Projet de repentances à l’usage de la secte conciliaire
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1. Je me repens d’avoir fait appel à des théologiens hétérodoxes (pour ne pas dire hérétiques), déjà stigmatisés à ce titre par Rome, et à des bouillons de culture syncrétistes comme Taizé, ainsi que de m’être appuyée sur les élucubrations de ces catholiques plus que douteux pour préparer en secret – voire en loges – le deuxième Concile œcuménique du Vatican, dit « pastoral » et non pas dogmatique, dont le but véritable (et atteint) était de faire « 1789 dans l’Église », formule lancée d’un ton triomphant juste après le concile par le Cardinal franc-maçon Suenens.
2. Je me repens, en particulier, d’avoir truqué ce concile avant même qu’il commence et d’y avoir pratiqué jusqu’au bout le coup de force permanent, dans la plus pure tradition de l’Agitprop bolchevique… Il est vrai que lors de tractations conduites à Metz en 1962 entre le Cardinal Tisserand et le patriarche de Moscou, je m’étais engagée à ne pas y renouveler l’indispensable condamnation du communisme génocide, ennemi juré de Dieu et de la chrétienté, mon but étant d’assurer la présence « œcuménique » à Rome de membres de l’église « orthodoxe » russe noyautée par le KGB, agissant ainsi au mépris des catholiques dont la persécution par Moscou et ses satellites n’avait jamais cessé et ne s’est du reste pas ralentie depuis, bien au contraire, alors même que les naïfs croient le communisme vaincu. Ainsi ai-je pactisé partout avec la Révolution pérenne et son dernier avatar en date, allant jusqu’à trahir – au nom de mon Ostpolitik insensée – les catholiques des pays où règne ce régime abject, par exemple en « lâchant » les Uniates d’Ukraine, que n’ont cessé de persécuter nos « frères séparés » prétendument orthodoxes, mais authentiquement à la botte de Moscou et haineusement anti-romains.
3. Je me repens d’avoir proscrit – de la façon la plus arbitraire, illégale et totalitaire qui soit – la célébration de la seule Messe qui vaille : celle, immémoriale, que le pape saint Pie V a restaurée en donnant aux prêtres le droit de la célébrer jusqu’à la fin des temps, non sans fulminer d’avance l’anathème contre quiconque prétendrait les en empêcher. Cette attitude aberrante devait me conduire à excommunier (de facto, sinon de jure, et pour cause !) les derniers catholiques et leurs pasteurs – taxés de schisme – tout en laissant pérorer et parader à son aise l’hérésie néo-moderniste, quand je ne l’y encourageais pas. Témoin, entre autres, le grand charivari que j’ai permis aux « charismatiques » (ces convulsionnaires d’inspiration protestante et possédés par « l’esprit », certes, mais lequel ?) d’organiser au cœur même de la chrétienté, dans la basilique Saint-Pierre de Rome, puis sur son parvis, alors même que partout dans le monde, je fermais les lieux saints à la Tradition et à ses cérémonies authentiquement catholiques.
4. Je me repens d’avoir désacralisé le Saint Sacrifice de la Messe au point de le transformer en une sorte d’événement festif New Age axé sur l’adoration de l' »Homme » plus que de Dieu. Je me repens d’en avoir fait un simple mémorial, un vulgaire « repas communautaire » niant implicitement la Présence réelle et la Transsubstantiation, au point de rendre la fréquentation de la « messe de Paul VI » recommandable aux protestants par leur hiérarchie, qui – depuis Luther, ce moine défroqué, débauché et déséquilibré – exclut que la Messe puisse être ce qu’elle a été, est et restera toujours et avant tout : un Sacrifice propitiatoire non sanglant. Je me repens d’avoir institué là un office protestant à 98 %, avec un zeste de Kabbale (« Dieu de l’univers » au lieu de « Dieu des forces célestes » pour traduire Deus Sabaoth) et un soupçon de jargon maçonnique (« fruits de la terre et du travail des hommes » au lieu de « le pain sacré de la vie éternelle et le calice de l’éternel salut » pour traduire Panem sanctum vitæ æternæ, et Calicem salutis perpetuæ), ce qui est peu surprenant lorsqu’on songe que cette « messe » est sortie tout armée d’une obscure commission (une loge, en somme) dont j’avais confié la présidence au prélat franc-maçon Annibale Bugnini, assisté de six conseillers protestants et de quelques néo-modernistes jouant les « catholiques alibis ». Je me repens d’avoir profané les lieux saints en les prêtant à n’importe qui pour n’importe quel usage, en reléguant le Saint-Sacrement dans les bas-côtés, voire la sacristie, en laissant déposer les hosties par des mains non consacrées dans des mains non consacrées, en permettant à des jeunes filles de servir la « messe », en remplaçant l’autel par une table à repasser tournant le dos à Dieu, mais faisant face à l' »Homme » (dont Paul VI a même proclamé fièrement que j’avais le culte !), en supprimant la clôture du chœur, en ôtant les statues, etc. etc., bref, en faisant tout pour éliminer le respect dû au surnaturel. Je me repens d’avoir jeté aux orties le latin, langue sacrée depuis que les premiers chrétiens l’ont empruntée à leurs persécuteurs pour adorer Dieu d’une seule voix dans tout l’Empire romain, surmontant providentiellement ainsi la malédiction de Babel. Je me repens d’avoir voulu, par tous ces attentats, tuer le Saint Sacrifice de la Messe dans l’espoir fou et impie d’étouffer l’Église Catholique, dont il est le fondement, afin de me substituer définitivement à celle-ci.
5. Je me repens d’être revenue sur les enseignements de tous les papes d’avant 1958, ne serait-ce qu’en cautionnant cette monstruosité maintes fois condamnée qu’est la « liberté religieuse », porteuse de laïcisme, donc de révolte permanente contre le Christ-Roi, sous l’influence évidente des « libres-penseurs » que j’avais accueillis en mon sein. Je me repens, en fait, d’avoir ridiculisé dans l’esprit de l’immense majorité des catholiques les notions de dogme, de doctrine et de magistère, exposant ainsi les âmes au doute, à l’indifférence, à l’apostasie et aux ténèbres extérieures. Je me repens d’avoir été le loup déguisé en brebis et fourvoyant celles-ci pour mieux les perdre.
6. Je me repens d’avoir laissé (ne serait-ce qu’en France) bon nombre de mes évêques, archevêques et cardinaux – infiltrés dans l’Église par ses pires ennemis – délirer de la manière à la fois la plus grotesque et la plus crapuleuse dans tous les domaines possibles, par exemple :
— en fraternisant ouvertement avec lesdits ennemis – athées, talmudistes, marxistes, protestants et maçons, entre autres – au point même, pour beaucoup, de se faire carrément francs-maçons… quand il ne s’agit pas de francs-maçons qui se sont faits prêtres et ont progressé dans les deux hiérarchies à la fois selon les excellents préceptes de leurs grands ancêtres de la Haute Vente d’Italie ;
— en fermant les églises de France aux « indésirables » – à savoir les membres de la droite nationale non païenne qui souhaitaient recevoir le baptême ou auxquels leurs proches voulaient donner des obsèques religieuses, ou encore les fidèles de la Tradition décédés, parmi lesquels des prêtres – pour mieux en ouvrir les portes à tout ce qui n’est pas catholique et, de préférence, tout ce qui est le plus anti-catholique ;
— dans une logique suicidaire, en faisant don à l’islam prosélyte et conquérant (surtout pas aux « intégristes », c’est-à-dire au petit reste de catholiques véritables !) des églises désertées par les fidèles à cause de la dérive conciliaire, précisément ; or, c’est là, pour ce même islam, un signe infaillible de faiblesse et la preuve qu’il a désormais le champ libre sur le territoire d’une chrétienté dont les pasteurs mêmes s’appliquent à hâter la décomposition ; à cause de ces ventres mous, l’Europe occidentale n’est plus tout à fait le dar-el-harb (pays de la guerre avec les « infidèles ») que les mahométans ont vainement cherché à envahir pendant treize à quatorze siècles ; elle est même en passe de s’assimiler au dar-el-islam (pays de la « paix » mahométane) et de voir ainsi ses habitants s’intégrer bon gré mal gré à l’oumma (communauté des mahométans), dont les membres méprisent, ostracisent et persécutent les non-mahométans, qui ne sont à leurs yeux que des dhimmis (citoyens de deuxième ordre, assujettis quand même à l’odieuse chariah (loi mahométane) ;
— en pétitionnant, défilant et manifestant à la moindre occasion avec la racaille trotskiste, qui est fanatiquement internationaliste, immigrationniste, francophobe, anticléricale, avorteuse et homophile ;
— en multipliant les déclarations, prises de position et actions les plus bassement démagogiques, collaborationnistes, voire hérétiques, car bien dans l’irrespirable « air du temps », qui est à l’hédonisme, au relativisme, au naturalisme, à la tiédeur, au métissage forcé, à la destruction des nations, à la tolérance de l’intolérable, etc. etc. etc.
7. Je me repens d’avoir introduit l’erreur dans la Vérité, c’est-à-dire d’avoir obscurci cette dernière – ce qui insulte à la mémoire de tous les martyrs ayant versé leur sang pour elle depuis deux mille ans – en prônant, pratiquant et imposant un faux œcuménisme, véritable piège du Malin qui revient à faire croire que tout se vaut : la vraie Religion et les fausses ; or, ce prétendu œcuménisme (qui m’attire du reste le mépris croissant des fausses religions : beau résultat parmi d’autres !) dépouille évidemment ladite Religion de tout son crédit auprès des fidèles comme des âmes qui auraient pu s’y convertir, mais qui sont désormais fortement incitées à continuer de chercher d’impossibles « voies de salut » dans leurs cultes hérétiques, schismatiques, païens ou sataniques habituels, tandis que les ex-fidèles – complètement désorientés – perdent la Foi en tout ou partie et deviennent indifférents, quand ils ne se laissent pas coopter par des sectes religieuses ou antireligieuses, ayant pignon sur rue ou non.
8. Je me repens, dans le même ordre d’idées, d’avoir organisé à Assise, puis un peu partout en souvenir de ce happening démentiel, de véritables pandémoniums des fausses religions, mises sur le même pied que la vraie. Je me repens de n’avoir rien voulu comprendre aux avertissements du Ciel lorsque, onze ans jour pour jour après ce premier et gigantesque scandale, Assise a été frappée par un tremblement de terre dévastateur qui – entre autres signes sans équivoque – devait causer la destruction du maître-autel de la cathédrale, sur le tabernacle duquel on avait obligeamment prié les bouddhistes de poser leur idole, tandis que sous ce même autel, dans la crypte, la châsse contenant les reliques de saint François demeurait intacte. Je me repens d’avoir réédité le même exploit « œcuménique » dans le sanctuaire marial de Fatima ou, grâce à mes soins empressés, une idole hindoue a été adorée dans la chapelle des apparitions.
9. Je me repens d’avoir cherché à faire croire que les « avancées conciliaires » (par exemple, l’ « abolition » du démon et du péché originel et actuel) étaient irréversibles, comme si quelques dizaines d’années de tragiques errances rappelant la folie arienne pouvaient gommer dix-neuf siècles de saint et patient labeur au service de cette Foi, de cette Espérance et de cette Charité qu’a prêchées Celui dont le Nom est le seul par lequel nous puissions être sauvés.
10. Je me repens d’avoir gaspillé en des JMJ purement médiatiques et ostentatoires – destinées à prouver la vigueur de la Foi des jeunes, mais ayant au contraire crûment mis à nu la désolante ignorance des intéressés en matière de religion – la soif d’absolu d’une jeunesse en friche qui, lorsqu’elle parvient à échapper au bourrage de crâne ambiant, constate l’inanité du Novus Ordo Missae et se dirige de plus en plus vers le catholicisme de Tradition.
11. Je me repens d’avoir tout mis en œuvre afin de diviser le mouvement traditionaliste, d’abord en tirant prétexte des sacres de 1988 pour terroriser une partie des « tradis » et les pousser à quitter la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X (je leur avais fait miroiter un leurre en forme d’indult), ensuite en laminant la Fraternité Saint-Pierre – produit pourtant bien docile de cette scission – par des grenouillages indignes, enfin en essayant de provoquer le même genre d’éclatement au sein du noyau organisé de la résistance catholique, la Fraternité Saint-Pie X, œuvre de Mgr Marcel Lefebvre, à laquelle j’ai proposé, selon ma bonne habitude, des « discussions ». Je me repens d’avoir agi, ce faisant, sous l’inspiration de celui dont le nom signifie « diviseur ».
12. Je me repens d’avoir déboussolé un peu plus encore les fidèles en pratiquant la « repentance » à tort et à travers, autrement dit en battant ma coulpe sur la poitrine des saints papes qui se sont succédé au cours des siècles, et cela pour des fautes imaginaires qui sont en réalité des hauts faits : avoir évangélisé les païens en renversant leurs idoles selon les instructions du Divin Maître, redressé les hérésies en les combattant résolument lorsqu’elles prétendaient s’imposer par les armes, rouvert les routes de Jérusalem aux pèlerins après des siècles pendant lesquels l’islam prédateur les avait impunément tués, rançonnés ou réduits en esclavage, voire – comme le Vénérable Pape Pie XII – sauvé des milliers de juifs de l’extermination, pour se faire accuser longtemps après de s’être désintéressé de leur sort et même d’avoir collaboré avec les nazis, sans que je réagisse avec toute la fermeté voulue contre d’aussi nauséeuses calomnies, le pontife en question présentant à mes yeux la tare manifeste d’avoir été le dernier pape préconciliaire, autant dire le dernier pape incontestablement catholique en dépit de ses faiblesses.
13. Je me repens d’avoir accéléré ma fuite en avant vers le précipice à mesure que s’affirmait mon cuisant échec. L’arbre se juge à ses fruits, et les miens – tout colorés et appétissants qu’ils peuvent être à la vue de certains – se sont révélés secs, amers, gâtés ou moisis à la dégustation de tous ceux qui conservent tant soit peu de palais. Ainsi, je me repens d’avoir provoqué la désaffection des églises, monastères et séminaires et d’avoir tendu, devant ce véritable désastre, l’écran de fumée d’une prétendue « nouvelle Pentecôte » pour tenter de faire oublier les déclarations de Paul VI lui-même déplorant que les « fumées de Satan » se fussent introduites dans l’Église.
14. Je me repens d’avoir réservé un enterrement de première classe au miracle comme aux révélations de Fatima, et notamment d’avoir menti au moins par omission sur le troisième secret (qui m’est archi-défavorable : cela, du moins, est un secret de Polichinelle) tout en ne m’opposant pas aux « apparitions mariales » de Medjugorje, qui ne sauraient venir du Ciel tant les messages de la « Gospa » sont répétitifs, lénifiants, inconsistants… conciliaires en quelque sorte, tant elles attirent les « charismatiques » comme les sanies attirent les mouches, tant les voyants et leurs « sponsors » présentent une sainteté pour le moins douteuse. Je me repens donc, d’une part d’avoir censuré la Très Sainte Vierge Marie, d’autre part d’avoir prétendu reconnaître sa parole dans une véritable bouillie pour les chats… tout en continuant d’ignorer avec une pertinacité infernale les avertissements très clairs qu’elle a donnés à La Salette en 1846 et qui annonçaient mes ignominies actuelles.
15. Je me repens d’avoir mis le Saint Linceul de Turin sous l’éteignoir depuis sa prétendue datation au carbone 14 de 1988, alors que j’ai appris depuis – en toute certitude – que celle-ci n’était qu’une grossière imposture. Il est vrai que je n’ai pas tardé à me coucher devant la fausse science et ses diktats antichrétiens, par exemple les fariboles évolutionnistes que Jean Rostand – leur tenant athée – avait eu le courage quelque peu schizophrène de dénoncer en écrivant que l’ « Évolution » était « un conte de fées pour grandes personnes ». Je me repens d’avoir vu en fait dans le Saint Linceul, comme dans son message miraculeux et sans ambiguïté, un obstacle massif à ma seule véritable obsession : l’extension de l’ « œcuménisme » à tout et n’importe quoi. Aux « extra-terrestres » aussi, depuis peu !…
16. Je me repens d’avoir contribué – notamment par cet œcuménisme dévoyé – à ériger le trône de l’Antéchrist, dont le règne passera par l’instauration d’une religion mondiale n’ayant évidemment rien à voir avec la Religion Catholique et ne pouvant déboucher que sur la fin des temps annoncée par saint Jean dans son Apocalypse, point d’orgue de la Révélation. Les précurseurs de l’ « homme d’iniquité » auront été nombreux en mon sein…
17. Je me repens d’avoir « canonisé » le rose-croix Roncalli et le théosophe Wojtyla, ainsi que d’avoir envisagé la « canonisation » de l’abominable Montini, « canonisant » du même coup le conciliabule hérétique Vatican II et ses tristes hérauts.
18. Je me repens d’avoir entraîné, par ces innombrables et criminels errements en tous genres, la chute en enfer d’un grand nombre d’âmes, et je sais qu’il m’en sera demandé raison au Jugement Dernier, dont j’attends le Jour en tremblant.
19. Je me repens de ne pouvoir me repentir de tous mes méfaits et manquements tant ils ont été nombreux et tant leur seule évocation m’épouvante aujourd’hui.
20. Je me repens, pour l’essentiel, d’avoir sombré dans le schisme et l’hérésie en me séparant du Catholicisme de toujours et d’avoir sévi jusqu’en cet instant béni où, avec la plus vive et la plus sincère contrition, ainsi que le fervent espoir de voir le Juge Suprême pardonner à mes membres, j’ai l’indicible soulagement de me réintégrer enfin à l’Église Une, Sainte, Catholique, Apostolique et Romaine, seule porteuse du message de Vérité de Notre Seigneur Jésus-Christ, unique Sauveur des hommes de bonne volonté, à laquelle je restitue humblement les clefs de saint Pierre dont j’ai usurpé la garde pendant un demi-siècle environ.
21. Je me repens. Je me repens. Je me repens… Je Me Repens !!…
François
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Rêvons!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C’est le communiqué du cardinal Müller après le visite de Mgr Fellay, pour dissiper les points de divergences qui subsistent ?
La copie va être, dit-on de source sûre, glissée dans les fentes du MUR.
Bien que nous pouvons douter à juste titre de sa repentance, c’est un devoir de charité de lui faire connaître ses turpitudes.
NSJC a fait du pire des persécuteurs, l’Apôtre des Gentils, ses pensées ne sont pas les nôtres.
Hodie, l’Église célèbre la Solennité de la Fête du Fidèle Archange saint Michel, Bienheureux Chef des Armées Célestes du Deus Sabaoth, Protecteur de la Sainte Église et Ange dédié à la sauvegarde de la Personne morale de la France, Terreur des démons et des hommes qui crient à la face de Dieu leur Créateur :
« Le non serviam de leurs pulsions destructrices ! »
Et, ils sont légions, de nos jours si funestes, ceux qui méprisent effrontément l’Ordre naturel bienfaisant de la Création divine, le Royaume des Cieux et Sa Justice.
Invoquons Saint Michel Archange !
Qu’il défende, protège et garde de par le monde « sanctifica est in Veritate » dans l’attente de la fin heureuse de l’éclipse, le fragile petit reste épars ici et ailleurs connu et inconnu de l’Église éclipsée, saine et sauve par grâce spéciale — Dieu juge de notre bonne volonté — de la corruption généralisée de la Foi après l’abominable désolation soixante-huitarde de la tourmente révolutionnaire de la gent cléricale apostasiée par la Loge talmudo-maçonnique interreligieuse de vaticand’eux inspirée de Satan.
« Exspectans consolationem Ecclesiae » en le Triomphe du Cœur Immaculé spécialement dans la conversion de la Russie.
Prions-le enfin également pour notre Patrie désolée et profanée par un esprit étranger qui n’est pas nôtre, pour nos familles, nos proches et nous-même afin qu’Il terrasse, le refoule et ruine son projet diabolique de Grande Babylone sans nations ni races au service idolâtrique du futur imperator mondialiste antichrist, qui malheureusement tire toujours puissance de nos péchés dont-il se nourrit, rode sans cesse à travers le monde en vue de détourner les hommes de Dieu, de son Christ et de perdre les âmes en les fixant à jamais dans le mal enseigne l’Apôtre.
L’Europe ne sera plus jamais chrétienne au sens ancien du terme disent nos irréligieux contemporains. La Foi simple et pure de nos ancêtres ne reviendra pas, parce qu’elle correspondait à un stade particulier des connaissances humaines et de l’organisation sociale croient-ils. Le Christianisme n’a pas été abattu par Marx ou Nietzsche mais par la pilule et la télévision ajoutent-ils pour justifier ; d’aucuns reniant leur baptême, à ma grande stupéfaction, souhaitent même relever le culte des vieux démons antiques que furent naguère les idoles druidiques gauloises, nordiques ou gréco-romaines.
[La pilule et la télévision !… Avant cela, il y avait des… les prostituées tolérées sur même conseil par un Saint Louis et le théâtre]
De la Pensée grecque, ainsi que se le demandait Jacqueline de Romilly dans “Pourquoi la Grèce ?” est une recherche contemplative de la métaphysique à partir de la physique avec les seules lumières de la raison humaine. C’est le b.a.-ba philosophique du pourquoi des êtres et de la recherche de l’intelligence du principe des choses existantes dans leur cause première.
Raison humaine aristotélicienne que méprisera Descartes, qui est à la Philosophie réaliste ce que Luther est au Christianisme apostolique, des subversifs, précurseurs destructeurs de la Révolution satanique dite française finalisée dans vaticand’eux.
Il est à noter aussi que les plus grands métaphysiciens souriaient, après que Socrate ait bu la ciguë, à la fable mythologique et se jouaient des idoles qui étaient à leurs yeux, la projection infantile idéalisée des vices honteux de l’humanité dégradée des hommes déchus marqués par le mal dont-ils avaient oublié alors jusqu’à l’origine qu’ils ignoraient ontologiquement dans le Péché adamique.
Dans l’optique naturaliste, le raisonnement de nos contempteurs alias Percy Jackson est tout à fait juste mais spirituellement faux et aveugle.
Le fait observable de « leur diagnostic » entrevoit en effet à vue humaine sans qu’il n’est besoin de conjecturer plus avant que le Christianisme en son catholicisme est en ruines totales. Ils nous rappellent bien malgré eux à notre mémoire endolorie, le fameux constat des faux papes de vaticand’eux, en particulier le marrane F∴M∴ Montini alias paul666 (futur canonisé de la Loge), ce dernier se flattant de claironner en s’adressant publiquement mais par dérision à l’attention maligne de la conjuration internationale talmudique antichrétienne, que désormais l’Église romaine n’est plus qu’un champ de ruines — du moins au regard de l’Orthodoxie de la Foi chrétienne obéissante au Dépôt de La Révélation — en revanche, il en est tout autrement aujourd’hui du renouveau religieux du Schisme russe, « Felix culpa » qui aujourd’hui tourne à leur avantage spirituel, attirant l’attention de la Reine des Cieux, les sauvegarde de nos jours de la corruption putréfiée de vaticand’eux.
http://www.lexpress.fr/actualites/2/un-nouveau-jour-ferie-celebre-la-russie-chretienne_909166.html
Du côté de vaticand’eux, évidemment, PAS DE REPENTANCES, il n’y a vraiment plus rien à attendre, le péché contre l’Esprit Saint est impénitent :
« Ils sont donc INEXCUSABLES, car ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces ; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence (ou connaissance) a été plongé dans les ténèbres. » (Épître aux Romains. I / 21).
Il n’est à présent que le porte-voix cornu de la politique mondialiste et syncrétique de l’O.N.U, berceau du ordo ab chao en faveur d’un prochain concile des religions démoniaques au Vatican même pour un nouvel (dés)ordre mondial.
Rien à attendre donc, si ce n’est la mort spirituelle immédiate, car, on ne le dira jamais assez, et il est toujours vrai de le dire qu’avec le corps possédé d’un vaticand’eux talmudo-maçonnique mortel qui se réclame de la Révolution initiatrice de 1789 dans la Loge qui éclipse toujours l’Église, les impies auront encore raison de se réjouir en disant :
« L’Europe ne sera plus jamais chrétienne au sens ancien du
terme, la Foi simple et pure de nos ancêtres ne reviendra pas »
Oui mais ! le Schisme des clercs russes aux sacrements valides une fois converti et d’un (vrai) pape présent à leur tête — Notre Dame l’a promis à Fatima au Portugal que son Sacré Cœur Immaculé triomphera du schisme russe à la Fin de la consommation de la crise affreuse romaine à la suite de l’Apostasie générale du Vatican et des nations — se substitueront d’office en un clin d’œil divin à la défection assassine de vaticand’eux, prostitué ivre du sang des Saints, corrupteur de la Foi et des Mœurs, tombé en pourriture fétide, exhale en bouffées putrides une indicible puanteur infernale sulfureuse qui incommode dans l’au-delà l’Église triomphante des Saints de la Jérusalem céleste et du Paradis jusqu’à l’Empyrée.
Les piteux esprits, forts railleurs, auront-ils les… la témérité de dire à l’aréopage des clercs russes qui ne prend pas la religion du Christ à la rigolade comme les con-ciliaires, bien que désobéissant hélas à Sa sainte Volonté concernant de Droit divin la souveraineté exclusive de gouvernement dévolue à Pierre, mais, nous pouvons malheureusement en dire tout autant de nos propres vrais Pontifices Maximi Lui désobéissant ouvertement sans vergogne dans la non consécration manifeste de la Russie au Cœur Immaculé de la Bienheureuse Vierge Marie, Sa Co-Rédemptrice, Médiatrice de TOUTES grâces,
que l’Europe dont fait partie la religieuse Russie ne sera plus jamais chrétienne et que la Foi de la Chrétienté est dépassée « parce qu’elle correspondait à un stade particulier des connaissances humaines et de l’organisation sociale » et que, dorénavant, en ce siècle où ils existent et vivent, les hommes de cette génération imbus d’eux-mêmes, s’interdisant de discerner par orgueil la chair de l’esprit, se doivent par antisémitisme de renier le Christ parce que juif pour servir à nouveau de vieux démons européens de race japhétique.
L’Europe ne sera plus jamais chrétienne… disent les impies conciliaires ou athées révolutionnaires ou néo-païens rétrogrades…nostalgiques du marteau de Thor, aïe, aïe, aïe !!! pas sur la tête !
C’est en effet ce que disait dès 1789 Satan dans l’esprit de tous les révolutionnaires enragés sous Louis XVI, sous Nicolas II, sous Pie XII…
Vaticand’eux est à mes yeux BIEN PIRE que la persécution des Catholiques sous la Révolution, le fléau napoléonien, garibaldien, les deux dernières guerres mondiales confondues, bien pire que la persécution des Juifs séfarades sacrifiés par les ashkénazes américains sous le national-socialisme, des Arméniens par les musulmans ou du socialisme soviétique international en Espagne et de par le monde car il y va de la seconde mort, celle de la perdition de l’âme.
Français !!!
« NE CRAINS RIEN, JE RÉGNERAI MALGRÉ MES ENNEMIS ET TOUS CEUX QUI S’Y VOUDRONT OPPOSER »