés, devant le Mur des lamentations, prier sans Notre Seigneur Jésus-Christ, que dis-je ? Par les mots mêmes de Notre Seigneur Jésus-Christ, bafouer Notre Seigneur Jésus-Christ.
S’adressant selon ces mots au Seigneur : « Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, Dieu de Jésus le Nazaréen »; ce sont les mots mêmes employés, écrits ! Jésus n’est-Il que comparable à Abraham, Isaac et Jacob ? Qui est ce Dieu de Jésus ? Pour ma part je ne connais que Jésus-Dieu !
C’est la Foi catholique elle-même qui me le dit, qu’Il est le Dieu incarné qui est venu nous sauver ! Devant ce qui est le drame d’une âme chrétienne notre seule réaction possible est précisément celle de la Croix ! Vous le savez, c’est la Rédemption qui nous le dit : Seule la Croix de NSJC sauve, ce ne peut pas être, ce ne doit pas être une simple réalité spéculative, dans nos têtes il faut que ce soit une réalité vécue ! »
(Abbé de La Rocque, Chartres le samedi 7 juin 2014)
À écouter ici à partir de 8’15 de l’enregistrement (-6:45) :
[audio:http://catholicapedia.net/audio/2014-06-07_ab-larocque_chartres.mp3|titles=Sermon, Chartres le samedi 7 juin 2014|artists=Abbé de La Rocque]
Ce que les inévitables “Frère copiste” du blogue d’Austremoine et “Gentiloup” du forum « Un évêque s’est levé ! » ont chichement rapporté dans la foulée !!!
Mais tout cela ne semble être que de la désinformation !!!
Pourquoi ? Par qui ??
Après plusieurs jours de recherche sur le Net… seuls les media français font état de cette “prière” certes scandaleuse… certes dans la logique et l’esprit de “Chaos Jorge” alias François Ø…
Mais aucun media international n’en fait état !!!
Par contre, que ce soit les média américains, juifs ou ceux du Vatican… tous parlent du « Pater Noster » en espagnol, car appris de sa mère (dixit www.news.va) :
Cité du Vatican, 25 mai 2014 (VIS). Après sa visite aux Autorités musulmanes de Jérusalem, le Pape François est descendu au Mur Occidental, lieu de prière fondamental pour les Juifs. Accompagné du rabbin en charge du sanctuaire, il s’est recueilli avant de glisser un papier dans un interstice de la muraille, comme l’avaient fait Jean-Paul II et Benoît XVI. Le Saint-Père a confié avoir copié le Pater en espagnol, car appris de sa mère. Ensuite, le Saint-Père a gagné le Mont Herzl.
(http://www.news.va/fr/news/le-pape-prie-au-mur-occidental-et-parle-au-yad-vas)
Les journaux israéliens Jewish Telegraphic Agency : « Pope’s Western Wall note contains Lord’s Prayer in Spanish » et Haaretz : « The note Pope Francis placed in the Kotel – Pope Francis visits the Holy Land Israel News » publiant même la copie récupérée au Kotel (3)…
papeFrançois a écrit la prière du Seigneur en espagnol sur une note qu’il a laissée entre les vieilles pierres du mur Occidental lors de sa visite à Jérusalem plus tôt cette semaine.
La Fondation du patrimoine du mur Occidental a publié le contenu de sa note manuscrite jeudi.
La lettre, qui a été retirée du mur est la version espagnole du Notre Père, une prière chrétienne principale.
« Padre nuestro que estás en el Cielo. »
« Notre Père
Qui es aux Cieux
Que Ton Nom soit sanctifié
Que Ton Règne vienne
Que Ta Volonté soit faite sur la terre comme au ciel
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux
Qui nous ont offensés
Et ne nous soumets pas à la tentation
Mais délivre-nous du mal
Car c’est à Toi qu’appartiennent : le Règne, la Puissance et la Gloire
Pour les siècles des siècles » a écrit le pape de son écriture cursive en espagnol sur du papier à l’en-tête papal. Elle était signée François.
Le pape a placé la note dans le mur lors de sa visite à Jérusalem lundi. La coutume de mettre des supplications écrites à Dieu entre les pierres du mur Occidental remonte à plusieurs siècles.
« Le mot du pape du mur Occidental a fuité auprès des médias » | The Times of Israël
Alors pourquoi ce mensonge ???
Ce qui est certain c’est que nous sommes maintenant dans un monde de menteurs… et pour cause ! son Prince … Satan que saint Jean appelle « le Prince du mensonge, le menteur »… « est homicide dès l’origine » !!!
Et dans les mêmes registres, ceux du Dieu d’Abraham et du Mensonge :
Événements
Tricherie
Découverte étonnante après la soirée de prières pour la paix dans les jardins du Vatican le dimanche de la Pentecôte. Prières en trois temps : communauté juive, communauté chrétienne et communauté musulmane. Prononcée en arabe, la prière de cette dernière communauté était incompréhensible pour beaucoup. Un livret avait donc été remis à tous les participants.
Surprise : une musulmane convertie, comprenant l’arabe, est stupéfiée d’entendre le priant musulman réciter (en arabe bien sûr) les derniers mots de la deuxième sourate du Coran : « Tu es notre Maître, accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles. »
Cette deuxième sourate, la plus longue, est une sorte de résumé hétéroclite du Coran et de la charia. Elle prône bien sûr le jihad, mais surtout elle est violemment anti-juive et anti-chrétienne. C’est dans cette sourate qu’on trouve (au verset 191) : « Et tuez-les où que vous les rencontriez (…) l’association est plus grave que le meurtre (…) et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. » L’association, cela signifie, en clair, le dogme de la Trinité.
Voilà donc une prière pour la paix qui se termine par un appel à la guerre contre les chrétiens ! Et, qui plus est, devant le “Pape”, chez lui, sous ses yeux !
Il est inutile de se demander qui aurait pu laisser passer cet appel à la victoire contre les « infidèles ». Le texte des prières avait été publié en plusieurs langues, et naturellement ce verset n’y figure pas. C’est le représentant musulman qui, au dernier moment, a ajouté ce qu’il devait ajouter pour être un bon musulman…
Abus de confiance.
Étienne Péléant – 11 juin 2013 – Fiche CLAIR et NET n° 16 ; Sources : Bernard Antony – Blog Daoudal
François reçoit la “taqqya” pour rançon de sa trahison envers le Christ !
Cette farce n’est qu’un scandale dans le scandale organisé par l’anti-pape.
Le principe des prières, dans l’ordre : juives, chrétiennes et musulmanes, dans les jardins du Vatican, se suffit à lui-même pour offenser Dieu en Sa Sainte Trinité et couvrir de honte tout catholique encore empreint de quelque bon sens.
Mais l’ironie de l’histoire c’est le scandale dans le scandale. Au Vatican, à l’ombre de Saint-Pierre de Rome, le Christ, chef de l’Église, c’est fait insulter par son pseudo représentant (pour le Monde…), François Ø, ce qui est la vraie tragédie, mais “Chaos Jorge” alias François, lui, c’est fait traiter en parfait dhimmi qu’il est par l’imam, qui pour rester fidèle à sa fausse et mauvaise religion, a utilisé la Taqqiya. C’est-à-dire qu’il n’a pas prononcé les paroles (en arabe) qu’il avait convenu de prononcer.
La taquia ou taqqiya … est l’obligation religieuse, qui s’impose à tout musulman, de mentir chaque fois que le mensonge est utile à l’islam.
Le sujet est emblématique et parfaitement “saint” pour un musulman : le droit de tromper et de mentir ! Le mensonge et la dissimulation font partie intrinsèque de la religion islamique.
Mais François Ø dans son mépris souverain pour les catholiques et dans sa dhimmitude pavlovienne pouvait-il seulement le lire ?
Cette tromperie d’imam est finalement la bonne blague de l’Histoire, qui nous venge un peu, un tout petit peu… Quel délice a posteriori cet antipape et ces “prélats” confits de ridicule devant ces imams, …
D’autant plus que si “Chaos Jorge” alias François s’est complu à humilier autant qu’il était en son pouvoir les catholiques par des repentances emplies de componction, les autres, bonnes pattes, faisaient l’aumône à l’“Église”, pour la paix, de bien vouloir entendre ses repentances…
Dixit (à peu près) la dame Gentiloup…
L’imam musulman à la prière pour la paix du Vatican priait pour « La victoire sur les infidèles »
Radio Vatican admet, reconnaît que l’Imam a effectivement récité le Passage du Coran controversé, priant pour la « Victoire sur les Infidèles » — mais dit que cela n’a pas d’importance… « infidèles » ne vise pas à inclure les Chrétiens ou les Juifs… il faut comprendre comment les musulmans prient, etc… (Allez dire cela aux chrétiens abattus au Moyen-Orient !)
Il est absolument effrayant de voir à quel point l’expert de l’Islam interrogé par Radio Vatican, le “père” Felix Körner, SJ, défend les musulmans et leur compréhension des choses, et d’assurer tout le monde que ce qui s’est passé dans les jardins du Vatican n’est pas vraiment grave, après qu’un autre jésuite, le “père” Bernd Hagenkord avait, dans un premier temps nié avec véhémence que l’imam avait même prononcé ces mots… D’après le texte publié par Radio Vatican, (lien ci-dessus et ici encore mais uniquement disponible en allemand), il est clair que ce jésuite (et, on peut présumer tous les Novus Ordos – conciliaires – en général, comme ils l’enseignent à l’Université pontificale grégorienne de Rome) croit fermement que le Coran parle de Dieu, le « vrai Dieu », et la seule différence pour le catholicisme est que les Musulmans ont des idées erronées ou déformées sur le vrai Dieu — mais que, pour toutes les intentions et les buts, il est le même Dieu pour les deux parties et nous pouvons tous apprendre de ce que le Coran dit à propos de Dieu, comme si les seules différences sont de savoir si nous pouvons dire ça sur Dieu plutôt que cela.
Ceci, bien sûr, est le passage à l’apostasie, où les derniers obstacles qui restaient encore vaguement traçant une ligne entre la « vraie religion » et la « fausse religion » sont complètement effacés. En fin de compte, toutes les différences religieuses seront réduites aux « perceptions différentes du même Dieu, la même Vérité, transmise par des traditions de foi différentes mais toutes aussi honorables. » Ceci est en opposition direct avec l’enseignement vraiment Catholique de la véritable Église immémoriale, énoncés par le Pape Pie XI, qui a dénoncé fermement cette fausse opinion qui considère que « les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance. » (Encyclique Mortalium Animos).
Le rouleau compresseur de la religion mondiale a juste mis le turbo, aidé et accéléré, comme d’habitude, par le Vatican Moderniste. Ils ont maintenant les Musulmans priant pour la « victoire sur les infidèles » directement là, dans les confins de ce qui est censé être le Saint-Siège, la Chaire de Vérité, la lumière du monde. Cela nous indique le chemin parcouru, mais comme sur des roulettes, les défenseurs professionnels de la secte conciliaire sont activement au travail pour nous dire une fois de plus que l’inquiétude des gens est tout à fait injustifiée et juste le résultat de leur propre ignorance et préjugés.
Pendant ce temps, les premiers résultats de la prière interreligieuse pour la paix sont : l’enfer éclate au Moyen-Orient : Églises brûlées, Plus de persécution par les islamistes…
(source : Novus Ordo Wire | Blog, News Archive at NOVUS ORDO WATCH : Did the Muslim Imam at the Vatican’s Prayer for Peace pray for “Victory over the Infidels”?)
>>>La plus grande ville chrétienne d’Irak menacée par des djihadistes – Catholicisme – La Vie
Vidéo de l’imam musulman à la prière pour la paix du Vatican
[1] Le nom d’Abraham remplit le Koran tout entier ; il est la vie de l’Islam. C’est Abraham que Mahomet a voulu substituer à Jésus-Christ.
[2] Pascal a dit avec son style marqué au coin de la concision et de la justesse d’expression : « Les Juifs ont tant aimé les choses figurantes et les ont si bien attendues, qu’ils ont méconnu la réalité, quand elle est venue dans le temps et en la manière prédite ». Pensées, art. vii.
[3] Le Mur occidental (hébreu : הכותלהמערבי, translittération : HaKotel HaMa’aravi), également appelé HaKotel (« le Mur »), mur des Lamentations (arabe : il-Mabka) et, depuis les années 1920, El-Bourak, est un mur de soutènement de l’esplanade du Temple de Jérusalem situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem datant du Ier siècle av. J.-C., lors de la construction du Temple d’Hérode à la fin de l’époque du Second Temple. Il a été intégré au VIIe siècle aux murs d’enceinte de l’Esplanade des mosquées, ou Mont du Temple, lors de la construction du Dôme du Rocher et de la mosquée al-Aqsa.
Il est révéré par les juifs pour sa proximité avec le Saint des Saints, situé sur le mont du Temple et est de ce fait considéré comme l’endroit le plus saint (généralement accessible) aux Juifs pour la prière.
Le Mur occidental est également un symbole national israélien, et des cérémonies non intrinsèquement religieuses s’y tiennent, notamment la commémoration des soldats morts pour la patrie et des victimes du terrorisme anti-israélien. (Mur occidental — Wikipédia)