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Un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône…

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Notre ami « Omnibus Orthodoxis atque Catholicae, et Apostolicae Fidei Cultoribus » ayant fait un excellant commentaire – lien permanent – (comme toujours !) sur le dernier article de Pierre Legrand : « Un digne Fils de ses Pairs… », j’ai plaisir à vous le mettre en avant pour que chacun puisse en apprécier le contenu :

 

Ce fut un bœuf d’airain jeté dans la mare boueuse d’Écône qui fit de l’effet et qui en a éclaboussé plus d’un, n’est-ce pas Pierre le Grand !?

La statue effritée du commandeur instable est désormais bancale.

Merci à vous mon bon Cave de relayer l’Invective historique hautement justifiée du Chevalier vengeur Petrus.

Attention ! âmes sensibles s’abstenir.

En attendant que la Justice de Dieu brûle les ordures à Paris et tire la chasse à Marseille (La Salette), le forum agonisant prétendument catholique de XA, au début autant baveux que bavard, est en constant déclin, il n’y a presque plus personne pour haïr sans vergogne la Tradition apostolique du Magistère de toujours.

Les vieux Adam licencieux de la vieille Ève conciliaire émancipée et soixante-huitards récurrents qui présidaient à la Fantasia conciliaire dans les paroisses françaises, ont TOUS crevé de leur luthérienne mort « aggiornamentée » sans être munis de sacrements efficaces et leurs corps bouffés par des vers voraces, pourrissent lentement mais sûrement en terre ingrate ou bien livrés au four crématoire des incrédules, s’agitent convulsionnés en tous sens désordonnés, léchés par des flammes dévorantes indomptables. Bigre, c’est d’enfer !

Or, pantois, ne reste à présent sur ce forum lefebvro-conciliaire ultralibéral, ou par deux fois dans un passé lointain, j’ai été censuré et banni,
QUE des lefebvristes délibérément attardés, indécrottables zombies, dindes faisandées prêtent à rôtir à Noël dans la joie de la PLEINE communion recouvrée en le modernisme apostatique, non content d’avaler depuis quarante ans des couleuvres apprêtées à la sauce Marcel 1er, déjà se réjouissent à l’avance des étreintes morbides de boas constricteurs, sourient follement étouffés de leur naïveté et bougent malgré tout encore dans ses anneaux dits « réactionnaires » des quatre têtes mitrés au cou raide de l’hydre lefebvriste, « ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force » (II Saint Timothée 3 : 1-5) « Éloigne-toi de ces hommes-là » (verset 5) avant qu’ils ne te fassent goulûment avaler, mariner dans un Berg’ à l’huile avariée (ça passera mieux) d’un conciliabule pourri de plus de cinquante ans d’âge, bouffer, digérer, déféquer dans et par l’annus horribilis de vaticand’eux. Cambronne !!!

« il arriva que la main de l’Éternel fut sur la ville [Écône] : il y eut un très grand trouble, et il frappa les hommes de la ville, depuis le petit jusqu’au grand, et ils eurent des éruptions d’hémorroïdes ». I Saint Samuel V : 9

aïe ! Aïe ! AÏE !!!

Ces folles vierges folasses d’humeur folâtre après quarante ans d’errance tel dom Gérard du Barroux, retournent gaiement à vaticand’eux. Les drôles ! Quelle TRISTESSE alexandrine !!!

« La colère de l’Éternel s’enflamma contre Israël, et il les fit errer dans le désert pendant quarante années, jusqu’à l’anéantissement de toute la génération qui avait fait le mal aux yeux de l’Éternel. Et voici, vous prenez la place de vos pères comme des rejetons d’hommes pécheurs, pour rendre la colère de l’Éternel encore plus ardente contre Israël. »
Nombres XXXII : 13-14

Ces scélérats publient Petrus pour s’en moquer allégrement à la manière de Hérode Antipas et le tournent en ridicule que pour mieux le descendre, le souffleter, lui cracher dessus leurs perfides vilénies… peine perdue, la vérité ontologiquement plus forte triomphe toujours et pour la faire taire, rien de mieux que la lâcheté de la censure.

De leur lithostratos virtuel, c’est-à-dire « siège de pierre » ils prononcent leur sentence de mort par crucifixion médiatique sous la pression maligne des ministres sanhédrins et du peuple conciliaire. Ils arguent du fait que Petrus se déclare « Non Una Cum » alors qu’ils allèguent que le seul pape légitime à leurs yeux est le grand-prêtre Berg’ Oglio dit « le Caïphe de la synagogue du Vatican » dans le palais d’Hérode le Grand implanté à l’ouest du mont du temple du grand orient en construction future.

L’inique violente algarade et censure injuste à l’endroit du molosse qui tenant dans sa gueule féroce le flambeau de la vérité, ne le dépose un instant que pour mieux aboyer des aboiements terrifiques « oportet allatrare canes. Il faut que les chiens aboient » …et parfois mordent jusqu‘au sang le mollet de…l’insolent orgueil, est comme toujours la réponse des faibles d’esprit.

Ainsi, à l’époque de Notre Seigneur Jésus-Christ, à n’en pas douter, ces lefebvro-con-ciliaires intégristes plus hypocrites que bêtes, aveuglés par même orgueil pharisaïque au mépris de la crudité de la vérité « le premier qui dit la vérité. Il doit être exécuté… » auraient très certainement soutenu obséquieusement l’humain establishment du Sanhédrin contre le Surnaturel Christ de Dieu dont ils doutèrent hier dans Sa chair la messianité incarnée de Sa divinité comme ils doutent aujourd’hui encore, dans Son corps mystique à présent éclipsé, de notre catholicité vraie.

Après Louis XIV et les papes désobéissants vis-à-vis du Sacré Cœur, Cor unum, de Jésus et de Marie, le châtiment en propre de la Fraternité sacerdotale de leur idolâtré « monseigneur » (qui nous mena tous en « Titanic »), est sans conteste dans le flagrant mépris du Message apocalyptique de l’eschatologie romaine ou vaticane, remarquez en passant que Notre Dame ne dit pas que l’Église perdra la Foi — chose invraisemblable — mais bel et bien le Vatican sis dans la ville papale de Rome et que l’Église militante sera justement comme ÉCLIPSÉE donc cachée par un corps étranger au temps du Jugement des nations.
Notre Dame à La Salette

 

Notre Dame

29 novembre 1877 :

J’ai prié, dit la Sainte Vierge ; j’ai pleuré ; j’ai souffert. Je suis descendue sur la terre pour les avertir. J’ai promis le salut si l’on faisait pénitence…

J’ai annoncé au clergé de fatales perditions ; j’ai fait entendre pour lui mes menaces, s’il faiblissait dans l’orage et la tempête. J’ai pleuré sur la France. J’y ai tracé le chemin de la Croix. J’ai ouvert des fontaines pour laver les malades. J’ai consolé mon peuple, lui promettant de le sauvegarder. Tout cela n’a pas touché le coupable. Il est resté dans le crime ; son châtiment est proche.

29 mars 1882 :

J’ai renouvelé bien des fois, dit le Seigneur, le secret de l’humble fille de la montagne. Ma sainte Mère portait l’instrument de ma Passion. Elle répétait

Les plantes chrétiennes seront si clairsemées que la terre ressemblera plutôt à un désert qu’à une terre habitée par des chrétiens, qui sont si nombreux pourtant.

Il y aura si peu de monde resté dans ces contrées qu’un grand nombre d’églises ne seront plus occupées, même par une seule âme. Ce sera selon les contrées et selon les progrès de l’iniquité

19 septembre 1896 :

Rappelez-vous mes graves paroles sur la montagne de La Salette. Le prêtre n’est plus humble et n’est plus respectueux.

J’ai encore à mes yeux, dit la Sainte Vierge, la trace des larmes que j’ai répandues à pareil jour, en voulant apporter à mes enfants la bonne nouvelle, s’ils se convertissaient, mais la triste nouvelle s’ils persistaient dans leur iniquité. On a fait peu de cas de ce que j‘ai révélé.

Mes enfants, quand je me rappelle, depuis le jour où, sur la sainte montagne, j’ai apporté mes avertissements à la terre menacée… quand je me rappelle la dureté avec laquelle on a reçu mes paroles pas tous, mais beaucoup Et ceux qui auraient dû les faire passer dans le cœur de mes enfants, avec une confiance immense et une pénétration profonde, ils n’en ont pas fait cas. Il les ont méprisées et, pour la plus grande part, ont refusé leur confiance.

29 septembre 1901 :

Eh bien ! je vous assure que toutes ces promesses, mes secrets intimes, vont se réaliser. Il faut qu’ils passent visiblement. Quand je vois ce qui attend la terre, mes larmes coulent encore.

Quand la terre aura été purifiée, par les châtiments, de ses crimes et de tous les vices dont elle est revêtue, de beaux jours reviendront avec le Sauveur choisi par nous, inconnu de nos enfants jusqu’ici.

4 août 1904 :

Dernièrement j’ai bien souffert. Quand de saints Pasteurs prêtres ont voulu que les dernières lignes de mes secrets, sur la montagne des douleurs, soient connues de tout mon peuple, d’autres pasteurs se sont révoltés.

J’ai eu la douleur de voir remisées, sous scellés, ces dernières pages qui auraient dû être livrées au monde.
C’est parce qu’il y est grandement question des pasteurs et du sacerdoce qu’on s’est révolté, et qu’on a replié les dernières pages de ce secret divin. Comment voulez-vous que les châtiments ne tombent pas sur la terre ?

On va jusqu’à envelopper mes dernières paroles sur la sainte montagne, et à les faire disparaître. Jusqu’à faire souffrir ceux qui se sont dévoués pour cette sainte cause, avec la joie de me glorifier dans cette solennelle prédiction.

C’est parce que ces dernières lignes sont toutes au sujet du sacerdoce — et c’est moi-même qui les ai prononcées et révélées — et que je montre comment on sert mon Fils dans les saints ordres et comment on vit son sacerdoce.

 

Notre Dame à La Salette

 

Mystique (horresco referens pour les frateux) du Message prophétique marial de La Salette (qui n’est plus un secret pour personne depuis des lustres) de la mystique de Marie-Julie Jahenny, textes tirés des extases de « Mémé » (c’est très affectueux de ma part car elle ressemble beaucoup à ma grand-mère maternelle, décédée) Marie-Julie rassemblés par le docteur Imbert-Gourbeyre.

Marie-Julie Jahenny

 Mélanie, quant à elle,

Melanie

le 23 novembre 1882, écrivait au chanoine de Brandt : « On n’aime plus le bon Dieu en France : pauvre France ! Si les juifs étaient dans le sein de l’Église, je croirais que nous sommes à la sixième époque, à la fin du monde ».

 

 

« Le Temple Maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église Catholique »
C’est fait ! Mgr Delassus

« Quant à mes ennemis, ceux qui n’ont pas voulu que je règne sur eux,
amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »

Saint Luc XIX, 27

Chaîne d’or de saint Thomas d’Aquin :

Théophyl. Puisqu’il a décuplé la mine qu’il avait reçue, et en a représenté dix à son maître, il est évident que s’il en multiplie un plus grand nombre dans la même proportion, le profit de son maître sera plus considérable. Quant au serviteur oisif et paresseux, qui n’a point cherché à augmenter ce qu’il avait reçu, on lui ôtera même ce qu’il possède : « Et à celui qui n’a pas, on ôtera même ce qu’il a », afin que l’argent du maître ne demeure pas infructueux, tandis qu’il peut être donné à d’autres qui le feront fructifier. Cette vérité s’applique non seulement à la prédication et à l’enseignement, mais à la pratique des vertus morales. En effet, Dieu nous donne pour ces vertus des grâces et une aptitude particulière, il donne à l’un la grâce du jeûne, à l’autre celle de la prière, à un troisième la grâce de la douceur et de l’humilité. Si nous sommes attentifs à profiter de ces grâces, nous les multiplierons, mais si nous sommes indifférents, nous les perdrons sans retour. Notre-Seigneur ajoute ensuite pour ses ennemis : « Quant à mes ennemis, qui n’ont pas voulu m’avoir pour roi, amenez-les ici, et tuez-les devant moi. »

 

[Je rappelle que le Dieu d’Abraham et le Dieu de Clovis est un seul et même Dieu…

…Notre Seigneur Jésus-Christ dans Sa prescience considère que cette génération est perdue, damnée, encombre inutilement la Terre dont Il est propriétaire, pervertissant tout ce qu’elle touche, créatures révoltées à l’instar des démons, détruisent tout et hypothèquent, très gravement, irrémédiablement, l’Économie du Salut vis-à-vis des générations futures qu’elle corrompt, c’est pourquoi :
« Alors Jésus-Christ, par un acte de Sa justice et de Sa grande miséricorde pour les justes, commandera à Ses anges que

TOUS Ses ennemis soient mis à mort ».] La Salette

 

« Oui, Dieu SEUL sauvera le monde, et Il ne se servira pas d’un bras de chair pour relever la société ; les sociétés, plongées, ensevelies dans l’iniquité, dans l’oubli de leurs devoirs les plus sacrés et dans l’abandon de Dieu et de Ses commandements.

Pour l’ordinaire, oui, le bon Dieu se sert des hommes comme instrument pour relever la société, lorsque dans cette société il y a une certaine crainte de Dieu, du respect pour l’autorité, pour les autorités une certaine souplesse à se soumettre… ;
mais aujourd’hui que l’orgueil et l’esprit d’indépendance sont arrivés aux nues, aucun homme ne pourra jamais dompter la rébellion effrénée des sociétés.

Il nous faut la verge de fer dans les mains de la justice divine » (Lettre du 23 juin 1885 de Mélanie à l’abbé Combe)

— S. Aug. (Quest. évang.) Il désigne ici l’impiété des Juifs qui n’ont pas voulu se convertir à lui.

— Théophyl. Il les livrera à la mort en les jetant dans le feu extérieur (cf. Mt 8, 22 ; 25), et dès cette vie même, ils ont été massacrés impitoyablement par les armées romaines.

— S. Chrys. (Ch. des Pèr. gr.) Cette sentence tombe directement sur les Marcionites.

Jésus-Christ dit ici : « Amenez mes ennemis, et qu’on les mette à mort en ma présence ; » et cependant ils prétendent que le Christ est bon, et que le Dieu de l’Ancien Testament est mauvais. Or, il est évident que le Père et le Fils font ici la même chose, le Père envoie une armée à la vigne pour détruire ses ennemis (Mt 21), et le fils les fait mettre À MORT en sa présence. [comme les juifs corrompus dans la Première Alliance]


 

Et, si cela vaut pour les Marcionites, cela vaut aussi pour les Lefebvristes.

Du seigneur Tissier (lettre du 25 septembre 1993) faisant profession de sa lefebvrolatrie à l’abbé lefebvriste Berger quittant sa frat’ pour la Synagogue du Vatican :

« Notre position ne vous semble pas claire ; mais c’est Monseigneur qui a eu la grâce d’état de prendre la décision du Sacre, et a eu les lumières pour la prendre ; nous, nous avons simplement la grâce de le suivre, et cela suffit : marchons dans la foi ; si ce n’est pas la foi divine, c’est quand même l’esprit de foi, qui vient de la foi divine… »

 

Car, si les diaboliques lefebvristes enseignent que leurs « papes » pourtant modernistes reconnus légitimes de la même façon que les pires hérétiques et ennemis de la Sainte Église Romaine ainsi que les Roncalli, les Montini, les Wojtyla, les Ratzinger et les Bergoglio peuvent se tromper, alors les 265 autres vrais papes peuvent se tromper aussi et nous tromper, plus personne n’est obligée de croire, à l’instar du luthéranisme il n’y a plus de vérité divine invariable, le Christ n’a pas tenu sa promesse et le dogme de l’infaillibilité pontificale évacué sans force ni effet, est déclaré menteur (sic !), l’autorité du pape après l’avortement du dogme serait désormais toute relative, la vérité ne serait plus intemporelle, tous les dogmes sont sujets à caution, il n’y a plus de Credo, son intimation est fortement diminuée, etc. c’est l’anarchie !

La frat’ rend fous, fait des siens des Vierges Folles à Lier qu’elle prostitue à Berg’ Oglio !

Qu’arrivera-t-il aux una cum ?

il est très possible, qu’a force de prier una cum jp ii, les prêtres una cum soient exaucés.

« Et qu’ils finissent dans l’église de J-P II, c’est à dire, dans la secte conciliaire. Malheureusement, finir ainsi, c’est apostasier. Et c’est risquer d’emmener tous leurs fidèles à l’apostasie. »

de l’éminent Louis-Hubert REMY, prophétie rationnelle in

« Le Problème de – L’Una Cum – Problème de L’Heure Présente »

 

On doit insister encore et encore sur le fait que le sacrifice eucharistique est essentiellement l’immolation non sanglante de la divine Victime, une immolation mystiquement représentée par la séparation des saintes espèces, et par leur offrande au Père éternel.

La communion appartient à l’intégration du sacrifice. La réception du saint sacrement est une participation au sacrifice. Et quoiqu’elle soit obligatoire au ministre sacrifiant, elle n’est QUE hautement recommandée aux fidèles ».
Pie XII, Mediator Dei, l947

D’ailleurs, l’Église fait Loi aux Chrétiens de communier au Sacrifice christique qu’une fois l’an à Pâques et pour le prêtre, seul l’Office divin quotidien est « sub gravi » strictement obligatoire, pas la Messe, même pas à Noël ou à Pâques.

Question aux théologiens amateurs (qui aiment) : qu’arrive-t-il aux clercs et laïcs, jugent de celui qu’ils légitiment comme « pape » bien que « parmi vous, il n’y ait pas de place pour l’ORGUEIL du “libre examen”, qui relève de la mentalité hétérodoxe plus que de l’esprit catholique, et selon lequel les individus n’hésitent pas à peser au poids de leur jugement propre même ce qui vient du Siège Apostolique » (« Vos omnes » Pie XII 10/09/1957) exclusivité de la praxie hétérodoxe de l’esprit lefebvriste pourtant en pleine advertance des apostasies formelles aujourd’hui cinquantenaires de ceux avec qui ils demeurent néanmoins Plus Que Jamais désormais en parfaite communion volontaire (peu avant de mourir Pie IX précisera pour les futurs prélats [dont la bande des quatre] : ceux « qui s’efforcent d’établir une alliance entre la lumière et les ténèbres sont plus dangereux que les ennemis déclarés » aussi Saint Pie X n’hésita pas à déclarer les modernistes — malgré eux quant aux lefebvristes — « fils » des libéraux, les pires ennemis de l’Église » dont la frat’, mordicus errare humanum est, perseverare diabolicum, est toujours plus que jamais, hier comme aujourd’hui, son plus fidèle et fanatique soutien !)

 

Séminaire International Saint Pie X, 8 mars 1980

 

Très Saint Père, Afin de mettre fin à des doutes qui se répandent actuellement soit à Rome, soit dans certains milieux traditionalistes d’Europe et même d’Amérique concernant mon attitude et ma pensée vis-à-vis du Pape, du Concile et de la Messe du Novus Ordo et craignant que ces doutes ne parviennent jusqu’à Votre Sainteté, je me permets d’affirmer à nouveau ce que j’ai toujours exprimé :

Que je n’ai aucune hésitation sur la légitimité et la validité de Votre élection et qu’en conséquence je ne puis tolérer que l’on n’adresse pas à Dieu les prières prescrites par la Sainte Église pour Votre Sainteté. J’ai dû déjà sévir et continue de le faire vis-à-vis de quelques séminaristes et quelques prêtres qui se sont laissés influencer par quelques ecclésiastiques étrangers à la Fraternité.

Que je suis pleinement d’accord avec le jugement que Votre Sainteté a porté sur le Concile Vatican II, le 6 novembre 1978 à la réunion du Sacré Collège : “que le Concile doit être compris à la lumière de toute la Sainte Tradition et sur la base du magistère constant de la Sainte Église”.

Quant à la Messe du Novus Ordo, malgré toutes les réserves qu’on doit faire à son égard, je n’ai jamais affirmé qu’elle est de soi invalide ou hérétique.

 

Je rendrais grâce à Dieu et à Votre Sainteté, si ces claires déclarations pouvaient hâter le libre usage de la Liturgie traditionnelle et la reconnaissance par l’Église de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X ainsi que de tous ceux qui, souscrivant à ces déclarations, se sont efforcés de sauver l’Église en perpétuant sa Tradition.

Que Votre Sainteté daigne agréer mes sentiments de profond et filial respect en Jésus et Marie.

Marcel Lefebvre ancien Archevêque de Tulle

 

 

Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie, Aaah ! disait Monsieur de la Palisse.

(s’ensuit tant fin de ma question)…

…Ainsi, toutefois sans aucune conscience ignorante ou erronée (c’est difficile après cinquante ans de régime destructeur dit moderniste) que leur arrive-t-il donc d’un sacrifice profané objectivement sacrilège au regard de Dieu !?

Indignes !… et

Profanateurs ! … mangent et boivent leur propre condamnation…

qui du Rit catholique d’une messe à la consécration valide mais profanée par un clerc validement ordonné finissent par être plus ou moins possédés…

 

Possession

 

« La Bête s’éleva jusqu’à la puissance du Ciel et elle fit tomber des étoiles (des évêques entraînant les tièdes, ça vaut aussi pour ceux de la frat) ; et elle les foula au pied. Elle s’éleva jusqu’au prince de la force (l’Office papal de la papauté) et lui enleva le sacrifice perpétuel et le lieu de son sanctuaire fut renversé » (Saint prophète Daniel, VIII,10 à12,17 et encore IX,27. XI,31. XII,11).

L’anti-messe de Montini est l’Abomination de la Désolation après la perversion de la vraie Foi dans un vaticand’eux quasi-talmudique.

Dom Guéranger précise à ce propos : « La Sainte Église fait entrer tous ses membres en participation du grand Sacrifice ; c’est ce qui fait que, si le Sacrifice de la Messe s’éteignait, nous ne tarderions pas à retomber dans l’état dépravé où se trouvait les peuples souillés par le paganisme, et telle sera l’œuvre de l’Antéchrist : il prendra tous les moyens d’empêcher la célébration de la Sainte Messe, afin que ce grand contrepoids soit abattu et que Dieu mette fin alors à toutes choses, n’ayant plus de raison de les faire subsister (…) Des guerres sociales se sont élevées, portant avec elles la désolation, et cela uniquement parce que l’intensité du Sacrifice de la Messe est diminuée. C’est le commencement de ce qui arrivera lorsque le Diable et ses suppôts, déchaînés par toute la terre, y mettront le trouble et la désolation, ainsi que Daniel nous en avertit. À force d’empêcher les ordinations et de faire mourir les prêtres, le diable empêchera enfin la célébration du grand Sacrifice, alors viendront les jours
de MALHEUR. Il ne faut pas nous en étonner, car la Sainte Messe est un événement pour Dieu comme pour nous ; cet événement va directement à sa gloire. Il ne saurait méconnaître la voix de ce Sang plus éloquent mille fois que celui d’Abel ; Il est obligé d’y apporter une attention particulière parce que sa gloire y est intéressée et que c’est son Fils lui-même, le Verbe éternel, Jésus-Christ, qui s’offre comme victime et qui prie pour nous son Père » (op. cit., pp. 106-108).

Alea jacta est !!!

 

L'ange du Démon