Rome ~ Menzingen : Le chat et la souris – Il était une histoire…
Cave Ne Cadas
Posted on 31 octobre 2014
« Avila » du « Forum Catholique de la Résistance à la néo-FSSPX et à la Rome moderniste » (Christus Vincit! Christus Regnat! Christus Imperat!) se pose la question « François sifflerait-il la fin de la récréation ? »
En rapportant la notification d’un pseudo-évêque (conciliaire) Marcello Semeraro (un laïc déguisé en Évêque bien sûr !), qui a été publiée sur le grand quotidien « catholique » italien, L’Avvenire, et repris par le journaliste Orazio La Rocca de l’Epresso, autre journal italien.
Quand on sait que Mgr Fellay a une Hantise, une peur, d’être à nouveau excommunié, déclaré sédévacantiste et schismatique, voilà, quelques jours après l’interview de Mgr Pozzo sur Famille Chrétienne Fraternité Saint-Pie X – Mgr Guido Pozzo : « Rome n’entend pas imposer une capitulation » – 20 octobre 2014, un serrement de vis de la part de Rome (ce Mgr est un très très proche de Bergoglio) qui semble siffler la fin de la récréation, du style : on a bien discuté, parlementé pour vous laissez le temps de préparer vos fidèles et d’expulser les récalcitrants, on vous propose un accord, prélature personnelle, etc. depuis deux ans, maintenant vous l’acceptez ou vous êtes excommuniés et vos fidèles avec !
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« Nunc et Semper » de l’ex « Forum Catholique traditionnel et contrerévolutionnaire, disciple de Monseigneur Lefebvre » (Un évêque s’est levé ! de la gente-dame « Gentiloup » qui vient de décider son sabordage…) rapporte lui que selon Orazio La Rocca de l’Epresso :
Le pape François interdit de dire la messe aux prêtres lefebvristes
L’évêque Marcello Semeraro est un proche et très écouté conseiller de François. Le 13 avril 2013, François, récemment élu, le nomme secrétaire du groupe de huit cardinaux chargé de le conseiller dans le gouvernement de l’Église (la secte Conciliaire) et la réforme de la curie.
Cet évêque a interdit aux prêtres et aux évêques de la FSSPX de célébrer la messe et de donner les sacrements (baptêmes, premières communions, confirmations, mariages …) comme s’ils étaient incardinés dans l’Eglise (secte) conciliaire. Un veto similaire a été imposé aux fidèles catholiques qui vont assister à des cérémonies et recevoir les sacrements de prêtres lefebvristes, au risque d’être excommuniés automatiquement, selon le même secrétaire du premier cercle de François.
Pour cet arrêt un décret a été publié signé par Mgr Semeraro, réputé (paraît-il), théologien ecclésiologique. Il est l’évêque d’Albano, où se situe le célèbre prieuré de la Fraternité en banlieue de Rome.
La mission du C8 dont il est le secrétaire a pour mission de donner aux organes de l’Église catholique (la secte Conciliaire) de la Curie un cadre structurel et organisationnel plus en accord avec les besoins pastoraux de la société, selon François.
Mgr Semeraro a envoyé sa notification au prieuré de la Fraternité Saint-Pie X d’Albano.
Cette même Fraternité, l’année dernière, avait attiré l’attention des médias pour avoir célébré, l’enterrement du nazi Erich Priebke, l’un des responsables du massacre des Fosses Ardeatine. Un geste vu comme un nouveau défi par les autorités de l’Église (secte) conciliaire, dont l’évêque de Rome (le Clown blanc de la secte Conciliaire) avait interdit la célébration du service funéraire de l’ancien nazi, celui-ci étant mort, selon l’Espresso, sans la moindre contrition concernant sa responsabilité dans le massacre des fosses Ardeatine.
Ce que la Fraternité, avait fermement démenti.
Dans un article publié dans le journal catholique Avenire, Semeraro explique qu’il a eu à intervenir à de « nombreuses demandes de clarification à propos de la célébration des sacrements à la Fraternité Saint-Pie X, qui n’est pas une institution (ou paroisse, ou organisation ou mouvement) de Eglise catholique. Bien que Benoît XVI, ait gracieusement accepté les exigences du Prieur général de la Fraternité, le 21 Janvier 2009 en levant l’excommunication des quatre évêques lefebvristes, mais en ayant bien précisé dans la « lettre aux évêques » en Juin 2009 que la même fraternité n’a pas de statut canonique dans l’Église, même si elle a été libérée de la punition ecclésiastique, ses ministres ne peuvent exercer de façon légitime aucun ministère dans l’Église. Dispositions évidemment ignorées par les lefebvristes – environ 15 mille fidèles en Italie – qui ont continué à célébrer les sacrements et à les répandre, comme si elle était incardinée dans les organismes ecclésiaux reconnus par la CEI (Conférence épiscopale italienne). »
D’où l’interdiction ferme de l’évêque Semeraro dans laquelle il rappelle aux fidèles catholiques qu’ils « ne peuvent pas assister à la messe ou demander à recevoir les sacrements de la Fraternité. » et qu’ils encourent la peine d’excommunication automatique. Il se dit « désolé » que les premières victimes de cette situation soient les enfants et les jeunes qui pourraient recevoir des sacrements illégitimes (baptêmes, premières communions et confirmations) « en contraste » avec les orientations pastorales de l’Eglise catholique (la secte Conciliaire) italienne.
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Notre très chère piaf, « la Mésange » a pour sa part publié sur son blogue (en faisant fi des remarques récemment publiées sur le “É” majuscule blasphématoire ici, et là) :
Menaces, excommunications et foutage de g…
Publié le 29 octobre 2014 par la Mésange
L’Église conciliaire (!!!), qui n’a presque plus rien de catholique en elle (oui, je sais, je suis modérée, avec mon « presque »), qui lèche les babouches, les kippas, les tabliers en peau de cochon, et les pieds des « frères séparés » des hérésies variées de la grande parpailloterie, la Grande Prostituée donc, puisqu’on peut sans erreur lui attribuer ce nom, fulmine des excommunications non plus seulement envers les prêtres de la FSSPX, mais même envers leurs fidèles….
Voici en effet ce que vient de pondre l’un des bras droits du Bergoglio, l’un des huit qui aident cet antichrist dans ses sales besognes :
Je traduis, parce que ça vaut le coup, en faisant de mon mieux, et en respectant la « majusculite » aiguë de l’auteur :
Diocèse d’Albano
Notification Aux Paroisses Concernant la fsspx
Au cours des dernières semaines, des demandes de clarification ont été adressées au Diocèse concernant la célébration des Sacrements à la FSSPX d’Albano.
À ce sujet, il est juste et à propos de rappeler que la sus-mentionnée « fraternité » n’est pas une institution (ni une paroisse, ni une association) de l’Église Catholique.
Ceci s’applique même après le décret de la Congrégation des Évêques du 21 juin 2009, par lequel le Saint Père Benoît XVI, faisant preuve de bonne volonté en réponse aux demandes réitérées du Supérieur Général de la FSSPX, a annulé les excommunications qu’encouraient les quatre Prélats depuis le 30 juin 1988.
Cela a été souligné par Benoît XVI dans sa Lettre aux Évêques de l’Église Catholique, du 10 mars 2009 : « La Fraternité n’a pas de statut canonique dans l’Église, et ses ministres – même s’ils ont été libérés de la sanction ecclésiastique – n’exercent aucun ministère légitime dans l’Église ». (in AAS CI [2009], n. 4, p. 272)
Le même Benoît XVI, dans la lettre pour L’unité de l’Église du 2 juillet 2009, ajoutait :
« La remise de l’excommunication était une mesure prise dans le contexte de la discipline ecclésiastique afin de libérer les individus d’un fardeau de conscience constitué par la plus lourde des peines ecclésiastiques. Cependant, les questions doctrinales demeurent évidemment, et jusqu’à ce qu’elles soient clarifiées, la Fraternité n’a pas de statut canonique et ses ministres ne peuvent exercer légitimement aucun ministère. » (in AAS CI [2009], p. 710-711).
En conséquence de ce qui précède, il est juste et approprié de redire ce qui a été formulé par Dante Bernini (NdlM : l’ancien évêque d’Albano) dans la Note Pastorale au sujet de la FSSPX où on peut lire :
Les fidèles Catholiques ne peuvent pas assister à la Messe, non plus que demander et/ou recevoir les Sacrements de ou dans la FSSPX. Agit autrement signifierait rompre la communion avec l’Église Catholique.
Ainsi, tout fidèle Catholique qui demande et reçoit les Sacrements dans la FSSPX, se place lui-même de facto en condition de rupture de communion avec l’Église Catholique. Une ré-admission dans l’Église Catholique devra être précédée par un chemin personnel adéquat de réconciliation, selon la discipline ecclésiastique établie par l’Évêque. (NdlM : énorme !!!)
Il est sincèrement attristant que de telles mesures, en particulier lorsqu’elles concernent l’Initiation chrétienne d’enfants et d’adolescents, soient en contraste avec les orientations pastorales de l’Église Italienne et, en conséquence, avec les choix du Diocèse d’Albano, ou des chemins de formation pour la croissance et la maturation de la vie de Foi sont favorisés (NdlM : en effet, on sait combien les prélats de l’Église conciliaire (!!!) aiment les enfants…surtout les petits garçons, hein ?).
Aux Curés de paroisses, le devoir d’informer correctement les fidèles.
De la chancellerie d’Albano, le 14 octobre 2014
+ Marcello Semeraro, Evêque.
*******
Le Marcello aurait aussi bien pu ajouter :
PS : Bon, ben sans rancune, allez…on pensera très fort à vous à la Loge, c’est promis. Et regardez, si vous êtes sages et abandonnez définitivement cette vieille religion catholique qui vous occasionne tous ces soucis, on vous laissera même faire des bisous à François 1er, comme les chers « Évangéliques », eux qui sont dans l’amitié du Très-Saint-Père, et en pleine communion avec l’Église gnostique luciférienne euh… pardon, je voulais dire : catholique !
Le pasteur protestant S. Galloza …bisou !
Source : Vu, lu, entendu, le bogue de La Mésange : http://blogdelamesange.wordpress.com/2014/10/29/menaces-excommunications-et-foutage-de-g/
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La F$$PX a immédiatement réagi (en utilisant son langage traditio-conciliaire) :
F$$PX Italie, À propos de la notification de Mgr Semeraro
SOURCE – District d’Italie de la Fraternité Saint Pie X – version française par CMdelaRocca – octobre 2014

Dans une notification du 14 octobre dernier, Mons. Marcello Semeraro, qui administre le Diocèse Suburbicaire d’Albano, a pensé de déclarer que la FSSPX n’est pas « une institution de l’Église Catholique » et que les fidèles ne doivent pas la fréquenter pour ne pas rompre la communion avec l’Église (la secte Conciliaire).
Nous pourrions répondre beaucoup de choses à Mons. Semeraro, en gardant son point de vue.
Nous pourrions lui demander s’il sait que la Fraternité a été érigée avec l’approbation de l’évêque de Fribourg en 1970, que le Saint Siège lui a conféré le Décret de Louange en 1971 ; s’il sait que la même maison de la fraternité à Albano, avec son oratoire semi-public pour y administrer les sacrements, a été érigée canoniquement par son prédécesseur Mons. Raffaele Macario le 22 février 1974 (prot. 140/74).
Nous pourrions aussi lui demander comment il concilie ses interdictions avec les déclarations officielles du St Siège, qui avec la réponse de la Commission Ecclesia Dei du 18 janvier 2003, disait qu’il est possible de satisfaire le précepte de la Messe dominicale « en assistant à une messe célébrée par un prêtre de la FSSPX » ; où comment il pense que l’on puisse « rompre la communion avec l’Église » (la secte Conciliaire) en allant à la messe de la FSSPX quand le St Siège lui-même ne retient plus hors de la communion les évêques de la même fraternité ; ou s’il pense que des présumées irrégularités canoniques équivalent à une rupture de la communion.
Nous pourrions aussi lui demander pourquoi lui, l’évêque, peut organiser une veillée œcuménique dans la cathédrale (18 janvier 2014) pour y prier avec des personnes qui certainement ne sont pas « en communion avec l’Église catholique » (la secte Conciliaire) comme une « pasteur » évangélique et un évêque orthodoxe (orthodoxes auxquels en 2009 il a donné l’église San Francesco de Genzano, construite par nos pères pour le culte catholique) ; pendant que ses fidèles ne pourraient prier avec d’autres catholiques à la Messe de la Fraternité.
Nous pourrions lui demander pourquoi l’ouverture d’esprit du diocèse est si large à s’ouvrir le « premier forum des chrétiens homosexuels », tenu dans la maison des Pères Somaschi les 26-28 mars derniers, mais pas à ceux qui demeurent attachés à la Tradition de l’Église catholique.
Nous n’attendons pas de réponse sur ces points qui montrent de manière limpide les contradictions de Mons. Semeraro.
La Fraternité fonde son ministère envers tous les fidèles sur la nécessité de combattre les erreurs contre la foi catholique romaine qui sont diffusées dans l’Église (la secte Conciliaire) par les évêques (de simples laïcs déguisés – parfois – en Évêques !) même : de l’indifférence œcuménique par laquelle se peut donner du crédit à toutes les religions comme si elles étaient des voies de salut, jetant à bas le Premier commandement de Dieu, jusqu’à l’adoption d’une liturgie qui s’éloigne de l’expression des dogmes de l’Église romaine pour devenir semi-protestante et irrévérencieuse. Erreurs qui s’étendent toujours plus, comme il s’est vu au cours du dernier Synode, où sous apparence de miséricorde, l’on a discuté de la possibilité de modifier le Sixième Commandement et de renoncer dans les faits à l’indissolubilité du mariage chrétien.
L’état de grave nécessité générale, dû à la diffusion capillaire d’erreurs contre la Foi de la part de la hiérarchie ecclésiastique fonde canoniquement le droit et le devoir de tout prêtre fidèle de donner les sacrements et une authentique instruction catholique à qui le demande.
La FSSPX, à l’exemple de son fondateur, continuera à transmettre intégralement le dépôt de la Foi et de la Morale catholique romaine, s’élevant ouvertement contre toutes les erreurs qui veulent les déformer, sans craindre les menaces et sanctions canoniques injustes puisque ce dépôt, ni Mons. Semeraro, ni aucun autre membre de la hiérarchie ne pourra jamais le changer. Comme le dit Saint Pierre : “il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes”.
Tous ceux qui désirent recevoir les sacrements comme l’Église les a administrés toujours, recevoir un catéchisme pour leurs enfants, une formation pour les adultes, une direction spirituelle et un réconfort pour les malades seront toujours les bienvenus.
Le district d’Italie de la Fraternité Saint Pie X.
Source TradiNews : http://tradinews.blogspot.fr/2014/10/fsspx-italie-propos-de-la-notification.html
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Le jeu du chat et la souris… jusqu’à quand ?
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Pourquoi accorder tant de place à une nouvelle production du pétomane argentin ? Ouvrons la fenêtre, voilà tout.
J’ajoute que si les flatulences mentionnées ci-dessus n’émanent pas directement du pétomane argentin, on peut dire que celui-ci a déjà fait école : NEWVATICAN HAS TALENT !
« (…) Ne craignez pas ceux qui tuent le corps mais qui ne peuvent pas tuer l’âme ; craignez plutôt Dieu qui peut faire périr à la fois le corps et l’âme dans l’enfer. Ne vend-on pas deux moineaux pour un sou ?
Cependant, aucun d’eux ne tombe à terre sans que Dieu votre Père le sache. Quant à vous, même vos cheveux sont tous comptés. N’ayez donc pas peur : vous valez plus que beaucoup de moineaux ! » (St Paul)
Oui ! Ce jeu du chat et de la souris est un jeu mortel ! Il faudra bien qu’un jour nous admettions que le chat finira, après de très longues années de patience, par dévorer la malheureuse petite souris fraternelle à l’odorat clérical depuis trop longtemps alléché par l’odeur du fromage romain et vatinanesque…
Et il faudra bien surtout qu’un jour, chers amis lecteurs, nous nous fassions violence pour admettre que :
érection canonique, décret de Louange (sic!), commission Ecclesia Dei, levée (?) d’excommunication (?) furent et DEMEURENT autant de PIÈGES DIABOLIQUES tendus comme des filets à très large rayon d’action pour enfermer la FSSPX dans ses contradictions ! La petite souris commence sérieusement à se mordre la queue…
Et, en pointant du doigt les supposées contradictions de « l’église-secte officielle », la FSSPX se tire du même coup une balle d’argent dans le pied puisqu’elle refuse de se situer dans une autre logique (et il n’y en a qu’une de possible : celle dictée par Notre-Dame à La Salette : l’éclipse de l’Église !) que celle dictée par la secte apostate elle-même !
Comme je le dis parfois à qui veut bien l’entendre (et ils sont fort peu nombreux !), le ver était depuis les origines de son érection placé, par des mains ténébreuses et initiées, dans cette pieuse fraternelle aux prétentions conservatoires.
Non seulement « ils » n’ont rien compris mais ils comprennent, à l’instar de leur Prieur, de moins en moins au fur et à mesure que l’emprise démoniaque se fait de plus en plus prégnante et que le piège se referme doucement mais sûrement sur l’ensemble du traditionalisme…Mysterium iniquitatis…
Le très progressiste GOLIAS réagit le 30 octobre. Lisez plutôt la sublime prose :
« Vite ! Sortez le champagne ! Si tout va bien — Deo gratias ! (sic!) — la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX) devrait pouvoir bénéficier d’une prélature personnelle, (ah ! là revoilà la fameuse chimère-tarteàlacrème de la FSSPX !) relevant donc de la seule autorité du pape (ben voyons !) , et ainsi, regagner le giron (maternel ?) de l’Église ! (…) ce pape gouverne aussi avec beaucoup de finesse. (Le clown blanc est en général plus « fin » que le simple « guguss » : il joue son rôle !) Ne disait-il pas de lui-même qu’il est rusé ? (…) s’ils disent le Credo (allez chers tradis !!! tous en chœur exprimons notre foi !!!) , ils pourront continuer à ne pas adhérer aux formulations de Vatican II qu’ils récusent, notamment celles concernant la liberté de conscience ou de religion ! Cette réintégration permettrait de pouvoir récupérer quelques centaines de prêtres, ce qui est tentant. (s’pas !!!) Mais dans l’optique (c’est le cas de le dire !!!) pontificale, elle vise aussi à mieux surveiller la mouvance intégriste. Mieux vaut les avoir dedans (on appréciera la force lexicale de ce petit mot !!!) et les canaliser (les canaux de la foi et de la grâce ???) que de les laisser faire et dire dehors !
Pour le « pape » « L’unité de l’Église est un enjeu majeur ! (…) François apprécie Michel de Certeau. Le jésuite français aimait dire que l’autre lui manquait, celui qui ne pense pas, ne croit pas, n’agit pas comme lui… »
FERMONS LE BAN !!!! Vous avez dit récupération ?!!!……
À TOUS LES AMIS DE CE BLOGUE CATHOLIQUE (et même aux « autres » !) :
BONNE ET JOYEUSE FÊTE DE LA TOUSSAINT !!!!
Bonjour,
Une petite précision concernant le É majuscule à « Église » : je respecte tout simplement les règles conventionnelles de la grammaire française, qui précise bien qu’on écrit « église » sans majuscule pour désigner les bâtiments, et « Église » avec une majuscule pour désigner le groupe religieux, l’institution, qui occupe/gère ses bâtiments.
On dit par exemple « Église de Scientologie » et il faut bien une majuscule même si la chose en question est une secte.
Je ne suis pas imbue de ma personne au point de changer les règles de grammaire au gré de ma fantaisie !
Mon très chère Piaf,
j’avais écrit (ceci dessous) mais vous n’êtes pas allez voir…
ICI et LÀ…
Alors je vais vous le remettre clairement :
Cave Ne Cadas lien permanent *
octobre 30, 2014
Votre remarque sur la « langue française » est exacte MAIS ici il ne s’agit pas de « déformer la langue française »… « pour rester catholique »…
Mais de rester dans la Tradition de l’Église [catholique !]…
Ce “É” majuscule EST blasphématoire, c’est d’attribuer le terme d’Église à une secte qui ne représente qu’elle-même et pas l’enseignement apostolique et patristique de toujours !
CatholicaPedia écrit « église Conciliaire » avec une minuscule pour le ‘é’ de ‘église’, comme la Rome de toujours l’a toujours fait à l’égard des communautés qui ne possèdent pas le Sacerdoce sacrificiel valide ni la succession apostolique.
L’église [secte] Conciliaire ne possède plus aujourd’hui le Sacerdoce sacrificiel sacramentellement valide ni même la succession apostolique, et ne mérite plus de porter le nom d’Église avec une majuscule.
Car au-delà de la question du pape, l’église [secte] Conciliaire n’est pas l’Église catholique, mais son usurpatrice, sa contre-façon, la secte conciliaire devenue aujourd’hui – 46 ans après la promulgation du nouveau rite conciliaire épiscopal du 18 juin 1968 rendu volontairement radicalement invalide – quasiment totalement dépourvue du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide, à l’instar du prétendu « clergé » anglican.
Post scriptum
Vos exemples de l’abbé Rohrbacher ou de l’Évêque Jacques-Bénigne Bossuet ne représentent pas la Tradition de l’Église et ne sont pas Le Magistère… L’un étant “historien” et l’autre “prédicateur et écrivain français”…
Cave Ne Cadas lien permanent *
octobre 31, 2014
Catéchisme du Concile de Trente, chapitre dixième, du neuvième article du Symbole :
§ I — CE QUE C’EST QUE L’ÉGLISE
Le mot Église vient du grec. Les Latins l’ont emprunté à cette langue, et après la publication de l’Évangile, ils l’ont consacré exclusivement aux choses saintes. Voyons quel en est le sens. Il signifie proprement convocation.
Mais avec le temps les auteurs l’ont emprunté souvent pour désigner une assemblée, une réunion d’hommes, sans examiner si ces hommes admiraient le vrai Dieu, ou les fausses divinités. Nous lisons au livre des actes que le greffier de la ville d’Éphèse, après avoir apaisé le peuple, lui dit : « Si vous avez quelque autre affaire à proposer, nous pourrons la traiter dans une assemblée légitime. » Ainsi l’assemblée du peuple d’Éphèse est appelée légitime, bien que ce peuple fût adonné au culte de Diane. Et non seulement ce nom d’Église est donné aux nations qui ne connaissent pas Dieu, mais quelquefois même il est appliqué aux assemblées des méchants et des impies. Je hais l’Église des méchants, dit le prophète, et je ne m’assiérai point avec les impies.
Mais dans la suite, l’usage ordinaire de la Sainte Écriture fut de consacrer ce mot à désigner uniquement la société chrétienne et les assemblées des fidèles, c’est à dire de ceux qui ont été appelés par la foi, à la lumière de la vérité et à la connaissance de Dieu, qui ont dissipé les ténèbres de l’ignorance et de l’erreur, qui adorent avec piété et sainteté, le Dieu Vivant et Véritable, et qui le servent de tout leur cœur.
Enfin, pour tout dire en un mot, l’Église, selon S Augustin, c’est le peuple fidèle répandu dans tout l’univers.
L’usage ordinaire donc fut d’utiliser le terme en question uniquement pour désigner la vraie Église du Christ.
Selon le Concile de Trente donc les sectes acatholiques ne jouissent pas du droit au du titre d’« église » (même avec une minuscule).
Il est évident également que théologiquement parlant le terme Église ne s’applique qu’à l’Église catholique, car il n’y a qu’une seule Église. Les sectes schismatiques sont tout au plus de fausses églises, c’est-à-dire qu’elles ont l’apparence de la seule et unique Église. Une analogie pourrait d’ailleurs être fait avec l’expression faux pape désignant un être humain ayant seulement l’apparence d’un Pape et qui en réalité ne l’est pas du tout.
CONCLUSION
Selon le Concile de Trente les sectes acatholiques ne jouissent pas du droit au du titre d’« église » (même avec une minuscule).
En tout amitié ma chère Mésange…
Pour votre sanctification…
C’est gentil, mais je suis convaincue qu’aucun pouvoir (fût-ce la Sainte Église) n’est fondé en droit à modifier une langue, son orthographe ou sa grammaire. Je m’en tiens donc, pour les choses religieuses à l’enseignement de l’Église, et pour les choses grammaticales à celui de l’Académie française ! 🙂
Très chère,
Savez vous comment l’Église vous qualifie donc ?
femme insoumise !
Car…
Selon le Concile de Trente les sectes acatholiques ne jouissent pas du droit au du titre d’« église » (même avec une minuscule).
Donc libre à vous de blasphémer… en utilisant ce “É” majuscule qui EST blasphématoire, pour attribuer le terme d’Église à cette secte qui ne représente qu’elle-même et pas l’enseignement apostolique et patristique de toujours !
Le Concile de Trente, précise dans son « Chapitre dixième — Du neuvième article du Symbole » :
(…)
Mais dans la suite, l’usage ordinaire de la Sainte Écriture fut de consacrer ce mot à désigner uniquement la société chrétienne et les assemblées des fidèles, c’est à dire de ceux qui ont été appelés par la foi, à la lumière de la vérité et à la connaissance de Dieu, qui ont dissipé les ténèbres de l’ignorance et de l’erreur, qui adorent avec piété et sainteté, le Dieu Vivant et Véritable, et qui le servent de tout leur cœur. Enfin, pour tout dire en un mot, l’Église, selon St Augustin, c’est le peuple fidèle répandu dans tout l’univers. Mais ce mot de l’Église renferme de véritables mystères, et des mystères très importants. En effet, si nous l’entendons dans le sens de convocation, nous voyons aussitôt briller à nos yeux la douceur et la lumière de la Grâce divine, et nous sentons combien l’Église diffère de toutes les autres sociétés. Celles-ci ne se soutiennent que par la raison et la prudence humaines ; celle là repose sur la Sagesse et le Conseil de Dieu même. Car Dieu nous a appelés intérieurement par l’inspiration de son Saint Esprit, qui ouvre les cœurs, et extérieurement par les soins et le ministère des Pasteurs et des prédicateurs. Et nous voyons bientôt que la fin de cette vocation, c’est la connaissance et la possession des choses éternelles, si seulement nous remarquons qu’autrefois le peuple fidèle, sous la loi de Moïse, se nommait synagogue, c’est-à-dire troupeau. Car, dit Saint Augustin, ce nom lui avait été donné parce que, comme les animaux qui cherchent à se grouper pour vivre, il n’avait en vue que des biens terrestres et périssables. Au contraire, le peuple chrétien s’appelle non pas synagogue, mais assemblée, ou convocation, parce qu’il méprise les choses terrestres et périssables, pour ne s’attacher qu’aux biens célestes, et qui ne passent pas…