Pas un jour ne se passe sans que ce Chaos Jorge ne fasse de frasques blasphématoires envers Notre Seigneur Jésus-Christ…
C’est comme si François se réveillait tous les matins en se demandant : « Que puis-je faire aujourd’hui pour convaincre les gens que je ne suis pas le Pape ?! »
Comme quelqu’un l’a une fois dit, “il est beaucoup plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés”.
François Ø est un apostat et un blasphémateur. Une chose qu’il n’est pas… c’est « Pape de l’Église catholique » !!!
* * *
La dernière en date (? Peut-être pas !… celle-ci date du 6 janvier, « Épiphanie de Notre Seigneur » !), est celle de la première “intention universelle” du « Réseau Mondial de Prière du Pape » anciennement appelé « Apostolat de la prière » de l’année 2016 sur le dialogue interreligieux : « Pour que le dialogue sincère entre les hommes et les femmes de différentes religions porte des fruits de paix et de justice »(1) :
La mission du nouvel Apostolat de la prière
Le “père” jésuite Frédéric Fornos, le directeur du Réseau officiel de prière du “Pape” dans le monde est venu dans les studios de Radio Vatican pour nous la présenter :
À noter : depuis l’ouverture de l’ “Année Sainte” voulue par “pape” François et à l’occasion des fêtes de Noël 2015 – comme depuis que Chaos Jorge Mario Bergoglio est assis en usurpateur sur la chaire de Pierre – le nombre de “fidèles” (d’infidèles à l’Église catholique) qui se sont rendus au confessionnal n’a pas augmenté, ni en temps normal, ni dans les périodes de fêtes. La tendance à une diminution progressive et rapide de la fréquence du recours à la réconciliation “sacramentelle” qui a caractérisé les dernières décennies n’a pas été arrêtée. Bien au contraire : jamais comme au moment des récentes fêtes de Noël les confessionnaux des églises n’ont été autant désertés… (Lire à ce sujet la lettre d’un pseudo-prêtre au vaticaniste Sandro Magister)
…son “Apostolat de la prière” devrait donc mériter le même fiasco !!!
François promeut avec audace la Religion du Monde Unifié
Par Novus Ordo Watch
Frank-le-Chaos a remis ça ! Décidément, cet homme-là ne saurait nous décevoir. Il est même la meilleure publicité que nous ayons jamais eue en faveur de la position théologique catholique dite du sédévacantisme.
Avec un timing parfait — c’est-à-dire coïncidant avec la sortie officielle du nouveau livre anti-sédévacantiste « Vrai ou Faux Pape ? », ce même faux « pape », justement, qui occupe à l’heure actuelle le Vatican (Jorge Bergoglio) —, il vient d’être diffusé une « vidéo pontificale » officielle, première d’une série de clips mensuels dans lesquels le « Saint Père » annoncera en personne ses intentions de prière pour l’église universelle (la secte de la religion Marrane). Un site Internet spécial a été créé, qui diffusera chaque mois un nouveau clip : thepopevideo.com.
La première vidéo fait apparaître dans toute sa gloire la fausse religion du monde unifié promue par Bergoglio. L’apostasie y est d’une brutalité renversante. Comme la chose dure moins de deux minutes, mieux vaut renoncer à tout commentaire et vous recommander simplement de regarder et d’écouter par vous-même. Tâchez de supporter l’épreuve jusqu’au bout, car c’est à la fin qu’arrive le pire :
Attention, François Parle
PRUDENCE ! Ceci est une production « François »
Dites donc, il fait même allusion au Fils de Dieu, Deuxième Personne de la Très Sainte Trinité et Créateur du monde ! Vous savez bien, Celui qui a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean, 14 :6) ; « car si vous ne croyez pas que je suis le Messie, vous mourrez dans votre péché » (Jean, 8 :24) ; « Celui qui croira et sera baptisé, sera sauvé ; celui qui ne croira pas, sera condamné » (Marc, 16 :16) ; « Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie ; mais la colère de Dieu demeure sur lui » (Jean, 3 :36) ; « car, séparés de moi, vous ne pouvez rien faire » (Jean, 15 :5). Encore faut-il sans doute s’estimer heureux que le Seigneur Jésus-Christ ait été ne serait-ce que mentionné, car une telle allusion sera sans doute bientôt jugée « conservatrice ».
À propos, il s’agit bien de ce même Dieu qui S’est montré assez clair sur Son propre statut dans l’Ancien Testament : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Exode, 20 :3) ; « Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, vous tous habitants de la terre, car je suis Dieu, et il n’y en pas point d’autre » (Isaïe, 45 :22) ; « N’allez pas après d’autres dieux pour les servir et les adorer ; ne m’irritez pas par l’ouvrage de vos mains, et je ne vous ferai aucun mal » (Jérémie, 25 :6) ; « Car tous les dieux des païens sont des démons ; mais le Seigneur a fait les cieux » (Psaume 95 :5).
Cet abominable spectacle anti-catholique vient tout droit de l’enfer. Car c’est un blasphème de la pire nature de mettre ainsi l’unique Vrai Dieu – Père, Fils et Saint Esprit – au niveau des fausses divinités ! Ces propos ne peuvent se justifier en disant que François s’efforce par là de promouvoir la paix et la coopération entre personnes de différentes religions, car il n’est pas permis de le faire aux dépens de la vérité et de l’honneur du Dieu Tout-Puissant. On ne saurait par où commencer pour citer tous les enseignements catholiques traditionnels qui condamnent sans équivoque une telle apostasie. En voici une petite sélections (c’est nous qui soulignons) :
Vérification catholique de la réalité
En 1925, le Pape Pie XI, revenant sur son encyclique inaugurale Ubi Arcano — adoptée trois ans auparavant — résumait en ces termes l’enseignement catholique sur la vraie paix :
« Dans la première Encyclique qu’au début de Notre Pontificat Nous adressions aux évêques du monde entier, Nous recherchions la cause intime des calamités contre lesquelles, sous Nos yeux, se débat, accablé, le genre humain.
Or, il Nous en souvient, Nous proclamions ouvertement deux choses : l’une, que ce débordement de maux sur l’univers provenait de ce que la plupart des hommes avaient écarté Jésus-Christ et sa loi très sainte des habitudes de leur vie individuelle aussi bien que de leur vie familiale et de leur vie publique ; l’autre, que jamais ne pourrait luire une ferme espérance de paix durable entre les peuples tant que les individus et les nations refuseraient de reconnaître et de proclamer la souveraineté de Notre Sauveur. C’est pourquoi, après avoir affirmé qu’il fallait chercher la paix du Christ par le règne du Christ, Nous avons déclaré Notre intention d’y travailler dans toute la mesure de Nos forces ; par le règne du Christ, disions-Nous, car, pour ramener et consolider la paix, Nous ne voyions pas de moyen plus efficace que de restaurer la souveraineté de Notre Seigneur. »
Dans son encyclique capitale sur la véritable unité religieuse et les erreurs de l’œcuménisme, Pie XI insistait sur l’essentiel :
« Jamais peut-être dans le passé, les esprits des hommes n’ont été saisis aussi fort que nous le voyons de nos jours, du désir de renforcer et d’étendre pour le bien commun de la société humaine, les relations fraternelles qui nous lient à cause de notre communauté d’origine et de nature.
Les peuples, en effet, ne jouissent pas encore pleinement des bienfaits de la paix ; et même, çà et là, de vieilles et de nouvelles discordes provoquent l’éruption de séditions et de guerres civiles. Par ailleurs, la plupart, assurément, des controverses qui touchent à la tranquillité et à la prospérité des peuples ne peuvent d’aucune manière recevoir de solution sans l’action concertée et les efforts des chefs des États et de ceux qui en gèrent et poursuivent les intérêts. On comprend donc aisément, et cela d’autant mieux que plus personne ne refuse d’admettre l’unité du genre humain, pourquoi la plupart des hommes désirent voir, au nom de cette fraternité universelle, les divers peuples s’unir entre eux par des liens chaque jour plus étroits.
C’est un résultat semblable que d’aucuns s’efforcent d’obtenir dans les choses qui regardent l’ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu’il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l’espoir qu’il serait possible d’amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C’est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre appréciable d’auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.
De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance. En vérité, les partisans de cette théorie s’égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l’athéisme. La conclusion est claire : se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée. »
Son prédécesseur, le Pape Léon XIII avait identifié comme « la grande erreur du temps présent » la peste de l’indifférentisme, l’erreur qui « consiste à reléguer au rang des choses indifférentes le souci de la religion, et à mettre sur le pied de l’égalité toutes les formes religieuses », le même pape a mis en garde, « à lui seul, ce principe suffit à ruiner toutes les religions, et particulièrement la religion catholique, car, étant la seule véritable, elle ne peut, sans subir la dernière des injures et des injustices, tolérer que les autres religions lui soit égalées. » (Léon XIII, Encyclique Humanum Genus, n. 16).
Son autre prédécesseur saint Pie X avait déjà condamné en des termes très clairs les erreurs du Sillon en France, qui s’efforçait, lui aussi, de promouvoir une société juste, humaine, pacifique et fraternelle divorcée de l’Église catholique. Il précisa bien que de telles erreurs ne pouvaient être tolérées :
« on ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l’a bâtie ; on n’édifiera pas la société, si l’Église n’en jette les bases et ne dirige les travaux ; non, la civilisation n’est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est ; c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l’utopie malsaine, de la révolte et de l’impiété : omnia instaurare in Christo. » [tout restaurer dans le Christ]
[…]
« Il en est de même de la notion de fraternité, dont ils mettent la base dans l’amour des intérêts communs, ou, par delà toutes les philosophies et toutes les religions, dans la simple notion d’humanité, englobant ainsi dans le même amour et une égale tolérance tous les hommes avec toutes leurs misères, aussi bien intellectuelles et morales que physiques et temporelles. Or, la doctrine catholique nous enseigne que le premier devoir de la charité n’est pas dans la tolérance des convictions erronées, quelques sincères qu’elles soient, ni dans l’indifférence théorique ou pratique pour l’erreur ou le vice où nous voyons plongés nos frères, mais dans le zèle pour leur amélioration intellectuelle et morale non moins que pour leur bien-être matériel. Cette même doctrine catholique nous enseigne aussi que la source de l’amour du prochain se trouve dans l’amour de Dieu, père commun et fin commune de toute la famille humaine, et dans l’amour de Jésus-Christ, dont nous sommes les membres au point que soulager un malheureux, c’est faire du bien à Jésus-Christ lui-même. Tout autre amour est illusion ou sentiment stérile et passager. Certes, l’expérience humaine est là, dans les sociétés païennes ou laïques de tous les temps, pour prouver qu’à certaines heures la considération des intérêts communs ou de la similitude de nature pèse fort peu devant les passions et les convoitises du cœur. Non, Vénérables Frères, il n’y a pas de vraie fraternité en dehors de la charité chrétienne, qui, par amour pour Dieu et son Fils Jésus-Christ notre Sauveur, embrasse tous les hommes pour les soulager tous et pour les amener tous à la même foi et au même bonheur du ciel.
[…]
« Et maintenant, pénétré de la plus vive tristesse, Nous Nous demandons, vénérables Frères, ce qu’est devenu le catholicisme du Sillon. Hélas, lui qui donnait autrefois de si belles espérances, ce fleuve limpide et impétueux a été capté dans sa marche par les ennemis modernes de l’Église et ne forme plus dorénavant qu’un misérable affluent du grand mouvement d’apostasie organisé, dans tous les pays, pour l’établissement d’une Église universelle qui n’aura ni dogmes, ni hiérarchie, ni règle pour l’esprit, ni frein pour les passions et qui, sous prétexte de liberté et de dignité humaine, ramènerait dans le monde, si elle pouvait triompher, le règne légal de la ruse et de la force, et l’oppression des faibles, de ceux qui souffrent et qui travaillent.
[…]
« Nous voulons attirer votre attention, Vénérables Frères, sur cette déformation de l’Évangile et du caractère sacré de Notre-Seigneur Jésus-Christ, Dieu et Homme, pratiquée dans le “ Sillon ” et ailleurs. Dès que l’on aborde la question sociale, il est de mode, dans certains milieux, d’écarter d’abord la divinité de Jésus-Christ, et puis de ne parler que de sa souveraine mansuétude, de sa compassion pour toutes les misères humaines, de ses pressantes exhortations à l’amour du prochain et à la fraternité. Certes, Jésus nous a aimés d’un amour immense, infini, et il est venu sur terre souffrir et mourir pour que, réunis autour de lui dans la justice et l’amour, animés des mêmes sentiments de charité mutuelle, tous les hommes vivent dans la paix et le bonheur. Mais, à la réalisation de ce bonheur temporel et éternel, il a mis, avec une souveraine autorité, la condition que l’on fasse partie de son troupeau, que l’on accepte sa doctrine, que l’on pratique la vertu et qu’on se laisse enseigner et guider par Pierre et ses successeurs. Puis, si Jésus a été bon pour les égarés et les pécheurs, il n’a pas respecté leurs convictions erronées, quelque sincères qu’elles parussent ; il les a tous aimés pour les instruire, les convertir et les sauver. S’il a appelé à lui pour les soulager, ceux qui peinent et qui souffrent, ce n’a pas été pour leur prêcher la jalousie d’une égalité chimérique. S’il a relevé les humbles, ce n’a pas été pour leur inspirer le sentiment d’une dignité indépendante et rebelle à l’obéissance. Si son cœur débordait de mansuétude pour les âmes de bonne volonté, il a su également s’armer d’une sainte indignation contre les profanateurs de la maison de Dieu, contre les misérables qui scandalisent les petits, contre les autorités qui accablent le peuple sous le poids de lourds fardeaux sans y mettre le doigt pour les soulever. Il a été aussi fort que doux ; il a grondé, menacé, châtié, sachant et nous enseignant que souvent la crainte est le commencement de la sagesse et qu’il convient parfois de couper un membre pour sauver le corps. Enfin, il n’a pas annoncé pour la société future le règne d’une félicité idéale, d’où la souffrance serait bannie ; mais, par ses leçons et par ses exemples, il a tracé le chemin du bonheur possible sur terre et du bonheur parfait au ciel : la voie royale de la croix. Ce sont là des enseignements qu’on aurait tort d’appliquer seulement à la vie individuelle en vue du salut éternel ; ce sont des enseignements éminemment sociaux, et ils nous montrent en Notre-Seigneur Jésus-Christ autre chose qu’un humanitarisme sans consistance et sans autorité. »
Au début de son glorieux et saint pontificat, le même Pape Pie X formulait déjà, en se lamentant, la mise en garde suivante :
« De nos jours, il n’est que trop vrai, “les nations ont frémi et les peuples ont médité des projets insensés” (Ps. II, 1) contre leur Créateur ; et presque commun est devenu ce cri de ses ennemis : “Retirez-vous de nous” (Job, XXI, 14). De là, en la plupart, un rejet total de tout respect de Dieu. De là des habitudes de vie, tant privée que publique, où nul compte n’est tenu de sa souveraineté. Bien plus, il n’est effort ni artifice que l’on ne mette en œuvre pour abolir entièrement son souvenir et jusqu’à sa notion.
Qui pèse ces choses a droit de craindre qu’une telle perversion des esprits ne soit le commencement des maux annoncés pour la fin des temps, et comme leur prise de contact avec la terre, et que véritablement “le fils de perdition” dont parle l’Apôtre (2 Thess. II, 3) n’ait déjà fait son avènement parmi nous. Si grande est l’audace et si grande la rage avec lesquelles on se rue partout à l’attaque de la religion, on bat en brèche les dogmes de la foi, on tend d’un effort obstiné à anéantir tout rapport de l’homme avec la Divinité ! En revanche, et c’est là, au dire du même Apôtre, le caractère propre de l’Antéchrist, l’homme, avec une témérité sans nom, a usurpé la place du Créateur en s’élevant « au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu. C’est à tel point que, impuissant à éteindre complètement en soi la notion, de Dieu, il secoue cependant le joug de sa majesté, et se dédie à lui-même le monde visible en guise de temple, où il prétend recevoir les adorations de ses semblables. Il siège dans le temple de Dieu, où il se montre comme s’il était Dieu lui-même. » (II Thess. II, 2). »
Sous couleur de promouvoir la « paix », l’Antéchrist cherchera à provoquer la fusion de toutes les religions, présentées dès lors comme de simples manifestations différentes de la même doctrine religieuse de base, que chaque croyant a reçue selon sa propre « tradition », mais qui ne diffère nullement par essence de celle des autres religions. Tel sera alors le discours dominant. Il sera ainsi proposé une « réconciliation » entre toutes les religions, et Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est le seul Dieu avec le Père et le Saint Esprit, sera réduit au statut de « bon maître » au mieux, et placé aux côtés de “Mahomet”, “Bouddha”, “Confucius” et compagnie.
Êtes-vous choqué d’apprendre que François veut promouvoir un tel indifférentisme religieux ? Si oui, c’est que vous avez prêté attention à ce qui précède. Peut-être avez-vous la nostalgie du « bon vieux temps » de Jean-Paul II ou de Benoît XVI, mais cela signifie alors que vous êtes mal informé (ou mal formé ? ou que vous restez sur une position “R&R” intenable et périlleuse). Car François a déclaré « saint » ce même Jean-Paul II qui a loué la religion satanique du Vaudou, qui a lancé les rencontres de prière interreligieuses d’Assise, fautrices d’apostasie, qui a reçu sur son front la marque de Shiva en Inde, etc. Voici une vidéo commentant ce dernier événement :
Quant à son successeur immédiat, Joseph Ratzinger, il ne différait pas essentiellement de lui. Simplement, il était mieux vêtu et a dépoussiéré deux ou trois manifestations extérieures d’avant Vatican II pour feindre un « traditionalisme » qui a leurré la plupart des gens. Mais c’était un moderniste à tout crin, comme en a témoigné sa propre abomination interreligieuse d’Assise, ainsi qu’on peut le voir sur notre page consacrée à Benoît XVI.
Le pape Pie XII réprimande l’abbé apostat Ratzinger pour suspicion d'hérésie
Si vous en avez assez de la secte moderniste (la secte de la religion Marrane) qui fait la guerre à l’Église catholique depuis sa création par Jean XXIII en 1958 tout en prétendant faussement être cette Église, nous vous invitons à adhérer au Catholicisme Romain authentique :
Escape from the Novus Ordo (s’évader du Novus Ordo): Explication du Frère Michael Oswalt (interview en neuf parties)
N’est-il pas temps pour vous, tous les “R&R”, de se diriger vers la sortie ?
Saint Paul l’Apôtre
Saint Paul a morigéné les Galates en des termes parfaitement applicables à notre époque :
« Je m’étonne que si vite vous vous laissiez détourner de celui qui vous a appelés en la grâce de Jésus-Christ, pour passer à un autre Évangile : non certes qu’il y en ait un autre ; seulement, il y a des gens qui vous troublent et qui veulent changer l’Évangile du Christ. Mais quand nous-même, quand un ange venu du ciel vous annoncerait un autre Évangile que celui que vous avez reçu, qu’il soit anathème ! » (Gal. 1 : 6-9)
Qui n’est toujours pas réveillé maintenant, est mort.
[2] NdT (Wikipedia) : Shekhina (ou Chékhina, שכינה) est un mot féminin hébraïque signifiant résidence, utilisé pour désigner la présence à demeure de Dieu, particulièrement dans le Temple de Jérusalem.