Mercredi 26 août,
Cinquième anniversaire de la mort de M. l’abbé Vérité.
Requiescat in Pace
Souvenez-vous dans vos prières de ce grand et infatigable prédicateur des Exercices de saint Ignace antilibéraux, jugé par le juste tribunal de Dieu le 26 août 2010.
Restez fidèle !
– Restez fidèle à la seule Foi enseignée par Notre-Seigneur Jésus-Christ et Sa Sainte Église, la Foi de toujours qui ne peut pas changer ;
– Restez fidèle aux seuls sacrements de Notre-Seigneur Jésus-Christ, ceux donnés par la sainte Église depuis 2000 ans ;
– Restez fidèle aux catéchismes de la sainte Église, aux enseignements des papes catholiques, aux enseignements des saints de toujours ;
– Restez fidèle à la Très sainte Vierge Marie, veillant à être dans la VRAIE dévotion, évitant les sept fausses dévotions signalées par saint Louis-Marie Grignion de Montfort ;
– Restez fidèle en tout, ne changez rien, refusez toutes les nouveautés, refusez tout Vatican II, refusez ses faux papes, ses faux évêques, ses faux prêtres, ses faux sacrements, ses catéchismes, ses enseignements erronés. La Religion instituée par Notre-Seigneur Jésus-Christ ne peut pas changer. La très Sainte Vierge Marie triomphera un jour prochain, l’erreur sera écrasée , la vérité de toujours vaincra.
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Écoutons l’abbé Vérité nous parler des péchés fréquents chez les traditionalistes :
[audio:http://catholicapedia.net/audio/2009-12_Retraite_ab-Verite_dame_Extrait_Les-peches-frequent-chez-les-traditionalistes.mp3|titles=Les péchés fréquents chez les traditionalistes|artists=Abbé Joseph Vérité]« … Je dois consentir à me faire étrangler, ou a me faire assassiner d’une manière ou d’une autre plutôt que de ne pas dire la Vérité !… »
- Voici le lien de téléchargement de cet audio.
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J’ai rencontré il y a quelques semaine une personne qui me racontait être allée sur la tombe de M. l’abbé Vérité dans le cimetière de Pluneret où repose également Monseigneur de Ségur.
Ayant commencé une prière pour le repos de l’âme de notre cher abbé…il entendit comme une voix intérieure qui lui disait :
Ne connaissant pas le cimetière de Pluneret, avant de s’en aller il remonta l’allée où repose l’abbé et eut la surprise de voir que la première tombe était encore toute fleurie…
Une fillette, décédée depuis peu, y était enterrée !…
(Étonnant, n’est-il pas ?)
Floris, alias Cave Ne Cadas.
Quelques photos prises sur la tombe de l’abbé Vérité ce dimanche :
Requiescat in Pace
Restez fidèle !
Merci mon cher NL,
…loin de la Bretagne (où il fait toujours beau entre deux averses… dixit l’abbé J. Vérité) je n’ai pu m’y rendre depuis la finition de sa tombe !
C’est avec une grande émotion et une grande douleur que je réentends la voix paternelle de feu Monsieur l’Abbé Vérité, un curé d’Ars pour notre temps…d’épreuve et d’apostasie générale.
Au détour de chaque phrase, il nous prévient : je vais vous faire souffrir… ça ne va pas vous plaire… je suis l’un des rares à vous le dire encore… cela ne vous est pas permis d’agir ainsi même si la plupart des « traditionalistes » agissent ainsi…etc…etc…etc…
Conscient d’avoir lui aussi, à une certaine époque de sa vie, cédé aux sirènes du compromis, il en a retiré une expérience infaillible de la nocivité intrinsèque de certaines attitudes typiquement traditionalistes et que je n’aurai pas la cruauté de rappeler ici, puisqu’il le fait infiniment mieux que moi et que lui-même a souffert dans sa chair et dans son âme de ces accommodements que sans doute bien malgré lui il eût à pratiquer au cours de son long ministère…
Chacun au cours de cette petite demi-heure de grâce, qu’il soit homme ou femme, marié ou célibataire, adulte ou adolescent, va en prendre pour son grade !
Le rôle de la femme me paraît en effet occuper l’une des toutes premières places dans la pensée de l’Abbé, car ce rôle est primordial et très révélateur des tares, déséquilibres et manquements d’une époque donnée. L’Abbé ne mâchait pas ses mots et appelait un chat un chat ! Inversion des valeurs et hiérarchies familiales, y compris chez bon nombre de traditionalistes où la femme porte (subtilement) la culotte…même si elle ne met que des jupes ! Et l’Abbé ne fait pas dans la dentelle lorsqu’il évoque les conséquences directes ou indirectes de ce renversement des valeurs familiales. (Homme réduit à l’état de « bébé », amoindrissement de l’autorité paternelle, surévaluation du rôle de la mère, homosexualité rampante des adolescents masculins, climat malsain d’émancipation féminine, etc…)
Il va même jusqu’à évoquer la paroisse emblématique du traditionalisme parisien où il est de bon ton de se faire voir et de paraître afin de montrer à tout un chacun qu’on est un bon chrétien, respectueux du devoir dominical et consommateur régulier des sacrements. Un tiers des femmes y sont voilées… Et les autres ?
Nous pouvons en conclure que les prêtres n’y font pas leur travail et se contentent d’offrir à leurs fidèles une liturgie impeccable mais una cum… Ceci expliquant cela… Le diable se loge toujours dans les détails et l’Abbé le sait bien car on ne maintient pas la vraie foi si l’on ne réforme pas d’abord les mœurs et si l’on ne rappelle pas aux fidèles, à temps et contre-temps, que ce sont ces petits détails qui font les vrais chrétiens et mettent l’âme dans des dispositions telles qu’elle peut ainsi mieux accueillir la grâce du repentir, de la vraie piété afin de parvenir à conserver cet « état de grâce » si fragile dont l’Abbé se plait à nous rappeler que la république maçonnique et la secte conciliaire s’évertuent à RUINER constamment cet état…car il est le seul rempart véritable contre les MANIPULATIONS diverses et variées dont nous sommes tous, à des degrés divers, les malheureuses victimes.
Oui, l’Abbé nous fait souffrir, torture notre amour-propre, nous renvoie à nos tares personnelles ou familiales, et chacun d’entre nous peut en prendre pour son grade dans cette énumération des maux qui affectent les traditionalistes qui, faut-il le rappeler une fois encore, sont, aux yeux du monde, les derniers catholiques officiellement estampillés comme tels, faute d’être, qu’à Dieu ne plaise, les « derniers des Mohicans » comme a pu dire jadis en chair un Abbé Lorans à St Nicolas du Chardonnet.
Mais quel amour pour les âmes chez ce prêtre !
Quelle charité véritablement paternelle et sacerdotale !
Car c’est pour notre bien que l’Abbé nous titille et nous rappelle les règles irréformables de l’Église.
Nous voulons être résolument de notre temps ?
Alors il va falloir choisir et considérer que Dieu Notre Père est plus que vieux : c’est un « croulant » au même titre que l’Abbé et que ni l’Un ni l’autre ne sont plus dans la course…de l’émancipation de l’Homme, la nouvelle divinité… des XXè et XXIème siècles !
Seulement si nous pensons que Dieu est trop vieux, démodé et Son cher Abbé itou, alors en bonne logique nous devons renoncer à être appelés du nom de chrétien et encore moins du celui de Catholique. Comme nous dit l’Abbé Vérité, il faut choisir !!! Dieu a horreur des tièdes et de ceux qui sont perpétuellement hésitants et assis entre deux chaises, mangeant néanmoins goulûment à tous les « râteliers spirituels et sacramentels » qui se présentent à eux, satisfaisant ainsi leur avidité égotique de spiritualité facile et mondaine…
L’Abbé nous dit avec cette indicible « cruauté charitable » qu’il y a des comportements interdits et qu’un chrétien digne de ce nom doit obligatoirement choisir entre ce qui est permis et ce qui ne l’est pas. Le salut éternel est à ce prix, et c’est le rôle éminent du prêtre que de le répéter sans cesse !
Si nous sommes attentifs, en une demi-heure l’Abbé nous a tout dit ou presque ! Aucune place pour le doute ou l’hésitation que ce soit en matière de mœurs, de rites, de rôle dans la société ou d’attitude religieuse ! La secte conciliaire n’est pas et ne peut pas être l’Église Catholique. Malgré ses nombreux leurres, elle s’épuise en vain à être le singe de Dieu, avec son maître Lucifer…car qui abdique sur un seul point la foi catholique abdique en réalité l’ensemble de ce que l’on doit croire pour être sauvé !
L’Abbé est parfaitement conscient d’être, EN TANT QUE PRÊTRE CATHOLIQUE, l’un des derniers des Mohicans ! Et c’est pour cela que nous l’aimons d’un amour surnaturel et qui dépasse infiniment nos affects humains charnels et limités. Chacun d’entre nous se doit d’en appeler au suffrage de ses prières et de faire dire des Messes (aie ! pas facile !) de son vivant afin d’avoir la grâce d’une bonne mort. Si je me réfère à l’anecdote rapportée par notre bien-aimé Administrateur, l’Abbé Vérité, très certainement au Ciel avec les élus, n’a plus besoin ni de Messes ni de nos prières : c’est nous qui en avons un urgent besoin ! Une pieuse coutume immémoriale consiste à faire dire des Messes de SON VIVANT pour soi-même, sans attendre que la mort et son jugement particulier, en viennent amoindrir considérablement les effets rédempteurs.
Et si vous priez pour un proche, un ami, une personne en grand danger de damnation, quel meilleur remède que de faire dire des Messes et de porter ainsi jusqu’au Trône de Dieu vos plus humbles et charitables demandes…
En confession, je me souviens que l’Abbé Vérité m’apparaissait comme un vieux grand-père, tout empli de cette sagesse et de cette bonté qui n’est donnée qu’à certains vieillards. Ainsi Jésus-Christ se complaisait à prendre cette figure familiale et paternelle, toute emplie de charité et de vérité, afin de nous rappeler que Son Pardon passe par LE prêtre, instrument privilégié de Sa grâce.
Si néanmoins nous devons adresser quelque prière à l’Abbé, demandons lui d’intercéder pour nous auprès de Notre-Seigneur, afin de rester fidèle jusqu’à notre mort et de pouvoir le rejoindre pour l’éternité bienheureuse avec tous les élus. Rien ne lui fera plus plaisir !…
Exact mon cher frère… comme c’est bien dit !
Voici le lien de téléchargement de cet audio.
M. L’abbé Joseph Vérité tel qu’il est parti pour son Éternité il y a cinq ans.
C’est vrai qu’il y a “du curé d’Ars” dans l’abbé Joseph Vérité…
Précision concernant l’enregistrement de l’Abbé.
Il s’agit de la dernière “Retraite pour Dames” des Exercices de saint Ignace antilibéraux que l’Abbé Vérité a donnée à Mouthier Hautes Pierre, dans sa “Maison des Exercices” qu’il avait acheté à deux pas du Prieuré de l’abbé Marchiset…, en décembre 2009, huit mois avant son Rappel à Dieu.
L’ancien bureau de Poste de Mouthier Hautes Pierre, “Maison des Exercices” de l’Abbé Vérité.
Je ne sais pas ce que disait exactement l’abbé Vérité sur la « femme, l’épouse », par contre ce que disent actuellement nombre de prêtres (tradis, bien sur) sur ce sujet est de piètre qualité, très édulcoré ou d’un mutisme intégral.
C’est soit par manque de courage soit par manque d’éducation au séminaire, les deux ensemble n’étant pas incompatibles.
Ayant été invité à plusieurs mariages depuis quelques années j’ai été stupéfait d’entendre plusieurs versions différentes de l’Épitre de St Paul, traditionnellement lu pour cette occasion.
La version (1), la plus fréquente, est constituée de trois parties, la première nous dit : « femmes obéissez à vos maris, comme vous obéissez à Nôtre Seigneur Jésus Christ ».
La deuxième partie rappelle aux maris de prendre soin de leurs femmes, de les aimer comme leur propre chair.
La troisième partie rappelle que malgré tout : « l’homme est le chef de la femme ».
Dans une autre version (2), la troisième partie est purement supprimée, en gardant seulement les deux premières.
Dans une autre version (3), la troisième partie est incorporée à la première, et se termine par la deuxième.
Et dans le dernier cas (4), nous avons la version 3 supplémentée d’une partie de l’Évangile lues aux Messes de mariage : « l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme …etc. »
Pour la version 1 c’est très clair : l’homme est le chef, sa femme doit lui obéir et le mari doit prendre soin de son épouse.
Pour la version 2 c’est moins clair, les deux parties se neutralisent et laissent croire à une égalité entre mari et femme.
La version 3 a un sens quasi identique, c’est moins osé que la version 2.
Par contre la version 4, c’est carrément du bidouillage qui nous ramène à « l’égalité » de la version 2.
J’ai fait quelques recherches pour me procurer différents missels imprimés de 1920 à 1970 (environ, je ne me souviens plus exactement), et là tout s’explique :
pour les versions 2 et 3 : imprimatur du diocèse de Lille Mgr Liénart, grand artisan de Vatican II.
pour la version 4 : préface de Mgr Ratzinger autre chantre de Vatican II.
Le ver était dans le fruit bien avant le concile, le féminisme a commencé dans les temps de la révolution et a pris son essor avec le communisme.
De fait il n’y a que la première version qui ait un sens et malheureusement peu de prêtres, voire aucun prêtre n’a le courage de faire soit un bon sermon le jour du mariage où une bonne préparation des jeunes époux.
Peut être ne savent ils pas quoi dire sur le sujet ou tout simplement ont ils peur de froisser 50 % de leurs fidèles (les femmes, bien sur).
Et pourtant, une femme qui aurait l’humilité d’obéir à son mari, qui lui donnerait pour information sa vision des choses ou des situations, sans vouloir s’imposer ou commander ne serait elle pas sur le chemin de la sainteté.
Le péché est né de l’orgueil, l’humilité est sa meilleure antidote.
L’humilité c’est le gage d’être éclairé par le Saint Esprit, plus une femme s’abaisse devant son mari plus elle est grande aux yeux de Dieu, plus elle est inspirée par le Ciel et plus elle risque d’être de bon conseil pour son mari.
Plus la femme sera de bon conseil pour son mari, plus celui ci l’écoutera et fera sa volonté et enfin de compte c’est elle qui commandera sans jamais avoir voulu commander et se fera aimer par son mari.
Léon XIII dans son exorcisme ne dit il pas : « par son HUMILITÉ la femme écrasera la tête du serpent ».
Ce n’est pas à proprement parler la femme qui écrasera la tête du serpent, mais plutôt son humilité.
La grandeur aux yeux de Dieu ne s’obtient elle pas par la petitesse sur cette terre ?
C’est avec beaucoup de retard (dû à des incidents techniques !), cher Morin, que je prends connaissance de votre édifiante analyse.
En effet, si l’on médite avec fruit sur les paroles évangéliques, on n’oubliera pas que mari et femme forment une seule chair. Ce mystère ne détruit pas la hiérarchie homme/femme que vous rappelez si bien mais la sublime et l’élève dans la perspective de la sainteté…à laquelle nous sommes tous appelés.
Sans la référence à Notre-Seigneur, l’exhortation de St Paul perd tout son sens surnaturel.
Merci infiniment cher Cave Ne Cadas pour cette magnifique photo de l’Abbé sur son lit de mort. Je ne la connaissais pas et me suis empressé de l’imprimer…en grand !
La mort n’est qu’un passage et la dépouille mortelle de notre bien-aimé Abbé de vénérée mémoire, fut, ne l’oublions pas, le Temple du Saint Esprit. C’est à ce titre que l’Église honore les corps mortels de nos chers défunts.
Avant que le processus irréversible de la corruption ne soit enclenché, en l’attente de la Résurrection des corps au Jugement dernier, nous devons considérer avec respect, piété et dévotion ce corps, encore marqué de la présence du Saint Esprit. Présence d’autant plus « prégnante » lorsqu’il s’agit d’un prêtre…l’oint du Seigneur.
C’est pourquoi, dans une optique réellement chrétienne, et loin des considérations affectivo-païennes qui réputeraient comme morbide quelque attachement à une représentation de la mort, on peut à juste titre, non pas, sans mandat ecclésial, vénérer ou vouer un culte à cette dernière image de l’Abbé, mais la conserver et la considérer pieusement tout en méditant avec profit sur le sort semblable qui nous attend toutes et tous, lorsque notre heure aura sonné de paraître devant le Juge Éternel.
Qu’en pensez-vous cher Cave Ne Cadas ?
Vous avez parfaitement raison mon cher Charles quant à votre dernier paragraphe…
L’Abbé était un modèle pour chacun de nous qui l’avons bien connu… et donc conserver et considérer sa (ou ses) dernière(s) image(s) doit êtres également pour nous, un modèle et une méditation de notre dernière heure pour la persévérance finale !
Bien dit !!!


Ayant bien connu mr l’abbé Vérité, je suis persuadé qu’il dénoncerait haut et fort votre soutien indigne et scandaleux envers le Père (?) Subiron. Il avait une trop grande estime envers le sacerdoce et les sacrements pour laisser les fidèles recevoir les sacrements des mains d’un
ayant fréquenté de longs mois la secte de Palmar.
Ne vous appropriez pas l’héritage spirituel de mr l’abbé Vérité !
« Alexandre » l’anonyme… alias “alex2563”… vous parlez comme « une langue de vipère »… en n’y connaissant RIEN !
Jeune blanc-bec… vous n’avez certainement pas comme nous (LHR, moi-même et quelques autres) vécu dans l’intimité de l’abbé Vérité pour mieux le connaitre que nous !!!
Et… connaissant nos recherches sur l’intégrité de Mgr Ricardo… il aurait lui-aussi apporté sons soutien à Monseigneur en trouvant vos propos « indignes et scandaleux »…
L’abbé Joseph Vérité était un “anticlérical” viscéral contre les mauvais clercs des cloaques d’impureté…qui n’hésitent pas à propager les ragots dont vous faites allusion !
Seule la Sainte Église a le pouvoir propre de juger les délits qui la concernent et ses clercs.
Ladite publication… excède absolument les droits d’iceux, puisque l’Église Catholique ne les considère pas compétents pour juger et condamner comme ils le font, moins encore pour le faire en public et en prétendant exiger, après avoir ignoré la Loi de l’Église et de la Morale, que ceux qui pourraient juger le fassent en sanctionnant leur actuation et jugement particulier.
L’anonyme susdit a pour auteurs des personnes qui ne connaissent pas personnellement le monastère, ni Monseigneur ou ses religieux vu ce qui transparaît de leur texte ; ce ne sont pas des personnes constituées en hiérarchie dans l’Église…
Et, ils nous exigent que nous souscrivions à la sentence qu’ils ont déjà prononcé, promulgué et diffusé, au mépris de toute justice et sous couvert d’anonymat…
(Dixit Mgr Morello)
Floris, alias Cave Ne Cadas.
Concernant Mgr Ricardo, je ne sais pas ce qu’aurait fait M. l’abbé Vérité.
Vous non plus.
Mais je sais qu’il aurait été attentif à mon avis, à celui de ceux qui connaissent Mgr Ricardo, et encore plus à celui de Mgr Morello.
Il aurait vite compris que les reproches « espagnols » qui auraient dû mériter à Mgr Ricardo d’être poursuivi et mis en prison sont un montage aussi faux que les reproches faits à LHR qui l’auraient scandalisé car il me connaissait très bien.
Ah ! les jugements téméraires et les calomnies ! surtout ceux des clercs.
Autrement dit : « moi Louis Hubert Rémy je ne peux ni me tromper ni vous tromper », ce ne sont que des incantations, pas des réfutations.
C’est qui est indigne c’est ce dossier puant contre Mgr Ricardo.
Quand à l’abbé Vérité, qui a vécu jusqu’au bout dans une très grande intimité avec les Amis du Christ Roi de France, il n’aurait jamais pu donner le moindre crédit à ce torchon fétide.
Vous vous obstinez à parler de la forme et jamais du fond, cette attitude va vous condamner aux yeux des vrais Catholiques, en faisant cela vous jouez contre vous.
Si vous ne parlez pas du fond c’est que vous n’arrivez pas à démontrer que ce qui est dit est faux, et nombre de personnes honnêtes en concluront que tout ce dossier est véridique.
Vous pouvez faire dire ce que vous voulez à l’abbé Vérité, ce ne sont que des mots en l’air, vous pouvez injurier les « anonymes « , ça ne démontre rien, Mgr Morello peut user de son autorité, ça ne résoud rien, démontrez point par point que tout est faux et là vous serez intellectuellement crédibles.
« Morin » qui vient nous reprocher de nous fixer sur la forme et non le fond …
Celle là elle est fort de café !!!
Comment cela se fait-il que tous les clercs non una cum sont châties et dénigrés sur ce funeste blog… excepté un personnage
qui, étrangement, trouve grâce à vos yeux !
Cher Cave,
Auriez vous des indications sur les parents et grand parents de l’abbé Vérité : je serais heureux de retracer sa généalogie.
Bien cordialement !