PAPA SUPERSTAR
Nos confrères de Radio Cristiandad (La Voz de la Tradición Católica) ont publié le 30 janvier dernier, un article d’Osko, (l’auteur de l’article) intitulé « Un « Papa » SuperStar » suite à la « Une » de la revue rock emblématique Rolling Stone sur Bergo(go)glio 1er.
Cet article nous a apparu assez intéressant et amusant pour vous en proposer la traduction en français…
Sortie prochaine d’un opéra-rock :
Papa SuperStar
Le « Pape » SuperStar
Et pourquoi pas ? Puisqu’on a déjà connu un « opéra » irrespectueux et à coup sûr blasphématoire consacré au personnage de Jésus-Christ (ou ce que les jobards entendent par Jésus-Christ), pourquoi ne pas mettre en scène un opéra-rock dont les superstars seraient les pseudo-papes conciliaires ?
Sur le lien ci-après, on peut voir de quelle manière, au Vatican lui-même, se conçoit et se diffuse une telle chose, à savoir le Superpape Superstar :
Bergoglio vient de réussir ce à quoi aucun de ses prédécesseurs n’était parvenu : faire la couverture de Rolling Stone. Cette revue rock emblématique, véritable icône du journalisme spécialisé dans la sous-culture moderne, également irrespectueuse et bien souvent blasphématoire, a mis le paquet sur l’intéressé dans ce numéro des plus inédits.
Auparavant, Bergoglio avait déjà fait par deux fois la couverture de l’hebdomadaire Time. Et il va de soi que ce sont là des événements capitaux, comme les deux pointes d’un iceberg constituant autant de rappel de l’importance effrayante que le monde et ses principaux moyens de destruction… pardon d’information massive accordent à la personne « papale »… c’est-à-dire à l’apport des usurpateurs du Siège apostolique à la construction du Nouvel Ordre Mondial, que ces mêmes médias aident manifestement à mettre en place.
Radio Cristiandad a publié un article intitulé « Simpatía por el Demonio » (voir plus bas la traduction en français), d’après la chanson du groupe de rock Rolling Stones dont le titre anglais original est Sympathy for the Devil (Sympathie pour le Démon), ce groupe étant l’homonyme de la revue en question, à un S près.
Radio Cristiandad situe Bergoglio en un lieu et en une compagnie que l’intéressé mérite à l’évidence, car ce cher « Appelez-moi-George » occupe sans discussion une place importante parmi les mondialistes modernes.
Quelques heures après, le « père » Lombardi, porte-parole du Saint-Siège, a fait une déclaration sur l’article publié dans Rolling Stone (certes, il ne va pas citer Radio Cristiandad… Je tiens à le préciser afin d’éviter les interprétations et(ou) soupçons que pourraient faire et(ou) nourrir les Syllabus (1) et compagnie).
Il semble que Lombardi n’ait pas apprécié une certaine « superficialité » de la revue rock… Incroyable, n’est-ce pas ?…
Selon ce qu’écrit Clarín (2) :
« Le porte-parole Federico Lombardi a déclaré que la revue critiquait le pontificat de ce Pape éminent avec une « surprenant grossièreté ». Il a cependant souligné que François ferait la couverture du prochain numéro. »
Clarín indique encore :
« Lombardi insiste sur le fait que la revue musicale a mis le pontife argentin en couverture, ce en quoi il voit “un signe de l’attention que les nouveautés apportées par le pape suscitent dans les milieux les plus divers”. Il se plaint toutefois que dans le corps de l’article, “on tombe dans le défaut habituel d’un journalisme superficiel” consistant à décrire en termes négatifs le pontificat du pape Benoît XVI sous couleur de faire ressortir les aspects positifs du pape François.
Mark Binelli, auteur de l’article de Rolling Stone, qui avait été envoyé à Rome pour y décrire la manière dont François s’efforce de devenir « le Pape du peuple » et de se distinguer de ses prédécesseurs, décrit Benoît XVI comme un traditionaliste ressemblant à Freddy Krugger (3).
En revanche, il écrit ceci : « Échappant au palais papal pour occuper un modeste deux-pièces, reprochant aux éminences de l’Église d’être obsédées par des questions telles que le mariage gay, la contraception et l’avortement, et consacrant une grande partie de son premier texte pontifical à une critique féroce du capitalisme de libre marché, le Pape révèle son obsession à lui, qui est d’être davantage dans la ligne du fils du chef. »
Enfin, n’est-elle pas géniale, la comparaison de Ratzinger avec un traditionaliste de type Freddy Krugger faite par le « père » Lombardi ?… À ceci près que ce n’est pas la revue rock qui l’a faite. C’est Lombardi qui l’a faite tout seul, comme un grand. Incidemment, nous autres traditionalistes serions donc autant de Freddy Krugger aux yeux du « père » ? (Eh bien, nous viendrons hanter tes rêves, Lombardi !)
En outre, que Lombardi et compagnie ne viennent pas faire mine de déchirer leur vêtements, car c’est le Vatican qui, en premier, a insisté médiatiquement et hypocritement sur l’« humilité », l’« austérité », l’« honnêteté » du « pape » argentin. Il est donc tout à fait logique que les médias – dont nous savons fort bien qui sont les commanditaires – tirent parti de cela et parviennent à de telles conclusions. À quoi d’autre fallait-il s’attendre ?
Cette promiscuité avec le monde et ses inimaginables immondices du moment, qui caractérise l’église Conciliaire prostituée, ne pouvait aboutir à rien d’autre. Voyez ce qui est censé arriver à la prostituée de l’Apocalypse… et venez me le raconter ensuite.
Le monde moderne s’est construit sans le Christ. Nous savons que quiconque n’amasse pas avec le Christ disperse, ce qui signifie tout bonnement qu’il n’existe pas la moindre possibilité de construire une société saine si on ne la place pas sous le Labarum du Christ. Comme nous le savons aussi, qui n’est pas avec le Christ est contre Lui. Ce sont là des vérités élémentaires qu’ont préféré oublier ceux qui prétendaient construire le monde en faisant comme s’il n’était pas contre le Christ.
C’est là une supposition naïve, absurde et fausse. Or, si l’on y regarde bien, c’est exactement la position du “Concile Vatican II” : « Tout le monde n’est pas contre le Christ. Construisons avec les autres un monde meilleur. Laissons un instant de côté ces choses qui nous divisent et retenons celles qui nous unissent. »
Entre parenthèses, il en va de même des inepties de Monseigneur Fellay et de son clan lorsqu’ils soutiennent : « Les membres de l’Église officielle ne font pas tous partie de l’Église conciliaire. Traitons avec eux pour parvenir à une restauration dans l’Église… »
À supposer qu’il existe en face une bonne volonté (ce qui n’est pas le cas), il est de toutes manières impossible de rien construire, et les faits ne cessent de démontrer que le monde va de plus mal… Alors que selon les mondialistes – y compris Bergoglio et beaucoup d’autres hiérarques de l’église Conciliaire apostate –, le monde va plutôt bien en dépit de tout.
Comment rentrer à la maison, Bernie ?
Bergoglio n’a-t-il pas affirmé récemment que l’Église traversait un de ses meilleurs moments historiques ?
L’église Conciliaire, peut-être… Elle est âgée d’à peine cinquante ans, et de fait, elle se renforce…
Ces temps-ci, il est évident que les « Papes » conciliaires ont excessivement bonne presse. Par exemple, quelqu’un a volé dernièrement je ne sais quelle « relique » de l’Innommable Grand, et tous les médias de s’en faire l’écho. Je crois savoir qu’il s’agit du pseudo-bienheureux, prochainement pseudo-saint, dont la « relique » a été volée à des fins sacrilèges, voire satanistes (il paraît que tel serait le mobile du vol), mais on ne peut décidément plus se fier à rien ni à personne, et si j’étais un sataniste ayant volé une fausse relique comme celle-ci, je tiendrais à savoir où présenter ma réclamation officielle pour tromperie sur la marchandise…
Car un saint n’est-il pas censé être… saint ? On assiste donc à une véritable escroquerie aux dépens de la foi, ou plutôt de l’Anti-Foi du sataniste en question. En effet, ce malheureux a été trompé dans ses plus profondes convictions religieuses, ainsi que dans sa conscience, qui lui assure qu’il a toute liberté de se livrer au satanisme (il va de soi qu’en écrivant cela, je m’en tiens au texte des documents conciliaires sur la liberté religieuse).
De sorte qu’en plus de faire repentance, l’église Conciliaire devrait à tout le moins organiser une cérémonie de réparation (interreligieuse et œcuménique, bien entendu), en invitant tous les satanistes du monde à s’unir en une journée de prières et de jeûne dans l’intention, par exemple, de demander à…, bref, pour que chacun demande à qui il voudra (et à voix basse, afin d’éviter les ennuis) que les reliques en question soient vraiment bénies et ne soient pas fausses (c’est difficile, nous le savons).
Imaginez la frustration de ces gens (je parle des satanistes) s’ils se rendent compte que les Papes conciliaires sont faux (frustration qu’ils partageront du reste avec les catholiques, qui croient pour l’instant la même chose qu’eux). Il importe d’éclaircir ces affaires, car on a la sensation d’assister à la rupture d’un délicat équilibre « cosmique »… ou également « comique », quand bien même il y a belle lurette que nous nous sommes lassés d’en avoir tant ri.
Nous formons des vœux pour que les satanistes sachent une bonne fois à quoi s’en tenir. Nous autres catholiques aussi, du reste, car on ne voit guère qui d’eux ou de nous sont les plus désorientés…
Nous espérons voir les protestants recommencer à crier dans les rues « À bas le papisme ! », « Le Pape est l’Antéchist ! » et autres slogans du même style, contrecarrés jadis par des catholiques massés autour d’un Pape qui était vraiment Pape (non comme aujourd’hui) et qui fulminait condamnations et anathèmes à droite et à gauche… cela, oui, c’était clair et net.
Aujourd’hui, les « Papes » conciliaires n’anathématisent même plus le démon, et les protestants ne protestent plus, reniant ainsi leurs origines et leur raison d’être, n’honorant plus leur nom même ; ils se bornent à élaborer des campagnes de marketing leur permettant de suivre leur progra… (pardon) de continuer a croître en nombre ou, du moins, à ne pas décroître.
Au fait, maintenant que j’y pense, la F$$PX est tombée, elle aussi, dans le marketing « bisounours », avec son engouement tout neuf pour le branding, la « marque », l’image et tout ce qui s’ensuit… Et les gens de la fausse résistance également…
Nous autres, en revanche, aimons les évêques qui condamnent, qui crient et qui accusent les gouvernants pour leurs hérésies, leurs excès, leurs vols, leurs péchés et l’augmentation des impôts… Que se manifestent de nouveaux Robespierre et de nouveaux Voltaire pour mettre le feu aux sociétés au cri de « Écrasez l’Infâme ! », afin que surgissent des réactionnaires, des Vendéens, des Cristeros et des nationaux, des franquistes, des légionnaires et des phalangistes aux chemises bleues, avec des heurts dans les rues, ainsi que des morts de part et d’autre…
Oui, nous voulons tout cela. Car nous en avons jusque là de toute cette m…. qui a pour nom le monde moderne.
Parce qu’en plus, ce que nous vivons est mille fois pire que la pire de toutes les guerres. D’une guerre franche, on sort vainqueur ou vaincu, héros ou martyr. Mais avec ce que nous vivons, nous finirons tous apostats, à moins que la Grâce et l’infinie Miséricorde de Dieu ne nous maintiennent fermes dans la Foi, l’objectif des créateurs de l’actuel état de choses (qui est diabolique) n’étant autre que la disparition de la Foi dans le monde entier.
S’il n’y a pas de persécutions, il n’y aura pas de martyrs, et cela ne peut être une bonne chose.
J’ai commencé cet article dans un esprit de semi-plaisanterie, et je me suis laissé dévier des choses sérieuses.
Elles ne sont pas vraiment gaies, les pensées qui nous viennent depuis quelque temps…
Vous le savez bien, ami lecteur : la seule vision de ce qui se passe dans le monde a de quoi étreindre l’âme d’angoisse. Et vous me comprendrez si je dis qu’à tout instant, on se sent l’âme abattue à force d’être empoisonnée par ce que l’on vit.
Revenons-en donc à ce qui a suscité la rédaction de ces lignes.
Jorge Mario Bergoglio a l’« honneur » d’être le premier “occupant” du siège de Pierre à figurer en couverture de Rolling Stone, importante revue rock et modernisante.
Mais au surplus, il est aussi le premier Argentin à figurer en couverture de cette revue. On se demande alors : « comment est-ce possible ? » Et nous sommes certains que les « figures éminentes » de la scène musicale argentine se posent la même question. Imaginons ce que pense un Charly García (4), par exemple : le gars doit en ressentir une intense frustration.
Rolling Stone et une revue fondée en 1965, donc marquée par l’empreinte destructrice et révolutionnaire de cette décennie maudite, où commencèrent et s’accomplirent tant de choses néfastes.
Rien de tout cela ne saurait être dû au hasard, car à cette même époque, le “Concile Vatican II” était en plein boum.
Bergoglio est le rejeton de ce concile, de cette pseudo-culture et de cette décennie.
Il est donc on ne peut plus normal qu’hommage lui soit rendu, que l’on diffuse sa pensée et que l’on applaudisse à ses efforts, car ils vont dans la même direction et visent les mêmes objectifs.
Comment imaginer un vrai Pape faisant la couverture de Rolling Stone ou de tout autre organe du même tonneau ? On pourra bien soutenir que du temps des vrais Papes, ce genre de revue ou de magazine n’existait pas, mais qui peut le garantir ? S’il en existait alors, elles avaient à coup sûr d’autres références, une tout autre allure. Car le problème, ce n’est pas la forme, c’est ce qu’elle transmet. Ce qui importe, c’est le contenu. Et pour le vérifier, regardons-y d’un peu plus près.
« Comme les grandes stars du rock, le Pape François fait la couverture de la légendaire revue Rolling Stone.
« Le pontife argentin fait fureur par son humilité et son austérité. Voici la couverture de la revue de rock, dont le titre est “La révolution du gentil Pape vue de l’intérieur” ».
Que l’intéressé fasse « Fureur » par son humilité et son austérité, voilà qui prête à rire. Le « comme les grandes stars du rock » fait songer à une plaisanterie également.
L’allusion au « gentil Pape » me laisse perplexe. Comme il va être « gentil », Bergoglio ! Dans le meilleur des cas, et d’un point de vue biblique, c’est un apostat. Mais en réalité, il est « des nôtres », mec… Il est « des nôtres ».
Une telle publicité finit par porter ses fruits. Voilà pourquoi Bergoglio, cet homme qui est « des nôtres », qui est ami « des nôtres », peut compter sur toutes les sympathies que le monde est capable d’accorder.
Tous applaudissent Bergo(go)glio. Il doit en être ravi, car il peut bien faire tout ce qui lui chante, cela ne lui en attire pas moins les amitiés et les sympathies de tous, en particulier celles de ses amis, « les nôtres ».
Où peut-on entendre une seule voix critiquer ou condamner Bergoglio ?
Où peut-on voir un se manifester un doute, une réticence… Quoi que ce soit contre Bergoglio ?
Nous parlons ici de sites considérés comme « sérieux » ou « respectables » et ayant en plus un véritable impact mondial.
Après tout, Bergoglio ne parle-t-il pas le même langage qu’eux ? Voici la traduction des paroles de la chanson des Rolling Stones intitulée Sympathy for the Devil (sympathie pour le démon) :
« Comme tout policier est un criminel
Comme tout pécheur est un saint
Comme pile et face se valent
Appelle-moi juste Lucifer
Ravi de te connaître
J’espère que tu as deviné mon nom
Mais ce qui te déroute
C’est la nature de mon jeu.
Qui suis-je pour juger
Ce qu’il y a dans chaque conscience ?
Croix ou pile, appelle-moi juste “Père”
Ravi de te connaître
J’espère que tu sais mon nom
Je sais que ça te déconcerte
Mais « appelle-moi-George »
Le texte de cette chanson est diffusé aujourd’hui dans des revues et des moyens d’information de masse, et tout le monde entonne sa « Sympathie pour Bergoglio ». Bon, d’accord, nous l’avons quelque peu retouchée, mais au fond, le message n’est-il pas le même ?
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Source : OSKO, Radio Cristiandad : http://radiocristiandad.wordpress.com/2014/01/30/osko-un-papa-superstar/
Traduction CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)
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Sympathy for the Devil
(sympathie pour le diable)
Il s’agit là d’une célèbre chanson des Rolling Stones, qui se font appeler aussi Leurs Majestés Sataniques (titre d’un album de ce groupe paru sans grand succès en 1967). Ils n’ont jamais cessé de l’interpréter en concert depuis 1968, année de sa sortie. Ce qui se passe actuellement à Rome est très intéressant si on le compare au texte de cette chanson, dont voici une partie :
De même que tous les flics sont des criminels
Et tous les pécheurs des saints
De même que pile égale face,
Appelez-moi simplement Lucifer
Car j’ai besoin de montrer quelque modestie
Alors, si vous me rencontrez, ayez un peu de courtoisie
Un peu de compassion et de bon goût
Usez de toute votre politesse bien apprise
Ou je jetterai votre âme aux ordures
Enchanté de vous connaître
J’espère que vous devinez mon nom
Mais ce qui vous intrigue,
C’est de comprendre en quoi consiste mon jeu
Comme l’exprime ce texte à propos de Lucifer, le « jeu » de Bergoglio ne déconcerte que les naïfs, et il est frénétiquement applaudi par la presse sataniste.
« De l’intérieur de la révolution du gentil Pape » : tel est le titre de couverture de Rolling Stone dans son édition nord-américaine, cette couverture étant la première que la revue ait consacrée à un “Pape de l’Église catholique”.
Rolling Stone a envoyé à Rome le journaliste Mark Binelli, qui a réalisé, sur la nouvelle réalité du Vatican suscitée par le pontife, un reportage spécial intitulé « Les temps changes », titre évoquant un disque et une chanson du rocker Bob Dylan (The times they are a-changin’)
L’article en question, qui sera dans les kiosques vendredi 31/01/2014, souligne notamment ceci :
« En moins d’un an depuis le début de son pontificat, il a beaucoup fait pour se distinguer des Papes antérieurs et s’établir comme “le Pape des gens”.
« François a choisi de ne pas vivre au palais, mais de se loger dans la maison d’hôtes du Vatican, échappant de la sorte à l’isolement des clercs du Vatican. Il se déplace en Ford Focus, et non en limousine avec chauffeur, il paie ses dépenses et établit lui-même son agenda ».
Il est inédit de voir un “Pape” faire la couverture de la revue musicale Rolling Stone, bien que celle-ci ait déjà offert sa couverture à des personnalités de la politique mondiale telles que de récents présidents des États-Unis ou leur prédécesseur George W. Bush.
En décembre dernier, pape François avait fait la couverture d’une autre prestigieuse revue des États-Unis, Time, qui l’avait alors désigné comme étant la personnalité la plus marquante de l’année 2013.
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Source : Radio Cristiandad : http://radiocristiandad.wordpress.com/2014/01/28/simpatia-por-el-demonio/
Traduction CatholicaPedia.net
(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)
[1] NdT : Nom d’un blog hispanophone qui se réclame de la « tradition catholique antilibérale, antimoderniste, anti-pharisaïque et contre-révolutionnaire » et qui a pris nettement ses distances avec la FSSPX.
[2] NdT : Site d’information argentin : http://www.clarin.com/
[3] Personnage terrifiant d’une série télévisée d’horreur (!)
[4] Chanteur-auteur-compositeur de la scène « rock » argentine.